Si Sébastien Tellier chantonnait, sur un air de nu-disco, aimer "l'amour et la violence"; moi, j'affirmerais, ici, que je dédaigne l'un et l'autre.
Nagisa Ōshima, en nous présentant une histoire-fresque de l'amour à la violence, de la violence à l'amour; ne nous sers - autant bien sur la forme et que sur le fond - un propos qui soit qu'une vulgaire répétition de ce qu'on a vu mille fois vitupérer : l'abominable spirale du vice dans la sexualité. En tout…