Andy Mortier

Andy Mortier Patron

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  • Stand by Me
  • Once Upon a Time in America
  • Spirited Away
  • Memories

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  • Last Night in Soho

    ★★★★

  • Westworld

    ★★★

  • Pigsty

    ★★★½

  • Black Bag

    ★★★½

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  • Mickey 17

    Mickey 17

    ★★★★½

    Et si, comme l'un de ses deux personnages principaux dans Mickey 17, Bong Joon-Ho s'était auto-détruit ?

    Après 6 ans d'attente, Bong Joon-Ho sort enfin Mickey 17, son plus gros budget depuis Okja et Snowpiercer (plus de trois fois chacun des deux) le ramenant à peu près à 150 millions de dollars.

    Tout d'abord il convient de crever l'abcès, Bong Joon-Ho n'est pas un cinéaste de la subtilité. Les messages sont très clairs. L'ouvrier endetté et remplaçable obéissant à un…

  • The Monkey

    The Monkey

    ★★★

    "Ce n'est pas un jouet". Malgré les nombreux écueils par lesquels passe le film The Monkey de Osgood Perkins, notamment d'ordres esthétiques au niveau des cadrages peu parlants et d'une esthétique fade. Celui-ci offre une adaptation de la nouvelle de Stephen King intéressante sur plusieurs points.

    Tout d'abord le choix de changer les cymbales en un tambour et deux baguettes. Ce changement anodin en apparence, permet un découpage un plus large des actions et la création d'une rythmique. Coups bien…

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  • Megalopolis

    Megalopolis

    ★★½

    Megaloppola.

    Un film qui n'a pas forcément sa place aujourd'hui, utilisant une technologie sûrement trop pointue et un lissage numérique trop fort pour une idée qui date de plus de 40 ans.

    On obtient une imagerie "mutante" qui créer une dissonance assez particulière, l'image est récente, les stars sont populaires et ancrées dans notre époque (si on enlève Jon Voight et Dustin Hoffman). Mais les dialogues, l'écriture de ses personnages féminins (se complaisant dans une mysoginie assez flagrante), le rythme…

  • Longlegs

    Longlegs

    ★★★

    (+) Thriller horrifique qui prend son temps. Pose des cadrages amenant le spectateur dans une gène et dans une paranoia assez fréquente. Nicolas Cage est dans un personnage fait pour lui, lui permettant de se lacher. L'entremêlement des contes et du thriller fantastique et horrifique contemporain. Les jeux sur les formats, notamment le 1:33 Polaroïd qui s'ouvre deux fois dans le film pour laisser place à un format plus élargit malheureusement. Des éléments presque comiques dispersés dans les différents cadres…

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