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2017, La revue lacanienne
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Entre 1914 et 1918, la presse illustrée française donne à la guerre une visibilité fortement contrastée. Nous proposons d’envisager cette production de masse à travers une grille d’analyse thématique et de nous interroger sur ses liens avec la culture d’avant-guerre. Les représentations héroïques, humoristiques et érotiques dans la presse de la Grande Guerre sont abordées ici à travers l’étude des dessins du Supplément illustré du Petit Journal, du Rire rouge et du Sourire de France.
Le Projet "Narrativité" a suscité de nombreuses réactions. Les courtes contributions qu'on trouve ici font environ 2000 mots chacune, souvent moins. Elles tentent d'éclairer les concepts et les problèmes posés.
Cahiers jungiens de psychanalyse, 2007
Distribution électronique Cairn.info pour Les Cahiers jungiens de psychanalyse. © Les Cahiers jungiens de psychanalyse. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Derrière la plupart des images, quelque chose disparaît." a écrit Baudrillard. "Quelque chose d’unique, le calme, le secret, la mort." D’après le philosophe, l’image est aussi violence, une violence qui manipule, qui prend notre regard fasciné en otage. La violence des images tient à ce qu’elles font miroiter un monde où tout semble toujours actuel et maîtrisé. "Bien que les images montrent tout, il n’y a pourtant plus rien à voir." dit Baudrillard.
Hommes et Migrations, 2019
Retour sur la table-ronde présentée par le Musée national de l'histoire de l'immigration, autour des images absentes et des silences de l'image. Avec Ilsen About, Arno Gisinger et Anne Lafon.
2008
Le titre semble relancer, une nouvelle fois, les difficiles enjeux du rapport entre mot et image, entre écrit et visuel. Il semble nous replonger au coeur du champ d'apories que soulève la détermination de l'antériorité et donc de l'autorité-philosophique, sémiotique, phénoménologique, voire métapsychologique-d'un langage sur l'autre. Le titre doit-il être considéré comme irrémédiablement extérieur au travail visuel de l'oeuvre, fonctionnant sous des cieux sémiotiques et donc sémantiques distincts? Ou est-il plutôt une trace laissée par l'artiste, comme une clef accrochée à la cimaise des musées, indiquant ce qu'il y a à voir dans l'image ? Ou encore est-il irrémédiablement en aval de l'oeuvre elle-même, une obligation institutionnelle, un simple « hors-d'oeuvre » (Derrida) qui, s'il s'offre parfois à interpréter l'oeuvre, ne saurait garantir la justesse de sa lecture? Ces questions sont vertigineuses, elles interrogent la possibilité même d'une communication entre le régime visuel et le régime verbal. À l'extrême, elles mettent à vif la fragilité de certains fondements épis-Once again, the title seems to introduce difficulties in the relationship between words and images, the written and the visual. It seems to take us back to the heart ofthe aporia that determined the precedence and then the authority-philosophical, semiotic, phenomenological, even meta-psychological-of one language over another. Should the title be considered as irremediably apart from the work's visual aspect, functioning in an arena that is semiotically and hence semantically distinct? Or is it a trace the artist leaves as a key, attached to the wall of museums, indicating what there is to see in the image? Does it come irremediably after the work, an institutional obligation, a simple "hors-d'oeuvre" to quote Derrida, which is sometimes presented as an aid to interpreting the work, but does not guarantee an accurate reading? These are exhilarating questions: they examine the possibility of communication between the visual and verbal systems. In the extreme, they show a frailty in some of art history's epistemological foundations.
2013
Sophie-Isabelle Dufour En partant du constat que la mise en image du mouvement ne date pas de l’invention du cinematographe – car bien avant d’etre reproduit par l’image mecanisee, il a ete represente dans les images fixes –, les participants au seminaire ont entrepris une reflexion sur le mouvement dans sa relation a l’image en remontant a l’Antiquite. L’analyse d’un passage du Timee, ou Platon definit le temps comme « l’image mouvante de l’eternite », et d’un autre tire du troisieme livre d...
Perspective
Pierre-Olivier Dittmar. « Les statues meurent aussi » nous rappellent en 1956 Alain Resnais et Chris Marker. Si la vie des images s'est trouvée, depuis vingt ans, au coeur du dialogue entre histoire de l'art et anthropologie par le biais des enquêtes sur l'agentivité des images, sur la performance ou sur l'animisme, force est de constater que la mort des images et, spécialement, leur destruction n'ont pas fait l'objet d'une production théorique aussi vaste. Pourtant les deux phénomènes sont intimement liés et impliquent une réflexion sur l'inscription des images dans le temps. Quoi de plus banal, pour un anthropologue, que la production d'images faites pour être détruites ? Les objets et, plus spécifiquement, les images faits pour être sacrifiés, pour être brulés, mangés, immergés sont légion et constituent une part non négligeable des collections ethnographiques. Ce faisant, ils posent d'importants problèmes dans les cas de demande de restitution, créant une situation d'affrontement éthique entre valeur patrimoniale et valeur cultuelle de ces objets d'exception. Sans doute le rejet (au moins théorique) de ces pratiques sacrificielles par le christianisme at -il contribué à les marginaliser aux yeux de l'histoire de l'art, mais cet argument ne saurait être tenu pour suffisant. Ne faut-il pas aussi penser que le lien avec la mort, si central pour penser l'émergence du portrait individuel, notamment, a pu durablement orienter les recherches ? La célèbre définition d'Alberti, qui veut que l'image ait la faculté « de rendre présents ceux qui sont absents, mais aussi, après plusieurs siècles, presque vivants ceux qui sont morts 1 » ne suppose-t-elle pas que les images survivent aux vivants, autorisant une forme de permanence par-delà la fragilité de la vie ? La méditation de Barthes dans La chambre claire ne constitue-t-elle pas le troublant témoignage de cette mission de survie que nous assignons aux images ? Force est aujourd'hui de constater que ce présupposé théorique n'est pas suffisant. Au sein même de l'Occident, de nombreuses images ont été produites pour être détruites, hosties figuratives, images infamantes, décors éphémères d'entrées de ville, tapis de fleurs de la Fête-Dieu… que l'on pense aussi à ces ex voto de cire, qui ne peuvent se concevoir que dans le cadre de la temporalité de demandes particulières, de souffrances ou de désirs voués à être comblés ou à disparaitre 2 (fig. 1). Des images faites pour être détruites Un dialogue entre Giordana Charuty et Jérémie Koering, introduit et modéré par Pierre-Olivier Dittmar et Jean-Claude Schmitt
2002
« We must consider not only beholder's symptoms and behavior, but also the effectiveness, efficacy and vitaitty of images themselves; not only what beholders do, but also what images appear to do; not only what people do as resuit of their relationship with imaged form, but also what they expect imagedforms to achieve, and why they have such expectations at ail » [David Freedberg]. Qu'il s'agisse d'images de facture traditionnelle ou de formes d'imagerie plus nouvelles ou plus singulières, une partie importante de la production visuelle est mise aujourd'hui au service de diverses formes d'identité collectives ou indivi¬ duelles dans le monde. L'objectif de ce numéro est de proposer, à partir d'études de cas menées en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud, un ensemble de réflexions et d'analyses sur le rôle que jouent, à notre époque, diverses imageries pour illustrer ou propager des logiques identitaires qui peuvent concerner des per¬ sonnes aussi bien que des lieux ou des communautés. Un domaine de recherches longtemps négligé Si l'on excepte quelques rares recherches, généralement consacrées à des formes d'imagerie valorisées pour leur qualité artistique, c'est seulement depuis une date récente que l'on a commencé à s'intéresser sérieusement au rôle joué, ailleurs qu'en Occident, par les formes de représentation visuelle associées plus spécifiquement à la modernité (photographie, cinéma, images virtuelles, etc.) et au rôle que ces dernières peuvent jouer dans la définition des identités '. Ainsi, par exemple, l'étude de l'activité des photographes africainsqu'il faut distinguer soigneusement de l'histoire de la photographie en Afriqueconstitue Chercheur en anthropologie, IRD, Centre d'études de l'Inde et de l'Asie du Sud (EHESS). 1 La raison de ce nouvel intérêt est due, entre autres facteurs, à une meilleure prise de conscience du rôle joué par l'imaginaireet l'imaginaire visuel, en particulierdans la définition des identités. L'ouvrage de référence dans cette perspective est celui de Benedict Anderson [19831 à propos de la construction de l'identité nationale en Indonésie; pour des développements plus récents dans cette perspective, voir, par exemple, Hjort, Mackenzie [2000].
Annual Report of the International Research Institute for Advanced Buddhology at Soka University, 2023
SAINSTECH FARMA
Sueli Guadelupe de Lima MENDONÇA, 2024
Current Opinion in Toxicology
Радиоуглерод в археологии и палеоэкологии: прошлое, настоящее, будущее, 2020
أبحاث و دراسات تاريخية و أثرية, 2016
Physical Review D, 2023
The Internet Journal of Orthopedic Surgery, 2009
Journal of Industrial Engineering Management, 2021
34th AIAA Plasmadynamics and Lasers Conference, 2003
2014
Advanced Materials, 2010
Nanotechnology, Science and Applications, 2012