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Emilia Pérez 2024
This review may contain spoilers. I can handle the truth.
Si pour vous, un mélange entre Pablo Escobar et un transsexuel saupoudré d’une comédie musicale sonne comme un chef-d’œuvre, foncez ! Sinon, passez votre chemin en courant.
Ce film est une catastrophe industrielle. Le scénario ne tient pas debout une seule seconde. Un type se transforme en femme sous nos yeux, avec une mâchoire carrée et des épaules de pilier de rugby, mais tout le monde trouve ça parfaitement normal. Les plans sont dignes d’une telenovela fauchée, et la musique,…
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The Good Shepherd 2006
Franchement, j’ai rien compris … d’où mon impossibilité de lui mettre une note
Les analepses et les prolepses sont mal intégrées, ce qui rend la narration confuse et complique la compréhension du film. De plus, le maquillage des acteurs ne permet pas d’identifier clairement leur âge, rendant difficile la distinction entre les différentes époques rendant ce qui n’arrange pas pour la compréhension du film.
Le personnage principal est peu loquace, ce qui pourrait renforcer son mystère mais ça le rend…
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Requiem for a Dream 2000
This review may contain spoilers. I can handle the truth.
Un chef-d’œuvre incontestable.
Ce film réunit tous les éléments nécessaires pour mériter ce qualificatif : un scénario puissant, une musique marquante et une réalisation audacieuse.
- La noirceur et la profondeur du scénario frappent dès les premières minutes. Il explore l’addiction avec une honnêteté brute, montrant d’abord une façade séduisante, notamment à travers l’amour idyllique entre Harry et Marion, avant de plonger dans leur descente aux enfers. Chaque personnage sombre peu à peu, et cette chute progressive, accentuée par le…
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The Blair Witch Project 1999
This review may contain spoilers. I can handle the truth.
Ce film se distingue par une véritable originalité dans sa façon de filmer l’horreur. Contrairement à des œuvres comme REC, ici, le mouvement de caméra est bien mieux maîtrisé, rendant l’expérience visuelle plus fluide. Mais ce qui fait la force de ce film, c’est son approche minimaliste : il ne montre presque rien, hormis quelques indices comme des morceaux de bois ou une dent, laissant à l’imaginaire du spectateur le soin de construire l’horreur. Ce choix, loin d’être frustrant, amplifie…
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