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Ce film nous propulse dans l’intimité d’une victime de violences sexuelles. Le tout au cœur de la justice Japonaise avec toute ses incohérences et ses injustices. C’est un film fort plein d’espoir.
Caricatural, incompréhensible, ridicule et mal joué.
Heureusement que Grégrory Gadebois est là pour tenir le film.
Dommage qu’ils ne ce soient pas tenu à l’idée du huit clos dans la voiture. Une idée pas mauvaise à la base, mais exploitée de cette façon, c’est grotesque.
Un peu caricatural, avec par exemple, le méchant malade, vivant dans une sorte de laboratoire hermétique en espérant guérir, prêt à tout pour mettre la main sur l’artefact qui lui donnera la vie éternelle. Mais étant le premier long métrage de Guillermo del Toro, c’est un beau préambule aux thèmes de sa filmographie.
Je pensais que le film allait présenter une réflexion ainsi qu'essayer d'exposer un éventuel élément de réponse pour expliquer pourquoi une partie de la jeunesse se tourne vers l'extrême droite.
Au final, le film se concentre sur la relation entre un père et son fils, une relation qui se fracture petit à petit, un dialogue qui s'éteint.
Les éventuels scènes de violences ne sont pas montré, un parti pris qui, je trouve augmente la sensation d'incapacité du père à empêcher…