Projet de These 2017 PDF

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 14

REPUBLIQUE DU SENEGAL

UN PEUPLE-UN BUT-UNE FOI

UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR

FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUE ET DE GESTION

PROJET DE THESE

THEME

POLITIQUE COMMERCIALE COMMUNE ET


CROISSANCE ÉCONOMIQUE DES PAYS DE L’UNION
ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE

Année universitaire 2017/ 2018

1
SOMMAIRE DU PROJET DE THESE

I- Contexte général....………………………………………………....3
II- Problématique……………………………………………………...5
III- Objectifs…………………………………………………………...7
IV- Hypothèses de recherche…...……………………………………...7
V- Méthodologie de recherche……………………………………….7
VI- Bibliographie……………………………………………………..09

2
I- CONTEXTE GENERAL

Afin de favoriser la reconstruction et le développement économique international anéanti par


la 2nd guerre mondiale et la nécessité de remettre en ordre le système monétaire international,
la conférence de Bretton Woods1 (1944) permit respectivement la création du FMI2 et de la
BM3. Au début de la création de ces deux grandes institutions internationales, vingt-trois pays
ont signé un accord consistant à promouvoir, à relancer le commerce international par
l’élimination progressive des barrières tarifaires essentiellement constitués par les droits de
douane (DD) qui faisaient obstacles sous diverses formes aux commerces des biens et services
pour ne pas retomber davantage dans la politique commerciale restrictive.

Cet accord international est finalement matérialisé par la naissance du GATT4 dès le 1er
Janvier 1948, devient multilatéral grâce notamment à la technique de la clause de la nation la
plus favorisée (NPF)5, qui permettait d’établir et de maintenir en tout temps, entre les parties
contractantes du GATT, une égalité fondamentale sans discrimination. Durant l’application et
le respect des différentes clauses sur le système commercial international, le GATT a connu
notamment des hauts et des bas. Le GATT a contribué au développement des échanges
commerciaux internationaux grâce à l’abaissement progressif et drastique de la moyenne des
droits de douanes de 40% en 1948 à moins de 6% à l’issue de l’Uruguay Round, discipliné les
politiques commerciales nationales à travers ses règles multilatérales et civilisé les relations
commerciales internationales par l’organisation propre de règlement des différends en cas de
conflits commerciaux internationaux entre les différents pays signataires. Par la suite,
confronté par des difficultés ou faiblesses récurrentes liées à ses institutions, ses normes ainsi
que son incapacité à résoudre des conflits commerciaux interétatiques et le non-respect des
procédures commerciales internationales, que l’OMC6 a été créée à partir du 1er Janvier 1995
à la succession du GATT pour la normalisation des relations commerciales internationales. La
création de cette institution commerciale internationale a grandement contribué à la
facilitation du commerce international, le respect des différents accords commerciaux

1Bretton Woods : sont des accords économiques ayant dessiné les grandes lignes du système financier international en
1944 après la seconde guerre mondiale. Leur objectif principal fut de mettre en place une organisation monétaire
mondiale et de favoriser la reconstruction et le développement économique des pays touchés par la guerre.
2 FMI : Fonds Monétaire International, créé en juillet 1944 afin d’encourager la coopération monétaire internationale, de

veiller sur la stabilité financière, de faciliter le commerce international, d’œuvrer en faveur d’un emploi élevé et d’une
croissance économique durable. Site internet : www.imf.org.
3 Banque Mondiale : créée le 27 décembre 1945 après signature de l’accord de Bretton Woods dans le but de financer la

reconstruction des pays ravagés par la seconde guerre mondiale et d’encourager la croissance économique des pays en
développement. Site internet : www.banquemondiale.org.
4 GATT : General Agreement on Tarrifs and Trade, signé le 24 mars 1948 par 23 pays signataires
5 NPF : Nation la plus favorisée, trouve son siège dans l’article 1 er du GATT, « Tous avantages, faveurs, privilèges ou

immunités accordés par un membre à un produit originaire ou à destination de tout autre pays seront, immédiatement et
sans condition, étendus à tout produit similaire originaire ou à destination du territoire de tous les autres membres. »
6 OMC : Organisation Mondiale du commerce créée à partir du 1er Janvier 1995 au remplacement du GATT

3
internationaux, le règlement de conflits entre les différends, la normalisation des relations
commerciales internationales, la lutte contre des politiques commerciales restrictives,
l’accélération de la mondialisation au milieu des années 90, l’ouverture commerciale
internationale des nations favorisant le dynamisme des entreprises de production, la
croissance des exportations, l’augmentation du volume des échanges commerciaux, la
croissance et le développement économique afin d’améliorer le bien-être de la population et
de lutter contre la pauvreté qui touche à plein fouet les économies des pays en développement.

Du point de vue économique, l’ouverture commerciale d’un pays est déterminée par son
niveau de productivité ou son avance technologique, selon la théorie des avantages
comparatifs (Ricardo, 1817), et par sa dotation relative en facteurs de production, selon le
modèle de Heckscher et Ohlin (1933). De ce fait, les pays se spécialisent dans la production
des biens pour lesquels ils sont les plus compétitifs : les pays développés produiraient
davantage de biens manufacturés tandis que les pays en développement seraient plus tournés
vers la production de biens contenant plus de travail non qualifié.

Des estimations préliminaires des échanges commerciaux internationaux mesurés en termes


de valeur ajoutée indiquent que près de 30% du total des échanges consistent en réexportation
de bien intermédiaires, ce qui témoigne d’une interdépendance croissante par le biais des
chaines de production internationales qui, depuis le milieu des années 90, a vu ce pourcentage
augmenté de 10 points sans compter la contribution des services au commerce total soit deux
fois plus élevée que la part correspondante mesurée en termes bruts, passant de 23% à 45% en
20087. Selon l’Organisation Mondial du Commerce, la part des économies en développement
représentait seulement 34% des exportations mondiales en 1980, atteignant en 2011, 47% soit
près de la moitié du total. Simultanément la part des économies développées est tombée de
66% à 53% des échanges commerciaux internationaux.

Fort de ces constats à l’échelle mondiale, beaucoup de pays surtout les pays développés ont
très bien compris que pour peser sur la scène internationale et tirer le maximum de profit du
commerce international, il faut créer de grands blocs commerciaux régionaux à travers des
accords commerciaux régionaux comme l’harmonisation des tarifs douaniers dans un espace,
susceptible de favoriser pleinement le commerce, la croissance et le développement
économique des pays partenaires ou signataires.

7 Rapport sur le commerce mondial : Facteur déterminant l’avenir du commerce (OMC, 2008)

4
D’ailleurs, l’expérience a montré que les pays ou groupes de pays disposant des plus grandes
parts du commerce mondial sont dans des régions ayant parmi les parts de commerce intra
régional les plus élevées notamment l’Union Européenne (UE), première puissance
commerciale avec 15,9% du commerce mondial en 2008, échange pour 70% avec elle-même ;
Etats Unis, Canada et Mexique forment l’Accord de libre-échange Nord-Américain (ALENA)
et commercent entre eux pour 60% de leur échange ; l’Amérique latine, qui dans le cadre du
MERCOSUR commerce avec elle-même 30% et de l’Asie du Sud-Est où 35% du commerce
entre les pays de l’Association des Nations d’Asie du Sud-Est (ANASE) se fait entre eux8 .

De ce fait, au moment où l’on parle en termes de « village planétaire » ou la formation de


grands ensembles économiques à l’image de l’UE, L’ASEAN, l’ANASE, le MERCOSUR,
etc. ; l’Afrique ne peut plus s’offrir le luxe de prétendre au développement économique dans
les micros entités, exiguës que sont nos Etats. L’Afrique, à l’instar des autres blocs
commerciaux internationaux doit penser à un grand ensemble commercial comme l’affirmait
l’ancien secrétaire général de l’Organisation de l’Union Africaine EDEN KODJO, pèsera sur
la scène internationale. Dès lors, les autorités politiques du continent Africain ont compris
l’ampleur et la nécessité de normaliser leur relation commerciale à travers une politique
commerciale communautaire qui favorise la croissance et le développement économique.

II- PROBLEMATIQUE

Cependant, l’intégration commerciale joue un rôle primordial dans le renforcement de la


transformation structurelle et la croissance inclusive sur le continent (ECA, 2015). Ainsi,
depuis la création des huit différentes Communautés Economiques Africaines (CEA)
reconnues par l’Union Africaine à l’image de l’UMA, la CENSAD, le COMESA, la CAE, la
CEEAC, la CEDEAO, IGAD et SADC ; force est de constater le commerce Africain ne
représente qu’environ 2% du commerce mondial dû à plusieurs facteurs aussi bien qu’internes
qu’externes. Le commerce intra-africain en proportion du PIB, est faible comparé à celui des
autres régions : les importations intracontinentales sont estimées à 4,3 % du PIB de l’Afrique,
contre 6,7 % pour les Amériques (du Nord, centrale et du Sud), 17,9 % pour l’Asie et 21 %
pour l’Europe (CNUCEDStat, 2015). Cette situation indésirable enregistrée par le commerce
africain, marque la vulnérabilité de l’Afrique face aux chocs économiques extérieurs et des
politiques commerciales protectionnistes ou restrictives.

8 Centre Africain pour le Commerce International et le Développement

5
De nombreuses analyses démontrent que l’Afrique peut réduire sa vulnérabilité aux chocs
extérieurs et améliorer ses échanges et sa performance économique si l’intégration de son
marché est renforcée et si les échanges entre les pays s’intensifient. Selon des études récentes,
la levée des barrières non tarifaires et la mise en place de réformes de facilitation du
commerce en Afrique, auront pour résultats une forte accélération de l’intégration
commerciale de la croissance et du développement économique (CEA, Commission de
l’Union africaine et BAD, 2012b).

Ainsi, consciente de ces enjeux politiques et économiques, la CEDEAO opte pour une
libéralisation en considérant que le commerce international permet aux pays de tisser des
liens bilatéraux plus solides, donne aux pays importateurs un accès à des biens et services
dont ils ne disposeraient pas, procure aux pays exportateurs des recettes supplémentaires et
contribue à la croissance économique des pays9. D’ailleurs, la libéralisation du commerce
régional peut être un outil efficace de promotion de la croissance inclusive et de réduction de
la pauvreté si elle s’accompagne de mesures d’aide à l’ajustement et de protection sociale
destinées à faciliter le redéploiement des travailleurs, des chefs d’entreprise et des entreprises
dans des secteurs où la demande est en augmentation, notamment grâce à l'accès aux
nouvelles technologies et aux connaissances. En d'autres termes, la politique commerciale
peut contribuer à réunir, à pérenniser et à améliorer les conditions nécessaires au succès des
efforts que mènent les pays pour promouvoir la croissance inclusive10 et réduire la pauvreté
(Bhagwati et Ramaswami, 1983; Hoekman, 2012). Pour toutes ces raisons, entre autres, nous
sommes ramenés à poser la question suivante :

Quel est l’impact de la politique commerciale commune sur la croissance économique


des pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) ?

9
Antoine Coste : Analyste du commerce au sein du pôle Commerce et Compétitivité du Groupe de la Banque mondiale.
10 Croissance inclusive : On peut définir la croissance inclusive comme étant un processus durable et soutenu de croissance
des perspectives de productivité et d'emploi qui s'offrent à un large éventail de ménages et d'entreprises, et qui
s'accompagne de la mise en place de biens publics tels que les infrastructures, l'accès à l'eau, les réseaux routiers, les soins
de santé et l’éducation.

6
III- OBJECTIF PRINCIPAL

L’objectif général de notre étude de recherche est d’analyser l’impact des mesures
commerciales communautaires sur la croissance économique des pays de l’Afrique de l’Ouest
en particulier ceux des pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine.

Ainsi, cette thèse aura tendance à éclairer les responsables de la politique économique quant
aux orientations données sur la politique commerciale communautaire, la facilitation des
échanges commerciaux, la croissance et le développement du commerce intra-UEMOA qui
stagne au environ de 15%. De ce fait, la coordination de toutes ces politiques va hausser le
niveau des exportations de la région favorisant ainsi le développement économique.

De façon spécifique, cette étude de recherche consiste à :

o Analyser l’impact du Tarif extérieur commun sur les exportations de la région.


o Analyser le détournement du commerce régional entre les pays partenaires.

IV- HYPOTHESES DE RECHERCHE

H 1 : La libéralisation du commerce régional augmente le niveau des exportations.

H 2 : Le commerce régional favorise les échanges commerciaux entre les pays partenaires.

V- METHODOLOGIE DE RECHERCHE

Dans un premier temps, nous procédons par la recherche documentaire à travers des lectures
successives, des ouvrages, des articles, des revues économiques internationales, des journaux
officiels d’économie internationale qui parlent et couvrent notre thème de recherche.

La consultation de ces documents précieux pour soutirer le maximum d’informations


possibles nous permet d’enrichir notre revue de littérature, d’avoir un aperçu global sur le
thème, de repérer des variables susceptibles, d’enrichir notre modèle économétrique à l’issue
des débats théoriques et empiriques.

Ainsi, l’exploitation des bases de données aussi bien internationales que régionale à l’image
de Comtrade de World Integrate Trade Solution (WITS), CEPII, OMC, TRAINS, CNUCED,
CACID, le FMI, WDI, la BCEAO, CEDEAO, l’UEMOA, CAPC, reste primordiale pour la
collecte d’informations et de données quantitatives des variables.

7
Dans un second temps, compte tenu de notre objectif général qui consiste à analyser l’impact
de la politique commerciale sur la croissance économique des pays de l’UEMOA, nous allons
utiliser un modèle économétrique capable de mesurer le commerce bilatéral entre les pays
partenaires. Ainsi, il s’avère que le modèle de gravité reste l’instrument d’analyse le plus
utilisé dans la modélisation des flux commerciaux bilatéraux. Dans sa forme initiale,
l’équation de gravité stipule que, le flux de commerce entre pays partenaires varie
proportionnellement à la valeur de leurs revenus (PIB) et de façon inversement
proportionnelle par rapport à la distance qui les sépare (D).

De leur origine, les modèles de gravité ont été déduits intuitivement pour l'analyse des flux
d'échanges bilatéraux entre pays. Tinbergen (1962) et Poyhonen (1963) sont les premiers à
utiliser ce type de modèle dans des travaux scientifiques. Ces modèles tiennent leurs noms par
la loi d'attraction universelle de NEWTON et se fondent sur l'idée selon laquelle le volume
des échanges bilatéraux entre deux territoires économiques est fonction de la taille ou encore
la puissance économique des pays, de leur richesse, et augmente avec la proximité
géographique. Ainsi le modèle de base tel qu’utilisé dans les travaux précurseurs, porte le
nom de modèle standard de gravité et se présente à travers la relation suivante :

LnXij = α + β1 ln Yi + β2 ln Yj + β3 ln dij + ϵij, où α est une constante et ϵ le terme


d’erreur habituel. Les trois variables indépendantes ln Yi, ln Yj, ln dij expliquent en général à
elles seules une grande partie de la variance des flux commerciaux.

Même si le succès empirique du modèle de gravité est avéré (ACCOMINOTTI, 2005), il est
important de noter ses limites. En effet, de nombreuses difficultés inhérentes à plusieurs
facteurs ont surgi des différents travaux empiriques ; PIERMARINI et TEH (2005) insistent
sur la nécessité de tenir compte de celles-ci dans l'estimation des modèles de gravité.

Par la suite, les travaux de Deardorff (1998), Hummels et Levinsohn (1995), Evenett et Keller
(2002), Anderson et van Wincoop (2003) ont permis de montrer que les équations de type
gravitationnel peuvent émerger de plusieurs fondements théoriques du commerce.

En effet, les critiques sur la pertinence théorique des modèles de gravité ont permis à la
recherche d’établir des liens entre la conception de type gravitationnel et les thèses
traditionnelles du commerce international connues de la littérature, notamment le modèle
ricardien (Earton et Kortum, 2001), le modèle de Heckscher-Ohlin (Deardorff, 1998) ou
encore le modèle de concurrence monopolistique (Anderson et van Wincoop, 2003).

8
Ainsi, dans notre étude de recherche, nous allons utiliser « le modèle de gravité augmenté »
auquel, nous allons rajouter dans le modèle de base un ensemble de variables explicatives
pour mieux capter les échanges commerciaux entre les pays membre et leurs partenaires
commerciaux (Hors UEMOA). Notons cet ensemble de variables Cij que nous allons
chercher à travers notre revue de littérature théorique et/ou empirique.

La ramification du modèle donne la relation suivante :

LnXij = α + β1 ln Yi + β2 ln Yj + β3 ln dij + Cij + ϵij.

9
VI- BIBLIOGRAPHIE

Agosin Manuel R. Réformes des politiques commerciales et performances économiques.


In: Tiers-Monde, tome 35, n°139, 1994. L'ouverture hétérodoxe : politiques et réformes
économiques pour les années 90 (sous l'égide de la CNUCED) pp. 499-520.

Andrew Mold. L’Afrique et les préférences commerciales-Etat des lieux et enjeux. Centre
Africain pour les Politiques Commerciales, travail en cours N°27, Commission
Economique pour l’Afrique, Novembre 2005.

Assidon, Elsa. Les théories économiques du développement. La Découverte. Paris, 2002.

Banque africaine de développement (2011). L’Afrique dans 50 ans – Vers une croissance
inclusive. Banque africaine de développement, Tunis.

Banque africaine de développement (2013). Rapport sur le développement en Afrique


2012. Banque africaine de développement, Tunis.

Banque africaine de développement, Organisation de coopération et de développement


économiques, Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique, Programme des
Nations Unies pour le développement (2012), Perspectives économiques en Afrique 2012
– Promouvoir l’emploi des jeunes.

Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Evolution des


investissements directs étrangers dans les pays de l’UEMOA au cours de la période 2000-
2011. Direction de la recherche et de la statistique.

Banque Centrales des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Rapport sur le commerce
extérieur de l’UEMOA 2012. Direction Générale des études économiques et de la
Monnaie, Direction de la recherche et de la statistique.

Bernard Guillechon. Théorie de l’échange international. 1ère édition, Presse Universitaire


de France, 1976.

Berthelemy et J.C. Afrique : Etat des lieux. Problèmes Economiques. N°2751, Mars 2002.

Bio-Goura S, (2006). Les TEC de la CEDEAO et leurs conséquences sur l’intégration


régionale et les négociations des APE, communication au colloque du FARM sur quel
cadre pour les politiques agricoles, demain, en Europe et dans les pays en
développement ? Du 27 au 29 Novembre 2006.

Bouët Antoine, Jacques le cacheux. Globalisation et Politiques économiques : les marges


de manœuvre. Economica, 1999.

10
BYAO, J., Méthodologie d’études et de recherche en sciences économiques et sociales
Avec application au contexte de l’Afrique noire, Paris, L’Harmattan, 2005. LAUG, M., La
méthodologie économique, Paris, Economica, 1982.

Camara, M. (2002). Les IDE et l’intégration régionale : les exemples de l’ASEAN et du


MERCOSUR. Revue tiers Monde, N°169, Paris, Janvier-Mars 2002.

Cantre Africain pour les Politiques Commerciales (2005). Facilitation du commerce intra-
africain. Commission Economique pour l’Afrique, N°19.

Commission de l’Union africaine (2011).État de l’intégration régionale en Afrique. Addis-


Abeba. Commission de l’Union africaine.

Commission économique pour l’Afrique (2012). Progress towards Sustainable


Development in West Africa, May 2012.

Commission Economique pour l’Afrique (2013). Facilitation des échanges dans une
perspective africaine. Addis-Abeba (Ethiopie).

Commission Economique pour l’Afrique. Intégration régionale en Afrique de l’Ouest :


des chaines de valeur agricoles régionales pour intégrer et transformer le secteur agricole,
ECA-WA/BOOK/2012/02.

Commission Economique pour l’Afrique. L’Etat de l’intégration régionale en Afrique


VII ; Innovation, compétitivité et intégration régionale. Addis Ababa, Éthiopie, Mars
2016.

Commission Economique pour l’Afrique. Rapport Economique sur l’Afrique, 2016 : vers
une industrialisation verte en Afrique. Addis-Abeba, Ethiopie, Mars 2016.

Commission Economique pour l’Afrique. Rapport régional de l’Afrique sur les objectifs
du développement durable, Octobre 2015.

Commission Economique pour l’Afrique. Rapport sur la gouvernance en Afrique :


mesurer la corruption en Afrique IV: prendre compte la dimension internationale. Addis-
Abeba, Éthiopie, Mars 2016.

DIEYE Cheikh Tidiane (2010). Le futur du commerce intra régional en Afrique de


l’Ouest. Enda tiers-monde.

Diouf Makhtar (2010). La Science Economique : de l’économie politique à l’analyse


économique. Presse Universitaire de Dakar, page 308-312.

DORMONT, B., (1989). Introduction à l’Econométrie des données de Panel.


Montchrestien, Paris.

DOUCOURE Fodiyé Bacary (2007). Introduction à l’économétrie : Cours et exercices


corrigés. Editions ARIMA.

11
DOUCOURE Fodiyé Bacary (2008). Méthodes économétriques : Cours et exercices
corrigés. Editions ARIMA.

Duc-loi Phan (1995). Les théories du commerce international. Etat actuel des
connaissances et controverses. Economie rurale. N°226, 1995, pp.18-23.

Enda Diapol (2007). Les dynamiques transfrontalières en Afrique de l’Ouest : Analyse des
potentiels d’intégration de trois « pays-frontières » en Afrique de l’Ouest. CRDI et Enda
Diapol.

Fontagné, L., M. Pajot et J.-M. Pasteels (2002). Potentiels de commerce entre économies.
Un petit mode d’emploi des modèles de gravité. Economie et Prévision 2002/1-2N°152-
153, pp 115-139.

Fosu, A.K. (2003). Political instability and export performance in sub-saharan Africa.
Jouranl of development studies. N°39, pp 68-82.

François, J. et M. Manchin (2007). Institutional quality, infrastructure and the propensity


to export. World Bank Policy Research working paper N°.4152, Washington, D.C.

Imani Development. Inventaire des obstacles non tarifaires régionaux : Rapport de


synthèse préparé pour : le programme régional de facilitation du commerce. South Africa,
Juin 2007.

INRA, Recherche en Economie et Sociologie Rurale. Normes Sanitaires et phytosanitaires


et obstacles techniques au commerce : quels impacts sur les échanges internationaux des
produits agricoles ? N°3, Juin 2008.

J.-L Combes, Patrick Guillaumont, S. Guillaumont Jeanneney et P. Motel Combes (2000).


Ouverture sur l’extérieur et instabilité des taux de croissance. Revue Française
d’économie. Volume 15, N°1, 2000, pp 3-33.

Jean François Fortin (2005). Analyse de la politique commerciale : Etat des travaux
théoriques. Volume 36, N°3, Septembre 2005, pp 339-360 Etudes internationales.

Jean Marc Fontaine (1992). Réforme du commerce extérieur et politique de


développement. Presse Universitaire de France (PUF).

Jean Marc Siroën. Les thèses en commerce international : Mondialisation et


développement. Université Paris-Dauphine.

Jean-Pierre Rolland Arlène Alpha (2011). Analyse de la cohérence des politiques


commerciales en Afrique de l’Ouest. AFD document de travail N°114, GRET, Juin 2011.

12
KASSE Moustapha (1991). Le développement par l’intégration. Les nouvelles éditions
africaines du Sénégal.

KASSE Moustapha (2010). La Science Economique et sa méthodologie. Harmattan

KASSE Moustapha. Méthodologie et production des normes en Sciences Economiques,


Septembre 2013.

Laïla Mkimer-Bengeloune (2014). Modélisation des barrières non tarifaires et leur impact
sur les échanges internationaux : une application au pays méditerranéens. L’archive
ouverte pluridisciplinaire HAL.

Lassurie-Duchéne, B., (1979). Echanges internationaux et croissance. Economica. Paris.

Lionel Fontagné, Michael Pajot et Jean-Michel Pasteels. Potentiels de commerce entre


économies hétérogènes : un petit mode d’emploi des modèles de gravité. Juillet 2000, Mai
2002.

Mahamat Abdoulahi (2005). Evaluation des efforts d’intégration régionale en Afrique en


vue de promouvoir le commerce intra-africain. Centre Africain pour les Politiques
Commerciales, travail en cours N°30, Commission Economique pour l’Afrique.

Mohamed HADDAR. Méthodologie de la Recherche Doctorale en Economie. Edition des


archives contemporaines, Paris, 2010.

Organisation Mondiale du Commerce (2012). Rapport sur le commerce mondial 2012 :


commerce et politiques publiques : Gros plan sur les mesures non tarifaires (MNT) au
XXI éme siècle. OMC, 2012.

Organisation Mondiale du Commerce (2013). Rapport sur le commerce mondial 2013 : les
facteurs déterminant l’avenir du commerce mondial. OMC, 2013.

Organisation Mondiale du Commerce (2014). Rapport sur le commerce mondial 2014 :


commerce et développement : tendances récentes et rôle de l’OMC. OMC, 2014.

PANTZ Dominique (1998). Institutions et politiques commerciales Internationales : Du


GATT à l’OMC. Arman colin, Paris, N°1984/1.

PAUL Krugman et Maurice Obstfeld (2006). Economie internationale. Pearson Education


France, page 181-286.

Pradeep S. Mehta, Bipul Chatterjee et Rashid S. Kaukab. Document de travail présenté


par CUTS International. Quel avenir pour le commerce mondial ? Pour un consensus de
Genève, 2012.

Réal Lavergne (1996). Intégration et coopération régionale en Afrique de l’Ouest.


Editions Karthala, CRDI.

13
Saïd Hanchan, Abdouni Abdeljabbar (2006). La dynamique de la croissance économique
et de l’ouverture dans les pays en développement : quelques investigations empiriques à
partir des données de Panel. L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL.

SANA, A (2007). Les entraves au développement du commerce entre les Etats membres
de la CEDEAO. Mémoire, Ecole Nationale des Régions Financières.

SANE Malick (2013). Environnement économique international : Mondialisation,


Régulation, Intégration régionale et développement économique en Afrique. Cours de
Master 2 de Politiques et Négociations Commerciales Internationales, dispensé lors de la
VI éme promotion, UCAD.

Sébastien Jean et Françoise Lemoine. Ralentissement du commerce mondial : vers une


nouvelle ère de la mondialisation ? Éditions La Découverte, collection Repères, Paris,
2015.

SERRANITO F. (2001). L’impact de l’ouverture commerciale sur la croissance et la


convergence : un examen empirique. Economica, Paris.

Union Africaine (2012). Intensification du commerce intra-africain, questions liées au


commerce intra-africain, plan d’action proposé pour l’intensification du commerce intra-
africain, cadre pour l’accélération de la mise en place d’une zone de libre échange (ZLE)
continentale, conférence de l’Union Africaine, 18éme session ordinaire 29-30 Janvier
2012. Addis-Abeba (Ethiopie).

14

Vous aimerez peut-être aussi