Turlu

Turlu

Favorite films

  • Peppermint Candy
  • Do Not Expect Too Much from the End of the World
  • Caché
  • Fish Tank

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  • Wild Diamond

    ★★★½

  • Rabia

    ★★★½

  • Born in Flames

    ★★★★★

  • Mickey 17

    ★★★½

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  • The Ties That Bind Us

    The Ties That Bind Us

    ★★★★

    Très bon film qui sait tisser avec une apparente légèreté des récits qui explorent les soubassements les plus intimes de nos existences. J’aime bien ce genre de cinéma qui sans fracas dissèque les affects et les mutations silencieuses qui nous transforment. La réalisatrice prend pour fil conducteur le bouleversement d’une femme indépendante confrontée à l’émergence de liens qu’elle n’avait ni recherchés ni désirés. Sandra libraire intellectuelle solitaire revendiquée voit sa vie s’entrouvrir lorsque par la force des événement elle se…

  • Maybe Tomorrow

    Maybe Tomorrow

    ★★★★½

    Il est des images qui ne documentent pas tant un événement qu’elles ne le prolongent, qu’elles n’en arment la charge. Belkî Sibê, d’Alexis Daloumis, n’est pas un simple documentaire de guerre, mais une arme, un fragment de front. Il ne filme pas la lutte kurde, il la vit et il la traverse, il s’y incruste même comme une écharde.
    Daloumis n’est ni reporter ni historien, il est combattant. Or, filmer en combattant, c’est rompre avec le regard journalistique, celui du…

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  • The Beautiful Scars

    The Beautiful Scars

    Court-métrage nul d'incel, où la femme est totalement dénuée d'intériorité. On plonge que dans la perspective de l'homme, avec une certaine langueur face à l'incapacité de la femme à s'adapter à lui. Juste un énième récit de rupture hétérocentré, du point de vue masculin, insupportable, chiant.
    Comme disait l'autre « l’histoire d’amour déchue entre 2 parisiens bobo qui se sont recontrés tazés au fumoir du Nexus lors d’un afterwork », une chanson de Fauve en court-métrage quoi

  • Anora

    Anora

    ★★★½

    Alors, j'ai beaucoup aimé mais franchement si Baker a fait de la marginalité son territoire de prédilection dans son style néo-réaliste (The Florida Project, Tangerine), et capte les corps du prolétariat sous le regard de la critique sociale, dans Anora cette critique s’efface par moments sous une esthétique qui flirte dangereusement avec ce qu’elle prétend dénoncer, chaque danse lascive devient à la fois un moment de résistance et de capitulation face au regard masculin omniprésent (y a trop de glamourisation…