Mon podcast :
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Plutôt quatre nuits d'un loser (je suis pareil que lui)
Lors de mon visionnage, j'ai eu l'impression que le film était pris dans un entre-deux incessant. Il est léger puis intense, rassurant puis effrayant, beau puis ignoble. Les scènes de chants deviennent alors nos bouées de sauvetage pour survivre à cette expérience étouffante.
Kotoko est par ailleurs elle aussi un personnage tiraillé, oscillant entre réalité et cauchemar, fragilité et force. Elle nous paraît frêle, apeurée par le monde qui l'entoure, vivant continuellement dans un univers dédoublé. Et pourtant, le personnage…