La Convocation se veut oppressant dès la première séquence et le regard de Renate Reinsve en dit long.
Dans un premier temps, sans mettre de mot sur la problématique, ce qui joue dans cet atmosphère étouffant, une sorte de tension s'accumule.
La mise en scène participe énormément à cette ambiance, la multitude de plans rapprochés et le travail sonore suffocant et lourd.
À la manière des personnages, plus le temps avance, plus nos émotions partent dans tous les sens et…