Jannettaz, Édouard - Diamant Et Pierres Précieuses 1881
Jannettaz, Édouard - Diamant Et Pierres Précieuses 1881
Jannettaz, Édouard - Diamant Et Pierres Précieuses 1881
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/
ET
PIERRES PRÉCIEUSES
PARIS
1. — ÉMERAUDE.
2. — SAPHIR.
3. — AMÉTHYSTE.
4. — LAPIS-LAZULI.
5. — GRENAT.
7. — AGATE ONYX.
8. — TOPAZE.
9. — R UBIS.
10. — MALACHITE.
{{. — AMAZONITE.
DIAMANT
ET
PIERRES PRÉCIEUSES
— —
^-=-"--=C.a,I S T ALLO GRAPHIE DESCRIPTIONS EMPLOIS
"' s —
7v'!>Vi (/;À. ÉVALUATION COMMERCE
'
- -
JOYAUX ORFÈVRERIES
BJJJÉUX
. . ' , Vv." '''
PAR
PARIS
J. ROTHSCHILD, ÉDITEUR
1881
Tous Droits réservés
AVANT-PROPOS
Bijou, on nous réclame sans cesse un livre sur les Pierres pré-
cieuses.
logie pure.
Le traité d'Hauy lui-même, qui a été tant de fois utilisé par
les auteurs, n'est plus aujourd'hui au niveau des progrès de
la science.
nouveau gisement.
l'histoire et la fabrication du Bijou se rattachent
Enfin,
a
VI DIAMANT ET PIERRES PRECIEUSES.
ques du Muséum.
joyau.
Vice-président du Jury de la classe 39 {Joaillerie, Bijoute-
des lecteurs.
L'ÉDITEUR.-
ERRATA
"""———r*"""" Pages.
INTRODUCTION. — Formes cristallines. Propriétés physiques
et chimiques. 1.
PREMIÈRE PARTIE
Pages.
Pince à tourmalines ^8
d'extinction. Axes d'élasticité optique 79
Lignes
Anneaux colorés des cristaux à un axe optique. ...... 81
Prismes de Nicol 82
à lumière convergente 84
Microscope polarisant
84
Microscope
Phénomènes des cristaux à 2 axes - 87
optiques
93
§ 3. — Polarisation rotatoire
§ 4. — Couleur des pierres 93
dichroscopique 96
Loupe
98
§ 5. — Éclat. ,
CHAPITPvE IV. — PROPRIÉTÉS THERMIQUES ET ÉLECTRIQUES DES
CRISTAUX 99
Aiguille aimantée 104
CHAPITRE V. — DURETÉ 105
CHAPITR.E VI. — DENSITÉ OU POIDS SPÉCIFIQUE 109
CHAPITRE VII. COMPOSITION CHIMIQUE DES PIERRES 118
Le chalumeau 128
CHAPITRE VIII. — DU GISEMENT DES PIERRES PRÉCIEUSES. . . 130
CHAPITRE IX. — DES DIVERSES TAILLES 134
CHAPITRE X.— DE L'EMPLOI DES GEMMES DANS LES ARTS ET DANS
L'INDUSTRIE '. 151
Pages.
CHAPITRE XV. — QUARTZ; AMÉTHYSTE; AGATES 300
CHAPITRE XVI. — TURQUOISE 312
LA PERLE
LE CORAIL
pereur.
soleil.
CHAPITRE PREMIER
§ 1. —
Cristallographie théorique
ques.
Les cristaux sont des polyèdres/c'est-à-dire des corps
terminés par des plans; on a remarqué de bonne heure
DÉFINITIONS
(fig. 7), l'un des angles DAC est plus petit, l'autre DAB
arcs De, ef, fg... étant égaux, les angles DAe, ekf, fkg, le
(fig. 19).
Dans certains on voit que, si l'on mène
quadrilatères
une des le divisent en deux triangles, un
diagonales, qui
de ces est isocèle. On appelle ce quadrilatère un
triangles
cercle divisé, sur lequel on lit l'angle formé par les deux
l'espace comprise entre les faces ABD, ABC, ACD (fig. 27).
Si les trois angles BAD, CAD, BAC, sont égaux, on peut
mener par les trois arêtes BA, AC, AD, des plans de sy-
cristallographie.
cristallins. — Les formes des cristaux peu-
Types
vent être toutes à six différents, au moyen
rapportées types
elles font entre elles des angles qui sont aussi égaux à
sur l'autre.
gles; les deux bases perpendiculaires sur les pans sont des
rhombes ou losanges.
Axes. — Trois axes l'un des
rectangulaires, inégaux;
axes est parallèle aux pans; les deux autres axes sont pa-
CRISTALLOGRAPHIE THÉORIQUE. 17
4me : RHOMBOÉDRIQUE. — Le
système Type. rhomboèdre,
parallélipipède, dont les faces, toutes égales, et obliques
entre elles, ont toutes la forme de rhombes.
Axes. — Trois axes aux trois direc-
égaux, parallèles
tions des arêtes, et obliques entre eux.
5me : KLINORHOMBIQUE. — Quatre faces latérales
système
deux axes.
métrie :
fois.
2° Un élément, qui en remplace un autre, doit reproduire la
égaux.
solides — Ils doivent être du
Angles identiques. composés
même nombre d'angles dièdres égaux et seinblablement
disposés.
Telle a été longtemps la définition de l'identité cristal-
métrique.
autres.
sorte que, sur les huit, il y en a quatre qui ne sont pas mo-
moitié.
pède, dont les six faces sont toutes égales, et font deux à
gles.
Les angles dièdres sont tous égaux à 90°.
Diamant.
22 DES FORMES CRISTALLINES.
(fig. 33) ou OPQR, (fig. 31) ; plan febd ou STUY). Ces trois
plus former qu'un plan, les côtés MP, NP, MP', NP' res-
répète pour les trois axes, elle n'existe ici que pour l'axe
OU RHOMBIQUE
(fig. 52); d'autres enfin ont huit faces latérales (fig. 53).
En mesurant les huit angles dièdres de ces dernières, on
voit que les faces g1 et A1 font entre elles des angles droits
tangle.
Le plan de symétrie KLMN, parallèle à la grande diago-
nale de la base rhombe, laisse en
KLCDIHMN, ou le demi-prisme
l'autre.
plans.
obtus.
soit le mode suivi, deux angles solides présen-
Quel que
une seule obtus dans le premier cas;
tent espèce d'angles,
gles de 60°.
CRISTALLOGRAPHIE THÉORIQUE. 33
dièdres égaux.
Les dièdres AC, CD, étant égaux entre eux et aux diè-
dres opposés EF, FH; les arêtes AG, CD, EF, FH, corres-
le système du cristal.
vention.
ad.
latérales en zigzag d.
Figure 66.
Figure 67.
lMgure 68.
tO DES FORMES CRISTALLINES.
Douze arêtes b.
Figure 69.
taèdres.)
partie prismatique).
SYSTÈME DOUBLEMENT OBLIQUE. — Il n'y a plus de de
plan
symétrie.
Prismes à neuf Pans. — Ils ne se rencontrent que
LEUR DÉTERMINATION PRATIQUE. 43
tétraèdres à considérer en
Il y a d'autres cristallogra-
pierres précieuses.
Doubles à six Faces, OCTAÈDRES. Ce sont
Pyramides
44 DES FORMES CRISTALLINES.
quadrangulaire.
— Tous
OCTAÈDRE RÉGULIER (fig. 76) [système cubique).
les angles dièdres sont égaux à 109°28'.
principale symétrie.
1° OCTAÈDRES DROITS A BASE RECTAÈGLE
—
(3me système) (fig. 78). Caractéristique
— Huit dièdres
pratique. égaux B,B,....B,
(fig. 81).
— Dièdres
Caractéristique pratique.
de quatre espèces : (a) Quatre dièdres
et en bas. —
en haut, et leurs opposés F3, F4 en avant
en l'autre — Deux
dessus, opposé. (y)
dièdres K, l'un en dessus et en arrière,
l'autre — dièdres
opposé. (S) quatre B,
plan.
Les seuls dièdres qu'on peut trou-
En cristallographie, on divise
du primitif.
Emeraude.
SCALÉNOÈDRES — Doubles
(fig. 85). py-
ramides formées chacune de six triangles
scalènes. Dans chacune d'elles, les faces
dres.
Diamant.
PRISMES PYRAMIDES
P R E MIE R E SECTION
droite semblable.
les quatre arêtes D...D dont les dièdres sont égaux; 2°par
(fig. 93).
SYSTÈME KLINORHOMBIQUE. — 1° Combinaison du prisme
et d'un octaèdre ayant une section de même
rhombique
forme (fig. 94).
A droite et à du plan de symétrie on observe :
gauche
Quatre dièdres C aux arêtes des pyramides ; deux dièdres
et en un second de quatre
en avant bas; puis, système
en haut et en avant, deux en bas
dièdres égaux D, deux
oblique).
COMBINAISON D'UN PRISME ET D'UNE DOUBLE PYRAMIDE A
54 DES FORMES CRISTALLINES.
PRISMES PYRAMIDES
DEUXIÈME SECTION
arêtes P.
tout.
APPENDICE
DÉFORMATIONS
STRIES
CHAPITRE II
DU CLIYAGE
cristaux.
CHAPITRE III
PROPRIÉTÉS OPTIQUES
§ 1. — Propriétés générales.
le spectre wibvjovr.
La lumière la plus éloignée de la
rêfrangible.
les écrit dans l'ordre de réfrangibilité des
Lorsqu'on
couleurs représentent, ces noms forment un vers
qu'ils
alexandrin.
que r's'.
direction connue.
Indices
de réfraction.
Crown-glass 1.5
Cornaline 1.534
Strass incolore 1.58
Flint-glass ordinaire 1.576
Flint-glass, jaune, de Guinaud, avec acide borique. 1.777
Verre composé de 1 p. plomb, 1 p. silice 1.724
— 1 — 1 — 1.787
— 2 — 1 — 1.987
— 3 — 1 — 2.028
Borate de plomb 1.825
Silicate de plomb. . 2.123
Diamant environ 2.42
que par des procédés fort délicats. Comme elle peut ren-
Cette lumière est fournie par une fente éclairée par une
SUBSTANCES Coefficients
de dispersion.
Diamant. environ 0.044
Flint-glass, jaune, de Guinaud avec acide borique 0.049
Flint-glass ordinaire 0.036
Saphir, corindon bleu 0.029
Grenat. 0.027
Tourmaline 0.019
CroAvn-glass 0.019
Emeraude 0.015
Cristal de roche 0.014
— Double
§ 2. Réfraction et Lumière polarisée.
et R0R".
2° Ces deux rayons ont acquis des propriétés particulières.
Prenons, en effet, une tourmaline. La tourmaline est un
<\\ie, polarisée.
tesses variables.
rections .
la masse cristalline.
de lumière — Si un de ce
Bayon polarisé. rayon genre
entre dans un cristal à un axe optique, il s'y décompose
comme un rayon de lumière naturelle en deux réfractés,
optique.
Nous sommes en mesure maintenant de comprendre le
rapport à la seconde.
perpendiculaires
à leur propre direction ; elles
posantes
et elles entrent dans la seconde
restent simples, quand
80 PROPRIÉTÉS OPTIQUES.
s'éteignent.
L'axe nous avons axe est donc une
que appelé optique
d'extinction. Mais ce n'est la seule. Dans un
direction pas
nient grave.
il est à une tourmaline brune en marier
On peut, vrai,
fi
82 PROPRIÉTÉS OPTIQUES.
rassemblent et l'amènent au
à lumière — On
Microscopte jjolarisanl, parallèle. peut
munir un microscope proprement dit de deux niçois ou
même genre.
Il y avait, dans les cristaux biréfringents des systèmes
principale du nicol, on
observe parallèlement à
ces axes deux lignes
noires, bb', ce', une de
ces lignes, ce', sert de diamètre à des courbes analogues
à celles qu'on appelle lemniscates. Les
(fig. 124). lignes
noires bb', ce divisent l'ensemble de la en
figure quatre
quadrants, entièrement symétriques.
LUMIERE POLARISEE. 87
ligne 14) est plus grand pour le rouge que pour le bleu.
jour.
les des courbes au centre du cristal,
Joignons foyers
sent en :
ces ; à cause de cela elle est fort utile pour distinguer les
§ 3. — Polarisation rotatoire.
précieuses.
Couleurs accidentelles. — La des
plupart pierres pré-
cieuses ne doivent leur couleur qu'à des matières étran-
Violet. Améthyste.
Bleu. Saphir.
Vert. Émeraude.
Jaune. Topaze.
Rouge orangé. Hyacinthe.
Rouge. Rubis.
(fig. 123).
On s'explique facilement ce fait. Les trois axes du cris-
leurs, les variations que cet instrument leur fait subir dans
des parties pleines très fines, plus petites que les plus
— Éclat.
§ 5.
CHAPITRE IV
DES CRISTAUX
quant sur cette face (2), une petite sphère, un petit cône
Nous avons dit, dans notre chapitre sur les formes des
guille.
DURETÉ DES PIERRES PRÉCIEUSES. 105
CHAPITRE V
DURETÉ
épreuve.
Mohs a choisi dix substances cristallisées, qu'il prend
comme termes de comparaison, et dont l'ensemble a reçu
10 Diamant (carbone).
9 Corindon (alumine).
8 Topaze (silicofluate d'alumine).
7 Quartz hyalin ou cristal de roche (acide silicique).
sives.
par une pointe d'acier est au plus aussi dur que l'apatite
(n° 5) et ne peut être rangé parmi les pierres précieuses.
Puis on essaye d'une pointe de cristal de roche, du som-
ment fine, ou, pour mieux dire, si elle n'est pas artifi-
CHAPITRE VI
ci s'attachent à un petit
—1,05 = 3,52
0/298
qu'on ajoute.
Troisième — Le flacon est retiré ; on le débou-
opération.
che ; on y introduit le corps, qui fait sortir un volume
~— = 3,52,
' ' densité cherchée.
0,298
On peut avoir recours à des appareils moins coûteux,
ou d'un transport plus facile qu'une balance de préci-
sion.
dn corps.
114 PIERRES PRECIEUSES.
à de — Une de
3. Balance spirale Jolly. spirale
Calcul : = 2,55
^l
46,5
de M. Pisani. — M. Pisani le
5. Balance prend poids
CHAPITRE VII
exemple.
Les corps simples se subdivisent en 1° métalloïdes, qui
sont souvent gazeux ou liquides (oxygène, azote, brome),
souvent d'aspect pierreux (soufre), qui conduisent mal la
dium, etc.
nesol rougi par les acides; on les appelle des bases, et l'on
dit qu'un sel est composé d'un acide et d'une base. Les acides
KOCIO 5, KOCIO 7.
MgO APO 3.
donnent les 2 Si 1 de et de
péridots (MgO) O 2; magnésie
équivalents d'oxygène :
KO : AP O3 : 6 SiO 2
1:3: 12
parties :
Silice 39,62
Alumine 19,30
Oxyde ferrique 1,5
Oxyde ferreux 33
Oxyde manganeux 0,85
Chaux 3,28
Magnésie 2
Total 99,55
3 SiO 2
3 MO, M 203,
126 PIERRES PRÉCIEUSES.
CHAPITRE VIII
matières minérales.
dessus des plus anciennes. Les êtres animés qui ont vécu
CHAPITRE IX
dans cet art. Comme les Égyptiens, les Étrusques ont taillé
toire de la lithoglyptique.
d'une tête de clou tranchante sur les bords ; ils sont d'une
tincts.
que où cette taille fut inventée. Elle est réservée aux pier-
res incolores d'un grand prix, et surtout au diamant. Le
pierre.
On scie l'octaèdre suivant un plan GHIK, également
incliné sur ses faces, parallèle à sa base, de façon à enle-
ver une pyramide AGHIK, dont la hauteur = 4/9 de celle
de la pyramide ABCDE. La face GHIKestlataô/eT(fig. 134).
La pyramide tronquée GHIKBDCE sera la couronne, ou par-
tie supérieure, oudessus. A l'extrémité on enlève
opposée
également une petite pyramide FMNPQ dont la hauteur
= 1/9 de la ou de son ABCDE.
pyramide inférieure, égale
La petite face MNPQ sera la culasse, et la tron-
pyramide
DES DIVERSES TAILLES. 139
doit pas être trop mince, parce que la pierre casserait trop
facilement dans la monture, ni trop épaisse, parce que le
lants.
férieure.
minute. Les derniers sont les plus grossiers, ceux qui ser-
relatives.
Potée d'étain. —
Bioxyde d'étain, qu'on obtient en calci-
nant à l'air de rétain jusqu'à ce qu'il soit devenu presque
blanc. Il ne reste ensuite qu'à le à le laver
pulvériser, par-
décantation pour en retirer les les et
parties plus ténues,
débarrassées du métal qui n'aurait subi
pas l'oxydation.
Les liquides qu'on ces
emploie pour délayer poudres
sont l'eau, l'huile, l'alcool, l'acide
quelquefois sulfurique
(huile de vitriol).
DES DIVERSES TAILL1ÎS. 149
part sur une noix traversée par l'axe vertical qui supporte
les disques, et de l'autre sur la gorge d'une roue horizon-
tale emmenée par une manivelle qu'on fait tourner avec
la main, ou au moyen de bielles qui reçoivent leurs mou-
vements de machines Un établi la
quelconques. sépare
manivelle et le disque des pièces destinées à engendrer la
rotation. Pendant qu'il dirige la manivelle avec la main
cette.
autour d'elle.
CHAPITRE X
que des pierres dures; malgré leur prix élevé, les quelques
l'architecture.
L'UORLOGERIE
C'est vers l'année 1700 que pour la première fois les hor-
vois Flatio.
prix.
On se contente du rubis et parfois du grenat, que quel-
ques fabricants peu scrupuleux remplacent même tout
VITRERIE
recherchées.
GRAVURE ET FORAGE
rellement pointus.
On se sert du diamant et particulièrement du diamant
TRÉFILERIE
CHAPITRE PREMIER
PRÉCIEUSES
—
§ 1. Chez les Hindous.
gnes Bleues.
—
§ 2. Chez les Hébreux.
1875, p. 179.
Pidtah Topaze.
Baréket Emeraude.
Nofékh Rubis.
Saphir Saphir.
Iahlom Diamant ou onyx.
Lésom Hyacinthe ou opale.
Sebo Agate.
Aldemu Améthyste.
Tarsis Chrysolithe.
Soham Béryl.
laschcfah Jaspe.
— les
§ 3. Chez Égyptiens.
sement général.
Pour faciliter l'intelligence de ce qui va suivre, nous
voisines.
PIERRES VERTES
clarté.
verres colorés.
leur topaze est notre péridot, car notre topaze n'a rien de
passe (2).
4° Prase. — dit la Prasitis est une
Théophraste que
PIERRES JAUNES
1° — c'est une
Chrysolithe. D'après Pline, pierre
béryls.
2° Xanthes. — la le
D'après Théophraste, pierre porte
nom de la couleur appelée xanthos (jaune) par les Doriens.
PIERRES BLEUES
moyen du verre.
des saphirs.
Les — Dans les c'est sur un fond d'or
Saphirs. saphirs,
bien net.
168 PIERRES PRÉCIEUSES.
de Pline.
lâzur.
ou de lâzur.
PIERRES VIOLETTES
de jaune.
l'hyacinthe.
Une améthyste de premier rang doit, lorsqu'on la re-
PIERRES ROUGES
beaucoup de feu.
de papier.
Chalcédoine. — veinée, semblable à un charbon
Fragile,
medico, nous lisons que dans l'Inde les grenats et les hya-
cinthes se vendaient à vil prix, bien qu'on les ait placés
dans le groupe des rubis. Le grenat venait du royaume
de Cambaye et de Balaguate; Y hyacinthe, d'un rouge
avons vu, mais ce n'est pas une raison pour qu'il n'en
—
§ 5. Chez les Modernes.
rouges les unes des autres, et c'est ce qui a permis aux an-
portion.
Deux matières minérales sont de la même espèce, lors-
priétés physiques.
C'est à l'étude de ces propriétés essentielles des pierres
décrivant à sa place.
12
178 . PIERRES PRÉCIEUSES.
CHAPITRE II
LE DIAMANT
d'Aureng-Zeyb (1).
La chute rapide du vaste empire des descendants de Ti-
a exagéré même les qualités les plus vraies. Il lui prête des
et le marteau.
pierre n'a fait que lui assurer la première place parmi les
plus parfaites.
COMPOSITION CHIMIQUE. — Au de vue le
point chimique,
diamant n'est composé que d'une seule substance, de
PIERRES PRÉCIEUSES.
180
l'indice de réfraction.
l'Académie del Cimento, à Florence,
Ce fut en 1694 que
Cosmo III, exposa un dia-
sur la demande du grand-duc
miroir ardent, et que les aca-
mant à l'action d'un grand
Averoni et Targiani observèrent qu'il disparais-
démiciens
à peu sans fondre. Plus tard quelques expérimen-
sait peu
à le qu'ils le
tateurs ne réussirent pas brûler, parce
de l'air. C'est ce que Lavoi-
chauffaient à l'abri du contact
3,336 à 2, 678.
chaux, etc.
— cristallines.
§ 2. Formes
gras particulier.
— C'est aux faces de l'octaè-
Clivages. parallèlement
dre se divisent sous le choc du marteau les cristaux
que
Ceux ont la forme octaédrique sont appelés
réguliers. qui
—
§ 3. Propriétés optiques.
nate.
— Le diamant a un indice de réfraction con-
Liefraction.
de plomb.
La différence des indices extrêmes de réfraction ou lon-
lumière.
(1) JANNETTAZ, Bulletin Soc. min. de France, année 1879, t. II, p. 124.
LE DIAMANT. 187
§ o. — Gisements.
des de fer, de
nâtre, de jaspe, de silex colorés par oxydes
C'est la couche diamanti-
grès, avec corindon, épidote.
deux Sur les rives du
fère, épaisse d'un peu plusde pieds.
nombre de mines ; celle d'O-
Penar, il y a eu un grand
des trous de seize mètres de
valumpally, où l'on creusait
petits.
Vers le milieu du à Raolkonde, à l'ouest de
3° Kistna,
dapah.
Le d'extraction est des plus simples. Aux mines
procédé
de Gouel, exemple, après les grandes pluies de décem-
par
fort mal cette découverte. Il faut voir dans le Traité des dia-
mants et des perles par David Jeffries, joaillier [Y), la peine que
l'auteur anglais se donne pour démontrer que les préten-
dus diamants du Brésil venaient en réalité de l'Inde. En
que les eaux des rivières ont entraînés du haut des mon-
sultat.
comté d'Amador.
196 PIERRES PRÉCIEUSES.
calho du Brésil.
Rajah.
Chine. — Récemment on a avoir trouvé des
prétendu
diamants en Chine à Chin-Kan-Gling, soit à environ
15 milles au sud-est de Yichow-Foo; mais rien n'est venu
confirmer cette nouvelle.
nommé gouverneur.
Puis les Hollandais abandonné le Cap, les An-
ayant
en 1793 ; on était loin à cette époque de
glais l'occupèrent
les richesses son sol renfermait; on ne se
prévoir que
doutait le diamant crue l'on devait découvrir
guère que
sur une infime de son territoire produirait un jour
partie
des centaines de millions.
rente.
1879 à 25 millions.
chines à vapeur.
après avoir été trempé, est vidé sur une série de cribles de
différentes grandeurs superposés, dont le fin est en
plus
dessous.
lions.
Elle a établi une liste des courtiers admis qui est revisée
Pour être inscrit sur cette liste, il faut être présenté par
six marchands de diamants ou lapidaires dont un au
rents :
208 PIERRES PRÉCIEUSES.
en cas de contestation.
—
§ 6. Valeur du Diamant.
Cette règle des carrés avait été déjà discutée par Boëtius
de Boot, il y a près de trois siècles. De plus , on trouve
clans un livre publié en 1718 (Haudiquet de Blancourt,
LE DIAMANT. 211
1 à 24 grains.
de de cette classification.
diamants, spécimens
212 PIERRES PRÉCIEUSES.
i
POIDS I -1°SÉRIE 3° SÉRIE 2e SÉRIE 1,C SÉRIE
Nos ,
en carats I 2e eau 2e blanc courant 1er blanc
;': (i) Ce diamant n'a pu-être vérifié sur le poids, étant monté. (Note de l'in-
'ventaire.)
214 PIERRES PRECIEUSES.
Total 23.733.913
nouvelle.
§ 7. — Histoire de Diamants.
quelques gros
Le — De tous les
Régent. gros diamants, le Pitt ou
en brillant parfait est resté de 103 carats 3/4 (fig. 166 et 167).
Le Mogol.— Tavernier raconte que Mirgimola, attaché
de ce prince, un grenadier
français à son service la vola,
la vendit 30,000 fr. à un capi-
taine de vaisseau. Celui-ci l'au-
Fig. 170.— Le Sancy vu de côté. Fig. 171. —Le Sancy vu d'en dessus.
triche.
à 450,000 fr.
son adresse. Il les tailla dès aussitôt, l'un espais, l'autre faible,
et le troisième en triangle, et il y réussit si bien le duc,
que
M. de Laborde :
(1) DE LABORDE, Notice des émaux, bijoux, etc., exposés dans les
Jehanne d'Évreux).
1412. Un annel d'un dyamant gros, de 4 losenges en la
Bourgogne, 131).
1420, Un g petit diamant plat, rond, en façon de mirouer
Boot, qui était de Bruges, n'a pas dit un mot de son com-
patriote.
M. King, clans son Histoire naturelle des pierres 'précieuses
base de sa comparaison.
Les auteurs du moyen âge n'ont pas manqué de répéter
ce qu'avait dit Pline. Cela venait surtout de cette habitude
graveurs sur pierre pour obtenir les éclats dont ils fai-
Nous avons cité plus haut cette phrase d'un livre sans-
le Vajra. »
coupé que par
Dès le milieu du xvie siècle, Garcias ab Horto, médecin
temps.
Il est donc évident que Louis de Berquem n'a pas le
zarin.
toujours.
véritables artistes.
polissage.
On leur donne un nom général, la taille (fig. 180).
Le — Le diamant sans se
Clivage. pur, défaut, pré-
sente sous la forme d'un octaèdre (quatre ou d'un
pointes)
dodécaèdre (deuxpointes).
Mais il est rare qu'on le rencontre en cet état.
— servant
Fig. Outils
180. duDiamant.
auPolissage
236 PIERRES PRÉCIEUSES.
solidement.
en fer.
(fig. 181).
Le cliveur obtient deux formes, la principale, celle qu'il
recherche le plus, est le parfait octaèdre, désigné sous le
l'art diamantaire.
voulues.
— Le nous l'avons se
L'ébrutage. diamant, dit, peut
trouver sans défaut et avec la forme octaédrïque ; dans ce
seconde fois.
mant.
CHAPITRE III
CORINDON
— Le corindon cristallise
Propriétés géométriques.
sous la forme de prismes à six faces, dont les arêtes verti-
mélange.
Matières colorantes. — Le d'un blanc bien
saphir
(1) Voy. Bull. Soc. gêol. de France, 3e série, 3, p. 503, sur la propa-
gation de la chaleur dans les cristaux.
246 PIERRES PRÉCIEUSES.
Les plus vieux auteurs qui ont parlé des pierres ont tous
croise les niçois, la lumière est rétablie par toutes les di-
croscope d'Amici.
4; c'est une des plus fortes parmi celles des pierres pré-
cieuses; elle est souvent consultée, lorsqu'il s'agit de dis-
qui ont la même densité , mais qui ne sont que des gre-
nats. La dureté du saphir de l'Inde est, au dire des lapi-
daires, un peu plus grande que celle du rubis.
Appendice Emeri.
fer.
Sesquioxyde
Alumine, de fer. Chaux. Silice. Eau. Total.
Émeri de Gumuch. 77,82 8,62 1,80 8,13 3,11 99,48
— Naxos. . 68,53 24,10 0,86 3,10 4,72 101,31
,
— Chester /
( 44,01 50,21 3,13
(Massachussetts) \
CHAPITRE IV
S PIN ELLE
espinelle.
On ne connaît pas l'époque où le mot espinelle s'est in-
Formes — L'octaèdre
géométriques. régulier simple,
polarisée.
Éclat des plus vifs. L'indice de réfraction est de 1,81.
Les pléonastes de Haute-Loire ont souvent un éclat super-
ficiel gras, semblable à celui des diamants.
— d'un rubis de
Composition. Analyse spinelle Ceylan,
par Abich.
précieuses.
Nous nous contenterons de rappeler que. d'après les
lette.
•oxydes, comparé à celui qu'elle avait quand elle était vide, fait
con-
naître le poids de ces oxydes. Le tube de porcelaine est placé dans un
four à réverbère; on y fait passer un courant d'hydrogène sec, lequel
réduit l'oxyde de fer seul, puis un courant d'acide
chlorhydrique sec,
le fer à l'état de chlorure volatil; enfin, un nouveau cou-
qui emporte
rant d'hydrogène sec pour laver l'appareil. La nacelle j)esée a perdu
de son poids, et la perte est le poids du sesquioxyde de fer disparu. Le
résidu est de Yalumine.
haut.
17
258 PIERRES PRECIEUSES.
niques.
A Ceylan, à Siam, on le rencontre en cristaux roulés
le corindon.
gereux.
Valeur commerciale. — l'inventaire de la cou-
D'après
ronne :
CHAPITRE V
CHRYSOBÉRYL DE WERNER
prisme. Les bases des cristaux sont striées (fig. 190) paral-
lèlement à leurs diagonales aiguës.
260 PIERRES PRÉCIEUSES.
Unis.
Propriétés — Au le
chimiques. chalumeau, chryso-
béryl est infusible, insoluble dans les acides. En versant
sur la matière une ou deux gouttes d'une dissolution éten-
due d'azotate de cobalt, et chauffant fortement, on obtient
une coloration bleue. En ajoutant à la matière finement
lines. Elle est à.moitié opaque, d'un assez beau vert foncé
parente.
262 PIERRES PRÉCIEUSES.
CHAPITRE VI
EMERAUDE
rmTrFnR<ï
COULEURS. Noms des pierres
dans la joaillerie.
Vert émeraude ; vert d'herbe Émeraude.
Vert de mer (couleur d'eau de mer) Aigue-marine.
Vert pomme, vert mêlé de jaune (chrysobéryl \
des anciens joailliers) ; bleu pâle (aeroïdes de Béryl.
j
Pline), violacée, roussâtre /
Jaune verdâtre, très vif , Chrysolithe.
264 PIERRES PRÉCIEUSES.
— Pour
l'analyser, on la réduit en poudre aussi fine que
Anrdyse.
possible; on la dessèche, on la traite par qua.tre fois son poids de car-
bonate de potasse et de soude dans un creuset de platine, ce qui désa-
grège la matière; on laisse la masse fondue en digestion avec un
excès d'acide chlorhydrique jusqu'à dissolution complète; on évapore
à siccité. La silice rendue insoluble se dépose. On humecte le résidu
avec de l'acide chlorhydrique mêlé d'eau chaude; on jette sur un filtre;
on lave, dessèche, et pèse ce qui ne passe
calcine pas à la filtration,
et qui se compose de silice. La liqueur filtrée contenant l'alumine et
la glucine est versée après concentration dans un excès de dissolu-
tion chaude et concentrée de carbonate d'ammoniaque; on laisse le
tout digérer dans un vase fermé; on jette sur un filtre qui retient
l'alumine et l'oxyde de fer, s'il y en a ; on fait bouillir la solution fil-
trée, en sursaturant au moyen d'acide chlorhydrique; on laisse l'acide
carbonique se dégager quelque temps; on précipite la glucine par
l'ammoniaque.
ANALYSES D'ÉMERATJDES :
Oxyde
Oxyde de
Silice. Alumine. Glucine. de fer. Magnésie. Soude, chrome.
Emeraude)
verte de 67,85 17,95 12,40 1 0,90 0,7 traces.
Muso. )
action.
r f
Gisements. — Emeraude verte : En à sept ou
Egypte,
huit lieues de la mer Rouge, à quarante lieues au sud de
Pline.
de France figurent :
CHAPITRE VII
PHÉNACITE ET EUCLASE.
topaze.
La phénacite est souvent transpa-
rente et incolore.
de l'Oural.
les acides.
celles du quartz.
En Russie, on la taille quelquefois lorsqu'elle est très
limpide.
Euclase. — Silicate d'alumine et de glucine hydraté,
renfermant : silice 41,15; alumine 35,4; glucine 17,34;
eau 6,17.
Au chalumeau, elle fond difficilement en émail blanc,
l'Oural.
270 PIERRES PRÉCIEUSES.
CHAPITRE VIII
GRENATS
NOMS N0MS
COULEURS MS
DES LAPinAIlîBS ^PECES
en minéralogie
Almandine.
Rouge un peu orangé; couleur
yermeiUe_
du vin de Mâcon.
l'hyacinthe.
Densité. — La densité de l'essonite est de 3,66 ; celle de
(fig. 199), dont les arêtes sont remplacées par des facet-
tes planes ; enfin, les formes précédentes combinées avec
des facettes de l'octaèdre régulier.
Composition — de de
chimique. Analyse l'hyacinthe
Ceylan, par Gmelin : silice 40,01 ; alumine 23; protoxyde
de fer 3,31 ; chaux 30,57 ; potasse 0,59; au feu 0,33.
perte
Lorsqu'on traduit en équivalents chimiques les résultats
de cette analyse, on obtient : 3 équivalents de silice ou
La formule s'écrit :
3 3
(CaO) APO (SiO 2) 3.
lieu de 100.
Gisements. — se rencontre en
L'hyacinthe galets qui
ressemblent à du sucre candi roux dans les alluvions du
district de Matura, île de Ceylan. Elle provient sans doute
des gneiss où elle est disséminée.
d'almandin. .
pays.
A Triblitz, à Posedlitz, ils sont d'un rouge de sang plus
276 PIERRES PRÉCIEUSES.
grès, etc.
luxe.
des grenats.
Les cristaux sont des prismes à base carrée, terminés
(fig. 200).
La couleur varie du vert clair au
CHAPITRE IX
C0RD1ERITE
qui n'est bleue, comme nous l'avons dit plus haut, que
dans une seule direction. L'indice de réfraction n'est que
de 1,537, pour les rayons orangés. Son peu d'éclat, sa
CHAPITRE X
feldspath orthose.
alcalins.
est inclinée sur les pans de 112° 16', et sur l'arête anté-
PIERRE DE LUNE, LABRADOR. 281
base inclinée sur deux faces d'un prisme sous des an-
pour dureté 6.
elle n'est pas attaquée par les acides. Elle se clive suivant
ou de l'angle supplémentaire.
Labrador. — Autre de silice 52,9 :
feldspath, composé
alumine 30,3; chaux 16,52, répondant à la formule
jaune d'or vif. La densité est de 2,65 dans les variétés les
CHAPITRE XI
PÉRIDOT OU OL1VINE
CHAPITRE XII
ZIRCON
33 de silice.
(jargons).
L'indice de réfraction est en moyenne de 1,93. L'éclat
CHAPITRE XIII
TOPAZE
Saxe) (fig. 205), ou bien les deux angles aigus sont tron-
blables.
— Les cristaux se divisent sous le choc du
Clivages.
marteau en tronçons de prismes ; la division a lieu paral-
lèlement à la base. C'est un clivage très net.
— au travers
Propriétés optiques. Lorsqu'on regarde
d'une lame de topaze à faces parallèles obtenue par cli-
Noms donnés
COULEURS par les lapidaires.
procédé.
observe à un fort grossissement les topazes
Lorsqu'on
du Brésil et celles d'Ecosse, on y aperçoit une foule de
pendeloques, etc.
On en possède quelques-unes fort habilement gravées.
294 PIERRES PRÉCIEUSES.
CHAPITRE XIV
TOURMALINE
Europe en 1707.
de prismes à 6 ou à 9 pans.
sulfurique concentré.
tourmalines. — La des
composition chimique espèces
de ce groupe variant beaucoup, malgré l'identité de leurs
au mont Rozena, en
Europe, on en trouve Hradisko, près
Au la tourmaline se présente en
en partie rouges. Pérou,
sil.
roches de M. Daubrée).
(hyalotourmalite
et — Les tourmalines se travaillent sur
Taille Usages.
francs.
300 PIERRES PRÉCIEUSES.
CHAPITRE XV
QUARTZ
jaspes.
Le mot de quartz a une origine germanique. Agricola
disait quertze, au xvic siècle.
rents sens.
304 PIERRES PRÉCIEUSES.
oxyde.
Les rubasses s'obtiennent en chauffant le quartz et en
de belles améthystes.
— Le n'est cristallisé
Agates. quartz pas toujours ; quel-
gramme.
Les plus beaux jaspes viennent d'Egypte; il y en a de
Guzérat.
— les sont formées comme
Opales. Chimiquement, opales
le quartz d'acide silicique, mais d'une constitution diffé-
densité que l'opale, et, dans l'air sec, elle devient complè-
tement anhydre (1). La silice de l'opale a surtout pour
caractère d'être amorphe, comme la silice du quartz lors-
d'ojjcde de feu.
CHAPITRE XY1
TURQUOISE
choïdale.
DE PIERRES PRÉCIEUSES,
priétés.
316 PIERRES DEMI-PRÉCIEUSES.
CHAPITRE PREMIER
SILICATES
spinelle et de l'émeraude).
1° Diopside. —On peut signaler le pyroxène diopside
qui peut fournir des pierres analogues au péridot. La
au diopside.
2° Rhodonite. — Silicate de de
manganèse, composé
(Pumpelly).
La jadéite.est un peu plus dure que le jade, un peu moins
riété d'un vert tirant sur le vert émeraude qui est préférée
aux autres.
4° — de et de Pline,
Serpentine. Ophites Théophraste
ainsi appelée parce que ses nuances variées la font res-
verre brun foncé au feu oxydant. Elle est attaquée par l'a-
blement obliques dont les faces font entre elles des angles
de 106° 15,, 93° 50', 100° 50', d'après vom Rath (fig. 214).
Souvent les cristaux sont colorés en
d'un rouge hyacinthe, mais dans les autres ils sont verts
peu près celle d'une pointe d'acier, elle est un peu supé-
rieure à 5, la densité varie de 3,3 à 3,7; elle est encore à
peu près suffisante pour les classer parmi les pierres pré-
cieuses ; mais les cristaux sont rarement assez gros et assez
gles supplémentaires 64° 30', 44° 34', 450 12' (fig. 216).
Ces deux derniers angles fort aigus donnent aux cristaux
CHAPITRE II
CARBONATES
meubles de luxe; elle est coûteuse pour cet usage; elle n'a
(fig. 217).
Nous avons vu dans la première partie (Cristallogra-
ou tous les rhomboèdres sont reliés entre eux par des rap-
appelle les lois de dérivation, et que ces lois y ont été vé-
de l'autre.
reté 3.
Caractères — Au le calcaire
chimiques. chalumeau,
se transforme en chaux caustique, et la flamme acquiert
un vif éclat. Il fait effervescence avec les acides, et la so-
PIERRES D'ORNEMENTATION. 329
châtres.
ment).
La serpentine, silicate hydraté de magnésie, de couleur
incolores.
plusieurs couleurs.
tout leur éclat que sur des morceaux d'un certain volume.
CHAPITRE III
SULFATES
(fig. 220).
Souvent on observe un assez grand nombre de facettes
CHAPITRE IV
FLUORURES
vient nécessaire.
CHAPITRE Y
SULFURE
CHAPITRE VI
MATIÈRES ORGANIQUES
vient l'ambre.
Pline dit : Il est certain que l'ambre naît dans des îles
naires.
qu'il ne pouvait pas savoir, c'est que ces pins sont d'une
que des vases, des coupes. C'est une matière des plus
utiles comme combustible, mais sans valeur comme objet
d'ornementation.
TABLEAUX
PIERRES VIOLETTES
i —
-a -g
g ~ NOMS ESPÈCES
« Y, ÉCLAT, COULEURS, ETC.
Q a DESLAPIDAIRES. MINÉRALOGIQUES.
PIERRES BLEUES
% E NOMS ESPECES
ai Y. ÉCLAT, COULEURS, ETC.
5 S DKS LAPIDAIRES. MINÉRALES.
H ?
H p NOMS ESPECES
à £ ÉCLAT, COULEURS, ETC.
P g |)KS LAPIDAIRES. MINÉRALES.
Mêmes caractères.),. . T,
_,, ,A (Aigue-marme Idem.
Bleu verdâtre. .
b. — TRANSLUCIDES.
7 2,65 Peut recevoir un beau
poli. Action faible! . .
il-.
sur la lumière i 'Saphirine.
' Quartz,
vuani.
pola-'
risée. j
DÉTERMINATION PRATIQUE. 349
! ' 'W -H
55 U NOMS ESPÈCES
•5 tf ECLAT, COULEURS, ETC.
p p DES LAPIDAIRES. MINERALES.
NOMS ESPÈCES
DENSITÉ
DURETÉ ETC.
COULEURS,
ÉCLAT,
DESLAPIDAIRES
MINÉRALES.
4 9 Vert
tendant
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j Émeraude
/
i . -p
ùEclat ( , , i Corindon.
j vit. \ orientale.
\
65 7
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pointe
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Agate.
Vert vertpomme.
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simplement jaune. (
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Aventurine
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1 dansdu> des }Quartz.
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quartz. i Indes.]
|
1 2,59 6 Souvent
aventurine. Microcline.
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Éclat
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/ 2,65 7 Vert
poireau. Prase. Quartz.
NOMSESPÈCES
DENSITE
DURETE ETC.
COULEURS,
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LAPIDAIRES.
DES MINÉRALES.
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Couleur
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Aigue-marine|
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j
B
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3'54 8 Éclat Topaze.
Aigue-marine »
couleur
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assez Émeraude.
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2,65 7 vitreux.
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h*
I 4,6 7,5 Éclat
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Réfraction .
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Cymophane.
Double
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unpeuverdâtre \ ^,o ^ vif,adamantin.
Eclat Sphène.S])hène.
8 Éclat
vifetvitreux. Topaze.Topaze.
unpeugras. Chrysolithe.
3,3 5à6 Eclat Péridot.
13,54
2,7 vifetvitreux. Béryl. Émeraude.
7,5 Éclat
2,7 7 Éclat
vitreux. Quartz.Quartz.
2,65 7 variables.Jaspes.Quartz.
Nuances
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taches rouge Quartz,
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2,7 6 Vert
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lesoir. noble.
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2,7à 3 6 Fond vertavec Porphyre
blancs. [ vert, Pyroxène.oa
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1 ...
354 PIERRES TAILLEES.
PIERRES JAUNES
Transparentes et translucides
NOMS ESPÈCES
DENSITÉ DURETÉ COULEURS, ÉCLAT, ETC.
DES LAPIDAIRES MINÉRALES.
4,6 à 4,7
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Jargon.
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\ Topaze ,
4 9 Eclat vif, ' adamantin.\ ... Corindon
WUiluul 1,
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Opaques.
NOMS ESPÈCES
DURETÉ
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ÉCLAT,
COULEURS,
DES MINÉRALES.
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3,53,7 7,5 vif.
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3,5 8 Éclat
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DENSITÉ
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COULEURS,
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violacé.
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manifeste;plusrougelgrenatsyrian[
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éclatant
etmoins )
soir. J
NOMS ESPÈCES
DENSITÉ DURETÉ COULEURS, ÉCLAT, ETC.
DES LAPIDAIRES. MINERAI.OGIQUES
PIERRES INCOLORES
1 H . S~ « g NOMS ESPÈCES
£ B ECLAT, ETC. -S 3
[ïj D ?" a DES LAPIDAIRES. MINERALES.
fi « ~ ë
PIERRES IRISEES
NOMS ESPÈCES.
DENSITÉ DURETÉ ÉCLAT, COULEURS, ETC.
DES LAPIDAIRES. MINERALOGIQUES.
2,62 7 Couleurs de
l'arc-en-j
ciel pour certaines
^ QnaT^
incidences de la lu-(
mière réfléchie. ]
PIERRES CHATOYANTES
NOMS ESPÈCES
DENSITÉ DURETÉ ÉCLAT, COULEURS, ETC.
DES LAPIDAIRES. MIN'KRALOGIQUES.
PIERRES NOIRES
NOMS ESPÈCES
DENSITE DURETÉ COULEURS, ÉCLAT, ETC.
DES LAPIDAIRES. MINÉRALES.
Porphyre ) Pc
2 7 à 3 6 Fond noir avec cris-'
, , .' -nnir-
noir- \ pyroxene
j J ... ou
taux blancs. \ ,
. \ amphibole.
2,65
*' 7 Cercles concentri-J )
. /Agates onyx./
ques alternativement' . f
6S
noirs et blancs, oui . .ga / Quartz.
\ baignées. \
noirs et rouges. j j
GÉNÉRAL
TABLEAU
m
L AI^O
PRINCIPALES
±-iu«i,ii PRÉCIEUSES
PIERRES
DES
ESPECES QUIFOURNISSENT
MINERALOGIQUES
:
_, : n *
KT
ROUGE BRUN -g' -g ,S .
NOMS VERT PRÉVERT VERT ROUGE us a S
SI-EU bouteille clair. ROUGE VIOLET e t INCOLORE g g «
-DESESPECESBLEU VERTVEBT JAUNE OlilNGÉ orangé
• " a ° -a
vérdâtre. VERT ° vi0lacé. sois «
minéralogiques. d'herbe. olive.jaunâtre. i^^___ __„__«—^—^-.H
; " : ~~ Incolore....3,52 10 Simple.
! ' oran-é
° -Noir
DiamantBleu Vert Vert jau-Jaune Souci
orien-
Rubis Améthyste blanc
Saphir 4 9 Double.
Corindon Saphirde Emeraude Emeraude
Aigue-ma- Topaze tal. orientale.
Birmanie, orientale,
orientale
rine orien-
orientale
deCeylan taie. 8Q c- i
oimpie.
Rubis
spi- Pléonaste .. 3,6
Almandine I
SpinelleSpinelle Rubicelle. nelle. spinelle.
bleu-
3,8 8,5 Double.
Cymophane Alexandri- Chrysolitbe Chryso-
te. orientale,béryl. , 7 7. i(L
Emeraude BérylBérylEmeraude Aigue-ma- Béryl
Béryl....
Rubis
du Goutted'eau3,51 8 id.
Topaze...BleueBleu ver-
dûtreTopaze....-. Aigue-ma-Topaze ..Topaze... Brésil.
rine. _ /,'> Î^ w-
'" Incolore 2,98
Phénacite __ .,
Rubellite Noire 3,1 ',^
Tourmaline duBleu
Saphir ver-
. Emeraude
Tourma- Orangé... Sibérite.
Brésil
oudâtre. duBrésil,
line.
indicolithe - .-,
2,61 7,5 id-
CordiériteSaphir
, Grenat
Hyacinthe orien-
Grenat
sy- 3,6 à4,3 7,5 Simple.
Grenat : Ouwarovi- deVert
Olivine clair. Orangée.. deCeylan tal. rian.
te. Sibérie. Gr.de
Bohè-
me.
Gr.
syrian.
Gr.
duCap.
Vermeille.
Hyacinthe Jargon4,5 à4,7 7,5 Double.
Zircon Zirconbleu Jargon...Jargon..
'" 2,615à6 id.
DisthéneSappare
11 „, env. 7 _lu.
;J
3,4
Péridot • Olivine...
Olivine . , de
,
Topaze Améthyste.. Quartz Cristal
Quartz Bleu
hyalin.. Vert Fausse Topaze. d'Espagne enfumé, roche A™ /
d'Espagne ,
topaze.
Cornaline -„,.;,.
Agates...Calcédoine..2,66 n,
,„ id
m.
Quartz
agate..
Saphirine Chryso- Prase Sardoinc.
Sardoine.
- - prase.Plasma. „, „,„ -7 :A
id.
Opalerose Opale .2,66
résinite.
Quartz .' ;_4 i de
Pierre
Feldspath Amazonite
Amazonite lune 2'59 . B
366 PIERRES TAILLÉES.
OBSERVATIONS
PIERRES VIOLETTES
(page 304-).
PIERRES YERTES
prement dite n'a que 2,7 pour densité ; elle raie faiblement
le quartz. Il serait difficile de confondre avec elle la diop-
sensible.
trope.
Ce sont des agates, variétés de quartz, des densi-
ayant
tés voisines de 2,65 ; la même dureté, 7. La est
chrysoprase
d'un vert pomme ; la prase d'un vert poireau ; le plasma
d'un vert foncé ; l'héliotrope d'un beau vert de
parsemé
OBSERVATIONS 371
malachite, etc.).
372 PIERRES TAILLÉES.
PIERRES JAUNES
moins vif.
ditions.
OBSERVATIONS. 373
PIERRES ROUGES
aucune difficulté.
jaune d'or.
REPRODUCTION ET IMITATION. 275
CHAPITRE VII
PRÉCIEUSES
cet arl.
REPRODUCTION
espèces minérales.
376 PIERRES PRÉCIEUSES.
du corindon.
chromate.
380 PIERRES PRÉCIEUSES.
parentes.
Le rubis est donc réellement reproduit en grand. Le
expérience.
Toutes les tentatives ont échoué jusqu'ici. Les matières
obtenues par Cagniard de La tour, par Gannal, n'étaient
point du carbone.
métalliques.
Les chimistes modernes emploient. comme verre du
Strasser.
de France, t. I, p. 1.
(1) Bull. Soc. minéralogique
(2) Fbid., t. II, p. 113.
382 PIERRES PRÉCIEUSES.
tiens.
gent.
Pour reproduire l'aventurine, à du verre à glace,
384 . PIERRES PRÉCIEUSES.
nuances.
Acad. -
(1) Comptes rendus, se, 1869,'vol. LXIX, p. 1342.
REPRODUCTION ET IMITATION. 385
AUTRES — consistent en
CONTREFAÇONS. Quelques-unes
morceaux de verre taillés renfermant dans leur épaisseur
des fragments de pierres vraies, de métaux ou de papier
de gélatine coloré. On y a introduit jusqu'à des liquides à
ORFÈVRERIES
PREMIÈRE SECTION
ORFÈVRERIE ANCIENNE
— Le mot éveille en
Temps préhistoriques. bijou
nous l'idée d'une chose précieuse, autant par la finesse et
gines.
Bien certainement, les premières parures, si grossières
Paris :
Parmi tous les corps qui, par leur forme, leur éclat ou
vir à fabriquer des armes, il est trop mou pour cela; tout
Ainsi que tout le monde le sait, l'or natif n'est pas pur.
On le trouve mélangé à une certaine quantité d'argent qui
peut varier entre six et vingt pour cent, suivant les con-
trées. C'est dans cet état que les premiers artisans durent
ou un éclat de pierre. Ce
Saïte.
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sons d'or (fig. 232). Deux fort beaux bracelets larges ouvrant
ÉGYPTIENS, GRECS ET ROMAINS. 397
que plus tard encore, sous les Ptolémées, ils surent fon-
sonné.
miers camées.
phéniciens (1).
décoratif.
(1) « Junon se rendit dans la chambre que son fils Vulcain lui avait
bâtie, et dont il avait assujetti les portes aux solides jambages, à l'aide
<ÏU7i fermoir secret qu'aucune autre divinité ne pouvait ouvrir. » (Iliade
ch. xiv.)
(2) Iliade, ch. xvm.
ÉGYPTIENS, GRECS ET ROMAINS. 401
C'est par les Grecs que l'art de travailler l'or s'est pro-
pagé en Italie, de même que l'art, dans lequel ils excel-
(fig- 247).
Les Italiens se servaient du gau-
filigranes.
Fig. 248. — Estampe italo-
• en or (Cabinet
Les filigranes, le mot l'indique, grecque
des Antiques).
sont des ornements composés de
jour. Souvent le fil est remplacé par deux fils très fins
effet plus riche que le fil simple, produit des tons mats
Scandinavie, le filigrane
a été employé de temps
allure et un caractère
Fig. 251. — Brace- Fig. 252. — Collier fait en Perles de verre diaprées,
let étrusque en or rehaussées d'une Chaîne, de deux grains et de pen-
(Musée Campa- dants d'or. Au centre une tête de Bélier en or (Musée
na). Campana.)
d'autre façon.
Nous ne savons si nos grands-parents se sont longtemps
contentés d'ornements aussi simples, mais, à l'époque où
agréable et puissant.
Dans la plupart des objets re-
de bras de huit
Fig. 255. — Fils d'or tournés plats, larges
(Musée de Saint-Germain). centimètres au moins et striés
triques répétées et
Fig. 260. — Fibule en bronze doré ornée Fig. 261 et 262.—Deux épingles à
de grenats plats (Musée de Saint-Ger- bec recourbé. Surmoulage (Mu-
main). sée de Saint-Germain).
Fig. 263. —Bijou d'or trouvé à Jouy- Fig. 264.—Bague trouvé à Jouy-le-
le-Comte (Musée de Saint-Germain). Comte (Musée de St-Germain).
polissaient.
Mentionnons encore
grandes dimensions,
destinées sans doute
vrages de saint Éloi, parle dans les termes les plus élogieux
de la délicatesse du travail de lapidaire et d'enchâsseur de
Vers la fin du xic siècle, ils ne sont pas bien fortunés en-
les ostensoirs.
sans emploi.
Pendant tout le cours duxve siècle, l'orfèvrerie française
fut loin de prospérer. Les temps malheureux sont peu fa-
mains 271). Le
(fig.
la composition est
plètent l'ensemble.
exécutée dans un
ovale de 45 millimè-
admirer l'exécution
extraordinaire de ces
deux morceaux. Le
nes.
émaillés.
feuillages et en enlacements.
les que chaque école lui fournissait. Elle fut pendant tout le
L'orfèvrerie alle-
personnages empruntés
à l'histoire religieuse. Fig. 275. — Pendant du XVIIe Siècle (École
allemande. Musée de Dresde).
La pendeloque n° D,
Un autre pendant
représente la Foi. Sa
(1) Les ornements appelés cuirs tirent leur origine de l'usage qui
avait existé de dessiner et de peindre les cartouches d'armoiries sur
une peau de bête. Ces peaux, exposées au soleil et aux intempéries,
se gondolaient et se roulaient sur elles-mêmes, surtout dans leurs
parties les plus isolées, comme pattes la tête,
et la queue.les Ce
principe d'ornementation fut donc, comme tous les autres, suggéré à
l'homme par la nature. Il n'est pas difficile de retrouver dans les pre-
mières compositions de ce genre, qui gardaient encore une sorte de
simplicité, les indications que nous venons de donner. L'imagination
des artistes s'empara ensuite de cet élément décoratif et le développa
en cent manières, lui faisant subir des modifications successives qui
l'ont emporté bien loin de son point de départ.
LA RENAISSANCE. 431
reste plus une pièce. Tout a été détruit en 1688, et, n'é-
une idée.
r3
oe
CD
CL,
a-
o
o"
Q
P
y.
m
O-
O.
CD
distance par des liens en petites roses. Ces liens sont les
composition.
LES XVIIe ET XVIIIe SIÈCLES. 439
Cette industrie,
cruellement attein-
commencement du
xvme siècle, et, sui-
introduisit le goût
de la rocaille dans
cueil, Orfèvrerie du
bijoutiers-joailliers de ce règne.
C'est vers la même époque que prend
Fig. 289. — Carnet. — Époque Louis XVI Fig. 290. — Étui en émail
(Collection du Louvre). bleu, Époque Louis XVI
(Collection du Louvre).
principes de la fraternité.
pas d'hier (1). Cette locution est aussi vieille que l'orfèvrerie
(1) Nul orfèvre ne peut, à Paris, travailler l'or qui ne soit à l'étalon
de Paris ou meilleur, lequel étalon surpasse tous les ors qu'on travaille
dans tous les pays du monde. (Extrait des règlements en usage parmi
les maîtres-orfèvres dès avant le xme siècle, recueillis et rédigés par
Etienne Boileau, titre XI du Livre des métiers.) —Le règlement donné
aux orfèvres de Gand, en 1338, par Jacques Arteveld, porte que les
pièces d'orfèvrerie seront en or à la touche de Paris.
446 ORFÈVRERIE MODERNE.
DEUXIÈME SECTION
ORFÈVRERIE MODERNE
en cuivre.
siblement.
à côté les uns des autres. Les plus habiles découpent des
d'oeuvre.
était tombée.
savoir-faire.
important.
Parmi ceux dont le goût, la participation, et quelque-
fois la direction, vinrent, dans cette lutte , en aide à la fa-
réellement le créateur.
(1) Toutes ces pièces ont été exécutées dans les ateliers de Fontenay.
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878
A PARIS
tique, mais parfois un peu lourd (fig. 293). Tous les dessous
Fig. 203. — Bracelet indien en or émaillé vert orné de Diamants dits Labora.
Envers émaillé.
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878. 4o/
ventions grecques,
et quelquefois les
conceptions bar-
baresqncs.
Les Chinois font
un genre de bijou
particulièrement
Fig. 295. — Emeraudo incrustée do Dessins d'or.
sur la tête (lig. 296).
Il se compose de fleurs, de feuilles et quelquefois d'orne-
(1) Les Chinois, lorsque les moules bâillent au soleil, s'en appro-
chent sans bruit, et introduisent rapidement entre les deux valves un
petit bâton qu'ils assujettissent debout pour les empêcher de se refer-
460 ORFÈVRERIE MODERNE.
France.
très grande.
A côté de ces dignes d'éloges, nous ne pouvons
objets
constater l'infériorité du reste. C'est une profusion
que
banale de se répétant à l'infini, de mo-
bijoux filigranes
(1) Zuloaga.
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878. 463
fin, très riche et très chaud; puis une vaisselle (1), dont
véritable trouvaille.
naître, sur ceux qui sont faits d'une feuille d'or mince,
la trace du travail primitif d'ornementation obtenu
à l'aide d'un style , dont nous parlons et
plus haut, que
nous considérons comme le plus ancien mode employé
pour décorer les bijoux d'or.
Il nous reste maintenant à examiner les fran-
produits
çais.
(1) Tiffany et O.
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878. 467
soires.
byzantin au japonais.
Parmi les bons morceaux d'orfèvrerie qui étaient expo-
sés dans la classe 24, nous nous plaisons à rappeler :
que l'argent :
l'exécution (2).
Comme pour justifier la classification de 1867, l'orfèvre-
(1) Poussielgue-Rusand.
(2) Armand-Caillat de Lyon.
EXPOSITION UNIYERSELLE DE 1878. 471
(1) Ferré.
474 ORFÈVRERIE MODERNE.
sés, sans que l'or ou l'argent qui les sertit soit apparent
nulle part.
Le grand art du joaillier monteur consiste à mettre les
règle générale :
son;
ou de poignée facile
àtenirdanslamain,
et indique sur la
surface d'argent,
avec une pointe en
le trou respectif
qu'elles occuperont
retirée du ciment.
moire. L'ouvrier la
retourne de façon
Fig. 303. — Bouquet de Joaillerie en Préparation,
par Massin. à la tenir à l'envers,
et, avec une petite scie très fine, qu'il entre successivement
(1) La bouterolle est une sorte de marteau sans manche arrondi par
un bout, en forme de boule et poli. On s'en sert en frappant sur l'au-
tre extrémité avec un marteau. Elle est en acier. Il y en a de toules
grosseurs.
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878. 477
i
la remet à la polisseuse.
Celle-ci polit seulement la mise à jour, c'est-à-dire l'in-
au sertisseur.
filets.
festonné.
Si une partie de la pièce a dû être sertie à griffes, l'ou-
(1) Massin.
(2) Soufflot.
(3) Boucheron.
(4) Rouvenat et Lourdel.
(1) Massin.
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878. 481
quable ensemble.
(1) Fouquet.
(2) Massin.
(3) Boucheron.
(4) Téterger Hippolyte.
(5) Bapst.
(6) Rouvenat et Lourdel.
31
482 ORFÈVRERIE MODERNE.
nées, nous devons dire que ces progrès sont dus pour une
vrir de sa protection.
Ce groupe en ronde-
tention et la retient. Un
(fig. 318). Une coupe (2) en émaux limousins dus aux pin-
d'oeuf, est fait d'une dentelle d'or très fine dont les détails
courent sur un fond d'émail gris translucide. Il est décoré
de quatre plaquettes d'émail peints par Richet, dont deux
(1) Hubert.
(2) Froment Meurice fils.
(3) Boucheron.
(4) Fontenay.
(5) Falize fils.
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878. 485
vl) Garreaud.
486 ORFÈVRERIE MODERNE.
couragés.
Nous nous plaisons à citer L. Falize fils, comme un des
au prix de la façon.
Cette variété infinie constitue, on peut presque dire,
bijouterie.
devra être remplie par l'or et qui doit être aussi mince
qui
couleur.
bijouterie riche.
(1) Boucheron.
494 ORFÈVRERIE MODERNE.
rant.
Fig. 321.— Boucle ont fourni les types (1). Les petites cloisons
d'oreille en Tur-
quoises taillées. qui forment le dessin sont tournées une
dinaire à ce genre de
émaux translucides
ques. La couverture de
(1) Fontenay.
496 ORFÈVRERIE MODERNE.
à aucune époque.
Les émaux à jour qu'il faut voir du côté opposé à celui
par l'exécution?
bien sage d'en conclure que les modèles que nous leur
({) Lion.
(2) Filon.
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1878. 499
(5) Leblanc-Granger.
500 ORFÈVRERIE MODERNE.
(1) C. Hamelin.
CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES. 501
signification.
La — ici nous touchons au
quatrième qualité, point
— c'est la Il faut convenir les
délicat, composition. que
la domine et la surmène.
sommation s'agrandit.
Il faudrait faire, à bon marché, un bijou ayant du carac-
SOCIÉTÉS ET FONDATIONS
STATISTIQUE
blé, ainsi que celle de l'imitation, fait qu'on peut, sans être
Acéphales-Lamellibranches.
Ces derniers ont été partagés en un certain nombre de
l'inégale valeur.
beaucoup d'intelligence, là
pacotille, là où le mollusque
a sécrété un chef-d'oeuvre.
bord antérieur (fig. 331 et 332). Les perles libres sont ar-
HISTOIRE NATURELLE. 513
n'appartiennent pas à la
laire, qui
La couleur blanche Fig. 333. — Coupe
perle. légèrement
de la Perle.
bleuâtre est la plus ordinaire pour les
v —
Production des Perles. En commençant l'histoire
des opinions qui ont eu cours sur la production naturelle
des perles, nous avouons n'être pas très disposé à y voir
aussi les perles libres, qui ont tant d'analogie avec les
premières.
Le calcaire est introduit dans le réseau vasculaire qui
calcaire, qui lui est imposée par les énergies d"un orga-
nisme vivant. Voici de quelle façon Hessling explique
cette formation : La substance extérieure se coagule en
tuer une maladie des êtres qui font des perles, n'a plus
maintenant pour nous cette signification. Au lieu de les
en plaindre, il faut les en féliciter. Et si nous voulions
à toute force conserver à la sécrétion calcaire ce nom
HISTOIRE NATURELLE. 521
bancs.
et persans.
Des gisements du golfe Persique, en continuant vers
Angleterre 20,000
France 80,000
Hambourg 200,000
Pêches. — A la est
Ceylan, pêche pratiquée par des
sortilèges.
Les dix plongeurs de chaque barque se sont partagés
en deux séries, devant successivement opérer. Ils se désha-
150 francs est un prix fréquent. Les huîtres, mises dans des
pections successives.
4 grains. 4 5 6 7 8
8 grains. 8 10 12 14 16
12 grains. 12 15 18 21 24
du lait.
cygnes (lig. 334) et dans des cours d'eau où, sans doute,
les conditions sont bien meilleures.
pour suivre cet exemple venu de si haut, et, dès les temps
les plus reculés, elles firent servir les perles à leur parure.
Les rajahs en ornèrent leurs vêtements somptueux, leurs
aux patriciennes.
tute. elle est faite. L important, c est que les deux trous
Borte aussi que les bords des trous soient arrondis pour
Pour les plus petites perles, les choses se font très rapi-
35
546 LE CORAIL.
frages.
Jean-André de né en 1694 à Marseille, aux
Peyssonnel,
bords de cette Méditerranée dont les productions sous-
péchait abondamment.
grande valeur.
leuse, avec les triples caractères qui en font pour ainsi dire
le citoyen de trois royaumes, celui des celui des
pierres,
plantes, celui des animaux ? Où sont les caractères de la
vie dans cette matière rouge et dure, qu'il faut arracher
aux roches sous marines, et que l'on peut briser et réduire
en poudre? Où sont les caractères de l'animal dans ces
axes branchus et rameux solidement fixés que recouvre
une écorce, du tissu de laquelle on voit s'épanouir des co-
châtre, demi-transparent,
contenant en puissance
un édifice organique si
l'immobilité?
tuent la colonie.
de huit est en effet fort rare dans les divisions des coroRes,
où l'on trouve surtout les chiffres 3 et 5 et leurs multiples
Au centre de cette couronne de tentacules, se trouve
maintenu en place par huit plis qui alternent avec les huit
(fig. 344).
Ce tissu vasculaire pré-
sente des vaisseaux cylin-
est la durée des individus? Elle doit avoir une limite phy-
(fig. 346).
de la colonie sont comme les animaux, mâ-
Les polypes
tous mâles ou tous femelles sur
les ou femelles ; ils sont
biles, que l'on doit aller chercher là où ils sont, car au-
cun appât ne saurait les séduire. A l'heure actuelle, celte
•LA PÊCHE. 561
des pièces qui servent à la pêche ; cet outil est formé d'une
barie.
kilogramme.
La teinte elle-même du corail établit des variétés com-
merciales , que l'on désigne sous les noms de
originaux
1° écume de 2° fleur de 3°
sang, sang, premier sang,
4° second sang.
La valeur change aussi avec la les
forme; rameaux grê-
les et buissonneux, comme les le corail
présente de France
et d'Espagne, étant difficiles à offrent un
débiter, grand
EXPLOITATION. 565
détails peu connus sur la part que notre pays a prise à diffé-
à la fin d'août, elle pécha une fois, dans une seule cam-
pour les fixer sur les côtes d'Algérie, du moins est-ce pour
lui un devoir de proposer à Votre Majesté les mesures qui
levées.
élevé :
dont :
Livourne.
Livourne 60
Pages. Pages.
Acépliules 509 Fig. 5. Angles; leur mesure. "1
Açmagarbha 158 Fig. 27, 28. Angles solides. 15
Agalmatolithes 325 Animalcule noyau 520
Agates 305 Fig. 231. Anneau d'oreille à .
— arborisées 307 tête d'antilope 359
(Égyptien).
— baignées 306 Fig. 244. Anneau d'oreille .
— mousseuses 307 gréco-romain en or . . . 404
— oeillées 306 Fig. 119, 124, 125. Anneaux
Age d'or 393 colorés de la lumière pola-
Fig. 280. Aigrette en joail- risée ........ 81, 86
lerie, par Augustin Duflos. 436 Anneaux colorés par décol-
Fig. 292. Aigrette indienne lement 62'
en pierrerie 456 Fig. 334.Anodonte des cygnes 538
Aigue-marine .... 263, 291 Fig. 273. Anse et col de vase
— orientale. . . 243 en or émaillè 426
Aimant de Ceylan 294 Anthracite. 345
Alabastrite de Pline. . . . 172 Anthracitis 172
Albâtre oriental 330 Anthrax 170
Alexandrite 261 Argent repoussé . . . 402, 406
Alland 447 Armand-Caillat 470
Almandin; almandine 255, 271 Axe optique des cristaux uni-
Amazonite 288 axes 76
Ambre 341 Axes cristallographiques. . 16
303 — d'élasticité . . 79
Améthyste. optique
— des anciens. . . 170 Fig. 216. Axinite. ..... 323
Améthystes en général. . . 366 Fig. 257. Bague en argent
Améthyste orientale. . . . 243 mérovingienne 412
Andalousite. 322 Fig.-255. Bague en spirale
Fig. 25 et 26. Angles dièdres ; . d'or (Gallo-romain). . . . 411
leur mesure. ...... 13 Balais 474, 254
574 DIAMANT ET PIERRES PRECIEUSES.
Pages. Pages.
Fig. 161. Balance à carats . 209 Bijoux en ambre 410
à spirale. 114 — en bronze . . 410, 415
Fig. 132. Balance
Balance de Brard 112 — en cailloux et en os. 409
— de M. Pisani ... 116 — en fer 410
130. Balance — en imitation . 444, 499
Fig. hydrosta-
110 — en os de couleurs
tique
Balaustium 173 ciselés . . . 442, 448
Bapst 215, 481 Bijoux en verre et terre
Baroques 514 émaillés . 395, 402, 406, 417
Barro 192 Bijoux espagnols 462
451 — et joyaux, orfèvrerie
Baugrand
Benvenuto Cellini. 422, 424, 426 ancienne 389
Béryl 263 Bijoux gaulois,gallo-romains
— chez les anciens . . . 163 mérovingiens 409
Fig. 284. Bijoux à pendelo- Fig. 233 à 242. Bijoux grecs
ques 439 (types de) 401
Bijoux d'or (le premier) . . 392 Bijoux indiens 455
— en argent oxydé. . . 451 —• italiens 460
— en doublé d'or . 443, 451 — japonais 459
Fig. 322. Bijou en émoule- Fig. 261, 262. Bijoux méro-
ments (type de) 493 vingiens 414
Bijou en pavé de turquoise. 431 Bijoux norvégiens 463
324. Bijou en turquoi- — russes 463
Fig.
ses taillées (type de). . . 494 Bleu turquin 329
Fig. 325. Bijou genre étrus- Boort 241
que avecpeinture (type de). 494 Boucheron, 479, 481, 483,
Fig. 323. Bijou repercé plat 484, 486, 493
poli (type de) 493 Fig. 262. Boucle de ceinture
Bijouterie de consommation en bronze mérovingienne. 416
courante 497 Fig. 258. Boucle de ceintu-
Fig.32&. Bijou tout or décoré ron en verre rouge (Méro-
de filigranes (type de) . . 495 vingienne 413
Bijoux allemands de la Re- Fig. 246. Boucle d'oreille
naissance 429 étrusque en or. .... . 405
Bijoux américains 465 Fig. 259. Boucles d'oreilles en
— anglais et écossais . 464 grenats 413
(Mérovingiennes).
— autrichiens 463 Fig. 232. Bracelet de pierre
— bressans 499 incrustées dans des cloi-
Bijoux chinois en plumes sons (Égyptiens) 396
d'oiseaux 458 Fig. 302. Bracelet d'or par
Fig. 296 jusqu'à 300. Bijoux Christesen 464
chinois en plumes d'oi- Fig. 251. Bracelet étrusque
seaux 459, 460 en or 408
Bijoux danois 463 Fig. 293. Bracelet indien,
Fig. 263, 264. Bijoux d'or émaux et diamants. . . . 456
mérovingiens 415 Fig. 294. Bracelet indien
Bijoux égyptiens, grecs et souple en pierreries . . . 457
romains 394 Fig. 267, 268. Bracelets mé-
Bijoux en acier poli. ... 443 rovingiens 417
TABLE ALPHABÉTIQUE. 575
Pages. Pages.
Brewster 517 Fig. 341. Corail (écorce de). 556
Fig. 134 à 136. Brillants . . 138 Fig. 343. Corail (branche de). 554
Fig. 301. Bx-iquet en acier. 462 Corail (exploitation du) . . 565
Fig. 319. Brûle-parfums . . 485 Corail (Histoire naturelle du) 546
Fig. 217, 218, 219. Calcaire. 327 Fig. 338 et 341. Corail
Calcédoines 306 (larve du) 552, 553
Callais de Pline 165 Fig. 339 et 540. Corail mo-
Camée (Camaïeu) 136 difié (larve du). ..... 552
— . . . 397
(les premiers). Fig. 337. Corail (oeuf du). . 552
Fig. 271. Camée par Benve- Corail (pêche du) 560
nuto Cellini (monture de). 424 Fig. 342. Corail (premier
Fig. 274. Camée Renaissance bourgeon de) ...... 553
(monture de) 428 Fig. 345. Corail (spicules de). 558
Canga 192 Fig. 346. Corail (structure).. 559
Carat; son poids 207 Corail (variétés de) .... 564
Carbunculus. ......... 171 Corallium rubrum 546
Fig. 289. Carnet (époque Fig. 250. Corbeille en fili-
Louis XVI) 443 grane d'or 407
Cascalho 191 Cordiérite 278
Castellani (Alexandre). . . 460 Fig. 201. Cordiérite,sa forme. 279
— . . . 461
(Augusto). Fig. 327. Cordon de gilet en
Fig. 247. Ceinture d'une dame or rouge poli (type de). . 499
romaine 405 Corindon 243
Chalcédoine 172 Cornaline 306
Chalumeau 128 Couleurs des pierres. ... 93
Fig. 286. Châtelaine (époque Couleurs simples 65
Louis XV, en or ciselé). . 441 Couverts en alliage, argen-
Fig. 245. Chaton de bague tés par l'électro-chimie. . 446
étrusque en or. ..... 405 Crissolite 259
Christesen 464 Cristal (définition) 5
ChristofleetCie(P.) 468,469, 472 — de roche 303
Chrysobéryl 259 Fig. 31 et 69. Cube . . 20, 40
Chrysolithe 603 Fig. 42 et 87. Cube pyra-
— de Pline. . . . 165 mide 25, 48
— de Saxe .... 291 Cyanos de Pline 166
Chrysophrase 306 Fig. 190 et 191. Cymophane;
Cipolin 329 ses formes 259, 260
Ciselures, gravures dans Décomposition de lalumière. 65
l'or 395, 440, 486 Déformations ....... 58
Fig. 181. Clivage du diamant. 237 Delaulne (Etienne). .... 427
Clivages en général .... 62 Demantoïde ..... 271, 274
Fig. 253. Collier, Chaîne à Deschamps 451
breloque Romains. . . . 409 Fig. 316 et 317. Diadème en
Fig. 252. Collier en pâtes de joaillerie 480
verre et or étrusque. . . 408 Diamant artificiel ..... 380
Conductibilité des cristaux — brut de. Ceylan . . 285
pour la chaleur ..... 100 Fz>.179.DiamantdeM.Hope. 225
Considérations générales. . 500 Fig. 182. Diamant (ébru-
Contrefaçons ....... 385 tage du). . . . .239
576 DIAMANT ET PIERRES PRECIEUSES.
Pages. Pages.
Fig. 180. Diamant (outils ser- Équivalents chimiques. . •. 119
vant à le polir) 235 Escarboucles 173, 273
Diamant (sa taille) 226 Essonite 271
Fig. 181. Diamant (clivage). 237 Fig. 248. Estampe italo-grec-
Diamant (son histoire). . . 178 que en or 405
— des) . 240, 421 Éther lumineux 63
(taille
— vert de Dresde. . 226 Fig. 174,175.Étoile du Sud [V) 224
Dichroïsme 95 Fig. 290. Étui en émail bleu.
... 48 Louis XVI. . . . 443
Fig. 86.Didodécaèdre Époque
... 47 Fig. 196. Euclase 269
Fig. 84. Dihexaèdres.
Fig. 47. Dioctaèdre 27 Exposition universelle de
Fig. 213. Diopside 316 1878 à Paris 455
Dioptase 317 Extinction (Lignes d') . . . 79
Fig. 214. Disthène. . 321, 322 Fig. 304 à 315. Faces et pro-
Fig. 43. Dodécaèdre rhom- fils des divers chatons, 478 479
boïdal 25 Falize 394, 483, 487
Fig. 99, 100, 101. Dodécaè- Fannières frères 468
dres 55, 56 Feijâo 191
Duflos (Augustin) 436 Ferré 473
Duponchel 451 Fetsui 319
Duron 449 Fig. 260 Fibule en bronze
Dutreih 449 doré 414
Eau ou Orient 513 Fig. 251. Fibule gallo-ro-
Ébauchage 144 maine en or 411
Fig. 182.Ébrutage du diamant 239 Filigranes (travaux d'or en)
Échelle des duretés . 105, 106 398,405,461,462,463,464, 492
Éclat 98 Filon 498
Électricité dans les cristaux. 102 Filons 132
Émail. 424, 426, 428, 431, Fig. 172, 173. Florentin (le). 223
432, 440, 449, 456, 463, Fig. 224. Fluorine 336
491, 495 496 Fontenay, 394, 395, 454, 479, 484
Émailleries de Limoges 418, 420 Fornet 499
Fig. 278. Émaux modelés 432 Fossin 448
Fig. 277. Émaux à plat, Fouquet 481
xvnc siècle (type d') . . . 431 Froment Meurice, 446, 4C9, 484
Fig. 192, 193, 194. Éme- Garniérite 320
_ raude 262, 263 Garreaud 485
Émeraude chez les anciens. 161 Gaufrage et estampage, 391,
Émeraude du Brésil. . . . 294 397, 405, 453
Fig. 295. Émeraude incrus- Gédanite 343
tée de dessins d'or (fabri- Gilles l'Égaré 435
cation indienne) 458 Girasol 303
Émeraude orientale .... 243 Glyptique 134
Émeri 146, 253 Goutte d'eau 291
Enseignes 425 Gouttelettes 513
Épidote . 322 Granité des Écaussines. . . 331
Fig. 291. Épingles en pavé Grenats 270
de turquoises rondes — de Boëtius .... 174
' —
xixe siècle 451 de Bohème . 271, 273
TABLE ALPHABETIQUE. 577
Pages. Pages.
'
Grenats du Cap 271 Joaillerie (art delà) 435, 481, 482
— noble 271 282 et 283. Joaillerie
Fig.
Fig. 197, 198, 199. Grenats, aux xvne et xvme siècles
leurs formes 272 (type de)...... 437, 438
Grenat syrian 271 Joaillerie (premières piè-
Griotte 331 ces de) 431, 434
Grossulaire 271 Klaprothine 314
Groupements des cristaux . 58 Fig. 166,167. Koh-i-noor (le). 219
Fig. 243. Guirlande d'or, Kuchenmeister 525
grecque 403 Labrador 282
Gurgulho 191 Lamellibranches 509
Fig. 220, 221, 222, 223. Lapis (faux) 306
Gypse 334, 335 — ischiaticus 318
Héliotrope 306 — lazuli. . . 169, 324, 367
Hémiédrie 19 Lazulite 314
Hessling 517 Leblanc-Granger 499
Fig. 35, 37. Hexoctaèdre. . 23 Lefournier 449
Hubert 484 Léon 498
Hyacinthe. . . . 168, 169, 271 Limnochares anodontse. . . 520
— de Compostelle. 303 Fig. 318. Livre d'heures - . 483
— orientale. ... 243 Lois de la réflexion de la
'
Iacinta la Bella. ... 174, 271 lumière 65
Iacut 168 Lois de la réfraction. ... 67
24 — de symétrie 17
Fig. 38, 39. Icositétraèdre .
49 128. Loupe dichrosco-
Fig. 89. Icositétraèdre ... Fig.
Fig. 200. Idocrase, sa forme. pique 96
276, 277 Lumachelles 332
Industrie chinoise 522 Luncourion 171
Intaille 136 Lychnites. 172
Intaille sur dures Lyncurion de Pline 171
pierres
sculptées . 395, 409 Magnétisme des cristaux. . 4 03
(pierres
iolithe 278 Malachite 326
Iolite;
Iraa 178 Maladie perlière 515
Iris. 304 Malléidés 510
Irisations 97 Mârakata 157
.... 71 Marbre de Paros 329
Isotropes (cristaux)
192 — tendres 329
Itabirite
Itacolumite 192 Marchand aîné 449
318 Margariticulture . . 522 à 525
Jade
318 Marret et Jarry 479
Jadéite
Jais 344 Marsigli 547
Janisset 451 Marteaux 510
471 Massin 479, 480, 482
Japonisme (le)
285 Mayer 483
Jargon
chez les anciens. . . 164 Mellerio dit Meller frères . 451
Jaspe
— bleus de Pline. ... 166 Fig. 131. Méthode du flacon. 111
331 Michelot de Thiery et Cie . 499
Jaune antique
— de Sienne 331 Microcline 281
Jayet
344 Fig. 122. Microscope d'Amici 83
.37
578 DIAMANT ET PIERRES PRECIEUSES.
Pages. Pages.
Mine de diamants de l'Oural. 195 , Outremer minéral 324
Mines diamantifères (Inde). 187 Ouvrages en métaux mélan-
— — 190 i gés. 395,399,459,462,465, 468
(Brésil)
Fig. 156 à 160. Mines du Cap. 197 Fig. 176. Pacha d'Egypte (le). 225
Mobilier ecclésiastique en or. 419 Pagodite 325
Fig. 168. Mogol (le) .... 220 Parangons 513
Mollusque (travail du). . . 517 Fig. 163. Passoire 209
Molochites de Pline .... 165 Pêcheries d'Amérique . . . 529
Fig. 320 et 321. Montre en Pêche de Ceylan 530
acier ciselé par Boucheron. 487 Pêcheries du Japon .... 528
Morel 449 — de la mer Rouge. 529
. . . 395, 402, 413 — de la Sonde. . . 528
Mosaïque.
418 — de Tahiti. ... 528
Moyen âge
Murât 499 Pêcheries du golfe Persique. 527
Fig. 178. Nassak (le).... 225 Fig. 272. Pendant de la Re-
Néphrite 318 naissance française . . . 425
Nicolo 306 Fig. 275. Pendant duxvne siè-
Nielle (le) 412, 463 cle (École allemande) . . 429
Nilamani 157 Fig. 276. Pendant mono-
Fig. 281. Noeud en joaillerie 437 gramme (École allemande) 430
Fig. 279. Noeud en joaillerie 435 Fig. 269, 270. Pendants, par
Notations chimiques. . . . 122 Benvenuto Cellini . 423, 424
Nouméite 321 Péridot au moyen âge. . . 164
Fig. 33. Octaèdre 22 Fig. 202. Péridot, sa forme. 284
Fig. 45 et 50. Octaèdre à Fig. 333. Perle (coupe de la). 513
base carrée 26, 28 Perle (graine de) 514
Fig.55. Octaèdreorthorhom- Fig. 331. Perle libre. ... 512
bique 30 Fig. 332. Perle adhérente
Fig. 76 à 83. Octaèdres, 44, 46 512, 514
Fig. 102. Octaèdre transposé. 58 Perles (calcaire des). . . . 516
Fig. 40 et 88. Octotrièdre, 24, 49 — célèbres 542
Odios 446 —
(contrées produc-
OEil de chat 304 trices 526
de)
Olivine 284 Perles de compte 514
Onyx des modernes .... 306 — (divers mollusques
Opales 309 producteurs de). . 537
Opale de feu 310 Perles (fausses) 543
Or (doublé d') 452 — ... 538
(histoire des).
— repoussé. .... 406 —
402, (marché des). . . . 537
Orfèvrerie d'argent 433, 439, 467 — 536
(prix des)
Or français 445 — .
(production des).. 515
— (le —
prix de 1') au xe siè- (semences de) . . . 514
cle avant J.-C 398 — de la pro-
(statistique
Or (premier travail). . 393, 466 duction des) . . . 530
Orfèvre (dénomination d') Perlettes 513
447, 467 Perle (variétés de la) . . . 513
Orient des agates 308 Petiteau 451
Fig. 169. Orlow (1') . . . . 222 Peyssonnel (de) 548
Ostracés 510 Phénacite 268
TABLE ALPHABÉTIQUE. 579
Pages. Pages.
Fig. 195. Phénacite (forme Fig. 52. Prisme droit à base
de la) 268 rhombe 29
Philippi 520 Fig. 73. Prisme à huit pans. 42
Pièces émaillées à froid . . 429 Fig. 72. Prisme à six faces
Piel. 499 klinorhombique 41
Pierre azul 324 Fig. 70. Prisme à six faces
— de Khotan 319 40
orthorhombique
— de Lune 280 121. Prisme de
Fig. 120,
— de Soleil 282 Nicol 81
Pierres bleues, 347, 349. 366, 368 Fig. 64. Prisme doublement
Pierres chatoyantes .... 362 oblique 38
— de couleur orangée. Fig. 51. Prisme droit rectan-
356, 357 gulaire 29
— doublées 385 Fig. 71. Prisme hexagonal. 41
— incolores 361 Fig. 61 j 63 et 65. Prisme kli-
— irisées 361 .... 38
norhombique 34,
— jaunes. . 354, 355, 372 Fig. 67. Prisme orthorhom-
— noires 363 bique 39
— roses 360 Fig. 68. Prisme 39
quadratique.
— , 358, 360, 373 Prix des brillants 212
' rouges (tableaux).
— vertes. . . 350, 353, 369 Fig. 225, 226. Pyrite. ... 339
— violettes . . . 346, 366 Pyro-électricité 102
Pietra hischada 318 Pyrope 271
Fig. 177. Piggot (le).... 225 Quartz 300
Pince à tourmalines. ... 77 — artificiel. 381
377, 380,
Pintadine 510 — aventuriné 303
— . . 516 — bleu 303
(valves de).
d'or re- — enfumé
Fig. 230. Plaquette 303
couvrant un scarabée. . . 394 — 303
rubigineux
Plasma 306 Fig. 208, 209, 210. Quartz,
Pléonaste 255 ses formes 302
Poires 513 Rayon ordinaire 75
Polarisation rotatoire ... 93 — extraordinaire ... 75
Polarisée (lumière) 74 Ref 205
Polissage 145 Fig. 109. Réfraction double. 72
Fig. 146. Polissage des aga- Réfraction (lois, indices de). 67
tes à Oberstein 150 Fig. 164, 165. Régent (le). . 217
Fig. 180. Polissage du dia- Rhodonite 317
mant . . 235, 240 Fig. 56, 57, 58, 66. Rhom-
Popelin. . 483 boèdre ... 31, 32, 33, 39
Porphyres 282 Richet 484
Porte-bonheur 498 Robin 449
Portor 331 Fig. 144. Roses 142
Potée d'étain 148 Rouge à polir 148
Poussielgue-Rusand.... 470 Rouvenat et Lourdel. 479, 481
Prase 306 Rubasses 303
— chez les anciens. . . 164 Rubellite 294
209 Rubino délia rocha .... 174
Fig. 162. Precelle
àbase carrée. 26 Rubis artificiel . 376, 378, 379
Fig. 44. Prisme
580 DIAMANT ET PIERRES PRÉCIEUSES.
Page?
Rubis balais 254 Strass (le) *Ui
— de Bohême 303 Stries 59
— du Brésil 291 Fig. 285, 287, 288. Tabatière
— oriental 2*3 époque Louis XV. 440, 442
— spinelle 254 Tableau d'or 420
Saint Éloi orfèvre 418 Taille du diamant 226
. . 223 — des pierres 134
Fig. 170, 471. Sancy (le)
Saphirs artificiels . . 379, 384 Télésie 243
Saphir blanc 243 Teterger Hippolyte .... 481
— d'eau 278 Fig. 75. Tétraèdre quadra-
— des modernes. . . . 243 tique 43
— de Pline 166 Fig. 74. Tétraèdre régu-
— du Brésil. . . 291, 294 lier 43
Fig. 186 et 187. Saphir du Tiffany et Cie 466
duc de Devonshire. . . . 253 Tire-cendres 294
Saphirine. 306 Topaze 288
Sarda 172 — brûlée 291
Sardion 171 — 303
d'Espagne
Sardoine 306 — indienne 291
306 — orientale 243
Sardonyx 172,
Savard 452 Fig. 204, 205, 206. Topaze. 290
Fig. 85. Scalénoèdres ... 47 Topazes (fausses) .... 303
Schah (le) 222 Fig. 207. Tourmaline. 294, 295
Schorl électrique 294 Fig. 38, 39 et 89. Trapézoè-
Sciage des pierres 145 dre 24, 49
Sécrétion perlière 515 Tripoli 148
Serpentine 320 Turquoise 312
Service de table en brillants. 453 — occidentale ... 314
Sibylle (la) 523 A'Tajra 178
Soufflot fils et Robert . . . 479 Vermeille de Boëtius. . . . 174
adamantin 243 — orientale .... 243
Spath
— bleu 314 Vert, antique 329
Fig. 215. Sphène 323 — de Florence ...... 329
Spinelle 254 Vulcain orfèvre . . . 400, 488
— artificiel 377 Wagner 446
— bleu 255 Xanthes de Théophraste. . 165
Fig. 188, 199. Spinelle. . . 255 Yu 318
Spinelle vinaigre 254 Fig. 203. Zircon, ses formes. 285
Sternsaphir 243 Zuloaga 462