POEMES ET POESIES

Le poème s'en va

Et puis revient

C'est comme un oiseau

Qui te glisse entre les mains

Tu mets côte à côte des mots

Pour faire une belle phrase

Si l'inspiration est du voyage

Tu iras jusqu'au bout de la page

Mais si ton esprit ne ressent rien

Tu n'iras pas très loin

Tu perdras le fil de ton poème

Qui restera hors d'haleine

Epuisera son thème

Alors garde toujours en mémoire

Le fil de ton histoire

Trés souvent on regarde la vie

Comme un chemin long à parcourir

Avec sérénité ou en riant

Et puis aujourd'hui tout a changé

Elle est passée comme un éclair

A peine fini hier que commence demain

Malgré la beauté de la nature

Les arbres verts leurs belles ramures

Les roses epanouies

La fontaine qui jaillit

Il y a tant de choses dans une vie

Qui passe comme l'eclair 

On a l'impréssion de n'avoir pu

Tout admirer sa beauté offerte

Que l'on à qu'éffleuré le parcours

Toujours bien trop court

Il faurait pouvoir oublier

Mis je n'ai jamais su

La mémoire me rattrape toujours

Ne me laisse pas en paix un seul jour

Pas une seconde de repos

Impossible de dormir sur ses deux oreilles

Je pense toujours pareil

Aux choses d'autrefois

Qui arrivent chaque fois

A l'assaut de ma mémoire

Et me font entrevoir

Un passé une histoire

Que l'on de la peine a entrevoir

Cette plaine qui s'etale devant toi

Que veux tu lui dire

Q"elle sache déjà

Il y a peut être quelque chose

Il y a si longtemps que vous vous rencontrez

Avec le temps vous avez changé

Un secrets que vous avez oublié

De vous confier

Peut êtreque vous êtes inchangé

Malgré votre age avancé

Vous êtes resté pareil

Toujours aussi admiratif reel

Quand tu es apparue

Au fond de l'allée

Ce fut comme si l'allée

Devant toi s'inventait

Nous ne cessons chaque jour

De nous inventer un nouveau jour

Sans toi je n'irai plus je crois

Sans frayeur dans les bois

Ces bois peuplés de silence

De ton absence

Les oiseaux tournent autour de nous

Nous accompagnent sont jaloux

Nous nous ouvrons à tout

Tout tourne autour de nous

L'oiseau dans sa cage

Ouvrez la porte qu'il s'envole

Il est ivre d'espace folle

Ivre de plaisir

De voler vers un avenir

De se battre face au vent 

Qui le retient pourtant durement

Il ne pense quà enchanter l'espace

De son vol de ses chants de sa graçe

D'aller boire à la source claire

De s'ebattre follement dans l'air

De hanter les arbres de la fôret

A la recherche d'un endroit

Pour bâtir son toit

De s'ebrouer face au soleil

Qui lui fait de l'oeil

IL monte si haut

Dans le ciel là haut

Frôle l'eternité

Sans la trouver jamais

J'oublie tout

Comme un foulli dans un tiroir

J'oublie la vie

Soufflée par le vent

Le passé partiellement

Joublie les noms

J'oublie les objets

J'oublie les mots à trouver

J'oublie les jours

 J'oublie les semaines

J'oublie comme je respire

Tenez mon coeur bas

Je ne suis pas sur de moi

Un rien m'affole

Dire que c'est inquietant

J'ignore la suite des evènements

C'est un autre monde qui s'ouvre

De nouvelles choses que l'on découvre

N'enticipons pas 

L'avenir nous l'apprendra

Un jour je pris un chemin

Qui me semblait anodin

Puis je me souvient

Quelques repères me reviennent

J"avais déjà pris ce chemin

Il doit avoir une fin

Peut être une cour de ferme 

Chaque chemin a un destin

On dit tous les chemins

Ménent à Rome

On aura pas autant d'exigence

Mais tout de mème une petite récompence

Nous avons eu un départ

On voudrait une arrivée

Un bût une dèstinée

La vie a bien un départ

Elle aura une arrivée

Mème si très loin elle est souhaitée

J'ai comme un hiver

Dans le coeur

Avec la mélancolie

De cette saison sans vie

Latristesse de la nature

La perte de verdure 

Les jours si courts

Les nuits si longues

Les nuages noirs

Qui obstruent le soleil

Le someil pèrturbé

Les nuits angoissées

Par des rèves insensés

Des jardins en jachères

Des tristesses des misères

Octobre arrive

Comme une tempête sur le navire

On aperçois plus le rivage

Il faut agipper le bastingage

Le coeur chavire

Avec la pluie le vent qui arrivent

Secouent le monde

L'âme oscille et sombre

Dans cette grisaille d'automne et d'ombres

Pluies vents cycones

Sale saison

De tristesse et de rançon