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Date de création : 09.02.2011
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seigneur merci encore pour ta bonté et ton aide dans mon intervention fait je t'en supplie fait que les analys
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Par Claude, le 26.07.2017
L’historien gaulois Sulpice-Sévère, qui vécut dans la seconde moitié du quatrième siècle et dans les premières années du cinquième, est à coup sûr le plus ancien, et peut-être bien le plus intéressant des annalistes religieux. Il nous a rapporté dans Ses Dialogues, une foule de traits merveilleux relatifs aux pieux solitaires de l’Orient, où il était allé étudier à leur source les institutions monastiques. L’autorité de ce savant et saint religieux, qui fut disciple de Saint Martin de Tours, est d’autant moins suspecte qu’il nous dit avoir été témoin lui-même de la plupart de ces merveilles au cours de son voyage. Il nous affirme d’ailleurs, et nous n’avons aucun motif de ne pas le croire, que tout ce qu’il n’a point vu de ses propres yeux lui a été raconté par les témoins les plus dignes de foi, dont il nous garantit la sincérité. C’est à lui que j’emprunte la gracieuse légende qui va suivre.
Un saint ermite de la Thébaïde, dont malheureusement Sulpice-Sévère ne nous dit point le nom, vivait complètement retiré au fond du désert. Une toute petite cellule, creusée dans une grotte et fermée d’une mauvaise planche, lui servait de retraite, et ce n’était que de loin en loin qu’il se permettait d’aller visiter ou de recevoir un ou deux autres solitaires dont il avait fait la connaissance.
Mais si le pieux reclus n’avait aucune communication avec le monde, il n’en était pas de même avec les bêtes du désert, qui avaient tout de suite trouvé en lui un ami, et pour lesquelles il s’était pris d’une vive affection lui-même. Parmi ces bêtes, le non anachorète avait sa préférée : c’était une louve, qui ne manquait jamais de venir le trouver à l’heure de son repas, et avec laquelle il partageait chaque jour un pain. Le repas terminé, la louve léchait la main de son hôte en signe de reconnaissance, et celui-ci la congédiait après l’avoir caressée.
Un jour, lorsque la louve arriva à l’heure accoutumée, elle trouva la porte de la cellule fermée : le solitaire, parti pour rendre visite à l’un de ses frères, n’était point encore de retour. S’en retourner à jeun parut sans doute bien dur à la bête ; aussi, après avoir vainement attendu, se décida-t-elle à pousser la porte et à croquer tout entier l’un des pains qui se trouvait dans la corbeille servant de garde-manger à l’anachorète.
Lorsque celui-ci fut de retour, qu’il vit sa porte ouverte et reconnut qu’il manquait un pain à sa provision, il n’eut pas de peine à deviner quel était le voleur, ou plutôt la voleuse. Mais, au lieu de lui en vouloir, il se reprocha presque de l’avoir forcée lui-même à commettre ce larcin. « Pauvre bête ! se dit-il, puisque j’ai failli l’exposer à se passer de dîner, il est bien juste qu’elle se soit servie elle-même ! »
Cependant la louve, qui ne savait point comment le solitaire prendrait la chose, était loin d’être tranquille. Comprenant bien qu’elle avait commis une faute, et craignant une réprimande, elle n’osait plus se montrer aux yeux de son ami. De là, grand chagrin de notre anachorète, qui s’imaginait avoir à jamais perdu sa compagne et la cherchait de tous les côtés.
Au bout de quelques jours, la voleuse s’étant hasardée à revenir rôder autour de la cellule, le solitaire l’aperçut, la mine triste, la tête basse, encore toute honteuse de sa faute. Sans songer un instant à lui reprocher son larcin, et tout entier à la joie de la retrouver alors qu’il l’avait crue perdue, il l’appelle bien vite, la caresse, l’emmène à sa cellule et lui donne un pain tout entier, comme pour la dédommager de son long jeûne !
Comme elle est charmante cette légende, et comme elle nous offre, une fois de plus, la preuve de la façon dont Dieu sait être merveilleux dans ses serviteurs ! Mais aussi que de bonté chez les Saints, dont la douceur savait dompter les bêtes féroces, et qui ne dédaignaient pas de prodiguer à ces dernières des marques d’affection que nous refusons souvent à nos animaux domestiques les plus dévoués !
Extrait du livre « Les Saints et les animaux » d’Henri BOURGEOIS.
Saint Gérasime, mort en l’année 475, était originaire de la Lycie, où il avait embrassé de bonne heure l’état monastique. Venu plus tard en Palestine, où l’hérétique Eutychès avait fait un certain nombre de prosélytes, il eut le malheur de suivre un instant celui-ci dans ses erreurs ; mais, ramené bientôt dans la bonne voie par le saint abbé Euthyme, et pénétré de douleur pour une faute dans laquelle il était tombé de bonne foi, il résolut de consacrer le reste de sa vie à la pénitence et à l’expiation la plus rigoureuse.
Dans ce but, il se retira sur les bords du Jourdain, et là, à un quart de lieue du fleuve à peu près, du côté de Jéricho, il s’arrangea une modeste cellule et commença une vie de jeunes et de mortifications de toute sorte. Son austérité était telle, qu’on raconte qu’il passait tout le temps du carême sans manger.
Attirés par la renommée de ses vertus, un grand nombre de disciples affluèrent bientôt de toutes parts et se rangèrent sous la direction du saint pénitent. Chacun d’eux avait sa cellule séparée, et ils ne communiquaient entre eux que deux jours par semaine, le samedi et le dimanche. Ces jours-là, le repas, car ils ne s’en permettaient qu’un seul, était pris en commun, et Gérasime édifiait ensuite les religieux par ses pieuses exhortations.
Parmi les épisodes miraculeux de cette longue vie de sanctifications, le plus touchant est l’histoire du fidèle lion Jourdain, dont Jean Mosh, qui visita Gérasime dans sa retraite et écrivit sa vie, nous garantit lui-même l’authenticité.
Un jour que le Saint méditait pieusement sur les bords du Jourdain, il vit venir à lui un énorme lion qui poussait des rugissements de douleur et paraissait marcher difficilement. A mesure que l’animal approchait, Gérasime s’aperçut qu’il ne s’appuyait que sur trois pattes et que la quatrième, qu’il tenait en l’air, semblait le faire souffrir à chaque mouvement qu’il faisait. Le lion, étant arrivé tout près du Saint, jeta sur lui un regard suppliant en lui montrant sa patte blessée. Le bon Gérasime prit la patte que la pauvre bête lui tendait, et aperçut une grosse épine, qui avait formé une plaie déjà ancienne : il la retira avec précaution, lava la plaie, et le blessé se trouva aussitôt soulagé.
Après avoir caressé l’animal, Gérasime voulut le renvoyer vers le désert d’où il était venu, mais le lion se mit à lui lécher les mains, se coucha à ses pieds et refusa de s’éloigner. A partir de ce jour, il s’attacha à son bienfaiteur, le suivant partout comme un chien, et s’efforçant de se rendre utile aux religieux de Gérasime. Jourdain, tel était le nom que le Saint avait donné à son compagnon, vivait de la vie des religieux, se contentant comme eux de pain, de lait et de légumes cuits ; et il ne faisait de mal à aucune créature, comme s’il eût compris que cela eût affligé son maître !
Une des principales fonctions du bon Jourdain était de faire l’office de berger : c’était à lui qu’on confiait la garde de l’âne du monastère lorsqu’on envoyait celui-ci paître sur les bords du fleuve, et l’on peut croire que jamais âne ne fut mieux gardé !
Il arriva pourtant qu’un jour, le lion ayant oublié un instant sa consigne pour aller faire un petit tour au désert voisin, un voleur profita de son absence pour s’emparer de l’âne. Le soir, lorsque notre gardien, qui n’avait plus trouvé l’âne à son retour, dut rentrer seul au monastère, il avait l’oreille bien basse et paraissait tout honteux. En le voyant revenir sans son compagnon, Gérasime crut la faute encore plus grave, et il lui était bien permis de faire ce jugement téméraire ! Il soupçonna le pauvre Jourdain d’avoir mangé l’animal dont il avait la garde. Le lion, qui ne pouvait malheureusement s’expliquer, reçut une verte semonce, et, en punition du crime dont on le croyait coupable, il fut condamné à remplir à l’avenir les fonctions de l’âne, et à servir lui-même de bête de somme.
La punition fut acceptée sans murmure, mais heureusement elle ne dura pas bien longtemps, et l’innocence de Jourdain ne tarda pas à être reconnue. A quelques jours de là, en effet, le voleur, qui ne savait point au préjudice de qui il avait commis le vol, eut l’occasion de passer sur le bord du fleuve avec l’âne. Le lion, qui se trouvait non loin de là, reconnut son compagnon et s’empressa d’accourir à sa rencontre. Le voleur effrayé s’enfuit, et Jourdain ramena l’âne au monastère, où, tout fier d’avoir fait éclater ainsi son innocence, il fut fêté par tout le monde et rentra en grâce auprès du Saint.
Il y avait cinq ans que le fidèle Jourdain vivait ainsi dans la compagnie de Gérasime, lorsque celui-ci mourut. La douleur du lion fut cruelle : le pauvre animal ne faisait que pousser des rugissements plaintifs, et restait insensible aux caresses que les religieux, pris de compassion, s’empressaient de lui prodiguer. Couché sur la tombe de son bienfaiteur, il refusa toute nourriture, et, au bout de quelques jours, il mourut de douleur et de faim, sans avoir voulu abandonner un seul instant son poste : « Et, écrit l’historien Jean Mosch, sans cesser ses rugissements, il mourut sur la tombe du vieillard. Et rugiens ita continuo defunctus est super sepulcrum scnis. »
Extrait du livre « les Saints et les animaux » d’Henri BOURGEOIS.
Comme sainte Rose, dont il était le contemporain, le Bienheureux Martin de Porrès était né à Lima, et lui aussi fut un ami des animaux, qu’on a chaque instant mêlés aux épisodes de sa merveilleuse histoire.
Destiné tout d’abord a exercer la profession de chirurgien, il avait bientôt abandonné la lancette pour entrer dans l’Ordre de Sain Dominique, où il ne voulut jamais être que simple frère servant. Rempli d’affection pour les animaux, il semblait avoir surtout une sorte de prédilection pour les plus faibles, pour ceux qui étaient malheureux, souffrants ou abandonnés : c’est à eux principalement, qu’à l’exemple du bon Saint François, il aimait à donner le nom de frères. Comme autrefois Saint Blaise, il utilisait à leur service les connaissances médicales qu’il avait acquises, et ce bon religieux ne rougissait point de s’entendre appeler le médecin des bêtes. L’auteur de sa vie, le Père Vincent de Modène, nous a conservé une foule de traits charitables de sa part en faveur d’animaux blessés.
Le premier animal qu’il secourut ainsi fut un pauvre chien qu’il avait rencontré dans une de ses courses, à moitié assommé par des vauriens et tout sanglant. Il le recueillit, le ramena avec lui au couvent où, après lui avoir prodigué les soins les plus affectueux, il finit par le guérir. Le chien, reconnaissant, s’attacha à son sauveur et ne voulut plus le quitter. Ne nous moquons donc point des refuges entretenus par la Société protectrice des animaux, puisque les Saints eux-mêmes ont donné l’exemple aux disciples de M. de Grammont !
Une autre fois, ce fut un oiseau de proie, également blessé, que notre Bienheureux recueillit, entoura des mêmes soins et parvint aussi à guérir. De ce jour, Frère Martin eut deux amis et deux compagnons fidèles, car l’oiseau ne fut pas moins reconnaissant que le chien.
La bonté de Martin était telle, qu’il alla, dans une autre circonstance, jusqu’à prendre fait et cause pour des souris contre deux des religieux de son couvent. J’emprunte textuellement ce touchant épisode à l’un des biographes du Bienheureux :
« Les souris en question, dit notre auteur, « avaient fait d’incroyables dégâts dans la sacristie de l’église du couvent : beaucoup de linges, de riches ornements, avaient été mis en lambeaux. Le frère sacristain s’apprêtait à mettre en jeu tous les engins de guerre imaginables pour exterminer cette race maudite : « Ne le faites pas, mon frère, » lui dit le Bienheureux Martin en l’abordant avec douceur, « ne le faites pas ! Les souris ne sont-elles pas aussi des créatures de Dieu ? Les pauvres bêtes n’ont-elles pas à souffrir, toutes les fois qu’elles ne trouvent pas de quoi vivre ? » Puis il prit un panier, le plaça au milieu de la sacristie et se mit en prière.
Sa prière finie, il prit un air de commandement et ordonna à toutes les souris, autant qu’il y avait en ce lieu, de sortir de leurs refuges, de leurs trous, de leurs réduits, et de venir se rassembler toutes dans le panier. Aussitôt dit, aussitôt fait : c’était à qui accourrait le plus vite ; de tous les coins et recoins, par toutes les issues, on vit les souris, grandes et petites, venir où elles étaient appelées.
Alors le Bienheureux Martin prit le panier et les emporta dans un coin du jardin ; il leur recommanda d’y rester et se chargea lui-même de pourvoir fidèlement à leur nourriture. C’était profit pour tous, et pour les souris et pour le frère sacristain.
Mais la sacristie ainsi délivrée, l’infirmerie ne l’était pas, et les souris y faisaient de tels ravages que le frère sous-infirmier jura, à son tour, de leur faire une guerre à mort. « Eh quoi ! » lui dit le bon frère Martin, « si vous leur donniez à manger comme on vous le donne, elles ne vous feraient aucun mal. » Dans ce moment, il aperçut une de ces timides et malheureuses petites bêtes : « Ma sœur la souris, lui dit-il, vous n’êtes pas bien ici, vous n’y êtes pas en sûreté ; va donc avertir toutes tes compagnes qu’elles s’en aillent toutes dans le jardin où sont les autres ; je leur donnerai chaque jour ce qui leur sera nécessaire, et désormais, elles ne courront plus le risque d’être prises et tuées à chaque instant. »
A ces mots, la messagère obéissante partit, parcourant les toits, les caves, les greniers, le derrière de tous les meubles ; et bientôt, sur son avis, de toutes les parties de la maison sortirent des souris ; elles franchirent les corridors, traversèrent le cloître, et toutes se réunirent dans la partie du jardin qui leur était assignée. Là, le Bienheureux en prit soin, et pas un jour il ne manqua de porter à manger à cette colonie de petits animaux ordinairement si nuisibles et devenus entièrement inoffensifs.
Le touchant miracle qui précède a donné lieu à une pieuse coutume : on ne représente jamais le Bienheureux qu’entouré de souris sur les images qui lui sont consacrées, et il est de tradition, qu’il suffit de placer l’une de ces images dans une maison pour que souris et rats disparaissent aussitôt. Et voilà comment le Bienheureux Martin de Porrès est invoqué, depuis sa mort, contre les petites souris, dont il avait été le zélé protecteur de son vivant !
Extrait du livre « les Saints et les animaux » d’Henri BOURGEOIS.
Issu d’une puissante et illustre famille de la Souabe, Meinrad naquit en 797. Son père, un seigneur du nom de Berthold, était allié aux Hohenzollern. Confié tout enfant par ses pieux parents aux Bénédictins de l’abbaye de Reicheneau, le jeune saint se fit religieux dans le monastère où il avait reçu son éducation et y fut d’abord employé lui-même à instruire la jeunesse. Mais, au bout de quelque temps, il obtint de ses supérieurs la permission de mener la vie de solitaire et se retira dans une forêt de la Souabe.
En traversant la forêt, il rencontra un nid de corbeau dans lequel se trouvaient deux petits. Résolu d’en faire ses compagnons, il les prit doucement dans un coin de son manteau et les emporta avec lui dans la cellule qu’il se construisit non loin de là, près de la rivière de Shil. Il les éleva avec beaucoup de soin et les eut bientôt apprivoisés.
Sa cellule était à ses yeux la demeure la plus belle, la plus agréable du monde. Soit qu’il se prosternait la face contre terre pour adorer son souverain Maître, soit qu’il se promenât dans son étroit vallon, livré à de saintes méditations, soit qu’il s’assît au seuil de sa cabane, un livre pieux sur les genoux, tandis que ses deux corbeaux jouaient autour de lui et venaient se reposer familièrement sur ses épaules, Meinrad était heureux. »
D’ailleurs il exerçait sur la nature l’empire souverain que le premier homme avait avant sa déchéance. Au moins signe de sa main, les aigles et les ours accouraient plein de douceur auprès de lui, ou se retiraient pour ne point troubler ses prières. Quand les roches grises du Mythen et les glaciers de Glarnisch commençaient à s’illuminer des premiers rayons du soleil, quand les feuilles humides frissonnaient sous l’haleine du matin, la voix du solitaire s’élevait grave et sainte dans le silence ; aussitôt lui répondaient le merle caché dans les sapins, le pinson perché sur la cime des hêtres, le rouge-gorge se balançant sur la branche du mélèze, et, pendant que ce pur concert s’élevait vers le ciel, chaque plante offrait ses parfums, la forêt encensait Dieu de ses vapeurs embaumées.
La sainteté du solitaire, affirmée par de nombreux miracles, n’avait pas tardé à lui attirer des admirateurs, et bientôt ce fut un concours extraordinaire de pèlerins autour de sa cellule. Les malheureux venaient chercher près de lui des consolations et des conseils, les riches lui apportaient de nombreuses offrandes qu’il s’empressait de distribuer aux pauvres, et il était la providence de toute la contrée.
Ecoutons maintenant le savant historien Dom Brandes, qui va nous raconter comment notre saint fût lâchement assassiné par deux malfaiteurs et vengé par ses fidèles corbeaux :
« Il y avait vingt cinq ans que Meinrad se préparait à la mort dans la solitude. Deux hommes, l’un né dans le pays des Grisons et qui s’appelait Pierre, l’autre né en Souabe, qui s’appelait Richard, résolurent de l’assassiner pour avoir ses trésors, croyant qu’il conservait, au lieu de les distribuer aux pauvres, les riches présents qu’il recevait tous les jours. Ils se donnèrent rendez-vous non loin du lac de Zurich, dans une auberge d’Endigen, où plus tard fût bâti Rapperwil, et ils y passèrent la nuit.
Au point du jour, ils prirent le chemin de l’Etzel, et se dirigèrent vers la forêt. C’était le 21 janvier 861. Pendant longtemps ils errèrent à travers les bois, car la neige couvrait tous les sentiers. Cependant le démon, qui leur avait inspiré leur fatal projet, les conduisit enfin en face de l’ermitage. A leur approche, les deux corbeaux de Meinrad poussèrent des cris perçants, et, comme s’ils avaient eu le sentiment du crime que méditaient les deux brigands, ils se mirent à voleter autour de la cabane avec tous les signes de la frayeur, tellement que les meurtriers, ainsi qu’ils l’avouèrent plus tard, furent très surpris de les voir et eurent un pressentiment qu’il y avait quelque chose de merveilleux et de providentiel dans cette conduite extraordinaire des deux oiseaux.
Cependant les deux assassins persistèrent dans leur projet et arrivèrent à la porte de la chapelle. Le jour était déjà un peu avancé, le Saint, selon sa pieuse coutume, avait passé une grande partie de la matinée en prières et en méditations ; il avait célébré la messe devant l’image de la Vierge, et Dieu lui avait révélé que le moment de sa mort était venu ; alors il prit le corps de Jésus-Christ comme le viatique du mourant, et, dans une sainte extase, il remercia Dieu de la grâce qu’il lui accordait ; il se recommanda à Marie et aux Saints, puis il pria pour ses deux meurtriers.
Ceux-ci, pendant ce temps, le regardaient par une fente de la cloison. Ils frappèrent à la porte ; Meinrad se leva, alla leur ouvrir, les reçut avec une bonté cordiale et leur dit : « Mes amis, si vous étiez venus plus tôt, vous auriez pu assister à la sainte messe. Entrez et priez Dieu et les Saints de vous bénir. Venez dans ma cellule, je partagerai avec vous les petites provisions que j’ai encore ; vous accomplirez ensuite le projet qui vous a amenés près de moi. »
Les meurtriers entrèrent quelques minutes dans la chapelle ; puis, comme s’ils craignaient de voir échapper leur victime, ils s’élancèrent dans la cellule. Meinrad vint au devant d’eux, le sourire sur les lèvres, et leur offrant les mets frugaux dont ils pouvaient disposer. Alors donnant à l’un son manteau et à l’autre sa tunique : « Recevez ceci, leur dit-il, comme souvenir de moi, et quand vos desseins seront accomplis, vous prendrez tout ce que vous voudrez. Je sais que vous êtes venus pour me mettre à mort. Quand vous m’aurez tué, placez ces deux cierges que j’ai préparés exprès, l’un à ma tête, l’autre à mes pieds, et fuyez au plus vite pour ne pas être arrêtés par ceux qui viennent me voir et qui vous feraient expier votre crime. »
Insensibles à tant de bonté et de charité, les monstres saisissent le Saint et le frappent à coups de masse redoublés sur la tête. Meinrad tombe, respirant encore ; les meurtriers l’achèvent sans pitié ; Au moment où le dernier souffle s’exhale de son corps meurtri, un parfum plus suave que l’odeur de l’encens se répand dans toute la cellule, et cette âme si belle, si pure, portée sur les ailes des anges, s’élance dans le sein du Très-Haut.
Leur forfait achevé, les deux brigands dépouillent leur victime de ses vêtements ; ils étendent son cadavre sur un lit d’herbes sèches au coin de la cellule, le recouvrent d’une toile grossière et d’une natte de joncs ; puis, plaçant l’un des cierges à la tête, ils vont allumer l’autre à la lampe de la chapelle, qui brûlait toujours à côté de l’autel. Quand ils revinrent à la cellule, le cierge qu’ils avaient laissé sans flamme auprès du cadavre était allumé et brûlait. Une crainte subite les saisit, et ils prennent précipitamment la fuite.
Les deux fidèles corbeaux se mettent alors à leur poursuite et remplissent la forêt de leurs cris menaçants. Comme s’ils avaient mission de venger la mort de leur bienfaiteur, ils s’élancent sur la tête des meurtriers et tâchent de leur crever leurs yeux. Toujours poursuivis et de plus en plus effrayés, ceux-ci passent à Wollereau, où ils rencontrèrent un charpentier qui le premier avait visité Meinrad et qui avait avec lui des relations amicales très suivies.
Le charpentier, reconnaissant les corbeaux de son père spirituel, pressent un malheur, et tandis qu’il recommande à son frère de ne pas perdre la trace de ces deux hommes qui fuient devant les corbeaux, il court lui-même à l’ermitage de la forêt, où il trouve le cadavre sanglant du Saint. Le cierge qui brûlait à ses pieds avait fini par mettre le feu à la natte, mais la flamme s’arrêta subitement dès qu’elle atteignit le corps.
Remis de son premier mouvement d’horreur, le charpentier revient en toute hâte à Wollereau, où il répand la nouvelle du meurtre de Saint Meinrad. Il charge son épouse et plusieurs de ses amis d’aller veiller auprès du cadavre, et lui-même se dirige vers Zurich à la poursuite des assassins. Il ne tarda pas à les trouver ; les cris furieux des deux corbeaux qui voletaient devant les fenêtres d’une maison et frappaient les vitres à coups de bec pour qu’on leur ouvrît, lui indiquèrent le lieu où se cachaient les fuyards. Il entre et aussitôt reconnaît les deux assassins. En un instant, ils sont saisis et livrés à la justice.
Leurs aveux firent connaître les circonstances qui avaient précédé et accompagné la mort du Saint. Le comte Adalbert les fit condamner à mort par les tribunaux du district. Ils furent roués et brûlés, et on jeta leurs cendres dans la Limmat.
Les deux corbeaux, après le supplice des meurtriers, reprirent leur vol vers la forêt. L’auberge où furent pris les malfaiteurs porta dès cette époque pour enseigne : Aux deux corbeaux.Depuis peu de temps seulement, elle a changé son nom historique en celui d’Hôtel Bilharz.
Extrait du livre « Les Saints et les animaux » d’Henri BOURGEOIS.
MESSAGE DU 6 FEVRIER 1970
Premier Vendredi du mois
Mes enfants, je suis ici avec mon Fils Jésus qui est le Roi des Rois. Il vient apporter la paix, l’amour, la joie. Unissez-vous et soyez toujours unis à lui surtout en votre cœur. Jésus vous donnera les grâces. Il vous donnera le réconfort, la consolation. Jésus est avec vous, Jésus a institué l’eucharistie pour venir en vos cœur avec son corps et son sang, pour être adoré, remercié, aimé de tous mes enfants.
Frappez, frappez quand vous recevez Jésus. Dites à Jésus de vous sanctifier, de vous purifier pour le ciel, de vous donner toutes les grâces qui vous sont nécessaires, d’abord pour l’âme et puis pour le corps.
Jésus est Miséricordieux, Jésus est Juge. Si vous demandez pardon, vous serez pardonnés mais si vous n’écoutez pas son invitation, vous serez jugés.
Courage mes enfants ! Votre cœur doit brûler d’amour pour Jésus et pour moi. Repentez-vous, écoutez-moi, ne marchez pas sur la voie du mal car vous êtes sur le bord du précipice. Revenez, revenez repentis entre mes bras car je suis Mère d’amour, de pardon et de miséricorde. Je vous aime tellement, tellement mais je veux être aimée de mes enfants, je veux être connue de tous mes enfants du monde.
Je vous appelle, mes enfants, je vous appelle à la prière et à la pénitence parce que beaucoup de mes enfants se perdent et je pleure tant. Je vous veux tous sous mon manteau.
Demain, ce jour dont je vous ai parlé en vous annonçant les premiers samedis du mois. Je viendrai avec un manteau plus grand pour couvrir tous mes enfants du monde, pour les éclairer, pour les enrichir de grâces, pour donner tout mon amour. Et vous, donnez-moi tout votre cœur : je l’étreindrai contre moi, vous sauverai.
Demandez des grâces, demandez-moi des grâces ! Avant tout, celle d’entrer en Paradis et de faire ma volonté et celle de mon Fils, et non la vôtre, d’être toujours humbles et de m’aimer beaucoup. Je suis Mère de tous, je suis la Co Rédemptrice, je suis la Dispensatrice, je suis l’Avocate.
Quand vous vous présenterez au tribunal de Dieu, je serai votre Avocate, je vous soutiendrai et dirai à mon fils de vous pardonner et de vous emporter dans le Royaume des Cieux.
Si vous écoutez, si vous m’aimez, si vous pardonnez, vous serez pardonnés. Vos Anges Gardiens vous assisteront sur cette terre et au long du voyage du ciel.
Saint Michel Archange sera votre défenseur dans les batailles, surtout à votre dernière heure car le démon fera tout pour vous ravir mais moi, je serai à vos côtés avec votre Ange gardien, avec Saint Michel et son épée qui vous donnera une claire lumière pour atteindre le port sûr. Promettez mes enfants, de m’aimer beaucoup. Promettez de m’aimer pour ceux qui ne m’aiment pas, pour ceux qui ne veulent pas me connaître car je viens en ce lieu parce qu’il y a beaucoup de fange dans le monde, pour appeler tous mes enfants, les bons comme les méchants, pour les purifier et les sanctifier.
Priez, priez pour le Saint Père qui souffre beaucoup, beaucoup. Ces temps-ci, très angoissé, il pleure tant à cause de ses fils qui ne l’écoutent pas. Il pleure nuit et jour, il implore l’aide, le réconfort du Père Eternel, il demande miséricorde, il demande pardon pour tout le monde.
Aussi, vous, réunissez-vous tous, enfants de la terre, réunissez-vous tous à l’église de Pierre, dans la paix, dans l’amour, dans le pardon et vous serez pardonnés, vous serez aidés. Je ne manquerai pas de répandre sur vous les grâces, je ne manquerai pas de vous aider mais surtout à votre dernière heure, je viendrai vous accueillir dans mes bras et mettrai beaucoup de joie en votre cœur afin que votre départ soit une grande joie pour le ciel.
En avant toujours, avec Jésus et avec moi et vous serez toujours heureux sur cette terre et vous vous trouverez heureux dans la gloire du Paradis.
Au Nom de mon Fils Jésus et du Père Eternel, je vous envoie une forte bénédiction qui vous assiste dans la vie et dans la mort, toujours avec moi jusqu’à ce que je vous aie dans la Patrie Céleste.
MESSAGE DU 7 FEVRIER 1970
Premier samedi du mois
Mes enfants, j’éprouve tant de joie aujourd’hui ! Je suis ici avec tous les Anges et les Saints et avec tant de consacrés que je suis allée retirer du purgatoire grâce aux nombreuses messes qu’a fait célébrer mon instrument pour tant de consacrés au purgatoire parce qu’ils avaient abandonné, par oubli, des messes mais grâce à ces messes, j’en ai sauvé beaucoup.
Avec moi, tous sont ici. Il y aussi le Père Eternel qui bénit, inspire, éclaire.
J’ai là devant moi tant de consacrés, même de rang élevé, qui écoutent ma parole de Mère. Je suis la Reine des apôtres, je suis la Mère de l’église et c’est vous-mêmes, mes fils de prédilection, qui m’avez déclarée Mère de l’église.
Je suis la Reine des apôtres, je suis la Mère de mes prediletti que j’aime tant. Je voudrais que tous les jours, ils soient autour de moi, qu’ils aient la foi pour me comprendre. Il vous a donné l’amour, vous êtes les frères de mon fils Jésus. Vous avez lu ce que dit l’Evangile.
Le Père Eternel m’a envoyée en ce lieu parce qu’il y a tant de boue dans le monde. Il m’envoie sur la terre pour sauver mes enfants, tous, les bons comme les méchants parce que je les aime tous, mes enfants ! Je veux vous donner consolation, paix, pardon et répands tant de grâces en ce jour, pour tous.
Et j’ai délivré tant, tant d’âmes qui prient pour vous, qui implorent pour vous grâces, miséricorde et pardon. Soyez forts, mes enfants, soyez forts dans la foi et demandez pitié et miséricorde au Père Eternel, qu’il fasse miséricorde à mes enfants d’ici-bas. Je suis ici avec vous mes enfants et ma joie est bien grande de voir que tant de mes fils ont écouté mon invitation de Mère ! J’ai envoyé tous les Anges gardiens éclairer mes enfants du monde pour qu’ils viennent à mes pieds et que je les console, les enrichisse de grâces, d’amour pour moi et pour mon Fils Jésus tout flagellé par tant de graves péchés et tant de sacrilèges qui se font dans le monde.
Demandez pardon, mes enfants, pour vous et pour tous, pour ceux qui ne veulent pas me connaître, pour ceux qui ne veulent pas m’aimer, qui ne veulent pas me reconnaître pour Mère, pour Reine, Mère de l’univers, Mère de tous mes enfants car je vous couvre tous de mon manteau, je veux tous vous étreindre contre moi, je veux que votre vie soit heureuse, sereine mais avec Jésus. Toujours joyeux mais sans pécher, mes enfants ! Il faut avoir la joie mais la joie avec Jésus et avec moi. Avec le rosaire dans vos mains, mes enfants, avec Jésus en votre cœur, vous serez prêts à tout accepter, tout ce qui viendra.
Je vous donnerai force et courage pour vaincre les tentations car le démon fait tant de carnage dans le monde sur mes enfants.
Saint Michel et son épée avec tous les Anges et les Saints du Ciel, arriveront sur cette terre pour faire la bataille contre satan et moi, avec ma puissance, j’écraserai satan et vous sauverai tous.
Soyez forts, mes enfants, donnez-moi tous vos cœurs, tout votre esprit, tous vos péchés, tout votre être. Je suis votre Mère aimante qui pardonne.
Mes enfants, je vous aime tellement, tellement, d’un grand amour. J’ai tellement pitié de vous. Aussi, demandez pitié et miséricorde.
Je vous soulagerai de tant d’angoisses, convertirai beaucoup de pécheurs et sauverai tant d’âmes.
Je vous ai assistés le long de la route. Avec vos prières, de joie et d’amour, je vous suivrai avec les Anges et les Saints.
Courage, mes enfants, courage ! Ne vivez que pour Jésus et pour Marie et vous serez heureux ici sur cette terre et au ciel. Si Jésus vous a mis sur cette terre, ce n’est pas pour penser à la terre : vous devez penser qu’un jour, vous vous trouverez là-haut dans la Patrie Céleste avec les Anges et avec les Saints.
Mes fils de prédilection, travaillez à devenir saints, grands saints, vite saints car avec vous, vous entraînerez vers moi beaucoup d’âmes, dans la paix et dans l’amour. Ils comprendront, vous aimeront et vous les guiderez tous pour l’éternité.
Priez beaucoup, tous unis au Saint Père Paul 6, qu’il soit fort dans le combat, qu’il ait la force de parler clairement pour sauver tous ses fils. Priez pour lui, priez, mes enfants, priez pour lui qui en a tant besoin ! Il est sous la croix avec Jésus, il ne vit que pour Jésus. Il a tant de luttes à subir, tant de persécutions, tant de croix ! Que de larmes il répand pour ses fils !
Priez, priez, priez, que tous puissent revenir repentis entre mes bras. Que puisse s’établir le triomphe de l’église. Et le règne de Jésus viendra sur cette terre avec mon triomphe : avec Jésus et Marie votre Mère, Reine du ciel et de la terre.
Au Nom du Père Eternel, je vous donne une forte bénédiction qui vous assistera dans la vie et dans la mort.
Mes prediletti, cette bénédiction que je donne au Nom du Père Eternel, donnez-la à toutes les âmes qui s’approchent de vous avec beaucoup d’amour et une grande douceur.
Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ! Amen !
Que les consacrés donnent la bénédiction à tous mes enfants du monde, proches et éloignés.
MESSAGE DU 17 FEVRIER 1967
Mes enfants, dites aux curés de faire des heures d’adoration pour apaiser ces grands fléaux, ces inondations et ces avalanches de neige. Je distribue tant de grâces aux présents, pour les sacrifices qu’ils ont faits pour venir ici.
Courage mes enfants, courage dans les épreuves ! Soyez forts : plus les luttes seront fortes, plus je viendrai avec une grande lumière qui illuminera tout le monde et vous, vous serez heureux et contents dans votre cœur. Je vous donnerai tant de bonheur, je vous donnerai tant de joie, mes enfants, d’avoir écouté ma parole, d’être venus ici en ma présence.
Je vous donnerai tant de faveurs matérielles et celle plus grande d’arriver au ciel en ma compagnie. Je vous le promets mes enfants : vous serez heureux en cette vie et plus dans l’autre où vous jouirez de la félicité éternelle. Priez et ayez confiance en moi. Portez la croix avec Jésus. Suivons la voie du calvaire, Jésus a souffert plus que vous. Votre Maman Céleste souffre tant encore en ce jour parce qu’on n’écoute pas ma parole. Je vous veux tous sous mon manteau mes enfants. Je ne veux pas qu’un seul se perde parce que mon Fils Jésus est mort en croix pour les sauver tous et maintenant, ils n’écoutent plus personne. Priez et ayez confiance en moi. Ne craignez pas : au long de votre voyage, je vous enverrai l’Ange gardien avec les trois Archanges qui vous suivront, vous assisteront, vous défendront de tout danger. Agrippez-vous à moi et ne craignez pas, je suis votre Maman d’amour, de paix et de miséricorde, la Médiatrice de tous, la Consolation de tous, la Joie de tous ceux qui y recourent. Cette neige, mes enfants, ce sont toutes les grâces que je veux répandre sur le monde. Je viens pour vous sauver, je viens pour apporter joie, pour apporter consolation. Préparez-vous mes enfants, à ma venue. Préparez-vous avec la foi et avec grande joie dans le cœur. Préparez-vous ! Préparez-vous, je ferai tout pour vous consoler, pour tant vous aimer. Et vous, donnez amour à Jésus, donnez-lui tout vous-mêmes, vos péchés également, tout et consolez-le. Jésus enflammera vos cœurs.
Cette croix si brillante (dans le ciel) sera la croix que vous devrez porter avec Jésus mais si vous avez votre cœur si brûlant, si enflammé d’amour pour lui et pour moi, vous n’en sentirez pas le poids. En cette époque, mes enfants, faites souvent le chemin de la croix, méditez-le. Faites-le pour les consacrés, qu’ils aient la lumière et fassent triompher la Maman Céleste. Priez pour mes enfants de prédilection, priez tant, je ne vous abandonnerai pas. Ayez confiance en moi, je vous donnerai tant de consolation et tant d’amour. Je vous le promets mes enfants, je vous le promets.
Vous, promettez-moi de m’aimer beaucoup, d’être forts, de vous vaincre vous-mêmes même s’il vous en coûte des sacrifices. Quand, mes enfants, vous sentez l’inspiration de votre Maman du Ciel qui vous appelle, laissez tout. Venez à mes pieds, je vous attends et veux vous donner des grâces. Ecoutez mes inspirations, mes enfants, écoutez-moi.
Je vous annonce encore de vous préparer à ma venue par la prière, le sacrifice, la pénitence et la réception de Jésus Eucharistie, souvent.
Préparez donc votre cœur : Jésus enflammera votre cœur. Saints, c’est saints que je vous veux mes enfants, de grands saints. Soyez forts dans la foi. Ne vous laissez pas vaincre par les tentations car le démon est prêt maintenant à combattre fort dans le monde pour vaincre les âmes. Ne vous laissez pas abattre, tenez-vous près de Jésus Eucharistie, qui vous donnera la force, qui vous donnera le soutien, qui vous donnera tout. Aimez-vous les uns les autres.
Apportez la paix, la tranquillité dans les familles, avec la récitation du rosaire. Votre Maman ne vous abandonne pas. Elle vous assiste maintenant et d’heure en heure, vous défend de tout danger. Je vous le promets, mes enfants, je vous le promets, je vous donnerai grâces ici sur la terre et là-haut dans le ciel. Au revoir, mes enfants, au revoir souvent à mes pieds. Je vous donnerai tant de grâces et de consolations.
MESSAGE DU 19 FEVRIER 1966
La Maman Céleste :
Mes enfants, je suis ici en votre présence et je veux vous annoncer une grande nouvelle : je viendrai bientôt. Je viendrai bientôt vous donner une grande lumière. Venez ici, à mes pieds. C’est moi qui suis ici. Ne doutez pas de moi. Vous qui êtes venus ici, dans la pluie, dans le brouillard, dans la neige, il ne vous est jamais rien arrivé. Vous voyez ? Je vous donne aide, je vous donnerai réconfort.
Priez mes enfants ! Priez ! Ici à mes pieds, nuit et jour. Réunissez-vous pour prier. Ici, il y a mon instrument qui vous écoute ! Réunissez-vous pour prier car les fléaux seront terrifiants ! Venez, la Maman vous attend. C’est moi qui vous donne le baiser de l’amour, du pardon, le baiser de la réconciliation ! Ayez la foi et vous serez sauvés ! Priez, priez, je veux votre salut à tous ! Jésus a tant souffert pour vous sauver ! Jésus fait miséricorde. Il vous donnera le baiser de l’amour, le baiser de la miséricorde. Mes enfants, priez le Père Eternel. Faites une belle neuvaine au Père Eternel afin qu’il fasse miséricorde ! Que tous aient la lumière !
Je suis la Mère de l’amour, la Maman de tous ! Venez ici, ne doutez pas de ma présence. Je veux que vous soyez tous sauvés. Vous êtes tous mes fils, les méchants et les bons. Je vous écoute tous. Il me suffit d’un coup d’œil et je vous comprends. Faites des réunions de prière. Priez le Père Eternel.
« Père Eternel, je vous offre le corps, le sang très précieux de Jésus Christ, en échange de mes péchés, pour la conversion des pécheurs et à l’intention des âmes saintes du purgatoire ». Et quand vous commencez cette prière, invoquez tous les Anges, les Saints, les Chérubins, les Séraphins du Paradis afin qu’ils vous aident dans la prière pour le salut du monde. Jésus aussi fera miséricorde.
Agrippez-vous à moi, mes enfants, avec foi. Cette vie finira mais l’éternité, jamais ! Je pleure de voir un si grand nombre de mes fils s’en aller à la perdition. Mon cœur pleure sous tant d’amertume. Spécialement pour la jeunesse. N’abandonnez pas le saint rosaire : le rosaire est la couronne qui conduit au ciel ! Envoyez l’Ange gardien partout dans le monde, à ces innocents qui meurent de faim afin qu’ils aient réconfort.
Priez, priez pour le Saint Père qui souffre beaucoup. Priez pour tous. En ce mois spécialement, en ce carnaval, Jésus est encore plus transpercé de clous et martyrisé. Mes enfants, priez et la bénédiction que vous recevrez maintenant, envoyez-la, par votre Ange gardien, partout dans le monde. A tous les gouvernants afin qu’ils puissent avoir la lumière. Servez-vous de votre Ange gardien, ne le laissez pas inactif, envoyez-le à tous !
Mes enfants, je vous demande encore un petit sacrifice : faites un quart d’heure d’adoration par jour, en ce mois, pour tous ceux qui sont dans la boue. Faites-le avec foi, faites cette mortification. La Maman Céleste vous donnera joie et lumière sur votre chemin. Venez ici, toujours, de jour et de nuit : je vous donnerai lumière et consolation. Venez maintenant que le temps est beau. Venez, mes enfants, ici, en ma présence. Je viendrai toujours, le Père Eternel me l’a promis, tous les vendredis, tant qu’il y aura mon instrument. Puis je viendrai tous les premiers vendredis du mois jusqu’à la fin du monde ! Priez et vous obtiendrez tout ! Maintenant, je vous donne une forte bénédiction pour tous ceux qui sont dans la boue afin qu’ils puissent avoir la lumière.
MESSAGE DU 24 FEVRIER 1967
Mes enfants, pourquoi vous faites-vous tant de soucis pour venir à mes pieds ? Ne vous préoccupez pas du brouillard, de l’eau, de la neige, de la glace. Je suis, moi, toujours près de vous, qui vous suis. Depuis deux ans et plus que vous venez à mes pieds, vous n’avez eu aucun accident. Pourquoi ne venez-vous pas ? Pourquoi n’avez-vous pas une forte foi, la constance pour venir à mes pieds alors que je vous attends tellement ? Je suis votre Maman du Ciel qui vous aime tant, tant, parce que je veux que vous soyez tous sauvés, bons et mauvais, tous. Je vous veux avec moi. Aimez-vous les uns les autres, apportez-vous l’amour. Apportez l’amour à tous. Consolez-vous les uns les autres : je serai toujours à vos côtés, je veillerai sur vous. Jésus veut votre amour, il veut votre cœur parce qu’il veut l’enflammer d’amour. Priez, mes enfants, priez. Préparez vos cœurs avec une grande foi, en recevant Jésus Eucharistie. Préparez-le à ma venue avec un grand amour, la prière, la pénitence. Préparez-vous bien, mes enfants, je vous donnerai lumière, je vous donnerai tant de grâces que je répandrai sur votre chemin.
Ne doutez pas, mes enfants, ne doutez pas de ma promesse, je suis ici à vos côtés, je vous distribue des grâces, je vous distribue la joie. Demandez les grâces avec foi, je vous donnerai tout parce qu’une Maman fait tout pour ses enfants.
Je viens sur cette terre pour pleurer avec vous, pour intercéder avec vous, pour que le Père Eternel ait pitié et miséricorde. Je me promène avec vous. Voyez mes enfants, que de réunions de prières je fais pour obtenir la paix, le calme dans les cœurs, dans les familles, dans les nations. Mes enfants de prédilection, adressez-moi une parole. Que me demandez-vous, à moi qui vous aime tant ? Je vous veux saints, grands saints. Je veux que vous alliez dans le monde apporter la paix, la joie à tous. (Une voix dit : le triomphe du règne du Christ dans le monde !). Cela tient à vous, à vous mes enfants, avec vos prières, avec votre pénitence. Marie viendra, Jésus viendra. Le règne de Jésus et de Marie, qui triompheront en tout et partout. Préparez vos cœurs et votre âme pleine de blancheur. Préparez-la à la venue, je viendrai au plus tôt.
Priez Jésus Eucharistie pour le Saint Père, qu’il soit fort dans la lutte qu’il a à soutenir, que l’Esprit Saint l’illumine d’une grande lumière pour qu’il puisse porter la paix dans le monde entier. Priez pour le Saint Père qui souffre tant, tant. Aimez-le comme un père plein d’amour. Priez, mes enfants, demandez pardon à Jésus pour le passé. Mettez-vous sur le chemin du bien car l’heure a sonné. Allez souvent recevoir Jésus, préparez-lui votre cœur, préparez-le et votre Maman viendra. Elle viendra et vous apportera tant de grâces et de bénédictions.
MESSAGE DU 25 FEVRIER 1966
La Maman Céleste :
Courage mes enfants et ne craignez pas car c’est moi qui suis ici en votre présence. Priez et ayez confiance en moi : je vous assiste au long du voyage. Ne craignez pas. Je ferai venir un beau soleil et vous pourrez venir, nuit et jour ici, en ma présence. Vous trouverez tant de grâces, tant de réconfort, tant de joie, pour vous et pour ceux qui se recommandent à vous, pour tous les pécheurs que vous recommandez, pour tous. Venez ici en ma présence car je suis la Maman de tous, la Maman de l’amour, la Maman de douleur et de miséricorde. A mes fils, je veux un bien immense. Je les aide, les assiste, tous ceux qui se recommandent, tous ceux qui appellent à l’aide. Mes enfants, soyez forts dans la foi. Forts car avec la foi, tout se vainc. Je vous enverrai une grande troupe d’Anges au long de votre voyage, qui vous consoleront, vous assisteront, vous protègeront, vous réconforteront. Durant le voyage, ne craignez pas. Mes enfants, venez ici en ma présence. Priez pour le monde entier, spécialement pour l’Inde, pour la Chine, pour ces terres lointaines qui souffrent de la faim. Vous qui avez tout ici, or et argent. Vous avez tout et là-bas, on souffre de la faim et du froid. Priez et insistez auprès du Père Eternel, que je puisse bientôt venir donner la lumière, que ces petits enfants puissent retourner ici à mes pieds. Je veux enflammer encore plus votre cœur d’amour pour moi, enflammer encore plus fortement la foi. Réveillez-vous de ce sommeil ! Quand je viendrai avec la grande lumière, si vous avez la foi, vous verrez tant de choses ! Soyez forts mes enfants et priez, priez ! Avec la prière, tout s’obtient. Mes fils, en cette période, promettez de consoler le cœur de Jésus crucifié. Consolez-le et récitez sept Ave Maria à la Vierge des Douleurs car je souffre tant pour vous ! Priez pour tous ceux qui ne croient pas, pour ceux qui sont à l’agonie et passent dans l’autre vie sans se réconcilier avec Dieu. Qu’en sera-t-il d’eux ? Priez car Jésus souffre tant de voir ses fils aller à la perdition. Qu’il puisse les purifier, les éclairer. Mes enfants, je suis ici, je vous appelle ici en ma présence. Ne craignez pas, vous ne devez pas craindre. Je suis ici avec vous. Je vous entoure de caresses, de joie, d’amour. Je suis votre Maman qui vous aime tant ! Je vous apporte toutes les joies quand vous êtes dans les souffrances. Appelez-moi avec force, je viendrai vous consoler. Que d’âmes ne m’appellent pas ! Je pense tant à elles ! Je pense tant à mes fils si éloignés !
(Une voix demande fortement) :
Comment, Maman Céleste, veux-tu être invoquée ici ?
« Madone Miraculeuse des Roses » et si vous ne l’avez pas à l’esprit tout de suite, Madone de San Damiano ! Maman Céleste de San Damiano ! Je comprends tout de suite. Il me suffit que vous m’invoquiez pour vous et pour le monde entier. Je vous veux si grand bien mes enfants ! Si grand bien ! Faites-moi aimer aussi des autres ! Priez ! Au moment de la consécration, priez que Jésus enflamme tous les cœurs d’amour pour lui ! Jésus vous écoutera. Il ne veut pas que ses fils aillent à la perdition. Il ne le veut pas. Il les veut tout près de lui. Il a tant souffert pour vous sauver. Mes enfants, soyez forts car je viendrai avec une grande lumière, je donnerai beaucoup de consolation, beaucoup de joie à tous ceux qui se sont toujours approchés de moi. Et tous aussi, qu’ils puissent raviver leur foi, qu’ils puissent être éclairés. Mes enfants, quand vous êtes dans les tentations, dans les doutes, recourez à Saint Michel. Il vous viendra en aide, il viendra vous réconforter, il vous aidera et sera votre réconfort. Le savez-vous mes enfants, que Saint Michel est le Prince du Ciel ? C’est lui qui surveille les âmes, c’est lui qui donne le réconfort en cette vie et quand on passe dans l’autre. Confiez-vous en lui.
Le long de votre route, mes enfants, je ferai tomber une pluie de grâces, nombreuses. Aujourd’hui est le jour de ma fête : je suis l’Immaculée Conception. Là-haut dans le ciel, chantent tous les Anges ! Tous font fête ! Et que de grâces je répands sur vous, que de jubilation.
Priez, votre Maman du Ciel ne vous abandonne pas, pas même un instant. Soyez toujours sereins. Supportez tous la croix que Jésus vous a confiée. Portez-la avec amour : elle sera ce qui vous sanctifiera, elle sera ce qui vous emportera au ciel avec grande jubilation et chants. J’étends sur le monde mon manteau, mes bras. Tous mes fils, je veux les sauver.
Mamans, faites réciter souvent le rosaire aux petits enfants, faites réciter le rosaire et vous aurez dans votre maison, la joie, la sérénité et la concorde. Vous aurez tout ! Et vous mamans, soyez unies à Jésus au Saint Sacrement. Appelez-moi souvent du doux nom de Mère et je viendrai dans votre maison. Je serai à vos côtés et je vous consolerai.
Rappelez-vous mes enfants, que je veux le sanctuaire. Grand, grand ! Avec quinze autels ! Et je veux beaucoup de maisons pour y mettre beaucoup d’enfants qui sont sans toit. Ils n’ont rien. Il faut prendre soin d’eux. Faites tout le possible et je répandrai sur vous beaucoup de grâces. Vous, faites tout ce que vous pouvez mais il faut faire tout pour sauver beaucoup d’innocents qui souffrent et pleurent. Vous, promettez et moi, je vous promets. A tant d’âmes, Jésus a donné tant de bien-être et elles ne s’en servent que pour faire grand mal ! Mais maintenant mes enfants, assez, assez ! Promettez ici, à mes pieds, de tout faire ! Promettez de m’aimer ! D’un moment à l’autre, vous pouvez être cloués au sol ! Qu’en sera-t-il de vous si vous n’êtes pas préparés ? Je vous couvre de mon manteau et je vous envoie une forte bénédiction !