Economie Politique PDF
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Economie politique
Objectifs économique
2016
Plan
1 Les objectifs des pouvoirs 2 Compatibilité
publics 3 La politique monétaire
Politique économique C’est quoi la politique
Les objectifs des politiques monétaire ?
économiques Exemple de la politique
Chômage
Stabilité des prix monétaire dans la zone Euro
La croissance économique E¢ cacité de la politique
L’équilibre des …nances monétaire
publiques et l’équilibre
extérieur
2 Compatibilité
3 La politique monétaire
4 Politique Budgétaire
Objectifs
Objectifs
Objectifs
Objectifs
Objectifs
Il reste dès lors à préciser quels sont les équilibres globaux qui sont considérés
comme souhaitables, et quels sont ceux qui ne le sont pas : le niveau de
l’emploi, le taux de variation du niveau général des prix, et la
croissance du produit global en termes réels.
Politique économique
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Politique économique
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L’objectif de stabilité des prix est essentiellement celui d’éviter tant l’in‡ation
que la dé‡ation.
Comme le précédent, cet objectif est assez unanimement reconnu comme
important par tous les responsables des politiques économiques des pays
démocratiques : peu de leaders gouvernementaux ont jamais trouvé dans la «
vie chère » un support électoral …able, et les ralentissements de l’activité qui
accompagnent la dé‡ation ne leur sont le plus souvent pas favorables non
plus.
Politique économique
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La croissance économique
L’objectif macroéconomique en matière de croissance économique se formule,
et se mesure, en termes du taux de croissance du produit national brut par
tête d’habitant, en valeur réelle et en pourcentage par rapport à l’année
précédente.
Politique économique
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Dès maintenant, toutefois, nous pouvons faire observer qu’aucun de ces deux
« équilibres » n’est une …n en soi. En e¤et, ni la situation du budget de
l’État, ni celle de la balance des paiements ne constituent en elles-mêmes le
bien-être des agents économiques. Ce qui compte fondamentalement, à cet
égard, c’est ce que les gens produisent et consomment.
Il est clair cependant que l’une et l’autre exercent une in‡uence sur les
possibilités de production et de consommation de l’économie, que cette
in‡uence peut être néfaste ou dommageable, et qu’il peut parfois s’avérer très
di¢ cile d’en changer le cours.
Politique économique
Ainsi donc, l’état souhaité des …nances publiques comme celui de la balance
des paiements sont en fait, non pas des objectifs, mais bien des instruments,
ou si l’on préfere des moyens de réaliser ce qui constitue l’essence du
bien-être économique collectif.
La confusion entre objectifs et instruments est monnaie courante dans les
discours habituels, politiciens et journalistiques. Mais c’est, encore une fois, le
rôle de l’analyse économique que d’aider à identi…er ce que l’on poursuit
véritablement par l’action publique, a…n d’éviter que celle-ci ne manque sa
cible authentique, qui est l’intérêt général.
2 Compatibilité
3 La politique monétaire
4 Politique Budgétaire
Politique économique
Il convient de souligner, en conclusion, que les trois objectifs que nous avons
cités ne sont pas indépendants.
La poursuite de certains d’entre eux suppose, ou entraîne, la réalisation de
certains autres. Ainsi par exemple, la croissance est favorable au
développement de l’emploi, et d’ailleurs aussi à la redistribution des revenus
(qui était un objectif que nous avons classé comme microéconomique.
Politique économique
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Nous savons que dès que l’économie atteint une situation de plein emploi, le
moindre excès de demande risque de provoquer des hausses de prix.
Bien plus, ce risque apparaît souvent avant même que le plein emploi ne soit
atteint : au fur et à mesure que certaines entreprises approchent de
l’utilisation maximale de leur capacité, les coûts marginaux et dès lors les prix
tendent à hausser, par le jeu des rendements décroissants.
Politique économique
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2 Compatibilité
3 La politique monétaire
4 Politique Budgétaire
Politique économique
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Ainsi la quantité de monnaie présente dans l’économie ainsi que les taux
d’intérêt pratiqués sur les marchés sont très largement déterminés par la
banque centrale.
Dans la mesure où les objectifs de cette autorité monétaire sont identiques à
ceux de l’autorité politique, à savoir ceux que nous avons exposés au chapitre
précédent, la banque centrale mène cette politique en coordination avec le
gouvernement.
L’étroitesse et les formes de cette collaboration varient cependant selon les
pays, d’autant plus que le degré d’indépendance ou de dépendance de la
banque à l’égard de l’État est loin d’être le même partout.
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Politique économique
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L’e¢ cacité d’une telle stratégie dépend cependant à la fois de la qualité des
prévisions en matière d’in‡ation et de la stabilité du lien entre les mesures de
politique monétaire et leur e¤et sur l’in‡ation.
Politique économique
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La quantité de crédits sur laquelle peut agir la banque centrale étant ainsi
contrainte par des facteurs autonomes, c’est par le coût de ces crédits que
s’exerce l’essentiel de la politique monétaire.
Mais encore faut-il que ce coût s’applique à un volume su¢ sant. L’action de
la banque centrale s’e¤ectue en fait « à la marge » , et porte sur des volumes
relativement petits par rapport à l’ensemble de volumes échangés sur le
marché monétaire ; mais elle doit tout de même porter sur une « masse
critique » , a…n que ses e¤ets se développent su¢ samment vite et dans
l’ensemble de l’économie.
Les réserves obligatoires peuvent aussi exercer une autre fonction, dite de
contrôle de la masse monétaire : on a vu que l’o¤re de monnaie est in‡uencée
par le multiplicateur monétaire.
Si le coe¢ cient de réserve obligatoire augmente, le multiplicateur s’en trouve
réduit, ce qui réduit la masse monétaire.
Action par les coûts : C’est essentiellement par le coût du crédit, c’est-à-dire
les taux d’intérêt dont elle décide à tout moment, tant pour les crédits qu’elle
accorde que pour les dépôts faits chez elle, que la banque centrale exerce son
in‡uence sur la masse monétaire et, par là, sur l’in‡ation. Le choix de ces
taux est donc une arme majeure.
Les taux que pratique la banque ont un e¤et déterminant sur l’ensemble des
marchés …nanciers ; mais les instruments de crédit e¤ectivement utilisés pour
appliquer ces taux sont le plus souvent des instruments de très court terme
(de maturités comprises dans une fourchette allant du jour le jour à quelques
semaines). C’est donc sur les taux de court terme qu’elle exerce son pouvoir
dominant.
Politique économique
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La stratégie de la BCE est fondée sur deux piliers. D’une part, la croissance
de la quantité de monnaie, et plus particulièrement l’agrégat M3 pour
laquelle la Banque annonce une « valeur de référence » . Par exemple, au
début de son existence la BCE a indiqué qu’un taux de croissance annuel de
41/2 % de cet agrégat était une référence compatible avec l’objectif de
stabilité des prix en Europe.
A la …n de l’année 2000, cet objectif intermédiaire était toujours a¢ ché
comme référence.
Politique économique
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Selon les valeurs que prennent ces indicateurs au moment d’une déviation de
l’agrégat, l’action instrumentale de la BCE en vue d’une correction vers
l’objectif intermédiaire est plus ou moins vigoureuse.
Ainsi en août 2000, par rapport à l’objectif intermédiaire de 4,5 % de
croissance de M3 — toujours a¢ ché comme référence — la croissance
e¤ective en est supérieure, en raison du niveau du taux de change de l’euro,
jugé trop faible. Par rapport aux principes généraux exposés à la section
précédente (§2), on peut donc quali…er d’hybride, ou d’éclectique, la stratégie
de la BCE.
Politique économique
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La théorie quantitative
Monétarisme simple
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Keynesien
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Monétarisme friedman