Osthan89

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  • Ran
  • Prospero's Books
  • Johnny Got His Gun
  • Blade Runner

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  • Redacted

    ★★★½

  • The Emperor Waltz

    ★★½

  • Burn After Reading

    ★★★½

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    ★★★

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  • Redacted

    Redacted

    ★★★½

    DePalma sort de sa zone de confort et livre un film énervé autant pertinent sur le fond que peu convaincant sur la forme. L'adage du film est clair: la première victime de la guerre est la vérité. Et l'image, notamment de la presse, est la première à servir ce mensonge.
    La limite du style «documentaire réaliste» est atteinte par le fait même que le film est construit pour démontrer l’impossibilité de croire aux images. On sent le réalisateur impliqué, ulcéré…

  • The Emperor Waltz

    The Emperor Waltz

    ★★½

    Opérette surannée qui ne présente un intérêt qu’en vertu du cinéaste et de l’élégant Technicolor utilisé. Les acteurs se livrent à une partition d’archétypes peu convaincants, les morceaux musicaux sont datés et l’histoire agaçante à force de survoler des sujets qui auraient pu être intéressants: la confrontation sociale est caricaturée (le personnage de Bing Crosby est insupportable dans son mépris des règles), l'audace de la mésalliance effleurée à travers les aventures canines (l'une est noire et racée, l'autre est blanc et bâtard...)

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  • Prospero's Books

    Prospero's Books

    ★★★★★

    Œuvre complexe que ce Prospero's Books, pas assez Greenaway pour certains, par assez Shakespeare pour d'autre. Pourtant, malgré certains défauts indéniables, il s'agit probablement d'une des adaptations les plus audacieuses du Barde.
    A l'origine du projet, un John Gielgud - figure incontournable de la dramaturgie shakespearienne - qui voulait créer au cinéma un Prospero depuis des années après l'avoir joué sur scène plusieurs fois. Mais Greenaway ne veut se borner à filmer la pièce (ça ne lui ressemble guère !),…

  • Zero Dark Thirty

    Zero Dark Thirty

    ★★★★

    Même si le propos ne me passionne pas, il faut reconnaître un savoir-faire incroyable chez la cinéaste qui nous tient en haleine pendant deux heures et demi. L'énergie remplace ici le procédé narratif, chaque scène étant un condensé captivant sans véritable temps mort. Une grande réussite formelle et technique qui fait oublier, finalement, le propos quelque peu propagandiste du sujet.

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