Une histoire sympa sur le papier qui discute du fait d’être « bien né », au bon endroit. Mais dommage que le film reste en surface et que chacun reste dans sa position. Thibault mourra en tant que chef d’orchestre de renommé et son frère Jimmy restera ce looser du Nord sans ambitions.
+1 pour la scène de fin où les grévistes performent le Boléro.
Magnifique film autant au niveau de l’histoire que visuellement. Le film est lumineux surtout à la patinoire, où les personnes s’expriment et se réalisent. Je saurais pas dire mais ça m’a transporté, j’ai adoré chaque minutes. Les musiques ajoutent énormément et sont bien choisies. L’histoire est tendre même si elle est inachevée, c’est dommage que ça se termine par le départ du prof et le retour de Takuya au baseball alors qu’il semblait s’être trouvé avec le patinage. Les personnages…
« Y’a rien de triste à espérer ou à attendre »
Sinon la relation entre la fille et le français était bizarre, entre admiration, curiosité et amour (??) mais il a 30 ans de plus qu’elle donc bof. C’était beau visuellement.
-1 pour mk2 Odéon, que des vieux
C’était long. Un documentaire sur la vision du cinéma par Desplechin.
+1 pour la meilleure salle des Carmes avec la daronne
Point de vue intéressant :
- au théâtre on voit la scène différemment selon notre place = on voit pas les acteurs de la même façon (de profil, partiellement…) et du coup on vit tous l’histoire différemment
- au cinéma on voit tous ce que le réalisateur veut qu’on voit, peut importe notre emplacement = démocratisation
