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Analyse de l'histoire du Petit Prince de Saint-Exupéry, 2018
Le Petit Prince de Saint-Exupéry raconte l'histoire d'un aviateur qui se retrouve seul en plein Sahara après une panne d'avion. Lorsqu'il essaie de réparer son avion, il rencontre un petit prince que lui demande de lui dessine un mouton. Ce roman est assez différent des autres comme il bascule entre deux tons ; le pessimisme et l'optimisme. On dirait que l'auteur essaie de nous enseigne que la vie est un contraste entre le bon côté et le côté obscur. En se réfèrent au symbolisme dans le roman, ses interprétations et aux ressources authentiques, on explique les deux sentiments et donne des exemples du roman. Le personnage du petit prince vaut mieux être décrit comme l'épandeur de bonheur. Il représente la face naïve et pure envers l'absurdité des grandes personnes et seulement pessimiste envers la négativité. Quand on regarde de près, on trouve que ce n'était pas lui-même qui a été décrit comme pessimiste mais plutôt les grandes personnes autour lui. Par exemple, dans le premier chapitre, il décide de laisser côté une magnifique carrière de peintre à cause des grandes personnes qui lui ont découragé. Il a eu la passion d'être créatif mais le pessimisme de ceux qui l'entouraient était suffisamment fort pour lui fait abandonner ce qui le rend différent. Cette événement était la raison principale pour sa solitude, c'est-à-dire, c'était le début d'une vie vécu par ce commandement : être seul est mieux que d'être avec les mauvaises personnes. Par conséquent, le chapitre qui suit cet événement commence par dire : « J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement. » (Saint-Exupéry, 2015, P.3) En faisant des quelques recherches dans le roman, on remarque des symboles qui ont illustrés l'état de pessimisme et l'optimisme en même temps, par exemple, dans le cinquième chapitre, le petit prince trouvé inquiète à cause d'une mauvaise herbe poussent sur sa planète, cela ferait de lui un pessimiste en pensant que toutes les choses iraient mal mais en même temps, il ferait quelque chose positive, il a identifié le problème et commencé à chercher une solution pour débarrasser les baobabs. Pendant ce temps, le petit prince nous enseigne comment l'on peut être optimiste même en se sentant triste. Il nous montre l'importance de chercher une chose qui nous fait oublier la souffrance et soulager la douleur comme les couchers de soleil font de lui. Ils se l'égayent et le rendent
Cette Vie attribuée à Létald, moine de Micy 1 , bien que très supérieure littérairement et plus ancienne que BHL 2755, présente beaucoup moins d'intérêt mythologique sans posséder pour cela plus d'intérêt historique. Notre attention s'est donc essentiellement exercée sur BHL 2755 à laquelle nous avons déjà consacré plusieurs articles substantiels 2 dans un précédent bulletin. Il peut néanmoins être utile de reproduire le texte de BHL 2754 en l'accompagnant d'une traduction, dans la mesure où il est aujourd'hui d'accès difficile (l'édition de Labbé 3 est de 1657) et où nous ne connaissons pas de traduction française de BHL 2754.
I LA LIGNE C'était en 1926. Je venais d'entrer comme jeune pilote de ligne à la société Latécoère qui assura, avant l'Aéropostale, puis Air France, la liaison Toulouse-Dakar. Là j'apprenais le métier. À mon tour, comme les camarades, je subissais le noviciat que les jeunes y subissaient avant d'avoir l'honneur de piloter la poste. Essais d'avions, déplacements entre Toulouse et Perpignan, tristes leçons de météo dans le fond d'un hangar glacial. Nous vivions dans la crainte des montagnes d'Espagne, que nous ne connaissions pas encore, et dans le respect des anciens. Ces anciens, nous les retrouvions au restaurant, bourrus, un peu distants, nous accordant de très haut leurs conseils. Et quand l'un d'eux, qui rentrait d'Alicante ou de Casablanca, nous rejoignait en retard, le cuir trempé de pluie, et que l'un de nous, timidement, l'interrogeait sur son voyage, ses réponses brèves, les jours de tempête, nous construisaient un monde fabuleux, plein de pièges, de trappes, de falaises brusquement surgies, et de remous qui eussent déraciné des cèdres. Des dragons noirs défendaient l'entrée des vallées, des gerbes d'éclairs couronnaient les crêtes. Ces anciens entretenaient avec science notre respect. Mais de temps à autre, respectable pour l'éternité, l'un d'eux ne rentrait pas. Je me souviens ainsi d'un retour de Bury, qui se tua depuis dans les Corbières. Ce vieux pilote venait de s'asseoir au milieu de nous, et mangeait lourdement sans rien dire, les épaules encore écrasées par l'effort. C'était au soir de l'un de ces mauvais C'est pourquoi, ce soir-là, une voix lente insistait une dernière fois sur la consigne : « C'est très joli de naviguer à la boussole, en Espagne, audessus des mers de nuages, c'est très élégant, mais… Et, plus lentement encore : « … mais souvenez-vous : au-dessous des mers de nuages… c'est l'éternité. » Voici que brusquement, ce monde calme, si uni, simple, que l'on découvre quand on émerge des nuages, prenait pour moi une valeur inconnue. Cette douceur devenait un piège. J'imaginais cet immense piège blanc étalé, là, sous mes pieds. Au-dessous ne régnaient, comme on eût pu le croire, ni l'agitation des hommes, ni le tumulte, ni le vivant charroi des villes, mais un silence plus absolu encore, une paix plus définitive. Cette glu blanche devenait pour moi la frontière entre le réel et l'irréel, entre le connu et l'inconnaissable. Et je devinais déjà qu'un spectacle n'a point de sens, sinon à travers une culture, une civilisation, un métier. Les montagnards connaissaient aussi les mers de nuages. Ils n'y découvraient cependant pas ce rideau fabuleux. Quand je sortis de ce bureau, j'éprouvai un orgueil puéril. J'allais être à mon tour, dès l'aube, responsable d'une charge de passagers, responsable du courrier d'Afrique. Mais j'éprouvais aussi une grande humilité. Je me sentais mal préparé. L'Espagne était pauvre en refuges ; je craignais, en face de la panne menaçante, de ne pas savoir où chercher l'accueil d'un
Image Narrative, 2009
As everybody knows, Saint-Exupéry was not only a writer, but also, and first, an aviator. This paper aims to study the relationships between these aspects of his personality as expressed in two of his major literary works: Courrier Sud (Southern Mail) and Le Petit Prince (The Little Prince). In these books, Saint-Exupéry, as a writer, confronts his double, the childish aviator, and sacrifices him to his literary project. Résumé Saint-Exupéry, comme on sait, ne fut pas seulement un écrivain, mais aussi un pionnier de l'aviation. Cet article se propose de montrer comment ces deux carrières s'incarnent dans son oeuvre, et principalement dans Courrier Sud et Le Petit Prince, sous la forme d'instances indépendantes, dont la rencontre rappelle le thème du double tel qu'il fut développé par la littérature romantique, au détail prêt qu'elle n'induit pas une confrontation, mais un sacrifice.
RoSE – Research on Steiner Education, 2013
In his book about Rudolf Steiner, Heiner Ullrich (2008) discusses-among other things-Steiner's philosophy of knowledge. Reading this part of the book, encompassing pp. 123-135, I was astonished to find so many claims about what Steiner means almost without a single reference to-let alone a quote from-Steiner's work. I am surprised that such a text can be published with the implicit claims of being a scholarly and academic book (it is published as volume 11 of the Continuum Library of Educational Thought). In these 12 pages (and also in the rest of the book) one finds one conclusive judgment after another about Steiner's philosophy without any arguments, demonstrations or clear references to Steiner's texts, 1 as if it was not at all a question of Ullrich interpreting Steiner's work, but as if he is merely recounting what Steiner himself has said or written. And yet, having studied Steiner's work for over 20 years, I for one can hardly recognize a single idea from Steiner in Ullrich's presentation of him. Almost all of it consists of distortions and misconceptions piled up, one upon another. Ullrich's account of Steiner's philosophy seems to be based on secondary and mainly critical sources, he seems not to have taken the trouble to read Steiner himself. In the following I will try to justify this highly critical view of Ullrich's presentation. I will limit myself however to the pages 123-127 of the book, comprising a section called "Anthroposophy as a philosophy without boundaries". I think a thorough discussion of these pages is enough to give an impression of how Ullrich (mis) treats Steiner's ideas. At some points I will bring in references and a quote from Steiner's work, but I will also allow myself the same liberty as Ullrich and simply state my interpretation of Steiner, in opposition to his. I do this because this is not a peer-reviewed academic article and finding all the relevant references is a timeconsuming work. Those who know Steiner's work may judge for themselves whether my interpretations accord with Steiner and with their own. If we disagree, the discussion about this issue can continue. Ullrich's claims about anthroposophy as "a philosophy without boundaries" Steiner is known to have made many critical remarks about Kant's philosophy. Ullrich says critics of Steiner conclude that he misreads Kant's epistemology in a psychological way and that this leads him to "a precritical, naively realistic position in the justification of his own theory of knowledge" (Ullrich, p. 123). Many dogs are buried in these simple statements; one is almost overwhelmed by the work that would be needed to unearth them all. I have to limit myself to a few of them. Steiner is indeed questioning the epistemological boundaries that Kant proclaimed, but he is no more "psychological" in his reading than many other philosophers after Kant, who also questioned these boundaries (Schelling, Hegel, and others). Hegel for instance, in his typically dialectical fashion, said that if one is aware of a limit, a border, one is implicitly also aware of what is on the other side of the border-this is inherent in the very concept of a border. 1. There are other references, but they are to critics of Steiner, and their conclusions.
Dokuz Eylul Universitesi Hemsirelik Fakultesi Elektronik Dergisi, 2015
Archeologie in Nederland, 2023
Arkeoloji-Paleocoğrafya-Jeoarkeoloji Araştırmaları 2 (Prof. Dr. Manfred Osman Korfmann Anısına), 2023
Ciências da saúde: bem-estar integral e qualidade de vida 2 (Atena Editora), 2024
Engineering Management TEST, 2020
1992
Waste Management & Research, 2002
Journal of Communication and Management, 2023
KASTA : Jurnal Ilmu Sosial, Agama, Budaya dan Terapan
Organization Studies, 2021
The Turkish Journal of Ear Nose and Throat, 2016
Journal of translational medicine, 2017
Annals of Oncology, 2014
MRS Proceedings, 2002
Cambridge Scholars, 2024
British Journal of Psychiatry, 1978