Favorite films
Don’t forget to select your favorite films!
Don’t forget to select your favorite films!
Une magnifique plongée dans le paysage pittoresque dans les hauteurs japonaises et dans le quotidien des habitants de Mizubiki. Les gestes et la nature sont finement décrits de telle sorte à contempler des scènes inspirantes.
La dichotomie entre Tokyo bouillonnant et Mizubiki paisible est savamment donnée à voir par les couleurs et les musiques qui imposent une ambiance pour le moins schönbergienne.
Une fin troublante et énigmatique qui mérite d’être déchiffrée au terme d’un second visionnage !
Une ode à la nature, à la spiritualité et à la vie du passé et du futur. Je me suis perdue dans les paysages d’Oulan-Bator, dans le quotidien d’une jeunesse pleine de fougue et dans la spiritualité des Mongols. Les esprits nous accompagnent chaque jour, ils sont là et font partie de la nature. Rien de surnaturel, mais bien la coexistence entre vivants et ancêtres. Une chose est sûre, ces images m’ont apaisé.
Les acteurs sont d’une spontanéité et d’une authenticité sans pareil. Un premier rôle pour Tergel Bold-Erdene époustouflant et le prix du meilleur acteur à la Biennale de Venise vraiment mérité !!
Une explosion d’émotions, de surprises et de sons. Les images sont vibrantes. Les musiques sont majestueuses. De quoi voyager le temps de quelques heures sur le territoire aride et pittoresque d’Arrakis.
Le casting ne m’a pas déçu, loin de là, j’étais séduite ! L’évolution psychologique des personnages est aussi bien rendue dans le scénario que dans l’expressivité des visages de chacun des acteurs.
Il me tarde de découvrir le rôle d’Anya Taylor-Joy ou encore si le personnage que joue Léa Seydoux se développera dans le prochain volet.
Magnifique histoire de Maurice Ravel, où l’on est emporté à la fois par ses morceaux et par le tournant de sa vie, si malheureusement tragique.
Si les compositions de Ravel et le Boléro nous transportaient, il faut dire que ce n’était pas le cas du jeu d’acteur. Déçue par les dialogues parfois sans fond, un registre du langage loin d’être fidèle aux années 1920 mais semblable au parler contemporain, et des émotions presque atones, sauf Raphaël Personnaz qui relevait le niveau.