Mad Magic Tome 2
Mad Magic Tome 2
Mad Magic Tome 2
Tome ll - t{ uméros 15 à 26
James iloàges
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.: ,:t !es iaits ntarquants de sa t.ie. Le tout agrém,enté de routines, cott.seils, gog5. .It.
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- ,.hette tibérée clu rtLbcLn - La pochette choisle e-n.tre t:irLgt (metttalisrte t- [nteruieu' r-h-t
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Considérations déambulatoires sur la boule volante, par Pierre Switon, agrégé
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volante à l'Université d'lstamboule et lauréat du concours abricole de labour-Boule. de boule m
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J'-H' Pierre, parmi toutes les boules que tu possèdes la boule volante est la seuie que tL
montres vraiment à tout le monde... ü
m
P.S. C'est ma plus belle ... elle est bien brillante, polie au f il des années alors ... j'ai aussi des rü
boules plus ou moins striéés, rnais je ne les utilise pas parce que, quand ellei descendent
m
derrière un foulard, on voit les striures qui donnent un sens a là uatie et, par là même, des rü
points de repère. ü
J.M. Moi j'ai connu une fille qui ...
J.H. Tout le problème des lévitations et des boules volantes est que les tentatives réalisées
avec des objets autres que ronds, ont touiours fini par sombrer parce que l'on décèle tôt ou
tard un point de suspension. L'astuce de la boule est qu'elle n'offre visuellement aucun
point de repère où l'oeil puisse s'accrocher et que, donc, elle semble rouler, se mouvoir un
peu comme une bulle. Donc les sties sur la boule sont à proscrire. Le seul autre objet possible.,
J.M. Moi,l'ai connu une fille ...
J.H. Le seul obiet possible serait une soucoupe volante. Le cas du violon Nielsen est une
exception, mais pourquoi pas 7 Parce que l'attention est divisée en plusieurs points : vol du
violon, mouvement de l'archet, musique, rotation, etc...
P.S. J'ai vu une tentative très intéressante par illusion : mais nralheureusement, elle est res-
tée, je crois, à l'état de prolet. c'est une boule avec des trous dans laquelle iournait une
lampe. On avait, à force, l'irnpression que c'est la boule quitournait.
J.M. Moi, j'ai connu une ...
P.S. Le matériel en lui-même étant assez sobre, il faut, pour équilibrer le tout, un beau fou-
lard. J'en ai essayé des tas, dont un genre Vassarelly avec des carrés dégradés, mais il ne
correspondait pas au style de mon numéro.
J.H. L'idéal serait d'utiliser un graphisme simple, carré par opposition à la rondeur de la
boule. ll faut tenir compte que le foulard n'est jamais déplié mais, au contraire, vu eÀ
volume. Un passant qui passait par là : l'idéai serait d'avoir un foulard avec une masse au
milieu qui part en motifs dégradés vers les bords.
J.H. Ouelque chose de simple de toute façon.
J.M, Moi, j'ai ...
P.S. T'as vraiment rien d'autre à nous dire ?
J.M. Si, si, ta tige, par exemple, tu ne la montres jamais...
P.S. J'ai vu diverses sortes de tiges : des télescopiques, des articulées, des avec un double
doigtier pour pouvoir la changer de main.
J.M. Oui. quand arrive une patrouille ...
J.H. J'ai fait pour Oona un foulard pratiquement transparent sur lequel étaient cousues
des languettes de mylar de 5 mm de large. j'avais mis les mêmes bouts de mylar sur la tige
qui, de la sorte, devenait pratiquement invisible...
de même, avec un certain décor de foulard, avec des traits noirs de l'épaisseur de la tige.
celle-ci devient aussi invisible.
J.M" Moi, j'aime bien, quand tu dévoiles tout, comme Ça...
P.s. Alors, ie crois qu'il est prudent que i'arrête, avant que tu tleviennes complètement...
ma-boule...
6
H§hmro§t
,, ;i ürü *,;,'É,Ê : zs -ei de boules yolantes, des avec des fils, des avec des f ilets, des avec des
mmms5 : r; r: a,i-ss ieÉ avec des tiges. En France, on appelle ca des Zombies-balls et, dans les
t.in',i:.e5 := Samba-balls. Ce sont des boules qui volent sous un foulard, grâce à une tige
Lmilnr
uu rfillü rqt '= -3i:s e l'opérateur à la boule. Dans le domaine des magiciens professi0nnels, il
, mar"r --: - : É :r- sont mondialement connus : dans le genre c0mique, celle C'Ali B0ngo et
tmm ,ili {nû}-! : as:!e æile de Pierre switon.
rl|lmnqr.
rr : :- :: ;e'.it appeler un "profesionnel".
Ca veut dire que sa boule il la fait dans ioutes
lt! rixiiiLriïE:;IiE r-'
:es grandæ stènes, mai§ ausi à cette terrible école qu'on appelle "les cabarets
rmmmüffi r" :,
:- travaille sur une surface avoisinant les deux mètres earrés, pratiquement en-
f
illlüilrllr,fl ,æ,:r;.J iu'on esiôie de beurrer grâce à un mélange d'eau-de-Seltz et de mauvais vin
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rrlrflflnhrrï r'' '*-' æire d'une bouteille de champagne dont !'étiquette est masquée par un chiffon
rÊe se3:
ire rô: :*
nt êiiCUn
tuvc;r .;i
ç'ossibie..
- -. -rs-.: ie rcutine au point, Pierre a pasé presqu'un an, essayant une pa§e puis une autre,
f iOi Cir
-r'.:-: :sê-:--a tige d'un cm on pouvait obtenir lel effet et puis les années ont apporté leur
üE:a":s"?-: lour qu'en reculant tel pied, on diminuait tel angle de facon notoire, qu'en
l€ est res- IiIr'-; : : -:,'r;ne, quelques "Bit of busines" comme disent les amerlos... et sa zombie elle a
r:a r': u ng r'"i ;:' -:::encance. Si bien que les soirs où ils sont en forme tous les deux, il laissesa tige
ri|,i'I ; ::É er pour lui sa boule vole vraiment.,. mais ils ne sont que deux à le savoir : il et
1 ii :- ::-:jtre ausi les magiciens qui voient son numéro et qui cherchent désespérément la
æau fou- :r;e-:::-,orrlatrouver...Cesontceux-làquicourentaprèsdanssalogepourluidemander.
r'eis il ne -: -- :: -êi;re. pour la boule, vous avez bien une tige ?" Alors lui, très vite, pour ne pas les
',r:i : - : : r'e rapidement du placard et dit : "Bien sûr ! sans tige, c'est irnposible l!!".
e;r de la
?, vu en :^i" : ::- e est devenue son cheval de f:ataille ... et son gagne-pain, par le fait. Et nous, les
rÉasse au ::,1 ti'!-S. on la matait, sa boule, depuis des années. Hodges, parce qu'il aime les ballets et
- : :,'"..:-?-pour des raisons que ie ne crois pas utile de dévoiler.j'ai un penchant pour tout
ïr :- êi::!e l'apesanteur,.. Bref, on s'est dit qu'un truc comme ça décrit dans Mad, çajusti-
i :" I - seul le prix de l'abonnement... (et qu'ainsi on pourrait mettre n'importe quoi dans
3 i-r"i! n..'rméros ... eh, eh...), mais demander à quelqu'un de vous donner son gagne"pain,
:::--. :â. c'est s'exposer à prendre une grosse baffe dans la gueule, surtout quand 0n est pas
l*": ; : râ cou§€, comme nous deux, c'est pourquoi, un mardi pluvieux, revêtus d'armures
n ciouble i -i -:-s avions volées au musée de Cluny ... (en même temps que quelques ceintures pour
':: ':-:es,..) et tenant chacun un révolver à bouchon, nous sommes partis en mon0me,
-ï- : stn domicile... et là, s'appuyant l'un sur l'autre, nous lui avons expliqué notre cas : "on
, r{-: ;-îJr la boule et on n'a pas de fric"... et ben, pour qui c'était mon premier miracle...,
l'en
I cousues :- : 'iié t0ut bêêêêêête... ll nous a pas virés, il nous a pas couverts d'iniures, il a dit quelque
ur la
::':iê :c.nme ; "Aujourd'hui j'ai pas le temps... mais ce sera posible Vendredi..." et vendredi,
É ia tige,
: ;;':e ii était au rendez-vous... ll nous a tout expliqué, t0ut montré "autant-de.fois-qu'il-
+'!-: , êvec une gentillese que i'âvâis déià rencontrée chez Ascanio, Vernon et Slydini. Alors,
:' : 'a,'té nos gueules, James a sorti, s0n gros crayon bleu, moi,.i'ai mis des piles neuves dans
-:- ^ragnéto...etpuis,pendanttroisheures,onabosécommedesvaches.Et,quandonaeu
:r était lesivé tous les trois"..0n a donc décidé d'aller se refaire une santé (et c'est là que
.:::â pognon prend t0ute sa valeur...). 0n est allé chez le chinois et on a bouffé. c0mme des
: -:3Cfes, en pensant bien à vous.
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;r: ::n qug, ie I ]iI - - : i: : :: - zrc 40 x 40, pour replier les coins du fou,
"ilIlrtrülil
j- ;:dp, ce qui æ
ll! flu [ '::p" ;:-: . ras de la boule,j'utilise un petit batteur à
ürsiltilll -i :: -:i - :si renflé aux 4 coin§ pour que la boule soit
r : sparition r Murlrnl x : -:-: :r voit u;; fo;;;';;Jü;tiïnË iuit pur r.
Ê' : ,.J rep0us$ rüri *rî -;;13r1 Êarelle e§t là depuis ledébutdunuméroet
rllrL irl' i .-.-: :-. Et puis le foulard ajoute à la "pase au
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r .:ié, lors de la
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3:fs remis e- irfln ilrfl ii j.-:ç-:-:; :e ce modèle de tige par rapForl à celui dans lequel on enfile un daigt car 0n est
llllfiflmrflï: .:"i' r : e -i:: ' 9r- la prise par la suite., alors que, là, on met le pouce dedans et grâce au petit beut
)s :iié ve!-1 @ flflr,!.r-:i';:::-:; àl'intérieurdelamain:latigesepositionned'elle-même(fig.20).
t:-:.cuille rfl, It ilLj -::-!-:::,irquelab0uledonnel'impresiond'êtrelégère,c'estdenepasengagerl0uiLE
rifulru rin,- i-i-' : cremière phalange. Dès que c'est fait, on lÈve, le foulard se déplie et la tige est en
lfl]ilmtï ru " :.--.E: :: - 'C!
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Lii:3 :ratI :-l
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LÊ ÈCULE
xs Êi le boule
lcÊ.: ierière lÊ
f' : voit s
il :r-: -:-: je reprends avec la main gauche la pointe du foulard qui pendait intérieurement vers moi (fig.
25 trl r i. : : ève. Je change algrs de pied (fig. 26 B). J'avais le pied droit vers l'avant; je le recule puis j'avance
|lnrilr: : d.: ;,che ; cela se fait en deux temps. La boule est contre mon ventre. Ca permet de la guider sans re'
rr11r."iH, ;. e. plus, il n'y a pæ de posibilité d'accrochage avec le f0ulard. 0uand
je déplie mon foulard, elle
rsr :*-:-. r'éprule (fig.2§ C). C'esr toute la partie du foulard qui était sur le bras et l'avant bras droit qui se
1N11 ,Ê ::.! i'espaæ, pendant que la boule passe derrière. Le foulard fait alors écran, llfaut tirer le foulard avant
rfl : - -â.æf à déplacer la boule, et on part alors en Zombie.
13
'1. PA§SE :
Elle monte §ur le bord du foulard et !e fais un t:r
plet sur moi-même (fig.27) Mais pour qu'0n nevoit pas la tigt
je suis sur le dos, ic replie ie bord du Ioulard autour de ce"+-:
28i.
2. PA§SE : Arrivé là, on fait la "pase de balançoire" : en
chant les deux mains l'une de l'autre, la boule est alon réet
posée, asise, sur le foulard. Je pourrais presque lâcher la tig...
29)" ll y a done là deux pases de balancement : celle{i dans:
la boule semble "rebondir" sur ia bordure du foulard, et
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: .:-:. q:rt iÊ $§iji;I dt,l:l f ût1r:* ij*S irrli:i;,i! ril: {i,:;. ill i:+:ui1::t i.,r:i:ij i:t:;iir ii:1.!::-i:: ilrlil
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-: ', :iirtrii: i'*rlqiir i1i.r ir'::ll*rd 11;rt j'srrair iâchd ,ijij üijiil'{l iirigt: ait-i-ie:sli P:i i.; rirjtra6 8r '
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ti ; lt-;ê et retour par le même chemin ({ig.45), pour arriver à la position normale de Zombie,
:, : -abitude (fig. a6). Le pied droit se recule, le foulard traîne pratiquement pôr terre (fig.46),
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i rllilrrr i ::- . s: rematérialise par petites touches dans le haut du foulard (fig.47).
'irrti irl.r,,-:-:"::Jjours,iesuisalorsà45'versladroite(fig,48).Jelâchealorslamaingaucheetjenetiens
tlml lûLll, rlr'$' i :': te : position de Zombie haute. Elle décrit alors un ou deux cercles dans l'air, puis elle est
rüllllflitlil|lfll] ,iil -- ::::e de la main gauche. Je reprends alors le coin gauche du foulard et la Zsmbie descend avec
ffillliill ril llll .": : - :: : ans le Joulard (fig. 49), et reprend son envol en Zombie normale.
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-:-: étudié consciencieusement la routine, auront par la mêrne, au bout d'un certain temps, acquit
lilllr $r- .i ' : : ::r:e. La boule qui vole est une sorte de danse, un ballet. La tentation est d'en faire trop !! Gardez-
nll I l :i- a r0utine telle qu'elle est décrite ici représente le maximum de ce que l'0n peut faire !!!Sa lon-
,iiillll]L :;::-: :: v0tre rapidité à exécuter les passes, mais rappelez-vous que trois, quatre minutes, représentent un
ll,ii. lr . r ::.,;el ne peut d'ailleurs être atteint qu'al/ec une musique appropriée, soigneusement sélectionnée et
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- - n:-rrr sippan dont le trou intérieur peut recevoir la tige G à frottement doux
- ::: res écrous enf ilés sur une tige f iletée
" J'cesce:: := ' ietée de 3 cm de long
r;re bo,:s
l,s, ie so;- - -,e , ieille épingle à cheveux
ti: n.er.die- - - 'ermoir de collier en plastique dont j'ai pris la partie femelle (on en trouve dans les
-.::sins de bricolage pour colonies de vacances...)
- -= oerle, pour remplacer le fermoir de collier, si on ne
l,a pas trouvé
- - iout petit clou
-: araldite
- - elastique
: I -ISATION
x tube de
æ.... mais lollez le tube B au tube c, de facon que le tube c dépasse de B à chaque bout (fig. 1).
=nlevez le fond du gros tu[ie H et collez-le à un bout de c, passez l,autre bout de c
lire affar- :ans l'écrou J et collez l'écrou J à ce bout du tube C (fig. 1).
Collez le tube en bout de l'écrou comme en fig.2.
rl'anneau Passez l'élastique dans l'épingle à cheveux et collez l'épingle dans le
:.oule. tr!t tube D (fig.3).
Percez dans le fond du tube G un trou suffisant pour y passer la tige filetée
et percez le
tr couvercle plastique d'un trou permettant le passaç du tube E (fig.4). Collez alors
le
tube E sur le bouchon comme en f ig. 5.
EtrtrtrE
ZÔ
6) Passez l'élastique dans ie tube E et en:::
de ce fait le tube E sur le Lrout du
(f
i_:*
ig. 6)
7) Accrochez l,autre bout de l,élastique
a_ ,*,,.
m9ir.d.e collier qui viendra r"porui.*
trémité du tube E ou renrrez a tri.rl,
*
lez l'extrémité de l,élastiqu. Orn, =,
rc1r"-A
ta pefle.
8) Venez alors emboîter le tube G
bouchon (f ig. 6).
dans r,r
9) Vis.sez
l].orr_lu tige filerée dans l,embour *
coltier (fig. 7).
10) Vissez par dessus un ou deux
écrous.
l1) Sur la boule lpercez un trou diamétr.ae
ment opposé au point d,accrochage
s1 s^;
tez Ia boule sur le tube de médiciment
{açon,gue la tige filetée r".rroi" ::
bout (fig. de titre).
a"i.r,I
12) Vissez alors un ou deux écrous
sur la
filetée de facon à solidariser l"
Iæ
b;;l_ ;;..:
tube et le fermoir de collier
iOo". -
""-i.,
avec l'un des bouts de l,élastique (fig.-7)
13) Vous observerez alors que si vous,,rerîoi-
tez" la boule un certain nombre-d;;;;;,
celle-ci se met à tourner qranO
lâchez (moteur à élastique).
,*, ,,
14) Le problème est donc de maintenir
cett:
boule à l,arrêt lorsqu,elle est r;;";;;;.
Voissykomment.
151 Plantez le petit clou dans le bouchon
'16) Enfilez la F.
tige A dans le tube B et recourbez
la aux deux bouts suivant la fig.
à.
17)' L.?rr.Oru la tige A esr poussée
vers l,avanr
elle bloque le pet;t cloü et lu br;l;""
ne pas. Si, grâce au pouce, vous
;;;;.
tirez la tioe
A vers I arnère, la boule se met à tournei.
Faites-le au moment où elle
,iunt ,u.-i.
bord du foulard... pas quand elle
est en.
oessou s
HYARHYERPANSEES
Cette zombie est solidaire de sa tige.
ll faut donc
l'avoir dans une boîte et avoir
ta que l'on montre avant et qr,on
,*"À"rr.ïrji"rl
boite- Celle-ci est alors recouverte
rr..,-JJnr"L
d,un foulard...
et la fête commence.
(ol{qt Pour que l'on voit votre bol tourner,
y.ait des dessins sur !e côté....rr, il faut ou,il
/ ,iurËe-si;;;..
c'est beaucoup de travail pori,i*...-ô#'"f.
ht l."rl:_i:^ oas^1i on a pas r..iron o.
merdiers. Bien â vous, Onésime...lt.io",
res pettts f-sa,is
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i1 a exercé la
G,rumü SWlTOfi, n'a pas toujours été magicien'
-ffirfimür pendant pl'usieurs ânnées
..:cn de Barman au Motllin Rouge
de rece\rÔir
- trimmû :re période i1 a gardé' une façon grandiose
une grande
-'.isr un goût très sûr porrr tres cocktails' et
n! x ilÎlilll '-sance des vins français"'( On peut se laisser
inviter
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. : crée son propre modèle de billet" '
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rôle <ie R' t}ÛUD1N' 11 était te1le-
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Quand il sseront granelsu i'aimerai
que mes enfants lui ressem*
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- -: - : : lrs ie mauchoi-r eÛÛlïAq en
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--1'.: =-- ie jeu el, grâce à
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û&,*,, It - - - ':*ecv
' '' r."
-- arlv ênr'r aehÊva"nt de recourrRr
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(fig'S)' Puis il décortvre a
, .,=-.ie ei J'aperçt:it que Ie.jeu est'
j * - : : : a: -!et!eurs' Saisissant aiom le Yerre
,: - .ri tuit faire un demi-tour et !ele
--,.* du foulard en utilisant
.="=i lluit cette fois-ci, grâcedevant
àses
-.. ü ia carbe de
-,,;,., Passe
' . , -. 'q"i iï Pot" Pot t trut de rendre
la
:. ;.:i€ (fig.4).
,- -- -. ' ors au prernier spectater:r tg 1*'T
la j j,rl l, --. ." -'l.rr. .lét,:o,urt : celle*i vient
- *: .:: ,, 1,. trt-iu-j*' ".i Celui-ci est donné à mé-
;; .:: t'ace en bas SÜUS le Pied dY v3rrl
est alors recouvert du foulard
-.' r-*-=Ui" et 1'opérateur garde ses
.=Àiè.* fois
en fig'3 et se saisib en melte
:--::1e
t,
, a"uxlônrâ carte choisie, entre ses
-f*ulard sur §e§
genoux
;:*i. en la Prenant vers
I-.u utott le entièrement
l" ,..n a découvir Ie verre qtli est triste-
lr--.
I . ==.u*ur lève alors ses deux trras^à hau'
i - - '.;;-,; carte cachée en
derrièrele foularci
abandonnant la
, -.,;;;""t
;;;;.uveau le verre
(fie'f), le reste est du
shor*-
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ce faux noeud est sans doute I'un des plus beaux de toute l'histoire de la mac,e
de son prernier voyage au Japon, Flip a dû faire un "Flash" pour la télér.,s y:'
jouait depuis quelque temps avec l'idée de ce faux noeud sans l'avoir mis ca-'rur
ment au point. ll eut alors envie de le faire et de dire "Sayonara" (au revoil a-
ment de sa disparition.
Cette pensée le galvanlsa et après une demi-nuit de travail, il l'exécuta der:r
caméras d'une façon si parfaite que, depuis, ce faux noeud est entré dans l'r
de la magie sous le nom de Sayonara knot. Jusqu'à ce jour, aucune descripticr
n'a été donnée et seuis quelques élèves de Flip avaient pu l'apprendre. Aujcu.l
Flip vous offre une description détaillée avec la complicité des dessins de F
petits veinards que vous ôtes.
Prenez la corde en main droite comme en fig.1 de façon qu'elle soit pliée er u
à peu près au milieu. La main gauche vient alors saisir à pleine main la partrs r
corde située à droite, index tendu, et tire cette partie de la corde légèremer:
la gauche de façon à obtenir une boucle quiest pincée grâce au pouce (fig.2i. .*
à nouveau la positionde l'indexgauche. DANS LE MEME MOUVEMENT, te -e:
gauche se lève et emporte avec lui la partie de la corde située à droite en-dessc-s
croisement, tandis que la main droite s'abaisse dans le même plan (fig.3),
DANS LE MEME MOUVEMENT, le médius gauche se ferme pour cacher le cr
ment des cordes, tandis que la main droite, qui était paume vers l'opérateu"
retourne (fig. a). on vientalorsdeformerunesortedehuit. L'indexetleméd;-§
la main droite passent dans la boucle du bas de ce huit et viennent saisir la
droite de la corde et la passent à travers (fig. 5 et 6). La fig.7 montre ce c!
passe effectivement du point de vue de la corde. La main droite, une fois le :
passé au travers, vient se placer dans une position symétrique à la main g
(f is. B).
Pour faire disparaitre le noeud, il ne reste plus qu'à lâcher les trois premiers do
de chaque main... et, si vous n'y arrivez pas du premier coup, reprenez au c
parce que vous n'êtes pas le seul... mais une fois que vous aurez le coup, vous
en possession d'un miracle de plus....
32
i,îtt: -' ,
ry§
il
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Ce
_mouvement deman ot' d'entrainement
et doit étre parraitemendtl..un e,t vous obtenez votre
troisième rire...
"Voxs avez eu le
.... ( omme vous vovez. j.ai pris mes précau_
libre .f,oi*-Oï'.["isir le :
l,l1l:: .r cetle.grandé carre qui représenie :u11..uu
er. si vous avez preté-queià;ï,;.=,
un tour
Jeu... arln d'êrre 100 pour. tbO.r...ï..:.iüJX, :,I:: gfÿnos. vous conviendrË, qü. -r".-,
9!lenez^alors votre premier rire...;.'---"..
, '-" :J..^11:l
érair exacre er c,était uor..
des-_,
rr en fàit. je peux même er. .iJ.t l"Ir,., ceue carre ... que j..pËi; ï;';
iournez la double à 100/ t00..,,
.n
obrenez
:ïr,:':, ;;;;.
.r"r;
""Ë
car
iËlt-,tu:..._
: Ë;;:iL"ë'u * :J ji.T:.
haur er vous
*r:i:i:'iT.,::,J3'
une réalité..."
ï;J;:î ;iljll îï, =
:uars il y a en lait ffiiï
une-.hü.-à;. j;,uoir",li pourquoi vous avez choisi :e
curerement
^',Y,î:^rj*1*ous
cette cartè rouge I C,;rt
11:ng. ' r"esr que je peux etre â J00/l 00 exacr... -eu ;;: :
:ar .sr cqs.cieux cartei sont les memer,;;;î":r; Ii*1.;:--1?rr
votre lvols
destin avec
donc t. ;;;.;;.a_:
::r1î,, bien. commenr sont les .;i;;r...
pareilles... (les spectate ï";",;i la .éal;i;,
à la.fiction... loyez
;; ài,'".iiïl ,
c'est un ::TI1:
cru, etre un Ubre choix airétece que vous
fl:qlon,n. p.ü, pu, ffisourient"')' seure carre differente *l-r.rï.
ti,iiii;iï;';:,'f,Tîi",::ï"ïl .t .,ri,
"Ë;.;;:,';, .'y, ra rabre. en
illil,.q:l:. "",iJiiri,
malgre l.ui, a perçu l"p;;i
flii
iiT: :i?:,:ï## lançart cette carte..."_ G
p^,
re :.,r "
paquer face en haut. et reverez ,1.étiquetre ,.Take
Toumez-la
donnez I'une des deux r
suJ fu tioi., ;;;ï;;i;:
:.u., î.y9 î, àï,îl
i:r;':ii:,ïi: J:#Iî:îî:: fî ë;1;, I.îlL, J',niili:ru,if ;
sembtables..." Le pubtic les voit ,;,;;'üil.ï;: "{i:,:
vtent tiction...
uE ta pensee,..
euel étrange rnonrie- nr*
a-' '
;r' z (t
36
I ffi ll! illl|llllfi] idltltillill!ililI llt ililltilttlfitllti
I I i I
5l
E !--Ji:1t 1g +
prit de Flip qui, depuis plus de l0 ans, combine le
design et la magie. Imagiro est ut't cornet au change
qui remplace la quêteuse sur scène et le portefeuille
au change, lorsqu'on a oublié le sien. Pour s'en servir,
il suffit de le taurner (GIRO) et votre imagination
seule limitera les eflèts que vous pouvez en tirer. D'où
le titre IMAGIRO.
::.ei.iu'atten:: Pour le réaliser, il suffit de prendre une !'euille cle pa-
rèz :ue ma ! pier à dessin, de bristol, et de suivre les dessins
tc:re destil de I à 9. La taille du papier de départ détermine ls
--^-it.
5r--iL -- ,r
Lrr
taille du cône... Ouverture vers le haut, c'est un cône,
e: J.ri esl s€ out)erture vers le bas, il devient un chapeau pour en-
8,i.. ei cecl
fgnt, Il permet de changer des obiets PLAI-S ou peu
r.';:z :hcisi p:: epa$.
L ESt AUSS1
:à lê:tcofltrê 0ü Nous ioignons quelques idées que vous compléïerez
:-r est la panql des vôtres.
vous a{ Apparition, disparition, change de pièce
=r:::--ler'eux su- trl Apparition, disparition, change de carte
[ -,-::e sutc4 Apparition, disparition, change de billet
l-:::cI uue r-rd Apporition, disparition, change de f<tulard
l
ri:e'Take Ces quatre éléments pouvont être également changés
=d'
sr::a surDn§ë entre eux. Par exemple, un billet de I0 frs en deux
i:r:e réalilë pièces de 5 lrs. Vous pouvez également faire les ai
guilles enfilées, les trombones qui s'enclavent (ou
anneaux de clés...). La cordelette vraiment coupée
que I'on change contre une ayant un faux noeud.."
La pièce changée en poudre d'or ou le contraire...
Lln change de clé pour auvrir un cadenas.
Les anneaux de ruban enclavés.
Le foulard en confettis.
Le lait en foulard (avec un rnilk pîtcher)
Le lait en confetîis, etc...
Apparition de fleurs au cornel sans charge...
IMAGIRO est plus qu'un outil, c'est un dépannage.
Chaque fois que vous aÿez oublié votre quêtettse, ou
t votre boîte tiroir, courrez jusqu'au kiosque le plus
proche er, avec une double feuille de quotidien déjà
I pliée en deux, pour plus de rigidité.
Confectionnez IMAGIRO ... and all is right again...
Honnêtement, un truc si pratique, qu'on peut utiliser
'--/; parlout, qui ne coûte rien à fabriquer et qui dépanne..
1E ça ne vaut pas le prix de I'abonnement ? Alors, com-
*i
?,t me la boule volante de Switon le valait déià... si on
1-'.
r. continue comme ça, ie sens qu'aÿant la fin de l'année,
7-. c'est ÿous qui allez nous devair du pognon...
ùI
r;]
r{ftræ-; f*â
W'trâ; L #,# i;}'
E{i A;f-*
§ffi ffiffin **i,,':i: :l#;
ffi&e ffi
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ffi §Ëi *-k;-rih h'*;Ekp
qsfi6#:r"1i
"q,à.'
ir,ffiS
- " q&? --- ;n{s-,
wffil,gnàlrmÊ il
.-: fête d'origine religieuse qui se situe à mi-
":nin entre la Toussaint et le Carnaval, parce
- - r cette occasion tout le monde se déguise"
:ne les adultes, même Vernon, même ilosh- )
* . r, On place devant les maisons des citrouilles
':'.r#es et sculptées à I'intérieur desquelles on
: ,:e des bougies allumées. Cela est censé eË
'"r. er les enfants et les faire tenir tranquilles
,-,"-u'à Ia St Claus qui est l'équivalent de notre
r: '' \oël français.
- -.--. pour Halloween tout le monde se déguise.
i:-: le savoir, et j'ai personnellement véiu la
r , È:e avenfure que Flip, à savoir arriver à Castle,
in, . Jé corlme chaque fois... et alors tout le
:' . -.le se paie votre tête... En ce qui me concer-
11r' -e m'étais d'ailleurs rapidement déguisé en
r:l -:eis, en empnrntant une baguette et un kile
:" 'luge â la cuisine, que j'avais placé dans mes
][.:.5...
= : lui, a trouvé une autre astuce : il n'avait sur
tl- :.u'une corde et a entrepris de se déguiser
riiir' :: Pour les lecteurs qui pouraient être ten-
rh : essâyer la chose, j'ajouterai que la corde de
:i.: :resrre enyiron 1,30-m, qu'e[è est d,un gros
ill-i*3trê + 15118 mm et tressee dans un nyton
'rt,li . :.e.
-ï :ôsins yous en apprendront plus qu,un long
. ::. ,'lt§ : fig. l, tout comrnence par un paCNÈ
*' *r3ttant simplement la ceinture autour de la
n i Fig. 2. [r noeud papillon (noeud de lacet
.lti: " ":l.ier bien connu...). Fig. 3, après avoir fait
ri[r;:r-itre le noeud, placez la corde entre la
'il,, - :: e et le nez et vous étes déguise en chinois..
F ; .: faites ensuite deux noeuds en même temps
rirml;; . corde (les rnéthodes ne manquent pas...).
'li -, rbtenez alors un soutienAorgè. Fig.S, pta_
lt*rp:: :s deux noeuds sur la tête et pour peu que
wr :osiez devant Disney Land, tout le rnoide
wr, :rendra pour Mickey. Fig.6, mettez les
mr r - ,: autour de chaque oreille et réunissez Ia
flfl ": : 3n bas, vous avez la grande barbe du père
Il - :-\.
ifu:
Fig.7, resserrez les nieuds, placez-les sur
vous avez des lunettes. Fig.8, prenez
fu* ::-r noeuds dans une main... u"è, ,rrre
"oùr
\Sll,:l"j"pâ"ï;J3*ï:,"o:ilr;;;Xà:i';"s:X;i:
ffilllii:r":. ::er1t. Fig.10, faites un faux noeud dont
flur -" igrandissez la boucle : et pendez-vous...
39
cnSl
V6us ne le croirez jamais, mais l'autre jour ma tôle m'envoie- à-Paris po11l ui
*"vâ"L"-à*t t" "di;. Je'passe parpetit hasârd. *" qi, Sol"merardt,Jt 1r-'Hlq:^t-'
àrÏr"1.'ü;dA"é pÀ"i u"tiet*n ün nirnportkoa (car.j'avais casse le mier:
i;"rrturrdrdes tÿpes-qui discutent : e*ce que tü viens à la réunion. ce soir ? ItÇ*-
'q;; jàï;àu"l'hdreise ! AttenÊs, je vais ie la redonngt!.9*;; c,'est ai1{ gy j-?-=
;;;"'"- lË;-ü;";;;Cr"i"r* i" réunissent en secret... J'ai figé l'adresse dans ma tê:e
;i;ËÂË*i. ôAè aurriare une mousse,.juste e.n facede,l'e,1trée._lllt-f=^ïlt:
urrirer par groupe§ de deux, de trois, et franchement c'est-pas po-ur me vanter r:u
;;r;;;i;;- i'âil- t tt"*ent'plus inælligents que moi. Au bout d'un moment. :'r
Ë"î, j;à"-ui *i"l a"u", en iàventant dôs tas d'excuses dans ma tê,te qoyr justrl'ie::
*Ë'-ir;: ff, Ë1"", cioÿur-t" ou pas, qersonne ne m'a rien demandé, j.'ai -qP"."o
Et,guelle reu:
iàrt" i; réunion et ie süis reparti sansêtre interpell^é u.ne seule fois..'semblé
y,a un type qui est mônté iour faire un truc ile foul^ard-quj m'a pas ma;rx
i'r;;dËjà re§ foulards s1ns tgyglet
luularu§ safiù uuuuucr 4q rr!
J'aVaiS dans Mad-Maglc lâ
r"=âr"itutud-Magic
deja lU la IAçOn dé.nouerles
de Genouer
façon Ce Tf:-19
;;;i";Ë-"à""uiisair p*s Ë routirie complète... et.bien, c'est chcse faite.'.. Et.pe
i;il Ë; ;"*e;-i à, a?"' 19 l:19: I 3]ï1 1": f.:,1 ?"i,^:Tê-l1"gf:: g:,?i*:' d "
ààâuets de trois carhJ en se fouiant de sa gueule I J'ai pas compri-s pourquoi...
hnii.,, quant à moi, j'ai toujours récupéré une routine e-t je l'at echangqg ?YT sq
ae Mâ4, contre 111or'uborrrément de l;année.prochaine.,Je ne sais pas si j'ai bien i
Àti1 ^,io *nn
a+i- qüu mon aynliratinn claire, je
;oit claire-
explication .roit événements dans leur cor:
resiiuerai les événertents
ie resituerai cor'
comrnè dit Léon Zitrone.
Au début l'opérateur montre 6 foulards sép.arés et, il,en,9gse trois sur une ch;
noue les trois autres;ilüüô surl'autre chaise.Il fait alcirs passer les n
â,-r-oru*ier ieu sur le second : "lierposÀ
il rnôntre que le jeu noué est dénoué et vis-verse-. Ft
iêr"ttut, on utilise la méthode âécttti dans Mad ou celle de Marconicks'
"*ii"i-a-"à
;"ii;-à,Âs""*- nA21i pour poursuivre la routine, le magicien renoue les foularCs. l
LE MÏiiËî. Là it y a diverses méthodes pour lei dénouer, moi j'ai a.dap19--'
""ôo'i"
O- fVf-Jl a"iaire fe sans y toucher. Voici la chose que c'est : pour simpl
explications l'un des "àà"a,
foulards sera plus foncé.
1" prenez un foulard en main gauche et deux en main droite. Passez les deux bi
droite sur celui de gauche (flg.1)'
Z. fàumez le nouveaü foularà àe droite autour de ceux $e gauche (fig.a' ^
5. nàà*rur-le devani-c"* a" gauche, en gardant les médius comme en fig.3.. (fig.1" . -.
;: i,;ri;l;r aâ"* ir"t"rdr du"droite'à trâvers le trou,-.grâce gauche au p.ouce. droit
aans te même temps, lâchez la prise du pouce et de l'index (fig.5).
40
3l5tt e
pour un colu *:: aintenant
Lrreie et rerü1
les deux foulards uniqilement entre les annulaires et les auriculaires des
riaill,. la pointp du foulard seul (foncé) est reprise entre le por"" et f inâex àioiis
,..
= rt
d ,,-u des q.-re '--:lre
: pas, changez de foulard,
,,
changez cie- main... ou changez à; ;étie;...
Talter ma:i,ü[ alors les foulalds comme en fig.8, passez le foulaid gauche à droite et tenez
)Enent. i'a: :u - :Èux comme en fig.9.
r:ustrfiêr r-m '.;:enez-les en main droite par la pointe A, et reprenez l,autre foulard en main
m.ême assis:r ;:-:le (fig.10).
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uel.le réunic,x
pe,i mau\'â,,.,,
er au-x noeuM
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47
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't . Sans houger Ia nn gauche, a:nefler les deux foularris de droite vers la gauche en
piaçant du côte des spectatcurs (fig. 11) de façon que reurs pointes r*eil*;;]r".;
cm envircn.
de ? crn environ"
1f"1" ilÂr{S UN MOUVEIV{ENT CûNTINLI. reprendre ie foulard qu! se trouve le:
nràc r{*o o:rar,*afnr'*.
f:è:porytg et ÿ^-.^--^- l^ ,§^*i:-^
^+ repassez-le cle*"ière.là.s
r.'^ r^,---
.deqx aur.res pài iË ôat* ;ir"i;"(fk::
^d.ll$:ÿclat^qurs
cioi.! ôtre au rnê:ne niveau que-celui cie crevant. A"?i;;;;a attll-^pàii,ï
§* (foncé}
f.oulard
f,".yl_r-l{ Lr{
clu milieu
du lrrur§l {foncéi p'sf
iriilipll \aurrLE, est,??I Lit..
ç§! nm ürr
cn: oi, L!e§§ut".r§
.lo*or.rro {JeJ
eï.dessous dac ileu}(
rJes eieux or:**a. gt
àuÉ-;;t
"io,o auLrgs l-;rii,t".pi,
ô} ia
l^ pornfe ^---
-^;-+^ opp;
dépa'+se I*s tleux autres p*ilites rje 3 à ,4 cnn et forme une sorte c-
__
11. Les pointes s*r:t, gardées en anain bà"rre f riâ -
main gauche fcxll*rd foncé
cauclxe et le f*:"elard fr-,ncé et ip noeïd
*:t: ie **rri èL,
nne,ir,-i ,out o--
js
sonne§ ClaJls
dans ie§ plis; cte§
ies pits des dellx
derex Iüuiârds
deux louiards elairs"
fouiarâs claus.
12" T.a main droite se-saisit dela prointe lrasse du foulard foncé, tire dessus et I'al:pi
par I)E§,RIERE fli{ MAjN
par.IlE§,RIERE MÀIN GALICF{E,
GAUC}IFj. ce cuiqui a püur lrut de
ûüur but rle piier roulara Ài'..
nlier ie f.r,,1"".t Ài?
e-t de mpprimer ie noeud.
noetld. Les deux paintes restantes sont remor
remontees u" Àui" g"i
it_ $*:lgpdPer
cie la n:êsne façon et ies foillards sont p*ses tels que sur ia chaise.
{ts ÿ
42
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r gauche en ltt,
passent l'aufu î:
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\:
trouve le plru
droit (fig.12l
it. ia pointe dur
lornte opposée iOUTINE SOPHISTIOUEE OE 4 AS
ooche (fig.13r i(gl#et b cqgfl EF .{gr{@}h .\gfleyÊ.
ud sont emprt {.+
: I FE.T \.1
us et l'appore le rnagicien montre 4 as qu'il pose sur la table, face en
(-{
:æ, ll mélange ensuite le paquet et p-ose 3 cartes sur
ou-lard en der.lr
n main gaucbc ûhaque as et..., comme par hasard, les 4 as
pasent dans \:
ie paquet choisi.
Les manipulations un peu sophistiquées sont
atr magicien
ce que la barre est aux danseurs : un exercice "' et un
o'Atonner les copains du club" Vous les étonnerez
"oJàÀ part'
a iôup sOr si vous maÎirisez cette routine' 0'autre
,r-;üts* feut servir dans d'autres occasions et c'est ài
courquoi notrs publions I'ensemble. t!t
qOUTINE \:
/.,
i Le ieu est tenu face en haut, les 4 as visibles'mains et as- (q$
voir Phoa. Non que néglige Slydini, mais ses sonne ne réfléchit assez !à-dessus. ll faudrait
i principes
i ne représentent pas une fin en soi trouver les principes fondamentaux du travail
f, pour moi... Je m'intéresse effectivement aux magique. Fitskee s'en est accupé sérieusement
I philosophies orientales et aux techniques de et a commencé une analyse dont il ne s,est
',I combat, bien que je ne les pratigue pas. Ce qui d'ailleurs pas toujours sorti...
m'intéresse, c'est seulement le pourquoi de la
I chose, laquelle est ta disposition J.M.- J'en ai lu des bouts, mais pas tout, y,a
d'esprit néces- des moments
. satre pour atteindre une maîtrise où il s'égare, personnellement,
; Pourquai je me sens plus proche du bouquin de Nelms...
les
II niveaux différents ? Pas toujours pour une
artistes d'une même branche ont-ils des
Flip"- le bouquin de Nelms n,aurait pas pu
I euestion de travail et de courage. tt y a plutôt, exister sans Fitzkee. ll y a aussi le bouquin de
I ie crois, une personnalité plus ou moins forte Maskeline et du pcurquoi des choses. ll fau.
|I Çut, a un moment, transcende ou pas. ll y a drait que les types débordent le cadre étroit
une étincelle qui se produit avec la satle. des cercles et s'intéressent à tous les arts
I Prenons le cas de Slydini, puisqu'on en parlait. plastiques : Escher, Magritte, les surréalistes.
a ll est petit, malingre, une épaule plus haute
etaussi à la poésie : prévert... à la sculp-
I que l'autre et quaid il rentre en scène il pro- J.M.-ture : Calder !
I duit une certaine électricité, comme le 'font
1 certaines formes arientales d'exprexion. Lrne Flip.- Je mourrai en regrettant de ne pas être
I certaine forme de savoir, ce que l'on vaut, ce Calder ! J'aurais tellement aimé, inventer les
I que l'on peut, qui engendre un sentiment de mobiles qui reflèænt mon caractère...
I sécurité, de confiance et donc de cctntact avec J.M.- Pourquoi alors es-tu devenu magicien
I le public. lJne sorte de connexion sous-cuta- et non sculpteur ? y as-tu déjà pensé ?
I née, propre aux "maîtres". Flip.-
I Un maître... maîtrise ce qu'il fait,et donc peut Je te vais venir... mais ma réponse n,est
pas celle que tu attends...
I le transmettre. ll est l'exemple de ce gue son
I public pourrait devenir et le public le sent. J.M.- Moi, je n'attends rien, je técoute l
I Dans l'art oriental, la seule chose importante Flip.- Mon père faisait un peu de magie : les
I est de montrer sa maîtrise dans un but éduca- balles, le sac à l'aeuf, le dé voyageur..-. ll m,a
I tif. La transmission est dure à préciser, car le appris tout ça, puis mh envoyé chez un de ses
I maître ne doit pas engendrer des imitateurs, amis, un inçnieur en retraite gui en savai:
a mais après s'être transmis lui-même, il devient plus et qui était aussi violoniste, philatéliste.
I marchepied pour que les autres atteignent leur Ainsi chague dimanche,vers l0 ans, jefaisais
I propre maîtrise. cinquante kilomètres à vélo pour allelr-le voir.._
I J.M.- Cèsf pourtant pas ce qui est arrivé à ll m'a prêté fo{.,s ses bouquins, et cbst ains
t Channing Pollock... que jhi commencé l'anglais avec les illustra-
I Flip,- ll élève maintenant des vers de tions de "Later Magic".
T
terre ! Ven 14 ans, j'ai commencé à inventer dæ
I La terre en a besoin... tlucs car mon peu d'argent de poche passa,:
I J.M.- Pour moi, la meilleure façon d'appren- dans des fournitures de dessins. Cbit ains
a dre la magie consiste à mener cette étude de que j'ai découvert le mouvement de la flûte
I cancert avec d'autres : musique, mime, etc... D'abord avec une cigarette, puis un crayor
1 mais dans les sociétés magigues" ee qui préoc- un pinceau, puis des ôrosses de plus en'plui
I cupe le plus ce sont les nouveaux trucs. Les longues... Puis jbi étendu le principe...
1 clubs de magie sont plutôt remplis d'amis de J.M.- Avais-tu déjà lu Slydini à t,époque :
1 le magie que de véritables magiciens... Flip.- Je lbvais vu une fois, mais le princiÉ
! Flip.- Pourquoi pas ! Certains ont une grande était déià trouvé...
I sensibilité, mais pas dans le domaine coicerné:
I ce sont de bons médecins, de bons fonction- J.M.- Les mouvemeng pour retrouver d*
I naires, mais le magicien est un acteur qui objets derrière les coudes présentent des ar+
I IIIITIIII'IIITITITII'IIIIIII-I..II'III logies...
44
6
-,
I
I
I
I
I
I étroit
1
t!,r,-qu,e
C'est. forcé
.que dans un domaine ,^t|
la. magie, les gens qui font les mê-
a mes recherches trouvent les mêmes choses...
a ça .apprend la modestie et vous force à déti-
!
I
sur d'autres terrains, comme la poésie,
oe 9t emmène I
'rueitleux, -i finf
l':slitique..Beaucoup de numéros manguent :
dans I de poésie et de gentitlesse. C'est le contraire I
t de Dleu. Per- | ) pour tes martannettes qui donnent au public
I
ws. faudrait I
ll ) I
aux du travail I |'rnu possibilité iidentification. Car dans I
é sérieusement I I L;";,r;;;;; ;;-;;;' on traite trop tes obje* I
h,nt il I
ne s'est | ,n- triiii'oiii.- ùàsd a dû parter de ceta. I
t I us otlei deiaient-ctre utitisés en tant que I
I I trirr'nrioir;'. iir'exemple, chez Silvan, tes
6 pas !o,ut, a
y rcurtereltis n, ,in, ju'un prétexte à montrer I
I | I
?",'!iliiÂ?': Il, son sex-appea!, auprès du public féminin, ses I
cartes ,r'irnt'qr'in *oyæ de se projeter sur
t'aurait pas pu I
1
I public.
te Le b,allet de Richiardi est'pour lui I
à toréer ; mais le plus bàl exem- I
re bouquin de 1 '. un prétexæ d'llarry Elack- |
c,,roses. ll fau-
le cadre étroit
1 l.I stoine. Là le magiciendansant
Ole, c'est le mauchoir
transmet la vie à un I
tous les arts
1
f, abjet inanimé. [a magie, c'est de donner la I
Vs surréalistes.
1
I vie à des abieæ inanimés. Ca explique sans t
1
I doute l'engouement des objets flottanæ.. ba- I
I
n... à la sculp-
I I fouer les tàis de ta nature iniluence le subcons- I
I I cient, l'envie conç1énitale de l'homme de savoir II
trouve là uie identification.
i de ne pas être
é, inventer
t '- voler
La zombie est plus difficite à faire : c'est en I
t*e...
les
'-
I fait un travail de marionnetiste.,. I
venu magicien I Uais la plus betle boule volante pour moi, I
I c'est Finn John ! a
e+tsé ? I
I
t réponse n'est I 1." - Est-ce-que tlt as vu Doug Henning faire
, le mouchoir ? :
je t'écoute ! 1 Flip.- Non ! Mais j'en ai vu d'autres qui le fai- t
1 saient très bien aussi ! et il y a aussi le truc !
de magie : les I avec le bouchon flottant... Pour en revenir à la I
ryeur... ll m'a 1 convenation, je suis enté dans un club de ma- I
chez un de ses
qui en savait
1 gie où j'ai pu voir Vernon et Slydini... puis j'ai i
ê, philatéliste.
I conti?u!: En 69, i'ai eu le prix de magie géné- I
je faisais 1 rale g Eindhoven puis ibi commencé Duplo- I
ans,
aller le voir...
I ya.gic, parce-que je suis né sous le signe des I
r
, et c'est ainsi
I !ém.eaux. J.'1i essayé d'en faire un numéro !
æ ies illustra-
1 Desiqn et d.'y appliquer mes théories sur la I
a magie. La flûte yrt de fil rouge, tout le reste I
à la f in, tout se rejoint... I
I e:t en .contrep-oint et,j'ai
i inventer des fait à Amsterdarn en -
poche passait I C_?tt,.lr.numéro .que
x- C'est ainsi 1 70. J'ai pal ,y /" prix mais beaucoup de con- I
nt de la flûte. I trat:... Puis i'ai commencé comme designer, I
tis un crayon,
t plus en plus | tr:i !,i,!i,'{ii i;:?:i:;:i::::::î;::, !
1 i'ai couru
.le mond.e à 30 ans, sinon c'est un
cipe... rêve que, j'aurais.dt garder jusqu'à t
50... Si ça
' à l'époque ? I I
I:nh" pas, ie pourrais touiours rependre I
a l:te clesryn...
,ds le principe I t
I J.M.- Ne sera-t-il pas trop tard ? a
ætrouver des I ftip.- Je ne crois pas ! Ca ne se perd pas, le I
nænt des ana- I baeiign, c'est une faiçon de regarder les choses, I
aesion, c'est une attitude l!! I
I
I--II-I-----:
45
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ffiÀ!
ffiffiwææwffiffi
itrÊ si.È:i::
'ff,'ryîÉ,#w#.&i ,s w4;
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'ri,:;a1il'i1:]L!:È:
i.Èn; ;111;1, ll ,:ii:r;r: ,1,;rti ,-, ,lr-,, ,, .. ,, _::: ,,; ,,; ,,r+i,,jn_.,t:i ii,ili *;'ç*;l,rrr, ,i, l
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iti,::*l- ,ti;ili']ii1;ii !,...:i: ,. _r,., .;,,r,,. ..r.i ,,,,.,,r;.:!.tii;i.::.:ii: :iîr .1. ..;_,,1i,."*-*, llllt "
:;E-i &{'f,ûii cans !* ei:c ,
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l:.i ::l;,r.,jiri;; i:+i ,' liiir..r;. :i.-.*,r- 1.., :;;1 .i,., ,.;!:t,!!!,: ,,, r llmi rllù
lu,::,t,ffr:,.1; *:*,,,,*. ,rU*, ,r,, i...,,riÎ {;&Às Sâ i,i
r:;;it cl iJl i*pp*risrrii*. *tri; r:li **iri,, r.''t.ir';i1;;.*,,:,:la ilL,: sml]t
u:,rr * çrr,i i*ü æ11,:; ii,n1re.
i...,,,,,.1 ..r..{^.,-\,..: ... *:r:-!.j.,:. . ., ,l ,..',, ,.,.nnrr'r",':r;rr,r" *.lvi;: si :"r
r ,iûtUlilltt,iLL llll -
Sïi,li:::i ,: f:irt. ;:a;i:;i::r 111:1i.1,.,:, ll*,iü.;:m6:l §:-ll. li,.*; i;,;:1 ,.ïtr d; , lltrl<l'llll ,i
q,'"ll ..i.'i., :i].;.\ '.:' ,r:-. ::=:r.. l11; ]tit.,..,+1,, , ..;. :.,. i,",a *i **ii
-!iir'"*ipq: *,0ç,-n**i.,
n;**i"f** tu;iBou, n*xs rioÈ,*iar..s.. uilîln]ultfl
j ,1,,.o -i " ' ::" l*itilÏt rltilti
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""5 ,,"r1*,r:::,i_*i;I: ,;;__
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üi*sJ*p*.*ën+r*aqiq**s {:.ü$!,-.ir,ili:iir.*s,.,f* li;.t*ie5 fii"lr.i* uüllllilflrut, it,, l
rulll
F,4Ë ü*Fi'ii,lâ:, pilua;-vriix 'llffip6,
â.ii1{ ,ïi,: i!r-.:iir i*jp iNs igsîs§;r§*{ *î *g*sfri*ez-Ë*rrs -:
uilxlîiliiill
r: -
ir,:"i*ais ,l,o*t j*ua*igneux isî§;.,r*us:,r:
cim* Tlif; Irsfty srïsr ;-rfl É{ ei-ifiy i,:ilfi,}ii*[, ,,dilllllnm m,,r
*s:r.;;rna:*r t* **iiuii*n, ily x grr.rs ù Êaiie. :
s*l-'§ i'!8 §srëT piê§ ddç*s. ilr: p*ui rn*mr.*;:*crcn:ises "*
r;lr ire;rÀ u,i****nà,ru *r§ *N§r.&ffis ei:*i -:
r:s*âer * un prrx de s**.t*riptirn
Âr$â]ftË §**ËftT
Yient de æfilr fir&§iϧ ü*TL.e'E§*rus, a'§ear*ii d* î*r:rs
de canea qui irir ::-
p.ercnnm*Ès.
er p*Épare *u** i'dquip* du il"e.Fl" l* tcr*e ? rÉ* srAm.§
tüm*s de $§arln, vsr**gr, Lieiremæw."r**rarix et
arum wÂ.Esfi:les.:" *lï
A. §*bært. *crp *irg Â*nt l,e*rsæee d,i- :,
p{itsîu ?
+ft
TITI}ilTKI( DHI3IIT}NTAKB §I}HI}TI}I}
fi'E NII§LO ilIM rlttNTllrt !,' Batlt UI E § If
THMH§, & P€}UXffiXIM IM§{}TIR&TITD
- . r- YAN TlüruG vient de battre un record : celui d'écrire un livre sur u* seul sujet : la neige
È8r unÊ carte.
prix plu§ que
i -. se.". c'est bien éerit, en quatre langues et les desins sont d'une grande beauté" lt's a must
(So-
.-s av€z l'intention de faire ia neige japonaise et, si par cûntre, le tour ne vous tente pas, le
u Sdisme ::ut se discuter (envirsn frs 80.- avec le port). La pnÉsentation est très boane, le papier est gla-
iéisma,qui est r ," '!1)trs saurez VfiAIMENT faire la neige japonaiæ quand vous I'aurez lu. Un final-car, c'est un
c son diplôrne
:ui remplit la scène el ne tient pæ de place dansvotre valiæ, mérite l'attention... Le problà-
nülle épouse. - . : :: que los danseuæs qui vous suivent vous diront peut-être deux mo§...
I nous on leur
I , lire ce iivre, on apprend Bnctra une chose : c'est que le numéro de Phoa n'est pas fait n'im-
"::0mment:ll estrythmdsuivantlerythmedessaisons"lllusionprintanièreetnaissanced'un
dans le choix
an qui æmble
r - .rt le tout poursuit jusqu'à la neige faponaise qui symboliæ l'hiver."" c'est évidefit quand on
ri,:
I ;, : Êt pcurtânt ça ne transparaît pæ quand on aæiste au"numéro sans le savoir... c'est peut-
lüèrement sur
r ' -- peu dommage.
h trucs facilæ '' : :,tIP§ bouquinsssnten prÉparation, ce qui représentera plus ou moins la lotaliti du nurnéro
rnd magicien. rtlir :---:, Le premier, de toutes façons, est luxueusrnsnt bien fait... PFI0A & B0UWiilAN Publi-
p de la publi- m "; -:mpany postbox I Amsterdam.
re divin si let ,,tri :-=:: DEL0RD vient de sortir un petit ouvrage de poche qui contient une séleetion des tours
rLri, ": :ans ses autres bouquins. C'est une édition populair* ne s'adresant pæ au même puhlic.
us truquées i *,-: inalSansetpælacentainedefrsnécesaireàl'achaldesgrandsbouquins,onestconmnt
r un peu ariCt r' "':..jver un résumé pour 13 francs...
l une positior ;. :T NOPS applaudisent eux-mêmes dans leun communiqués publicitaires la sortie de leur
nt QU'un toul' ' r-' ss boules. lls ont raison car ils seront bien les seuls... Moi, quisuis repréæntant en savon-
ncore 5 ans.
r|l'i-i'i 3 trouve gue c'est un bouquin utile parce que pendant trente pâges on arrête pas de s'y
déplaire... (e. ! rains.." tes dix demières pages sont bonnæ, décrivent une routinc sirnple et effective, sans
r ii" ':- " soi,,. Frs 50.-
riri
r..,). :
rt pas abonnes fi, ,ri i:':ditionnelleduprofeseurFanktrouvernieuxsaplacedanslabibliothèqued'unethnolo-
t afention c- : -' historien que dans celle d'un magicien, à nos avis. 0uelques tours rigol0s auraient aidé à
rilui,Lr
{ffddxreffi:
ffitrsffiffiffircr rs
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49
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tj* sc lé1:eridre en "ürbiti.i;ln*s". l*riariryii3rils, È*ls :,, ;;r,,ir:*ü;ï j; ds, rr{fi{j-nf,ac,
'l.lLl§ ivn:' " .:lSil'jrr.ll ,lqr:'-r:q i,..id:1. {j .*;"ffi;:
..iïd-a:jir,. .i .. .,r. ,lSil l- i ..:, :";:--
üu{}i r:ülJs rits t,cu!*ns pas ,+ ia.t;el,
trlJr.,- i.r-;:i
i..1: îr-:Ë1
li f*rrt.t;{ii-ii*r au-.;si qr"r'ii a S1.Ë jrkÉ;t*:i:r.i.t+: l;r :r§,;ii: r*;;;1;.îr;:iliîii!_!8 î:rr:Ç;*iqe sdijer.rs;
*i 5'ri;'-!e. I'i:" MA{.:i{llËtr'i" *,î,q*'il ,r È,le li,çlrr*i:r*rtr i'iiii;i.iü;r*r,r
,*',,.89:xià\:;rlu.lSÉr: l:i*ri.,: f.-, lr;.-iri!.i J ,:,.:.,_,,,-..,., l'. rjr4 i.:igîj*!iÉrr*_Â f:.!i,ri:
.i:,,r -:.r". j.til.r4i^
Xyfs *i V*ri:"1*...,rJ*1. dËfi* eitls e*lrt*.rer'li,.c, tfi*iji{.".}} }i,4;11irç1;111
]11_*r:
t;iii!!J{lllû itu* je t;"i:-}ijv!î fuien pi'a?irii:r:, r:nr 1i .''o , p*, t:* a*,trt*. urlii îç:iii;ij1_.- i
!l * rii*:r';t*ni.i uii n1ai;ùi§;ri ,;i,: ,::;tnj!,;';=r].,,#*,,r, pi*t ,lr ,.i* i..,i:*r.;,. i ià".
*;j';:q i:!i-ti r:ni ass;iV$ ri* âe,: t,:;rir.:uit,.:11*U, r-j.r-;,
.i* ""rrr-,r;r-_r:i.rü :,ri:i: ;ii{ri.1 itriii tir_ i
!jrr-;iil,r oflri,ji,:ai *nrr,*t It:r:f{.tti;ie
{**s c*;q*{iffifi§i
.lü I.1 :r.l i ,; cs.1t..1,rf ,q...j {., . rir-.
;r.1i4 ,,; .JSe;:,:-:t::Ê l: -:.".[i_];i_:1.:.
i."lt È.-{ Ju i } of {.Ol,r.? 1,'Ë i'. , ,,, i .*.r-"
*u ?* +r l.T3 orr"**r* ; §.4!l.j î Vii!*;,,ru
du § æu 7 jrr.r-rvier. B{iüi_il'ji,if,,\ -" i
*t [j* ;]Éi "iLJÉi* r\i-; :,*r. .lr"..t!l*L"f T 7*
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ôr à faire, mË\Jtxr
3,e tous : t:; regulière des revues nagtques sporadique....
treretii réalisée à la ntait par cetx qu! vous ont
ssextile.., -.1 rs congrès de Lvori.... Hrvaidc ltliiorC.loltr,
a.dtas. ,|fa
( lrù§*
Dirigde par
'ri ËAL .iiDRAS, C €.G. Ce Eage ia Vilte-01390 f A\DRI: rOBERI.
-+^i,^^
t:tue> ^*-
u1:. : E t1 tilArE L. \\ la oremièr* rerrue l'rançaise
. _^-^^
: -iu_t!
i-
u( rle Close -up.
te nous e:_ TRIME§TRIEI-LË. &teilleur rapport
kaiithéprie. Parc Barry, Bat. [i"i.
rue Madon, 13500 Marseille.
ChÈques postaux : M.L. LAUGIER.
€'"it )oil- 52 1 4"28 Marseille. Mandats pûstaux
' :ll Hl.l-, et ehèques bancaires au norn de
- 5 q'LÈ j A. RCIBERT.
=
'!,t
+K Li
;- L tE§ MffUE§.SPAütJtrTT!
"t =Ê 9À?
rv- trT- PRESTTGTÂTORT MODERI\IÛ.
c\ îA..- C/C Vittorio Balli, Yia Massena 9tr.
l0! 28 Torino firalie).
Mensuel humoristique en italien don-
m"m IG nan{ un compte-rendu et le calendrier
des activités du club de Turin : Amici
Bi-Mensuel Magiqrre Desopilani, I rue della Magia. Semble être envoyé gra-
J
Béranger, 93170 BAGNOLY'I' )81.51.29 ' tuiternent.
Gérant-vicleur de poubelles : Jean MERLIN
- Co-gérant grif,fonneur-de-papiers : James MAGTA MODERNA
HODGES - Conseiiier tecirnique pour les La plus ancienne rewe magique ita-
inutes, les erreurs et les omissions : Marc lienne. Due à l'inlassable patience d'AI-
\LBERT - Abonnements exclusivement au berto §itta. Il est plus facile de com-
nom de Mad-Magic, adressés à Michel prendre I'Italien que de le parler cor-
HÀTTE, 8, rue des Carmes, 75005 Paris' rectement. Abonnez-vous chez Â.§itta,
Prir de 1'abonnement : France F.90 üa ["ame rcA - 4022 Bologre.
Etranger F.100 - Prir. au numéro F.20.--
uots répôt léga-l à parution.
il csmp0sB û
On se procure les anciens numéros chez Hatte
r. Le ptohb ou au Siège social de la revue. Compoxi sur
I.ts.M.-Maboule, par "les petites dames de la t
11 Earrés ù U
51
HATTE
HAPPAILLOMINAITE
-]UlIGHET KI LRESTOUVAIB TOUTAI{OU
§^ô E KSEPTI ZA KZESSOARZOIIVI S IB
8 RUE DES CARMES 033,13.
Ca aurait pu être une bonne soirée. Vous aviez bossé
dur, mais vite, vous aviez chaussé yos charentaises et.
apres avoir mis un disque d'yvette, vous vous étiez
confortablement carré sur votre püant, avec votre Mad
Magic, pour lire. Et une fois de plus, Ginette a ouvert
ÿbu-s,Bueule pour dire n'importe quoi. Hier, dans I'auto-
j'ai vu maimaine et sa soeur a eu un moutard qui
a la varicelle et avec Freddo ils vont passer leurs va_
cances en Corrèze. D'habitude, vous pensiez seule_
ment "q-u'ils crèvent" et ce soir-là one ne sait pas
;r§
6R/
pourq-uoi vous avez vu rouge. Elle a pris en pleine
poire le buste du sourdinghui qui est sür h cheminée
et c'est devenu l'hymne a U poisse... Elle est tombée
,&s
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i fid#
\ffifl ,,§ rewe des moEiciêns dont lq moin droite
ignore ce que l'histoire ls. mgil gsuqhg_ _
.; i ..fgi! de la magie, dans une mise en page
rs §|ande aventure de toute
"';i. I lil
illil-fli-rr:
*
c§e de CECIL BIDE.MOULE
rÊ * * * StarringOnésimeLABOUMHIMSELF* *'# * * *
It IR[J1|Pll{ffi[0p[ **x#ei ONESIME LABOU
0nésime LABOUME, de son vrai nom 0nésime Léon, prudent Du3
n'est pas un inconnu pour nos lecteurs. La façon dont il s'est fai:
vice-président de notre société, après une enquête approfondie sur
la famille, les moyens d'existences et les moeurs de notre ancien
président reste p0ur tous un exemple d'astuce et d'opiniâtreté.
Comme il aime à le répéter lui'même, "i'ai débuté jeune".0n !e
contre en effet à l'âge de 5 ans, pratiquant l'escamotage chez les
chands de i0uets et de bonbons d'Aubervilliers, qui sont, par
même les plus durs à tromPer.
E Après des études moyennes chez les petits frères de SASSEUR, il s'orienta vers des ce
E d"éducation surveillée d'où il s'évadait chaque fois, avec une habileté digne du grand H0U
E Ïrilffi.;ilirri'a ,urr* d'une sotte histoire d'empreintes su, un couieuu tro'-uvé dans le
dans la légion. Mais ilse plaft à rappeler enc0re auiourd'hui :
n ne put
J'rn gu.ndur*e.qu'ils'engagea
rten Prouver.
;i Malgré lamats ans, 0nésime fut un brillant soldat qui récolta plusieurs médailles dont une
ii ses 17
fit miraculer...'
n culeuse, grâce à laquelle il se
n ...par un adjudant sans réserves auquel il plaisait beaucoup. C'est grâce à la bibliothèque
n dernier uu'ii paracheva sa culture : San-Antonio, Play-Boy, Théiàre de Chardonset, surtou'-
E prestidigiration sans scrupules" du Docteur DAUBEBGE. ll se souvient que c'est à la ls
4 [u:iiir"ntràrta son premi'er vrai contrat en même temps qu'une bonne blénho, et une ci
E qu'il a rOusi à conserver intacte lusqu'à auiourd'hui.
n Ëir, i'riffrro à la suite d'une bourre m0numentesque qu'il trébucha sur une poubelle u
tiÎ
,t la0ugllg ql§irlt
laquelle gisait ullts masse poilue
une lllarJ§u Pulluu Ët lEllllllIrIE manifestement culbutée là par desvoyous, l;se
et féminine,
alors qrà de tgutes façons il ne serait pas le premier et c'est ainsi qu'il fit la connaissai
'ii Léonie, qui, comblée dès la première fois, accepta de devenir son épouse.
n Elle lui donna'14 enfants en 11 ans de vie commune, dont l'un s'appelle Franck, en soi
n d'Einstein qu'ils n'ont pas connu ni l'un ni l'autre. Les allocations s'aioutant au .chô
n quittèrent le hangar désaffecté qui leur servait de bauge pour le coquet pavillon de G
n Gonzesses qu'ils habitent encore auiourd'hui.
E C'est sur la péniche de l'armée du salut qu'il fit la connaisance des deux rédacteurs en c
â n0tre revue qui guidèrent ses premiers pas dans le monde magique parisien. Présenté par
I i;;;ï;;1eiiio]üôltir,.p, il'frt,rç, àès la première fois, juste en *êrt temps qu'ila
de trier les 20 000 invendables du journal de la merdigitation et ce, sans masque à gaz.
H
irÏ 0nésime est membre actif du.groupe des collectionneurs,.où il.adéiàexhibédevantses
res quelques belles jalousies, aiÀsi que de jolies rancunes filigranées sur fond de médisance.
ii
n 0n6sime a, c0mme tous les hommes droits, un sens aigu de la justice. Ainsià Vienne, il n
n pas à casser la gueule au président du iury, parce qu'iln'avait pas eu de prix'
E ll est de ceux qui pensent que l'argent n'est pas tout, et qu'on arrive touiours à ses fins à
I Jr-pàtir"rr-.ilî iriràiionr. linii]n'uyant que de màlgtei économies, il vient d'acheter re
I d'un habit. 0uand j'aurai le pantalon, déclare-t-il, il ne me manquera plus rien pour.être
â Urà Au lury. Notre im.iest au sein de la société un exemple,vivant, et il.a æcepté !l1é!tl=
E
tJ ;;r;"rà;i,';ri'en a uien besoin, quetques-uns de ses meitleurs tours. Nous l''en remercior:
vivement. Toulours sur la brèche, il reste le vivant exemple pour les ieunes, que l'on peut a
ItÀ ;';;'ffii;#iJ,i pun,n, de rien
Ce nu"méro tuie$ uéàié. BAc A GAz DE
]OUME
r..i3ent Dugrim
ii s'est fait errmi
Fondle sur la rm
l{re ancien ilw
iârreté.
*)t *
§1-
7t
rne". 0n le im'
+ +
ç chez les "ru
cni. par essê:Tflw Ê * c"
x iont unt
.Taquelquetempsdéjà,lebonAlbertamissuriemarchéunenouvellesortedebien
se transformer en lapin. L'idée était
1,',m
_. le éponge qri p"rt-pâr'rutorrnu,',-,ent
séduisante, et piusieurS ont pensé
qu-il y avait.,,sùrement quelque chose à
I liothèque cie w .-.
.= te...,,. De son cote,'ü"àeàu Trn'nun rendit disponible une routine appelée HATS
N et. surtout. 'lm haut de forme en plastioue
_.,D HARES, dans rür.i. li iournissuit 3 chapeauxjaune.
r c esi à la lé$mm La routine qui accom-
:-=fendu, ainsi que qrl"fquàr p.iils tapinsen
éponge
o. et une cirrhcm étaient sympas..." Ma
.:nait l,ensemble, eluii arr.. débile,.uir tàr.Ëup*ur*
de sa tanre Léontine, qui était bien
rne poubelle crm ,-re ursule, qui est'Üràaeuse, auait héritéindividuelles qu'on place devant cha-
s vcyous. ll se dtttt :..,sante, des petites rrfi.*i mrnuscules et
r connaissance @ - -: convive.
fait breveter une invention tenclant.à :t:T:Î::::î:tl:l
-:.:= son cÔté, Alain SoP a à. papier légè,u*.nt gaurré, consette après s'en
a.nci(, en s0uvgïNfl]l :i.:,.,i:;Joii'&i oà;oîùrÀ
rt au chômage *u
a serv 1...
lirn de Garces'um
autreGuyauxEtats'Unis,atannéAlbertjusqu,àcequ,ilfassedespetitesballes
destinées à vovager
:rges bien rondes d;;"1;;" ;n centimèire de diamètre,
,acteurs en chef m
rs des cartes
PrÉsenté Par eur itr
40, CALDEB, qui n'avait pas encore taif y, tolu:ti,:1tl::::ii"
qu'il a acceptûür ='s les années iiirre cours à son sens artistique il avait réalisé
des
'rps
..:;"#;ï;;;;;,'i"*.ii *êT::.:Hi
,^
^^+i+ {ilm
crrr
-.l,lrïi p^ .rtà, Jàs stauites' des bricoles.tt
i;i;' ïl ;i ù;" *des matériaux :lÏ::
devant ses confuù'
e "nédisance. l;i.: i;.""t,.ü; mém re tou res,11
o i s. -
111' ::: : l'^:u:§:'^i::
rrès simptes L'un des sass de ce
Vianne, il n'hésm |,iiiiiil, à;:ïi.;; iermettait
et .+^i+ il l.i.oai+
dans une case. ouand on l'en sortait, il Iaissait
L",iii Ïll'i,";, ;;iln
--apper trois marrons... que Calder balayait avec une petite balayette '
rs à æs fins à fûllÉi
rr d'acheter le hfllti - , -s ceux-là el bien d'autres encore étaient loin de æ douter que grâce à leur
ien pour être me,tmil -:ntion dont ils n'avaient pas toujours tiré parti' ils allaient ParticiPeret àhoP
une
routine...
folle: rrn rendez-vous dans Mad-Magic, sous forme de
!
pté de décrire Pruil. .
'en remercions bmfi.! =-ture
, - :ommence...
ue l'on Peut arrilmq
1
I
:A GAZ DE LAÛIM
PREPARATION :
Placez les trois petites boules contre le
du lapin (fig. 1) et aidez le lapin :
mettre en boule...
Cette boule, ainsi que l'autre éponge ,
nent dans votre poche droite de vesle ,
la salière.
Placez les trois feuillesde papier dans ,
poche gauche ainsi que les ci
ROUTINE:
1) Montrez le chapeau vide et placez- :
verture en haut sur la table, dépcsa
baguette devant.
2) Sortez devotre poche gauche les fe- i
56
-:' alarn di'oite vient alors le saisir,
- .-: index et médrus et, dans le mou-
:--:'rt du sénator Crendall, dépose
. -. :: chapeau ia L-.,alle qui élait Tenue
' ;-r'palrnage (fiU 4) et place ia oalie
: : e en mAin gauche.
.. - :in droite tourne alors ie chapearr
- - : ressi.rs dessous de façon que l'ûu-
r. -'e passe du cÔté de l'cpérateur
.ai
: -arn drorte remonxre alors la balle
- -:rire en main gauche et on exécute
-
-: Jn faux ,Jépôt err main gauche.
, --, n droite, avec ia boule à l'empai-
':= crilinaire, prend ia nagueite, fait
: : rsse au-ijessus de la nrain gauche
-. tQ a disparu
rapeau est alors retourné ouvÊr-
=n haut, de façon à rronTrer que
e est arrivée en dessous. Mais
'cis-ci, ie chapeai; est tourné ou-
': vers ies spectateurs (f ig" 6i. Le
=au esi aiors placé DEFRIERE ia
57
re bas, une passe masique er
Ô '''
'lB)
ff :!',::ï,"'"ï.f§:;l: Êïrïlï:îvers
ies
La main droite se saisit des trois balles, en déplie deux et les refroisse a-
de la troisième defaçon à former une boulette plus grosse (approximativ:
du volume de la balle éponge.
'19)
La main droite se saisit alors de cette grosse Doulette et prétend la place.
la main gauche. En fait, elle ooère un :r
ge d'une main et place la balle'éponge
la main gauche (f ig. B).
20) La main droite plonge alors dans :
che droite, abandonne la balle de pac
prend la salière. Elle arrose alors la
gauche de scintillant, repose la salière s
table et recouvre le contenu de la mar-
che du chapeau, qui sera posé face e-
yl.
(fiq 9)
lTrg.
21) La main droite arrose alors le ch.
de scintiliant et replace la saiière c:
poche droite et s'empare secrèteme-:
lapin plié, à l'empalmage des deux de.
doigts (fig. 10).
221La main droite soulève alors corn-
fig. 1 pour révéler la première balle éc
et repose le chapeau ouverture en ha-:
la table.
23], La main droite
vient alors vers le
gauche comme pour saisir la balle c_
contient, en fait elle presse contre la :
lapin qu'elle tenait empalmée et les
balles sont dédoublées dans le mouve
bien connu.
24) La balle ordinaire est alors plac::
poche gauche, tandis que la main :-
remontre une nouvelle fois la balle tr,
en la tenant au bout des doigts.
25) Cette balle est alors placêe en mai-
che et dans le mouvement la main dr:
retourne, de facon que ce soit le lap -
soit à l'extérieur.
261Ce lapin compressé est placé da-s
chapeau par la main gauche. Grâce .
petrtes secousses, le lapin se déplie p::
petit et se trouve finalement comme l
l-a fig 12, ce qui produit un premier ct -
271 L'opérateur le prend alors par les :
les pour le sortir du chapeau, ce qu;
les deux ou trois petites boules dedars
2Bl "ll faut être très prudent avec les
car ce sont des animaux sans aucune é:
tion...". Ce disant, il renverse le chap::,
les toutes petites éponges semblent êt.: I
crottes de lapin, ce qui produit toujo_-:
sou r rre... .
rûû8ûûtttttûtûss
58
i:::.-:a[I$
§'Afà.FichalÇ,"#
c u p (fl I
.-_ 1 Lhutreiour,j'ai Étéfaireungalaet,puisquei'm'ai faituneban-
^
;...,.',xk,
ih:i;,:tr,:ÏHi#:ï{iflïi,ï**',,*{i;,:ffi
j'avaisdesfiches rondes à 5 branches (i'ai appris plus tard que c'était
des DIN) et l'orchestre n'avait que des entrées avec un gros trou
@\. - l\\
,- -ru( mnlsr ^t
rond (on nn'a dit que ça s'appelait des jack arnéricain, femelles,
châssis...). Breffe, ils m'ont foutu un disqu* de Sheila et i'ai iuré
qu'on ne m'y reprendrait plus" J'ai donc soudoye Mimile, l'éleetri-
-RtJli cien de la boîte qui avait sonorisé I'arbre de Noel de l'année derniere
pourqr-r'il m'expliquetout... et i'ai tout nsté.... pour pas l'tuhlier"..
LA TRANSMISSION DU COURANT ET DU SON
Elle se fait au moyen de fils métalliques gainés" En çt'néral, ils sont
composés d'un ou plusieurs fils isolés de plastique, entourés d'une
tresse métallique gainée. 0n dit alors que le fil est hlindé. Un canal
sonore peut être relransmis à I'aide de 'l fil + la gaine, on parle
alors de C0URANT ASYMETR!0U8.
;OURCEJ
w
Le même canal sonore peut être transmis â l'aide de 2 fils + gaine,
on parle alors de C0URANT SYMETBlOUE.
La gaine est toujours soudée à la mase et les fils aux plots de con-
tact. Un conducteur composé de deux fils +
tresse, peut donc
transporter soit : '- 2 voies asymétriquæ différentes, utilisant la
même masse, soit 1 voie symétrique"
LES PR ISES
tuels que soient leurs rnodèles, les prises se divisent en 2 types :
les prises "PRûL0NGATEUR" fixées au bout des lils {en relief) et
les prises "CHASSIS" fixées à demeure sur les appareils (en creux).
oo Les prises proiongateun peuvent être mâles ou fernelles (quand on
voit les prises et con est malin on comprend tout de suite lesqtlelles
o
EN(EINll D
sont lesquelles... Enfin, moi. i'ai compris tout de suite...).
Les prises châsis sont, la plupart du ternps, femelles, pour ne pas
dépasser de l'appareil... mais il y a quand même quelques excep-
tions... chez CANN0N par exemple. Le but d'un cordon raccord
est donc de sortir le son de la S0UHCt, c'est-à-dire l'appareil de
lecture : tourne-disque, platine, cassette, bandophone, etc... et de
eA(ôRpS l'emmener, puis de le faire entrer dans I'AMPLIFICATEUR, où il
sera amplifié, voire filtré, et redistribué dans des enceintes.
Si tout était simple. tous les appareils porteraient les mêmes prises
el les marchands feraient faillite. Heureusemcnt, poul la ioie de
tous, il y a autant de prises que de groupes de fabricants....
Dans les grandes salles, vous n'aurez bien sûr que votrs bande ou
votre cassette à fournir, mais il arrivera que dans de plus petites
vous serez obligé d'apporter vous-même votre source et de la
59
l§dld d d dgggg, d d d d d d d dcvo-
Les appareils s,nt munies de prises femeltes qui permettent lentrée et
sortie du son.
w
TAPE (bandophone) onirrs s
riiotr ronrriE;:ï* entrées lignes er Mi
roil;î;;;;.;i'i;;;il:
€)6"
n',.nt en sénératque 3 enrrées rànnr.C*i,
gauche, pour tes enrrées tigne,'c,est.â-dire tes,nirO*
::11-l.lr
magnéto, tuner, etc... /cl et celles àe droite pour les
Orïi,
entnOei Je ni
micro. ll faut s'en souvenir quand on soude les iaccorUs.
L.es m.icros peuvent sortir en symétrique ou
,n aiymOtrique.
!^yj:l mono symé.trique aüra S titi, auoriisifi en t, Z, J
asymétrique aura 2 fils aboutissant d ,i 3. u; i
tr). Un
micro'stéroo asymiiri
aura 3 fils aboutisant en Z, i, J (o).
5 BRoCHES q60" , prises spéciales pour télécommandes diverses
reporter aux spécifications du constructàur
/F/.
c PRISES CINCH
Chaque prise ne comporte qu,un fil + fil de mase /G/. ll faut donc 4 p
pour entrer et sortir en stéré0.
PRISES CANON
d Elles comportent au rnaximum trois firs et ne peuvent
être utitisées
MrcRO. Sr
p0{r une.seur.e opération lentrée ou ra sortie. Èlrrs
sont inoit]âirl
Ailtl. mare 0u teme[es au châssis. et se différencient de t'utes
res autres
par le fait qu'il faut brancher la masse e,, /
les autres priæs.
et n,n en 2 rorme iri
e lue comportant3 plots,.ces prises ne transmettent pas 2 voies (
!ign
+ une masse, mais une seule voie (mono) avec un courant
svmétr
c'est-à'dire un même c'urant porté par o*uxliii ô,
ment sur les tables de mixages, pour iaccorder des
Ërilàri,riiiri;
micros /r91.
PR ]SES JACK AMER ICAINES
0"n ne peut distinguer de fextérieur si erles s'nt
nnono su stérÉ0. frr,
@g fl.:,Lllifrl.deux fits, Stéréo etles urilisent g iits, mais à i, u]trlirr"
ettes recoivent deux voies rrY*Oiriq;., : ta gauche
9.tN^!9^N, et ta ctr
qur l.utes deux utirisent re même fil de mase. 0n reitrouve
,/-\ ment sur les sono d'orchestres et sur les amplis
nrinc,
/,t/.
@ h PRISES BANANES
Elles ne recoivent qu'ün seul fil. l! faut donc
en hrancher au moins de
mono, 3"en stÉré,. et 5 si l,on veut entre*t,orii, en
steré,. 0n les r
Y:::*r.._]::,119!-rr,ru
p.as sur tes sono. 0n les trouve sur tes petits
reurs a tranststors, les minicassettes (K et L).
@
@k
@l
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??99 ç ç eç9çe9
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[-ES PRI§ES
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Prise femelle
6' 7' I
//ô\ E Prises femelles broches
i [es :*l:eut
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^ ' )) }-bi" ") LEsTATKS
leg:gsi,llg F : Jack américain mâle mono
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Bouyer (Francei
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rC»*ê
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HA
HB
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RACCORI)
A: PHOLONGATEUR 5/5 M/F DIN
B: BACCOBD DROIT 5/5 M/M DIN
C: RACC0RD CR0tSE 5/5 M/fr/t DtN
D: BACOOHD DROIT 5/5 F/F DIN
E: RACCORO STEHEO/MONO CHOISE 5/3 DII*
F: HACCORO CHOISE 5I5 F/M DIN
G: HACGOBD OBOIT 3/3 OIN BANANË
HA : Asymétriseur gauche
HB : Asymétriseur droit
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BAccoRD MoNo DrN/cANNofr"il^fTy::
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-l
'l ir;:l: *:*Tt*usflva *t !i§{t! ærrJÊ}§ **;-tiq-rr-$me*t q*"* *;$rriri: *i xtru-t qslu-li **É1,xIr{JË,i:i:1;*J.!1f§
----ç - J
,:. ,',: !:.i !irts *i'*ê*, ii v ;r,'a *rffir* tjrt c:+ {rnr!:rÉ*ræ! r'i:us i*:lq**l*.;';}*c iir ï'}r}t!îir0;r ii.31;
' , r,.:::,... f""§til riirfr;..,:i vtx* *t*r !* p*ti*rt*c Se uri;li::r'*it:rri,[i !i..'-,I'-*ir, v**:; §iit:ï s{.iil*-
.{A
------
-g 'I. : ::ri :li,r, ,. V*iirlt$:itëEli?8:'È;:q:t lel rn{:r;*rrls sjâ p#i'tjiii i?'fe{; i*iir i!t,!§:'i'ii
' .. l: ,,,:r::il;,1üflT*tji, il Ër-:i.r:i{;rttf a .ij* "s:*T"itr d* ve?rr iiütii''r:it"
F:ir.':,,,î ix *rpi* dr "r{rtj:
*iaçnét*pl,;**eu *rlr*;:lÈens zur it:-; lnageilt*nhc;l{§;Bi:, lrfir,t1;ij:- i'i!r"t*.,
lB
\-
'T
_J] rî.:iÊ': i* *r:g:i* d'um l-rlugrléT*ph***r,:*r'*prri: §iir i!i1 *iq-tre. ii::.; Ëh.riig:s: pheilp* {v*ir
*_-_ -.
".','ri;*:ti
: ,:.''ri,,i it,;Fur d#slx pr*§*nEate*r* ü§ni §lS ;nâi*s, !*rsque ia s*unee ü$t §;tffÉ* §*i*t i!* l's;i;"
": S'ir ,i;uË e;nl c*rdsn *rûisi"â, cln peut f*àre FHû+ü* §) *Fr§*.
: -ii:i,,; i-rermetts$lt eie c*rlvevtir ri*a sfi!.irr:c strrêc! gü m0iÏ*, st d*i:s d* l'gcltà'er sqxl ü*
D§ , '-: r r"§i:*. È-es Flqlts f l4.st §13 sc*f csnstc*tr&s *§ttrË cliJ"q pfrr *in psânt {AÉEi
:,'*..i js i:**çerxlr un prc!a*gat*ur [!§$l §l§ mFTüii mââr* *n ur: pr*i*cg*âe$r ür*i§*....
: , -:*rri üEf* &iTSfi* I ffAfdÂruE pa*r vl*illes tahles de mixary* {&+ffi
",1ËTHtr§§[!ffi ; t! arrive
qilû st]trÊ $siirre ss;t syffi*tri{ifi# : miûr*, et rlue vnrus d*viea
;:i'i! irr: ams.n§i me r§**vsËt que *es **l.!rëilts asyr"nétrËqares. l§faut des:e interealer o:;l A§Y-
iE UË qui va rêffieT!§r les d**x fiis à ss* fà§. §'{& rentr* qi*§}s a'ril* *ætr*e Êigne. alcrs q*e
':1i:1 1.ifi*an(slJ"g1trgl1
tlarls ffit§ üfrtr*s nri*re {&+S+F{ê. r:u &+-* s Fl#i
rr.j v*e.ü§ fr§*â a.§il màrr* symetràqu* av** Nn* §ürt;* l? Ë&J 14ue v-$rjc v*tii*r #lxirf r §!ir ffii
..s
,i'rÉtriq*e $:Ê *4r11pürte§?t q!,.!f d*§ entrses ia*k r"*ict'c, v{}ils r*§?tv*r*r avee;:iis" 'nir:i;r
- :. . . l':t::? tnir:r* stÂ+Ë r lÂ"
'*:1 ,!ir *xemp§e d'e*trer irâï Ê11Ësrn STË!f Ëü d* s*nie iliFi, sur âir* ii&rli.! d'u"r*h*sTrc nq
-:.,: .,",-
- - -, *.:,tr. "à..- **,{*;;".-
r'i.ri"Tqq *l;ilfuq *gf1<1 i-"^Ê. i,*'t'"e*""r"-
l,qtzuü j+:F i,*,):rt*tÈ;*. .!!
enîr*r $$ rfiiülcj tt*rê*'ciis üfi* §ü:ïs sffi,s-E{*dêmg r.i*t ja*Tcs
fern*§§*s st*rê*
*":1. d:'gllT-i*i *r:tr+le*
ÈTiÈil*i st*rÉ* siln ün8 ssr]ü *igreh {Â6's§r1.,qKÂ1, §tüTT" #Te...i
i.TrT
-,.-':r':. ;i* srrTie sryr-'m*TrÈqxc illfu t* *dÀi{ff{'}&É ü*i iliTü çê,iliiSüru *l; l}lrï,
':' : :,3:V . eli*"r {]"4Âr'JiJSfij" ia æass* *t âr, i....,;
*;*
.r ü**§* fts-eç Ufô* #*n*** f,:dle
- -.È i;hs§* âY*s ànfi8 §cuyer
-r
, - -,rtf i§€1is c{'eittre v*$s vtiait peut-43r* tahrrrjr:er 1ütrs üri: r6;;ç416r" ef au fo*u1i i"§'ilü §Tlü"
: -: -r.' :,üi.!,q ÊLtî*e È.!ffie tr*lætgi*e d* rac**rd: ferrnÉs, §s.[.55 r'!Ê sôtii"üe *lil§, dans les cas de
",, ,,:r:i l*; parti*s gau*Éies oa: drcite* qei smrt **ranmïé+s. [3** hr:nn* pr*eauti*n üssrsistal
-:.r ilir a ref*r**;i une pruse q{âe ê'ffn visnt dq smudq:r, * pr*ndr* une pctitc ôtiqu*tte *u{ru-
,: le 1: *rsiisr sur iæ prise" Sus **1"'È* Éâiqu*iËe v*ils îxrt*c Nrl sq:hâsTa de la priæ *ur lequ*i
: :,*; qt-l*ls s*nc'{ ie: pl**l qur ili}s§ 6v*r **rum*et*s !'*ars rsee}svq'*a *ft$üit# t'ens*mhÉs
:': îsr!*âu de **etcàï, p{i{ir qiJr.: l'æn*re ne êttrsss pês à §'spr*i:ve rla: trmps (vciir i!!*strx"
. :r ; pagc *]"
-. ':sis Blus agirôs q$"à i:fiiTlF$§er ucs liq;mes c*fitmE u* j*u dx üss?$trâ.|tî;eil.
"irj€( DiN ü^.)
'-*Â-,1
t.i-lE 1"1 ttr b"l L eilË,À'r.Iï *.
{i3
12
De beaux bambous, c'est bien plus difficile à fabriquer qu'il n'y paraît. C
la Devano, et tous les tours à contrepoids, il s'agit de réaliser un compromis
divers étéments.Bien sûr, les vrais bambous devraient être en bambou, mais
ceta il faut être outitté pour travailler ce matériau à chaud et n'y volts, F,
ne possédons les bons outils. De plus, il faut les doubler intérieuremer:
tube en téftan, etc... Donc, si c'est ce genre de bambous que vous cherc:
mieux est de les acheter dans les congrès, et une paire de barnbous supe
vous sera vendue dans les 500 F.
Nous allons donc décrire la fabrication de bambous de section carrée.
ceux-là, vous pourrez les fabriquer vous'même et l'ensemble ne dépassea
50 F. De plus, moi, Onésime, ie vous garantis un fonctionnement souple e:
à coups, ce qui vaut bien quelques heures de travail....
OUTILLAGE:
ll est des ptus réduits. ll vaus faut : une chignole avec forets de 0 3,5, ô
tourne-vis ; une scie à métaux ..... Et c'est tout.
MATERIEL NECESSAIRE:
2 tubes carrés d'aluminium de + l- 40 cm de long et de 3 cm de section.
2 morceaux de ionc d'acier carré, dont la longueur sera déterminée par le
des pompons (entre 7 et 12 cm)
2 vis terminées par un anneau
4 vis ordinaires de 3 x 20
4 embouts de tubes carrés en plastique dur, s'ernboîtant sur les tubes d'ait
sont embouts gui terminent les pieds de meubles métalliques).
les
2 bouchons
2 pastilles de feutres autocollantes. {Ces pastilles sont destinées à être pl
sous les pieds des meubles)
2 glissières de plastique, destinées à être vissées sur le côté des tirairs
2 grosses perles de plastique
3 mètres de cordonnet de nylon
2 pompons
Un peu d'araldite.
1 4
H
64
il[ 5
hs
r;=': i:r'mm
ra':- i :{TIW
::-- - j i:flirflflr
|,'i-_i - 'TrtJllllii
: : lAïlON
?."t-: ":: "rllllllllt
:: :es glissières sous les contrepoids ou collez-fes à t'aratdite (fig. 3). par la
,i : , cus pourrez scier l'un des bouts du cantrepoids, de façon à n'avoir que
a: : a ,: : -:--eur nécessaire à tracter votre pompan, car plus le paids est lang, ptus
uiltûl
tt :-: pompon s€ra court..". et plus vo.ç bambous §eront /ourds.... donc
" ': - aniables""..
"r - ,'crJS pouvez ausst, st vous êtes très bricoleur, mauler vos cantrepoids
' : ':z
-
*'.. Pour cela il vous suffit de couper deux tubes carrés que vaus
rr a une extrémité avec un bauchon taillé. Vous faites alors fondre dans
r : , e casserole du plomb de pêche et vous le versez dans les tubes. La
-::.actatian
tl[tiititii', du plornb lors de sa salidificatian vous perrnettra de les
uur* ,'- i " alsément. Vous aurez alors à poids égal un contrepûids beaucoup
ilr . :-,,-':. Vous pourriez même encore le raccourcir en le faisant en .... OR
' ::- i rêver....
,,,,: . i j','3AUS
iir,,, '* " - --i 3art en part un trou de 5 mm de O dont l'axe est situé à 2,5 cm du
r --;-s les tubes (fig. 6). Sachez tautefois qu'il existe un petit modèle de
, - '::tre du premier coup.
::--IATIONS
- :rrière des bambous est seulement constituée d'un des embouts
-." :
,:: :-t:ités. L'obturation avant est beaucoup plus importante, car son
lur ' :,:.' un coincement du cordon entre le contrepoids et les parois du
65
KÆ
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ffiw.Æ}fr
ktxVr';ï.rt'
&1rl 5 ,--.":l
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i;t ,;i,'i .:i'Jili..' r-.ii',iJr-;' ;,' ,1.,r..- ,r -.. .1- --' ,-ilr..i r".,,.1 iji.':,..r':,/{j,r.r,.'r" rïl*rr li* l'..,xjijr,le
:.r{iaii i...i: i-d. lrr-,,.:rr.'ii,i},'i.,:.,..rji:r i,,s ÿ#?.ii iti.;jjËa.).:.i,:;,*.1 ,r*i:ii* d,f:,e;.i, *;: **3fu*r:.:
Ïr
ilig" .:i" ,j...4 frÿ. ,? ,"r:,:i;i,rr: tt';J,t;.s,,J1i,,,:i r.jr_j* .t;i,jJ_: i:,...;.i,,ï,i:*;t ,"t'ijjli;T#.1 ;s_qe,t lo-:
i:üi-#,]i; r,;si;*'* rl# cùirli:#i... .
,;l v,srJ. "çuffïr r"le s['isr L{ri ÈË"ri &a:#i" d* i }r,'ierg #*iri alriiirrtsËrrrcrs.. . si. l{r tcr- "
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ôlj i";l;r;Ii.'r J.,".J*lrr:;*rl l* lor;sue*ir r./s rri.:çl,e crlr,:'ë/sff* de iaç*;; que, lo.::
l'*hisf â rr**fer est rs#trrc rs f:ary:i:nr;, l* c*,,;ôle/:r:;ds n'ait*igne pa:; fûut t
lk;çr'rd'mirri ds r:*iio.,'-r:i "" yrt;tls ét'â.,uner*,r ai*s! i* &zu;if r;elisei rs*r i* th:,:
enr;tr*p*r"#"s #ûfifrs l'à,'n**rif arriére ifiç:. *j. "l
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I---ffi,
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-OGI.]E
: :';l.Id pas les gens n'importe cûmment. sinon. on se plante.
t- ^- 2 :-= .:- fort désagréable p-our tout le monde... Noi: seulement pour le penrlu lui
: -ui â I'impression d'avoir raté sa sortie...), mais aussi por-rr lè bourreiu qu'Llne
.rde du public boude... tanclis que d'autres types le traquent... et ler trac.
--::t. fil son entrée dans le rituei de la cérémonie... les bourrèaux eurent le trac
:: -- 3ûrjus n'aient pas latrique... et pcur se donner du coeur au ventre ils r-lcman-
: -luelques chanteurs châtrés de chanter I'hymne bien connu : lil pendaison,
r, i - :- - - -: li Se.colllmande pas" Mais bientÔt. les chantres déchantèrent et certains pri-
- ..re. C'est aiors que les boun-eaux burent.
t:e'â-:a:* 'ii ties boltrreaux bourrés remplacèr lcs bourreaux bourlus. I-es tabor.irets
tie' :2': * , iirent place aux tabourets beurrés. d'où Ie pendu glisse tout seui et dont le
-. ir pendaison dépend....
' 5 que le pêre Dupendu" demandant pour ses fiis le ilroit d'avoir ie clroit
" :i des droits, afin d'avoir ie droit de se pentire soi-même. Bientôt, ce clroit
-:. en même temps qu'un piano clroit^ oir certains Iaissèrent des doigts. le
ri des bois. à la ltteur cl'un feu de bois. Certains pendus étaient honnê"tes et
' -- - -ic pendirent, ntais il'autres plus adroits profitèrent tle leur clroit et firent
ûüe. aa":§ -; , -irS irour se jete r de la tour, que le public d'alentours, chacun son tour
as lcu: e ;lr: ":
r ,'s c'3: lu ' :i.ginèrent
Cofillne à ia chasse, accourt. paré rJe ses plus beaux atours.... D'autres.
de-s tours pendabies.
. ..:1.
FERE\CE
67
I, 62.--:§MA-D MAG IQUE P RE S ENTE, en aissekluz ivit e t Mon d ial,.\\\\\. I
I ceci fait, la main gauche tire sur son bout jusqu,à ce que la boucle se cc:.:r
le.noeud et I'ôpérateri uu* i" ;;r (la fig. 2 monrre |action
1 31"::
montre la meme quand o, a nnrj. D;un geste habiie, la main droite s,e*:
en cours. É
f rd, Doucle. rano.rs
,? ra. L']oucle. tandis q.!e
que la marn
la main gauche.
gauche, de ses petits doigts
doists déricats, i. ;:._
.o.r. le
délicars serre
,i \::,'::i
lt?.t:T
main (fig.
,1,_oï, 4)
,r1g. .+). La
L.il marn
main drolte
droire. tire
trre sur ia
ra boucie
bouci-e pour l,agrandir. i=
t'oÀ.anoir.--. :"
que.l'opérateu.r puisse uitérieureinent y p.m
1 :J:^,,S^:"^,1.-it_r-.r. -llA9:-.rour
ii: ir^\:; *ri.::,lll:.une peut
rraction
rétrécir 'uit.
la
bort B de la hr. à".;;;;; au pubtic _:
br:ucle. on peut donc faire queiques uu .:,
l
2)^_afe
, Ça {on
gagne touJours une minute....
a,
gryt"y, ud'épouses
,f aerres
;::::*:, aimantes u,r
rpvuùÇù durdrr.trb ont regrerte
regretté que leur
ieur seigneur et maître,
setgneur maitre. co;r
co;..
de n pas uur'u
art ycù
rr o.rù connu us,oeuo....
,Z :,-,..:" J€u, ce noeud.... er est pourquol,
et cc,est pouiquoi, les soirs d,er:;
rougeoit. des veuves au front lourd guidées par Oes c::
d,er::
Z lfl^1y.,r:
,:.?:::"^t _r?I.,t
,.i' ùur4Ër
sillage uç
de ruflgues de jeunes tllles
,7 ;.,:'.::.::- _::1."
_911r ].yt
.9
longues rlres
files oe Jeunes fillel dlaphanes
bien d.'un escabeau. espèrenr êrre à rcmps pour pouvoir
;:
diaphanes qui. ,::i
Z :,y:.,_.li]:: é.;.q,,r eî . i Ë il,ï ;.;i;:' -:
;-" i;,1 :HiJ,tÏ"i: ?iir'." I .i
onr Jamals lvu. en un mot comme en cent. Ie beau noeud du pendu.....
1 nYl",:.l,.'*t y q
U
68
/[\
I
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)L
JT
t -:-
69
iloM§trït l«Ir
r,'autre jour. ies sangsues cre Mad-Magic sont revenues rne voir.
un service qu.ri:
lait'nt. Ilsvoulaient que je leurtournoîeux lloît.t,s,rt ,.,.,
derns clu gauir
massif.... faut pas dér;onner... pcrruquer le micli. j,verux ",r,,uo.rcre,
bien,-mais courir le risc
T rr1lr1 piquer à piquer riu gaufrinox.... makach' A; p;;;;";;,;-;,";;;;;;;:
être la lourde..- alors je leur ui tourné clans ou
du merdalux, et
c'est tiien
bien suffisant.
Je leur:ri demandé pourqu.i.'irtait faire : re bonnetea,
"f ";Ài
qr;ir, m,ont dit...
bie. rirr:, mais j'aime pas con me prenne pour un branque. L"'i;;;;;oî'",.-
des cartes" et pas mal <ic méilroite..,"
Justement" qu'ils m'ont dit :
EF FET
L'opérateur sort trois czutes d'un étui, deux branches et un joker,
et les donnr
ig bur du jeu et ."1", *urnonnêre, je r
ilt:-::,t,*îp];q:-"^enslit_e
I'argent "orr,**
moi-môme.....Ir sorr ot"r. ae"*a po"rr"
piè«'es et distribue t.elles-ci. """
uïii;;i:;;rïiiiii;rË,
"Ët
7A
,l;
?//r>-
F\ KW
' , .' ) .n n:<inlrant la boire, il ajault : ce a'est pas une hr,,ite à pilluics,
.j'ai cri ia f*ire
I\
t\ .rer s;récialem€nt. priur meftre les pièces..." et il ia jetie iilr la lai_-ri+. ll +st bjrn
r-.rrs qli* quelqu'irrr ne.ia premù ilas_ixlur i'exarr:jn*r et, rsl.,:rfi,re l*s pi*.,*es
<
ri,:-
,ll< Ii ,ryr,-rnl,le alors à roiit je n:cncle *u* ia 'bsite est ouor.u**l*,,.i r{'}!.ÀÊ" v{.}ïÀÊ n,al,+z
''-::i-irllji llûmmÊI1{:É} alol's sit ror-itir:e rie bonneteau iians }.nciittSlsr ii$ri,r 11',:}-:i.t;,:i.tiris;
§\
.\
-':si':rtiei éta::i ile r,,igêsrer les piÈ*rs ara.rï:.*ctat*rrr ri aù i:]i
'.:- lc lr,ritf ry!:r{;ltre irr}8.il;:r
.
-= pk:ine, 1'+p*l.aictu-l rang* ies t&rtfi; r.r,;.?in:o ri_, ie t,g};..i1. çi-..,. ,,.r.,._..
r-:*,-.jj*-ci r-.ili
qt;* ie.ie'l e.+i'";:ie, l;r'i*-'h*ri* l::,*nif*sie ûi i:rlf:-e aç i,lrrtrjjr.: d,-. l,:i rri-r,".r-,.
ffir
::.:::iiçt:^e
ï..rÈi:{. i} e.si duFe.... c*lili-ci, i-.ien sfr,r, aci:e1:re. .i,'c,:,ér;rre,,r;r sürr ai- :1.}u-r:ii::iiij
:ts, iie j'Étuj et, pour ii*nner plus iie ci.:a*ns:e au ,+ubtie", ii çe ia:ss*: çne ei i:ç
': :tÊ ij*ux' h'îais. dll-ii, r:ei.i* f*is,iri ftitüs nc ;r-.u*r,i; Irr;; Iu;;*;rr Êt 1i rÊIrj.1.,e se ic
. .a' :,i.l.T la l:oit,e. l,es ii*ux cai:Tes s,lnt o,=;.iuarg*--_.,
l,_, .,i.,u, +.,a,,f Èc rr.,ir:."ril_ri.
li , ;r:.rd *r *r:r:i pir;sieurs i*is. -ie suir*. jusqu'a oe rl-*,ü sc,ii p.o rir::;q,.rrri:{ii.rs§"...
-:'r ,:e:"i,*n;*n-r, *lcrs r+lournées ; eiles ri:nl r*r-lteE iàs t1"*ux blar--,*1,*,a....*"
-,ri-riïTiû j'ai iriché, I'a gent slt à ,.,.lri§. Ii r.luvre aji:r; lii hi;i'i,e ci,
.
à J.'int;li:lr:*r.,
'.',. i.lïl€: carie piiée q,'n 8, ie joker... itrua:ti au:t ;::i:ces. elre-" sa1nr retr*ili:r+es
'-',rçi1q1.., ei personne
n'y co:npr*,ncl plus i:i**.
.'llllr
: R iEL rJâ1ilE§§Âsi?E
, lÉ c;i"rtss lruqué. il s'agit e* latr r-i'ut:e sir:*ple i:rande d* hrisrc! +u rie.r:lasii_
- pliér: r* trais co,,rrï]e s',:r i* fiâ. tr ei **Lcl:é* <ies rleux
lll llli - i pil:ces - L;ne i:c'i;* b,:sr*!'i. J'u-n *â.rô r*e irq,-ieir* **.":l_ro";;;;..1;;t;;i;-
*ne p;o.oe"-
ttll1 - , :a':.+ blarrulte gtnro aviar.l .i '.) ,,1r.ç;n{ as,i{)rtli ; ;*H*, ; rar,:r iri ri:., :.i
ilri{i - :csséqe;: ÿas ce j*ker à ra:*t i]lrxic, rx,tis seu.lern*ril *oo *;:rtes i:ii.:.::i:ir.Es.
llll'rr
- ;: allssi fabriquer Linë car*ij "ili-fiéreiiie" en r:*liairi
.'.: rnâis ceci n'e*L Ëa.§ Lina i:*n.ne sciuijon, c;*. j+,r **,*ri-lii{j gî.jsse roir:r-n€iri,{-j
r.ri*,J.i,:n"iilli_ âsser
r "l5c*ligr et rec+ller Ia gr_:min*lie vil*....',"
-
illllllillr
-.:= ;'-rliliion, §*ur avoir une c:arte rliffôrenT,e, co!.rsisi;e à fain:. irevant les gen:
. :ie(: un lÊutre . pa,f contrt. ijtler.gtiiu?:tisc rCse 1,4.ri1 ;i3r-,, a sigrlei !a,.:'t-1,.
. :ris
';ul trois il y aura un ccrl quri vr-ruiire srgner;*ussi... et j,en c*mrais tiii
llLlflf
,rrrlttml
- . iut,-rnieux que la cal-i,e ci TfÉrr;nt* srlil rrne vrai ijilr_rÉJ ri_ rir"i+ ÿcl;;c r:.!i e:r.i.,
iit . .-:rà à d+n blanc.."..
I ur{lüt
'' it ulltl\,
. .".qTI{fN :
,:e= jekers ordinaires en E ei pla*ez-l* dans la'**iie i:ost*n
(fig. 2). pl;lc,r:r
, ,llfl§l
--:rs lâ poche droite rie veste et, à côt;é d'elle la ti,riie okJo {_-onteilâilr §8s
l qlrillil
71
ao
ROUTINE
1) Montrez les trois cartes, raissez-res à l'examen et expriquez le jeu.
2) Fournissez I'argent et laissez
boîte.
J) r'altes alors votre routine de"*;;;;j;
bonneteau, en reprenant une pièce
quetqu'unp"'d-;;,-;;;";iliH{iï:riJJr:"':i"*ii"i:"iti:1,i#iî:iË;
ceci pour bien anôrer arn' Ë"à*eau du public
IXiii§r. qüu ru uJii" ÀiïI
4) Abordez la finale, en disant 'oce n'est
même plus ra peine de jouer à r,argent r
que vous avez tout perdu...." et ce disant
la poche'-"9h,
,oui ,emett", rà u"ii" i"r;ri;r,-.
il nà faut pas que3'o.rntie l" "t
i1à,rt"r-rous.... er r
ressortez la boite boston pièce visibie et vous"o;;;;l;....
la coiffez dü couvercre, puis r.
laissez le toui sur la table.
u)
Y:T: j:fiif: ll_" cutrime.démonstrarion
.1^1.. de bonneteau ,,pour t,honne
arres, i k;;- ;;;;ü ;, ;; # ;;,ïJ,, JiH
IX: :ry l::..,?: lj.,ï .
J ff,i,,:
;:Ti3",,::,:'*
voulez vraiment îlilt,j1ï:::
Puis
'o" ',"i;;t;;;";il;; ; ;Tür[T: i
que je vous èxplique cornàent
ça marche ? O.K. 1,,
\r5w
rl
û!r!
tr
r&I
;d?{
.lrl[$,itl
72
2t
avez malquée, vous avez négligeml.ent retorirné
l,étui
. =:,lant la pose que vou§ ;*ds de l'iutre côté en disànt "eh bien, c'est un jeu
. g. 4) et uorr, ,"rrort;;i";
...l,uellepublicnepeutjarnaisgagner'carc'estlatroi.cièmecautequicréetor,lte}a
.:iusion. Et votre seule chance de gagner serait de jouer à ce que I'on appelle 1a
retournez les deux
,.1e retournée." En disant ces mots, vous levez double et vousPour le public' vous
î"-tiÀ-rt uo,rt rééventaillez aussitôt'
-1Ês dü dessus tun"
has (fig. 5). vous le posez ajors.sur^la
. =z seulement retourné t" iot", face en deur blanches restantes {fig' â)'
.:-e, face en bas, "t-uà"r lientourez des
"*teu
face en bas en disant "plus je vais retot:rner
- -ls retournez ators.tr-ca*e normale
Là, vous saveu encore rJu est ie
.. :artes face en bas, et pius ça va être difficileu,! bas,
té l; , i,il;u ::.r. mais quand tel trois "r,t", seront fu"* et mélangées, ]e probièrne
.:: 1e même".. alors i""àr,],à"rave une carte pour^vous donner 5Û ÿi' de ehance.."
- : jisant ces mots ;;;;à;üa 1a seule fu** en haut dans i'étui et vous
"âote
'.: :.1rrgez les deux autres'
pièces sont pour vou§""
, -s ajoutez '.et cetle lois-ci, si vous trouvez, toutes les
: -s ouvrez alors Ia boîte que vous posez en main gauche sur le bout des doigts
pouce drnit ?ait pivoter la boite vers I'ar'
'boîie i" "à.ru"r"ie,iesur la table'
.; 7) et, en replaçani
=,= i iig. ili. Lu
est alors reposée
I a::::
> ;---
\ --l:
.1.-
: ::.ctateur fait son choix et se trompe. Vous répétez alors l'opération ju5-9'à
:. - J ait des SOupçonS et vous retournez les deu:i. cartes pour rnontrer qu'elles
-.::1anches"..
*. dites alors "Puisquej'ai triché, tout l'argent est à vous.
. -! ûuvrez alors la boîte et on peut voir une carte piiée en huit dedans. Vous la
-: --z aÿec un peu de suspens et vous la tendez à la personne qui jouait avec l'ous
: :=::andant : "mais où sont les pièces ?" Tenant ia boîte en main droite, voua
: -.;:z dans la poche, abandonnez la boîte boston, res§ortez alors les pièces FUIS
, : -:e okito.
-, :=_1x cartes qui sont sur la table sont alors rangées dans l'étui... et le tour est
= ::nd, c'est pas si con leur tmc, tant que j'êtais réglé j'en ai fait huit ou dix et
-:.=i que je sais ousquesson leur réunion, j'va retourner, c'est Lrien le diable si
-:tje pas 4 ou 5.... surtout en les vendant moitié prix que lesmarchands"....
Lf
Ftil/ln
Dans les trucs que je sars bien faire, il y a REOUISIT. _
§$Fl i
Un jeu de cartes f olles trouées.
la carte folle. C'est un chouette de bon
truc, la carte folle. Le seul problème, c'est Un tube de 7 cm de long qui pai-
con peut pas donner les cartes à examiner dans le trou des cartes. Un ruban ::
à la fin. Passeque moi, quand je fais des de long. 9 cartes semblables, percé=s d
tours j'aime bien tout donner à examiner ment au milieu, mais AVEC U\.
à la {in, même si personne ne me demande, LEGEREMENT PLUS PETIT N:
je leur Tourre dans les mains et je leur dis :
SANT PAS PASSEF I-E TUBE :
vous pouvez tout examiner. ces cartes dans la ceinture de voir=
lon.
Et là y viennent de mettre sur le marché
une nouvelle version, rien qu'à la lyre, BOUTINE._
j'ai compris comment ça marche... Une f ois votre carte f olle term iné:
blez les cartes et laissez-les en pr:3 !
C'est une carte folle avec un gros trou au le ruban dans le tube et passez :§
milieu des cartes, qu'on fait avec un em- extrém ités dans le ruban ce--
pcrte-pièce. Ca ne gêne en rien Ia routine. milieu ..
I I f aut seu lement faire gaffe de prendre
des cartes qui n'aient pas de point central Donnez les deux extrémités à te' -
comme un trois ou un cinq... et il faut types et retournez-vous (f ig. 2; :
ausi que ies trous soient parfaitement tube à travers le trou, libérez les :
centrés surtout si votre routine comporte changez-les immédiatement con -'=
des levées doubles. tes normales (f ig. 3). Posez ceii:=-:
table.
EFFET. - Après avoir fini sa routine,
l'opérateur montre un cylindre et un lly aura bien un braque qui vou:-.
ruban. ll enf ile le ruban dans le petit de faire passer le tube à trav:-
cylindre puis pase les extrêmités du
'!
lt,,^ 11t^'^l et un guignol qu i exa-
ruban comme en fig. 1 à travers les cartes une par une. Et
cartes et donne les extrémiTés à tenir doigts dans le nez, vous t-
à deux spectateurs. salle en gloussant comme --È
Placant l'ensemble derrière son dos, Le problème est que d'avi '
l'artiste, c'est-à-dire MOl, libère trou dans des canes ord'r = -
toutes les cartes sans que les bouts de sert à rien. Heureusement r::
ruban soient lâchés un seul instant. nateur a éTé visité par la ;ï
Le public croit comprendre, essaye et dessiné pour vous des ca't.**
rate et, de plus, à ce moment là, tou- quelles le trou central d'
tes les cartes peuvent être examinées. motivé.
74
E
@R tr îiF
J'ai vu Fred KAPS faire une versioa
telle de ce truc, qui est la
d'une pi,èce jaune et d'une argentÉe. I
je n'avais pas son habileté à manipu
utilisé un subterfuç pour pary(
rnême résultat et je pense qu'il sera
tous ceux gui sont dans mon cas.
EFFET
L'artisb montre deux pièces des
tés : une piece de 5 frs et une piÉ
noise avec un trou acrré au cent
deux pià:es sont placées en main
bien ostensiblernent, l'artiste en re
sur le bout des doigts.
Passe rnagique et les deux pièces
de place.
EXECUTION
It vous faut : une pièce chinoise,
de 5 frs et une coquille de S fn qrr*
boîte aussi sur la pièce chinoise. fu
nemplacer eelleci par des Centavos
ceux qui n'ont aucune pièce
des jetons de Liebenow, quoique l'
bien meilleur avêc des piràcei, no
avec la pièee chlnoise à cause du t
me je l'ai dit.
La coquille est à l'empalmaç del
droits. côté plein visihle (fag. 1). Læ deux'piècÀ sorr
entre le pouce et l'index droit comme dans lâ fig. 2. N
la pièce chinoise est par dessus la blanche.
l-a main gauche vient les saisir (fig. 3), tes retourne et les
78
IIIÏ
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:.: i.i r-i ; i.;*j t;îi i,::l l,.i 4} *tS"*r il ::tii I [Tl * gt !
ffiæffiffi %w
ffiW
. . ttS ilt i:r r;itl iaUi.ialile ilAii it.rf;:t i-li, rl 'lltliL, ll' ai ii'!,11i '-ii:',i! 111lirlitiilil
:;;ii;L:e-t... .jE
.. ,,.l"rrÀ*t1 ,'L'l;l*l ll'a;itaL'i§ 3'''iii Srliluir' Fa5 rrlr' Ji: i;aiicl r icli'iii 1r.;lil 'i'-1'1' '
ei'r;ri' ;ri ,l'irr-'""1r':l;ir"' rl
'l;; 'lg piàc*s, J'r,,r, rubà n:lailiçi;*, i:ir'li:'i: liiu':;:ii
,1"-r," )x,/a{c
rjaitl r.:i': ;rilrl:
eiàios Cr. i drilaii: i:iil:; sü reriùi.ila;rtri
:. ts;
'- irar:ci avaieill
i:il -'rr;;i;ii'
ci
,r,i'u'rrtl rll Ittli ce Cili13S, ttr... Fsl-r:r rjuu j'i:;l;r: Irais di:r:l.n CÉlà
". a'ilxr.pCrrihle....
: r:as dit ça"..."
-, nti je i'ai dti ..
- ;1 i*rnajs tiir que c'était la seile y$le rsu! ant*ri;:!r à la ;;restitliglr'a$*n,;i:ur dit: tiu*
. ' ]]ie cd.çslô/e . Je ne pense pa$ que te stsit par ex*rnplt: |* cas de e#éffIJ/ff$ F*i../"{iCK.
: : ;, Êr,qty.
, . tli ni ncl n'ei-r savcns iieir.. cn nr sali rra: s'li ,i'er-r cni lia§ eu'-in à i'âqe da I i:i-ts
YÔ
{.-
! rflr"
l
pd
§
ï,
fu
La pièce est ators transférée sur l,ex Lrü§E
fl|",
du nnédius droit (fig. 6). 1
I ---E-IEIIIIIIEI{Ir-----IXIIEtr-_-If, r--I
I Je ne sais pas si, à cette^epoque rà, j'avais.un
comprexe_ou pas, 0, si j,avais d,autres
I mais ce que ie peux cjire àvec cert,iucte-i.i,
qr* urr, S un, àËlàlreïJurr;s faire de la
mc: ,:.,.r
I prernier etfei oue i'ai farr, .l ii, ir ,'rnîruir^
f;,.i b ;,,;'?;;ii Ërro ,r, cetle drspa. _
nz-. .
ii :::î.ljl"(,'ri:-:::
,Ëii, boite était fermée aux deux exrrêmir:,
^,:"bi-ii1!1;;r,",;",
Retit rabat J'empruntais arors aux amis-àe ,à oà, ;;;;r;; ;t Ëi:,.i:ii
:
I
oLlDbfr
:our magiciens, spectateurs zavertis, et autres rigolos.
--'artiste
'r
sort de son porrereulre
ÉrrosEe sorE-ae
alors
-l^-^
Jr,----,-1
portefetrille un billet
I ;lrtunspassedessus,iJ"afrii"i:Hf,ï§:â;i'',ü:iri.::
I^ ^;^^-J
Druet üe
le second compartiment....
lèce.d'argent....
-::--
radeau,...,
^^--^J:-^-r
oanque qu'li
de ba 'il plle
maladroit : et
il n'y
mais dedans iI
pApHrRs
plie en J3 ctans
dans un §ens,
:uis en trois dans l'autre, pour emprisonner unepiêce d'or. Il replie alors le billet
tout
l"{ais I'illusionniste a éte
billet,
pu apercevoir le deuxieme
le monde a ou
.llet collé sous le premier.... et I'illusionniste doit avouèr qüe Ic public a compris.
.. ouvre .ë
ri a qu'une deuxième
et ie public méause comprend alors qu'il vient âe se faire mener
tces au
o{rt cfr
eÉe en
EPs On
e
rPefr
des
\1
-l--
':-:.
par le hasard d'un camarade qui habitait le même immeuble, j'ai eu en mains le catalogue I
:i: : -r:: ,i , -.,s0n
8i11y......... Un autre camarade, en me v0yant faire des trucs, m'apprit l'existence du I
'' ,r: - js CAR0LY. Je m'y suis rendu. Ce n'était pas la grande cordialité. C'était très sombre et t
, : -^ oemandait des détails: le plateau aux cartes, qu'est-ce c'est ? .... C'est 50 francs. I
u - 2uels étaient les types en renom à l'épogue ? I
-e sais plus. ll y avait en tout cas 0KATl, qui était au musée Grévin. Dans ce temps-là,
. I
. - -3s comme maintenant, on y restait toute sa vie.... mais je ne l'ai pas connu personnelle- I
ryait succédé à G0MBERT que l'avais vu aussiet puis, un peu plus tard, j'aivu les grands I
- : -s DANTE, G0LDWYN, CHEtFALL0 ;ilsvenaient à l'Empirequi était le grand music- I
i -' . y faisaient la 2ème partie comme Damia ou Polin..... rnais tous ceux-là, ie ne les ai pas I
I
-. ',f es c0ntacts avec ies magiciens sont plus tardifs. t
, - . ,.aie première séance professionnelle a eu lieu à la B0URBOULE, car Agosta Menier est !
,,' ,--.eruneséancedansunhôteldelavilledanslequeljemesuisd'ailleursprécipité..J'aitrou- I
r : --:i rien, je suis allé le voir après et il m'a très bien reÇu et c'est lui qui m'a parlé de l'Associa- I
lI- - - I I-IIr-I-III-II--III--IIIIII--iIrrt rJ
-
81
)u côté A, placez seulement cette carte de visite'
ffie::a )u côté ti,'placez une carte de visite et PAR DÉSSUS un 4 de carreau duplicata ;I
:
'æe en bas (fig. 1). I
I
':ECUTION
'
- tien vous allez faire un bon tour, au bien vous atlez faire un miracle. I
: -menÇons par le miracle.
têF s-'
j
: de carreau est sur te jeu en gardant un break et vaus le lan- :
jeu. Vous coupez ce
,
;e couper au :
-: : fait, le ieu doit llOèreqeny
t^----- - :: tégligemment sur la iabte. Correctement
":a<"et-te 4 de carreau est donc plus visible et plus facile à prendre (fig.2)' Quel' ;
êta -a :
t---I
Hï ffi ffi
iI.IEI---'.--IIIIE-...III-I',IEI-IIEEEI
ï
I îîffi mï il ffi$ lllffilï I
I
.-
--i en France. .
I
peu.Je I
, .- :vant la guerre, il y a eu des gens au courant. BEZVANi, CARLES, et aussi moi un
oes Anglais I
- -, sns que"lorsqu'il y a eu le c-onqrès de 1947 après Ia guerre, 0n a vu débarquer t
- âpaîé tout ie monde, je me souviens en particulier de Jacques SALVIN qui laissait les gens I
. \
- a/eç un tour basé sür un faro... et, à part nous trois, personne ne savail ce qu'était un I
. :'est ainsi qu'au bout de deux ou trois jours j'ai trouvé son truc en me disant... mais si t
' -^ inélange exâct... je suis allé trouverSALVIN et 1e luiaimontré que j'avaiscompris... et I
.- ,erurorp'rj'estime pour moi... et c'est un peu là que finit mon approche de la magie : je t
- : "tenant sur les rails, que je suis plus ou moins diff icilement... I
- EUX me situer, je Ooii dire que l'appartiens à une famrlle nettenrent aisée : mon père était I
, ';,. de la Société'Générale, diiectéui de toutes les agences de France, mon oncle était prési- T
ilt
ffiu**;
L'Nil ET e*ffi &ffiffiffiffire wÆ,ænæüffire
:urrrrainss,ouvrentuneàune:raprernièrecontientlesStrrièces<l'argen$'
:: les deux Pièces d'or)'
-: i'HiEtr-iire..'.."
-mll -a kllEË lü§ilE§s.4{I{E :
!C: ;È'iLllii
reces t'l'argent
:"É -:
-.*i t:"or..ï*uble fsce {arg*nt de l"autre cqlté "'"'}
iJllLlllili
.-r r.ri*hsvides
- -"iiÛN:
- --:;l 5 piêces d';lrgent eE Llne rang#e sqlr la tatlie'
1es
- :.r,.! *t d'autre rte cett* ril'"lgé'e' ptraiez::ne pièc* rf i-.nr-llig 1i
llllllll
---:l !.es r1*ux pièces ,i'*,r &ns.h*q** r','urnin" tot ie !;"*ut ries cl*igts e{ sau*s errl
,;.- -r liHil
: -i :: turttttliii
"*J
@@6§8Mffi w§M§6§
n r r ç *æffi æffi &§ ææ&@§§#sææ@@&MSffi
' ''; §
!--- '- :. .'. iL 'lP :f'rl .a i vrài''ll ': 'rjs ['i': ç' u' ]i' "- rjl :'"ra:s lvi { L r:ilt'iii'l'l ai!'ii
r,., ,,nirô],t,a,i cui.1Ê i:üriif.il0' ia litira' " ri rii
'lrir'uî. r â
§
,. -,ri. irciij nl rje trernr.riei .. lrais ro nn ''
- -al, !Li,üir 1cLir, i,ai e prr:ur,,ê le besoin ,j; i;;i;;'' iî;u,tr J ,, sai:ie rrrl iPT c.lg ' r:'il -t' "
Ljans nrr
ieops ie i'aissais ia i:lact' i'envct ars
-.t-lr:rir ij'LlnÊ trûiïg. i1Él tt-rrliils an §
--r- B5
5) Placez ensuite les doigts fermés dessous comme en fig. 3.
6) Ramassez ensuite alternativement les pièces, en suivlnt les indications de
la fig
et en plaçant à chaque fois les pièces que yous ramassez sous les deux pi
i i-;;
liSTiJ:f ,i?àiÏf5il':,üii:,i3§[:rus
d'argent Arors' à ce moment'rà oïpuires i ui
: ;;;à' irt ,r. ce-momenttà, tentation
I a ta de ta bansue ?
la seule chose que j'ai lamais aimé faire, et que
ie fasse d'aileurs r,.
! h,;,iiii fiili flit
l---rr-rrrrrrrrrrrrrrr-rrrrrrrr-rr-rr-
86
, iu)
:ir:{"l*ttra
L\ pr1g';gi
I,f
ï -
§i
qe Lr î mlr ];1,
i:l
l : mêrne âvec une petite variation snober les amis magiciens'
i e'}.::':imü',ii:
'l;l ' j'utiliser pour cela 7 moutons au lieu de 5""'
!.reJ.r tr"iilü@ ,,,uivezlemêmeprincipe,yousYOusapercevrezqu'àlafindelaroutine.il
G futü; lr,l
,ie en rnâin gauche 2 voleurs plus 1 mouton'
îlll : lracassez fas. Tenez le rnouton cornrne en Fig' 6 et' à la fin-de laroutine'le
_ La n:ain droite et tralancez toutes les piêces sur la tahle,
en abandunnant
l!=É
li
- suppiérnentaire, un peu Çomme dans le HANK-PING-CHIEN move""
gom.
ne possâlez que des pièces sernblables, YouS pouvez aussi utiliser des
["erss::- -e couleur, vertes et rouges par exernple'
!!_-"
,iez aussi faire un tour d'anneaux â la piace'""
lt'
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ii,i :ii"i,*." i;;;;;,,",,,;L" d,autres, !,;,i ilZj,
it ; ,
La-uictime, o.u le..spectateur
si aous Dréfét
aue.c urre.fiuiir-àiii*rtions. Elte r;;t t",'11:,!j!-1!'P*
la.pofte u.n paquet de c:
.'i,'i,mi,,!:irir,lr*;:,1:i:i:';l*i:riiii,!i;';:1:::i;,,!;,r,:
iélegramme contenant le nom de la carte
,!,t^1i:-un p..f e c o n t e n qn t io-i ï,îi,e u,
La m é t h o d e il, e: :*^,:
L),:: :q,r; ; ;: ;",: : :',:: : -:.::* rc _m
t D a s'-; m em e......
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,. ;lilll l,.il, cr, ,, unâ*r* yi"li iii 'l;iA*t,itàu,
r;rru;urr. I,,u 7,1w. p{.tît'r {}etiî »*ef t"rlrr je*i|le
',,,.t ,.1 ,iiè rf d.é, iliLtÀÿl {.qr §;i} ÿLiÿ(;f ; t't}ir.'r I'"1,:'"lgA 'il't;' '"; i:J'lr":: '
.;,,5 jr,"ii tt..s.nsrs iit: {l.ly{{:î. cÈ.ræ ce by.*.tas }:}:.iir .?L}s{r i{:it!' i}î{:îirg it,t;, cru;,"*,"i.1f:If rri
-l nnr/6, * J*, r,r.s Jrjé{lr.ï id;,.§lJr;;;".. tl; i;" j..u ,.1., ,', ,f ds, {ti i}.ït:it,. ;'.rii.-( ,.,. ' r'
"ii* uilulll
, : i,rri fer.s ;;ogrie"t.... (resr dw blæt'fi..f,:'rr "7 !'ir,,r;;tr !*i' tni,e*te' ÿ{?rls 1}rtaiiiitr:;
,: :ûït€$ {t!:!{, wr;y È.i1.1é:c ÜÜtr7 sCuri}r:J *i* u':l'* {f "4}i;:"i"vL'Li§ *t}tiL /i'rll'" i:*L':s
- : ::l t.i{,rfi/.ï ,gxtusànî *tt î'l:t tli§ië?lï n;rie at*rit ç/i;}ra}f ,"ÿi '';';l Ji " ilt q*:€ t:lst;s
,:,,,r,rgui ,fru, ruru-... *t;i..'"-';r .irir'a' "7' ÿ'<'rxrj rr;ari;'; i*::; c:trtss tl*si i'étxi t:t
"'tlltttr
* -,, r'rilri,,
".'"- ,11 I ;iii."z:û;:s t?x€ttË* ar; ,rr:ftf itlt;i {tc;ur regrc*vcirr fil i'ri;'rr$ ÿ"Y#cl§t'Ê' 9tr'tir-'l?i't
l: j:';'s':* j'; t*'Y*'#
rr *"*r1ll$r]l11il",""" '' "-- * il-* ; * * * ffi ffi & ffi ffi & : rj': * * ** Ë
I ;r1 "P I' )
:. ,:,,;r jrl meiniieits ,-it'trl ûsxi ieir; Il; r:''iririrltl, iiul r"ir-ri il.lS fitrj'iii' ::
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:,i tj,js ii:riiilttirlaLit. 'i3,.it ir1ill i.!8 itlS i;ii iiiii-,;liif ll piuri d'éirri l-' -'r
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ffi'l - r:i.il-i-,tilfi rje ltieciq, il 'r' * li*l riir iies Éisirlents IL1 iTrï'iià''{l ;:;:ai: il y a a;:sl ii: §
1ffi1 ':,rcrrs;il exei,,pl-i prei:ii : si, à la lin ds tr.:n nirnt"1ri,, il.;il i;L:tiridi:r t'tl-lYit,, alL:'ii g
,i&l
, .':'i-; ilt iisui::urrnonieijs jeisü'eauetquscgsirrrâ!iriTiq';g''i*sgtns§{irtcti:liÈ:li't'
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F-_rrrr_r-l__rrrrr-rrE-rrrr-rrrrrr---r
| n'yarienqui menavrecommedevoirlesgosses gui,àrg
I 't'u'-Pasforcément,parcegu'ir
commencent à compter leurs points de retraite....
enfin,l'aurais quand même pu faire attention...
i i ;,Uri mais
un exempte précis, tu vis de tes cabarets. Si demain
i ! ;!:ï:r:::!:
iii
tu te une ianx
h;"Y"?,,;'lijîl1i^:,.1!yi-T?1, Ç, n'esr
91t11in0t
p.as srave,
Ça r,unnriu;o.;";, dr
cette aventure, car p0ur uenir avec moi, ette a
d.ans
r.i;;; casses
-:._;
quité r. ,ii][illiiËlll'jir;,i;
I! 1r,:r'Ll.rl9.^iT* avec aurant de bonheur sw re pïirls à ,ilà dàiiü qrc dans des Hirtons
l. M.: Est-ce que ça n'est pas une forme ài ug"o, Z
-- --"
I L - Ça n'est pas à moi de l'apprécier.....
a l. M : Et tu n'as jamais eu de problèmes financierc ?
l L.- I'eu s0uvent. J'ai toujours eu re nécessaire, une trésorerie, à défaut de trésor.
I J' M'- Mais par rapport'à ceux qui ,e rciint'toæ les matints à 6 heures pour aller bosser,
y:\F:r::d:ê:îdes privitésiés personne,ement, tu tes prends pour
!I L.- r\,n, 0n ne sait jamais, ca dépend du départ qu'on des risotos ?
piend...-ju irou* ca pers.nne :
I rrrrrrr-rrr-rrrrr--rrrr!-r--r-rr-r---
90
§§
rur ,il
k*
ii
ii
: . B Uh;E BONNIË fullSE EhI §ËLtE DU CLO§E.UF
ii
J 'Iruc
T
i :::are;l quÊ je vais décrire e§t de ma eÛneeption. C'est un Outil Êt non un Ër]
qu'on hésite touiours un peu à s* fal-:riqt-r*r"'" eT
-=".1u ei it fait partie des choses
1l
I
fl it
il ,11
l ':'s qu'on l'a. on se elemande üo!^fiment Ûn a Bil s'efi pâ§sÊr"'
i , -e ie mûntre la figure. iT s'agrt d'r:ne bande c.ie fsutrine r:aire, sur iartruell* *n a
t1
fr1..-BryÜÉguâGÜæmEÉF§æE$Bam§üÉEEææEEæÉo*%
-. -aisemblabie.... heui"eusement qu'ii y en a..... irais !r:squ'à Que i Point est-cn meiire de §
§
§
- -t, s, tü avai§ eu le chrtlx de ton destin I
.r j'avais le choix, ce serait d'ahcrd rentiet, avec beauccup, beaucoup o'a1ae1, io11 ;
_ _. ,re, belles choses. J'aurais volontiers fait bâtir
à Versailles.... Ensuite, je suis attrre pat ;
--_iessions à tendance artistique, en admettant
que i'ai ie talent netessaiiÊ p0ur eire au ;
, je
. :rcfession.... l'ai fait avec le tir, puisq,-re je suis rhampion de tir ile vitesse au plst0-
§
,t - J,37s, je vais être vache, j'ai !'impression que justement tu fesifues dans le tupen cequi I
]| -.-i:esltobbies,etquetun'yssiamaisbienparvenudenscequetuaschoisi pourmétier"' I
: - - ? Parce que tu es trap fier pour tirer lei sannettes" au Parce
que tu affiches un certain :
-.r - : sme ? l! y a des tlpei qui en §aver,t trais fois mains sue tui et qui ont trois fois
plus de t
li
' : .tirqUOi ?
. :,. .,:rulioutpareii.
JOILUTTL Puruir. llyachezleschanteursdesgensquisontàlafoisvcdetteseilamenta-
'r I v u"s_ , :
I I ! IECTT§T..I'EÜITIÇE'EæÜE'3§æ. -EE§**ooJ
r-r-t
91
qEQUILIBRB
DE CARTE
fô .0.,,
l_:,ï:ll",nrez une ,;;;;;" rienr en
éguilibre
f€. l.
sur Ie tlos a"
p,uis r*-àrigrrffi::;
vous ."aorn"r"'t"o,lii',.,irï,
ner.
rt
Ie pouce droit.
", ,;i;';;;;;JiT:Jn;iï"*
Ia carte
repassez-lâ *r'i* ,
r"'ru,,, por,",; l':i'i:fi:T;'j
teur porrr gu'il e.."aie :î ii::ff
(en emporte Levant).
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urus. Sr ,r*1,ærïrï#:-:-r--r.rrr
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i i i;;i"';;,";#:i: '*unur"o n",.i,,e,,,n,:,,":",:
! i,i,i,"o. erre Fe:: 'l
,:^"^::'i""u''
qu'aux éponses 'aurail
metiei, ,,.,iàiïiàî!îilent ?
r: ub,;,,yÏ
es1 que, T:i;s-d?:s_n01re
dans un nrrméro àr
raà"'ii.li,",- que de ra maoie
biïll:op ,u,.i' j',i oll,î1" pas n,n plus ; ir v a tout re resre
i ilil:: 'rïjîï?' un ohvsique qui
'e
;la;i;;,-'
-.
; cesraisons, iryenarn^dlt.qhvtiq";;rl;;;iii" ;;
ri;ü illîr#itrüHï'i{[fiÏ[Ë'Ï['H'':i:ii{'"ii::i:ii;:'r"ilfl'#iii'''r'uli*'''
rrr ans que je n,ai o..t--9:1lin,9 ot ÀrlrÀàilîement
concrr' Y'a
pius tt'ait'i5;,.u..Iilr,
, :
qiL:n vienne un 'i' ;;;il;iÏiÏffi:; J;JÏ ffi'f,5.'iiii,î'r'f,î'];
uù LU trur f[l;
c'es: ,.i
; ?-# -" "v ,1ii3,
vrent' et ril
''"u
ity r:j:,1:iiii:)ii*9u,tât,uu,,quatité ?
i-g :§.Ë § TË ü !'=- ! ÏË *ï,î,Ë'ï]'d,ffi lTdî iË üUï [r 18 ;r,r",,,,
Ilr!I---_:
92
B.R-Bffi,ffffi"
@,,&,G
Quand on me voit, moi, Ludaw, pour la
première fois, on ne pense pas tout de
suite que j'appartiens à la caîégorie des
désopilants.... et pourtant, je suis cepable
d'un petit gûg ," et ce pe[it gag je le donne
aux lecteurs de Mad.
- ';e
taisia parirrrrr,îunt, par beauté du geste... parce que ces gens-là (les scientif iques- :
.-.', c'est très difficile de les contrer : ils parlent au niveau de structures moléculaires qui ;
-::ifiées et qui se seraient peut-être nrodifiées de t0utes facons.... Le problème peut se i
, ,- ,eau du raisonnement, c'est un 1eu de l'esprit.... comme les maths.... I
-
rrli J -1r5, la vie, c'est un jeU ? t
"._.cipasl I
-: ; ca,par amus€ment, par beauté du geste, parce qus c'est différent
et aussi peut-être I
. -: :: :-n'amuse.. J'aime bien prendre un sujet et le développer en public, je crois que I
, - = Tacilité pour cela...
l'ai
I
n i' :'..tis il y a un peu de donquichotisme à s'attaqaerà des scientifiques... car pour un scien- I
- . ': re à la psy, représente une dangeureuse alternative: ou bien on s'est fait berner... ou I
,lirriir,
93
COURDETÀBTES
AUTRE TOUR DE CARTES PAS EVIOENT OUAND ON NE CONNAITPAS LETRUC."
Le jeu est posé sur la table face en bas.
Le spectateur coupe un petit paquet du.dessus, d'une quinzaine de cartes et le mélanp
choi* alors dans ce paquet une.carte, qu'il pose sur la table, face en bas et aprÈs l,avoir Ë
!é.e'
Pyi1,il replace son paquet de cartes sur le jeu et la carté choisie, également desus, ca
fait qu'elle est la premiÈre du paquet, face en bas.
Le spectateur retourne alors le paquet {ace en haut.
A nouveau, il coupe un petit paguet de cartes qu'il mélange et garde en mains. ll retourne a
le talon du jeu resté sur la table et le remet faces en bas. Lé petit paquet qu,il tient rn ,ui,,
alors posÉ, faces en bas sur le jeu.
Le spectateur coupe alors autant de fois qu'il le veut.
L'opérateur n'asiste pæ forcément à l'opération : il peur très bien être sorti, s,il a pris soi-
donner au spectateur de bonnes indications. Le plus simple est de lui montrer une fois m
faisant soi-même les différents mouvements qu'il d0it exécüter, puis de lui rafraîchir la
mé-,u
en lui parlant d'une autre pièce....
0n peut encore lui envoyer jeu avec une notice explicative... ornée de quelques desins,
le
Mais, dès son retour, l'opérateur retrouve la carte sans hésiter.....
ll faut, psur ce tour une clé tactile, genre carte cûurte, coin coupé, etc...cette carte est ai
la 26e à partir du dess,rs"
L'étude des différentes manjpulations montre que la carte choisie étant remise sur le
dess.s
ieu, elle ss trouve donc à 26 cartes de la clé. Le rajout d'un petii paquet du desous e:
différentes coupes ne changent rient.... ll vous suffit âlors de ru*rnri votre cté
rour rr io.-
une c0up.e, puis de faire une coupe exacte comme pour un faro, de compléter ra coup'i,,t
carte choisie est sur le ieu.
Si vous ne savez pas faire de c0upe exacte, vo{.!s pouvez simplement paser les cartes en
éi
devant vous et c0mpter 26 à partir de la clé....
si vous aimez vraiment ies tours par la poste, vous p0uvez aussi envoyer le jeu
avec une
d'instructions...." et renvoyer la carte par correspondance.
r rapps au j::
: p"lT',."f
::*:
nez et l"l,:'j
toutes
j1E':*lï! -: ;, ;ïi ;JËffi ; ;,-il# ;;'.;; ;
rux.quàilàin;r;ntï;ifiilir'i;ffir:i
res fofles chronioues-Nloi; ",;
iüt
Çr
r !ab-ige1.-_ft_op, e_nvoyez. vire 100 baiiE;t;7;ïrË'iitiËîii,i,,ri"diL[usrvrMErur au rlüt
I de MA0'MAGlG. Glisâz-le dans une liÀrrï;à,o ;;
nl onvnwoz-ta à [ti.h.r rrÂTTE
i
telirlr,*tnnnp
unô belle envero"pfe rt*nrôv'rriel'r,t-i;h',i -
! [:,Hi:JiâoiEi*HI§"{e r0
rnnpv
rrr!rr-tr-rrrr__rrrr-rrrr--rrrrrr-rr- zncEur
p
tu
94
Sr
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97
22MERDE I Il ne reste plus qu'une page et j'ai encore tant de trucs à dire : d'abord, vous êtes
con'avait cru et vous avez été des dizaines à envoyer des solutions au puzzle afin d'avoir I'abor
gratuit,.petits sordides que vous êtes... y'a même des monstres qui, pourgrillerles autres, sor-:
porter leurs réponses en métro, au sortir de chez Hatte....etquienplus sàntmême pas abon:-,
falloir qu'on revoit notre système.... Le ton même de notre ievue nous vaut un courrier ncr
lettres cette année, dont 6 d'injures....), mais certains nous téléphonent : cIRS, parexemple
gné de ce qu'on a dit de son fascicule sur les boules... "je sais faire tout ce qui àst dans àc:
(encore heureux papa....). Vous êtes des ringuards, incapables de rnanipuler unà boule et je dé,'
cle mon droit de réponse. Alors, allons-y.
"Dans le numéro (à compléter S.VI") MERLIN démolit sans l'analyær le livre de CIRS ET l
LAMERLOUCHE alias MERLIN est un rêveur sans taient réveur. Il oublie qu'un livre est un:-r
un singe s'y regarde, ce n'est évidemrnent pas I'image d'un apôtre qui apparait. ceux qui -
travailler me comprendront" il est très mauvais. Ce garçon meniionne qu'iiest représentant e:.
nettes, on ne peut que le croire". CIRS.
Désolé, mon vieux, mais j'ai pas changé d'avis,
ça doit venir de ce que je suis ami depuis lc--
avec ZUM POCCO"... Et puis. il faut bien parler du 12e Congres. qu1 niOlre aux participanr.
SAILLES, c'est BYSANCE.... y'avait d'ailleurs pas besoin ti'étre Geller pour le savoir : il étarr :
par Maurice PIERRE et toute l'équipe du Congres eie 73, car soulignàns-le, on ne parvien:.:
résultat qu'avec un travail d'équipe. Alors, citons-les, car, .omme ils sont trop modeste! s
intelligents pour se couvrir réciproquement de médailles. vous risquez d'oublier liurs noms h
LANCHY. responsable de la régie, épaulé par Claude ARIBAUD, lès Filiol's-Brothers, qui rn, s
air détaché sont terriblentent efficaces, JO MARTINIS, qui a réalisé la partie techniqu.,.t,.i
[r_rh:!, qui effeuilla pour nous le livre des merveilles. Bien sûr, aussi MAILL,ati-o, cel::
CHAHIN, BLAY, FOREST, BARBIER..... vous les connaissez tous : ils sont chaque fois fice,e*
poste. DURATY, Joker du congrès (e serais 1à tout-prêt : s'il manque un close-up man, un:
cier, voire un numéro)... Et si nous avions, nous, eu a décemer un potage Royco, nous l,auni,:s
à Jean-Pierre DORMOY.
Dornoy, c'est celui qui rêvox. On le connait mal parce qu'il est toujours caché derrière des 1i:
de sono. C'est lui qui, pendant trois jours à travers le dédale des bandes. des disques et des :
arrive chaque fois à faire un piucours sans faute.... c'est décidé, nous lui enverrons un sl
sache t .
LES GRANDS MOMENTS DU CONGRES :
[æ numéro des rusæs, celui de John Calvert et aussi I'inoubiiable SALVANO. La conièr::
p-OryGO, que personne ne voulait laisser partir.... Le spectacle MAGIE-MINUIT, très dans .,
li
MAD, qui a été merveilleusement bien reçu...... et bien sûr, la remise des prix plus ext:::
qu'on ait uu^duï ur congrès : à ma gauche,les pingouins, à ma droite ies bàzzarts ôt que le, :
gagnent..... ouf ! Quelle santé i Enfin, les choses sont à leur place I Enfm on nous rappe_e
palmarès, finalement c'est pas une chose tês grave.... même et sürtout si on y a un prix.....'
Enfin, il y. a eu celui qui a dit "les mecs, le cinoche c'est mon j ob, et la magil c'est'mon pie: *
r€mettre chacun^à sa place, je vous trouverai une copie de "Nuits d'Europe"..... même si :
dois aller la gaufrer aux chinetoques.... Alors,les maginéphiles, qui depuis'des lustres se sc -
toutes les.compromissions, p{ur ce vieux bout Oe pitloètre, oni.igot. une fois de p1us.:-
dans.leur barbe. au rythme d'un Elsley 9 pour 2..... car le fiim datiit de 20 ans etlàs co:rs
été détruites..... seulement, voilà, à la {in du congrès, pollockétaitlà, fier, superbe, u.rog;,
me,.et tous ceux. qui.coliquent des tourterelles dans les galas de maifaisance,-sans mémi-*-;
quoi, ont regardé ça^la bouche ouverte : lesyeux commàdes billes, un peu tristes d'avoir3er
rninutes été mis en face d'eux-mémes.... Bondhyeux - læmmec, c'est un petit printemps c r
r"t ,",rnei i;; ù;;!,F.è'liLii,liii;;iiiil:i:;ffii1iJ,:,i;,T,,iJlï 3.Ti,:'#iil:1 -
viennent de prendre l0 ans d'avance sur le§ autres. Alôrs, ditês merci au Monsieur. ef bi.. a
ait sùrement rien à foutre, retenez quand même son nom, il s'appelle Christian Fechner. ,_ :r
si vous le croisez^ vous n'aurez pas I'air d'un Charlot I I I I
98
2g
ARililI
aa » HEVUE
-_, : -,s r4Nlière des reyuæ magiquâ sporadique...-
: -' :.ement realisée à la main par ceux qui yous
.':-: te congrès de Lyon.... otlt
Hivalrto, Milord John, \\ B
v
:
:-:t BALANDRAS,
: -. i.te.CHAf E L
C.E.G. de Bagé la Vilte . 01390 ((
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f )tt F-G J(
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J'étais partirhez Hatte pour acheter sa nouvelle boite au dé baladeur (435 frs), parce qu,e
E
légère, bien faite dans un beau plastique lumineux etque c'est l0 minutes u,
grands à peu de frêt....
,oÀïji, rvY'l
pori Ys!{
oe:s,
....0n se E0ntente c0mme on.pe.ut, d'autant plus que
ça faisait trois semaines que;e me ætenar
r ri n-su e.,u q, r,n 0,,;,; ;üi ;#
; iriË',J'i[l.' iii.,
i ii :iiiff ïi[,ff .ii:
if H
"'
Breffe. je. commençais à moucher blanc et ça devâit se voir'sur ma tcte... ,u;r-nllirtrt
Hrie
m'a pas laisé dans l'ernbarras : il m'a entraîné délicatement dans son arrière boutique e-
disant:. j'ai pour v'us, et il m,a toutexpliqué , ,n,,urpiir.
.quelque choæ forirorrnonr r.
elle rentrerait, quelque chose pour qu;elle reste toujours avec moi...
Et un beau jour, ORFfiHRBRTNG. ! Devine qui vient dîner: mais non, pas Giscard, ei
Mommone,. blen sùr,.moi. j'avais prépare Àon ;;ri.;i È;;; d;;;': iltbffi Jo,nff'Mr*
,lg0)
T.lP Tr,t'avatt essp,tigué.: lumière d'ambiance (B.H.V. variateur électronique Frs ."
doche à la consote (deuche-Krammophone 4s tis liao-musii;;i,-il;;ü*iË dans ies
(maison de la graisse 37 frs), 32' de iempÉrature (thermostats s:
de radiateurs 0anfonce), B.
croyélezounon, à la fin de l'apéro, eile avair déjà plus de chemisier. ci iàùsâii voir
son sc-
gorge DIN (deuche - industrie - norm) en denellô gàtvanisée
lrruppiro orr,l rri'orr*t. i,rur*
attendre les légumes pour le lui ôter, car là elle s'esi brûlée les seini'Oans l'asiette
àe soupe, s: r
tout éclaboussé la nappe (sopalinge 1s frs). Heureusement, !'ai rattrapé l; ;;r; àu oésèno
quelques bonnes glaces (ætucieusement disposées) et c,est afors qr,o,i
m0mmone, elle est çntille, mais elle aime pas perdre son temps.... avec
etult prri. ÿ;;;;;;;
elle, c,est toujoun
deux trains, entre deux-mer, voire entre deux châises....
Alors, ie l'ai coincée entre les deux poteaux en lui disant que c.était une p0rte,
et pendant
regardait pas,.Rrrrrran, j'ai pasé la pgrose tringle à traveri. Elle . porsé rnïrdrrrnt
î-
æ-l
franchement ! jamais auparavant, quànd on faiiait normalement, eile uruliattrlnt
ce degle d
leurs le l'en aurais même pas cru-cable..... y avait l'hémoglobine
dans te trucage er je me'disais franchement que pour dàux mirr,i uairei
iriirrüit,
ùrîiie, ta pe*em
iH;*, iË'zôcior,
m-appuyanrsur t'un des poieaui.que j,aivu qu.iti.;ilrria;
i
l_l::: :''.9_:.:len quel,airro,r
rringle rruquée.... comme.quoi on a toujoün intérOi à tir; la;;ii;e_.-È;il,
Ion0, c etart que mon ainée, et il m'en reste encore trois.... Je lui ai fait une
ilri;';;: ;
par une vitre er, à côté de mes papillons, eile a vraiment fiÀ;uli;;;.-. iolie niche, p-:
i, ï..iorrr"üilr,i
on les poreaux: exceilente barbouiile, on a ravérestringlesaità,,eilesûri
loutJgn: 9 lgvé
bougées vu qu'elles sont finement chromées-... alors, quôi demander Je lriïÈein quoi
f
que d'ici la æmaine prochaine, je trouverai bisn une autru conne, qui a ànvie
I ? Lr
de se faire trinoe".
l
{
'l
Cher., .-....., .
t
Ë
tr*
C'est votre ami ....-..... le magicien- qui vcus
envcie ce cûurrier êt vous propose de participer à une
expérience de transtnissiûn r_1e pensée sci-ts préædeni,
afin de vous îeste!'eî ce sai,r:ir si, par hasard. vcus ne
g
posséderiez pas une ,Je ceç lacultés P§l d,"rni on &
-ta
L#
parle ta nÎ.
r{" ïinlll]]],
v/1 fu4éiançez aiors autant de fois que vûus voulez et
replacez {e jeur dans l'étui et rerivoyez-ie mai par la d.
poste.
I rmuiltluilu
i w[[t
{'
§iq.tnmr
r üU.
l\4ais pour nL. $las oub!ier lil cêrte à laque!le vous avez
pensé, je vous suggère soit cie rnarquer son ncm srir un
ffi
,&
papier que vous placerez dans votre portefeuiile, soil
:flJllll{tllllll,
de pr*ndre un jeu da carlss vous appa!"terlant et cle §
ê-iflur. iillflilL
retûurner cette carte, face en haut, dans !e jeii face en
1f 'ml
bas, afin de vous en souvenir jusqu'à mcn pr"ochain §*
-
it"!1dmj
ü1iüülnülllilrl
*#: c$rr rl ier.
Æ
-1 nîîî!lllllF,:' lt
Car, bientôt, vous allez recevoir une surprise cle ma
part. Et ncus sâurûfis, vous et mci, si vous possedez â&
f - $ü. rtflll|lt,
t,
.,$
rû1
gffiARE
Charlie RIVELS, 82 ans, une heure vingt de sp
au Bernardt Theater de Zürich, 12 rappels. Le
d'une génération en voie d'extinction.... Le*
clowns.
J,-M.* Charlie, on a coutume de dire que læ
deviennent clowns après avoir taut fait et ,'
gue vous avez dû être un peu acrobate, uD p€;
teur. Alors, avez-vaus été "un peu prestidigiîa..
C. R. - Oui, bien srlr, les clowns ont toujo,-:
mé la magie pourfaire rire, j'ai moi-même êu :
entrées avec les bouteilles, c'est très vieux...
- C'est de vaus, l'entrée des bouteilles ?
- I\gr, mon grand-père ta faisait déjà, on .;
quic'est.
- Mals avez-vous créé des entrées magique:
nelles ?
Jtse s
,els L:
r ".. L:§
SIMPLË
ITE PREDICTION
ü,:r
J HL ES FAIGNANTS KINÜN
BEAUCOIJP DE ÜÜURAGË
EFF''E'T
--.-r.n pose 4 as face en haut sur la table. Il sort de sa pochc- une boite
. - :.:3s et demande au spectateur de la poser sur un des as.... I'opérateur
,,,' , 'lûrs. qu'il savait par avance quelle carte serail choisie.
METHODE
,l ,-.:p1e car tous les coups sont gagnants.
:r :S eSt de couleur différente
: - :1i â sa réplique en petit collé sous sa pochette
" :--: du 3ème est écrit à l'intérieur du rabat
--,li carte représentant ie 4ème est cachée derrière les ailLlmr:ttes de la
-:. 3.
'!Ê SË 5
rL
105
qW
il»tilEMx
Pratiq.u.és correctetnenr, ces cii;,4
inyisibles et ÿaus perntettronr r{
praTiquer les routines qui se troi,
ce numéro.
D nU
.oY
%ili,
106
EXPLICATION
::i:i:: l: l:X^:,jl9rr_dtr
seconde aux n,fll .f aurobus de
";ôl;. ài rà','r"iii!ïJ'oJ,ï.._i ._
armes rnlNcË ;
Johnson (.te Jacques eor.l àr*icain..
I:*::9^
peu pres comme surl ) L,hist: -*
,1,, /1
4t
108
@tlil=s
J-l]ÿGE, à une main.
\\ 5iË
ois
'0
t
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L07
. .':z lt,:jS Cr: peilt à Clvir:rr ii'oir jr
ffi - iif fei), rrais sa,.,..:;,\,,üi.i3 Lrc-rfrriieili
t**
- - 7 (Àrr'F:rai:,-;ol , el rluelirues
: ,-'-r-ile a Paris 11r:ur'Jans Iiifel ;,:air':)
. :-Cahcl. ie pour mrllîr.jr ie l_rus . vr:i_:s
,-( vcy'Ê1 ii- .,.1, ,.'. l'1:, , r' :
u r CiJÊ.FJGËM§P{T
iil
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"::si tlrnLre en rrtairr ilr-oiî0 {iDmrre
iiil
-: Lr.rr.tae iiroil ttre ie r;bai suprii'ielr
.-:!i:i-. i-.-. il]a il CaUChe Vi'.:rlli ajiOfS Se
. tLlcheite i.lai s.rn côié qaucire, le
- même r c.rrjyi"t st viert se locret
.ê:n ,l:O i- -,i.tua,. Ar;tr . , rl
: :3r-ti€ ci;li$9,1"n p.rciter:ies tardis
.r i-rs s'étend po,;r" aiiraper 1e côté
- =s çue c'est Jait, la pcchette esl
. 4) et eiie senrbie a,,,cir chan!éc de
- -e Siade, ori peut l'r:uvi-tr et ei't
., . lumettes iniét' ieures
, ; referrrier.
iûE
DEUX§Ë M E ÇHAIUGE f\4 E fr.iT
nirméro
**§[iffi§§§§
I §§§§§§§$ I §§§ I
ffffJüfi
{'\ i:l},!h{l{-l DE -i.\ll,i.Èl L}fl P0("liETTli
Il vi;r.is feut 'r-rlr-ir C,,iu iil: tapis ei i,lfie groSSe llrtChctte rl U'J Yt)tl5 aLireZ à f: -': ..
','Gus-niénre. a,.ci: ciu Iep!Èr genre Kronlekotc dpais. sur iequel votts dessil:..-
motif's rie la po'-:ilc{ie rit iail}e n,:rmalc. Il Ir"est pas nécessaire que cette r- -
r:oiltie n|ie de s aili;llreiïi'i vrlt.ls il()Li\,'ea lciutc'fllis, s;i vous dte s .sot.iciel,lx tles -,
e ri §inlr.riL'r gi;irri' à riii illili'r'alii.r d; troil.t cie canteri-:bert tlue \ otiS il".lre Z -r: -
colililte sur l* de r,;in. li lirt resie aiorr irlirs i;u'â rotrgir ie s bouts avec lltl le ittrt .
{.ette poclietttt c§t placi:',-' :;i-iu! lt l;l;lis ';<tn.ir;t* e ri i'ig. ). f-a pctite p()cil. :
piacée riessir:. lir itrain dr,.-;i1r ui';i'il slisir !tr dilix. ilolttc e tt dessotls. tloigt: -:
,'î tire irès viti ir,s iicr-t;< i-1o'.llrli'-'s tüiertii)lr. ijr: s.' relournr.nt. oe qtli a polr: .
P l'2
110
a o a
ar. o î-
ffi .ld} --*Jlo..
0 Il exhibe un sac d,étoffe noire (genre sac à l,oeuf, un peu plus grand)
9,:-, comme
sIN' I
exrrair 10 pochettes exÀclezurENT sEMbiÀËir§'bN ors-
eiles ne sont pas neuves et qu'il sera irnpossibre pour
spectateur lui-môme de reconnaitre sa boite, il oemuià" -a-à. le
fasse une croix à l'intérieur du rabat de ra pochette
qr,on
dont on a soustrait
une allumette , puis il demande qu,on verÀe toutes les pochettes
dans
le sac"
lmple ., ! fqu! prendre des pochettes presque neuves dont le rabat n,a
jamais été ptié et, pour comprendre te principe, t* ;;ii; à" p."r,a.u
une pochette en mains. placez-la sur votre pur*u droiie
fig. 1, et. observer qu'avec le pouce uou, poru*, imprimer trn "à-.rr" "n
vement de va et vient au rabat. ia!u, *ou-
a
a
a -.ir
C
1,12
Wffiffiffiffiffi
h ffiffiffi
ffimr"q '',i'â*
*
I
I
i
i
/r
i. .tJ
Four donner reur avis, faudrait peut-ôtre
qu'irs me râehent un peu de pognon
r.... un t,u,
qurri on *,ipas payé, on a d,ordres à recevoir
[ilrYi:llliy:':_:i-pli'"n:qi,
Ators, pour res emmerder, j'ai raii ,r de,
actuellernent et s'irs n'en veurent pas,
ï;
lniÀ' ;;; ffJ':d;: i,i.i ili i§'iii:iJ
irs ironi s, taire toutre, ;il;i;; rlîrornt
monarkalbair, pas payé pour pas payé.... puurqroi pas, je r:
s,en faire.."..
comme dans les autres routines, re fourard du
mirieu sera représenté en coureur sombre
parlerons des foulards blancs et du noir.
t) Foulard noir en main gauche,2 fourards brancs
en main droite. Les pointes blancher
sées SUH la noire. Le médius gauche vient se placer comme
en fig l.
2) La pointe du fourard noir est rabattue
autour des fsurards btancs rnais pas en pasert r
ïl:T:.,"iTT.:,::^,:,1i,,:l.j:l-r, ;;i;;il;; ir*n,
noeu.d no.rmar, mais au
du côté
tateurs, c'esr-à-dire qu'e!te esr rerenue par
remédiÀ;*.d;ffi;ffi;iii,ilr[ïii
3) La pointe noire est ensuite repasée
SUB les deux blanches (fig 3)et les
deux pointes
tr,ou exisrant pJ,i,,,,i,î' re noeud qui
il;;J:iJ[ i]1:: i::::::'":'":,ll,l::: 1,
sauche en se reptiant r.ir'iinte,;ru, roi,* a-i;irï#:
:XiiTJrii,,;,i:o'r, ;:ï:1,:i;
4) [es foulards sont ensuite montrés
comme en fig 5 et ramenés dans ra main comme
en ï
du noeud et rendron marqué A
::if;:,ili"r:ï::î^,|1,.r,1-.g,T:11,,_;;;r;;",p
appuyer avec re pouee droit pour amorcer....
l* uonou*r.*.irro.ri.J#;ÏIffi, ou
!ft;èrement sur le foulard noir.
114
I ttd[' ,ll lrcs€ celui'ci â cha/al sur le bras droit cornme en fig. 7.
iü
TTG E
,,;r 'il i montre un close-up du noeud à ce stade montrart que le foulard noir coulisse entre les
: r'iches. Livré à lui-rnême, le noeud se détordrait, il est donc maintenu entre le pouce et
FIE rlttrrtr-::'0tts.
ùg,*
i lm*ruaire, détordre les deux foulards blancs quisont maintenant à gauche.
., - i ' :auche se place sous les foulards blancs tandis que la main droite tire l'ensemble vers
rt( ililurfl r,û' ,3 s€mblant de noeud (Tig 9).
,llurrrrm *r rouvement, la main gauche saisit le milieu desfoulards hlancspar-dessous, et à ce mo-
ii' - t r droite arrête sa progresion vels l'avant, et opère un mouvernent de recul pour venir
flm
Om[
i -;eud au creux des foulards (fig 10).
Ift2 .,,nr - ! t''r gauche se retourne paume en bas, tandis gue la droite vient saisir l'extrêmité du fou-
ra" ia pointe marquée A.
hE 't-" trds sont
lpL rm posés par la main gauche sur un tabouret. La main droite ramène la pointe A
rTE ûT Nrd:i :nsemble, ce qui a pour but de cacher les foulards blarcs à la vue du public, et des
rrr,üir§ 0n tire sur les deux extrémités du foulard noir marquées d'une flèche, ce quia pour
rnil l,{,r{iÊr les foulards par en desous.
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ÉAnr .-i
rnm a:0rs une routine..... Bien à vous
ltrc
ONESIME
115
aaaaaa aaa-
aaaaaaa aaaaÉ
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aaa aaa aaa É
aaaaaaa aaa *
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taa aao aaa x'.
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aaaaaaa aaa aaa aaa aaa aaaaaaa aaa aaa E -
aaa aaa aaa aaa aaa aoa aaa aaa aaa
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aaa aaa É
aaa aaa E
aaa aaa
aaaaaaa aaaaaô aaa aaa
EFFET : aaa aaa
aaa ata
aaaaaaa
aaaoaaa
oaoaa
aaaaaa aaa
aaaaaa aaa
aaa
aaa
aaaaa aa É-
aaaaaaaE
!aaoatH
Le magicien écrit une prédiction sur une carte de visite.
un-spectateur retourne une carte face en haut, dans un jeu qu,il tient
c
oos.
L-e jeu est étalé en ru.ban, et_ra prédiction correspond à ra cafte
celle-ci est alors déchirée en I m'orceaux. L,un a;éi* àsl uisià'au retc_
pour identification. Les autres morceaux sont brûlés aans uÀiinarier.spe...
Le magicien offre alars de reconstituer ta ciarte et de ra irirr ràippururt-,
le paquet.
lrg maoicien est tellement sûr de lui qu'it sart son portefeuille .
(les temps sont durs...),et affirme que s'il rate et offre
son tour, le biltet appan
au spectateur qui l'a aidé.
.;... Le jeu est étalé en ruban, une carte est face en bas.... et ce n,es:
bonne.....
Alors, INSTANTANEMENT, elle se transforme en biilet.
Ou'y a-t-il dans le portefeuille ?...... Les allumettes !!!
Çu,'v^a7.-il- lZnt tS^pgçlette ? ta caii, re,constituée, ptiée en B et AG F
A LA PLACE DES ALLUMETTES.
Elle est alors arrachég de la pochette et comparée avec le coin que nou:
et qu i...... cancorde !!
MATERIEL NECESSAIRE :
- Un paquet de cartes format bridge
- Une
Une carte poche spéciale que vous aurez à fabriquer (voir ptus toin)
-* Une boulette
carte duplicata de même tarot
de cire
- Un cendrier
- Une petite salière à maitié remplie d'essence à briquet
- un
Two billets de 10 frs
HIMBER wallet
- Ouelques
- Ouelques pochettes d'allumettes
- Un fake d'allumettes
cartes de visite
- à construire.
wARNING : Manier l'essence avec soin. obturer les trous de ra salière :
scotch pour prévenir t'évaporation et aussi les taches.....
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116
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1r{ raa aaa aaa aaa aa! aaa aaa aaa aaa
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$irata aaa ôca aaa
aaa aaa
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aaaaaaa
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aaa aaa
aaaaaaa
oaaaaa. LE FAKE ".
i)u ':: soigneusement. !'agrafe d'une pachette et enlevez-en les deux rangées
,, " "rttes. les têy9.s dq.la rangée du dessous et co!lez-les soigniuse-
,t' - --. celle.coupez
du dessus (fig 'l ), de faÇon qu'une carte à jouer puiise être
:))t:.," -
29 en desSous-
'' ::: egalernent une petite bande dans le bas de la rangée d'allumettes de
i, r r- 'elle puisse prendre place au-dessus de l'agrafe.
''",rr .: :-- d'une rangée d'allumettes neuves, une seule allumette, que vous
fixe-
,r . i tut de la rangée grâce à un petit morceau de scotclt en forme de l)
irllit
\ r ,l!ür
_l-
177
!o o !
( s9r19z du paq.uet ra carte sembrabte à ceile qui se trouve priée dans :a:
i_?., l'::a te cotn que,vous avez enlevé à l,autre sur son tarot, avec un pe-
*ï:iji4l:;;:z:i,i::i;:';;::,zi;,:,;::i:,;iîn:,;:,ritit;i{:i!,i,12:,3
l, dans la routine : la carte au coin
LA;ECzNDE cARrE TRUouEE.
I Four la réaliser, vous
lo hutt de carreau, toufours aurez besain de deux cartes supplémentaires ; un s::r
I ,:1:rf:!: de même tarot.....
y::tie hachurée du Z et scotchez te Z au B, comme sur ta fis -
a me1 t
'T extrémités .r'els.erybre, re ruban adhésif devant se trouver bien sûr à r,inié, tu
étroites des deux cartes seront caltées ensemble fig. z B.
t
OI LE PLIAGE DU PREMIER BILLET .
fl- , 1eu,
i:';;:'-l:tr;''ili:','f l,Zil';,,che sarde ta carre pochetre, à t,atignc_m
tandis que la main droite tire le bi/tet hors de ia poche irb. loi.
118
0o
;:?ARATION
-E JEIJ (montage en partant du bas vers le haut)
' 1uetquescarteiindifférentes \t/a \f7'
âr,s ,â;
't|l p€; x
rtr8 serS : :e reste du Paquet
: làseconde'caite du dessus face en l'air
-: carte du dessus face en bas
-: POCHETTE ; dans votre poche à briquet
-: SALIERE ; dans la poche droite de veste
qG
CENDR IER ; sur la table
- a,.iBER
,O t-i . - WALLET . iuit-ritru poche intérieure et préparé comme en f ig. t 1
. -rrtrï ji'portrrriiui iiu, i* billet donr vot"ls aL!rez besain plLs tard et
]: -, :re fois, vous vaus en servez dans un usage qui !ui est propre' Accidentet-
allez t'oublier sur la table'
.::, :usaLle le nom a, tr rài, choisie est écrit sur la carte de visite
est une
-
-, quu te public n'oubliera^^:^ iama!9 votre carte' ,, introduction
:.-L-^t..^a:^^ ALI
-,, +^,,r
au
t
i;;;;;;;;1;;;;,
ce To mais it:t ^^+ tthô excettente
est ane awrollonfp intrnrtlllîlon tour,
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=-':nt dit.
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10 I\2 \
ô (/
1) ô,L
119
!o o a a oa
a îc
LE TOUR PROPREMENT DIT :
a) | ) Le magicien {nontre la carte au coin face en haut
et la plie en 4, en aye
de ne jamais mantrer te coin raiouté à ta cire. puis it ta dé;i;ir; ;; i.' L;r";i
sont alors de nouveau ptiés en 2 et déchirés de nouveau, en aayant soin c:e
le coin supplémentaire sur le dessus.
2) c'est.ce coin que vous prenez et donnez à un spectateur pour qu,it te
souven ir..... i
3).vqus d.ites alors que vaus attez brûter les morceaux et que la carte sera
vée dans le jeu face en haut.
4) vous--dites alors que vous êtes tellement sûr de ce truc que si vous *
vous o.ffrez au spectateur tout l'argent que vous avez avec vous.... vous
alors le portefeuille et voyant b nitbt de l0 F vous *u*,ià : c,esi::=
mieux que rien......
5-)Fermez le portefeuille et mettez-le sur un coin de ta tabte"
6) Mettez taus les morceaux de cartes dans le cendrier et s;àrtez de votre
:,
salière cantefiant l'essence et répandez-en sur les morceaux aicirte qu: .e
a
ro.nt.pas sans ca. sortez alors le plus naturellement du monde votre:3t
d'allumettes et, comme,it a été exptiqué plus haut, sortez t,altimette e-
mant le fake, comme décrit plus haut.
7) Allumez votre carte, saufilez l'attumette et.... rangez vite le tout dans
ra ;,N
8) auand tout est brûté, faites un ruban du jeu et àontrez iu iin" ,unrr.u-
9) Faites renommer la carte.... et apercevez-vaus que vous avez raté.
'10) Maintenant
vous devez être UiV COMËDtEN.'
vous sernblez un instant interloqué, puis très vite vaus regagnez v.:-s
control et vaus dites au spectateur : chose promise, cnose âuâ, le b :r
vous.....
Maintenant, ËT cËcl EST TRES tMpoRTANT, vous devez faire tes tr: :
successives dans un BON RYTHME.
A - changez la mauvaise carte en biltet, avec une pause d'environ 3 sec:
disant, mais alars qu'y-a-t-it clans le portefeuilie....
B- '.ouvrez le portefeuitle, découvrez ies afiumettes et dites : mais ala,
la carte ? dans la pochette d'allumettes ? c,est impossibte !!l
C -..ouvrez la pochette d'allumettes "La vailà, àiiu,feâ;,.... ,,Vo,*
l'arracher et regarder si re coin correspond, si "i c'ëst bien ti mêne )
camment est-ce possible !!!
a aoo. aoa a
o
L20
*ffikffitr& §§
ffi -:rï"tillü$if
;::
SËl)
:2*r\ T,,i',,,u!",',,1,,'i,',"j
,,,,, t ,1;ï ,"f'),',',"::,,':',,:,t':
lt,, .€t.;!triir, .r,
7,,',lr',,'rl',,'r"rt ,Li\l,'
;?,î,i|,i,
r,r'l !'a I
ni)
>*T?'
c
127
SMARENE RNVS
ll avait un géant, et c'était terrible parce qu.il était plus petit que
21t par Barnum ;ators, ir rui avait fait iaire ods cr'àuisllrirIqiàJr..,..
l,:1.:r^tjl'^
c'est
s^i?id_lrg cetui.de Barnum. Èarnrm Eiaii i;;;l;;.
pour ça qu'il n'a jamais tait gàrnu;, ;;ilJ;;;;;ilJJ;Jièi. ,"_
ce _
"I
üI
apparaissair en haut ":!3rds
d,u.chapiteau après avoir été-tir;-il;iàI E:
demandait comment il faisait, car on n,a tot.rjours
me su is de mandé'' i a ;,";
'Ë;i.ï#' #
uu qr.rÀ r.rt n. -
"'ïi:iJ"' J:r:
ché des ras de sorurions, qui routes aboulissaient
iJ :r'ri:|,T
a Jàr-
a toujours vu qLr,un, méme au repas, j.ose
f LE
*.'
-
:;
_ d
o
ï:::^3:^:L.n'en
sequestrait un...". r vev"-uil,I,
vuu cro.:: :L
pas urvr
* Y a-t-il d'autres magiciens qui vaus ont frappé ?
#
tous les soirs on ne savait pas comment il faisait.
- Mai, j'ai loupé ca, j,étais trop jeune. Et dans les ,,moder,es,,,
vous ont marqué ? ii . *r
- Le type aux cravates ;-c,est un type: ii avait 6 ou 7 spectateLr.::1
enievait leur cravate à la file,,anu qr,il, s.en rendent
compte ; ce, :.i
rigolo.
ilI
E une91:l
C'est Dominique ?
::,^!^qlTllly.r
situation
c'é.tair rrès
vraiment comique, vous compr"n..
fort et route ta saile rigotait parc. ;i
i .i.;otu-ii.ïtàve : =
.r bien.....
- Auand on annonce-un magicien dans un spectacle, qu,est-ce que
dez de lui, qu'il vous riré ?
fasse
Non, un magicien il faut qu,il fasse des trucs qu,on ne comprenne
-ce.rveau
travaille, qu'on se dise ; mais comment a t il fait
ç, ttidrn*
:::
.:.fi
0
- - Aui, mais vous oubliez une ch.ose, on ne peut plus tromper les ct_:
dgns le temps à cause des progrès techniques, ils sont
comme ,,iitii-i,
des choses qu'its ne comprennent pas, re irii ai Ài"r;r";o;orer-_n
étonne plus....
-.Puis, il y a cette saloperie lll {il donne un grand caup dans le poste
c'ést à cause de cetre cochonnerie qr'un n;u"pirr à."ir.iair"',ri,o. - ::
,
STTAIü TITUV
L22
: - : -mffi,
IHARBNE RNVÊL§
. Je ne suis pas contre la télévision, mais c'est pour des malades" mais
:: - -r q&, - - i:on, un vrai, le sentir à travers la cage, ca laisse une âLltre impression
:--. r"t, ffi :: e voir à la T.V. La preuve c'est que les gens mangerit en regardant la
Lnnez des pop-corn à ceux qui se trouvent au premier rang et qui
.-: toucher les lions. Eh bien, tânt que les lions seront là, ils ne mangeront
ân
-; "* ":r ' :op-corn"... ll y a une fascination qui ne passe pas à travers i'écran de
:
.frr
Ltlflrflt*
:,.. ':liülllû|fr
:: .' ,ç,
,= ie sais comment dire, ça rend tout banal. BANAL ! Voilà le mot. La
:.-alise eT c'est à cause d'elle que les théâtres ferment, pourquci voulez-
- -: ies gens se déplacent et paient.... Faudra attendre qu'il y ait dauze æ
:: .omme aux Ëtats-Unis, aiors là, les gens s'en foutent et ils retrouvent I!.-
re el
J
-. lll'llllil.illllil
, -- spectacle."... mais moi, je ne le verrai sans doute pas..... I rl
tr
i: a llldlï]lullryl
-: allans.....
'n : - ,üiii :
:: pas, vous ôvez vu Chaplin. C'est notre maitre à tous. ll était pourtant
" . ei puis vous avez vu.... Ca m'a fait un chagrin terribie, parce qu'il est
-l ru, lü{ll
: .:able, c'était un génie.... ll a fait d'ailleurs
.: -crnaissez sans doute ?
' ::s vraiment.
des parodies de magiciens,
x,
, :," imnul
:-, c'est pas sérieux, parce que c'est une faeon de vous connaitre : voir
=. cefauTs, ca permet de se corriger. c'est nlieux qu'un magrlé.... vous
:: lrLrcs de télé.....
m
re
i:d '
m
::tétoseopes !
- - oon Charlot, c'est le meilleur des magnétoscopes !!! pour toutes les
, -5. ...
. :viez urj reproche à faire aux magiciens, quel serait-il ?
- ::: jent tr0p......
' -.",,ns aussi....
- .-,ais clowns, pas les bons, Les bons créent eux-mêrnes leurs
'"' ':'rsibilité, leur tempérament. ll y a nombre de clowns qui ontentrées,
tLy
ffi
4
essayé
- -: 3T, ils rne voyaient faire un truc, ie truc avait du succès, aiors, iis Ne
. -" :
ieur tour, en espérant le même succès et, souvent. ca rie marchaiT
, :: l-e vüus pouvez copier un thème,vousnepouvezcopierdesgestes.
- -: rs gestes §oient vôtres. un clown. voyez-voi.rs, ca travaiile avec sorl
_-: ne pouvez donc bien faire que ce que votre côrps vou§ permet.
. : -rme un équilibrisle porleur, tout le moncle cornprendrju premier
- i',: que j'ai EFFECTIVEMENT été portÊur, mais si vous levez
,-, '.oir été porteur, vous aurez tout juste l,air d,un type à qul onlesa
w
-.'clver dans le dos.... or. là, les magiciens depuis
un iertain temps,
:-- rÊs recettes : le type est en tenue de soirée, il rentre, sa partenaire
- :: -re soirée à 1 m 5ü derrière lui et elle va aller ranger tous les pigeons
tr*
': -: apparaitre et la personnalité du type ne re§sort pâ§, on ne sait pas
: : . est un passant. Chacun a quelque chose de spécial, d,UNlOLj E
, :-: fessorTir ca, alors iis prendraient une identité, rrrêr,e en faisant ie;
#B
- : - ten, ca doit étre très dur pour eux.....
- Créer, c'est bien, c'est le rêve de chacun. VOUS, cornnlent créez-vous "::
entrées ?
- Moi 7 je me promène, je regarde, je reproduis la vie humaine. C'est toul \ ;
desfois où même pas.
i'exaqère
Regardez les gens qui entrent dans un restaurant : ils sont comiques, ils acc':"
chent leur sac à main dans la poignée de la porte, en le décrochant iis prenn:-;
la porte en pleine figure, parce qu'un autre qui arrive en regardant en l'air ne x
a pas vus.... alors ils tombent à la renverse et s'assoienl, sanss'en rendre corn:::
sur leur chapeau ;alors ils cherchent ieur chapeau. L'autre type veut le rai-*
ser, alors ii se baisse et son pantalon craque, qu'est-ce que nous faisons d'au:":
Nous les clowns ? RIEN. rien d'autre. ll n'y a pas besoin d'imagination, sE-:
ment reproduire la vie. Tous les gens sont des clowns. mais ils ne le savent:.i
la vie est un grand théâtre, chacun de nous joue un rôle : Le personnage qu cfl
est supposé être dans l'instant, et les autres, vous donnent la réplique:--*
réplique que vous connaissez déjà, neuf fois sur dix, et parfois, la fatalité ::"
mêle. C'est au moment où vous nê pouvez plus tenir le rôle que vous de'a
assumer, que vous devenez comique. Seulement un clown, c'est quelqu'un c.,r
en a pris conscience, toute la différence est là....
124
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126
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oa
5) La main.droite se retire, avec le paquet de
3 car.
tes, et la piêce cachée dessous.
f
6l L'as de trèfle est relourné face en bas comme en
{ig. 3 et replacé ainsi sur le paguet.
f
J0) L'as de pique tenu en main dro r: :r:
la main gauche qui le retourne et ii es: : r
prsce restante.
130
19) La main droite s'éloigne légèreme.: ::
gauche et reste paume en l'air. Le méc _:
pièce contre la carte, tandis que l'inc::
replacer dessus pour pincer celleci,::-:i
pcuce s'éloigne Cequi faitque mainte-:--
est maintenue sous Ia carte. elie-même :
l'index et le médius droit.
t
1^7),Le. médius droit passe sous Ia
LE,ruêriL, presse Ia prece contre
p-ouce droit est ators rransféré
carte et, en
celle.ci (b).
sun i_À iÂnrï
{c,, tdndis que l'index abandonnant sa prise.
Le
s,é_ {ffi,
/__,[-
res.aurres doigts SOUS la carte (c) reioint
et tes â o"iot.
cachenr maintenant ta pièce. lorsque
se retourne {d - e).
ii ,rl" àr"i"
L32
-{
Yr\
mm
ET
- : : : I a môin gauche se retourne pâume en 26) La carte de ia main droite est glissée sous ceile
16 -::trer Ia face de la carte sur laquelle la du coin intérieur droit, et également sous la pièce.
3!l1r@llilr -:squée par les doigts gauches. Ces actions sont facilitées par la main gauche qui
ËEm appuie sur le coin gauche de lâ cârte du dessus.
i mw.
I
I
, -: :: ia main gauche est alors placée sur
rri ::-'::: cièces, et en même temps la 3e pièce
,:,-::--:e avec les deux autres. otlelques 271 La main droite s'élève (al et, se servant de i'as
r - - - -:cessaires pour n'obtenir aucun bruit de pique comme d'une pelle, retourne la carte du
dessus face en haut en main gauche (b).
I
i.
1
ffi)B
: r - rntre la situation. A ce point pré-
r, ' : : :: retourne la carte face en haut.
;-
133
4
ri)il
.È
,n
1.34
rTt
"Ë[w\
-F V^ 38) Dès que Ia pièce est recouverte par la earte
t -. - z ns se retournent matntenant paume en gauche, la main droite se déplace vers la droire,
::-: le mouvement, les cartes sont trans- abandonnant la pièce sous la carte gauche et ies
, ,r , -:': es index et médius. 2 cartes sont abandonnées â droite sur la table.
j2a I /** Ir
t---§'\
: i
'7t
-::
-: ::
Y\
1e Ia main gauche est t)ansférée en
ru-'
-q'\
: l'index est repassé en dessous de
: : -':' ia prise de la pièce. \.^
39) Les trois pièces sont alors aiignées grâce à la
main gauche, tandis que la main droite se saisit
de la carte et de ia pièce.
, - ::.chevientsaisirlacartesouslaquelle
î ," :: 31eCeS
cieces aU coin intérieur
au COtn tnteneur gaucne.
gauche. La
r ::.s le même temps, baisse ses cartes 40) La main droite apporte !'ensemble carte et
drir - : - i is louchent la surface du tapis.
pièce vers l'avant et la 4ème pièce reioint secrète-
ment les trois autres.
135
ROUTINE : SHTGEO TAKAGI
DRAWINGS : Tom Onosaka
LAY'OUI ; James HODGES
Frorr Shigeo Futagawa,s enqlish :-.-
COPYRIGÈT U.S A. :Jeff Éusr .
COPYRTGHT France. SFitCEC -:. -
ll
tti PETITE NOTE EN PASSANT:
ll faut avoir vu Shigéo TAKAGI exéc.
42) L'as de ptque est glissé sous i,as de carreau
roulrne pour se rendre compte à quel s
race en bas, âu coin extérieur droit, tandis que
l,as gst nensee jtrsque dans les moindres
de coeur, pciur aider à l,opération, ptrJ; àUË uenatns mouvements qui reviennent ;
".tle sandwich
Ie corn tnterieur gauche de la carte et lors dans le courant de la routine, peu+
ainsi formé est gardé en main droite.
blgr de1 redites-à un eçrit 'ï
meme être tentÉ un instant "r.onI*
de vouloi, n
fier". ou. "trouver Uàs enctraineÀe-s
9ourts... de grâce... s,abstenir...
Etudier geste par geste, sans rien orË
sans nen rajouter, Takagi est un mai=r
gestes répétés sont voulus, il
en tire qi.:rr
cornmê un rythme, comme un refràii
t_..ur finit in_consciemmenr par Ë
:p-*'t
La routine est exécutée avec une ex
brr. parfaitement voulue et presque
C'est une routine o.i"ntaf",15 tà,i;; ;;
pS,
îu premier plan se situe le' bajrq
miracle,. !e voyage n.est finalemenici .
Vgus pouvez penser que je vc,:s
l::{te.
ou que je cherche à remplii dü paou
pour, vous convaincre, il est une
43) La main gauche se saisit de l,as de coeur pour méf,d
simple : Takagi est dans toutes les rr
tape.r sur la carte face en Lras, puis
,u, ta carie 'uons magiques importantes, et de plus
restée sur la table.
il ne se prend pas'pour le nombril'du ,e
vous. le lui demandez gentiment, il v+r
routine.... et peut4trj même diauuJ-
verrez alors un style de travail. une c
faç.gn"
{e mouvoir'les mainil.it n;#
qu'à lui... et que vo{rs aurez biin du
ter... mais vous aurez VU quelque ct ce
d'
la-première fois que Shisdi;Èùi;
donner ses routines à une revue magio,rr
sommes fiers d'avoir été choisis"
!v \;K
46) Toutes les cartes sont placéei à jroire et les
deux mains sont montrées vides des deux côtés
pour terminer la routine.
45) L'as de trèfle est levé pour montre,
tion de la 4ème oièce
136
z- t'
-i :T. tr,"
i :r* :
rj,:: if,!lr:::i!:
i
.-,:t,:
.; :;
*g@
MATERIEL NECESSAIRE
Une baguette magique
Deux balles de chopcup crochetées
Une balle crochetée de 5 cm de @ pour la finale
2) Le gobelet est placé "ouverture en ba:
Enfin, un gobelet de bois. ment ver§ la gauche.
Les meilleurs sont ceux qui sonr tourné dans les
sabo$ des chevaux du même nom, et tous ceux
qui un .jour où l'autre ont pris une bonne OOcÂ"
peuvent le faire tourner dedans. Faites appel
à
votre imagination : Bro Hamman a fait touiner le
sien dans un ancien pilon. Vous pouvez également
I acheterchezJeff Busby enr. ,l33-l 7th st. ôakland,
Calif: 94612 U.S.A.
@G)
t., 4)
.La
main gauche se retourne paumee_
la baguette, tândis que la main droite s;
vers la gauche et vreÀt produire
G ou Dout gauche de la baguette.
la balte :
!91mq
TAKAGI,
le montre le ravissanr portrait de M. A
/t
vôus meftez
f§,
/u
:
l/
138
fT i*
^
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15)
.La main droite se saisit du gobelet et le plôce
sur la main gauche qui s,ouvre au
même momênr
comme si on venait recouvrir t, t.ff.,
,.nsàe àtrJ
.ëuche attrâpe alors la baguene au contenue dans certe marn {a}. t_, mrin
ÀÀr"r.i
:,e la balle empalmée reste en main s approche de la table er la main
aroite taitïtissei
l'ensemble sur la table (b).
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21) et la "lance " dans la poche droite
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16) La ,nain droite abandonne le gobelet et prend
la bâguette, retenant la balte'a ft.nouf,"aô J"i
doigts. La main gauche prenci le gobelet par iJfraut.
"{
17). Le gobelet est incliné vers l,avant,
et le bout
de Ia baguette est approché c* f ,orrurü*,
po*r en retirer la iraile ,,maqiquement,,. "oiËe
d: : :
t@\I§I
,D- §Y
19) Au moment orr les deux mains sc
main droite abandonne l" brit.
rouchenî li
geant ia bâguette de main
;.;;i;;;;;;;;;:
{a - b . ci. 25) On amorce alors la passe de Ch. lr' : uË
point droit s'ouvre tout doucement, de fa::
§'-.
§{'v- \
la balie s'enfonce dans le poing.
:l$p
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20) La main droite fait alors le simulacre de retirer
une balle imaginaire du bout de la baguette
140
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- :: moment précis, la main droite se sépare
":t:;, tandis que la main gauche le lève et
r -:if en même temps la balle qu'elie tenait à
-: -:ge des doigts. Apparemment, la balle a
k\
11ùY
mri : fond du gobelet.
reGtsET
30) La rnain droite repose le gobelet sur la table,
prend la balle et la loge dans ia poche droite de
veste.
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.t_.--o2
,/:.>-)
<,rt/ 31) La main droite ressort ostensiblement vide de
'. la poche et fâit un mouvement de lancer en direc.
-r
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tion du gobelet.
6-
32) La main droite lève le gobelet révélant qu'il
é '
n'y a rien en dessous, et l'opérateur regarde intri-
gué à l'intérieur.... {attention. à ce moment, de ne
- h) pas montrer qu'il s'aqit d'un bloc....).
\'È.'é",
^lJ
\'/A
t./ ml.wer
a
.ill " ' . : coche, la main gauche abandonne la
,r
I :i : êt se charge de la grosse, toujours à
, - i.:: Ces doigts.
[T]ri
1f
l4t
34) F..aiæs.alors une courte pause
qur vous étonne. ce n,est pas et dites que ce
grosse. boule, mais
r,rpprriii*-à.
'uli"iià
pturôt qr" r" gol"i.i..l.
bloc de bois,.... Tapez dessus .r"i f, nrgruaau poî,
le prouver.
742
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*r,i * +que*".iïffi#},î:
Prûposez du :ï"1"ï
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er rusrem.enr j un u"nî..'l^-'r"o1 a;,u-"u'à-:;irï,"ïiâï;ï:'":ï.::lbreme. n. = -- vous
vends... a* u"r*il".,T]'; 1". qoil de riz. Et
ugrs a" "'"rt
p*"iuî"i;'.:iki:i,une
Ie coup de bambo:r r"t obole-:---
,ir'"":"lt"ilpas jutt"r.", :
rez en 6onc une paire". .r,is-
vendsa6750.erpuir. 1."-J^în 'io"t."n'rà.iu'unou€tteIvousquin'""'put,r"üàr..,'-
eniarronpoliàra*6.,-Ï'^19"t"'t"*âdàuJrî"avecunec,lottedumômeméti'--= -
*;# *îr r :i' *tî* *ïi,i,m H6
arors quoi :
il{1 $ i.î,
rj"{ftH-
âii:#.ïilfî,rji, '3uî î:::e ivanr qrür" ,ïi.r's'
qu"* a' tiàt"ri"i"-{
pu changer ce -ru* uïe si berre ri-=
Pentar' r' ot"î,.,-t
meme pourl'apponer.;iÏ",
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pouvez tac;temen, no ""r.:o::i1?:
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:ï:,:
un cadeau : il s'agi, *'' ffi
de cartes aviators' soit ce
st"lt des fako...
io,rl! Ï!fu.'''o^."iiurn;î"î!
;nronreiirii""ui"fi',1il oas les cartes truouées vous
s, vous aiez ;^.d: ?:,
1::Ii!":,î,.au çuttttdtre î;î[J];,i;i!{ !,:::iiii"T1':;,iT,i:i#iilî:"r:i':"^
c,ntraire sl vous evez des gomme$es. - - "''" s!61qu ut' GUt 2 reÇç
"a"i',,'i,,'i)â['"!terchez quelqu'un oui a reÇ;
:';,";;:';.:::7,::J::';:î,,",::":,tuarcmiii
tyiî:";*ï,;ijilr:j,ty:ï;#::':ff
peut
ott ne
,tlT:iT:;;!W:-;;'îâ::;:i!:i
si gouiouÀ ,""r'i"rurout
tnvtte pàs' vous
ave? mal
pas de bots
pas ailer
si i!vous
purtour.. "?', ' "n,avéi n;;;;;,;;,onr;izi;:.r:;:i;,:îr:r:!:;i:,
150
ruRtEFFtæÂNtVtR^iltKt
Dans le courrier on a reçu des tas de réponses au puzzle carré que nous avions
mis dans un de nos merveilleux nurnéras. Notamment Francis Perret {Suissd,
Thierry Lamandé (Mennecy), Thierry Jacquier, Porcell, plus quelques autres ;
qui ont oublié de mettre leur nom plus tous ceux qui sont arrivés trop tard, et
plus Vollmer qui a triché, mais camme au loto, nous ne publierons pas le nom
des gagnants, afin qu'ils ne suscitent pas l'envie de leurs petits camarades...
Camme vous semblez aimer les puzzles, nous remettons en jeu 3 abonnements
pour 1980, et seuls compteront les solutions envoyées par la poste. Pas de
solutions portées à domicile en so''tant de chez Hatte ; c'est tricher, par rap-
port à ceux qui habitent Moscou... Dites pas que les mecs de province ont
moins de chance que les parisiens, c'est tellement la merde à Paris que les
lettres postées à Périgueux - Bas-Rhin, arrivent touiouts avant celles postées
à Paris. Voilà. Eklemeyeurgagne...
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.i.. tsien ieit rq:ur ielr gir*rii*. li: i":'*vaier:t qi:'à !irr l'iar,l'ft'1;:ç;c.
lt' ,.r;;-r; j;tr11i;1:i!1 Ul-1l.tt rjistiii*r Til'rirt {#* j:i{t1I: chs"lj r"i't*lvr+; ii*'irT
& FÜLilÜ - Aviçnr:ni.
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,i j*,qs. d#rfir?os rie r:*ffs prétlittir;*, ri'§{tl/ü"{ær ;:,I':.rs $'arg*i:i
t:r r
"-i:; !ji §n {ait, s:'€i-e6 ig s,i",Éû'fôf*'Tl eJvi *.t-..,lsif t€.t r..att€S qni t;!
,f"tir'
.. l;illill ::;' j-i,,d#*+ r1;"ti avait cu i'ittée aJs r:srÊÉ eÂ{j"üqlt#r*+ - sÉ læ il*rsç':;
, ; r*fë# sei:a§r{!.:}. fair* #reav* rl'll:re pær,e,tü$, ":-.li;'f rreitr:e ;*s
i. ii.,i Cü$nê/S.S#t#rif p.âS".. .4lC,rS r**ffi;i fçr,,s, {ii 1t.t:::ir.ii. i ç94e t-;':;
'. ri.J 1.{3# i*l,rcs. &:fal.t çl* r.'s:;s a $*i i! QË {rr,:'-'i"a r.rt.'r ir
'{§t.ü S#:ï
.,,l1iii ,,,.ç /if*rl-ffeÿ.,c. §e ,çré,',"'ir si utt lcur un* g*tttiil* :i*;n*, qui r*t.t-t
,,1ilt 1 .,t-:'i't;î? tk {i$fre ç:;ine vt:us *ffre Je,ç Ôor:&$;-i;l *f e"ssilie Il* vrtt:5
a ]t- h - ::ë.;.1:; S; l'O;lerl* .' f,:agf i:*l; ÿ eji'É.r i §;r113; flltgJ !.'::'llâ {i't1tÿ-iï,: !'.i;t:
,xfi, ' ,.:..f'rfae/ ,Jfi rtâversât?{ &,æ,t d,*it.E l*s tlr:as. Si,il +r-i #§s.?lri ils t'tr§
I :. !'tr{:t. 6rrj-g5§iiJ-ÿ#tr.5 'llr ,5es+.,r.'.. ;ttl {!i*. r1i;i f:-:il i.r.+q'sJ:t*r Ji'::
.illflIl
ilil , :i-:r'r,5 lds+ ;lsà*s....
. j ,. i,:!at t:;p*liei,t;* dU *;C, à l'Lli:;-li Li -I= j ;i, 'U pré,':;':l-;1*r &'l rrii-iZV-
'' "<a':lL'rlr, iri i,frr:,liæiE Sil'"-'i;':;1:{:}Lr§ i.l*i'1/p-? r:e tjir* :: i.'*5i r:ii'.'l:li
,ol :.. { ::ir i:!a*i1'**e i" {i"LlLiÊf'"1-*{.lilÉi
rlil ^'.:51 :.;i3i171gv1î r.t* vra; r:;:t-t!..
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''J'ai toujours
arrrant de plaisir i lire ler
articles très bien docunre:::.
iiËÀ-iy:il::,J,]". ," ri,r"^i'q,"'i';ï:;,ffi, â rames Hodge: À
c
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RF,PONSF :
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l,année .
REPOr.r-SE :
REPONSE :
15,4
Dc Pasral BOL'CHE
5
: :.tn- rllru, ent,oie une qui rrt'rst t'e,itre {rt'rtdattt tttt.'J? tites.!ottgtt.'1
1i-:1
ferite idet
qffitt]t,
'''
- *lilr rtfitt,
t.ir'rrri'àir-i2â;lrrioo Llorr,,prr,,,i, : ttil lnt' ttt'o'!oujours tnt pr!t gë1tc 'lttts ln
'i,ritr
ri*lito iltë»re sr e!le ô cst pas tnarti{cslilttent trltqute. e[lt cst itttl'tttsil'le
antener co??tftre un
'iios-tt'nrrrrd.
à obiet usuel..^/...
lour lrs i,'ttttttet tt tîs:{i,1trctiqilr:;ir
cbef, t! i.risre rrtaittttultt
,:;;,;t-;;;;;; ii,i'itot,trt ,les!inees à ttttt'te Jl pillt'l':' 1.rr lt^eitrs tutt! 'llr)cr:
pt il sttJiit
'r;;; r;;;;,,;; iàli,
',),)"iiii,irii, -tii,Oubtepi"n" atr trn t:rttail srtr lt'(attLL'rL'lt 'l'ttt' 'Iu'''r'//r'r
-l sur la uatre pour i'n fairt uttt: ltrtirt ,lt ptllult.s ^\..orrl'
rin- j,iri,i-à lui. ldtts ure routiie dottt ie rte Jicrirni ttt.ettt(' l'ùi !".e.iii t ar
ilt, ir',,,'appdrtient
-io,,, pns, exlllique que ces'hoi.tcs sorr, .trtilistits p,ar l+'s l.'arit;-
'r"ir,
[,',ioir, !e's ,ttotitt,ei rtt ieptratiott a !; fal'rtqtt. Ü tillr'ttr; t]ki;t'
:: : -
I
7u'i-,n'1,,iï iir-iiir;t la boite. ,i tttes \o,,rces tutlt iottttis. 11;i ittitr,/,'t-i'i.rssa
'riiiïiiiïr,-iiiîirt
,,nnfli qr,'il auatt dëjà sati rrais.rr,tt,.cltes... !! t:ortnit ci:ez sart 1:!;,tr.''
ri:
ii,r,ri",, àui ltti reit,it t,tt,'ltet!!e !t()ttt dt'7'ilittbs ("t'§I til i'Ltt'ttrt 'ti'1t l't
trloite. iei t itltrles et la ,r,o,trtat," qtt'Okito J,:tirtt'it l'; i'.'tii' q'ti furtt rÜjt r:!)ttl
L tela que lt's tottlir,P'\ dr' bot'î''s OÈ:ir' !rop jt'tr.?ttt' \atti !{titlt)t;1\ t' ;
"rt Itou,
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.['üuu
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.ffiôüffiooe
.{t?-
f-,
f*
155
-mKsltlm§ff_
KH
ie ne sais p<ts s; votre routine esl bortne ou mauvarse.
ni si vous man : -
et d'ailleurs, pour être honnéte, je m,en fous... mais laissez-moi
vou, :
Ll::.:^:: y"us.tglssez jamars r1ecour.g", pui-.urx qui, au tieu de vc_, ;
y:: Dr-oterenr se.fourre de votre gueule. Les iociétés de ma--
^.^o.":.,]r,.évorué. ces
rieusernent . ,
dix tiernières annuTr.l'igno.*
pi_"^r"i.il ie sars qu on.y-trouve des clubs ou i,o'rr ,rrr.;ff",e,:i;rr.__ "o**àni";.,. -
I T:;, ;rrne
nues "
y.S:, i,,:, ri iÀà, . i, ; ; i ; ; ;;, i;.., _ï;, ïJ ;: ;", J::-i.,:, i,
I: ::,véritable abominatron.'ll y a qt,elquàs malheureun
;
essaieni ct, t)endant ce temns. au ionrj io tr'iutt*, üui ,r..:
gueule : on lsur Ia,ce <Jes vannes, on tes ro,,t fn-roJi* i. l-
ieur piace lristement et un ileu r,i,.,, nro.t.,.i qï,its
inuectiuâ,nil.r;;l;;;à,--.
n.etaierlt entrés.
Pourtant, ceiix rà s'étaieni entrainés chez eu'x.
Dimancrre. Èt-iru,r, .,-,
dans les chiottes de reur [:ureau ;et tunor ,,:ii.
res fesses serrées con^-.:
à Travotta, its sétaienr dssii .rrrendd"r, *rp.i."i;ï,;;;i;;iii. .
l,ll insiant
il,:l:, :,:!or ia Dôs Iin, lenrrec, fatiarr i:as ire DTaICI{lr tà dessus jg _.
.Lrt iJc le Llr:rnrère jrlsryl! qr:e BÊFL Llonne à
SJrtre 1lt siti-r Trili: 'Lt tAB WIST" Clrani
Ci inroia"ôunr.,ü , ,
lË.rïr, :
*
o]. aur a les coinS ,,.,
';e
nJ'" iii,r_ne rr.lcclraiqroirurrn,
Br;
l
''l
t1 .,:,:..
,1,,t1 1:,.i',
'-" ^- .l'î'
d,estime ? Et
r'"'ntgio,- .lr
Ï',, i '0''r'"r'r
tluiririr-.' ;\lr la I 1r rrrnnais.bien irr,l,,,r'rrrr,';; ie'i
; ;r ;; il,iijt,i,i; X:^'
" r)-!i eLr L;u: n'onr pas de talent oit qui rr.,cni i ,,iio*,,,i, Sr' ;[ pi.rOiî ]
si:ra iren f a't poLr. ma gueule, mais par rappl-rrï'â'toi,
,
leur lauteuri. jr: sLr,s piioriiarrc
aru^ qLrr ser1nt re(- .
(r lt É PA ,r.r s
cwoùe ?æ#,É
156
Ëffi§- ffigD'ffiffiCIW^G;
';i"r ::r.
mRAfiPE
.,:
î,*
le faire les choses, c'est "r.i'aller voir". C'est de 1e faire, f 'esl de re pas
; :tLLl - r,r l'année prochaine, si 1'ai uir peu de ternps, je vais faite... ou ri v a trcr:
: n{nu
ll
, . à ,;n bouquin et je vais peut-être... "Non, l'importanl c'est de la,ie ia
. =r voir". L'important, c'est Ce se rfettre au pieci du miri et, alcrs. si ott rr
: afl, si cn se iteui'te au fi'ltli-ei qu 0n s'y cesse le tête, laui pas,nstliiilr ies
' ,, a ÏlnalemenÏ
finalement ies ggtl§
qLie lgs
qLje 0ens i0talernerlt imniotriles EL
tuLalulllellL llllllllJt.lllus qui rlü
eI qur ne iont
iuriL ldr r6r)
iamais
.'îl.]".Trf$r .-. à traverser ia vie en disent que t0us ies autrss s0nl cons. Dès qu'r:n iait
.?i- ! .ii,ilirr"'
. ? : o,rieh',mil'tc fartnslrriue
;* 'lIL-
or a t'r'aiment peur. Sur les lerrains C'aviaticn, J'.,r1 ilriote
.:,ir-.
j,à'rue. ll v a deu:. sortes de gus etr bas, ii y a le gus qui ari i'e ,
,:. son avion et qur clit "pêr ce temps ià, il ne faut pas y alier",
- r.-11'.i(r -' I a toulours raison... ll y a les autres g'.1s qul disenl "rl faul
rl!fl|lll 's on décolie, on a urr peu peur, ou rnême on a bien peur, orl va
"a est allé voir, et
:amrîh lllll -- .rn ne passe pas ;Ça n'a pas d'imporiance, on
on l'a mérité . c'es1 soit parce atu'orl a eu peur en rcute, ou
=-
:l*: - - est pas un assez bcn pilote, mais ceux qui restent en bas ef
9! A- a a: trompent jamais... mais lls Iirtissent oar avollJn avion tout
-[ e!]il
-.:it par se {aire absorber par une femme, et par deux nraitres'
.: rJe province, avec deux enfants, et tln enfant en plus et à
-:, rtéde l'âme . et moi,;e préfère.onllnuer à vii're en marche,
:.nent...
,ir.,itiL,i _. rr- te conSoier deS rier-:rs... ;e l'ai lait dtre par rlrr ftteC cl.Lia d I
: -"lll := surcroit n'était pas nra.oicien... enfrn, pas prestidigitateur,
,.i I
i
- rér:nions de l'afap de Paris me cionr:ettt fr,tnctrement en'.'i'-
=s
nJ:ûll ill, : i r!cs, c'est coml'ne une garû . r-)f cst ilarîois ol;ii,l-; de passcr
r'l lûlillllll - saüvent ca rend l)ierr sp,v rrr, rlr..ris ,'.t st'raii qLtanrl mêrlle
fli:gr lrr - .] : ies paprers gras..
. -::rî, c'est a:orrme une vielile maitresse, ya des n'cnlcnls, rl'-l
-': i chrer, ntats les soirs ou on a [rersor.rile tl',:r, ltt.';rl 'sl t i-ll
. - r- L-'etfap, c'esi con'nle tout .re alL,l'on ai l'r'lc i;ir:r'r (rn la !ou
. : i:i L-rir:n sÛr c'est lrnposslble, rnais sacrébonilhr,zeur, c'es1
-, -',.iri'dl1 rle rêver....
t57
10 Un maglcien fait du close-up,,et sans touiour$
bien se rendre cc_:
i,?,'l:,::.i:1:: ryr' "1r1y91t"
"il est extrêmemenr 1àiri'ri,inf ià,t,i,u, pâsses e: : :
habite,,. A.Ào;;r;:,'ui"1" ,, veux rien
o seulemen.t à mon sens, chaque ro;s qu;ai'd-ii c-:
â',un maairion n
ô") 1?:'::,
11,
!, ta notion * t r:.f et d' i m p a ss i b t e, es i iu ir,,i". r,
t!:, rl,y
^1: et
d'habiteté, .d
d.iraiiÀti esi a;fr|"iîate_même, une:,:
,i::::l::::u^'it_.est habtte p;;;;;ii à:,,0 un rnasicien
?o,
-te préfère de toirt tes tours au
o r.o.'iiiiâJ*"rcrôT"ir'i"*iiiiil, -,
lument pas aux cartes (ou semble ne pas toulc:her)
ôo
ô
spectateurs qui font tout et ont eux_.émes et clans lesc-::
l,air dr riirrir,"rZl ,
sa seute présence rend ii ii;r.Àène possibte
ô ô :l-::.^!ii,!:,
savent bien qu'une fais le nt.agicien parti, et ::
pourront reprc:- Zils ne
masicieÂ. Ceui-qii iàii uru quintupte c: _:*
iTrf ^|i1yi:tà,es.t
les 4 as .un
au vol et font tournoyer trais iois la iarte
chaisie autc-. :*
ctys. ia tes yeu* bandés, so/.ai j:_::
:r":i"d:_.1:-rattrâper
grands .bouche
artistes, tlq grancls io:n,::ir, t
tr-Ëii ,ir, *;;'r;;p;; ;.
1e ne serai sans doute jama-is capable â,en farre autant,
ob, *u,r,r.j",
.Ën. ce qri-ri*-r";;:;;r;,";;';;r:;;Z', :r:*
des magiciens.
flu_1 T9i:
oô o lours tué la noticn de magie. Un magicien nr, p* Uesoin d Atre u l,i
est magicien... -
ff§o -) C_'est seulement mGn
opinion et fe ne cJemande à personne de :
oo
o.) t:::^y::!i: l?l!r:.pour uû autre, je subodare que c.est p.-:
3 uosnnlan ÿoutait dire. De tûute faÇon. ca rr..t,a
'r0O t,
et puis ne te dois-je pas cet article.
fait pluisiiààii:t.
'c
'l^ 1) o
l?o 1, notre dernière rencontre, tu m,as parlé
bientôt s,or.tir. !t,s'appelle^ ,,ta UâiÈ-u,t*"îrâir,, de ton livre :-
bqç§
§t trancs ll dttit sûrement être earit dans le iaî,, "r roûte une c -:-t-
o^ J.' lecture clait en ,rytr alerte q,-:
o être facile.
Alors Petite Pubbe ; vous, qui vous intéressez
"o
§u -
bL, ()_
atéa1, ses ioies,
à la magie, qui a._..:
p,uiiri."ruiIrororurs er sej
go 1::.::!.!,::-::s
t^?:::*^l:!?, que sinon ca va peut.êrre
'ui _
faire ui peu
o rvtlus avons €n t-rcnçs un grand professionnei qui c/targé...,i'
o sco rnande il.u spectacle, et qui,en a vu plus, puut-ât, depiii ijis c; i:
tez son battquin. y'a pas de tours,
que nous tor: -?_
Ôn 'o "oÙ -uii7:i-piir" "ié'àii"a'.i,;r_
ol"f, §a,rt tranchsTnspl, ie crois que J,ài été bien...l petit
franchement le
ün 5,. sur :;
ou,_! bienvenu....
o r; 00 " . Et iustement Brahnta, passait il rt,y a pas encore tellement lon,:::_
. S,r
ô co o,i '.':: /évitation
une iËi,i:, I:,,'',i1. q:' ::.L' ? ::q u, b t i n " L à, i t * o nj,,, u-n,.,,
l, Ur. sur te tn;*e*,ie^, ^,a'riiruf i_lJ *ii;i*,I?iiruir:'.,î
s e, g u ec t.e * ittr *' iî r, r, *. c
§!
^o ";,,*r\?r:: : : y, a r B ra h., ..o I
o D) veut et connaît ta maaià tr ,r*i, *àirâà;;
| ?
-
U4 ^,,.uf!
Ç ! ôo " ;irz,;? i!_i{i,ir.:
,o,,àî iï,"iiii,'i",i,' j,,,, clonnties,. / ._
:;1;
n
ô " û o^-
f ,) i,ËjT;,ii,,i1i..,
te Paradis f,^ïi_,
tatin / Niire ;;;;;,.'T,r;"Ë) !ir{,
6(]-\c' La rrtatle des tndes. ,r-1yr:;;;r"i;r_i'i,i 1,ir, ,o,ir\ii"i;;rr, ;. -_
)9 ao.. se resume pas au conlptage
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itl .r{ ' :)' "É
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i4,'"ii\, f'ï\ r:i'. i
:-,ii:i ilïi fu§ad celns*q:rÉ à süshq'np*. §rds Lrisrt, te Ki klkozr ; ii a I'lir ct.e*. i ',t ri'"rf i
"::r oil5e,'tris pâeçe Eu'on a drijè l'irnpr*ssior.l d'av;:ir !u ça;ilii,oi.:rs, §i,;* !a Itt:,,i.;i)i-..', i
;ffi
::.orçi "*t":i,rnêmc", r'!-!ais on e* !e r*piète sans d*ute .ierna;: a;seè. :-u prir*,;a,§ \ r"il"i
:-. consô*rer un n*m:ôre à la teehnique du persi.-nnaçe ût à,tr inaniâte {}$
r: feai;+'1."..".
:';*' #F,
il' 1nmri$lt*,l ' . r,i.t:lfe si;lple" [-a c.:r-rlelir :; ': pa: d'rlrri;cr.iùflr.rû ,..ji.t::{:iiji-i t! iÏ,1ti ss!
,,#È" :i-êslÊ âvêr i;.: *:ain *;i. i'r:reu f i:ai' r:xi.;;ttü!* iitL!r ias Sirtr a: i[i.,]I-::4a .lii /i1ri,
* ;"rnu1,ffi . .r. Li+: r:r:u l's arhetés "eu noii'
-
J
- *ü{H
Iiltiilrrt|t{tlfl,
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,r.41-ttsti.!r:tqiJer |Jn iÊn§ariln€rlifttl fii,.;i pegrt r**: élt: i;1:i+: ti.-rr.:; r,l nç.
:; d-:l n,ilta$ q.fe confér+ces de 5i**tt7 Yc:.k,,*t v<;us d;;.,:r i:É::;_: réËù!, {.,.
' 'ij',r:.lclii{e suiJsèr* rjr* ç'adrelser à i{f:hJ SirTi:*ir.Ë'si i,4Ai i* f LÂe[tr.
! rrtûûllffi[l ,,I L+nci*n l&l - ünç!*nr.i iSüüül-i§i
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- .,ju lr.rth* : - ev35i: ê 4u üng t".*l':* eie niegie U*Ur SC* r".J+âj. [! ,i av*li de$ar:g *n sac i!
""ru:r Çl : :'::it -r:* gr*ch*. J'ai étd très déçii p*r !a po+he. a;r i* p*ls;ril *u$ je tr{.!{i
._", iliïmll|rrlrfi#hr
flr " l.rifiii; Li{!{"lS :irê dire si tûUs ir.i Sij*§ *ett prr:f*S:i,:rtne,S
Cilini.ir;tteflt au§!r
: : .li ,:'sst e*uleffisÈ]t !es sar:s qu'*ir nrei da*s lss h*itee cf*s ecfal:{t. fi*i-*e
:-:' ,''i:rral*r,qlli êil tïû.iêâg.ôsi a aussi ,;ne plxhe r- t*uri Fl-üU!:îSi!*üf,iEi.
,-tt#'o'
c: Jrii ünl ir:.rs üocl:e: ies tei:l:crs_ iel i.,;nqc,:rn;:s. i€5 yc,-,,: 9i, sr ie
:!:! [i,fi!?i]i !,ü{.i§ tr8ire i.:i-} :êl.tkaËsci;e" l.,iia:f r;* iiiiù gi,airi rÏ..,.,erirai {i.ln:
:e Èi:lJl,,oits vorlr le cJtvilijel. i:Jou; vr:,r_i: sr.:r]i;r..ir-,n:;.-!*
i;ij:ll5:tpr chitz uous
',a: i.:iriÊs. :l.t.ril1.Ftr,,ç:.t;i:.u^,.
ft.,; !: re:p4r.!r_ .Tn,, .
:ilrritrt iailies riaris ,:j'aneiens siip: rje :ei ',,enc!er:se:, ies §.:i:ijrrj§ !i.rilt_
:;n: ie.: biis. pour. 27,Li[i f *: sr:itiemêfit.
.s revi:nii sur" la sr-.rj+:t. tât- î)i:ii$ ne scrilme.! 6;as ii l*ui T;,ra u! iüri i:{-li
A;..;l i vlls p r*r:il a i ;-tss i eTrr es re_r lç ri;nt ;a ns r-rii-_.*ns; .
(.rii Ëri
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:, l:i , .. ]
:i r,::
! r),)
§J æ
C'est, comme dans beaucoup de cas, la faiblesse du truc qui, bien e
va vous permettre de monter la routine...
[æ problème est, qu'au départ, les deux foulards doivent être nouer
n'y a aucune raison pour ça. D'autre part, on ne peut pas non plui
trer tellement, ni les secouer tellernent. Supposons pour I'histoire li
vert et jaune. trl faut donc qu'on ait déjâ vu deux foulards ordinair*,.
mière idée qui vient â I'esprit est celle{i : se servir d'un sac à échan-Ee
a) on met deux foulards ordinaires et on les ressort noués,::
b) on met deux foulards ordinaires et un anneau dans le sâc. eI :
t64
-l\E
,"ileur montre une carafe, trois verres et un foulal'd trlanc' le tor-lt sur
r*! !i' -'.,iri;"
:: lElli
, devien_t ela menthe, celle versée dans le
dans le prenrier verre-l-u
-itll
devient a" r, g.[oiàtlin"' foulard blanc se <tédoubie r:t les deux
I rii 'r"
,ilr r. :! sont noués toui'î;;;;'îtiont introduits dans un tutre' L'opera-
rL rt les 2 liquides "; ;"fn;les foularrls au traverl du tilbe. Ils rersortent
I r ,r! noué§ à i'autre bÔut, mais vert
et jaune' - \t'orr
r\.- r-'
ï!rJ{Mr1
qui est prÛpre"' fait en-
:rtr , : iénoués et placâ"sïànt i'n verretl icelui ecl rel;ouvé enlre le- tlettr 3uI!-es'
x: dlrf.ll,|il[ , -nrrntfre ,n lr,,tatA-rouge ' i sr suire
irne rourirle
.l;",i;11;; *;;;i;:';; ;1,;C.;;, pourra se hricoter
;ü{lH" , ,ii concerne r* triü*"
'
i+1;; pratiq-tr-e' parce que-'"561f-ç6piaitred"' est
'Nlayette. Ii s'agit d'u,e feuilie de
r :r le ..souf{.le t*infu**i,Iâ"aiore
,uulr : t"' ü!"1u" itl :try:-,Y,:.":::::
:,rrt plié .n u"nn.iJoî' ainsi plu.sieurs ::,î.t5",1:
,iffry lliÏ,l ïi,ili,l'il.. îr,i,*'*;il Ëil;.-oî rg""" comparri-
165
g-rs {jslrriel iltf--}l{ËAti ele Baiasy : 3 leitr*s d'engueulade qüe nûus résumons :
L"ttre rr:Litt'
li-épcnse:
ilolrrnrent ie savez-vr.,us. pl.:isqu'll it'y ;l ità: iie illte dessrr,s l'r'ltir iltieri vllls-:r.:-
iSlards 5ci1l rêmli*to;. l.iLrt.ts r!srriss{}fis dt;ttc r.igulièreicenr (f ltcul'( t'e ''
réÊr:llèri'p-','t rlui'h{aC devrii pitrlirre;lulitur: -\til1:lilla'. rir::, i'-i1. ..
-ili:-"
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'\ 'i rourte: i){'r;.j qréa, lr.ç rjessJr.ç Lit t:alrr Jg^s-,:ieaierrr rie-çs j;;-. ij'uiie lllàret" ,:
lruv - tittri:tttti !i ro-ç îtuûrcïos ufle ilo!.a t7'i:urrtour raililé l'er,;,.rttrr.tir,, .
\ ,17,." ',,;;s, i, t 4;a,l l, i. .. ,.,js ....
ir
1! RilPi)li! F.
il l-i'al:oril. ;ter'vlus rraiment irlagiciefi l
ti L)eu.rièmeri;erit. ie ne vous iaissera! pas insulter lJodge s. Li"ahr-,iii parle , -: ri
il d"étre de res itj-Tiifi et, L=risliite. perce que son tâlent c9i recijnl* Liarls !e mit- -" ,:
,//
il §uprdme. à riui vous vous rélërez. a deniandé àpiusieumreprisesd'achete:.,
V.ig.-Zag, parriiullèiel;leilt à Ëau-cc des iiessln*c de l{odges. Son travari ,,
// "Fabuloii: art laçpiq" drns fienii. eta.... !; j'élars vache. ierciis offrirais:='- *
,
,'/ et i! rnise eri pâge iie nlrtre prcirhain nuntdrc.... nris on; trop le respea: -: -
,i' prür çâ L4liez. sans ran.ar. Imdt scyez gentil" n'achetez plus Mad. r -
l(.A'11rn
al. nuUS ni)ite iCtn;... . .
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ie ,rrcns Lle rlreilre au i)cint ù,ne expér;ence
originaie, qu , le pense, pour"ait VC,,
vo'se.votrcrevue llsaoitai'untouraiont]esuisi'aute,,,.etquiaonsisteàfa,,=:
ur oeul Lre i';q.,., ,rans .ln s3L vert Le sac:.r:st rront'é
à Ia fin l'oeuf réaoparait et aLrssi à ia Tln ii reviànt.ians iirusieurs ïois bien vir.re .-
Je serai éventueilement décirJé à cécier t:e rne ooite.
arranqemenT îinancier [jleurmoche)
a,,, â".rra revue, si n.us pouvons : ..
1
frEPONSE :
Désolé, nous ne sommes oas jntére-ssés. cette
exflrience rtous semble préser-:_
si m i I i tu d es a vec c e I I e s u e p ré se n
e te M i r; i ;'; r;;' ;;' À u si s ra ra t.
";
Permet{ez moi de vor:s rlire .1ue 1e ne vous,_ontprends pas. Je n,ar pas
l,hcn-.,
dont vo^us me pariez, *uù iu ti.n, â arrirmer b,en
-;.
Tî:tl9l::'::l::::pl:":
t:Y',1,j,::y',îl"i'^.1.,.-._,?y: si quetqu;,,n a-,ti-ia'i.ii
:jJêTu "".1;li':i.:::
:;::'::::'::::""^1 ::.T1!rYES, p u. uit,.ayàn, L iZ;o;,' ;;
chanse à"tieàÀuÀt ,,ïir, "ni''.'j.-',
§ :, .i:,::,î,Tl:',f, 1 : ::, 11 :."1e
r
oà" oî".à,i,ii.,i, ; i,L",.
L
c1o,c ptus.r.u,sÉÀt,''nuir";a"rJ","L"oi,à'ioi,i;[il
oYi l:,,
* :Ti,,:?::"11"^
afin de conserveT):une!,:,]"i.
preuve O.antériorité.
RËPONSE ,
TN Z:.: E
p,_ -
souFj s ?ecooreffiaNjco{ëli- _*
\Às\\flüLèct pANs Ut! ?tS 7tul _ -:
168
ililr'iü:,ir. x9
*,", *.=, or,r* que vous êtes beau et gentil, ct ausi parce q.ue. i'édite des livres' -ClT"
;,;,';;-ôÂïirn ,rt *iint*n.it sorti et c'esi un.rrès beau livre, qui iespele va
vous !'avez vu, le livre
i : : :::r beaucoup u, poàion i'üiirr;|àr-it-a-*0i.. comme
fr4arc
cjtle r-l-lon
trêrre que i'ai peur.de.linrr
deià. l.1eux' l-1ne qLrr rl'a été o{{er1e
Albefl' pour toute la publicité ô
:::: à l'occasion de
. : nous faisons dans *ud,
Noel
pour-
llar
son ;oLrrnal Sl voLrs vrlule: vrairrent
lrne rJrosse' si possiirlr: pas forcé
rne
V
. ,,,,à lài",.ruis mieux .'u't unt mériarile 4lors
j s itrôsse , le ne sêis pas-ôou'!''oi' 11,1315 o11e^tienuis pius ile 18 ans 1e
':iri rna cotisalion à l'alap, olr ne rr'a g6116;r1 1;rlais rjonné de rrlériaille' et
certalrü en Ôllt de'lli' ce qui proLlve qr'le c'est totl
as autre3 en onl,
"tê'r'e texte genre "AL\4erlin' l'art
... . St vous pouviez tuiru g'à;"t a"ssus un petil nre plairait bien. Faites poLrr le
-'raissanl" ou une torur''ie-iiiniraire' ttela
pa(ailre rl'âLltres livres' ciites le moi'
: , -r re vous avez clu goût' o'u"niuoui lere/
que j'en pense. lv'lerlinesquerleot vôtre
.1 ..,-n"nt ce
;-rneinglischemad'iicheun'Diouringmaillelase0llidé'aiehavesinneinparis'
prezntiqne é trique ouive
:: n-minuzého*rr,, n,ouiifîüùe âiti"' 0umeis was ttii nécésaiv toubib aibeulto
_ : â' ouane
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171
Chers collègues et ami,
Pourriez-vous annoncer dan§ votre revue que, pour fêter la naissan:,*
fils Fabrice, nous recevrons avec plaisir tous nos amis magiciens e:
ment les Marseillais, et les présidents de filiales, lors d'un petit c:,
aura lieu, rue Madon, parc Barry, Marseille, le 3 juin 1979, à pan -
Vous y serez vous-mêmes les bienvenus et dans l'attente du pla i -
rencontrer, je vous prie, etc...
REPONSE :
Nous repraduisons volontiers ton invitation et naus ne savons Dæ
noas pourrons nous y rendre, mais de toutes façons, merci. Nous g
tons que cette fête soit un franc succès, comme la revue que tu éditx-
ù{essieurs,
Suite à certaines correspondances parues dans votre revue, je i.::t:
signaler que ie suis L'INVENTEUR du sac à l'oeuf, et que le je:.--:
qui m'a piqué de façon honteuse ce truc en changeant la couleur tt
un moins que rien, qui est ÿenu me voir 14Iois de suites au misay
même jusqu'à enregistrer mon texte sur magnétophone... J'ai di
quand il a commencé à filmer et la pôle copie qu'il présente acrttt.:
rien à voir, avec le petit chef-d'oeuvre qui m'est cautumier et c-*
magiciens savent qu'il m'appartient. Je yous prie de faire passer tw,
Gédéan Planchanbois, dit Miralc ourî.
Quand on fait les comptes, an s'aperçoit qu'avec les rédttctions q:.. -.1
qux abonnés, lors des conférences, et lors des numéros spéciaL,
çoivent sans supplémenl de prix, on ne peut s'empêcher de sourirt
a économisé 3x 30fis lors des conférences et 20 frs sur un numérc -:q,.
son abonnement complètement remboursé ! Il a même gagnè .
Claude Isbecque nous fait parvenir un petit ddpliant sur le congi., :1,
les qui se tiendra du 26 juin au 1er juillet 79. au théâtre du Cirà:_: i
rue de I'Enseignenient. Nous lui donnons une idée qui est er::i
adoptée dans le patinage artistique : demander"aux membres du _i_:.
1'ouverture de congrès, en presentant chacun un truc ou un nurr_:::
mettrait un spectacle à peu de frais, et clouerait définitivemen: :
concurrents qui chaque année se plaignent de I'incompétencc :L-
450 F français. on peut pâyer sa place en arrivant.
172
" . .l{ !{t}t}§RNA
l.'fllusit;uuistt. 2.
* :. i! an{**ûne relutr nêgiqÈ.r€ ka- i t p: I u :; it e i r'g"t ti t' rt :t lrc r !:' R
-: rr,,e, I'inlaqble ratience d'À1. r :, t t i ; t Ë.
? --ti t.'
"+il'
4,--
81fr9t'ieÉ.'ç ln:riic'Jebi!e. piitirilil. rle rt;uraise 1i,i. ei ilai:.e Lie it:1trc. I
,i-Jil0 Htgioier. -1(yI j:.;r.1.
.iÈA\ l'1[:liil\. 5. rue l].;rargei..l.li lil Elgrrojci. ,lt,l.:-,
'r,eratt{-rtricltr-iie-priubelie: : ,lL;
{r;-gérantgrrloitleirrile-papiers:J:1hli::S;ttlflcES.'.r,redesCitrs.i.i()lE[,eli,:.
i:- rllô.59.58
llirectellr-eil cirer' des erpitlitions rt,.1es-diverse:,-pilirer[!ses .lr.1t)ltn i-straiives q r.iÉ,il o [\.
.ieur<rii'e:t-trop-b,r;deiitiu*s,poi,rr,les-ia:re : )ithei H.ifTi. I . ir.ir di's ( xrrner,. 'iilil)
P:r ris.
i{rnsciller te.littioilt pi:,ur laie-taiiies. i::rtl-,tor:.irer,ies et llrii 1L)il]1!Sii)rLS hllrr,\1i,,:rt.
I ird cie Sc;t,rstrrprl. ,501i I P.rris.
-<
\lloi{r\itrlii:\IS : [:..re1usivernel1 rddrges irLr lùjr ,1e ]1,{[]-\l {{,i( ,rr i,ir.r.:és;r luir.rrel
l{-âTIE. PRI\ i-111i1 11.} frs i{,}t pour 8rj siirenrerrr pitrs,:her lll [_!.s lii)i)ni.]etr]ctits Lr.ritrrtl
i)rtl.lC,\Toi11i.\lE\T riLr 1er.1,rnlrer Pnr a,l n,.irricrr poui 7r) r ti: l_ prrr. ü,-s:ir.rirtn-,
\ r.lrlrnérÛs : pn-rlrihitili. Ott se li,,eur.. iu, .rritrrtL: ,li ltËi!S clrez ll:ttr. i)li lttj sjeq.. S!)Çirl
1r
i(EALISATIoN : (onrposiriun sur Lil.NI t!rboulc. par les pr.rire: ii,rrlcs ilc la rue,je
Ilit,-*f.iniprirnee par les baunre-essieri ue chez Lrûpy-rcF.:o. i-)l ilrlesh.rbes. ri[,.cx i)a.s.
\ \|ld Yig]i c\l unc re\lr( rirrprimcr, r,,,rr r\(rnplrtrc i..i.ii ; li rr:;ri ... rrr; j,ru\
t
t' tilA\cEl\tENl D,\DRt-ssE : Dr: à la piupart des cas ir un rnanqur. de pratique s !.:rrriri-
ner tle nouveau et joindre l4 rimbres à l0 trs.
PARUTION : ['lati-Magic oLlvre sa gucule 6 lbis par an. qu'(]n le iui rlerr:an6c ou 1(rp. sliLrl
en .a: de j-o.l!g
lrllJgu-r9.orévue par la lor. ou cuiie pr,.liongee ries redrr,reur-r. Dépôr legai à_
rarirtior (lSSN 0,197-310.1 ).
toPYRIGHI I\lad l\{aglr--est_ir-n_g
Iqvue enrièremenr copyriehr : légai action rvill he rakcrr
: . r rtti ('OPYRICHT
.l(,rm oi üop) . l\l 1l) \! \Cl( l,rl,,. I es ,:rrru.irit. !inn cn\, ) (. {Jru
reioumés à leurs auteurs.
I l,)
yffi&É[ w tr- E[&§r
iTANs sôN A1'€LtÉ1< HÊffAsi {AÛ çaI I"i1 UNÉ NOOVÉLLÉ
GfTANPE tLL.oStôN
: =i-: =-:
=14:.'
m\l=-
i* [5:--..-==
'i,
i
À'i= t lî:ll {r+ï 1
c'est pas qu'on soit radins,-mais dans ces ternps
plus sûr cie rien" Exemple t,;r;;;t qrb" "ào"1."de morarite troubrée, on est
Guv Lu'x nous émeut. nous dir de iiler io rr"iiuraux quêtes : un beau soir.
poriià..p"trË'riïis*és
Ia catastrophe, puis on apprend qr'ii uïu.nande_deux de
apper... une aurre *l:-:.::,_le-i,iafra. briques pour lancer son
d'enrraidc se goinfre dans.un palace pansien. "i p"rrr. tî'rp;ï;;ï# il c.,mtte
Ies polios. mais comme aii itiLp*ÀË,ii'iri'ïL.t" uru. nos rÉdrtrr... oïàor.," po*
iJs petrvent touiours r ourir... n&;-;ê*"iâ l.arfaire : ils n,auront rien.
lants. après unè bere ra.-rioscopL*t;';iiïri;;. iila ousqu,on esr pourtanr vigi-
lou... le malheureu_r. ir a même'pàsî, iiitàiirË un chéque au cardinal Danié-
En France. on héberee rï;;idiË.;;;;;ii; oüour'rËiiuî;;;.:,,,.
r'i"..ru p,"ïrà;;;h'.r" qui rair
; #l,*,"" ili: J ff ,r,"",*ï:";
- . p *à ii ,, a i,i' iu ;
:;
r iâ i. i ï,j"a."
ïiïàî ; "",,r,
Alors les quêtes, y nU a_ nf anliË l!l on sait pas
nous, on va chez Michet Hatte. parce qu; i;l:i-;;irl;;;;';iiË#,I où va notre pognon... Alors
quelque ch.ose en échange. donn"
Par exemple' pour 62 a.un joti gobelet
1i..9n
routine décrite dans le dernier de bois qui permet de faire ra
§r on est plus riche. et qu.onM;4.'--- donne 1Sl,2b frs. on.reçoir une jolie bougie.
cette bougie est arumée.'et
ment. elle se change en lait. ïi"Ëaà'ïLiîi?iri de prexigrasse, eË, instantané-
si on a 180 frs albrs c'est.r'extase : on reçoit deux grandes
attachées entre eres praques de verre
projeki contre res plàques ""r a"ser?iasùqr"i,'ài"iurt
É ;;;;;n"oisiË
choisir un. ïurià.-le jeu esr
essaye tout de suite en..sorranr de la Uoütüùu.pusré"- enrre res deux. Je
sur mon parebrise. er.j'ai jeæ te.-jeu ô;;;;. pfaça.,i È, al'llîptrqu.. 'a:
"r.
;p;àr.;:êi;;"iàtliiliri.
carte : ça a march'é du 1er coup. fout"ïiôi un.
veau, sauf une : la carre choisie, .urtes sont parties dans le cani-
l'essu ie-glasse., ju ste à. ""-;ôi;à;Lent sur mon pare-brise : sous
ô# à; l;;o;ï;-à;.Ë::l
r<ruano on achete. chez \{r6hgl Ha-tte- au
-oir"r.. on sait ou va notre pognon
c'est tout pour lii, po". sÀ i*iit;;'pfi'bîî'vacances, :
35 4.ru@.63
L74
,-FR§æffi
ffi r;ru"'ffiffi
. : :jE5 tuî,s{;trClË}i§ Q"Lif {}Fil [-Â MÂr§ {-;ÂL]''§l!: ÂllF{til'I
IL
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ii'érlnd r u M o n n a r k,t i,
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ttdiitt'x€ | or4ra 6p9 x3.rr,o,rtanes in.tranerris.
:É":: ". dillill] _ --È ,"y.o:i,* at; €în( ilrri fu,tattcui g?4 l pi p;à'""' '"
tû.lL
ra!ou:z ?t o!)çn,1e:
: - ''i -, -: IDAM . to ts; i.v )Li t. îcu chez.2 i] 000 f rs* t.v.ott
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. i: :;r,: ;éi*\-i " r
s.r e veûez.à.
'-: rilÂtu4 Prrisidtn-t dL ttrt:/; ,)rr,,,
uoî,ii" ,Ji,,,,"*rl;r,,l! i!î,:'i,ou, o*, aa
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Tous.speetacles:i{,ri,,-)r, ,r,,r,,,,..",?,'!jl,::r,'?y,,,r:?,:Ï){:f,.ï;,
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flar,, ,,1,'.. J'i-., ,i, 1 ir, r,]
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glûs billct r,ii' [_.anqr,rc r 5iiO F
rir p1u:,) i: un jolirnalisTe. \/or,rs
sr.cl-nd. cle s risealix à un iroisiernr: e.t <jcs r;rvfli(ippes
\ cLts einp*i:rtez. I paires 11'aiguilies à tri,"rotEr l) i;r 1',:ritnic .l,uri ;rurüiiut,,.
:z des {èuilles de panier iorrmai ;i ia taille riu biliet avec 1*s ciseliur vorr.
' .l:uiile de napier à -1 des journalisles et vous leur iieinanclez de l, piiei".n ,.leL»l^
ialte s avec le [-.ilir't.
. j^r-ll:J-s-Llre
: son papicr'dans une e nveroppe e t les e nveroppes, r,MFR{rNTi--ES
I \RQLIEES, sont rnélangées à votrc insu pâr un journalislj
, ;ioppe est ensuite enlilée_sur r-rne arguille â lricoter et chaque journaiiste en
L'opdrate ur scrr aiorsson briquet ct.
sans réllécirir, met le ieu à'tiois envelop-
- .r feu cst dreint, I'rnveloppc resTante cst ouvrrt. et elle contienï \,éntabie!rent
-runti.
iü , i'extraordinaire dans Çe Trlur, c'est que tout rst empnrnte et que pcLir se
.13 oil et sans cotlipèrc.
ça
. rus sais.bileux. je vous indrque la ntétl'rode c1ue.1"utilise.
': tlans i'ascenseur" vou\ emprr!ntez au lil'l.icr sdn cl-rinegontnre.
ell.in un pr.tit
.. ri iairc une petite br:ule que vous gardez sur l,inrjex.
,rs pliez le l-.illrrt en deux. vou-r laiss"^z la petile bouts 11s chinegonrnte dedans
et
::.2 i'e.nveloppe pendant que les autrcs font pareil. tiette.nuitnpp. Àt facile-
.rais,cable au toucher, car eile est plus dpaisse àt yackseluikilsekilsàÀ.
rr{irii
R
\
179
6
On comprenri arsément qu'au moment oir
on cnflle les envelr:ppes sur les aiguilles à
trtcoter. on repère OLI est celle qui con-
tient le billet. On laisse ensuitr. urr libre
choix aux jountalisTes et on mrt le ièu
ar.lx autrcs enveloppes. A la lirnite. on
pourrait même faire le tour lcs r.r_.ux ban-
de.. Le but tler airuillt's à trir'ot,lr. c(t (lLrc
le s,journalistes ne se bruie nt pas lcs rnains
ii la f in de i:r combustion r'!e I'e nve loppe ct
c'est un beau spectacle que ile 1es voir bras
tendus. tous bien en Iigne avec leur petite enveloppe qui tlarnbe.
on imagine_ deur rangic's syinétriques rle cinquantes iàumalistes rangés cle part et
r'scalier. tjclairant ainsi le prdsitlent cle l'afap, inaugurant I'ouvertuie du côngrès
teurs de corrgrès rriagiques....
Rt-ste évide-rnment le problèine dcs maisons qui n'ont pas d'ascensrur e1 dans lesqrie, .
peul pas emprunter son chinegonllne au liftier . là encore. ii v a un mo-ven rJà s.-
ddr:onçev1iin1 par sa facilité, boulevenant par solr efficacite il sLritlt lorsqu'ôn colle . .
pe_de mouiller la partie droite e r de ITAIRI SEMBLANT Dr MouILLER. LA pARr.:
CH.E. Bien appuyer le rabat et dc donner cette t'nveiopgre 1nrélanger ayce les.. r
enlonc;ant Ies aiguilles à travers les enveloppes. il est une nouvelle iois facile cll :,:
bonne. Comnte les jourrralistes sont, par esscnce rnênrc. des personnagcs très intci .,
c1u^i savent un peu tout faire (sinon ils leraient autre chose). il
v.,.., a àujours un ,.'
refaire I'e xpérience à un collègue après votre riépart. Comnie il'ne connait pas le 1:..-
fortes chances de se gourrer et r'est un truc dont on reltarle clans les rriclacti6ns.
DRIIIIIIING
- Allo ! Ici Sordilux. Bon je vous fais confiance. J'ai un truc pour vols au Casino ti:
.
nlais ce sera seulement une soirde unique, parce que linalernent ils vienne 1t d'e1i.-, -
pout le mois. mais je vous fais conllance. une tois sur place volls trollr,crcz bier,-_'
close-r-rp par-ci. par{à. Ft puis" le Tourluon, c'est rer:rpli âe viril}cs qui, elles. sont L- _ -1
pognon. Alors. un gran«1 garcon conlnie vous. Çâ clevralt pouvoir tenir le mois.
- mals.....
- bon. puisqtle vous étes d'accord. j'arrange tout et je vous envoie les contrats.
SalLri
CliqLre.
\,
\
I
180
n pitre
.)
I
LE
PETIT
fimor
.:t ainsi que (iontrand_partit p<ntr le Touquc.»t, aÿec soil cuclte-t,6/..\é,J g.r()J..r€,!
-iilettes et sott cdsque. Il fit le lraiet cl'une Traite ct c'est ver.s 6 lteures qtt'il àrriya a
;:tttel du Cal'ardoré où il at'aii relenu sa charnbre. C'était un vieil
ltôte! cotnnte il
'; ": L1 cottforT était un peu vétu.ste. mais le nruttre tt'hôrel l'appelait pat.s.)tt lottî.
ri " d'artistes descendaient là, car les chumbres éraiertr
r' -:tctt.trées par de gros r.icleau.r qui tombatertt iusqu au sr.tl,,o,,\'r.,itables', tes 1'enelr:is
t'!' ,Lt'à midi sans être réveillé-_par le lour. De plus,'on pttLtv,aitci1:àiri
qui fait qu'ru"pr,ùr,iit
un [etr cle'cuisitte
tt " '.':iort Jermait les veur...... Enfin, la façade'en elletiême
faiiait enco're illusion.
-
tttt
. tàiri racco*prg,iri ra ir^ àioiï,ii§ïi,,iî.ii,tli:iiirr'or;;;;;";;;;;;';;;ii;;Ort
": t€stdLtrdnt et fit ainsi la cannaissance des autres ciients. On élatt au début
tte l;été
, ', était.pas
.-
,lt-;+ ^,-^ complct.
-^----^l --- I -
Le t!
<1îner J.ut simple et copieur, cle la bonne cuisine de pertsir;n
'i' '- tluis il élait de coutume que le patritn soulta'ita lu bienyenue au nouvel arriyant
en
-' i Lttte bonne bouteille, que lout le moncle tenait boire autour de la mênte tabte À
',, -,iott. tr, ,,o,rrroirtririrr li'nir"ui',Jir,";;':iir',;,:r'i'lo'i'ri{fniii'#iiri;:,iT;ii,:i'r:, â
Ce soir là. on hésita cl'aborcl lortgternps pctur sa»oir à quoi ài
!?:lsZy*r:,.
.'.:,, quond I'ttn tles hî)tes, u! cartain Joseph Jammot, propasa un ieu qLti sà jouait
.trs ieux de lexicctn . ctn les rnélangeoit et oil tirait ai ha'sarcl cles consonttes
, tltacun devait, en L!tilisant les. lettr-es, fonner le mctt le plus long possible. etEtdes
ce
. t. rtqssiltnnynt, sauf p.our.le /ils cle Josàph Jammo!, te peiitArmaià, qui dér.larait
rrt iri l'entendre que le ieu était ittt'cuttple't et qu'il auLraiiJ'allu, pour contrebalancer,
' ,: r€uÿe ctvec des cltiffres pollr que les mathàux aient leur cliance (-otttre tes litté-
wrii,' -
': le monde dit au petit Armincl qu'il n'aL,ait
r'".,1 =ï ü_ÿel les garçon.s de son âge. te pètit Armand rieü:ompris et qu'il leroir nlie;x
prit uri ai, pincé'ù ai qi-i, i;;;-;
' :';,td. il organiserait un jeu fareil ei.que le morul', ,ntrq in'eittenctrart pàrtrir.. . . ,t
':'iefition lui permeftrait de ne plw.s
travailler qu'ut1 four sur d.ettr..'.. auis. t)'i
I tt pere, tu seras un gros'madaire Seul Gontrand
éclata de rire,les auÛes n'oÿaient
- .: I'astuce et.on lut obligé de leur erpriquel qu'un gros madâire ,'rrt J'irriieiil:rr]
iiii .' qui bosse à mi-temps. Bnn. Gontrand, à ce'jeu, si révéla lantentable'. 1fut bol
' - ; Ttartie. Il était touiours un peu malhabile tlans les gestes et les sentiers"qu'il ne
- ' .,rs Il.compensait, ce manqu.e ptlr une palience et utie applicution qui firtissaielt
.' €ur recompense do_ils une.adresse feinre que tout le monde admiraiî. i se promit
" '":
' c'tt quelques iours lc meilleur.a.ct et pensa qu'il pourrait peut-€Ûe utiliser tles
' :gie pour en venir à bout. Dëià u.nieu effer germait daits sa teîe ; si le leu prel"oiiii
: ' nleur nationale, il organiserair des tourùois tlans lesquels it jouerait à't'aviieü':
i", iiàr,à"r',"iîîài',J.-iit;;;";;;;ir;;ir','i,'iito
..rait_pa, sortir une eiv.etoppe,
' - Lttt huissier. Et puis, il donnerait deux ieux de cartes'à mélànger . un avec des
. rutre avec des vo)'elles,,er puis it ferait chctisir par des gens autànt cle vot,elles
et
.:.. jusqu'à 6 par,exemplc, pour que.ce ne.soit pas trop"rong puis res s;Tteriiàri,
je former avec les lettres tirées au hasard, le mot le plus tông possible
'- ùn, fais
:.. ot1 ouvrirait la grosse^enul!?pp*e, qui contiendrait"un cartài sur lequel te iol
" ' ,tt gros.... .
Quel bort effet .! .t [1 Gontrand sentait qu'il était sur le'point de le
.r .!
.i vtc.y^,u
prétexTa aurL
donc tttt
L.n rilut
rnal ue
de t(t( et tle
tête e[ ne sorralî
sortait plu,t
plu,s qu une jois
qu'une fois par jrtur pour
,-.tur. Puis il s'ent'ermait, tiroit cres prans, griffo,nant dàs desslis......
181
- txtp petit Puis il télëphona à la Maison BILLY. C'était la: .i
i$: fabriquc d.'appareils de magie , elle était sise au coin de lo rue clu sonuncrarcl J: ., :
"-el
canr'tes. I! clér'racha le combitté, attettdir I'opéraffice et, lentement, il épt:_
,.:i
3.5.4.1.3.6.3. Il eut Billy en pei\o?tne et lui demanda de luî expétlier une cenr:.-:
gëuntes.vierges, sur lesquelles il dessinerait par la .çuite de grorie, lettres à I't,,._,.
Eill.r' cherclta dans ses sîocks et lui affïrnru'que les carte:;ieraiettt exTtédiées,, rr:
Gontrand avair rotrlour,s.été fasciné par ta iapitlite de son service tl;expédiri . .:
qu'il les recevrait au plus tsrd le lentlemain.'il mit c,e temps ti profï'[ pctur:_
expérience. Il se mit à clterr:her des cr»nbinaisons de t'ot'elies eT de consorii-.;
tissaient à une .fonnation réduire tle ntors. l.e problernc resitlait dutts le
-r,, ..^.. .-n ^.- ^a ,r - - _, lair qt.
nombre
--,,*A-^ de to)'clles et.de consonnes ne pouvair pas ête prévu, trtuiiquc'r. :r1
annonç'aienl au fur et à ncsure "Vayella", "Cr.tnçonne", eic... ,i il ir rr,,, ,
aÿdnt si le mot aurait 6 voy,elles csu 5 vorelles et utle c()nsamme , oyl ,uiittr, . _
fies, ou -1 tolelle,ç et troi.\-cotlsonnes, ou deux vo.1,elle.s et quatri co)1sot11es. (:t, ...r:t
ct cinq_ consonnes. La seule chctse dont il ëtait sûr, t"es;t qu'il n'aurait pas 6 t-."-..
aittsi il est impossible de former un mo{. Il se mit tloni à chercher tles crtr...:..
laçon à abrsutir au minimum de mots possible et)ec onze l(ilres.
Et très »ite, il parvint à la solutiott suivante ;
OEIYOU et STRZX
Il suJfit cn effet tl'amener ces leTlres clans cet ordre poLtr arrit,er à un résultLt: :-,:
1) le spectateur cboisit 6 uoyelles : OEIyO{J
S_i
Le rnot le plus ktng est OUIE
2)Si le spectdteur cboisit 5 uoyelles plus une consonrres : OEtyO + S
Les mots les plus longs soni SOIE et OIES
ott poutait uussi écrire olsE, muis les noms propres ne sant pas retenus.
3)Si le spectateur cboisit 4 uoyelles, plus 2 consonres : OEIy + ST
Le mot lc plus long est TOISE (Os'tie étant un ilom pro2tre)
4lS.i le spectdteur cboisit 3 aoyelles et 3 consonnes : OEI + SIR
4 rttots pct.ssiblt's . SORTIE ORTIES et TOISER RATIES
5)Si le spectateur cboisit deux uoyelles et quatre consonDcs : OE + STRZ
Lr' tttttl lt' 1»111t 11111g cst . S'ORTL'Z
6) le spectateur cboisit une ooyelle et cinq consonnes
S_i : O + STRZX
Le tnor lt,pltts letng est . TORDS
Pour se reposer de son effort, il alluma une Gitane internationale ,la cigarette :,
ret'ortttai.ssart ts.. . ..
Il t,ut alrtrs I'itltie de grouper les mots à prétlire en trois groupes ;
a) OLTILISOIE et
TOISEIOIES
b,t SORTIIIIORTIES er TOISERIROTIES
c) SORTLZ er TORDS
t82
I
,,tne il verulait de grandes prédictions, il prit des enveloppes longues, ntais sans
.r,,i,r-rrn, e't àé:ioupaZ ,ortoit qui rentreraiànt iuste à l'intérieur-. Et atec un beau
@ i,,:,r'iii iirÀpe tlàns I'encre de ihine.... ancêtre du marqueur..... il écrit'it ;
..\.G
lertlafOX . Recto OUIE Yerso SOIE
bl ni,
2e CAÏITON ; Rectrt TOISE '- Yerso OIES
..-., 3e CARTAN ' Recto SORTIE - llerso ORTII:S
4e CARTOI| ' Recto TOISER - Verso ROTII'-S
v.4 ie CARTOiÿ . Recro SORTEZ
" 5e CART'ON . Rectl TO|<DS
u a cltttlue ccrlon dans unt ent.tlttppt
-;;;i
-t
;;;i'ii;i d, ptrru, ,ru ,*,,iàppes par s,oupe.s de.tle::x dttrt-c des"LttvL'Lap
,l,id'it"îit'i,iririi iroi t, bouT. Sur i'inrtiieui,tu )ubat rle l'ettreitt1tpt'!! ùl§rilltLl
ttoir 6II lr ou les tnoti qui :,t'trtil.tt:diarit dans les envela;tpc:; interttts ll etait
: in po..scrsio, tle trris giandr.s Lilv('l!'pl)t,ÿ de ibrmat 2] x 15 tt il cotnprit
qttc
,'t rïffouver, it lui laudraii Ltn mol'en ntnémotechnique
,,;"ioiiiiri ics y,i,etlrs L'une tles gran:-!e:; exycloppe.s L'art.t':tiaiî lts.mttt:; ) I ti
,.0 ,,rroit I'etn,eloppe J. ürte üutri, ciltitt't1ait les 4 mttts à "î t'aye!!ts' tt::'tntil
,. -. Lu Lleriliert COnt;nait l(s t?11)lS à tt, 5 et 6 v-o'i'tilc§, tt seroi t I'ent"i'lc1't7tr:.-1,
flt
,'.,.,rîo iOt, da gatt,,lte i clroite ilet,attt !ui, dans i'ovlre j, -1. -1. Mcig sott ilroblin;e
- t!ic{)r'e rcsoltt. lJien ittr, il autait puI nir, les tli'sséminer sur la scàne ttne tlartt un crtJ-
"
:tr L,tL cltu1se et u-tic pttlduc ,,i mais il ,;oulait ll7N!'it R quelclitc ciictse
.,..t I on.:otttiilettce à titrtis," /es t'r'r'e/irl L'i ies c{}r!s(}t111c5'
..' cle placer lr,s t"',is cu''ei"pi'tet dases un p!ï!e-{io{.1!r?1'enT:i. Jenndnt à tlt utt'i!
, "- i.iit s{}t{;!i.t{,Ltî avanr i;cxpt:iietzt:s e t r'ttra itlie lui Stlut. Il n'etsraiT altsrs. une J'iti:;
t,'l ,l;;ià sr,,rltir !d graniie'i1't1'{:li}ÿ{}{ t'o'r"rcsprincar''i {:u ilc'mbre d€ 1'{)'\'ellt's drttite..
-cli{}i-
_ , crivelçp7;t tle giutlie. "t l':rzvilitppe clu mili':.rt,.:!. ..î t;u {t I'tltrtelt;pnt: 'i:
f,lL &r'rr . t !ti.ér: di'coti-rtntirt,ta!! tr1ùr!!-LlrLL'u'ittL'ttîs ttt sl;.t;!, ou en pla-sllt;ue. iiu! s-'ouurirçiî
't:. ti)î?1!!1e ure pC;t.ltt!'!t:. Ct'!It itiir;iittr't eÜif itzlirCs:;arttC pür1{: qtt"ellc ÿ€.fii'tet- ii
..--rlrriio, la y.rafi{Je ey:ysiçtÿpe {t;t s!}tctttterir lwi-niine, aprës at'oir ùuÿer' le h{}tl
i1
'i, un portcfe_uille au..r"hattgc. ntais t:ela
,,),nuiac(r !'ett,)e!c,ppe t!tt ntili.eu par
'r.id.ëriibie*tent tu tifiie rl.t:,' t;ridirti'rsns eî ii 'rbantiûrtrtc !'idtt {l éuit près"
. .iL; ixçriti, il étçti jrtiau.: r l. Jl.'ri' ..il,L)iI lit L$î ÿ<:r;. il .:;'endormit Li ri';a ?tt'i!
:rL)tlC. le p/us Ôcr;lr t t lc nlits iùri '" ii
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)Bl,É.F.+
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183
..rÉrrr.,)
..-_-I l i
1 lal\ ât
furréuei.llé le lenclemain par Georges qlti, respectueltsemetrt, ltt.
"n)[;J^ïl -:t
It-' 0 .rnidi u.n caJ'é noir, un jus.d'csrange et cleux scramblecl egg: : .
t,ers
saucisses. Il poussa alars tous les reliefs du petit déieuner sui-!, , *
lavoho et, n'at'dnt alors plus.assez de place pour se layer, il tlûida cle passer .,..,:*. *
remil directenlent au rraiail dt, ta veitte'itÀïri t;it iri;otàii iiriii-qiritia.""' " '
Il opta deJinitivement pour la solution clu porte-docutnen"ts et tJis trois eilL'€. :
revint ou seul problème qu'il n'avait pas résolu : comment, s,'il .t,oulait dlnner:.
cartes à mélanger" amener les cartes nécessaires et dûns la bon ordre sur le: r:
paquets et au bon n1otneilt......
Il .ett était à. ce paint de sa rëverie, lorsque Georges, touicsurs lui, s'enquir s:. :
débarrasser le lavabo er prévint Monsieur,'par ra mérne occâsirtn, qu''r, pàquri .
-:-
à la réce.ption. c'était un paqLtet cle la mais<tn Billl'. Fostée:s l'a'r,eille,'lei car;.. ,
sontmairentent lavé et copiettsement aspergé d'aou rle toiletîe, il descendir pottr ,,:p
fut fastueux. Le cuisinier, qui venait de recevoir un nouÿeau livre je cui,siite . ... :
-
recetles de Tante Genevièue, avait tenu àl'essa1,er touî de suite et ce fut un
Jes::..,
Tête de veau au chocolat cltaud, rognons blanc tlu cheffff, tourte clti t.aillei ct,:.-,
t'dourt. Bref. un vrai rëgal.
Puiy, le repas achavé, on s'enquit polirnent de sa santë ; cela ne faisait-il pas :..._.:
qu'il n'dvait rtuittë la chuntbre ? Il n'était pas malade au tnoins ? i n'avait besr.,,,.
Il pou.vait _compter sur ses voisins......... c;est alors qu'il expliqua qu'il ovcit pa::. -..:
iournées dans une intense concentrdtian et qu'il'pensaii êire en mesure'de i;,.:
jours où il était en f'orme, quel serait le mat ie plus long.... on voutlrait bien..
Est-ce qu'il pourrait faire un essai ?
il aquiesça et repartit dans sa chambre chercher le matériel nécessaire.
184
rhapitre :l tffi.lh4[A
il il il il.T;l ;l il il il ;|il il
---r :r-! ii;l il il il
;l ;l i! îl ;l
,. ü: j iillllful
I= ; il tl îl il il lr-l ;l ïl il itîlil il ïl ïIilil ilil ;l
i .i;: La I revint bientôt avec son porte-document qu'il confia
: iliL''
;ilr0lll
',f
' à une rougissante jeune fille qui était arrivée la
/ll1lllll1,,
l ,frltlll
::=rroiselie Frodite, Gontrand de Fierjevole I Enchanté
lllllll
!
i if!'*
;,li:h-,r
iiüf/."
Lil[ilmrr
' : cnc mélanger séparément les voyelles et les consonnes et,
-i::nt,
-:-rnr ra{arma les
referma lac boites, no qui
l.rnitac ce orrt pour
nrri eut nntrr but
hrrt de
rlp rajouter
raintrfpr
; ."î. .t; ,fllllllllillil { : ::-ets de cartes et, ayant
avant attiré l'attention sur son support,
.i î i:'?ti1l/llllllllllli
'1i :''"Ill]ltllflrlllllllllll " ::manda de désigner les voyelles et les con§onnes. La com-
: it- slrr laquelle il était tombé était une des plus courantes :3voyelles et 3 ccnsonnes
!J-*ft -liîlllllliltutl
:: : donc l'enveloppe du milieu du porte-documents et la laissa bien en vue, pendant
- Jt' r| r,, :inrable assistance essayait de former un mot. On opta finalement pour le mot
, : - i. Alors, nonchalamment, Gontrand ouvrit la grande enveloppe et en extirpa
ilflrh,
'n. :r'!llll illllllllllfltfl '.; --es deux petites : celle qui se trouvait en haut. ll reposa la grande enveloppe sur
:4 liillil §4ûr lulillfllll't , .:':i docurnentset, après avoir tourné l'enveloppe longue du bon côté, il en sort!t le
ti'-: - 3t montra que la prédiction était exacte .... ll profita même de l'occasion pour
I ilL;:ililrlulr r,. -lntrer qu'avec les mêmes lettres ils auraient pu tout aussi- bien former d'autres
'U . ,,,'",,r,*-. - : i: cue c'était donc ENCORE PLUS FOHT l!!l
Éaï luillrù,
.l'le]l,' r,
I - @r
,,,
. -: fit grosse impression, tout l'hôtel en parla, puis le café en face de l'hôtel, puis
i&.,
rflfl,lllllllfltill'
,r -:'::and
de journaux, le boucher, qui l'était complètement ; et c'est ainsi que deux
I-liitrJtrulr ,iüililr
r. : : Js tard, Gontrand ne pouvait rnême plus aller uriner sans étre accaparé par quel-
,,,: :;-s-gêne qui lui demandaient des nouvelles de leur chat disparu trois jours plus
:1ü;r! ;iû)illllll]liltTrûrr :- nême s'il pourrait prédire le résultat de la loterie nationale. Lui leur répondait
.5it' TrlxHllrr ' "-' : -::lent :
: -: n'avez pas de nouvelles de votre fils, depuis 5 ans. Vous croyez qu'ii vous a
'g&ru iruun| ,,
;:r
-::-née.... mais non, il est mort, toutsimplement !Etlavieillepartaitrassurée.En
:{r û,u, : --s toute la ville le connaissait. On commencait même à lui attribuer des choses
L
- :,aitpasfaites. Bref, il grimpait au box-of{ice et cela n'était pas pour lui déplaire...
i.,"::.rt, il y avait lrma, elle n'avait pius de regard que pour lui. Elle avait une de ces
ti. ": :bscènes de baisser les yeux en rougissant qui laissait présager à Gontrand qu'il
: cienvenu d'essayer de tenter sa chance -...
"'.:,t donc de l'inviter à dîner ailleurs que dans l'hôtel, afin que les ragots qui
Jéjà bon train ne s'amplifiassent point. Gontrand acceptait les ragots quand
d'une élite, mais quand ils émanaient de la masse hélante du troupeau,
répugnaient ll le disalt lui-même:"je n'aime pas les ragots de mouton
' -: inviterait lrma, mais après son gala, car il savait par expérience que les garçonnes
r,,,, "
-: :écidé de se faire sauter ont une protendance à choisir sur la carte ce qu'il y a de
ft . ".- a'.
3s â 93eâAeeccc üeocQccecceaccccecccoc
185
§
('
§+
'{i
186
l3
- .:in.i la rassiura et lui dit qu'il ferait tout son pnssiLrie.
",::Dticement. ü chargea le haut de la rnèche d'un des cierges par une rnèche qni se
-::e ctr.tand on souffle riessus. prit quelques riôrceârrx de papier ei un gros cenririer.
i ré-,init sorr petit rnonde dans 1'arrière-salle llu restaurâni. il drsirihila un *:ierge :-i
-.. en donnant ceiui qui était truquê à Thérèse Ensuile. il den.randa à lous ies pari,i-
, :.: tle n()mmeI
:.. 0€l
tler nornmeï l€
nornmer prénorn qU
le pfeliuill
prénr:rn qu'ils auraieni vouiu
ub aulatctlL soigneusetnent, i.i
et,, stJiÈirttiuùtLrltirL,
vuulu çt'! '1
l'écrivii. sur un
r1'écrlvr
-.ets q'.i'il pliait en 4. Il en fit ajors choisir un par une main i,rrrr.rtrren.ie, l.rritia le:i
.. :; rlemanda à chacun cle souffler son cierge. 11 dépiia ie billet reÊtant *t h-r : Oi'lE-
-rallun:ra
: -.\ ,-:r mon:ent précis, ie cierge cie la personne qui avait énorrcé 1e prêncm se
-,ri[, I C'est urr signe du ciei dit Gontrand : ii faut l'appeler Ûnésime. Et l*ut-;: ia
': i:clile, cierges en main, s'érnut en direr:tion de 1'église 1a plus prothe.
.:.nt ces quelques adulte-o partir à la queue leu-leu aver: leur bougie éteinre"Gorrtratld
-:-nâ cinq hommes sur la scène, bien alignés, qui prennent chacun une bo'lgie
- 1.:. *.r'llll se
- ,::: iians un boca-i. Lu.i.yerrait bien iequel avaitia b,ougie truquée, reile qr"ri se raliume...
:ù1* * iil[]r -:...rrderait ies prénoms en cûmmenÇantpar lui. et c'est son prénom qri'ii écrirait cinq
a: : . :-:..iI[L , -: .es papiers. Ensuite. ii <iernanderait aux spectateurs de changer <le piace, enfin aux
-r lu i lilllii .-.1 etairni sur la scène. f;uis i1 ferait. choi.sir un ]:iiler. brûlerait les autres, ferait
.,li.L ,itLilL
. '.-' les baugies, ér'ioncer le prénorn restant et. à ce mcment précis, ia bougie du tvpe
'if,
" illll , -:rerait..... ça devrait laire un gros effei, sur scène. Lle plus. c'étaii publicltaire. il
.--. Iiler à chaque spectateur uoe pocheite ei'allumettes sur laquelle figurait sa
*:i:r* LlillllllL -...... brefffe, il était content et" redescendit vers la sa-ile de restaurant: prersc"rirne. Il
::E - lilrni ,-:..i le soii'-ià, en écoutân. Ia T.S"F.
r : ii 9il : dlü|, --,:lques réussiiæs et ii;rliait rronier quand son atkri:i,i*n liit altirée par de:; lrruit,s
-:s .le toutes sorkrs. La peiife troupe rentraji. lls éiaient tous lins heurrés, pire
-
a *'llÈ.. illlLllll
::: uri enterrernent et, À ies votr : cols durs déboutontés, vestes sur l'épaule. ven;re§
- pantaJons. cin ccmprenait que i'église n'avait p*s été leur seule escale. Pmdent
.. iies
+1 !Lliiill lnll à sa f+=rrnine qu'il l'avait, snrlie rlu ruisseau el, 1a iraitait de pr"lie. I-)t: son cÔté. *lie
-:
i.iliJii: û riil, - ::teit 1es quelques acti.,,ités qui a"*aieni permis à sa iiamille d* s'enricirir pendai:i. ia
* . :;inilis que Lôon, ie plus normaiement du mande. pissait par }a fente, da,ns la }-roil,e
- ::.s de i'hô""el. T'hérèse tenait à peine deL;c,ut et Gorriranrl dr-tt la remonlcr jusqu"à
: ."ie. Elle dégueula dans le i;idet et. dans ie môme geste. pissa sur ses bas.
- --:::a par,'i1t à sauver la face. {l'est etrle qui avait let gr-rsse. EIte ie tiraii dans un 1Ll
{I:;l[l]]lulti,,,, . .:: les flancs duquel on lisail llubo... Dubon... trlubi:nuet" Le gosse hurlaii ei." pixir
:sia"l . '- :-ire, c'n lui donna une petite rasade de calva"
"tilr ilr
*t: il(irrilruiiilLlltlllllli
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un peu et rajouter de l,eau froide, jusqu,à
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r,eau étair rrop chaude.l falat donc en fa;:r r
nônn, tr*pàrutrrr...
Enfin il s'y plongea, goûtant pendant quelques
minutes les plaisirs iaponais d.une eau brûlante. p*s
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rt .: -.Ersêii îur l* fsil q$û ics FrÉdisiisÉi§ *"0*;**t e*r!t*s À l'etuer* âvsË ?roissrai*s de ecu'
': :it *rii;arir**rles sraiss ds oouleür ; ii n'y *vait qu'un ::':agàcie* g:l-;*r *v*ir l'elF'iX ;t§el tsîai:i
: une rgiûæe ardeite aÿ** tï$is cra!r*s rie *sari**r di.ffÉr*ntr : qui vutui lIriF Fr*u'd*r'.'^.
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i ldmrni '.::rfer il* m*t*rtr:i sp*cixl l*urel *t rn *'*teit p,*-< dalts se* çqi*.... frlrçaç* pmLtr f*r§ag;e, at;l*iii
. ,Tlll , .s;r:bie per etjilitiæ* *æàrii+"....
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ilri llll*li :; :r gr*i:{ên:e pi:isqel'll axiste **q r*Êk::*qriâeiale peur r;rlier À* ilcler*}, !i $avait a'-:rtl :1r:"n ;;*l-:r
tffill"l ., I iàÈ. ii {r!i*it ;*rr**l'iis ips cl-:,i*;i qi* vsir-rr*. .. *i il s.; uit sia*ç t+l'r atçlir:. Fliisr i'rdtiitir''r :i:ir!ït.
l,rr:*$il . : : ::t :tês§*r i* tlltc3 : il av*i i u{c *tai is iel ÿr i$:iilr r iç+iu d t:u::lr *1.:ptiÉ'* airlir Pi:î;i!i *li'*
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I tfl rirfiill ü. lli{,, . ,'r der #*ua *St*s c*r ies §eÈ;ilôes étaier;c *{erlrç**s da:rs it he*t du h!*r l-"ar dsg rivets. li l*tiirrir;
h.ù.ram# lû]llffi Ir'l .. ::t:iei c*e arididi]il d'iltr côti. in 5ltÊlri*g:i ';|!i:ils-L!c§ *r:r'iir'ir'tç, *1 ** !'iin-*iltct*; ie *i*e 't'; tr-';r
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'I|.àr ti 1ill|l/üïi , -i eiin qir'i!* çer*foâ*r:l di§fcre*f; au î*i-!u,ier d* *$**ïaqr*r v:;l*nta:re. i§ e*i.tËireit l'*utre e*t,ii
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rniiir ; ;.-: *i!fâren*. il rntt4ts'*r*itsss fu;§l*rt§, !er r*griar+tai?l{ant l* p*rt*ttlurïie *1 aïstiriliT ceÈ*i-ei eü*lr:
'tr": flt ltilt lmtl .:.:iê:-ràrr, ers silv{&ftt *s !'a*tra **té. §i l;.si cie*Te!*de!*it d* snrlÉt l'iin de: foillett rà i'aue'xgT*tte, rle
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r:f .-* : lfirfffiItl ltrtl :-: .tele, i{ Èui fæâlait i:$e trêiy}ê : en deriderait d'a*n t*yarye" d'un* {s§le ***apatl+. *:i *h$isirait [*
Pit îi - ]ilI tilü$Tlû ..,:ltle,gamtarquedet'*uialrlr*hilap*;.rrs'yie$drs,tas*rircod'*r6*:rrtàempor!*r*tl*p*çsei**x
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'lra.,'€,t-t'ni;rsçrs'
dss;:7§flua.fiü''r'9 ütl"-'8trve!i)!7i)'
la sr:r;:i:re i'ur'l ilii!iiai't 'it
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[]u{Ël l[
r;ie surscsne et peut-r';tre vi" r'cecrureu ' *'nrç"i§u;l'il
Les prenières
combi* m*ntle vrtu!ait iouer"
::,t'à neaf heures, la sa!!e titait :o*:t.'
uniqur'trriri*r, qui aitrai! la chance tlt
;. eurflnt pour hut de sélectiontter tiri
. i,,-fie et !e grand mÇrfiefit' catnrnetl';a'
ru[t0' îll
s'embc;i{er à rnaitié tians
âüûrmuril trauvaient 6 grands verres. {)es v*rres pauveiettt
..:)crt se
*e,+ ''enagés à cet e{fet'
de /'alphs$ef'
,.:2 v€{t"8 se trauvait ufie !eit!'e
tE- ;ltüuï mm, thez Davidtt{{'
q.uetiltjî5 t;igares ûes ÿ{aLit-Brio* de
rul :';rrtiet verre, Gontftrïld p!âca
-=,-;ri. plaque
r: mü[ un stylo plune ar, .rsr' rie chine
'-: siàne, un ltrique{, i'lu"au et en Jastte
fttar"{i'ue
'liu''i ü" t'u'il ;*','t*; da-ç la salte céclara r:r'8 lPs
.:'iqme, ün ccttter 'u"'"'u'"''l'' frarics'
u,ï ., ._,t treies et estir.r;a *";;;'i';:
{*iiiri r;tiusieurs dizaines t!ç n'tilie et it tira st:r la Salrtn'bank
ou"'"i'"t'i' "" ç6rite't ii"
f - e tir:quir*uckeq"" 'irqi'i it sartil ttr re!evé
!!s.î'lul[
- : : itietrt), u' ar"i aàc itc; f:'::::ii;'i'i'ti"' Pttts
': patti
eu spectateür
':,i::;;,'ir'i{§iîJ,îiii'r-u::i.,i:{.;:;'iiiÏi, " dernanda 'l;ne
. ,unrt ' Juste une Pièce !
'A'f
pa( unr' !8tt'"e
*t thaqt'te verrs étail symbolise
cût)tenait tlçnc quelque chçse
t r.
trtrErelr 'r i nH
191
x8
ous atlsz devair, au t!épart cle l'expértence, placer ces verres à vatre ccn,,:-,
changer autant cie fais que vaus voulez et donc placer n'intporte quel c: :- t
{
n'importe quel lettre. Ensuite, nous ouvi'irons l'envelappe. Ëlle contient cles ins!,-_
i
vaus feront permuter ia place cles objeTs. De temps à autre, vous clevrez me renc-.
objetsjusqu,àcegu,iln,enresteplusqu,un.Cedernierobfetvousappartiendra,,,
pttisse être et, d'avance, je vous scuhaite hrsnne chance......
La salle retenait san souffle. Le spectateur changea la place rle quelques objets pt :
remit l'enveloppe à Gontrand qui la ctécacheta et en sortit une feuilte de papier :-
à l'huissier"
Celui'ci se placa devant le micraphone et iut lenlement les instructions, taficlis qua :
teur les exécutait : changez le briquet avec le collier, le collier avec {e stylo, et -:-
l'objet qui se trauve à la lettre r. c'était le styla.... changez le rnillian avec l'i,- :
abiets qui se trauvent soir â sa draite, soit d sa gauclte..... changez lc collier et :€ :-
rendez-m oi A. etc... ".. ll q
^,
\U,,
Le suspense allait croissant. Bientôt i! ne restait plus que deux ahjets en liste : le: :
et le million. Rendez-moi..... il y eut un saspense".".. le spectateur se voyait déla r-
et l'huissier poursuivit""... l'objet qui se trai.tve à la lettre c...... c'était le miltion... :
teur restait avec sa ntise de départ....". et la salte éclata en apytlaudissernents. c,éta : : _
tl n'y avait que le spectateur tlui étaii un peu rnaussade, mais, cornme leur dit Go-:-.
ea conclusian, sl c'était moi qui avait perdu.... vüus auriez tous été un peu décu :- 1ti.
Gantrand avait taut ramené dans sa lage où lrma I'attentlait. Et le miracle se pr.:- r ,1lL
se jeta à san cau, eile voulait diner dvec lui, ils iraient c!îner ensemtsle.
l
Ce qui fat dit fut fait et ils passèrent ensemble une nuit inctubliable. Gontrand ave : :â
,,il i
costume ele scène tetlernent il était pressé et il s'était dit qu'il repren,Jrait san me:.- :.,
demain. Dans son délire, il avaua même à trma gue I'expérience. q;re l'icltje n'éta :::_ ll,
elle était d'un Américain nantmé rPaul
tt't ttv!tilltÇ clJfrRYt Ltut
aLtt Çu,1rt qui ttn'en avait tdtL
trt, dvdtt qu'un
fait qu truc de c;.::"-.1.
uu l{uL.Ge ctc::".- ïul
peut-être bien voir le parti publicitaire que I'on pouvait en tirer sur scene..". Bref , ]iiui iillh,.
'illllr
.
li fut pris ri'une immense amertume et se demanda ce qu'il pourrait faire: il 11't. :,i -
faire-... au si peu. c'est alors que sün regard tomba sur !'exernplaire de le revue';F, --
qui traînait sur ia courte-painte. ll allait leur écrire, décrire l'expérience et racon:.- ;
venture afin qu'elle serve de lecon. C'est ainsi que plusieurs iours plus tard les ré:z:
"Folle'magie" trouvèrent sur leur bureau une importante envefoppe" san conten.- ::a; :
fient importanî qu'ils dét:iderent de passer !'article.
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L'effet y était décrit dans son tntégralité, et suivaient plusieurs feitilles d'explicatic-
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n/r .ilfitililliilfiir't
.-rrfd Jlü§nlrli
, hrillant ami. C. de i'IERIE- enlever la première instrr-rction.
.-L. t,rtriottr: egal i ltti-ntente. urc.' Si le nrillion est placé en B D F'. il n'y a
, rismffi ffiil, :r't con lui connait. tloes it again. I1 rien à faire.
-,:. for the magic liaternity. un r.le tJne éturle détail1ée des inslructit)ns per-
:,r,js personncls. dont l'tntérft est met de ntieux conrrlrendre :
No62
193
''l:',.;' l
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. ::-r
l:rt : 1;'l f.i::: 1.:,1;.' I
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i r--l r-
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lors, une fols so rogne passée, une fojs so
lettre expédiée, Gontrand porto plo,_:t
le principe r/ opprit qu'rrmo étoit bien ,onnue
u.ne
c'e, services de porice et sous
s?rte de fichter des endrotts à to morte,
- c
i,r:r":,!::'r",:,:.:,?:u,rrn
,:li:":.:11.e et
des
vutnérobtes. E,e tr,rr,iii"rr'*,r'r;li';riitr':,_
ç;-.
tuseoit
,1u'1r.te
etle décrociatt t" s,,, tot-'. .- L:,)L,i,,,i,,'';",;:;:,,i:',i,i;,-
?::::::: ,i:"?':
surnommée /bmonte à:',: !"."'
/istes.......
Gontrand se dlt alors qu'il fo/lait se remettre lmmédiatemenrau ffovall. lln,ovoit
pour subsister et plus beoucous : ;"
ses économies devarent aider rrma
à se ro courer cro,ce, sous rr;;;;:;;;ï..-
dessinoundindan.euet oeuilefais,pensait_it
::: ,:ri;::;rdelofarceet,machtnotementit .tE:.. -.
connoissoit,
connûiss1il, m0is uur» te leu' tl exécutoit une corte à -;
n'essoyoit pn
mqis n,es.savnit e, nt,.t,n
ouéun ,r, .t^ t- _-^. ter""'
--. aiü'riirîrtttc "r"æ
doit même qiii il-rïiii àans t,étui. il donnoit mêne le ieu a *aioisr, ..
-
Puis' i/ sortait son cornet en disant
; «i'oi un omi qui possède un don extraardinaire.
,"i,ïrtiii,ir.Ti tetephonez. D,oi,eurs, !l vo de: _--
rar ii'ri:r'rr.tro. vorlsiipei)iïni,nl,r t R,tNÇa,: ..
Et, blen sur, it affubtait Mot
correspondont à la carte cholsie.
4tnn*!
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e rclëphone sonnoit ;
Ï :
-lltz_ , Allo, ie voudrais porler à Monsieur Fronçois Machin,
- .Ne quittez pos, ie vois le chercher..... en fait, il outrzit son cornet qui étoit en perfionence
près du téléphone et cherchoit le nom de la corte qui correspondait cu prénom de François...-.
,'t . -'tis, c'étoit un peu plus difficile :
: ;,oudrais parler à Monsieur Mochin.
u"rr .'. cu le fils ?
'Lrr . . :110chin......
:'\!', :'-)?, un spectoteur incrédule demandait à recommencer l'expérience pendont que Machin étoit au
';-t-là, Gontrond forçoit à une des personnes de I'ossistance une corte dont ils ovaient convenu à
,r :; tout le monde n'y voyalt que du feu.
. :.ec lu yente de ce tru{, eui une rentrée d'orgent substontielle et redéntarra en trombe. ll pensait
i -'. ie truc à la Maison Billy. Pour en retrouver I'odresse, ll reprit lo revue «Folle Magie» et il tombo
| ' :: :€ lnnonce : «L'immonde Merlin venait de rééditer ses fiotes de cordes et même d'aiouter un
nr, ':-:e à lo série. Ce torne, qui ne contenait que des nouveautés, ne c.oûtoit que 60Frs.Gontrondse
ir r .:- i une offaire et envoyo un mondot B rue Béranger, ofin de les recevoir pdr retour du c'ourrier :
iri - tde idéole, il était en vdcances, il auroit le temps de les étudler à fond........
5 llllilllllir
8Hryli]lt[ililll
;)§ iltr
:]EIIYIH PARLI 11
.=; cordomanes ! Le troisième tome de mes lectures
::r-1r. Entièrement réalisé dans le même style que 1es
' : avec des dessins de Hodges, vous y trouverez une
r " ::jets nouveaux : une double corde grandissante, un
ur' r- - :1te au bluff, une multiple corde coupée et I'enclavage
- :, age de deux ânneaux de cordes non truqués, ainsi
. ::'-rnois de corde.
OG rRI
ErlPMIffE BIDICRûE OrlII t'fluTtuR
û[jE BIRRIIGTR OOI/O BffOilGIIT
197
i«]
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inat
Â(p^ t c'est pourquoi, par une belle après'midi, il serenditchez Billy. Fière'
lll tN\/) ment situé à l'angle de la rue du Sommerard et de la rue des Carmes, le
L- i : magasin avait fière allure. On y trouvait tout le matériel classique e:
\,î\- mê'me de temps à autre quelques nouveautés en nombre restreint qui ne
.1
,ti
il se trouvaient pas sur le catalogue. C'est pourguoi, tous les vrais amoureux de magie en'
traient voir, dès qu'ils passaient aux alentours, s'il n'y avait "rien de neuf"...
Et c'est ce que fit Gontrand. A sa grande stupÉfaction, on démontrait'là une machine
parlante,
'la le rotogratophone. Et de plus c'était un tour de mentalisme. La prédiction de
carte choisie était enregistrée sur un disque que l'on tournait à la main. Le taut étati
!éger, rnaniable, et se rep!iait pour le voyage. L'invent"eur en était un certain DURATY
qui monnayait l'apparei! pour la somrne dérisoire de frs 65,- Aussitôt, Gontrand se
porta acquéreur de l'engin et comme il lui restait cinq francs de monnaie, il demanda
pour
'l! faire un gag s'il y avait des tours à 5 frs....
y en a même-à 4 frs : tui répondit soeur Anne, la vendeuse en chef , ainsi nommée
pa'rce
'les qu'elle était toujours vêtue de noir et que c'est elle qui, la première, voyait vent'
ctiènts.... Nous avons une nouveauté loufoque qui ptaft dans les salons et qui n:
coûte, accrochez-vaus, que QUATRE F R,4NCS. Ce tour a pour mm "Select Degueulls"
ou les rubans à la bouche : l'apérateur mange n'importe quai et, hop ! il se met à
vornir un artistique entrelas de papiers de soie de couleur et, pour peu qu'on plombe
le boul, ça se déroule tout seul en sartanl de la bouche. L'ensemble a 6 mètres cie
long et au moins 5 couleurs différentes. Pour 4 francs, vraiement c'est une trauvaille.
C'eit moins cher qu'une bouteille de vin du postillon et le dégueulis est bien plu:
beau... C'est comme qui dirait la différence qu'il y a entre une télé en noir et une e.
couleur. Vamir en scène, OUI ! mais pas n'imparte quoi.....
En sortant, il fut hélé par une cartomantienne qui voulait lui prédire son avenir contre
quelques pièces. ll l'envoya promener, mais curteusernent,.la vieitle s'accro-cha, lu
àemanda l'aumône : qu'as-tu à me prédire de si rmportant, à moi, un mentaliste ? Ta
propre mort, tui dit-etle. Auand le cog aura chanté trois fois, tu auras cessé d'exister'.
Tu dérailtes, ta vieille, dit-il en la bausculant; et il reprit le chemin de chez lui. Eier
sûr, il ne croyait pas à !a prédiction" mais ce qui I'ennuyait, c'est que sa concierge ava':
un coq".. Alors, subrepticement, il entra dans le poulailler et lui tordit le cou... Le ler-
demain, dimanche" il fut réveillé par la radio. Cela l'étonna car il ne se souvenait pas.
l'avoir branchée... Un imitateur singeait Sheila et c'était agaçant. Comme tes aud''
teurs avaient beaucoup téléphoné, on passa un autre disque de l'imitateur, dars
lequet il parociiait Dalida : c'était à la limite du soutenable. Auand enfin, il ento''
na une chanson de Mireille Mathieu, Gontrand trépassa d'un coup, sans souffrt'-
Yves Lecoq venait de chanter pour la troisième fois...
198
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croix. Sur le ütema-, une .{i;5e"iï'.'iïË'ffi
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ce pôle. -r indique i,eripiacement
de
Montez les résistances.
Ë i riË1i::iiliî:n'*::" "Ii:11"n t so i n qu
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ii';,i#liili
1, 9'e",u d" Ë il iË :,' nà o-'""r o
[
'irh,5iüiî*lffiffi
11
ce que les transistors ne châ,,f+â-+:-^ - , 1"1§=l
--.--upltsso. Attention à
r' ü
r 4).
iri|ri: :
- Un interrupteur peutêtre branché sur um fil d,alimentation
nil il:rn à faclliter la mise en marche ou l,arrêt du clignotant. {fig.
I ::,r la ten:ion des ieds : 2 vdts, lS mA, eonvie-nt tout ausii
C
f
r#
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ruiliii :t€ vous reste plus qu'à copier le dessin de la petite lapine
*:,: æs vous a mitonné avec le talent qui lui est
luu couturnier et,
iflflfl : r !'appareil en place, il ne vous reste plus qu,à entrer en
iûmrr "
-es myopes s'qprocheront de vous. profitez+n. euant
ilrluii ;-xrytes.,". elles vous verront arriver de loin, mais tre lg
ûiim rq!- ias : elle* ont aussi lanrs charmee..,.. suile page I
201
vÀn, IArIoIf-:Æ
,g,Ü;, TT ô
?ËAIrT
p[§[il
[r T
Il I ru
est une routine bien q'"r
dans laquelle
l,no,,i
-* oeuf.
{n,tn*À en
un foulard ^ debrne.ens_uite le ffuconeilr7;\;
"1r?!y,
^^_.r On--":::' '*qu(tte fi?:
4:tt
aue tl'oeuf
que
ruÉ --,
ueuJ est -_^1.-.
creux
creiux :
; on refait
refait alors l,expérience
.est
contbndrc le pablic. on ,casse l.oeuf dans un
i:
rtnnc n-et^ )ouUii,
_^-.-: ui oette....
oene... ErE:
* "*#i
dani
^cette
::ttiitî:::,,,
:
Ti ii f: yo;,e
i m b t e !,e,;t; i,"lx;;:,i;; r:ii iri,,:;
1 ; ei iTL,,,
:
ta1tp*seitàiln* "i,
L'::,f
zür*'ü:i,;;;!;i,;,i::Ë,i,ii:,1:;,r:,;,ibî,f
"ài"iË, "*o
I'u.!i!ke un oeuf creux
co^tté"e.dessui7,;;;,;;l,il,il::r'î:"f
oeu7, te monffe le ::,:,5,i#:îi,
me lors :
*au, j,explique ,tiiii-i]rir r* o
On utilise
/.....) ,
202
E.
:'iÀ.4ï/Glir:
i-i crc&x e§{ recouveËi ri'un foerXart{ *t plâe* d:tns le
:. ': à tl+uf. I-'oeuf Yérit&tlle e§t plêeé à *rité, pâ§titrXrl ndlire
',r*é{ateur. [,e second foularè est pl*Ùé *ians ]* p*ch.r:
,. i* ?eston {fïg.5}.
- I l.\.I i
h}\
. -:z !â Lroite â oeuf. &fôntrez le véritable ûeuf en {iÊc'h*nt al
'-..,ir uut ia pastil{e svec le pouce dri}it et $lacer l'(}r:{!f' *
,r." -: i:ocfue où §e tr{}uve le t'outrard. f
T'
t
lez êlor§ de faine ü{r voyage et tr'Ënsf,§rmez ie fortl*'rel
l'ry, ;-li et ressûrtez le fouiarà i{e tre pocire en dis;rnt que trE§
ti
t)n
r
.'.
rbjrts l:ttÉ chângé de place,. Gflaev de reed]l1lnlente'
ie nc*.
;\1 .r'r' l'{ieiÈt
h--'l iÈDi,icez le ioulard d'**s l* Prtehe 'JF<liLe ' ÿilcimt§eÀ
-r
. _1 ;-,,- ljJlriiilt"e
-r :rforffieE-le en foulard."..
L-- j, 1liîlitülll -ireneer à débiner le t:uc en disal}i :
lA,a' "- lJilltllf ': ::r. p&xli' faire ce tr1àcr, ii faut.usl n415ftleuaiâ:ne
çvc:urx {rno*tà?z'
f*mirr*
.i ; i14t1tÉllltl
, , -itii:r t'ouiards {vous s*rtez altlrs tre
-:' l; : -lChe-..i,
,i*: -i,. r'fllllllilltfrirf
x.w j "..-. t:tTlulit lii& ,.. .;t 13 puirlie récupéler dr"trX seî'findes pui'! c{ilYlmeÊÎ+r
:: i. ". rlillillllllll*|il -, :\pii;âtÀ{.!t!, eit assuranf â v*tre puk'rlic i1u'il §i}rÈrâ dtl
r."i : ,i ,;5r " i^rihatlt faire l'expérience'..'
;rr'-
"
- ,le cermn:encer, .ie place secrêterâ'Pefii çe fE:slaril d*:ls
r -:i'L+ droite et .i';xJiibe un fo*lard e;. ur: oeil{ {v;;lr:r
!:* r : 1.,. lllilllfil]hliiil r ' -:. I'*e*f cceux *t le folri*rd). Fuis j* Ëais:*s;:ii[an9 é*
; :-.;:r "îtuÎ !ilr "' l'+eul Eïaxs ia P{}ehe me!§, e*r ne*â}r:é, je i* Ê'sr'le i"lft-l
';l * r .iiillBliliiillllÉ' -. r.}§.ais ç4, glersonfie lle !e §âit..."' (voirs ie faite: s'ans
-:iisier sur tra ilsiir:n d'empanmage..., glÊri{}ui si vi;us
, - : routine de boules atrlres.-.').
*'1j !: "il, .; llil1fi!ili - -... reste i]liis qu'à renker ie faulxr* clans l'oer;f *â À
LJ Li "r.",:"r iriilllllllil{r
-.' - " ,. *;I*; rlllü(llll
r --.i ic seconri foulsrei d* i:l pr-ir-:he.... {vous !e f,aites""
. : :.:lie rit bêternent"...)
,:': "i*. Y lülll,'
| ! ;. ,r rilüilftül I - -: !'{iÀl§ âYex ct}finpri§, je vxis mairlterÏasrt voug rflL}&tr':r
!r *a;* .iliill,llllllli illlt' ï::Ênee invers*. 3e replaee le fi;lllard dans la prlehe *T
t* i ü -"-t ü,' ülr ,Uil +uf dans la rnaiv:. J* transfomne tr"oeuf en for:lxrrl
. , rrtez le ftluletd de I'oeuf et !e ptlhlic r.if de 5rh:s en
r :t lement).
.l i;i 1". ',,Jll,"ri Ûlr
1*iü/ . "' "l,iliùilllllllllllr dlr
.. . iau{ un pe{! d'irabitelé : je <I:"epe lo. fo§lsrd §{'!i !'i1â
:rg 6l e{, sûu§ eouvert de celui-ei, je. larsse torrltær:
:ùe j'artrape en main droàte (fig. ?i ; je pltrnge c*Éte
,ltt ndff eI
204
r..ienrrrBinterxanti'oeufifîgt4i-e{'dansu*rnemtr
,.fiieltt. ln main ga$che retàume -!e grrbelet fond eçr
: jI:É" ._ lllilÛ,
cs:.:J*a iltlu,
3: q -- *Slii
lh-
eî "1{Ê ; lilllllllllfillüI
S ,e ,: -- flttllü,
!_l _ _.i
'-Tlg\É: *.Jrtl §'
t"t-L. :,'t x,Uittli'*çltl
.{ ;û: - : :i,[lll{,l1il*Y'-' ii
i ;-13r ç -. , **ttttllür'
il
llüllL
æmr
2t5
I
Et d'ailleurs, à propos d'oeuf dur, la routine de I'oeui
Ioulard peut.aussi se terminer avec un oeuf dur qu,on éc
car, en certqines circonstances dans lesquelles on est ob
d'apporter oeuf, et ii[:r
_son de. confier ses Uâgages â la §NCF
E
pe-ut se revéler une sage précaution... et i;f;it
d,écaler l.
lâtt aussi un bon effet car. ce qui importe avant tout, c.e
.1""Ë;;.-.il;àili1Ë;r';J,?:ii;iüï,i;,i',i;ffi
I1, j9.t",,
un
poche, ,perir-sac,de plastique kansparent de ru
placez-l'oeuf dedans èt remettez_I" â rn specrâE
ProfTtez de l'occasion pour lui emprunter l0 f.un*
donnez-lui un coin en souvenir et faiies fe UruËt dans l.r
dur : c'est plus propre que dans Ie citron .u. if r;ÿ, po
1us......
I-e principe est rigoureusement le méme que la carte dr
cigarette ou tout autre tour similaire. Seüt I'oeuf Our a
une. petite prép-aration : vous avez enlevé propremen:
petite^ calotte (fig.22)
pç.rrc- çalotle \rr9. zz) et, âvec un couteau fin.
fin, vous av
arel
une fente dans l'oeuf. Vous avez alors intàduit le
roulé à l'ir-ltéri^e_ur et replacé la petite calotte âyec un pel
colle...... II suffit ensuite de couper I'oeuf par le milieu u
retrouver Ie billet..."..
* 4â8oâufs
- 314 de litre d'eau
- 1 112 cuillêrc à soupe de sel fin
- 33 sachets de thé noir
- cuillêres â soupe de sauce soja
--
l^cuill§rcs â caf,é d'épices au 5 parfurns
- l0 clous de girofle
Faites_durcir les oeufs, puis plongez{es dans I'eau fi
Avec le dos d'une cuillêie, Aonneà de petits coups
sur la coque afin de les lézarder, rnais ne les écalez pas_F.s
Mettez les oeufs fêlés dans une casserole avec les aurrei
dients et-portez à ébullition Laissez bouillii dot,".*"*
heure et laissez mariner toute une nuit.
A I'apéritif, c'est sensationnel et puis les gens se den
comment vous avez obtenu les marbrures sur Ies o
(
$lors-. e1 étendant le procédé, une fois les oeufs cinru
lleu de.frapper l^es coquilles avec une cuillêre, percez-ier
une épingle
9e façon â former le nom a'une !àrte ,fr§.
v, La suite coule de source : forcez la carte, écalez I.oe_:-
é -z
lfirt
[f$
7 I
<-/ lre
lü!r[
I \-,
xr0llE
" $r'
206
.:k-, -
: - i - *1. :ner developpemefit$ wr le »etit iapi*
:chéna que Üidier Üupré vaus a faurnlr eSr «,q sehdr:ra s'e ^5ase. ll esf breri certain
t\ -I :, i-,r,les plus irnaginatifs d'entre-vtus auroni à c*eitr cie petlecÙ*ttner *t qÊ se sen"tr des
fl: r §ctur rtiv*ts eifets ntagiql",es. ÿc;cr'qr;eiEurs pcssr$i/,'fds qui s*rit i*s
in*p*,
." : a llL
: -iclres $ui n'aus {icnt vefit!ë§ à !"eS{t,*it, en ne dçutar}f Â}ê.{: {,r.ie ÿ'0{Js ei? trçttverez d*
!É - rfr " ar€uses aütr?$.
;Ë.r- *
,-& -.
;,.il:iis È+
I I :.,11 Ïll
ili.
les wEwæs** seàEæs
1:rr;quez une pÈliTe trtate
effiæe#w
tlui conti€rt l'enÉercbiq
:t:"crle ?i s!r le couveltle de lâquellc vôus des§iie;
;-i :e fiDrl. Au l;eu de relier béiÈnû§l i'ui de: til.!
:-i .: ,,,r,lllllltl : : ê pile à un intÊ[rüFtesr, yôu§ le râliêe à un i!-§.
|-r31" .,llillL : =ce? lri 3imâut §ûüs rûtTe taFis. VÛLls dlrtii
,i l{î - .,llLL
:. :lrriis de pê*ier à riiverses pârsarnâT â
-; cÉ;rrmd+z d'écrire le \isrts
nenr d'une per-
:l É -rliLlllxlÏl i ijfaitt* de sür choilr. rjsF!]az uî,
*: :r'.. li0 ::::irr È uire ,utre pera*ane -'t iili d3-
- i'*ç;ria ciesslts le qçn d'iin*: iier§nrnâ'
:.. "[* - ll
tar ,-,oire L)üi'lê til{lgsus de cnaque pâFtBr. ulJa4o *
:: a!-cèssus de l'*imaii, lâ téts du mûrt iii{,:Èûtt-' É'
fli "
ûllll tllll!..
ffiffi§ruB§.".m§§Ke
Vc"us riissirnuier pii* 4t Êl$ntêÇe clanç une
sûrtÊ rJe giissière qui est légèren:ent ptr-rs large
qu'une eart* et qul ennrporte un eL}ntâct §ur
ie côté. ainsi qi:e d*s lampes sur la dessus"
rltlus faites choisir un* ciirte que vÉu§ cofi-
t'sit 'i''"'l llüü 8^ trôlez : la 5e ctr Se du dessus. Vaus passez les
-.]" premières cârte§ i:!u je!r sans appuyer sur
in
,i,Ë:t, :uI[. lLLLtüfll]llllt
rmllllil ]lfiiüirillllll
a:sa.{üi,lu
I nrr ,*Liilit ,l
TABmAtnffif§'f nâ{
;l{.l,xi- llllllLr-
247
10
DETECTEUR DE CIRCUIT
Vous placez le mécanisrne dans une petite boîte,
décorée à votre choix avec un c-
iillî,1."1,."::,^_djlT::il,y::
et
g h^.i1. Li .JÀ,iàtt u*" rà prrà,itËàiiàjsrace a .-
vous avez un aimant sous.votre tapis de taOle.
.,,:i::,:,,::J:'.q:?::,:f Vous pr;;^i;;;;;r;i;rir";
vôui pü".1 ,otru p.îir" b-.î;; i'Ë;o;" de
su r te ci rcu it et et te s,a 11t1s,i1et
u me à chaque bJ" ;;;;i;;irË;*;
I I
;"Ë;;; ; JËff: ,:'ar:n
"ffi
I
oIIOIilT.o.e.... Olrtr
LE SERPENT ELECTRONIOUE
Vous cachez le mécanisme dans un petit papi:.
ture et vous roulez les deux fils en'sembie-àt-.r,_
lovez de façon qu'ils fassent .oÀrn" ,n-r..-..:
pourrait sortir en se délovant O,un paniàr àt
::r,,.m
deux leds représentent les yeux.
Vous avez.également une ietite flûte, genre
gosse et plusieurs cartes sur lesquelles-re
c ata
tro.,=*
j^?iiir- r] facites à jouer :.évirer par exemp
lif, Dourcton ou du quatrième É
ou impromptu... Vc_:s
a.lors les airs un par un sur la flûte
"t
à iâir.
dant à la carte choisie, les yeux Ou serpeni
t.
s,à,-
snaHetre
H
L'ALCOOTESTELECTRONTouE
ul,
g! V-ous
,avez une. carte qui représente ç.
rhl oonr te nez a été remplacé par un ied. :
t verres. contiennent diüers", LËirlonu"l
arcootisées et. cerraines non .._
L .t"oàiiiger.-r
fois la carte "poivror,; prriu *tlïus
c __
- contenanrde t,atcool.-te;;;;,rjir;î
G,
=
-
-
208
T!B
É1
æ5 AirP: ûMlt
C Ar:llllltllflflfl
rgJ: ::Lirülll.
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È-3;reg"*r 16P 2o-
1g6,e * Mlllll
- l:r-§
K l3r-1![Jlûttmr,
rcPris le collier. On gueule comme ça Pour la forme'
a
Ca v est. Dutain. on
!d - E' .-..
irit ii';,'iiii ie suis pas mécorr;ent d'êûe rentré, Parce que des
ie fond,
r uocances comme Çd, auec ce temps pouft,-con-'1-eu"" et en.Plus, on n'4
pas
éü à Hénin-Lütaid comme d'babitude.C'est Pourtant bien la-bas i /es_8'o§§?§
fo,nt du ski rur les crassiers, oil les uoit pas di: la iournée... Non, c'est
Léonie
';;t;;;;i; ii, à;tti iur la'côte. Elte s'e'st mis à.g;ueule.r, co.n nauet iamais de
oraies uaconces et tout, alors on a été pusser 15 i6urs cbez Marcel Tgu79p1ed,
;;;;;r;;'ii ; ton baufie qu'à une maiion à seinttropde'pèze, leenfin à côté, face
mois, parsseque
'àlo dérborse Alors,"anï est allés 15 iours, pis on est resté
\rt'/ ;;;-ioi i ,ro,di i'àn,e.' Alors, Marcet, il a'dit. uous a')ez qu'à rester et c'est
ce au'on a foit. On s'est fait cbier, c'est pas crcltable A un montent, y eu un
"riir. oii"cl les ni,atuistes sont ariuéi. Voui auiez uu la gueule..de nos
a;bittei. "et ialouses auec Ça, auec Marcel, on pouuait plus sortrt, elles nous
;';i'ùir;;;;;;;rt, elles atlàie'nt même faire les cburses elles-mtômes' "Et que.lles
; ii ,out deux ? uous allez uous entraîner I'un
;;;;1ir-t'q"';; peloter Pdrtez ces petites conne§ pendant.que.c'est
tous'les.
J- :,:.,'^lT î:;;;;.;;"t ailà toutes
boutllfi,
nous .qui
eu une tdee
c 3 .r;elfl *"J ) font la bouffe et la oaisselle ...". C'est alors que sans !'at
de sénie ....
F§ ll,a::L;.rrur les pouces. L'ensemble
i:,-_ ,/*11.!10
I'ai fabiaué des ÿoucettes en bois, ousqu'on glisse
"fr*i, *ri un caàenas, dont on leur laisserait la clé et, cornme ça, on Paulratt
'iouicbetr décou'
Oersonne et d; plus on aurait tellement l'air con,que
ça nou.s
,rîiiin j;oli* drawer'les mincttes.... croyezle ou nofltruq.uees,
ça a.marcbé"" on
on poaoatt
n]u, o laissé sortii, et, bien sùr, les poucettes étaient
retirer l'un des bouces et mettre l'autie main atsec I'appareil dans la pocbe..
l
.
;;';;r; ii, iiui, iain on peut encore en faire des choses""" J'ai bicolé ça
ioii i" ùeux bout de boii et i'ai uendu leî plans aux assoiffés de Mad-Mogic.
Il faut presque ien et le ieu en uaut la cbandelle '
209
't2
MATERIEL NECESS,4/ÂE.
Un b-out de bois de l0 cm x 7 cttt sur une epaisseur de 25.
Un foret de 10, une nècbe de 22. r"'"'
Une scie, une lime.
e de @ yt tte ptus ou ntoins t2 de tons
Y,:r_t:-:y::!:,!:
un eclou paprllon pour uisser dessus.
F acul tatiue m en t, u n cade nas.
!::::
uenrr... ma$ personne ne le sait ....
I
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270
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Aôâ t16 06
iJ:f [ïJî,ï,Ëïî:î1'"i;'î11,iï"T]:1rr
- nrtaient que rrenre Wg'.':!
i,' ii Ii fl!,R1il:
déc o née de rri re r,,, tjru- p oui",i,
d è
î i# I,?;,ii"i SÏtil [ï J il,ï Dombasrois
nî ïllÏ:î:
à a*ü,
",fi
âseux Si;lr,::1,:rl,llr,:lr;:fj$*i:^."lril;ï,,
il:lf er ses r'urs uumiÀr-r"-u,'i;,;ffi',;i'i,;;fii,ï,,'Jliiiiii,l,i"'iliii.r,i,iiiîîl,[H
errarées, son cosrume de barereur
ms,r
sombre. Après ie suis a,é rr
*ii gr-9 ;;;;;:dü11 c,est.rui q-rim;àirrri]nio, vous env,ÿs
liJl'ffiiïl',lfl i àe"rl;,iÏiii,,",rr, ,e,.n,l, ,,,îii#î;1î très tr
,::,iJrffi,is vire L,e.*
CABTE A
Prendre.un neuf de coeur rouge
et -Ë -:
gnlevez le vernis du
tarot avec une rttr :: -f,
t -.
rame
.de rasoir fusqu,à disparition
complete du desin.
Prendre,une carte quelconque
à dos
rouge elle aussi et enlevez'le'vernis t2lt tr nm :.ë fâr
côté face. Puis découpez le rond
&i-
c,entral l'aide d'un coupita. parfaire
.à i- !i r
I arrondt avec du papier abrasif
fin,
tant le rond que sur la cane
_sur
(fis 1;.
Collez,le rond sur un rond de bristol,
d-Lrndiamètre légèrement supérieui
.\ttg, tt. Asemblez le tout avec de
/ >\
la colle {fig 3) de faÇon a ,, qrrl,
rond puise pivoter librement.
F?.;
bn le
decore ensuite avec des chiffres
de
Letraset et on fait un petit trait
norr (tig 4). L'ensemble symbolise
une. molette de réglage et'le petit
tratt sert ausi à ne pas tenir le jeu I@*1:: -: -:
a l'envers.._ un*: --É
212
ÏLt,i lL,$
A {crHs Le5 cbù?1
9N GAÉf"iE:
RTI
ir"i
li
ilu
0Tu rL *
,t
GrY,
*.€*,^*?ÿ_r" #r
FJ * a rt( Vs
c(,,\:üX.t
i;
orY t t- :-
⧠f
:ÀL
ffi
:-; , 'll-l,l
r'n-- - "'rtl
.=- le petitr riref d'*euurs.
:s- :l iiitl rr " :': iru telly"Hü Hsuç* *r s*n ritui, pius 7 eertes spdr.;iales à cûr{struire vuus-n:Éme çcion
::g- 1" î l .iri r: {ui vçus s+r*nt
. dcnndes {plsrnshe n' !}. Pcur pli.is d* clarté, [es ûÊrt*s ssrfriit nlâr-
î§ - ,Ài tfllltÏ i ,,llif - lt isttres d* A à fi
çnsui{e, grâce à des {*etrasÊ1, l.-an*-
I l-\
.: !irreêu à das 8t-[ti form$ cette rârte en Lins scrte de
-, irls st ies indcx sont i/U-lleire (fiq. 5). §ur ia fass. a
'** +#
: -.: Letrasst spée lal Pc,;r raiiÉ le ca"irature rle Suy-l-,.0.,,.
-. e ies ai noircis avec un
--'t'"
" 'r PenteÈ noir. En fait, CÂRTH f,
üerte à dos rouge, dcnt $n â sntiè"
.:: !éùnêr troP de ;eux
:-J ' ::re rarÏe est faite tian*
re;rien{ graTté la face pcur e1u'elie
devienne b!anche (plus faeile avec
::f rea!..,. sl;r lequti on
: r , '::r gt ün ra!ûut8 uft as de carreau."".i"
S}\§?E G
Carte à dss rouqe drnt ie rcr-id cen-
trat a été rernplacé g:ar le riess!n
:i:arIâAu nOrmal à daS
d'une cible, apràs grattage. l-a face
:: :eui tien du dos, on a est blanche : elle a dté eile ausi
. - : ro de üalton l-lamilvid
' -rr femme à poiis. grâtÎée et, dans son coin inf*rieur
droit, on trouve l'emprunte d'un
, pouce. Ceiie-ci est réalisd en appli"
. : -:s rouge sur la face de quafit srn pouce sur un tarnpon
' , ,ollé le dessin rJ'orseau enc!'eur.
rr.:-gvtiÊ. Se pius, il faut fixer de irart et
d'autre de l'étui un ruban marron
, .-,uràdosrouge.0na de 80 cm {f;g 6}, qui servira de
, -'e lame de rasoir la bandoulière. 0n peut égaler-nent
:: o jusqu'à ec qu'on marquer sur l'étui Kodak 30i M
: "nc cie l'etreSe. 0n a ou n'importe quoi d'autre.
273
16
le ]rûrrra
0uf !!ll Ca y est, la fabrication est terminée.
Reste le montage.
Posez sur la table. l'un sur l'autre : la carte
D face en bas, la carte c face en l,air, le tiec eLr
bleu est vers la droite, re reste du jeu face en uas,-ta'carte's
ra;e en r;rir, Ë'rrit, A face m
C'est tout.
c'est donc la carte A qui est.au-desus du jeu et re pousin qui
est en dessous. 0n met re t:--
l'étui : la carte A vers ie côté de r'étu.i #q;rk;i;.
tenant, petit repàre vers re spectateur, ra cartà c a son
lu càrte À;ri;r;;;;ïr-i;re sorre :-
tiers
' o. oo, uirr-rr* r, oioitr.
Besten_t sur la table les canes E, F, G, pfa.e.,
ainsl-,
l"l'::,"0,i:::::-ïl!,,.';d:$r',urlu-Êiiü rn'r,rrt,puis carre E face en bas.0n rne: e
tel que dans une petite pochette plastique
ou Aun, un portefeuille
-4
'.'K'f\C f
7z--titu
BOUTINE
0n fait choisir I
de K à un spectateur dans un jeu normar et
re
0n rui donne jeu pour
r:j."111r",sr; i,ffiant ce temps, 0n sorr relejeu photc , i
[.ir:f fL:i,,1?.':*:î:,r,:1l
met en bandourière lri-ü,'prri;;";;üq;ii'iàü'k:ii;iliï r:
aurour du^cou. or
#i; È sur ra rabre, race en :i:l;i
91 nrül;
,.t
F:,i'1":1.: l::,.':l':'_!,fre
F er G face en commeiniig i. l;tfipirir,tJir"porrr rr, cachée par,u bas eles ot'de-,
'air à ne pas montrer ,ur,rT.'tt
Bien prendre garde ni res dos de F et G, ni ra face de E, ni rempreinte.
ceci,fait, on récupère re jeu. normar et on re pose
en expriquant qu,on ne va pas utiriser::
tete du spectareur qui oensair avoir véritablemeri-prrU,
"En fait, enchaine re maoicien, 0n ne. va ;, ;;rt;'ü;r"i; ï;r:- """
meme pâi rà retrouver du t,ut, on vâ seureme,r:
une photo de la pensée de v0tre carte,,....._
Et' le plus sérieüsement àu monde, on préænte jeu
qu'on a sur ra poitrine
jl".,ll:::,,:*::j::",:: glT'.l lrors,râ feu en r,1,,u,i ;ü;ï# rib.,, ,",:{ r
re en essayant
f,.ffi,f ii o, pose.ators_te jeu face,n ui,,ri'ru'iuürL,Li,rpriqrr.t
l:^lrl,r, "_
àr;ir-t*iî;;;nlli,ri;i
il,'.fj.:l'.i"T:111.,1,,",::'^^t'Tpj,_?l
gauche en position de ta donne. :s.lii, É oüLJË'F';,"i:ïin'11, 0,.,n, ,
0;;;.;;';i;'b ioil,;iïil liii ilr:ï"ili,.rr,.i;î,
lii:irri:':"1':"î.:j ll:,g1 giriti-sÉre-ciirr.é
oesoui. ôn reirà
'i:il;
ra (cele
carte F
marché, te spectareur croit.qu'on
uu pouce
;ïi;-' j:i;:r"ïriii,ii;ill;rj
du desus). si t:-- r
:Tilii,,'i:,::::,lllî:l:'.ll]U,einte
explique ators qu'ir raut uienJairà ;id;';ï;;;:eli"precisement cachée par re pouce :.i.r
ff;'Ë'ü'l;lf iii friJ,:friiH*
po" sur Ia carte.'... A son rour, re
ma3 ra,r
:',:T::li'i,'l'.:?j,,:',,1,',1:ï::1:':t^1:l'l:q'nt
apercoir, it soutève rimidemenr p_rr;q
g { ËiiJü aerrrrr* t,empreinte..... ,iLifi:i::
:#"0:,liii,tjf:r:.rl
carte AVEC CTBLE et it 1rylr,t.irà;;,àiriià
,lllf ,r;;;i;;;;
qæ ce n,étair pas une carte sensibre.
(Jî rprrru,r* ne sour* our, ,illï,i;; ,
rr
1;
aTfaire à un mérancorique, vous rembailr,
,t ràü rri iir* du Mauriac).
tleureusement, ir reste une autre carte
sensitre.-.... ira carte F que [on montre du
doigt]
274
^*m.m.ffi.ffi*
x7
,,liÏi,
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rr -' '" cellule". ' i.,
Ill
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i:J {- llli ',:;i'; i0u,t,,,11',1
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''no"
:'":i::':; .;;; uw u,, "uu'',r'i ra lt'r:iire :r'i:
le 4 en iace r"r11r'
r -r
,.n* * isu errrnarn îllJ:-d):ï:i--J,T-;l,il f ,:;;;;..; ":ï':;;i::;1;,
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1, l:,:,'
va sgrr,, ullrrii;iïri,_,:t:il
-r.: ue ra rnarn saucne t',Ëi,i',r,i*0,, "",:'
'Êi, ann'nÇar!I o"*'t ,,.,
ia dorrne' Ün I'r",:ii;i; A- ,; flir,^-"1:;;;,'nà'Eurir ri,r*,,i l]:-,1,.,1")i,+
çntç;*t,;cue.te
Jrî;r;:,;:::.;l
-É: l]t llll -'u
ÿglil,,,ïï'.*;;io;ri# une,pers..,ri.r.1,, syi,{rrs,r?,i,
'.' ;;;;i-;'
,iÏJ,l';l iÿull,';;';,Ï
du rê't" st"ir
îr,ln,',,eî*rruo.' ,.,...,* r,u,,
1n
'.u rjrü,re cü-. ï,
,'; - qui t'' '1*::îi#51'['.1 ,.,lf,'ll,;;,ïu;-; ie,j"1i1]^er;
'"eak ries ileux dernler
luj,in-su,,ru i,,, t.
=.t"'3:11.
i
{- *"
t*îklr.i:itËj,--r;î,',;ffi yr:*:n***l:;il,'iq*iffi:*
,iri ou*' le deso-!s oii';;,*i-;;;x'paqueis se s;iî'*î:iii,ii.X,'.i,.iriin,r,n--
:',e *éqati{. A l'insta"- lliiirrr droite c.ntrnùe sci
uiurL$-:.
.-r au break et allsslttl la main Lirsite replace son
_^,. .,"-, ,:i,ancc en r+r.tge. La tnain
,
huit de tarreau'o'i*'uo:':r:i;ïi"'ieï*-1-*.11:i1"llîli.iJ:i
. : , lllil ll llr
',,;i"nstattT',-
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-,,' ,*r'r *- 'i"*î'îlîi:ï-i,3i:l;liloÏ'd,r',;';; ,-";,t'er une pi
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'ï.T:^l,J;ï;,ni::'i:ll
saisi' ra caite,t'"ii.::J,'iiiiiti;*;;;-;,;;
,i
res ccisrs dl I'T3il"1iÎÏl,rx,
Tl'^1lu v'us ra secoue,
in-*rr*a..,,n
*F/ - Jrffiil ' -,e nurnice. vous to"üisrsse' .*ll:^*'ii-I.*ili, ,,' raopins des tarlÊs au u
vers d'artres
§1- :r 1l ii il 1(
=:
Ï,Ïï:J:"i,ii:1,nUflÏlit,fl';l
eSt llnl' t
liï-'ïiii'Jffi ra ho*e et
'repartir
È r ur -1 {illil ' lF. lC!.!r
'i[litÏ']l lilrlt|ll lllJ. ....
I B'li . 1ll[ t
t îIÉ ll lll lll
r"*.l.t- i: lllllllllll'r
,r*. " -iil l1 il lllft
- ?,-
î0
2\5
4r,f,
18
È-r§f, SlglKLI-
TRANSMISSION DE PENSEE ENTRE DEUX SPECTATEURS
Tout Ie monde connaft le truc dans lequel on fait choisir librement trois
troisspeciaË;;;t;;;'i"oiJi#:idlii;ili:ii""îi"".T*i:":i:§.i vr:l
Nous rappelons brièvement le,principe tg.
.qui, dans les tours de mentalisme, ert
Il s'agir du. principe du"iompêre instantané.j/. r
î
:9.!nu ù;qr;i";i;;is carres or: "*r
change le jeu pour gl-ieu de cartes blanches dans lequer on fait rem
P^Tt"l.9n
Ies trors cartes. on fait alors défiler le jeu devant le spectateur eï lui disant
de u
le jeu, que certaines cartes vont lui paiaître différ"nte. aàr-ur;;r;;rË'L"; tÊ
:::,.ru ,l :l-13,:r:
hÏ empreinre, etc-..... er si t,on n'a pas afraii" â ui"spectateu,
À/;:
taré, il.dési.gne, une par une, et parfois en jouant É comédie
cartes choisies. ";"""i;;,'i;
Mais on n'a pas,-toujours- un jeu branc sous la main. cette approche du
d.onc â essayer -- - truc c
d'obtenir
v.rusJvr s vuaLrrrr tç
Ie lrrçrrrç
même çrrtr[ avec un jeu orotnalre...."
effet ayec ordinai*:.:"
Il vous faut.pour cela une carte fake, qu" Jeu pouvez conskuire instan
grâc.e â "o*
.{es éiiquettes aurocollanter qui ,âi trorr"ï;; ;;;#;;îans vohe
dessus Ie teite de ta fig. I, ,i"iiq""
l"^i4:, Yrr,r reproduisez
PendanJ
i" ne"f,". ..
rllon jre fait pas artention a re do: fl
carte (fTg. 2). Il suffît d'empalmer u,e ""u.,"oui;;h;;'il:tü"JtiË'r".
caite du jeu, r"iÀïritou. daru Lr
a"
vous quittez la piè99 gv-ec. le j9u.... tes occasiois n" ",
-urrqrrent pas...... pui.
placez cette carte SOUS le jeu, flèche vers la gauche.
vous faites alors choisir IiÉrement un" .u.i"]'p,ris vous la faites remettre
rnd
iTdg,t' ce
qui a pour but d'apporter ra carré a etiqr"it" i*i* urïàrru, au o. r, .
choisie.
choisisse.z
.alors un spectateur et dites lui qu,il va faire de la transmission de
:l_rî5 fui faites un petit.bararin dans Ie'genre du pre"ea"ri.'p;;;'Ë;;;
conûInon,- purs vous lui dites que. pour corser Ia chose, rrous ailïz
faire déffu
cartes de façon à.ce qu'il n'en voit tjue les dos. vous lui o"-rnc"it"
oe.Ia persoxne qu_i- a choisi Ia carte A TRAVERS le dos des carles
fixer le
et vous corrrr:
à faire défiler ôe[e-ci en éventail devani ro y"r* et, quand vous arrivez à
ra
indicatrice, ralentissez et laissez lui tirer Ia carte....
vous. couper alors â cet endroit, de façon à.ramener ra carte à
étiquette
immédiatement,vous pouvez.ecommencer I'expérience".... - --r!
s-i vous avez affaire à un comédien, t"r rpe"tri"ü.r rr'"n
.roieront Das leurs veur
fin, vous empalmez la carte et vous déôo[ez f ttiqu"tt",;ui'.;i;;;;;;;;;.-X
sion, vous la remettez dans le jeu......
PRENEZ
CEL{f
14.
216
19
:i:!Ë.
si-
.1!-??!
!::
aaa
33! !§ 33:
aaa aaa aaa aaar
... æ. .!! ...
!!::!:3
ao.
::: :i: liiiiii:iiiiii
aaa --- :;i
IJ aaaaaaa
aaaaaaa aaaaa
aaaaaaa
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aaaaaaa
ræ.
HÈ!.
.æ.f, ...
...
.ÇÇ
a- Éa
.-
... æo3f ....aaa
-a-4.
.-.É.
aaa
....... ao.
......a aaa aaa
a-a
aaa
a-a oooOooo iiiooo
.!!ao.a :::.aa
aaaaaaa -;-aaa.
aa! aaa_ N' aaaaaaa
aaa
aaaaaaa
aaaaaaa
aaaaaaa
aaa aaa
aaa aaa
..a
..a
a.a
aaaaaaa
aaa
aaaaaa
wu,^i i'ai pas vu, et pou.r .tre très franc, ie regrette pas, après avoir entendu ceux gui
:-î!\ Ê1nent... et ceux qui n'en sont pas revenus...
3ONS POINTS :
'--oing-show, presentés à iet continu, sur des écrans de tété: de quoi occuper
les
| -ort§...
I entes et nouvelles conférences données par John Cornélius, Howard schwarman,
{ercten, véritable_spéciallste de.la magie pour
enfants, Tony Binaretti, qu,oi ié
:æ, assez souyent, Rix, Liebenox, Larnmertyn et flip...
",ryiciens des rues : stanislas, wittus, tous'les deui spécialistes de la chose, puisqu,ils
,,a: ;e choix d'en vivre-._
,w' rne p.léiade.d9 granls pry§tes... que nous ne citerons pas tous : reportez-vous pour
b i , ctre joumal de société. Nous ne mentionnerons que tes 4 qui ont'eu ure ,;siriiiig
:'' :, G. Bu.chinglam_, plus.ir vieiilit, ptus il a rà forme...' cnrittiin-roiÀîi,-ôii
);-2 le premier prix d'invention et le premier prix de grandes iiluiions, avec d:es'ef-
:L r'eaux
.: sa propre apparition dans un fauteuil design, multiples lévitations : verre,
, : de ch.ampagne, qui se débouche et ve$e seule, àisparitio'n d'un poste de télévi-
: -' marche (son et image) et qui est placé sur une iablé en plexiglass,'enfin sa piipre
: :1 sur un tabouret de bar...
: - JPPO, merueilleux mime magicien, prisonnier d'une buile de savon, qui a prouvé,
:r?!e!go!gP::g!'!,suetes mimàssontptusmagiciens que tes màsiiiens eux-mêmes...
' 'C BRACHETTT. Extraordinaire trànformiite qui passe acruiettimient au paradis-
- " numéro de grande classe, d'une extrême fineæe e't d'une rare élégance...
ffiffiffi
': '/f.S NOlRS... qui furent l,acnée du conorès:
l,e!l plus ius.tifi!
,.":'-I:,!!! gnglaise lorsq.ue te bufiet géantse trouve transformé in-extrémis
21i9tte
t'rême la
sàmie de produits pas màmË1ra*, qi,ài àiii nîiiià, ar^ un hau
.fête du.
personner des usines Renaurt avaii ptus ai clisii.'..-'
::is autobus qui doivent ramener deux milles per,onnes et qui ne font qu,un
seul
[ -? peu d"autosatisfàcûi7
lrrt
'î y'a des tas d'occasions dans lesquelles tes. frangais se montrent minables à gui
illî
w"'-* îlx : .le football,l1.oltinTee ayistigue, e^h.be1t tà, it semOleriii qu,on;;i;ir'p;;;
r,1l?olt". te,gtuyde.qrix-; C9tin, Fechbir, Fiinzi, to pàiriïi,
:^*',:-?,yi
::fin !!!)
,r,i,t,
Michet André, Ggmbin, Mykog,lot, Anaié
Robei:.. Tôui'ceux-tà ont
:i ta France et ont décroché ra timbaie. dà a tongteÀii
iàrÈ diiààore hoilan-
w\Êqent, des prémices d'une école française ???'
al.lais oublier l_e olus important : la fism a un nouveau secrétaire général
't .:ticace.
:- : un
un qui ne se perd p?s en parabres et en intrijiei,-uiïui-partecouram-
: -: eurs langues... un certain Maurice plERRE. Elle ei a"de ti-cnance ta rim,
:,;w :fap qu'aurait cefte chance-là ! !!
2t7
20
2t8
a'i
--lil
:TE§"VOUS AU§§I iI§TELLIGEiTT EUE VOTH§ FEMME LË CHOIT ?7????
KEÏli riei un ensemble de questionS auxquelles vous ppurrez cril ngn rdpondre. CÛmpta-
: sez vos réponses ... jugez-vous sans indul§ence .." Êt postz ie§.iue§tiüns â d'autres
'.f,Ï"'*
- . - -jr vüir si vous êtes le seu1.......
,-,, , , Lln magir--ien veut dormir l2 heures. trl rern*nte son réveil et règle la sr-unerie. {l
i , tu-,,i,i I
est réve"i]té vers 13 h 30. Combien d'heures a-t-il dormi ?
tu, - Cornbien de mois dans i'année ant 2"{ jours ?
- e ;ilm : Un dccteur ordonne de prendre trois pillules : une toute ies cler"oi-herur+s. tom-
i bien de temps cela va-t-il prencire ?
îj 4L rllfl[]r =
, Ljn ltomme se trouve dans une maisûn dônt. toutes ies {eriêtres rionnei:t sur le
sud. Arrive un c)urs. De quelie couleur est-il
i
?
I,g illllllllllllllll,
l*il;,tli ilfliilr ' L-e r{ui est }'effigie qui se trouve §rir le§ billet§ de 50 frs ?
l,ffiÛi
i
: U* homrne peut"ii. I"EGALEMENT, se n:arier avec la §oeur de sa Yeuve ?
--r-J dqillllll
i - L;n homme qui vit à l'est riu À4ississipi peut-il se faire enierrer à i'euesi de cette
*,llirriiirliiill/llllll, I nême rir.ière ?
' .lt *,F1i[1]!r1u1'fl rI$ ' Tu es; mon lils et v'rairnent je ne srris gras ion père.".'. Qui suis-je ?
l"srqil i[]r,
I ir i9l-2, un homme trouve une piàce d'or marquée 4Ê av. "1.-c" I)er comhien est
-.f JlriilTlut.m
','ieiile la pièce au ruçrnent aù l?omu:e la irouve ?
: ,& ïiillillîIil]lï l-'r: vei,ileur de nuit a-t-il droit à sa reiraite, s"i! rneurt le j*ur ?
- iln homm* pari le raaiin ei ne vgrit pas al.[ux':er pourre pas éver,ller sa lemmei,ii
r@ulil8rflurul1i
"ixdaüs sûn tiroir 50 chaussettes rouËe-q et 50 vei:tes. cc;mbien doit-ii en prendre
y11- Jrflr,il|l' miniriluffi pûur ôlre sûr d'evoir au moi*s une paire assnrtie ?
,Lr*uve da-ns un chalet. dl a une larn;:e à ptltr,:le, une bcugie et un
.-ilïiit'',Illl - -.:r. lir-uu*re se _v
:..u r-iê cherninée. .\4alheureus€rôei1i, il rie lui ieste plus qli irrle sr'ui* ailurnetie ce
:.çon à poltloir tcut altrumer. Que su-t-ii ailr"r-srer en pi(r'ilrier ':'
.!u'e6t,-1-rÉ qui prenel ie pius de ïe:nps à rrri isvtjur Ce rareaux : nettnyer u.ne glace
.:e I ;x? oti.r.re f€nêtre de iûLt,:m-<ir: t'+i+ ?
."d 'clcment iaucer une i:iüie k:tn tl* siii r:t qu"*1le revienne touT,e seul* §ilns avoit
'"4 :in heu::l,é ?
.Z - i: llère Noôi boit un crJup ie ?4 av*c ilri {.'ürse clrurâgëur.} r:n holtr;axriilis 1:rodigue
.: Jri hetrge rntelltgent. Iis n* s<--ui.ru{i"{ ijÉn!§ Xe }:ar. Le garçori est irssassi*é....
?'À : .r.r i*quel ?
""""'lnô5
i?d §âê*,u §nû 'sn§.q-uê;ng*§* §lgm 'u$* Suaulâq§qi#i§ srj'ÿ $nÔA § pü âp
ua!si§PUJ "e!uêÂë$)
r: , âû gÀTloJdç u6Âs §ns lcnb;n*d l{rg{J§}[!E€ui aâua,,dwoa §&611 : S SË êp
=tsJ rnærr .lncd lâï3 §§lê 5§É,* ; 6 çg §p
*ïLrp§euu$q u8§êl˧$É0À : frL ç § ar}
Æ ;eu dorl sed se16"u snûri : *L ç A[ *P
,[*rth .,naàErêur ufi §ftëe : §a§utdç.i §êtlx{oq §&
§Ê1§
JV §, '""""$ed
"?u#is/xE{J
sêplr} s'â{/{ru.§Jâg ÿ i ëË"d3-/'?-s irir Js§ J r§1
§âI JË3
-'f,,lllllttllll
!iP.l uà aiiPt! o; talte1 lv1
l iillllllfiflJllllllll,rl -=, """ §a}sJ .Ync.i? §â/ l§Atsilau lnq st,rth au*d'aslguas e1 lgs
ËcmflMfflfiiiili11i r-:) ail#wtifte,l {€l
;:ii[üüill{li lllllllltllrr f' rl J
$ëiJ⧧r?Ëq,
""îryfimtüll elleJlal ap trfisaq §n!d Ë,u t! 'Nauj ]§û l!,s {Ül
vrril|lllllill| ridrir! "lteJpuatÀ 1t,nh lteaes &u auuo§Jad "3'"r turlts §üe s$' ; a|qrssrtcwJ {5
il" ',Milü1mfr''
i;.!?uj sJ {B
ir161 miipp;16r,-
"""Js"üaluê #Jlej os e s8#ërU ':tttt ss,nb*n4 11
S1
r"ütr;flillll[filJÏr
'"""']Jût-li i§a lt 'aAn*A l§ë âü'J{#ÊJ es artbvn4 19
orr l"l,,illiltrr,, t,ltl Ê! a§ $!]uî)tlÜ {g
P- strelq 1§A §JîtA,l : ptau apd ne altrloi] as §wtu$t"l,'7 {ÿ
lilffilllüfin r?jnêq I {{
rffiil ssnof 7; $ulaîu ne ]üo slot{r ssi §fio} {d"
lfu §aj{taq lé {l
j s3szutd§âl
2L9
22
@
6 MtqRo MAGTE POUR TOUS
de R-. Pierotti, avæ des.illustiations
Du format de Mad-Maoic,ce petit oàuscri"
la péche à ta carte. te"d; qri
de Michel Lavæat
s;;;;"d;ï;'i;#ru,
quelques bonnes r.an
"înti"ntta boîte à pièces
g .,
a o, J, rË ù-ii"" j :à r r r,n.
et .i
@
re. ch o i s ie
- y^T,
1,"^: bien !."1
c'est fait, bien jrii"l tËi,'ïr[lt.e. cu doit
ttu r.
chez Monsieur plERortr,
@
E
LES GUERTSSEURS pHtLtpptNS
, de René Haquin.
Merveitteux bououin d,r"-t;;;;ï;":r;iË;i'impartiat,
la plus grosse enouére sur le sujet f f-r'àôp.à"f,e qui a fait sar
:- rv,,,v, çu Ër uper.,.ons,_wstte.des
,nombreuses opÉraiions, visite àei-oen; ;,;i5'
les guérisseurs, ass![
çns qu i se ;,*r:ru^+
raisons qui poussent certains Srerii,^ ügte-
proclament ^..:-: )t--
à croire, oül ,oüroi. faire croire
aux
- s31".r,":et:ôtés
pos ti f s na gaii rr'oït ; ;À';*. t pL
o.re,
;;; Ë;
@ ::-"1_?-l r-p"#
i
Xl
I
une rigueur de "t scientifiqu" "
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",t g,ir;;i'à,'rr;i,ï;ii]Ëil,]ill.j,,rusie
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lly de rien. voii"h,;;
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que certains se sont
;;; ;ffi ;"i' ;; :i?,:i iXT,ii:*,J
;;#â,,f.r;i, ;iiffi
Z
-
i;,iTilil:"1î.'-',f:,91
i a ?:'-l:-g!:i
ou r près j ou r, usou'à,ia
i
à';irï àI',,,.u, â ra maradie. pie:
."r-*àne ;; ;;.Ë ; ;i
iri, J;:'#r"[,riË
i, T". î J ro te. Ma is rah ma reu
;
::::"1i?::
su_ccession î:,îI"
de faits, et
pi"à'
^d.,lrl,l" I su i B
-r a aussi connu'des:::::
lt"I::,lTî:?To.f
non.sei rr.i"r an!àiit-s ili;:;r"tià;'"11i"fi
il *,qieià
tr ilgroire-ei à" ran ma Àe ; ;;;;; ;,";
É
fi iours de de;s;".#iffi:riË.ii::tri
â- iii;
tiste l,: ::,?',ity,j:"_,1d;
avant
; ;À'.", o'ii Jtr" o, on de. de ra
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p
ie ràver à; .b"üi;;ï#Ëil::"#.T"'?3i;::j,#gf
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on est finarem.ntttï;;r;;ü._.::: 'ur-rIrÇI'rc merne
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BTlltio-r,"gr 'iL
:j:lli: : je ne suis pas sûr qu;;i -:-' ra urs,"tt" masique contre h
anglaise et i:"::""1.1"":li"1d,,",.Jivie,
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l. æ3'*ii{ûlli' glll\(«\ÿVmagico'déhile parrisat Lle nraurarse
e à-r3:' * ü[Èr
,;.îi,l,iii,,, MA(;r( er adrr':ses u viir,er
réiriges au nom de ]rAD
''-' Ps.h()nn'rn'nts priltrr
0- -uË ià '' ^i[i9"1ilïii"'
ilïîîi.'p«tr'n,,,,,:u ' ft' oi'
f"' pt,t
too ' \ure jrcnr plu' 'her t"..I
polt lri -l I'rir ics rretetlr
ru Irunrerrr
OtILIGATOIRE|\{L\T.lu Ier r.lr*,
i !!,r:r- = :t!
fX
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numéros : prohibitrls' Cfn pu'tÏ"'lt' tnt't" nu''t"" chez llatle 'ru ru rLcge sociu]
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U2 Mâd-MâEic est une revue rmpnmee toul
i'.HîiG"Ë'Ni;i\î ir:iljnEs§r , ùoir, ptrpirt
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erenrpiaire
CON.FAIT.TOUT
Coupez enfin vous-m6me des confettis
tâille de votre choix dans le papier de
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grâce à nos ciseaux spéciaux
en DolvDrôr
finement chromé. Lame de rechange pour
fettis carrés. N' 1967. Frs 78.
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par la S.S.
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CHANGING HATTE
véritabie providence pour
ceux qui ont ieté leur qué-
teuse aux orties. Ce chapeâu
a deux ouvertures, fortement
cloisonné au milieu. chanç
n'importe quoi en quelque CABTE OH ! MA SOEUB !
chose d'autre par simple
retournement, No 98186 insatisraits. rerminée à ta main par
l:,j::T'"1,-:^:i:TI?rï
Frs 317.25. Poisnet, er ronéorypé sur papier .or.r,e,
qu i o nt ieàplacÉ ;
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la y est, l'autre jour, j'ai été convoqué par le fils Trapluvite, dans son bureau. "Alors,
lnésime, pour N0ë1, hein, nous complons sur vous, comme l'année dernière v0us allez bien
-rus faire une petite séance. Allez, ne dites pas non, je sais que vous êtes un modeste, et
:Jrtout un travailleur acharné, car d'après ce qu'0n me dil, v0us venez certains dimanches
,ius servir de nos machines pour fabriquer votre matériel. Remarquez. ça ne me gêne pas.
:i, chez ïrapluvite et Convail, 0n aime les types qui en veulent. Vous avez dû en fabriquer
:es nouveaux trucs, alors, mon vieux, montrez-nous ca. J'ai déjà demandé à l'entretien de
-'évoir une petite estrade et le fils ai'né de Marcel Tournepied qui vient d'avoir un accor-
:e0n tout neuf a promis de vous accompagner. Voyez que de notre côté on vous facilite....
rirtout que cette année, c'est pour certains la dernière : vous savez qu'avec la nouvelle
::njoncture, on est en train de restaurer l'entreprise et, autant vous le dire tout de suite,
:r ne gardera que les meilieurs.... Al0rs, tâchez d'être brillant, hein, on c0mpte sur v0us.
:ris, il y aura une petite envel0ppe. Merci d'avoir accepté, et songez que cette année. nous
:irons des grands, des 12/13 ans, des qui veulent savoir le truc. Alors, méfiez-vous, pré-
:arez votre c0up s0igneusement. Bon, ben. c'est pa§ tout ca, maintenant faut retourner au
::ulot....
:r, i'oubliais, l'adjoint au maire s'est pr0p0sé pour faire le père Noë1. ça n'amuse personne
-ais, songez que nous sommes actuellement acquÉreurs du tBrrain communal qui jouxte
isine et que nous sommes plusieurs sur le coup. Alors, on a plutôt intérêt a avoir les élus
:.,ec n0us...... Ce brave homme ræut ahsolument chanter et, p0ur éviter cette catastrophe,
: iui ai dit que vous le feriez apparaître..... tâchez de trouver quelque chose de n0uveau et
:: lui coller une barbe qui l'empêche d'ouvrir la bouche..... Vous voyez ce que ie veux
- i8...-
3ui....." "Bon, et ben ça va, v0us pouvez disposer...".".
ii voilà les rnecs, cornment ie me suis encore fait posséder par cette enflure. Va encore
':lloir se cogner les gnards de l'usine qui vont encore crier "à poil" quand je vais entrer
:r scène..... Alors, ie me suis mis à réfléchir, comme seul le sais le faire et, après quelques
-sits d'intenses cogitations j'ai mis au point quelques nouveaux trucs qui m'0nt aussitôt
:É achetés par les sangsues de Mad et c'est la raison pour laquelle vûus en trouverez les
:escriptions dans ce numéro.
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225
LA BUCHE DE NOEL
bûche.
226
- ie *ês§er0ie a!..tx TüL!rtei"elles.
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lriiLl
ru aumr mm liljJ luelques cartes séantes su!" lesqu*lles §ont r.i{}ssi-
r'@.Mnr m lll
-:es les séteêLix les plr,;s cs$rants : Baha. $si;ir.
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]l -:ncré, Chariotie et, ilien sûr. une hûshc {fil. 11.
:trfliiilt ,üm l;
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:L",]anel vçus â*J87 réuni ttilt cÊla, vûus rlGUlrÇJ,r tr, ailer.
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--:qirien dsmancie l'aide ri'u* {}âr{:ûfi et r.j'r;ne fille
JflF riillllllltl
i fimüilIlllffirir,
: -i ê\rrf,[-dâ qr.r'il eon:5:te 3u!" rji-lx Ë-]i}r.:r 1'*'u*t * réaiiser
:i=*{-J. ll ieur denrande s'ils sê\jçfit filirË les l;âî*;ai:x,.."
l0rrll :mütr
: "t'* âüct-if!8 iiïIportêfice. car j'*i ,Jn l;vrc *Je clisine
- r,leÇi*ien.-..." ,Â, *e rï,ûm$tt '-!," l,i!r'r*,+ iiÿrc à
.-.,,',iêre pase. vË!"§ !a fllle, rn ii-ii *'ci'nai:r'i;,:rri ti *iie
lJrr(§llllllîr 'ifri
' .rl*" Co,'rim* !i tt'v * ri*n ii'éclt df;51iri§. *iie i:e
urrre, ür : :rai!.... iln se diriEe alors vers ie garq:,*r'r, cin *uuir,* i*
. :i{-rriI ii sort cies flarnmes,.." ie gôtuc;i iecuiç *t,
: .v*ir l'air cie rien. *n iui der*;lr-:ii* pr:r^.rrr;i-t*i ii I
: iln revient vers ia tiile, cn rÇirvrt le livre Ét i iÊli
.: il!§Sc.".. e't on rép*ta !'*p'{i:"ati*n plusie r.ri's Tt,"c. . ct
" :cujei*r; ie garçen ql;ia ies Tiamrr"ies.... {"}rr fai'r ale;iç
UtrllllMlllll{lltttr
. -.nt ds iire.
u"l*mr - ..r:-i très embêtorit, (ar ?,-? ;ri ; i,i çi;;",Eî I i]ësçi:1
& -
: il*urt:usen'rent, je uô;§ vüui iirtafise i *eie". Ün
. :i*rs ii char;ue enf;:nt unE bânülÊ rie p**ier *le soic
ilïn :- ÿj üi"àar{le de le toque $irÉe. ** fait aicrs r:t'lr;
& -. d* papier cians laqueiie ie papie r cir n"laqi-
'JÉehiré
:i i!"aflsTûrme en tûslre.... riunt on se r:oiffe. ilien
enfants rÊstent ar"ree les n-iü:'{:eâux.... lJn ls5 jeite
-': es çoifle tous.Jellx d'un seç de 6:apier, *n renliant
,, ün a eil $ü!fi Ce prer:ore de grands sacs pour qr:'ils
": retÉnlls par ies oreilles {fig. 8i" Une fois la ehose
: r. n'']orltre I'intérieur de ia casserole, vide. et ûn la
: :Jr Lln çuér'idon à part. On fait mettre decians Bar
.-;ants un peu de tarine, casser un oei,rf, Cu sel {or:
-iiliser à eet effet une saliôre bouc*ée clcni tcut ie
t , ---ce !*:"squ'Gn dévisse le cmuverele et c!écrite dans
ql, , -ero courrier de Mad...). §nfin on ajslite ciu porvra
', : de I'essence que l'cn veræ soi-nrênre.."".).
221
4
On abandonne le guéridon et on emmène les enfants à l'autre Lrout de la scène. Et c-
très embêté parce qu'ils sont deux et qu'on a qu'un seul gâteau.
"- Alors, nous allons faire un concours.... J'ai ici deux cuillères;vous les prenez ci^
par le manche et le premier qui est arrivé au guéridon pour touiller la pâte aura gagne
1-
Ce sont les deux cuillères vissées ensemble ; vous les lâchez, chaque enfant tire et rièr
passe puisqu'elles sont solidaires l'une de l'autre..... (fig. l0).
"- Heureusement gue j'en ai deux autres....". Vous prenez les deux cuillères tête bêcF:
en faisant tenir le manche à chaque enfant (f ig. 1 'l ). Vous comptez 1 ,2,3 ; vous lâc;:
les enfants tiennent chacun un bout d'une baguette, tandis que vous courez vers le r[ï *.';
don en disant : "j'ai l'impression que c'est moi qui vais faire le gâteau.....',.
"Heureusement que j'ai apporté d'autres cuillères. Pour qu'il n'y ait pas de triche, elles rm*
'm{_
sur rf n plateau ;tenez chacun un bout et à trois, partez...." et les enfants se retrouven: ,fl,*r
dans la main un petit Llout du manche, tandis que vous emportez le plateau et les cL
qui y sont vissées...... "Attention, il m'en reste encore deux, mais ce sont les dernière: uFlrr::
imfl,l:s
et vous donnez à chacun une cuillère qui se casse..... "Bon, tant pis, on ne va pas re +:
j'espère que cela marchera quand même.... Maintenant, il va falloir chauffer l'ense
j'ai apporté une bougie...."
Vous la montrez et, en passant derrière le garcon, vous lui accrochez la bougie dans :
en ne gardant que la coquille.... Vous lui donnez la boite d'allumettes en lui dema'
d'en craquer une. VOUS LA LUI PRENEZ DES MAINS ETC'ESTVOUS OUI ALLL
LA COOUILLE DE PAPIER ECLAIR. La bougie disparaît... encore un peu de co
on fait retourner le garcon et la bougie est retrouvée dans son dos.... On donne la c
la fille et on fait chauffer le dessous de la casserole avec la bougie Itr-
*4-r
i:r-
Fh
On repose l'ensemble sur le guéridon et on demande aux enfants s'ils ont une ide:
sorte de gâteau que l'on va faire..... On montre alors les différentes cartes qui repre
les gâteaux et on force celle qui représente la btlche. On met ie feu dans la casse.:*
étouffe avec le couvercle, et, instantanément, la bûche apparaît..... Vous saluez en r-e:
votre toque et vous faites saluer les enfants de la même facon. Ouand ils ont la tc:
main, vous coupez la bûche en deux et vous glissez chaque partie dans le sac, avei
ils retournent à leur place, emportant un souvenir de la séance......
Voilà la Trame..... ll va sans dire qu'elle peut être modifiée au goût de chacun et se
besoins, mais si vous avez le sens de la comédie, du jeu avec les enfants, vous pou!Êr
un petit quart d'heure, ce qui n'est pas si ma1......
)-
228
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:omme en pardessus monte sur scène et fflnonce annonce I'illusionniste êvec mouite
I'il.lusionniste evec mot ccmpii-
z= l'appeler. I'ou§ avec mol
allons i'appeler.'Ious moi les entan[s
nfants
Uuir, ajoute
,r. Mais,
:s. t-it. ü est si tirnide...". nous allons
ajo'ute t-i.l. I :
I
,'ôHÀainii I MoUcHABIDE rlus !or!, il esÈ vieux .-i.:îT:*_YYY,!ll*?'33;
aHABibE !! plus fort....... et persônne ne vient..... .Àiors vous déciarez que vous aitrez
--CHABIDE
,vÀi ùr g.arrris rnoyens. Vous vous rendez en coulisse et tr'on vr:us entend vous fâcher :
,üs ne vénez pas de votre plein gré. vous viendrez par la force..." et vous reverlez avec
.
::ant gne conià, doucement-, et pius vous ûirez plus.ia r:orde. s'a.llonge, si bietr qrie vous
.-,i", i" scène el la cor6e eit tellement lolrgue. qur-i ÿous disparaissez dans la car:lisse
*---'i*" -- ,,ù.t*,-mars lir corde esl toujours l.endue et"avance Pl-. lout d'un c.oup. au,i'our. de la
--. e.;t'attactré un vieillard qui avance pénlhk:rnent. -A.rrivé au mjiieu de la scene, l1
:,È sûn rnasque. ,o p*..'.rq*"': eb c'est vorrs....... L'effet porte toujours. à cailse de la
* ;t
.-1;" aussi'à c.ause'ile tout le bien que vüus :lveu dit de voi:s en vûlls préser:.tiul*i.'... car
Ën avez franchement rajoute deux caisses'
.lll /g---:'
' il ll'r
*lllllll
: ,ll[i]
r
:\,=-\'i-<- '
:.TERIEI, NECESSAIRE :
-.
corde tr,ès iongue, un€ grôss€ pi"nce à dessin, un manteau, ull masque de vieüia:c
" :aoufchouc, un machiniste
:.TPARATION:
)- i- ''- - - : le côté droit tle la scène, vous fixez en coulisse la
grosse pince, à rlessin sur un por-ralit et
: -, pas"u, la ficelle dans [es trous (fi.g. 1). Derrièrele rideau de fcnd, vcus plarez vctre
,: ,,--. \7^.,- d'un manlaarr
!t q - -tü"- r.rr ---.-
une chaise.
-L^;^^ Vous recouvrez .,^+-^
votre .*^^1,;*a
smocking "l\rn manteau"
- iachinistæ se tient sur Ie côté gauche : hom de l'r:.e des spectateurs
-
\-si.,1
tirez sur ia ficelle, puis, lorvlue vous êtes hors de vue vous la passez à un machiniste
-,rntin"*
-s
de tiier doutement. Derrière ie taps, vous enlevez votre Inanieau, vous.mettee
:$que et vous vous attachez vous-noême à I'autre extremiUi de la cortie. ..(ft€. 2)
229
6
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sa balle v v' yq
d'or qu'elle
E'E sdvdrr
savait rarrraper
rattraprr juste ii,rta'*rnt
avant qu'ere
ou'eile ne r^mh6 .ra^- r^
nê tombe
-..:-^ .
dans re puits. :
1âï'i:'i::l::'?Y:j,li
"oui me rendra jamais ma îlî:.",:'':, -t à pr"u,,, rrru pià,ialonn,",o,
*
ba,e a ô;{i.iiri'o;:;;,5:ïil:f:îr;;,I:
".; ,,Moi, moi,'i.,",à,àî.ita bale ",.
:il:J:::: j?:,:.:i^:,-"or1e, 1ui rui dit:
alors qu'un affreux crapaud sau.ia sur la margelle uu pulis. d,or_
à chaque rnot et ra bave lui dégourinait ,, er.i, r,àrr,ii,::i:fiL,
oË. teur"r..... La princesse eut très oe-l
recula, mais le,v v,qpouu
crapaud lui
ru, urr ;w,ul.6r.îr
dit :. t\,J ate pas peur,
rr je
ie crric,n a,_i et _ -, , pe_:
fond du puits pour te. rendre tu urrl" suis un ami ^i quelqu,un
^+ si
ià.,'.'ur,
s'apercevra de rien et tu ne seras pas pun;u.-... *ri. Ainsi, quand re roi rentrer.;
Mais, vois tu; ;;;; i. vie, on n,a ja.r
, q,uno je r,aurai .;;;;i; baue d,or. r,: ,
;:i '':,"
sera" ". i;'::';,1"r^:::'^::"-:::ditiôn
La petite princesse n.'en croyait
Ëur r., oreilres: épouser,3"tïut ïni;"i
jamais. Mais ra peur de ra punition
e,.n iJ'riàr"nt forre car la baile varair bea,r
gent, qu'etle accepra en pensanr
en ele-mémâ ,";;;r;;,;ï.';r;;'::*irri:i:ilJ
,,i
ilii,i'T1,:::oj,'^i?]"?^'
i
tâche de tenir la tienne....,..
;;ilffir' ü"oii"1to,.t
.ll:'::1.1'."1.,"
ru i, d ir ; "vers ,,, n, it, j"'tà'
:il:ii, "i,.
accepta
::.rliï:jïi
iJi,li'r"J"rr".,.nàn,î,
et
j
La princesse était si triste qu'eile raconta
sa mésaventure à une petite servante
d'une demi-heure après, à son retour, l"
ài?,ri, au courant. c,était un roi saæ ea
sr
était magicien et conseiller du château. ,,ll .ilËiàii,i,;;i,,J
:,Tl i,,il,ï:l?iîlo^"_,ltarore
qui
oonn?e rr oi,ri ii!, ü:;i
n,y. q;,;;;';.",;;iXil["J
,ii;i
:.""i#"1,:1.,:lî":::::oj.:
prononcé
i,-oïi.,,o,,", ra bale avant iui.....,,. A pe.e
ces mots qu'on put :,11,:J
roir rnà-ùu'tà r.r,, se diriger ,u,Ïi;nï râi: §
I:;:":','."'^,:::'::i^":9::'i^f^'::t-'l-0,
sonder
rin" i"nuit rien "n
enïe",","iu,,", Arors. :
le puits afin d,y rerrouvËr la nalte-;;#';,ij,.:
revinrent au château, iis trouvèrent ru piinÉ.rt" i:;ilà?iiïi,#:::
coup, déglurit la baile d'or. il ra posa uu^ pi.o, en compagnie du crapaud qui, lllrÎ s.i
oe ta prinieis" compri: 1l§r
f;:.ï
tenu sa 3?::'":;l:^j_"1,"^11':
tr.e'
parole. Er c,est.ainsi que sa "i,i",
#à1,, o,n, son châreau,"ürr"*i
chacun avait t
o:,ii;:T1^oï::T,ltl111rière
le
f it ;r;i; ;;r"h;.:;liï,0i,,ËËï;iiï* f
,t ,que Merlin (mon ancêrre) eut une;il.-,
ene...._ roi étali tre, Jü,rr. c,esrI AIÜT
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(trrÏmi ll
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fl et eurent plein de petits crapauds..... Ho. pardon, je veux dire plein de
lLlllll
cngtemps,
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rrr '::rfants..."...
l1l
i rrl'G i
,u ,I jr- une belle histoire, c'est une belle histoire" Surtout qu'on peut l'illustrer avec trois
,;,r'-,, :éantes, un sac de papier, un chapeau pointu, une baguette et un support de cartes
.,r1r :"-e de château"....
$ærrflffi +-
! §rm ''
-=ncez d'abord par réaliser les cartes sur du carton contrecollé double face. d'au
,,,,,,,r*
'iilîrrmr
: 20 x 30 cm. ll suffit de copier les dessins de Hodges."'
Jl,
i,*, :":rière carte représente la princesse et vous faites le tarot avec du vénilia écossais..'
116, 'ttttt,
Eru IÊ
double-face : balle d'or I crapaud (fig. 2)'
- ,.ième est
: :,ème est double face I Prince / balle d'or (fig.3).
G-" - §ac de papier, de la taille des cartes, vous dessinez des briques au feutre rouge pour
trml&"
r ser un puit et sa margelle (fig. a).
1
L. lllusionniste
le plus bel orgd,rc du frencl: Rmg
F'rs ll5 pdr dn.
cbez ,ÿl Robert t,rrze
I1-16 Rte de l'illaine.9l120
9 I 120 Palaiseau
MAGIA MODERNA
L: plu *m Ëruc dlrqc itt-
licmc. DE I I'irlrsblc prticæ d'Al-
bato Sittr. I est phr frdc dc com-
prcndrc I'ltrlien qæ de lc pdcr cor-
Ëtrmot. Aborc+otu che A-Sitta.
Yi. l -lr 160 - 4022 Bologne.
232
! _ -! Ær
I
--
r:-: i t!üllfl{lllil,
.:.ARITION D'UN PERE NOEL
I s:__ r@F
L- --r i/llnlllllül) '\agicien fait montet un enfdnt sur la scène et plopose de le transfolrner en père
-:s tu es trop petit" lui dit-il, "monte sur ce.iabàuret". Noiil....
'}LS É -3g0llu Lbnfait monte etlemagici:n
a: 3: ldit$ntflmT
: :aine _-'e.t,puis, tu ne.le§sembres pas au père Noër, il t, iruirit une barbe et une
:
§rJ! -?il,iri'uûn
r"*rque. Voilà qui est m.ieux..... .4_présent, jep_rgnds_*o Uogtitî,
*agique rt ir r:oi;;;
! :r -:!$m ^;:;.fo.rwter en Père Noë\,.,..". La bâguette ie'déroule, elle'prrr,
.a oo costume de pète
E E l"lüdllll-lfii,, ":. lans.l'orifice duquer r.'enfant pa"sse sd téte.... tout're àd"jii;r, mais aussitôt rillu_
:, :'iiste baisse l'étoffe et derrière ie trouoe un ztéritable parc
he ï-i:: :Ir'* 1lm
:t tabouret......_ iiii i to ptori iil;rn/iir,
a "T *" :'lullllllllrl,
:ruc ne peut se faire qu'en scène, daec ufl rideau de
- §i ,:,ul fond à moitié fermé.
ln grand rnorceau de toile cirée, aous dessinez i"
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[{iiiidùi::::';t*,1';,',',lrs;îr,l,J,ï[hï,#;r,i§,Tf Tiriil,ilji jfi l!îil
ÿ;;:,i:,;nt;,#'.:î
repires en noir, sort f"113:"li,l1i:1,,-T
une épinsie",t t;,;;uverie ;;jnsË,î,.,.,*-"ii,oesine arors de,l
aïT*ü#(r];:'if:i:lifl.J,xi;;,'irt;ilHi:liJi
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[jii,,i] [ii3;'lj: :Xiî:ixïj:::lf;,,'i:':'"',]ô une sorre de petit tuvau noir dans requerir
,T'l'üJH:i:ï,ï,;i,iT,,nt"i
coite sur re
coire te petir
oetir harrn_n n,,i ii
bail0; rris.
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iiirjj:llr-!î*,rrlu.cbup
::1tIJ,T'üLil,ili:|;iïl,
piu.s s,o, ,i, àü;ïu scorch
i). il;;;;';;';;;ïiË"éiïffrï'i',lll',ll:liii#"ii:iJs0ix doubte b
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sur le ballon branc. sort uni_nouvelreép'igr; p]ri'gïnde,.genre épingre à chapeau,
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et demande u''i:ll:"','îïj,:l'.:lg::: ir
ROUTINE
*ii:ti,Jî,li31;h:*.,"11:,::j:":ff
à vorrà choix er ce ne sont pas r* &ii,i!.,;;ü;,d."#,'ilïi,in r_, rorcase d, e
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demande si un autr. enlaÊt pourrail jr-tl
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confier une rl.l<lntre_
"Pour tcr rernercier". liri diT le m:igici..n... j.a;
i-cL"tl toul i l'treurt Llli plt(lltal. jr, ti:
*, "lllI[ ia i ..,.
j'rüllllfl
tTtlr' lllllr
itlmlillllilll
:llril,lll ülr
llllriL'llfliü
"-,,.flI[hr.
lll ri|r rI
:-' rttil
-li,illlilrtlll
''illl illtillnü
",u,rlll1l iit
mrll lliilr!,
,,il .lllltilllr
I lilll]Illlr
ûûlll
-ir"l JlflmflU
;ürI I :, ,ililLLtxfiUiilüil,
IilL,'*:.llt.,L nuul}l
t i -.i [iïniilmür
1E! É,. I IUUtiilflilIü
235
La montre est placée dans un
sac d,étoffe sombre et l:
sur le rabourer. Le magici.n.
rrli ,1".r;';ï;^ rrlou\.ëir: ur_r
et bouscule Ie tabouret qui ,,e.rouf.
uïË. fu'îronrr. da:i e
sac. "Il laut absolunr"ni r..,""lI'i-":::,'il:
a i, r. i, u
| Ë i. ; ;ï ;";:r,i l.;:'iJ :,:i:1 *î.:: l,rr,J;_
et tire, avec I'aide du gosse. suri;;leJpiediioi'.ou.t.....,
j: -d! b"i te corlptê-rem"r, .. ü;iÀ;ui.i!.r.n,. d *-irro
l::d nranoeuvres.
ces re magicien marche f.ancÀ.*ent
sâc, et on entend un craqllement s,. o
pas sur le coup cai ir *ri
,irirt.a....., lui na .._
:I::çpi,
rnars les en[ants ;.;;;j'uu..
.liifr. ron rab. __:;
le itri signalent . î.r, vrai..
'.r avais oublié
la nrontË,,et ii la oo"r.,ài*rlrsernerr: :_L
une chaise, randis que t., i,.ur
.nïrnj."I;i.;i:i.,i"ïË-.ffi
qu'ir a marché o.,,,i:,r
et retourne à son tabouret !J,;;;i;i|;;;;â;
auq.uél il ..;;i;;
arors que _:n
pied rani :rm,
que mal..... et les enfants
.untinu.ni à.'iriîi* que la :: :,r-.
tre est cassée . alors._prenant.un
contenu du sac de<jans, en verie,ie'Àagicien f.ir_:Ê r
,:ràur'ïov.,
non.....". Malheureusement. riisant bie:: :rc
ce sont Oer-pieces déta::,:**
qui, lamentablement. r.. ..punà.nt'd;;;i.i;.....
,,icien - il faur
bien re t.;ai;às;;;;i...1.. eï ii ::i&
flils ,, offre :.-r:
j:- rlr^"^:r u m ô,t..,- p ;;;, ;;ïü;,
L,rvuyer en reDaratron.
ri1"11"":0" r. pro p cs : u:
Il montre alors une Uoit. ài.. I
tluelle il verse les oièces....t tr.onn.'il:.îïr'n,. ..ll ne
à uuendrô qu. l, ,.puià;;;;;. ::srr
tlT'::
pis demander trop longtemps, ;;r,,i.. er ca _: btr
les preces ont disparu er. à ra .;e ..oi*... ii-ouvre la b: -:: i
n)e : nous vous relournons. cc jour.
pü... àn irorr.îr-,ei.....,* i
la ;;;;;...;::;*
rdparde. elle vous a ere expedid.,;;;; ',in,,poqr.,
Jaune .. Le magicien :emble i"i.ir"qrj ,::. a {{
.i'r.I
iîlffifg**tffi;î+=$l
ne soir cassée .. enfin. nouiiri""ï"àri_i.'àln"^,,,_
.. I
les..cinq bojtes. A I'inrerieur
o. r, .inqùié;;';"?:ji:.:,i I
,;:ir, -
r: Iil i î i i,';iiî.': i ï_1.8îî JÏ;Jlï i; Hi i: -.i
I
615
D É$*"§
Â.\
e,"s
I
_el§ ê
I
El
O @rulE+4f)
ô/
236
.i. fâut 13
.ux petits sacs d'étoffè de cortleur contrast(le : l'un elair de l0 x 10 cnr.l'autrE: tbncé
. l0 x l0 cm de coté
-.
élastiriue
'.e boite tiroir cn carton
r: boite à 7 ou à 5, ce qui est suffisant. ilont la elerniÈre boitc, n'a }ras de lond. lrai5 a
: hiillteur minimum dc i3 cm .la raison en devienclra i:laire rllns la description rlLr
: ôLlfcl
ÏETIC
tall,ourel truqr"ré clont nous allons dicrire la fabrication en riétaii. C'c labouret, qLti est
de l'experience , \:rrtiS fernrcttrr igaicn-rent de rangerr Lln peu rlc nçtteriel
'.19 5le _voûte
-: rl devient valise unc fr--is replié...
, :1..tr1-
.:,
rl
'"CIFE
li
' -'un des pied-s cretix dt-t tabottret qui perniet de cl'rarger.ir nrontre clans le pctit sac
,: trouve dans l'épaisse lrr du taboLlret (11g. I j. I-e de sius ,lu taboi:ret comporT. Llnr
.:crète que l'on ouvre après avoir posrj la boite sans i'onci par ilessus.
",FECTION DIJ TABOURET
. lfre :
1
))
J .'
l rq./
:
1r
.)a n
PERCAGE
Percez les 5 trous du i'ond (f;g. ,:
I.es trous A et B sont au diaÀèi::
rieur du tube qui dort pouvoii :u
:
légèrement à force.
Le_trou C : diarnètre extérieur ;_
+ 5à7mm
l-es trous D et E : diamètre per:,:
de re.cevoir les écrous. qui seron:
CHARNIERES
ceaux de 34 x r0, en suivant res cores o. ra.r,g.lT'ix'.ïr:l,:lt'îïï'Jii.,ï_::ï.
Iii,"J. i#:,i xili.l'â',ïi:[,1]h# i' o " ia',pe r *., ;i;';;';;"oir n x r ce t t: :
e
SCIAGE
ltLi^1:"oi:,:::l::.-:iîl:.p:1!i.
Assembtez Ie croisonnement par
p du couvercre comme en fig. 8.
"touue.,-.n;;:'o#ïË:i.'b*r"Lr ra partie D
cle sur le coin du cloisonnement marqu?
X ,ui t, fig. 9 (Iig. l0).
du:
.ii:*l:: 1."ï,,"=?,::::l::.:::,1:;-;;,*;;i",,
,ju'iàut.'-,
et vissez res 3 couvercres mobi.res,
b";1;;;ï";,"##lii#:i1i H
*iJ;iJ:i t;,,,,..ïî,ilii
Clouez le fond et vissez la poignée.
"?ïnà.'r.ü.
comme
prenant par les côtés. re couvercrel:1'*"r
*"".,"J,':lI::ï::_::1::::.:.:: {ig r r. Les couvercres I et 2 se r
:, qui esi compteiemenienr"""Jài'ii.rriff:J::H
vvrrrvrLLLrrrrrrr çIItuure
se Iève grâce atr petit coin coupé.
Lafig. l2montreladécorationàdamierquipermetdemasquerlesdécoupes.Lecc:
coffre sera peint en noir à ra
uo-u.,]Ë-à.rJür.ru apprêté, poncé et peint, pour
un n:
238
L PIETEMENT
N"§ltrm
I
: rn lliltrr 1a:;Lrr:1ir n{lLl.j lr!.
, les iabrir:atl.ns
.-,..::".i'il;'";1,:rT;:.""''t''
drg1.1ç.. par rlr jùtr1i
i1r. sont pa_c i_.onsîitntc-s..._,,,,
f}orir ir,5 liibr: ilr: pi:t lirliti
lii,_i,,r,
::.iü!t (jii(. ,,..1;: irliliir.ia:: ;-1:: lr,1
,",,,i,',',,r." ,,'r,. ,,,,..,j,,;,r;;,,r,:'.
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ir,rbes r:st rjg;:ir-irertt ob;tnirjr
i,:il^Lrl eiri:,..,1ri d: i.;it:l r_ir,iri.
:ur iir: bois serl coiie,l 51.11 i*
.,ïJ,J:ïJJ",i::,:;ï;:i:,t ir-ii-re rie -l,l rm à i ;lr ii,une i..:;lliiriri:
r,oi,.ti,..-1,'pL, un,.,,,1,,,,,, irr.lr i-i; rt lrs
ü.:";,;.=.;;;,.j,,r,,i,.,1i:ha11..y;,
-:-:.
bagllr rit bi;rs r"r"
''t:'ir- rr{ \iKr \r.,x ::::iJ*.-':rrr lr lirirc ,'rr'1j.,,
d.. J-i...à..r i:l',-r ,Lirr.\tiJrriri
j.,,r.,.'., ae -Ji.irlij
...
i,i ri r,t',,i
ltiiircrrl. ,{ l'ai:li-c cxil.êriirtl ui.;;.:,:
È-T
,*.* ,,rfia't-,,r*'ar.rtrr: iragrii: ;)
I ".r::1,...i ,,n,,
i:i_n tJu brrrj.
rilj u'l tLlbi clï cnfliciri'un
côtj r'lii rit l";rritre, ic irbc,i.,lre t rlsi ij;]rlcal Lri.i n(iii._...
hl iil
i,i iËüH
- :r ti'eux
ltr*rls ticrtr:;it;x.
,. làirçrurr:T à 1,h,:ri::,
tl
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.1iliij:;*a:# [ïi,, ï1,ï*,i; î,: ; i î ;: ;.tï:: f ::;, : ï i :::,:, ::j ;:, : ;
'I
-:' lt-li:rt',;t .,,cLis-l'irrr qLie c,i:si tr,-l:
ilrslaLli. §jii:i que ic .reLrÛi:rc1
': {r"}i,,! Jil 1rûL: {' de i, rig.
"; ,rrr-rrr,....'i-. ,rlur.e t esî aiors
esi .ie 1,e. )t i11i;..
:iir p.tir nbiei emL'airrt,j . n:*irrr,,r ..,ro,r,.ne se;::r f,re !r.rq
- c i toinb* lire cterrenT <.ians le ur. .ri."lr,r,, hrrr:u." .;,.r..,';;;,;';irr jiiiiirr{r.rir
C. *uüuî ciiiire.
ti,lti tJtül
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*"1,1,,É1ltll,Ifill,lt&f
",*.t:ii]tril illlLh,
ufi ]1.îlillllilifiL,'lltnltrt
239
16
ROUTINE
240
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Gr-o:
§
fr*1\
lt4)i
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mmffiffiruK
ii.=ll
:::D{CTIüN MUSICALE
lL.ll
I .-_.-.-.1
ü -d-z Affiffiffiffi
-:t bien pratique de pouvair faire apparaître ie Fère iÿadl. Quanci ce!ui"ci entre en scène,
,,, rnroir ptus loli ii l'archestre iaue "PET'IT PAPA î\JÜËL". Et, quand i! n'y a pas
. ':hestre" an y remédie de la façon sLtivante :
-- . :-irsfe présente un mini cassette, qu'il place sur ufi tabouret devant le micro. ilmontre
s cies
'
, ;te a ne plle rj'e casser æs dti commerr:*, pré*nregistrées, des d ivers chanteu rs c an nu
i: :â§"§effes sont mélangées par un €tlfanf. dans uri granc,! sac de plastique, puis l'enfant les
,--e lui-rnân'te une à uie et une ltersûftne du public crie STAP ! quand elle le désrre !,-a
:3ria ôrst appartée sar$ aucun change dans le i#Çteur, ei, aussitôt, s'élàve la douce méla'
". PËTIT'PAPA NOEL. De votre àô#, et avant l'€iipérience, vaus aviez signalé qu'une
,-:snnalité se trauve en caulisse et, que si la prédictio,n esr exâcre, e!ie tloit carrespondre
; cassafte qui sera choisie..... ce qui fie mailquë pas de se praduire.'dris les premières
,s arrive un merveilleux Fapa ftloe:l rlui fait t:hanter las enfanls avec |ui"..". aidé par la
t.:
..;ite.
.
"Ll
ril
,. , qüi srrnt tant sait peu versés dans la hi fi auraî-,t déià compris le truc : Vçus achetez
,,iL :e's rnarchés d€s cêsserres préenregistré*s à vil prix, genr* Enrica {i/lachiasse, Dalida"
": ,ie Matthieu, et i'en çublie...... ll tautriu"il y en ait une bonne vingtaine" La raisan qui
[11,, . ste à acheter des casseffes préenregistrées" au !ieu de les faire værs'mêrne, e§t que Çes
,,:ies ,omptrte*t une étiquette imprimée avec le n*:n du chanteur. Etçatnrne vaus ne
- .z pas les faire écsuter une par une, vaus demandez à votre aide de lire que les titres.."
.il, :cutefois l* laisser alfer fust1u'au baut car, pour mrinager votre finale, i! faut sor'enf
llllr'r
lllil l
ij
ril ' :4es tyuetques çâssarfe§ dont sn ne connaîî P{}$ le clïaïitsur.'-'.
r'l :" : "intipe /es câsseffes preenregistréas sûnr tneffaçabtes, mais n'aubliez pas que vous Sfes
- -ien. L'exarnen Cu das d'sn-e casseffe fait apparaître deux petits ergats {fig..'l ). !-orx
- :es ersots sonf cassds, vaus ne pauvez plus effacer la casseffe, mais, si vous abstrttez le
' .:r- !N!' ' aveî*un ruban adhésif..... vous püuvez i* nçuveau pracérler à !'effaçage, suivi d'un
: r. 'r
;tstrernent.
lLlllLL
.
- .i l u]lrll
:-,s suffif danc d'amener mticaniquernent foufe§ vüs cas§effes vefi le chiffrs ?Üt de
"-. campteur eT d'enregistrer Petit Papa {v-odl sur chaque face § de char4ue câssefre.
:H' rrllll
: fois celle*i sétectionnée, rnettez-la en rüüte sur la faee § et faites entïer le Pèrc
-: ne ferez pas le Lida avæ Ça, et de plus taus les papas présents et passionnes_de li;F.i
t -.t {}fiê va§ue idée du truc, mais c'est la fâte, leur gcsse va avair un jouet, le Pàre.No-'l
* s It* ,,,1' " - : .,.. et an ne vous en demandera pas plus" Si vous êtes amené à faire plusieurc séances
. : i'après-midi, RANGËZ la cassefte chaisie A PART et ne b mettez pas dafts votre
Jl&,
- -ü ll'llllillm)
'+Ïiitr
fi nt.L:- LililIlllfr' ."-'tain passage car sinon on vous fiettrait en derrteure de faire apparaître Jrth n Trav!o'ta'..
:rrm 'l'illllrfu ; te sais pas si Ca serait un bien pour les enfants........"."
l&T - :"1 & " :'incipe en lui-même peut être utilisé dans d'autres acca§ians"
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I\IUIT ET CREPtJSCULE
par Didier Decoin Prix Goncourt
4k
/ '--F 197v
Pierre Brahma est magicien de profession.
La merveilleuse rigueur et l'extrême élé.
gance de ses numé;'os font que je le tiens
;,:4
?r=
pour le vrai Frince des illusionnistes - il a
d'ailleurs recu, à Vrenne en 1976, le tit;-e de
champion du monde de t'illusion. Brahma
ne coupe pasles femmel en morccaur, mais
I
il fait surgir du néant un ruissellemenl cje
ll n'hypnotise pas, mats il
ru1s pierres précieuses.
fasc i ne.
ll n'empêche qu'en ouvrant "La l\4alle des
lndes" que Pierre Brahma vient de puhrlier
chez Julliard, je m'attendais plus ou moins à
subir une de ces autobiographies pariaitement
narcissiques qui ne passionnent fineiement
quecelur quien est à la fois le sujet et 1'ob1et.
Je me trompais :en littérature aussi, Pierre
Brahma est un magicien. Car loin d'être un
auto-portrait complarsanr, "La lr4aile cjes
ll,:e'l* l wif{.
lndes" est un extraordinalre documenr sur
j" lllll&r
les coulisses de la nuit : la nuit des cabrarets,
: -!15 cles casinos, des tournées minables, la nurt
*: :iat"' t:t 1fi' des grandes vrlles du moncie. Ce ne sont pas
rllli{ 1, dffiti là les carnets d'un artiste, mais 1e regard et ia
f,lltlt - ,,", ,, tendresse d'un homme familier de l'envers
' !ü& . illlilt]]
Cu décor, ami (et parfois amant) des êtres
étranges de la nuit : artistes ratés, comrne le
lr$ :.-:'* li llllilüil]
vieux magicien Scarha et sa poule pondeuse;
i &l:l-- r lllllltilûX
travestls pitoyables et bouleversants, comme
iæ: il:rrl ffil. Ia Femita ou la délicier,ise Linotte, prosti-
rnüailf:a lllllllllllllii
tuées cvrriques et attendrissanres, comme
Esther ; exploitants de boites de nuit, comme
: I :1.' i illllllf
le couple Alecto.... et je n'en finirais pas de
,flt1
243
"b[rhtfif,r]W,fr,vfi m
:1rii
tg
ffi
îaç,Ï
F
.'#,î:,1î.J:J;.îiî:iiiïË
: "Tante Agatha a la ï,:: l"t urJri"
plume.oin. iîJ,î,làt;';
i[î §:,x';],J::ïî i.;:. ::x
Ël ll
ffi
.=.oin:"
.*ft?.îfi;':,"ii,::: rffi,tïi*t"lmU:-:îJ,#;,i#,T;ïH1:
t;"- :giciens sont differents .....
t*ràt.igr"rpturgror*rdansles
h ,'r:,* : rï ft
*"1
.l* : r. lulilrffir
llll ''i aimé le livre de Rrahma, et j'ai eu le courage d'écrirece que 90 % des rnagiciens
-rrent tout bas et j'ai sans tloute commis un crime de lèse-grand-prix..... et B'rahma
ll|filllrrr'-
[lllllrr '..:t1rne
de magicien, mais une chronique sur la vie des catrarets. A la limite, n'importe
un
quel
: doué.pour"l'écriture aurait pu écrire la rnême chose... De Brahma. qui arbore sur la
lilrurr ':
I ;lt -. i: :..1', ü, llËû son tltre de champion du monde de Ia magie. on attendait de la magie pas
et une
,llll,o* -ue dans^le genre de ce que simenon a rtéjâ fait dans ..Le déménagement'.. Les deux
,lilü' . -i. mais Simenon re se présente pas comme un magicien.
*:-. "i tilll* 'rma j'attendais autre cltose et c'est mon droit. J'avais fini par croire que les colliers
L[]illlllltl
Il[li lrures qu'il produit cltaque soir étaient véritables et ctrntintàient à scinriller
-;ü , : tii,.]tlllillllll une fois
:cteurs éteints.".. J'ai été déçu, c'esT mon problèrne. ca n'erllève rien au
:=: i- ' Ll1r llûllfl nunréro cle
Ë I?:i: :r'rii: l]flm& ' : ::rais jamais la chose d'Edernac, question de physique....
i; ht -a -" nrittl||ulllÜr'
- .ble élégance consiste, pour moi, à connaitre les frontières que notre physique
;ri:.' nnililil1lllu
. et c'est sans doute ce qui m'a choqué dans le vocabulairà employé par
nous
Brahma :
- -ne tête à dire des gros mots..... le rnaniement des gn«r-s mots, de i'ilvective. voire de
: lout comme le port de I'habit, ,"1'est pâs l,apanage de tous.....
x ::r rm rü5r, ut ça n'est que mon opinion et je la partage."...
.
;ilg.IÏrf lt rrilIüff,
.i ne pas aimer. c'est l'affaire de chacun. Et finalement, c,est le putrlic qui juge
: rs; ,lI li Lulr.,(lht ''r de compte achète ou n'achète pas. Aucun artiste ne travaille et
i I i,J/l, ilmuüUll[,
-, .'rutrques avaient vraiment du talent, ils seraient
polr les
l-ia "iitlqr,Ër."..
artistes et pas ciitiques....
rrtrttttl uüttr
," :viens d'une émission de Bellemare, dans laquelle Gavoty, qui a iritiqué tanl de
Erytr:iJi 'rait.été incapable de reconnaftre un Lrout de la 5ème de-Beethoven.-". On avait ri
[':lr
-: ce jour-là dans les conservatoires de province... Gavoty n,en est pas mort et Belle_
l,4IfiE8:1".. llllllll
.: plus..... et l'explication linale a dû avoir lieu chez FI,o, devant une charlotte aux
uun urr ]lllllnut
llmÊXl!r,iinûllllrlr
- : S UAGICIEIIIS SONT DIFFERENTS.......
*lrm.
m§
TT
Irllii{rüLl]t,
' :,rrr une fois, faisons.bien les choses, car Mad est une revue libre. MichelHATTE.
TOfl
,;ït^1,""1y1,:.::1,:1rYf j'ai faire du.bouquin., a trouvé une crüique de
ITTE ,l- - ECOIN qui résume son opinion. f:-" Il nous I'a fait pu*"ri. et vous la
trouverez quel-
lilGl ri.. ' ins ce numéro.....
' .:s changent....... et un jour, les magiciens comprendront que finalement tout
ça
'Ul .,, si grave..... et que l'essentiel c'est de bouger, FAIRE même
si on se trompe....
ütuu ;ili- -: lemmecs... sans rancune, Avant de
u"i ".ever,l'é..irai
:: si c'est de la merde, j'espére franchement
bien encore un ou deux bou-
qu'il y aura un plus courageux que Ies
-r le dire....."
245
22
,JZZLE
Bernan
-motn
LE DL
ÿotlJ i
-,-i::- firt
vcL
?nE 2,
'â
DEUX BOUOUINS D'HORNECKER :
,n proorOri.lt - \GEN
,;pîiit"r'#;il,:"i: ce pour ptusieurs raisons : si te dé à
H,l;t*T,1,1,:,"îit:.,?",lol, ::NE
estencore. utitisé tàirr,
ï"i 5iJ; 3;i';ffi"'i:'"i:,;,f"":j,:
q,ïrà''iirr;I.'",*.iiËÏ,I,'ni
iO I II
5:T,,?-""ij'.ifi,f::j.1.:l1pl"
De prus, re dé à'ôo,à." j:i:?n coudre, ni rec
"'i,In "üj; iüï;,;-";HiffiilfiX',:!ïllr"#fJil #i
yrll:r^*:,r1r]u ui*iriré-ô*liuiman,purateur,,macho.,.....
fl,,,:ir;"::l
est d'avoir su proposer, page 42, rÀ làrt.il'nombre. Le mérite æ
et se manipuler avec le.s mêhes iectrniquài : Foyer d,objets qri p"rrËrï"rffi;.# ENNE
de pipe (tel Smith), pommeau oe
rflI,,
1,".:r; etc.... g'"î^g^::,iM_[""; ",ïôon,n,ér"nj. ô.iË.i",,,u]ï liouter à ra riste
cisare, Les derniers chapitreshu;;o"iiil;i;i'i;J;ffi:ll*:i:iEli,l'iBi:d
JT
r.éli:_,
idées. ir est un p"_, aà.nÀug;qil i;;;';"J.,',
descriptions..... ma rs personne n,est parfa it....
ii"ffi#iirïl',ttr
I J: 1,9"s
un bouquin à rire absoruÀ;;i ;t d;;'ËËri*'0, 7s Frs :I
est amprement justifié. ^'.iî
.f) ,iri
MI
A lire,absolument,- l'excellent compte_rendu de
lf st rare....... !
"-o^"y"t c'est
coaî.....
Robert
BnlxeUes. Enfin une reaue nationale qai a .Tane
dans l'illusionniste,
le courage d'appeler un d f,\i
246
. >UZZLE DU MOIS DERNIER æ
Bemard Btay a approché la solution : Le petit métier du bravomme : époux-vend'
-à-moineaux.
Chequ6 PostauÀ
\t L. L.AtGltR. C C]] .ll-t.lx \larrrlle
tecr: UanJats postaux et 'hequn Loçares au
§ pia'§ } BOCHAINES MAN I FESTATIONS MAGIOUES
nom de A ROBERT
.§- :
t.-
c bry hunm.
üû.!ilîlllr
pnîr d
G:nmurr
rt-
qlr
ç
247
POUR VOTRE REVEILLON DE NOEL, et dâns Ia série :
!E!s;e vous avoue, nous avons deux diners cetle semaine, ça me fàit vraiment trop-,.
sroP, une fois de plus, Michel HATTE a la solution et présente I'oeuf carre .
Grâce à notre nouvel accessoire. vous pouvez donner à n'importe quel oeuf dur ung :
rigoureusement cubique et ce pour 22 F et 80 cent.... grâce àux oeufs ainsi rabriqu:.
allez piquer du pognon à vos invités et peutitre même flus.....
Fabriquez trois dés à jouer avec des oeufs. Il suffit pour cela de planter des punaise:
faces du dé (ou des rondelles de truffe, mais c'est chir...).
Amorcez dès l'apéro en pari-ant des poules du Cubistan qui ponclent des oe ufs carr:r
que vous en avez et pariez 100 balles que la chose est possiblè. vousgagnezet, beau-r,
vous remettez trois ou quatre. to-urnées d'apéro coniécutives.... tte'fàçon qü. r,o.-,
soient correctement beurrés. A I'aide des tiois dés, irnprovir., un. partie'421
garnez car vos dés sont plombés (ils ont été pondus par une poul. c_*
sypt.,itiiiqr;... ;l
votre ami 1'a plys de pognon, vous lui jouei les fringues de'sa femme et, bien su:.
perd....'.Afin qu'elle garde une tenue côrrecte. vous]etez seulement sa petite cui:ri
leu e.n dis.ant qu'il serait dommage de voir sa robe-Griilet. Puls voire femme entrain:
vers. la gui_slne pour iui montrer la recette des oeufs durs et vous, pendant
ce ternEi-
perdez habilement votre bouton de mancl.rette dans un des ptls ail cinape.-Cà*il
n'avez. pas vos lunettes, c'est bien la moindre iles choses quà riiirr. uous
donne un c.
main. Quand elle est grimpée sur le canapé, vous la portez aoucàmànt â ébullition.
que son mari mairne dans la cuisine. Très vite, elle sira dégrisée e
;profitezen pàui.",
votre silence contre son chéquier. Renvoyez-les chez .ri, gura", le pognon et fé:
9-.pg*r tout ça pour 22,80 F, plus trois oêufs. euer réveilloî I Ha, vrâinienr, mercl
HATTE
248
r I
7 r\ :. CAHTE D'ABONNEMENT
et de MEMBRE. ..
"DEPUIS
u* )
OUE
PAPA
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249
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250
CIANVIERSO
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i lt,\tl
A6I
It\\(-)tlo\l l\\l\
EPONGES NECESSAIRES :
à érono", rouges de 5/6 cm de diamètre
z e[àiæt noiris de même diamètre vendu avec les éponges notres
I cube roug€ creux, q'i'Ëtt g'éne'alement
tantôt boule' tantôt cube'
et qui se transforme pui''iiàütn"ment.: tvpe de celles utilisées
2 petites éponçs t"'æ'iii't*'Jé'ài"-ctradu
tes 'éavorting sPonges"
"Jur
i ntoG boule rouge de 12 de diamètre .
: un ;;;";;;; cnaruon noir en éponæ' dont on a
Eventuellement
et qui tient dans une boÎte de
évidé une grande p.niâ""'"ï'n coupita coriespondant avec le trou du
trou
carton dont le
"o,'"'"1'
possède un
;l tlli
morceau de charuon'"'i'#liffi;i eponæs ",Tl*l,,lli:
ry1"."-**" de ra routi ne " " I I
#;:ïlr"i *Ï:'1iï;;' l;i;!'È;â't'o *
Ëff Ë;;;;,Ëùà,",,t éi;; "'"'
^;!Pi!::-Jî^:i$:i""
§Ï"HÏi:'ii ià ii"i r'"'*tà'' i àut'"i épon çs de a #.:,1,,o":i"'
rou ti ne'
I
is,d,Hârguisullh* :
257
PREPARATION
BOUTINE
253
Elles sont de nouveau......
... réunies.
"Et maintenant...."
Ci rryr-i m
tury. !ffi
"On croit que c'est facile, mais quand on n'a
!,uæ:ile-rarY pas l'habitude, c'est très dur".., Allez, je vous
lr1ê PqgË-"1ll donne encore une chance".
"Regardez bien."
255
l:' .'
l*:".
vers la gauche et, un court instant, la main c
'*22
§:",j,
"Hop !"
256
r*i "Par contre, je vais vous demander de lever votre
Gt ttls+t
main plus haut".
I
La main gauche prend la main de la spectatrice
entre le pouce et le médius et lève la main de la
tn hr
s
1T spectatrice de quelques centimètres.,. mais, pen-
dant ce temps, la main droite atteint le bord de
th la table (fig. 23i, laisse tomber la balle et se
relève aussitôt comme si elle avait touché une
3 plaque chauffante en disant .
"partait".
}I
hü.
I La main droite, gonflée comme si elle tenait
toujours sa boule, fait un faux dépot en main
gauche.
257
"J'ai dans ma poche une quatrième balle qui r r
été donnée par l'homme invisible".
258
9
r@tÛ
htr-*.,.| "Êssayez de nouveau.... "
260
TÏ
EÊlr€|rr4,-* Jlll]]tl,
267
I
frE îT€tU STA o*:
I
,/((
Y z'onl tout de<moli devant chez nous. ca a été longtemps insalrtbre, c'est
y
vrai, mais en1-1n. yavait des gens qui vivaient là. Ils étaient pas riches. mais
vivaient'zavaientpasdemobilier'maiszavaientduRicardetzétaientpas
pas tou-
chiches. ,o,,, pouoi.. arriver à n'importe quelle 6eure. ils savaient
jours ce qu'ils allaient bouffer' mais zauraient préféré crever ^ que de vous
iaisscr repartir sans Ricard.... Les promoteurs les ont virés. On a fait des
manifls. on a chié snr la gueuie des c.R.s.. mais ces putes y zavaient des
cas-
queS.'. alors, I.orcément-..''. Ya même une vieille qu,est mortt-'. ds peur qrr,on
lachangr.et.quandilavuça.sonvieuxquin,avaitpuqu'elledanslavieet
qui n'avait iantais baisé qu'elle s'est trouvé tellement con et tellement laid'
qu'il laissé crer.er. on étouffé l'aflaire. nrais nous, à (larces-
lout seui. s'est a
les-Gonzesses. on a pas oublié. Quand ils ont etl viré tout le monde. des
squstefs sont arrivés. des mecs qui jactaient même pas lrançais et
que c'était
pas " Epi'
,nê*. pu, la peine de les engueulei parce qu'ils ne comprenaientpagannini
zont viré les squaters, pi y zont tout rasé et c'est MERLIN' le du
béton rloulé qu'a ramené ses cages à poules'
Là j'arrÔte^ pârce (lr.le ia revue est envoyée à Marc Albert ct que je ne voudrais
pasit.choquelpourrienattmonde.nraislesmecs.nrultipliezlavénalede
ittilr.,u put rlix et vous aurez une idée de la sculpture "
qui se remonte tout
/-
C'est qu'elle s'était lait mettre un store automatique" un -§
j'ai eu plus qu'une cesse : fabriquer aussi des stores' parce que' en
seul. Àlors.
porte apparition' pour enrouler les
magie, vraiment. ça peui servir : dans la à
262
HU g${â3'r D'
BX
ONESIME LAB-) b'- u nn
barreaux des cages à ilisparition" pour l'arre changer il.t:l.ttt t.tttcrtlttlti ilnl 5iil -
f'act-. 6p pelt sr0nle en f irr'r un art si.\ge arrit\re d'l:r;n hrelk tt 1r- tirtr plr-
dessus lcs bagages qLt'ott laisst. afin tlc lle 1ra\ ttl)1er iL-s \olcilr\....
MATERTEL NECESSAIRE
I )Percez le tuyau A bien au n-rilieu et cle part en part avcc un forr-t de (r tllnt,
l)Pcrcez un avant lrou de I ntm de 0 dans les deux bloers dc bois. cn prenallt
les diagonales ( fig. 1 ). prof'ondeur J0 ntrn
3)Percez les deur entbouts [) bien au nrilicu avec utlt nrèclle d'Lrn (D égal I
celui cles crocltets C
4) Faites une boucle t'crntée avt-e l'élastirqtre (i. Ne pas l'aire un notLtti . asselll
blez les deur boitts avt'c tlu lil dc l'er qtle voLlq torsa(lcz atrtour (f ig. l)
+
5 )Entrez la bouclc dans le luvau en votts aidant au b!-soin d'trne tice nré1alli-
qur'. arJ bout de laqucllc vous avez fixé un dcs dcux crochets (t'ig. 3) . L'élas-
E E
ü
I r r^r
LB r
263
t4
tique est maintenu en place momentanément par deux crayons ou deux bouts de :_*
fig. 3 t.
{
6)Le tenon est enfoncé dans le tuyau A de façon qu'il passe ENTRE les deux brins ::
--
*
l'élastique. Il est collé à l'araldite et I'on scie ce qui dépasse de façon que le rou...r-
soit bien lisse. Terminer éventuellement au papier de verre.
7)Passez les crochets C dans les deux bouts de l'élastique qui dépassent du tuya-.-
fermez-les avec une pince de façon à emprisonner l'élastique (fig.4).
8)Enlilez les deux embouts sur les crochets. Ceux-ci ayant été àvalisé par la pince ::.,-
I
vent pouvoir entrer entièrement dans l'intérieur de I'embout (iig. 5).
9)Les deux blocs E sont cloués aux extrémités de la planchette. cle façon que les.:-r
avant-trous soient dans I'axe du tuyau.
I 0) Les crochets sont vissés dans les blocs de bois.
L'opération est délicate : afin que l'élastique garcle la merne tension de part et C';--.-:
dtr tenon B, il vous revient d'évaiuer combien de tours demande la vis pâur se viss;::.
il tàut alors faire faire au crochet. et donc à l'élastique, autant de tours dans le ..-
contraire. afin que le vissage terminé. l'élastique soit encore une boucle sans aLi.-*:
torsion.
l1) Il ne vous reste plus qu'à coller ia toile rJe store sur toute la longueur du tuyau e : ::
remonter le rouleau de nombreux tours dans le sens contraire à celui dani lecl.-
doit tirer.
r
q
12)ll ne reste plus qu'à coller. clouer ou agraler l'extrémité de la toile de store à la t..-":
<ie bois qui sert de biocage afin que Ie store s'arrête de tourner lorsque toute l'é: :-r
!
i2
est enroulée (fie. 6).
I)ans cette version, c'est le tuyau qui tourne autour des embouts et il en résulte pa:,-,
un certain bruit. Une autre possibilité consiste à percer le trou des embouts D d'un diàr:.:-=
â
suffisant pour y coller un rivet qui tournera librement autour des vis C. Dans ce ca: :: \
embouts D seront collés aux extréniités du tube. Cette solution est séduisante, parce :{
>-
I
plus silencieuse. ntais elle comporte un grave inconvénient : le store n'est plus démon;:: r
en cas de rupture de l'élastique...". Choisir. c'est sacrifier..... (fig. 7)
{5,
Dans le cas où on désire réaliser un store qui enroulerait les barreaux d'une cage à dis:---
t
tion. on perce le tuyau de part en part d'autant rie trous que l'on a besoin de barreaur.-- (
sur un cÔté" on agrandit les trous de laçcn à pouvoir bien fixer le fil qui servira cle barr=.*
Ceiui-ci est noué à une extrémité,le noeud est encluit d'araldite et il est plaqué à l'inte:..-r-
du rouleau auquel il colle. Il ne gêne en rien l'élastique..... Voilà. il sufîisait d'y pen:.:
et souvenez-vous. lixé au siège arrière d'un break^ ça cache tous les bagages.....
'!-
Bon, c'est pas tout ça. laut que je retourne bosser. rnais c'est pas grave. parce que ce r::-
je serai de nouveau devant la fenêtre. je regarderai de nouveau le store en le fixant ir:."- {ÿ
sément et peut-etre que .....
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264
V
:dl.l- ." :illl
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# @@wlmtmilil ffi
Letire recue et adressée à la Dtrecttott rle ILlati.
:- * LEON KOLAËANNE
Plakband street 25
M i nésorap ol is {Sco tch I an d)
-i:rl #
iii Dire Soeurs,
Ail âme veriglade to gait your rnagazitte, ltttie evr'tr
issu,ize foremt seutche a grit plé1eude. Batre. ail comme
ta ze pointe ail wood rnatk et con'plarnte. Hit eubaaut
,I ouane artikeul ov Onésrme Labcurne Atl donpte
iiil : lnde-hertz-lnde ouaille, lou guyve hymne ouane rub rrk
,*i-s ine lnche issu..bicauzz, bilivmi. hthlzz rcribadde.
! :üi Ail huit'e teck on lit ouane ekampeùl : lqueve ze olpeul
: ilir'i in ouane {}v your /asre asu s-malle durityoursheii trtque .
i:
Y'll plusieurs trucs qui me les gonf'!ent et. nofanrment. ics magiciens r;ui se plaignent gu'r,,: peut I
Èes eroFie . "ii a p'ris une corde rouge ci)lrlrlle rnol el cûnime final il fait la-neige;;rponai=. truc y
rclnrle mqri."' §-e gros prrnb!ènie esl que Ee plaignani n'a ir:venté ni ['etfdf de Ia c'ririte. ni l. il a l'ai
rrr-ige japonaire et, nel:f fcis sur dix. ceux r;ui gueulent le;llus l'ort sont ceux qgi font :.
sac à l'otuf. ia cclr«le coupee et les h*nri;<.rus..... rtri-ra*d iis lie s'aric:r-!l1ent pas. eg catirlinr. Tous l
au r floullrds r ingrilime siec .. ... lamenr
srotes{
Âlors. nroi il nre fo:;{ ntsrrer. parce {}iie t-ru ils soirt rie ruauvaise f*i. riri iÈs n.ont âucu. . ceux q
mêmoire.... csr la copie est non seulemeut inévitrble. mais eile est nécessaire. euand constrr
:ippre*d il inrporte quoi. olt comrneltce par copier rles maitre,r . on ci-i1:ie non seulenr.:-- janrais
ieurs iter-ivres. iil:ris leurs gestes. csr filuÉ enseigrrercen{ *st â base rie copie. A l"école. ir:
de faire ries dictées" tin fait cie la ct;1iie..". La cr'éaiion et I'imprr-,visaiion rkrrs ir'imp,:-, Par co
q*ei riomaine supposetrt la maitrise d'un vocabulaire de base, i'acr;uisition cl'un céri.- bien pr
nombr* de frurs ef <ie prccé<iés. vcire d'erercices rlLle l'on n"fl pas créés....
Quand
Âilez. les mecs, soyûns honnétes deur minutes. i,a création tt;Tale n'existe pas. er t.)rri donc ;
,
*rttnde rloit quelqtre cltose à lout le r-rronile. Touf le moncle a fril cles emp;urts.... mrr-, ;usqu'a
3t ne (
rian-o la création de notre pr(lple pÊrs.)nnâce. rlui n'est hien sou-r,ent que ln s.,,niltè:e . elors q
siivers éléments l)i{ilrtis ça et lâ e! {jur nou-§ â1 ol.lr réa.juslés â nr,rTre *}esure et â ncls rêre. ,-a sera
.iamais
fl1 ls-r pius grands !1'v orlÉ 1;as écliapué . emulati
Les pretniers cGncerti pour pianti tle Heetholer: ressenrblent r{}nlrne des frères à clu \11:.- Bien s[
:ans int
Ficassr: a cornmencé en copiaul Laufrec" Yves l{on[and étâit â *,s riébr,trs très influenci .
- Irats, n
È4aurice f-irevalier. Eï lel lrrenrières cltansor.rs tle Serge Lenra ressemblent à s'y,*iéprepi:. . .:n créa
du Ilrel.. ". fogance
ne dure
Conrtne tlir llodges. ce qui clevient grave. c'est quanc! on contil.iue de copier à 60 ar,r
Si les
De temps en tetnps. il y en r urr qui apporte un ûerf,eciioirnemell$ notoire i ou ulle ._:ï -i'entrec
comlne iorsqtte Billy Mac Coinb nrit des poissons au bouÊ de-c l):irmbous. les transfor::. " tâche d
ainsi er.r cattne â péche... Qui saurai{ résister à la tentation... et ies ceux qui résiste1r. , , - nagie tr
I'histoir
tiennent aux pompons... On peut pourtant pendre dr-s trs de trucs à des fits : cles arais, :..
.age, v0
des téléphones, des ampoules électriqtres. des pendus. des spéléoiogues. des petir. : :iser tor
homrnes r;ui apprennent â nâger.... iades el
lourqur
Le processrrs uormal clevrait consister à prendre un truc, tel qu'il existe, et â l'adap:.- r :opie, ç
notre personnage... et d'en bâtir notre propre version. Certains se donnen{ ce mal et. .l-r-.
ils y parviennent. ils ont la surprise de voir un jour. au délour rl"un gala, leur routine :-,, {llez, n
gralement copiée.... Alors, ils gueulent. sur le moment . et je Ies cornprencls bien. m:i. l- :'ai lrear
les omt
risque qu'ils me jettent des pavés dans la gueule. je serais tenté de leur dire que, tanl t- .:
3 mettr€
266
l7
;-
rc-
\i
lt
ùûrsr{q)
l-
f\
--JE-i
-l-
:eut les copier, c'est qu'ils sont encore copiatrles, et donc pas assez personnel. Qualr<1 up
:ruc vous va coruflle un gant, ou bien le capieur n'arrive pas â une tronne copie. r;u bielt
:l a l'air ridicule.... et il arrête de lui-nrême.
Tous les mallreureux qui ont essayé de copier la fumée au pouce de Fred Kaps se sont
.:mentablernent plantés et, pour la petite histoire, les procédés qu'on leur a vendut senf
.-rotesques.... Kaps utilise une cigarette au trout d'un fume cigarette en bois et c'est logt....
:eux qui ont essayé de copier son sel sont aussi des comiques.... Ii y en a un qui s'est fail
:onstruire un réservoir dans un vieux Messerschmitt... et je parierais volontiers qu'il n'en a
.:r.nais tiré ce que Kaps en tire. avec sa petite boule de caoutchouc.."..
1É- : ,
i'ar contre. personne n'a été tenté de copier sa routine de grandes pièces et je me dernalde
:ien pourquoi""."
luand on est un personnage. on- v-e1d le penonnage, on ne vend plus les tours. On ne peut
:onc,plus étre copié et" quand bien rnême, un quelgu'un vieÀdrait qui vous copiàrait
rsqu'au costume, soit il restera en-dessous de ce que vous faites, en étant sa proprê rlupe
*. r *1!l
,t ne connaitra qu'un succès_éphérnère â l'illusion duquel ii se trcreera pour un temps.
r.ors que vous. vous serez déjâ loin en avant...., soit il deviendra meilleur que vous'et
.: serait peutétre une occasion pour vous de vous remettre au travail.."" ce qui n'est
.mais mauvais... Le jeu consisterâ pour vous à Ie dépasser à votre tour.... c'est une saipe
'tulation, dont la magie sort toujours gagnante.
:ien sûr, Moretti s'est w copier intégralenrent son numéro par un ringard malllonnête e(
n :- ,:ns irnagination qui, de plus, casse les prix.".. et cela lui a peutétre eilevd quelques con-
:::---"* - ill ":ats, mais il a 4 autres numéros et, â mon avis, il n'est pas prês
d'être au chôrnage'car c'est
-n créateur et, entre-temps il a déjà 3 longueurs d'avance sur le petit pantin deirisoire d'ar-
'-'qance qu.i, c'est sûr, n'arrive méme pas à se trornper lui-même.... ce genre cl'escroquerie
-: dure qu'un temps et, en fin de parcours, la Magie reconnaitra les siens....
!. les ,responsables d'associations magiques avaient des ambitinns pius nobles que de
:ntredécorer en fin de banquets pour les services qu'ils se sont mutuellement rendis. Ieur
*
,che devrait être d'EDUQUER leurs membres et de leur apprendre que la créatiun en
:i-Ll . ,iiLllrl
-:egie passe par d'autres disciplines, telles que le mirne, ta danse, la diction, la musique.
fE:If: l : lll
:istoire du costume, la décoration, l'étude des langues étrangêres, la sonorisation, I'eôtai-
a*=r-- , ,o''*' ":ge, voire-l'électronique et la mécanique de précision.... mais, â la place. on préfère
auto-
§T:"lll "-.er tout le monde à enregistrer directement sur magnétoscope le travaii des-petits
canra-
'.,les et ce sans leur payer aucun droit et, parfois même, sani leur consentemànt..... C'est
rl
: lurquoi quand je lis dans des revues nationales des petits discours moralisateurs sur la
t ' ; :r,:, 'rilil I :'pie, ça me fait doucement sourire....
U-f,. -*illlllLlLl
267
r{((r
{
EFFET:
Le magicien présente un drctionnaire, qui peut étre emprunté, et un jeu de cartes. Le je-
de cartes est donné à mélanger au spectateur, puis le magicien sort son portefeuille, l'oui-; Si t'a
un instant pour montrer qu'il contient une feuille de papier. ll le referme et le pose sur . desso
ta b le. pou r
On prend alors les 3 premières cartes du jeu qui vient d'étre mélangé. Le spectateur;e: ti ons
place sur Ia tabie dans l'ordre qu'ilveut.
Pa(
Les deux premières indiquent le numéro de la page cJu livre, par exemple si c'est un h. -
de trèf le et un quatre de carreau, cela désrgne la oage 84 et, la clernière page, le quantièr.. Pa(
du mot : si c'est un neuf, le mot choisi sera le neuvième en partant du hautàe la page. Pa(
Une fois le tout sélectionné, on ouvre le portefeuille et on s'apercoit que le mot gui figu-;. Chaqr
sur la feuille de papier est bien le méme : la prédiction est exacte. Le pr
secon
MATERIEL NECESSAIRE resta r
-- Un Himber-wallet On fa
- Deux morceaux de papier pliés en quatre
Un petit aimant fort et plat caché dans la partie sas du portefeuille F inalr
- facon
- Une carte magnétique, confectionnée en emprisonnant une lame de rasoir entre oe-r
cartes amincies au papier de verre et collées ensemble (f iq. 1) ll con
PR INCIPE MARI
Les trois cartes choisies sont forcées : pour cela, vous retirez cie votre paquet de ca':r: Vous
deux cartes avec des points : par exemple, un 4 et un 5 et vous les empilez SUR la ca-:* VOUS I
maqnétique. forcaç
Vous
feu ille
un bc
trois r
Vous
F(W> I
-#- dessu:
Le fal
d ivers
a
Lorsq
fa i tes-
papier
milieu
lire le
Si le
visible
(fis. 3
Le pri
d'ordi
on sau
268
?)§
bo?JqeJa"Bm§sËa
'a- : . - Si l'aimant contenu dans le portefeuille est assez puissanl, les 3 cartes adhèrercnt au
tjessous du portefeuille, à cause cje la larne de rasoir contenue dans la dernière. Supposons
pour l'explication que celle-ci est Lin 8. Les trois caries étant forcées, il n'y a que 6 scl,.r
i.[i:' j-:. tions possibles:
Le premier est écrit bien au milreu (fig. 2). Puis le papier est plié en deux et on écrit là le
second mot (fig. 2). On plie à nouveau en 2 et on écrit le troisième mot sur la surface
restante (fig. 2).
On fait de même avec la seconde feuille de papier.
Finalement, les deux papiers pliés en 4 sclnt glissés chacun d'un côté du portefeuille, de
facon que le côté blanc soit visible.
llconvient, bien sur, de se sor.rvenir de la piace de chaclue mot,.....
MARCHE DU Tct-IR
Vous empruntez un dictionnaire et vous vous isolez pour faire une prédiction. En fait,
vous repérez les mots qui se trouvent aux six emûlacements corrÊspondants aux cartes de
forcage et vous écrivez ces six mots sur vos deux bauts de papier.
Vous faites rnélanger le jeu et vous le reprenez en main gauche. Vous sortez votre porte
feuille, vous le posez sur la main gauche afin de l'ouvrir de la main droite et de montrer
un bout de papier qui se lrouve à l'intérieur. Cette manoeuvre a pour but d'alouter les
trois cartes à f orcer sur le jer-r
"
Vous reposez alors le portefeuille sur la tahle. bien en vue, vous donnez les 3 cartes du
dessus en expliquant ia manoeuvre au spectateur.
Le fait qu'il puisse piacer ies carr.es dans I'ordre qu'il veut et donc sélectionner des pages
iiverses a l'air parfaiternent honnéte....
-orsqu'ii a arrêté son choix, demandez-lui s'il veut changer.... Une fois qu'il est bien sûr,
iaites-lui chercher le mot qui correspond. Puis, si le mot choisi est à l'extérieur, sortez le
capier et retournez-le simplement sans ie déplier davantage. Si le mot choisi est celui du
nilieu, sortez la feuille côté blanc, sans la retourner, et ouvrez la juste une fois pour fair"e
ire le mo1.....
Si le mot choisi est celui qui se trouve le plus à l'intérieur, sortez le papier côté blanc
,,isible, dépliez la partie du dessous vers la gauche en rnasquant le mot avec le pouce gauche
fig.3). Et ouvrez pour montrer le mot le plus à i'intérieur.. ..
-e principe du pliage des morceaux de papier est intéressant à plus d'un titr€ ; parce Que
:'ordinaire, l'H imber wallet n'offre que 4 possibilités de prédiction et, dans ce cas précis,
ln saute à 6..,".. I,l ax -liilaire U L' Ni. ON
269
PEE OH! CARJTES
on voit de rnoins en rnoins faire l'épée aux cartes. et cela pour plusieurs rai"
sons : la difficulté de trouver une bonne épée, le fait qu'ii faut ramasser les
g
cartes à la fin et done qu'on ne peut pas le faire en cabaret....
La version que nous voris proposons est faisable partout, avec une épée non
truquée on n'a pas l'envol des cartes, puisque la chose va se passer dans une
-mais
boi'te. Mais, en contre-partie, on. n'a pas'à lei ramasser non prus.." et de plus,
on peut faire l'expérience avec des cartes géantes. ce qui n'esi pas négligeàble.
- _:.F
ll suffit pour cela d'avoir troiscartes duplicata, dans lesquelles on aura percé
des de grandeur Lors d'Lrr
-trous croissante. de facon à ce que les tartes s'échelonnent !ra{}lleZ I
sur l'épée à des hauteurs différentes (fig 1 et 2).
rjiourd i .
,ilurnettr:
,1h
E
270
2 tg@ {,
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1T Dirigée par ANDRE ROBER'I'. la première revue fr:inçaise de clr.ist'-trp.
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s(tr :{{fl-I:-. I'RIX poLrr 198{.) . lrs 110. [:rarrcr' el cltrangr:r Il Lcs aborrir('nrr'1rts i-.iutù11i
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$il '-llllLiros : prohibittl-s. On :.' proe urr lùs l)ncirns nLlnlrirOs clrrr: lllttr' ()tr au :iir:t' sctcjei.
*|il -.t:ALISA'fl()N : ( ontposilron sur I.B.M. MuboLtlc. p3r ics pctites tiunrr"s rjt' ll r.Lrc de
sî ,rlbiac. inrprir»crc par lrs baunrr'-r'ssicur dc clr..z L,op\ -tol).
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r{li -'lRUTION . Mad-Mrgic ioinrirr ].1 tintbrrs à l01rs.
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s Ol)YRl(;llT. MtLl-N,lagic (.sl rrnr. re \ ut: cntrcr(nlùltl cÙp1 rrulrt . li'ull acttOn u ill ht lukcn
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comme en fig. 2. Les deux extrémités
sont données à tenir à un spectateur et le
reste est caché sous un foulard. Les trois
boîtes verticales s0nt ensuite libérées,
alors que la boîte horizontale est t0uj0urs
à la même place... Tout peut être examiné
... et le public n'y parvient jamais lorsqu'il
8S§Ale.
ll vous faut :
275
2
La manoeuvre. n'est pas difficile puisque
vous avez déjà enfilé deux autres boiies
de cette façon, et donc à la troisième, les L
spectateurs ne sont pas particulièrernent p
soupÇonneux....
Le reste coule de source : sous le foulard p
vous décollez la boîte, vous sortez les d
deux autres, vous recollez la boite, puis n
vous la sortez en dernier car, si vraiment S
un de vos spectateurs a le mauvais goût de b
vouloir examiner, il se precipitera sur la b,
première qui sort, puis n'ayant rien trouvÉ M
de suspect, il jettera peutétre un oeil sur C
la seconde et. rassuré il y a fort à parier dr
qu'il ne touchera mêrne pas à la troi- AI
sième.... A
Au contraire, l'attention est localisée sur le
la boîte qui reste enfilée sur le cordonnet... re
et là... bien sûr... vous les attendez... T
le
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276
>a
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Oa o- -ooo
277
4
Et hop ! Rien qu'en lisant la routine, vous
avez déià tout compis quesquispass ? Pas
sûr les mecs... Bien sûr, on utilise le fa-
meux boulon truqué, mais on l'utilise sans
risques... La solution la plus simple consis-
terait à avoir le boulon ordinaire empalmé
et à défaire le boulon truqué sous le fou-
lard, puis à le changer contre le boulon
ordinaire... et tout le monde serait con-
tent... mah souÿenez-t)ous dqns la routine, (
vous pouÿez également snober yos amis
magiciens, puisque le boulon ordinaire
est TOUJOURS ENFILE sur ls cordelette I
PREPABATION à
I ) Vous prenez une cordelette de nylon to
dont ÿous avez enlevé l'ôme. Cette bi
cordelette doit avoir environ I m de 2)Lt
longueur... les bouts en ont été brîtlés co
pour ne pas qu'ils s'effilochent... 3)Pt
2)Prenez une quinzaine de pièces chi- l4
noises et faites une fente dans l'une lei
d'elles à l'aide d'une petite scie (fig.3) Ito
3)Une boîte d'allumettes dont la bôîte pu
et le tiroir ont été percés au coupita 4)Yt
w
pu
d'1
mé
§ut
ÿot
pal
yotre
des b
gressir
boîte
extrêr,
faisan,
extrên
lbutre
oo.; a.oo
278
Camme en fig. 6, l'écrou ordinaire est
placé dans le tiroir, calé par des allu-
mette§. Il est placé à l'une des extlémi-
1 tés de la bofte de façon que l'on pukse
passer un des brins du cordan, en même
temps dans la fente et dtns le trou de
l'écrou, et I'autre bin seulement dans la
fente...
ROUTINE:
I ) commencez par frxer une pièce chinoise
à la cordelette avec un noeud de cabes-
t!ry, ryis pour lui donner plus de crédi-
- .qilüé, faite*le cotttme en fiç. 7.
2)Libérez les pièces à l'aidè âu noeud de
cabestan, vous êtes le meilleur...
3)he*ez alors b pièce fendue et enfilez-
lo sur la cordelette de foçon à cacher la
fente comme en fig. 8. Si lo fente se
voit un peu, ça n'est pas très grave,
_.puisque wus allez expliquer le truc...
4)Vous sortez alors l'éirou truqué, que
raous ne donnez pas à examiner, car
puhque vous êtes parti dans une stirie
d'EXPLICATIONS, personne ne se
méfie. Yous faites ulors enfiler l'écrou
sur la cordelette por un speètateur, puis
vous lui dentndez de mettre les pièces
par4essus, tandis que ÿous racontez
a voie hhtoie... lro^ empruntez ensuite
des bagues et des allianies pour la pro-
gression du truc, et sortant ensuite iotre
boîte^ d qllumettes, vaus enftlez les deux
extrêmités à travers le tràu oblong en
faisant attention de passer I'une" des
extrêmités à travers le irou de l,écrou et
I'autre à côté de l'écrou (li*. g).
.oo; {o. -
279
g
11
A partir tle ce momerr, ÿous prenez url certai, recur par rapport
'i
,* t,t'urs. clt'làç.ott qu'ils tte pttiss'ent eil oLtcun cas oux specru-
i: aperce»oir le boulott à trayers
la J'c'trte de la bofte d'allumerres... puis r:oui rrottez les
cordelelte et ro,s les tlon,e: à te'nir à qLuelquhtt. deux extrêmités de la
P.tis .,ous cache: ayec t l
n
ÿ l
lartl
Jitu I
1) Sous lt, Joulartl . l
u)votts o,L're: r'écntu. t'ctus re sorta=, votts re rerenrtez et L,(),s I
re posez st, etl
la table
h )yout ,l.t;.gagt,: /cs ;r/a,.g,
que t.ous Le
(.).t,()u.\ Lllgagt': lt,s bagtt,s quc t,ols ljose:
pt)s(: con
d)vous dtîgagt': tu boîtc dtailu,tnetis.-ie qui est asse: tréricut pour que
t'tttts tirt,: au tna.ti?tuttt sur lL, corLlontte't ( ; ce Jaire d'al
iig I t) )
l-t)us t)ut.t.L,: le tiroir tlt. lu b<tttt,. r,ur,r rr,r'rorrr: doit
l.ëCrou cl pose: !e tirOir
çttr lt tublt .{r.t,c /t, L,()rLlùrret. rr,rirt: tlr]ciài,-J-r, ir'O,,iir.).friri_îr'
ÿ\-"!' /sr'rJ rc pirorq con
darts lu bofte à trarers les tlt,ux li,rttes (fig. I t | - Alo
t't dégagc: la bottt,... qui
Tout tr ttli Ttosé sur la Toble, t,ous »torqLte: une pose._.
qui
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5) Là,dau solutions ;
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[ {l rubr
L'autre jour, je montrais mes routines de pibes à un magicien et, en sortant mes ˧l ?tr
pieces de 5 frs en argent, i'ai vu son regard s'&arquiller.....
OUCEKE-TULLEZAHU ? TUPETIPA M'ENAVOIR KEKZUNES ?
B# I T:"
Voici donc, pour ceux qui ne possèdent pas de telle piùes et qui voudraient s'en ,,#r
procurer sans humismatiser pendant des siæles, une petite routine perconnelle pour
débutant pauvre.....
1) Recherchez dans votre entourage une personne qui travaille dans une banque Efi/
depuis plus de 10, 15, voire 25 ans......
2) Faites-lui le tour du petit voyageur (avec des spectateurs aussi motivés c'est le
pied....)
3) Enchaînez d'autres tours, breffe, le grand jeu, verbe sucré, subionctif à ressort,
pied baladeur à la patronne......
4) Après votre démonstration, épanchez-vous piteusement sur la difficulté de trouver
des piùes convenables pour la manipulation de close-up....
F;r tr
5) Si vous n'avez pas affaire à un débile mental, il vous proposera de vous en vendre,
car :
"ll existe des gens qui, kantilvonzalabank et qu'ils paient avec des rouleaux de
pieces de monnaie, glissent subrepticement et malhonnêtement des pièces mone-
gasques, Surbses, Belges, voire ltaliennes à leurs yeux sans valeur..... et, plus tard,
c'est le caissier qui doit faire l'appoint en mettant la différence de sa poche. Tous
les vieux caissiers de banque ont chez eux des pieces invraissemblables et se laisse-
ront facilement attendrir par vos larmoiements.....
282
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de Devos revue. une
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appnnd seulernent timiaenenl ilrmence
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l!,!out
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paràppÀ,J,'u touer du
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* a ou 6 ans.seurement, on
"ontrrpoiii, ,Çi;:;:eil:,
rryE j : ff,ü;i y;;t:;:x;!îiii;îi:{i:i:i!î:::,#i;
i:îîîrfrd;;;i:;:;'if,:::;;::{t";::,i,?.,:,,ïg1;i:l?,il,,2tri::Xi:"
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n,i ^^..- r:'#ii#";âï';îJ';'"1:;:,mf*;
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Le cow-boy sort son jeu de carbes et crache par terre. î3 'l --r
Il fait choisirune carbe à un spectateur et lui crache dans Ia gueure. :,
spectateur signe sa carbe et lâ remet dans le jeu,. et le coï-boy crache sur le jeu. l'
I,e Ê
Le jeu est remis dans l'étui, le cow-troy crache ,,r, l,ôt i. t
Il sort son revolver et tire sur l'étui decartes.
Le spectateur sort le jeu, Une seule earte a un trou.."
r
rk ,.
Le cow-boy décharge enzuite le reste de son revolver sur le spectateur qui dans un
I T
t,
demier râle avoue que la carte percée est celle qu,ii avait ôiroi.i".-" Le cow-boy
rËmge son revolver, craclrg sur le cadavre, pendanl que te pianiste joue
le dernier
t
le
rk
succès d'Enzo Cortizone "et pour quelquei àolards de plus;,- t&
s
FACULTATIF:
en sortant le cow boy crache sur le pianiste.
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ti i:i3,".i ff 3:' ^:1'".*
"",ffi@p)6gl
Y
- des figurants habillés o
-Tij'"'ffi""iïi:i:*pianiste @&ËPe@A
- un chômeur qui jouera le rôle du spectateur (atteniion I i]-en iaut un neuf à
chaque fois... choisissez quelqu'un saas famille pour éviter les complications... r
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Pour ceux qui en ont marre de présenter inlassablement les disques qui chan-
gent de couleur, voici du nouveau :
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A la fin, vous le sontez en masquant la partie manquante..." et le tour est joué.
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285
OUATTO PAS§ETT TES GIGOGilE§.... MATERI
Y'a plus d'enfants, 0u c'est moi qui suis con... faut dire qu'avec le boulot que j'ai, j'ai tou' 1) Deux I
jours un peu laissé Léonie s'occuper des mômes... et les mÔmes,0n est teilement habitué è 2) Un pe
les voir qu'on ne les voit plus grandir, surtout les deux plus grandes, je les ai pas vu grandir. 3) Un bil
c'est que maintenant y'en a une qui fait quinze et l'auTre treize. Ca c0mmence à avoir des dou blr
petits seins moulés sous les pull-over, même qu'il y a quelque temps déjà, Lèonie m'ava: -1) Un per
dit . 0nésime, tu devrais leur parler... tu sais, tu devrais leur dire des choses... Moi que j" :) Un ou
ai dit . ]e m'occuperai des garçons pisse-que t'es une femme, taka tûquper des filles... 0i: i) Une vi
qu'elle m'a dit mais j'aimerais que tu leur dises un m0t... alors j'ai dit quelque chose, c'éta :
r) Un sty
jern'ensouviensjusteàlafindudîner,ptêtequec'estlesdeuxlitresderougequi m'avaie': PREPAB,
donné du courage... alors j'ai dit "-Bon, vous ferez ce que vous voudrez quand vous aure: ')Vous r
dix-huit ans, mais d'ici là si yenna une qui se fait mettre en cloque, j'y arrête ses études, :: de gon
j'y fous une danse qu'elle s'en souviendra...". Alors elles m'ont regardé d'un air ébahi et': :) Vous c
plus grande m'a répondu "alors ça papa, t'âs pas de soucis à te faire". "Bon que j'ai c : et les 1
286
MATEBIEL TTECESSAIBE :
') Deux jeux de boites gigognes
lll p.,lit^rllrgeur ancien modète, que vous aurez bricolé vous_même (f ig. 1)
i. i) un brre.t de.banque plié en 4 au dos duquel v0us aurez collé
le charge-ur àvec du scotch
doublejace (fig. 2)
:l un petit porte-monnaie c0mme sur ra fig. 3, qui peut contenir re jeu de boites
:, Un ou deux petits élastiques
-I Une vingtaine de petites pièces de 1 0 ct, et des gommettes autocollantes
-) Un stylo
PBEPARATIOTT
i vous ne gardez que la boite extérieure de l'un des jeux de boîtes etvous la remplissez
de gommettes autocollantes
Vous ouvrez t0utes les boites.du sec_ond jeu et vous introduisez entre les parties boites
et les parties couvercles, re billet de facon'que le chargeur conduise ra piocààiiertàrent
dans la boite intérieure (fro.4)
Vous maintenez l'enæmblà grâce aux petits élastiques (f ig. 4)
L'ensemble esr placé dans le"petit porie-mrr,n;i,;
afi;. ,ii
Le stylo et les pièces s0nt dans unà poche de veste. "
287
t{
MABCHE OU TBUC
L'A
1 ) vous sortel la poignée
depièces de v0tre pOche et vous en faites choisir une. heu
1r v0us s0rlez Ia petite b0ite qui contient des g0mmettes et vous
collez une g0mmeTte sur noi
la pièce choisie.
cel:
,).1:.:q:r]lïll:is*,lu sommerte er la pièce esr ptacée dans te porre-monnaie (en réatiré un
vous la glissez dans le càuloir du chargeLr)
., cub
4) En maintpnanl nnrtp-mnn^rio.,,^i
lp porte-monnaie
âintenant le t^"
;;iT;;;r'i avec res doigts gauches, c0mme en f iq. 5, vous s0rtez re
o ir ret ôn ex pi iqil; il ; ti ili''jÈ,[iili',i,iillililïJ'i;
t,utes les autres et ra retrouvel en moins d'rne seconJe
pièce choisie avec
ten'
(fis
êtes tellement sûr de vorre.c'up que si v'us rar;r; re
,iirîiià
iicln *iüiqiu... ,o* fou
spectateur aura re biilet... Mais
-"'" le fr
p0url'instant,commeir estèncoreàvous,v0usrJmettez'dansunrpo.t....
-, Toutes les pièces s0nr versées
5) età
personnes le secouent...
oans tÀ plrte"monnuie, .rtüi-rr u;'rrf;;ft er prusieurs cub
troL
6) Vous attirez al0rs l'attention sur,la petite b0ite de g0mmettes... grâce à un habile àpc
_, t0urniquet suivi .d'un lapplng sans faille, vous faites dispâraître la boîte de gommettes... Cet
7) vous reprenez alors ie petit portemonnaie et vous l'ouvrez, vous retournez son contenu mafr
sur la table et vous donnez la petite boîte à celui qui a marqué la pièce... il l'ouvre, en noul
tr0uve une seconde, une troisième et cela jusqu'à épuisement des boîtes... dans la der- let
nière se trouve sa pièce marquée... Il n'en ievient pàs, vous non plus;la pièce non plus impr
et lorsque ie spectateur l'interrogera pour lui demander romment c'est arrivé,'elle Tou
restera muette de confusion...
côæ
Voilà la des fignoleurs auraient sans doute retrouvé les gommettes quelque part.. deg
pas m0r... avec
L'autre jour, Marcel était venu prendre l'apéro, j'y ai fait, il en est resté comme deux ronds etd
de f lanc... j'ai un peu loupé mon lapp!ng, e1 la b'0îte à gommettes est tombée sur ma chaus- côte
sJrre, c'est ma grande qui s'est..démerdée pour la ramaiser sans faire de bruit, et pis quand 50 cr
il s'est barré Marcel, elle me l'a tendue, avec un geste un peu gauche, et moi t'âi tourrée Auc
le
dans ma poche, sans oær la regarder, en bougonnànt rnerci... arors comme dans ce truc, il en
ÿ dr
a qu'une seule boite du 2ème .jeu qui sert, j'y ai remis les autres dans sa table de nuit, ellô dépl«
les trouvera bien, elle en fera ce qu'elle voudra... En plus d'être vieux et can, doity avoir
Le cr
des soirs où ie suis un peu 1âche...
vert I
Allez ca ira mieux demain... faut pas s'appesantir, on se ferait mettre en b0îte...
cube
néd
est (
Veilk
égale
Enfor
àlai
sorte
de la
Arrivr
bague
le for
et les
onp
troué
l'expe
suppc
creux
façon
minée
cube
vérital
la suit
ner sr
produ
288
!
RD A fufis
Er-:::: noir sans points... Nous allons arranoer
cela,dit le magicien, et il sort de sa podhe
un foulard à pois noirs à points blancs. Le
I
cube noir possêde deux trous qui permet-
tent de passer une baguette au travers
(fig. 1). L'artiste recouvre alors le cube du
foulard et, à i'aide de la baguette, pousse
le foulard à travers le cube (tig. Z) au fur
et à mesure que le foulard pàsse dans le
cube, il perd ses pois et à la fin l'artiste se
trouve avec un foulard uni et un dé noir
à points blancs...
Cet effet se trouve sur le catalogue d,un
marchand de trucs suédois et bien que
nous n'ayons en aucune façon commandé
le truc, une solution toute simple s,est
imposé à notre esprit :
Tout être humain ne p€ut voir qUe trois
côtés d'un cube à la fois... ll s'agit donc
de garnir trois côtés d'un cube dà carton
avec. des points (le plus possible : 4, 5, 6
et de coller d'autres poinB sur un seul
côté d'un foulard noir opaque, d,environ
50 cm de côté-
Au départ de l'expÉrience, les poins sont
en dessous et vers l'arrière. Le foulard est
deployé pour montrer les pois.
Le cube est pris en main gauche et recou-
vert du foulard à pois (fig. 3). Dès que le
cube est hors de vue, il est aussitôt retour-
né d'avant en arrière. Le foulard à pois
est correctement drapÉ autour (fig. 4).
Veillez à ce qu'il soit réparti de façon
égale tout autour du cube.
Enfoncez-le dans le trou du cube, grâce
à la baEuette (fig. 5) jusgu'à ce qu'il res-
sorte de l'autre côté, entre deux doigts
de la main gauche.
Arrivé au stade de la fig. 6, enlevez la
baguette par le haut et finissez de tiqer
le foulard à la main : celui-ci semble uni,
et les points sont sur le dé...
On peut profiter du fait que le dé est
troué pour continuer en enchaînant avec
l'expÉrience des trois dés enfilés sur un
support (fig. 7). Le cube du haut est
creux. Les trois blocs sont placés de
façon décalés et recouverts d'une che-
minée sous le couvert de laquelle le
cube du milieu disparaît (fig.8). Un
véritable dé duplicata est retrouvé par
la suite et l'on peut arrêter là ou enchaî-
ner sur la boîte au dé voyaçur, des
productions de dés, etc. etc.
289
r6
Il y a quelques numéros, Mad vous conseillait d'accompagaer vos routines de scènes
de montages musicaux réalisés sur bandes. c'est bien beau, encore faut-il savoir
quels disques acheter et des goûts des des couleurs... bon d'accord, mais y a quand
même des repères... des éditeurs avisés éditent des disques destinés à la son-orisa-
ta tion des films. On y trouve beaucoup de choses :
F-
\l
4)(
chi
Mur
Pub
Che
( s)il
Mus
I ) Iæs bruits de la vie ( Sofrason ) Mus
l'tres2.(19 033 Gp 34r) : enfanti,^foures,
disques de cette collecrion
concerts, cabarets, applaudissements. D,au- Con
fournisient un .rs.*ùlà à;-6;;tËË;i;üsés : mer,
vent, pluie. orage, téléphone, basse-cour, machines, tdrp;;;;"gi";;,
loisirs, cloches. etc... bateaux,
'x\ 6)Mu
t
2)La série des "travelling orchestra" (Epervier 2l , av. M. Edmée, 77 chelles) Portsr
6 disques procurant des morceaux de RYTHMES divers et de thèmes divers : fête; La sér
foraines, casinos, ballets nautiques, camaval, etc... chaque morceau est minuté, son Atten
style est indiqué. La sér
Les cc
290
F}
-{-.î
Y-- '-r
@M6,
ItBf '$ïL;:,".î"i,ïïi",'üîï"musiquederonddans
cnt*'e Syrl.. u r.ho* (Mondiodis Mp 46)
2 Publrc.relation (Mon_diodis Up
tn-e_ss (Mondiodis Mp 62)
5) Musique de cenr€
lil
Musiques mécaiioues rsgngnigsle
Daphy Dy 69
|I^usicues
de.chevâur de bois tAZ- {+56iil"' "' 507)
rem::is D':- comme au cirque fu"iiol*:iiôv ii)ij
Éri.rise ! --- ::
!rTÊ-< :;:::.-r
h, '- /l::;:i
c* di:r: :]:::,
lqt r::-::. s:'i
i l*r=:rer.r lg
rdÊ [r:::,;n'e
8) Disques sffciaux
â,ho.,.u, (MpF
L,::1,:."9:,.{,-,1, ttvrrr 20I
iut ))
La série oes er..tiüiàT''ur
)r vous en connaiss", , j;l_.1:, .,
vente au magic castle...
l,
"Masic-Fratsrnl1;;;
;:,ï: ,,,",i:i:T.# iâi1vailles ; nous
"..:,:;;;i.;;ï "ï en ferons part à Ia
291
PLIAGE POUR LE BLENDO
ftFffiÉ,1"o§rlrrt
Le blendo qui va être décrit est une inrrrntion d'Alberto Sitta. C'est de loin le plus effectif des
blendos et cela pour plusieurs raisons : les 4 foulards sont montrés séparément et, de plus, trois
d'entre eux peuvent être utilisés dans d'autres routines... enfin la transformation se pase en l'air :
les 4 foulards ont été noués au bout d'une ficelle que l'on tourne comme une fronde... rien à
voir avec les pliaçs merdiques qui ne donnent jamais l'illusion de 4 vÉritables foulards...
En suivant les desins vous pourrez être tenté de fabriquer le blendo vous-même. Je ne vous le
conseille pas car ça vous reviendra plus cher que de l'acheter tout fait sans parler du travail... et
de ceux qui se plantent dans læ mesures.
Le pliage, par contre, m'appartient Bt c'est la raison pour laquelle ie le décris maintenant...
l) Repliez le côté AD sur CD (fig. I et 2)
2) En pasant les deux bras dans la poche, retoumez ælle-cijuqu'à mi-parcoun {E et F, fig.2 et 3)
3) Ce résultat est montré sur la fig.4. 0n note l'apparition du foulard contenu intérieurement
4) Retoumez encore une fois la poche sur la moitié (fig. 5)
5) Tirez un brin sur le foulard de façon à la dégager de la poche (fig. 6)
6) Enroulez la poche sur elle-même, de façon, qu'une fois le rouhau terminé, la petite ficelle æ
trouve au milieu, bien dans l'axe et non pæ sur le bord... comme le montre la fig. 7
7) Amenez la ficelle qui dépase du côté X sur le rouhau et juqu'au milieu de la longueur de
celui-ci (fig.8)
8) Maintenez avec un doigt et faites deux toun autours du rouleau (fig. 9)
9) Fixez l'ensemble en passant une boucle du cordonnet rous les deux lours (fig. 10)
l0) Retournez alors le foulard de façon qu'il emprisonne le paquet (fig.l I )
I 1) Aioutez les 3 autres foulards, nouez l'ensemble en haut avec un cordonnet comme en fig.l2 :
saisisez-vous de la petite ficelle qui dépase du bæ awc une main tandis que l'autre tient les
foulards par la pointe.
12) Cette main est lâchée et la main qui tient le cordonnet du dessous tire desus et donne des
secousses : l'ensemble ss rêtoume... et le blendo est apparu...
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Ji,T de Michd LAVOCAT, I rue du Lièwe, 521m Saint Dizier : une épaisse tr+
duction & Strs of Magic. Ne la cadrms pæ, c'est un boulot monurnantal :
++:
L:û 162 pagÉ traduiÈs et desinées.
*i,:r Lafdrrtkxt : elle ett inétls, ct krccat arotrs lui-même que plusierurs tra
r-Ër ducGrs sa sfrrt rcleÿ{6... C'est pr éùnnrrt vu le boulot...
-+- Dans hl sütdagEs gr.re lxxÉ *or fdts, il y a dos petiæ3 omissions, mais le
È:î
i.!â.
tÊxæ rG!ile tn$xrc corpdfion§bh.
Les dsssàrs : ils ssrt cdgrÉ sur hs pho'bc du lluru st comme cela arrive sou-
v€nt €n pruil cx, ils sont bien phs cleir qm hr pàobr. L'ensemble ect bien
sur un paué, on peut le décortiqur pr pstitr hÊ, ch+itrac pr c{rapitrec,
puiscpe c*rann d'ertie eux est con*é à un magicbn dif{ürent : Sydini,
Vernan, Scrne, Allerbn, D*ÿ, BrrE;r...
Le conEnu :
llest encore d'ætlCiü, sauf peut{aa pour ht crB qui ont cstrrtr ces dix
derniàes années una fuSrrrrU érrcluüon st |el incorrigibhs purists vous
diront qu'on part emplacr tallc pæa, ps Ul artü?, etc. sanr douta.,. mais,
comrrr€ diraat Hornecker, Y'a papétrellement des ieunes qui déàuün! des
nouveaux, des gens qui ne lisant pa l'angrlab... Alor: rcyons honnlÈt, même
quand on lit l'anglais, ça va quand mânre plus vib dale lireen frmçds... De
touê façdn, vqrs ne p(rurrez pæ le photocopicr à le posb pour le prix qu'il
en demande...
LE CLOSE-UP de Jims Pety (tome 3) : 40 pagg bbn ôcrites et illus#es de
BONNES photos, anssi clair* que des dessins. On y trouve un excellant jeu
arc+n+iel, un Huile et l'eau facile æ* ds cârbs doubh facc, Epsilon B 28,
un effet uülisant csrtÊs et dlumettal. "Squeeze p&ay revisied" danr lequel
le petit cylindre injustifiable cst remplâcé par un dô à iouer... et le verre de
plastigue pü un comet à dé, et pour termine una excsllenb rouüne de j+
tons, utilisant ccux guo vous aycz déjà attreüs à Lbhsrow...
L'ensemble est.agrÉôb à lire et vous assnnBra quelques bonnes soirés d'hiver.
De plus, on se{t que les routines décrites ne sont pas des vues de l'esprit, mais
sont prstiquéæ depuis longrtemps par l'ogÉraêur...
Jims Pely, boite postde 86 - 26102 Romans.
Enfin, nous lisons, depuis plusieun anrÉes, les excdlants articles de Jean de
Merry, sur la ventriloquie, lesquels paraissent dans le J de P. : ll y a Iongtemps
qu'on voulait Ie dire : c'est fait.
295
MI
La
€3t
dtr
On oa parlu 5 minutes sérieusement et on l)ous le promet, ce sert la demière fois
de l'année... L't
*MERCI de oos abonrentents. Le nombre des sousciptears augmente sdn§ cesse, Le
bien que nous ne fassions que peu de publicité. C'est.sigrte qu'au fil des années, de
queQues petites raùcanes s'èstompent çc et là... Tant rnieax...
tMicbel Hatte, contrdirement à ce que croient certains, ne prend aucun centime szr AR
les abonnements que ooas lui enaoyez. Il a sealcment lagentillessede s'occaper de La
l'expédition, car il est outillé pour 'On ça et pas rrous... ceu
L'abonrement 1980 e$ à 1Î0 F. a'oublié de le dire dans le dentier numéro de Mic
1979 et certains d'ente aous otrt reçu une Petite lettre poar lear demander les dix
fran c s su p p lé me n uire s. E x ca sez-n ou s ? our c e d é ran ge me r t.. . CAJ
*Nous aoons cbangé cette année la coalear de la reaae pour répondre à certaines
Din
sugestions et permettre une meilleare lisibilité. TR]
*Le
format A4 plié en deux sera maintenu pow plusieurs roisons : 130
1) Pérmettre qie les reaues attùtent moins fliées'et fioitts défraîcbies après leur pas'
chè
sage dans h fenæ d'ane boîtc à letfies...
Mar
2) Permet*e li reliure dans un format LIVRE.
3)Parce que ce format est dit point de oae renubilité te meillear : que oou-s-le
croyez oa noi, c'est le formaî de I'aoenir cat toutes les nouoelles macbines offset
a de
-qand
rendement nè déoassent Das ce format normalisé. Si aous imfrrimez sur
I fotirat doublc A4 oous toimbe, dàns l'offset taditioraelle, beaucoup plus coû-
'teuse.
| Si on laisse bs feuilles à pht, il faut auoir recoars à un procédé de reliure
I pat tlremotollage, plas cber qae l'agrafage.
*Impression. Nous sztons ænu à une impression de qaalité, aoec des tnaryes justi'
fieei à droite. Nous ne tapons donc pasà la macbine nous-mêmes, mais nous le foi-
sons faire à la composeuse.
Tout ceci est an cboir, et nous le maintiendrons.,.
*Nous ffiettons un poitrt d'bonneur à ne publier que du matéiel NEUF et
ç4 aa
moixs oite que de tràduire, ou de recopier des dessins. Bime
tNos mises en pages sont settées et souÿefit nous en mettoîts outattt sur 24 pages
9317'
que d'auffes sui §0... c'est an peu plus touffu à lire, mais nous ooulons garderun Gérar
èompromis qualité-quantité. Nous aimeions bien aussi ,tous permettre de gratdes Cogé
pagés de tities, aoeè des blancs qui reposent l'oeil, faire de grands dessias, des s9m'
Direc
mlires, etc. mak il nous faudrait alors passer au siencil pour garder la reaubiliü.
Nous ne le aoulons oas. on€st
Andü Robert a étè h premier à adopær ce style et il a sans doutc roison car, à ce Conse
que l'on socbe, sa retsuè se porte foi àlez. Nous ne Ie copbrons pas. Il a trouaé un 25 bd
nôte,le maicbé est adste et il y a placg'9 PouT
ityle, nous aaons le nôûe,
style, poay tout le monde. ABO}
foilà
Voilà pourquoi
oourouoi nous ne ne donnerons pas wite aux .anggestionl de cqux qui nous HAT"I
demondert de pdsser en stencils et d'adopter un système similahe ausien... OBLII
*Vous pouoez aoas ptocurer les ancbns numéros cber' HATTE. Sottt définitioe' numér
ment éfruisés le 1,le 2,le 5, & 6. REAI
O *Dans certains routines, nous nous sommes plantés... Il tt a des eûeurs ou des omis- Tolbia
sions, ce qui rend la routine difficilement 1àisable, aoirà incomprébensible. Le bon' Mad-!v
teux bénèfîce de cette année'oa nous p;rmettre de rééditer iles feuilles sépaÿes, CHAI\
eneun et que rtous pouiez insérer dans les numéros en question : ner de
i f;:";:i;s PARU
*Au programme cette année : un spécidl Fecbner, un spéciol Sydini, un §péciol sauf er
: tôus les trois feront date... plus toutes les ntbi'
Pbil Goldstein sur le mentalisme légal à.
ques et les conneries babitaelles... COPY
for
ao.a lo o. an
sont re
296
MAGIA MODERNA 23
La plus ancianne revue magique italicnrle. Dua à l'inhssable patience
d,Alberto sitta. ll
est plur fæile da ccnprendre_ r'rarien gue de re pg,rer
Abonnez-yous
cfiez A. §itta, via Lrne 160 - æZZ Botogü. "".r*i"i"nt.
t deniàre fois
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E §;rns ces§e, Le p-lus bel organe du.french-Ring - Frs g5. par an, chez M. Robert Tarze, r4-r6 rrute
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297
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