bazar de mes penséesEcrits,lectures,musiques, un peu de temps laissé à l'imaginaire.
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...m'était conté, il prendrait l'arc en ciel de mes humeurs, danserait sur le fil de mes pensées et se briserait sur mes envies.
bonjour, je cherche à retrouver le texte complet de ce sonnet de michel-ange, dans cette traduction. pouvez-vo
Par Anonyme, le 23.08.2021
esprit virtuose,
pou r précieuse amazone,
vos papillons en abondances,
f leurissent aux rythmique d'une cer
Par drakovac mirsad, le 28.11.2017
clara se fait rare... ;) http://babayag a.centerblog.n et
Par babayaga, le 28.03.2014
tourrrnicotiii ...tournicotaa a...trois petits tours de manège, légers comme un arpège...http ://babayaga.ce n
Par babayaga, le 30.12.2013
belle vision d'un ailleurs en marche... j'aime ;)http://babay aga.centerblog .net
Par babayaga, le 16.12.2013
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Date de création : 08.05.2011
Dernière mise à jour :
03.08.2019
175 articles
Papillon tu virevoltes au clair de lune, libre, joyeux, inconscient de l'éphémère, tu vis pleinement le moment présent.
Je t'envie, toi dont les heures, les minutes sont comptés mais qui n'ont aucune prise sur toi.
Tu savoures délicatement, tu découvres tous les trésors à ta disposition, tu n'oublies pas un seul instant, tout est condensé dans cette seconde.
Le parfum d'une campanule t'attire, celui d'une rose t'enivre et te transporte , te mène vers des contrées inconnues.
Tu explores avec avidité et légèreté, entre ciel et terre, tu navigues au fil de l'air du temps et des eaux chantantes.
Ta vie sera brève mais riche de l'essentiel, lui qui nous échappe bien souvent.
Se laisser porter par les évidences, lumineuses, simples, l'esprit s'allège,
Tout devient alors possible à l'infini.
Des mots comme des perles, émeraudes,
Petits joyaux posés délicatement en bord de coeur chaloupé.
Mélodie à fleur d'âme embarquée sous la houle de pensées vaguement mineures.
Trouver refuge dans ton coeur, m'y lover pour mieux m'y repaître d'un ailleurs haut
en couleur.
Il est tôt ou tard, ici ou là, je me perds dans la nuit avant de te retrouver.
Le soir était sa saison préférée,
Elle se paraît comme une vieille lune fardée,
Sa brillance degoulinait telle une blessure trop voyante,
L'océan la sublima, lui offrit son énergie,
Elle lui donna en retour sa plus belle nuit.
c' est promis, vous n 'êtes pas digne de ma confiance. Voleur de mots et d'images , vous êtes entrés et avez tout piétiné, on ne recrée rien sauf le futile. La magie est passée, ne reste que des murs nus et froids, n existe plus cette chaleur du havre retrouvé, les rapaces sont venus, ils ont tout pillé pour quelques billets manquants.la toile est froide et ses mailles bien rudes, pas de quoi tisser de belles envies.
...on en revenait à Proust, histoire de s extirper des temps présents. J habite un monde qui n existe que dans les limbes de mon enfer mental.
Revenir ici comme un purgatoire, revancharde, la clef des champs en ostensoir.
Clara était lasse du temps qui passe et casse les meilleurs sentiments.
Que faire pour se sentir vivre ?
Travail, lecture, écrits, rien n'y faisait, il lui manquait l'essentiel, l'émotion, la belle émotion.
Absente, où se nichait-elle en ce moment ?
Pourquoi devenait-il si difficile de percevoir le beau, parasité par tant d'oripeaux, des vieilles nippes collées à l'abus de faux-semblants.
Des petites étoiles en forme de bulles allaient pour un soir illuminer sa mélancolie, une douce torpeur l'envahirait, elle boirait les discussions insipides sur canapés multicolores.
Minuit serait l'heure des souhaits sans promesses, des plus jolis mensonges comme des petites notes cristallines évanescentes.
Douce euphorie d'un soir de l'an.
Polux et Zébulon aïe aïe ! souvenir d'enfance
Le tour est passé, la magie estompée,
Ne reste plus que le souvenir des sensations.
Le tour est passé, la magie envolée,
Ne reste plus que l'envie des sensations regrettées.
Tourne le temps, fuit le tourment,
Passé l'élan des premiers instants,
Ne reste plus que la magie du tour... enivrante !
Trois petits tours et puis plus rien.
Je serai ailleurs, là où le ciel luit, où la mer scintille et le mors aux dents je saurai le chemin de la liberté.
Les lions partageront leur pitance avc Rome et je serai la déesse de Partha désarmée.
Les fées m'accompagneront vers la Sologne, j'emprunterai les chemins escarpés de l'enfance.
La lumière bleue et vive au flamant de cette aube malvenue, je regarderai le feu qui brûle mon imaginaire.
Ne place plus la terre au dessus des éléments, aspire à un sang moins féru de tempos sordides, foule la poussière étouffante des arcades de l'empire ottoman, marche sur la cendre bouillante, rougeoiment intense.
Rouge, jaune, le sable des hommes bleus, la danse lancinante de leurs chants oniriques, la bouche asséchée de silence, le coeur vibrant, lumière tendue, belle re-naissance sans apparence.
Ses os grincent, la vieille femme lève le poids de ses années perdues, dérision.
Elle songe à la jeune fille virevoletante qu'elle fut, certainement.
Le regard vague un sourire biaisé, douce folie.
Sa mémoire ne retient que quelques instants de vie, tout le reste éparpillé dans une gestuelle, une pensée dirigée par le vécu, automate.
Ne reste que l'idée d'elle même, tronquée.
Miroir aux arlequins, les couleurs se délitent, ne reste que le mirage où elle se noie.
Elle trottine tranquillement vers quelque petite tâche, simplement, plus rien n'a d'importance , le temps se ralentit, elle le sait.
N'oublie pas tes rêves, pensa t-elle en regardant ce film, la joueuse.
La fille et la femme assises sur le lit défait, parlaient.
La fille déçue d' avoir raté son oral se consolait en invoquant mari et enfants à venir, l'essentiel dit-elle.
La femme au port de reine, rêve en suspens, hésitante, lui accorda un " oui c'est vrai " atone, songeant à son prochain coup de maître.
Il vint...
Elle le tenait en haleine telle une tour imprenable, lui sentait la menace, piètre cavalier il perdit pied. Son jeu était fait, elle le manipulait comme un pion en reine absolue.
Il sombra fou, elle l'avait mis en échec au bout de son mat !