Mad Magic Tome 2

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fi{Ar, dtüAG§C

Tome ll - t{ uméros 15 à 26

James iloàges

)ean lt{erlin

1a
'æditions
www. rres-de-
I i m agie. co m
§*marffi&*ræ

n; 15 - La zombie de Pierre Switon


,..1tte. descentl, lét,ite, disparaît, flotie utr le bord d'ut t'ôulard... C'est la. zontbie
Silr/orz !Beaucottp cliseni que c'est de loin la ne,ilieure".. Entièrem.en.t détaillée
.s..irzs de llorlge.s - Choix des f'r:ulnrtls - Tout sur les diuerses tiges Une boLtle qtti
:'i'ir'oler soi-même !

5' 16 - La magie originale de FliP-


' , .., r;gle siittple, cJirec:te et pleine de uie, par le plus célèbre nrugicien - mondiole'
c:heuue
. ,,,., .'- Carte qui cl-tange dans un üerre- Le célèbre Sayan.aro.ktiot tttuttci ét'anoui,
. ::,.écliction - Imagiro, la quêteuse à, faire sai-tnênte en papier pLié - Déguisem'en.ts
.- :ettle cortJe - NouueLle métlzode pour dén.atter les fou.la.rcls - Rautine de quatre as
':,,'r! - La L:arte folle de J. C. Pages par Betnard Bil,is - tlne interuieu' exclusit'e cle

\' 17 - Les tours d'Onésime Laboum


tt tleclose-up r;L)ec un. lapin, et u.n ch.ctpeolt Les bon.bous à bricoler soi,-mêm,e - Le
,.iti du pendu - Le borut.eteatLkito - Libérotion de trois cartes ou petit tutte - Et la pLu,s
:iit étud.e sttr les cl,ifférenies prises de sortrt'

I
-
:--. ,.Ieet
:- - I -r
dI,
\' 18 - Snécial Ludow
.eirt routier dtL spectacle égrène, tout au l.ong tle ce num.ér'o spécial, ses souuenirs tlo
,' - .-. cita-
.: ,:t !es iaits ntarquants de sa t.ie. Le tout agrém,enté de routines, cott.seils, gog5. .It.
.-, ..-,.:,-t'a]e
::. -. ',: CSt 1te ctL,ec six pièces {Jne trouuelLe seruant.e, pou,r le cLa-qe-up
- -
LIne pctsse tl'tmntta'ux
- L-n extroordinairc tour de cartes par cottrier.
:i - l-1111Ê
:-:..--...liec- 19- ial ettes d'allumettes
yse-.tit act:essoire ui7lple, que l'rtn. trr.lttue
,:ourcluci pas des tout's oue('ce partttut, et
-
. :::tblic est ù cent lie.ttes cle soupÇonner ? - Peti,te préd,ictiotr, totLte sin4.;ie - Lo pachette
. =;11tiie
-- - Deux changes subtils - Vantpiria * La ca.rte retrauttée agrafée clons la pocheite
- ,.hette tibérée clu rtLbcLn - La pochette choisle e-n.tre t:irLgt (metttalisrte t- [nteruieu' r-h-t
. .: ,:iot-Lrt Ch. Riuets, qui parle du, cirqtLe, du speclacle, clu comique et des ntagiciuts.

\'20- ial Shi


- .st lct prentière fois qtLe le grand naître accepter de publier ses rotttines, profitez-en !
: . ,tion cie pièces sous qt&tre as (matri.x) - Le gobelet de bois : Chop-cit,1t rautine auec
.- iinpossible , Ttoisting spades - Arigami : pliage de palsier représerücut,t un laliirt
' ..'.: cl'Lr.tt c,lt.t,peau.
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Considérations déambulatoires sur la boule volante, par Pierre Switon, agrégé
il
ifi
volante à l'Université d'lstamboule et lauréat du concours abricole de labour-Boule. de boule m
,m
,#
J'-H' Pierre, parmi toutes les boules que tu possèdes la boule volante est la seuie que tL
montres vraiment à tout le monde... ü
m
P.S. C'est ma plus belle ... elle est bien brillante, polie au f il des années alors ... j'ai aussi des rü
boules plus ou moins striéés, rnais je ne les utilise pas parce que, quand ellei descendent
m
derrière un foulard, on voit les striures qui donnent un sens a là uatie et, par là même, des rü
points de repère. ü
J.M. Moi j'ai connu une fille qui ...
J.H. Tout le problème des lévitations et des boules volantes est que les tentatives réalisées
avec des objets autres que ronds, ont touiours fini par sombrer parce que l'on décèle tôt ou
tard un point de suspension. L'astuce de la boule est qu'elle n'offre visuellement aucun
point de repère où l'oeil puisse s'accrocher et que, donc, elle semble rouler, se mouvoir un
peu comme une bulle. Donc les sties sur la boule sont à proscrire. Le seul autre objet possible.,
J.M. Moi,l'ai connu une fille ...
J.H. Le seul obiet possible serait une soucoupe volante. Le cas du violon Nielsen est une
exception, mais pourquoi pas 7 Parce que l'attention est divisée en plusieurs points : vol du
violon, mouvement de l'archet, musique, rotation, etc...
P.S. J'ai vu une tentative très intéressante par illusion : mais nralheureusement, elle est res-
tée, je crois, à l'état de prolet. c'est une boule avec des trous dans laquelle iournait une
lampe. On avait, à force, l'irnpression que c'est la boule quitournait.
J.M. Moi, j'ai connu une ...
P.S. Le matériel en lui-même étant assez sobre, il faut, pour équilibrer le tout, un beau fou-
lard. J'en ai essayé des tas, dont un genre Vassarelly avec des carrés dégradés, mais il ne
correspondait pas au style de mon numéro.
J.H. L'idéal serait d'utiliser un graphisme simple, carré par opposition à la rondeur de la
boule. ll faut tenir compte que le foulard n'est jamais déplié mais, au contraire, vu eÀ
volume. Un passant qui passait par là : l'idéai serait d'avoir un foulard avec une masse au
milieu qui part en motifs dégradés vers les bords.
J.H. Ouelque chose de simple de toute façon.
J.M, Moi, j'ai ...
P.S. T'as vraiment rien d'autre à nous dire ?
J.M. Si, si, ta tige, par exemple, tu ne la montres jamais...
P.S. J'ai vu diverses sortes de tiges : des télescopiques, des articulées, des avec un double
doigtier pour pouvoir la changer de main.
J.M. Oui. quand arrive une patrouille ...
J.H. J'ai fait pour Oona un foulard pratiquement transparent sur lequel étaient cousues
des languettes de mylar de 5 mm de large. j'avais mis les mêmes bouts de mylar sur la tige
qui, de la sorte, devenait pratiquement invisible...
de même, avec un certain décor de foulard, avec des traits noirs de l'épaisseur de la tige.
celle-ci devient aussi invisible.
J.M" Moi, j'aime bien, quand tu dévoiles tout, comme Ça...
P.s. Alors, ie crois qu'il est prudent que i'arrête, avant que tu tleviennes complètement...
ma-boule...

6
H§hmro§t
,, ;i ürü *,;,'É,Ê : zs -ei de boules yolantes, des avec des fils, des avec des f ilets, des avec des
mmms5 : r; r: a,i-ss ieÉ avec des tiges. En France, on appelle ca des Zombies-balls et, dans les
t.in',i:.e5 := Samba-balls. Ce sont des boules qui volent sous un foulard, grâce à une tige
Lmilnr
uu rfillü rqt '= -3i:s e l'opérateur à la boule. Dans le domaine des magiciens professi0nnels, il
, mar"r --: - : É :r- sont mondialement connus : dans le genre c0mique, celle C'Ali B0ngo et
tmm ,ili {nû}-! : as:!e æile de Pierre switon.
rl|lmnqr.
rr : :- :: ;e'.it appeler un "profesionnel".
Ca veut dire que sa boule il la fait dans ioutes
lt! rixiiiLriïE:;IiE r-'
:es grandæ stènes, mai§ ausi à cette terrible école qu'on appelle "les cabarets
rmmmüffi r" :,
:- travaille sur une surface avoisinant les deux mètres earrés, pratiquement en-
f
illlüilrllr,fl ,æ,:r;.J iu'on esiôie de beurrer grâce à un mélange d'eau-de-Seltz et de mauvais vin
,.
rrlrflflnhrrï r'' '*-' æire d'une bouteille de champagne dont !'étiquette est masquée par un chiffon

rÊe se3:
ire rô: :*
nt êiiCUn
tuvc;r .;i
ç'ossibie..

- -. -rs-.: ie rcutine au point, Pierre a pasé presqu'un an, essayant une pa§e puis une autre,
f iOi Cir
-r'.:-: :sê-:--a tige d'un cm on pouvait obtenir lel effet et puis les années ont apporté leur
üE:a":s"?-: lour qu'en reculant tel pied, on diminuait tel angle de facon notoire, qu'en

l€ est res- IiIr'-; : : -:,'r;ne, quelques "Bit of busines" comme disent les amerlos... et sa zombie elle a
r:a r': u ng r'"i ;:' -:::encance. Si bien que les soirs où ils sont en forme tous les deux, il laissesa tige
ri|,i'I ; ::É er pour lui sa boule vole vraiment.,. mais ils ne sont que deux à le savoir : il et
1 ii :- ::-:jtre ausi les magiciens qui voient son numéro et qui cherchent désespérément la
æau fou- :r;e-:::-,orrlatrouver...Cesontceux-làquicourentaprèsdanssalogepourluidemander.
r'eis il ne -: -- :: -êi;re. pour la boule, vous avez bien une tige ?" Alors lui, très vite, pour ne pas les
',r:i : - : : r'e rapidement du placard et dit : "Bien sûr ! sans tige, c'est irnposible l!!".
e;r de la
?, vu en :^i" : ::- e est devenue son cheval de f:ataille ... et son gagne-pain, par le fait. Et nous, les
rÉasse au ::,1 ti'!-S. on la matait, sa boule, depuis des années. Hodges, parce qu'il aime les ballets et
- : :,'"..:-?-pour des raisons que ie ne crois pas utile de dévoiler.j'ai un penchant pour tout
ïr :- êi::!e l'apesanteur,.. Bref, on s'est dit qu'un truc comme ça décrit dans Mad, çajusti-
i :" I - seul le prix de l'abonnement... (et qu'ainsi on pourrait mettre n'importe quoi dans
3 i-r"i! n..'rméros ... eh, eh...), mais demander à quelqu'un de vous donner son gagne"pain,
:::--. :â. c'est s'exposer à prendre une grosse baffe dans la gueule, surtout quand 0n est pas
l*": ; : râ cou§€, comme nous deux, c'est pourquoi, un mardi pluvieux, revêtus d'armures
n ciouble i -i -:-s avions volées au musée de Cluny ... (en même temps que quelques ceintures pour
':: ':-:es,..) et tenant chacun un révolver à bouchon, nous sommes partis en mon0me,
-ï- : stn domicile... et là, s'appuyant l'un sur l'autre, nous lui avons expliqué notre cas : "on
, r{-: ;-îJr la boule et on n'a pas de fric"... et ben, pour qui c'était mon premier miracle...,
l'en
I cousues :- : 'iié t0ut bêêêêêête... ll nous a pas virés, il nous a pas couverts d'iniures, il a dit quelque
ur la
::':iê :c.nme ; "Aujourd'hui j'ai pas le temps... mais ce sera posible Vendredi..." et vendredi,
É ia tige,
: ;;':e ii était au rendez-vous... ll nous a tout expliqué, t0ut montré "autant-de.fois-qu'il-
+'!-: , êvec une gentillese que i'âvâis déià rencontrée chez Ascanio, Vernon et Slydini. Alors,
:' : 'a,'té nos gueules, James a sorti, s0n gros crayon bleu, moi,.i'ai mis des piles neuves dans
-:- ^ragnéto...etpuis,pendanttroisheures,onabosécommedesvaches.Et,quandonaeu
:r était lesivé tous les trois"..0n a donc décidé d'aller se refaire une santé (et c'est là que
.:::â pognon prend t0ute sa valeur...). 0n est allé chez le chinois et on a bouffé. c0mme des
: -:3Cfes, en pensant bien à vous.

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!É:: : c rs de lê trp
----^. ,t,- , fir - 'i -: : - -: sur lequel je poss la boule. Elle est recou.
:urLrrrrii
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;r: ::n qug, ie I ]iI - - : i: : :: - zrc 40 x 40, pour replier les coins du fou,
"ilIlrtrülil

j- ;:dp, ce qui æ
ll! flu [ '::p" ;:-: . ras de la boule,j'utilise un petit batteur à
ürsiltilll -i :: -:i - :si renflé aux 4 coin§ pour que la boule soit
r : sparition r Murlrnl x : -:-: :r voit u;; fo;;;';;Jü;tiïnË iuit pur r.
Ê' : ,.J rep0us$ rüri *rî -;;13r1 Êarelle e§t là depuis ledébutdunuméroet
rllrL irl' i .-.-: :-. Et puis le foulard ajoute à la "pase au
L'emboi
pas, srn0r

" : eS§aye aUS Illlltlfl]ilt

t:::'rantes d'art I

tû:1 rclies mais Iil


iu:iniri ]llil

r .:ié, lors de la
: *: i la boule
c: T :rent elle t

elle tient (fiq. 11). Le pouce

r3 droit donne è la boule quelques


yibrations (fig. l2), le pouce est
plié, le regard est sur la boute.
Puis le pouce droit donne une
Ç ou deux impulsions plus fortes
pour simuler un départ vers
l'avant.0n présente, pour ce
faire, son profil gauche au pu-
§ blic (fig. l3). C'est en fair un
travail de mime, comme un type
-/ qui cherche à rattraper sa boule.
L'effet produit par ies doigts
tendus des deux mains que l'on
fait remuer ensemble donne
l'idée de deux ailes d'oiseau et
augmente dans le subconscient
du spectateur l'idée d'envol et ce
petit détail a son importance.,..

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3:fs remis e- irfln ilrfl ii j.-:ç-:-:; :e ce modèle de tige par rapForl à celui dans lequel on enfile un daigt car 0n est
llllfiflmrflï: .:"i' r : e -i:: ' 9r- la prise par la suite., alors que, là, on met le pouce dedans et grâce au petit beut
)s :iié ve!-1 @ flflr,!.r-:i';:::-:; àl'intérieurdelamain:latigesepositionned'elle-même(fig.20).
t:-:.cuille rfl, It ilLj -::-!-:::,irquelab0uledonnel'impresiond'êtrelégère,c'estdenepasengagerl0uiLE
rifulru rin,- i-i-' : cremière phalange. Dès que c'est fait, on lÈve, le foulard se déplie et la tige est en
lfl]ilmtï ru " :.--.E: :: - 'C!

I e§ :e.1tré en iln :- :::.,] FOULARO


rllflutTt l1 - llt* - : -,i:: :eriiage ne soit pas fait dans l'axe du corps, mais au contraire vers la droite de façon,
lltfl .tl,: { : ::
-:n0n et la tige touchent la partie droite du corps (fig. 2l). La tige frotte contre le corps,
ll$rs el -i:-!:efaçonqueces0itleprofil droitqui soitcôtépublic.Danslemêrnptemps"l'ensemble
llüil i i:"5 il-

'lll|ft Er- :i::îi ven ia gauche


({iq. 22 A). La tige vient, dans qe mouvement, derrière le bras droit,
L II lülslrr* : : : : (fig. 22 Bl. A la fin de ce geste, la main gauche, toujours lendue, ramène le foulard en
i ',a.22 C), en tirant un petit peu pour que [e foulard descende vers soi sur le bras gauche

22

11

l1rêlÊlif3l
Ligs€:ê;:: r
EÊ-Êr!! ne,t
[P.êa:! !?r i:
Lii:3 :ratI :-l
§.r 3 e,,ier:-

LÊ ÈCULE
xs Êi le boule
lcÊ.: ierière lÊ
f' : voit s

l'iE esî un peu en


e îc- Êrd.

il :r-: -:-: je reprends avec la main gauche la pointe du foulard qui pendait intérieurement vers moi (fig.
25 trl r i. : : ève. Je change algrs de pied (fig. 26 B). J'avais le pied droit vers l'avant; je le recule puis j'avance
|lnrilr: : d.: ;,che ; cela se fait en deux temps. La boule est contre mon ventre. Ca permet de la guider sans re'
rr11r."iH, ;. e. plus, il n'y a pæ de posibilité d'accrochage avec le f0ulard. 0uand
je déplie mon foulard, elle
rsr :*-:-. r'éprule (fig.2§ C). C'esr toute la partie du foulard qui était sur le bras et l'avant bras droit qui se
1N11 ,Ê ::.! i'espaæ, pendant que la boule passe derrière. Le foulard fait alors écran, llfaut tirer le foulard avant
rfl : - -â.æf à déplacer la boule, et on part alors en Zombie.

13
'1. PA§SE :
Elle monte §ur le bord du foulard et !e fais un t:r
plet sur moi-même (fig.27) Mais pour qu'0n nevoit pas la tigt
je suis sur le dos, ic replie ie bord du Ioulard autour de ce"+-:
28i.
2. PA§SE : Arrivé là, on fait la "pase de balançoire" : en

chant les deux mains l'une de l'autre, la boule est alon réet
posée, asise, sur le foulard. Je pourrais presque lâcher la tig...
29)" ll y a done là deux pases de balancement : celle{i dans:
la boule semble "rebondir" sur ia bordure du foulard, et

3. PA§SE : Le bdaneement d'avant en arrière qui se finit à n

du visage (fig. 30). 0n la décale vers l'arrière, on souffle


alle sornbre à nouveau et vient frapper le milieu du foulard (fig
NOTE :

Oans ces deux passes, la position du corps est importante :

boule "rebondit" sur le bord du foulard, on s'aperçoit que les


coudes, mus c0rrectement, augrnentent l'idée du balancement
que la boule est à son point le plus bæ, les coudes doivent se t
à leur point le plus haut, et vice-versa, et sans avoir fait
théorie de pointing, on se rend compte que les coudes s€rlent
prolongateur au m0uvemsnt, et ajoutent, par le contraste de i
position avec celle de la boule à la notion de balancement.
Dans la pase de balancemenl d'avant en arrière, lorsque la boule
hauteur du visage, il faut prendre soin à la mettre également B
L'AXE de celui+i {fig. 30), car si la boule élait sur le eôté, on au
du point de vue optique, une fualité entre la boule et la tête de l'
te, ce qui n'est pas souhaitable.

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: .:-:. q:rt iÊ $§iji;I dt,l:l f ût1r:* ij*S irrli:i;,i! ril: {i,:;. ill i:+:ui1::t i.,r:i:ij i:t:;iir ii:1.!::-i:: ilrlil
' :: a. rii:j , {:i ii$ :'*.i'f qtll i'r;ü itest* ii* i;: üt:;ltt qtLriIâ- grl ir :lqir*;:rt inU,::l$i:*it.

-: ', :iirtrii: i'*rlqiir i1i.r ir'::ll*rd 11;rt j'srrair iâchd ,ijij üijiil'{l iirigt: ait-i-ie:sli P:i i.; rirjtra6 8r '
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ti ; lt-;ê et retour par le même chemin ({ig.45), pour arriver à la position normale de Zombie,
:, : -abitude (fig. a6). Le pied droit se recule, le foulard traîne pratiquement pôr terre (fig.46),
iir
i rllilrrr i ::- . s: rematérialise par petites touches dans le haut du foulard (fig.47).
'irrti irl.r,,-:-:"::Jjours,iesuisalorsà45'versladroite(fig,48).Jelâchealorslamaingaucheetjenetiens
tlml lûLll, rlr'$' i :': te : position de Zombie haute. Elle décrit alors un ou deux cercles dans l'air, puis elle est
rüllllflitlil|lfll] ,iil -- ::::e de la main gauche. Je reprends alors le coin gauche du foulard et la Zsmbie descend avec
ffillliill ril llll .": : - :: : ans le Joulard (fig. 49), et reprend son envol en Zombie normale.

lll"{ r I
-:-: étudié consciencieusement la routine, auront par la mêrne, au bout d'un certain temps, acquit
lilllr $r- .i ' : : ::r:e. La boule qui vole est une sorte de danse, un ballet. La tentation est d'en faire trop !! Gardez-
nll I l :i- a r0utine telle qu'elle est décrite ici représente le maximum de ce que l'0n peut faire !!!Sa lon-
,iiillll]L :;::-: :: v0tre rapidité à exécuter les passes, mais rappelez-vous que trois, quatre minutes, représentent un
ll,ii. lr . r ::.,;el ne peut d'ailleurs être atteint qu'al/ec une musique appropriée, soigneusement sélectionnée et

43 ll ll r!r: r{: .s pouvons alors atteindre la dernière phase de la routine : la disparition I

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- - n:-rrr sippan dont le trou intérieur peut recevoir la tige G à frottement doux
- ::: res écrous enf ilés sur une tige f iletée
" J'cesce:: := ' ietée de 3 cm de long
r;re bo,:s
l,s, ie so;- - -,e , ieille épingle à cheveux
ti: n.er.die- - - 'ermoir de collier en plastique dont j'ai pris la partie femelle (on en trouve dans les
-.::sins de bricolage pour colonies de vacances...)
- -= oerle, pour remplacer le fermoir de collier, si on ne
l,a pas trouvé
- - iout petit clou
-: araldite
- - elastique

: I -ISATION
x tube de
æ.... mais lollez le tube B au tube c, de facon que le tube c dépasse de B à chaque bout (fig. 1).
=nlevez le fond du gros tu[ie H et collez-le à un bout de c, passez l,autre bout de c
lire affar- :ans l'écrou J et collez l'écrou J à ce bout du tube C (fig. 1).
Collez le tube en bout de l'écrou comme en fig.2.
rl'anneau Passez l'élastique dans l'épingle à cheveux et collez l'épingle dans le
:.oule. tr!t tube D (fig.3).
Percez dans le fond du tube G un trou suffisant pour y passer la tige filetée
et percez le
tr couvercle plastique d'un trou permettant le passaç du tube E (fig.4). Collez alors
le
tube E sur le bouchon comme en f ig. 5.
EtrtrtrE

6) Passez l'élastique dans ie tube E et en:::
de ce fait le tube E sur le Lrout du
(f
i_:*
ig. 6)
7) Accrochez l,autre bout de l,élastique
a_ ,*,,.
m9ir.d.e collier qui viendra r"porui.*
trémité du tube E ou renrrez a tri.rl,
*
lez l'extrémité de l,élastiqu. Orn, =,
rc1r"-A
ta pefle.
8) Venez alors emboîter le tube G
bouchon (f ig. 6).
dans r,r
9) Vis.sez
l].orr_lu tige filerée dans l,embour *
coltier (fig. 7).
10) Vissez par dessus un ou deux
écrous.
l1) Sur la boule lpercez un trou diamétr.ae
ment opposé au point d,accrochage
s1 s^;
tez Ia boule sur le tube de médiciment
{açon,gue la tige filetée r".rroi" ::
bout (fig. de titre).
a"i.r,I
12) Vissez alors un ou deux écrous
sur la
filetée de facon à solidariser l"

b;;l_ ;;..:
tube et le fermoir de collier
iOo". -
""-i.,
avec l'un des bouts de l,élastique (fig.-7)
13) Vous observerez alors que si vous,,rerîoi-
tez" la boule un certain nombre-d;;;;;,
celle-ci se met à tourner qranO
lâchez (moteur à élastique).
,*, ,,
14) Le problème est donc de maintenir
cett:
boule à l,arrêt lorsqu,elle est r;;";;;;.
Voissykomment.
151 Plantez le petit clou dans le bouchon
'16) Enfilez la F.
tige A dans le tube B et recourbez
la aux deux bouts suivant la fig.
à.
17)' L.?rr.Oru la tige A esr poussée
vers l,avanr
elle bloque le pet;t cloü et lu br;l;""
ne pas. Si, grâce au pouce, vous
;;;;.
tirez la tioe
A vers I arnère, la boule se met à tournei.
Faites-le au moment où elle
,iunt ,u.-i.
bord du foulard... pas quand elle
est en.
oessou s

HYARHYERPANSEES
Cette zombie est solidaire de sa tige.
ll faut donc
l'avoir dans une boîte et avoir
ta que l'on montre avant et qr,on
,*"À"rr.ïrji"rl
boite- Celle-ci est alors recouverte
rr..,-JJnr"L
d,un foulard...
et la fête commence.
(ol{qt Pour que l'on voit votre bol tourner,
y.ait des dessins sur !e côté....rr, il faut ou,il
/ ,iurËe-si;;;..
c'est beaucoup de travail pori,i*...-ô#'"f.
ht l."rl:_i:^ oas^1i on a pas r..iron o.
merdiers. Bien â vous, Onésime...lt.io",
res pettts f-sa,is

r.J
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P1ERRE SWJTON"
[. ilmm!
ütililillluil
i1 a exercé la
G,rumü SWlTOfi, n'a pas toujours été magicien'
-ffirfimür pendant pl'usieurs ânnées
..:cn de Barman au Motllin Rouge
de rece\rÔir
- trimmû :re période i1 a gardé' une façon grandiose
une grande
-'.isr un goût très sûr porrr tres cocktails' et
n! x ilÎlilll '-sance des vins français"'( On peut se laisser
inviter
* mnn

:: -::r en toute quiètude" ' )


le haut du pavé cle tous ies cabarets
ffi
= rencLant 20 ans tenu
Tla. --r
f, 6 Ctans la mêrne soiréel
::-:tens, al.i ant jusqu'à en faire 5 ou
ilm :rr

. --:i lui a valu pas mal de ialousies


r i::s qui t-i'étaiertt pas
de la part de ses con-
aussi- bon "vendeur" que 1ul' "
alrique' et' a été un
l.
: fait plusieurs grandes tournées err
en Frartce' de façon pro-
:: :remiers à présenter ta Zig-Zag
; :.'-cne11e, notemment à la Tour
des
Effel ' ' '
éventails <1e cartes' sur ies-
ffi
. .st également spécialiste
'*:- " mt .-..:.silaécritunopuscr'ile,etdesmanipulâtiorisdedollars.

t
. : crée son propre modèle de billet" '
:_ t-: . 1.,
.-- :-_..,r
JIl.

j----
rôle <ie R' t}ÛUD1N' 11 était te1le-
,illilfi'

-.:s lesquelles ii a t-enu 1e


,:i " lllLL {
ml1l
magicien, s'écria en
iar ressemb.rant qLle 1a veuve du grand
. voYant : Ciel I mon Mari" " '

::3ASTIEN, et dssure en compagnie


de h4ichel Dejene-ffe' et d'
du shcw'
q.
-a chantellr, 1a première partie
des amtrassadeurs ' il a
::éciallste des r:ô1es re'l.igieux au ieu Ticket choc'
:gaiement tourné pas mal de publicitéstélévisées:
etc". C'est d'ailLeurs
:enault !à, Bijoux Cartier' 1e beurre' $
dans 1e <lernier tango à Paris '
-ui clui dc'rlb lait marlon Bran<lo
quand il dit "Passe mci le beurre" "§
un archevêque' un curé
il peut jouer n'i-mporte quoi: 1e pape'

Ç
Quand il sseront granelsu i'aimerai
que mes enfants lui ressem*
surtotlt mon <lernier
&
t blent. " . d' ai11eurs. . ' i1s lui ressemblent '
qui est blond' JEÀN MERL1N.
C
cao
J&
27
{.J!i
- -: - : : lrs ie mauchoi-r eÛÛlïAq en
, - . :: i:ssus. les doigt* dess<lus',ut
!1 r'1uali+'r:
üm
":'::: - :': iaire '"'-opié"16'1I',cpérateu;
Ell[ür
j
: - i.: ceÎ1e p(}sltlOr'
--1'.: =-- ie jeu el, grâce à
se$ deux
mflr N .-.r"à de la carte du dessus et
û&,*,, It - - - ':*ecv
' '' r."
-- arlv ênr'r aehÊva"nt de recourrRr
If,Î|fll
,* ": --A
,1. :-
'44
(fig'S)' Puis il décortvre a
, .,=-.ie ei J'aperçt:it que Ie.jeu est'
j * - : : : a: -!et!eurs' Saisissant aiom le Yerre
,: - .ri tuit faire un demi-tour et !ele
--,.* du foulard en utilisant
.="=i lluit cette fois-ci, grâcedevant
àses
-.. ü ia carbe de
-,,;,., Passe
' . , -. 'q"i iï Pot" Pot t trut de rendre
la
:. ;.:i€ (fig.4).
,- -- -. ' ors au prernier spectater:r tg 1*'T
la j j,rl l, --. ." -'l.rr. .lét,:o,urt : celle*i vient
- *: .:: ,, 1,. trt-iu-j*' ".i Celui-ci est donné à mé-
;; .:: t'ace en bas SÜUS le Pied dY v3rrl
est alors recouvert du foulard
-.' r-*-=Ui" et 1'opérateur garde ses
.=Àiè.* fois
en fig'3 et se saisib en melte
:--::1e
t,
, a"uxlônrâ carte choisie, entre ses
-f*ulard sur §e§
genoux
;:*i. en la Prenant vers
I-.u utott le entièrement
l" ,..n a découvir Ie verre qtli est triste-
lr--.
I . ==.u*ur lève alors ses deux trras^à hau'
i - - '.;;-,; carte cachée en
derrièrele foularci
abandonnant la
, -.,;;;""t
;;;;.uveau le verre
(fie'f), le reste est du
shor*-

#
æü
g

i\

:11
4LK

1
ce faux noeud est sans doute I'un des plus beaux de toute l'histoire de la mac,e
de son prernier voyage au Japon, Flip a dû faire un "Flash" pour la télér.,s y:'
jouait depuis quelque temps avec l'idée de ce faux noeud sans l'avoir mis ca-'rur
ment au point. ll eut alors envie de le faire et de dire "Sayonara" (au revoil a-
ment de sa disparition.
Cette pensée le galvanlsa et après une demi-nuit de travail, il l'exécuta der:r
caméras d'une façon si parfaite que, depuis, ce faux noeud est entré dans l'r
de la magie sous le nom de Sayonara knot. Jusqu'à ce jour, aucune descripticr
n'a été donnée et seuis quelques élèves de Flip avaient pu l'apprendre. Aujcu.l
Flip vous offre une description détaillée avec la complicité des dessins de F
petits veinards que vous ôtes.
Prenez la corde en main droite comme en fig.1 de façon qu'elle soit pliée er u
à peu près au milieu. La main gauche vient alors saisir à pleine main la partrs r
corde située à droite, index tendu, et tire cette partie de la corde légèremer:
la gauche de façon à obtenir une boucle quiest pincée grâce au pouce (fig.2i. .*
à nouveau la positionde l'indexgauche. DANS LE MEME MOUVEMENT, te -e:
gauche se lève et emporte avec lui la partie de la corde située à droite en-dessc-s
croisement, tandis que la main droite s'abaisse dans le même plan (fig.3),
DANS LE MEME MOUVEMENT, le médius gauche se ferme pour cacher le cr
ment des cordes, tandis que la main droite, qui était paume vers l'opérateu"
retourne (fig. a). on vientalorsdeformerunesortedehuit. L'indexetleméd;-§
la main droite passent dans la boucle du bas de ce huit et viennent saisir la
droite de la corde et la passent à travers (fig. 5 et 6). La fig.7 montre ce c!
passe effectivement du point de vue de la corde. La main droite, une fois le :
passé au travers, vient se placer dans une position symétrique à la main g
(f is. B).

Pour faire disparaitre le noeud, il ne reste plus qu'à lâcher les trois premiers do
de chaque main... et, si vous n'y arrivez pas du premier coup, reprenez au c
parce que vous n'êtes pas le seul... mais une fois que vous aurez le coup, vous
en possession d'un miracle de plus....

32
i,îtt: -' ,
ry§
il
sg
IJ
Ce
_mouvement deman ot' d'entrainement
et doit étre parraitemendtl..un e,t vous obtenez votre
troisième rire...
"Voxs avez eu le
.... ( omme vous vovez. j.ai pris mes précau_
libre .f,oi*-Oï'.["isir le :
l,l1l:: .r cetle.grandé carre qui représenie :u11..uu
er. si vous avez preté-queià;ï,;.=,
un tour
Jeu... arln d'êrre 100 pour. tbO.r...ï..:.iüJX, :,I:: gfÿnos. vous conviendrË, qü. -r".-,
9!lenez^alors votre premier rire...;.'---"..
, '-" :J..^11:l
érair exacre er c,était uor..
des-_,
rr en fàit. je peux même er. .iJ.t l"Ir,., ceue carre ... que j..pËi; ï;';
iournez la double à 100/ t00..,,
.n
obrenez
:ïr,:':, ;;;;.
.r"r;
""Ë
car
iËlt-,tu:..._
: Ë;;:iL"ë'u * :J ji.T:.
haur er vous
*r:i:i:'iT.,::,J3'
une réalité..."
ï;J;:î ;iljll îï, =
:uars il y a en lait ffiiï
une-.hü.-à;. j;,uoir",li pourquoi vous avez choisi :e
curerement
^',Y,î:^rj*1*ous
cette cartè rouge I C,;rt
11:ng. ' r"esr que je peux etre â J00/l 00 exacr... -eu ;;: :
:ar .sr cqs.cieux cartei sont les memer,;;;î":r; Ii*1.;:--1?rr
votre lvols
destin avec
donc t. ;;;.;;.a_:
::r1î,, bien. commenr sont les .;i;;r...
pareilles... (les spectate ï";",;i la .éal;i;,
à la.fiction... loyez
;; ài,'".iiïl ,

c'est un ::TI1:
cru, etre un Ubre choix airétece que vous
fl:qlon,n. p.ü, pu, ffisourient"')' seure carre differente *l-r.rï.
ti,iiii;iï;';:,'f,Tîi",::ï"ïl .t .,ri,
"Ë;.;;:,';, .'y, ra rabre. en
illil,.q:l:. "",iJiiri,
malgre l.ui, a perçu l"p;;i
flii
iiT: :i?:,:ï## lançart cette carte..."_ G
p^,
re :.,r "
paquer face en haut. et reverez ,1.étiquetre ,.Take
Toumez-la
donnez I'une des deux r
suJ fu tioi., ;;;ï;;i;:
:.u., î.y9 î, àï,îl
i:r;':ii:,ïi: J:#Iî:îî:: fî ë;1;, I.îlL, J',niili:ru,if ;
sembtables..." Le pubtic les voit ,;,;;'üil.ï;: "{i:,:
vtent tiction...
uE ta pensee,..
euel étrange rnonrie- nr*
a-' '

;r' z (t

36
I ffi ll! illl|llllfi] idltltillill!ililI llt ililltilttlfitllti
I I i I

Ce truc est, à lui seul, représentatif de la forme d'es-

5l
E !--Ji:1t 1g +
prit de Flip qui, depuis plus de l0 ans, combine le
design et la magie. Imagiro est ut't cornet au change
qui remplace la quêteuse sur scène et le portefeuille
au change, lorsqu'on a oublié le sien. Pour s'en servir,
il suffit de le taurner (GIRO) et votre imagination
seule limitera les eflèts que vous pouvez en tirer. D'où
le titre IMAGIRO.
::.ei.iu'atten:: Pour le réaliser, il suffit de prendre une !'euille cle pa-
rèz :ue ma ! pier à dessin, de bristol, et de suivre les dessins
tc:re destil de I à 9. La taille du papier de départ détermine ls
--^-it.
5r--iL -- ,r
Lrr
taille du cône... Ouverture vers le haut, c'est un cône,
e: J.ri esl s€ out)erture vers le bas, il devient un chapeau pour en-
8,i.. ei cecl
fgnt, Il permet de changer des obiets PLAI-S ou peu
r.';:z :hcisi p:: epa$.
L ESt AUSS1
:à lê:tcofltrê 0ü Nous ioignons quelques idées que vous compléïerez
:-r est la panql des vôtres.
vous a{ Apparition, disparition, change de pièce
=r:::--ler'eux su- trl Apparition, disparition, change de carte
[ -,-::e sutc4 Apparition, disparition, change de billet
l-:::cI uue r-rd Apporition, disparition, change de f<tulard
l
ri:e'Take Ces quatre éléments pouvont être également changés
=d'
sr::a surDn§ë entre eux. Par exemple, un billet de I0 frs en deux
i:r:e réalilë pièces de 5 lrs. Vous pouvez également faire les ai
guilles enfilées, les trombones qui s'enclavent (ou
anneaux de clés...). La cordelette vraiment coupée
que I'on change contre une ayant un faux noeud.."
La pièce changée en poudre d'or ou le contraire...
Lln change de clé pour auvrir un cadenas.
Les anneaux de ruban enclavés.
Le foulard en confettis.
Le lait en foulard (avec un rnilk pîtcher)
Le lait en confetîis, etc...
Apparition de fleurs au cornel sans charge...
IMAGIRO est plus qu'un outil, c'est un dépannage.
Chaque fois que vous aÿez oublié votre quêtettse, ou
t votre boîte tiroir, courrez jusqu'au kiosque le plus
proche er, avec une double feuille de quotidien déjà
I pliée en deux, pour plus de rigidité.
Confectionnez IMAGIRO ... and all is right again...
Honnêtement, un truc si pratique, qu'on peut utiliser
'--/; parlout, qui ne coûte rien à fabriquer et qui dépanne..
1E ça ne vaut pas le prix de I'abonnement ? Alors, com-
*i
?,t me la boule volante de Switon le valait déià... si on
1-'.
r. continue comme ça, ie sens qu'aÿant la fin de l'année,
7-. c'est ÿous qui allez nous devair du pognon...

ùI
r;]
r{ftræ-; f*â
W'trâ; L #,# i;}'
E{i A;f-*
§ffi ffiffin **i,,':i: :l#;
ffi&e ffi
§{§ ffi
.Ë4'i ffimW
ffi §Ëi *-k;-rih h'*;Ekp
qsfi6#:r"1i
"q,à.'

ir,ffiS
- " q&? --- ;n{s-,
wffil,gnàlrmÊ il
.-: fête d'origine religieuse qui se situe à mi-
":nin entre la Toussaint et le Carnaval, parce
- - r cette occasion tout le monde se déguise"
:ne les adultes, même Vernon, même ilosh- )
* . r, On place devant les maisons des citrouilles
':'.r#es et sculptées à I'intérieur desquelles on
: ,:e des bougies allumées. Cela est censé eË
'"r. er les enfants et les faire tenir tranquilles
,-,"-u'à Ia St Claus qui est l'équivalent de notre
r: '' \oël français.
- -.--. pour Halloween tout le monde se déguise.
i:-: le savoir, et j'ai personnellement véiu la
r , È:e avenfure que Flip, à savoir arriver à Castle,
in, . Jé corlme chaque fois... et alors tout le
:' . -.le se paie votre tête... En ce qui me concer-
11r' -e m'étais d'ailleurs rapidement déguisé en
r:l -:eis, en empnrntant une baguette et un kile
:" 'luge â la cuisine, que j'avais placé dans mes
][.:.5...
= : lui, a trouvé une autre astuce : il n'avait sur
tl- :.u'une corde et a entrepris de se déguiser
riiir' :: Pour les lecteurs qui pouraient être ten-
rh : essâyer la chose, j'ajouterai que la corde de
:i.: :resrre enyiron 1,30-m, qu'e[è est d,un gros
ill-i*3trê + 15118 mm et tressee dans un nyton
'rt,li . :.e.
-ï :ôsins yous en apprendront plus qu,un long
. ::. ,'lt§ : fig. l, tout comrnence par un paCNÈ
*' *r3ttant simplement la ceinture autour de la
n i Fig. 2. [r noeud papillon (noeud de lacet
.lti: " ":l.ier bien connu...). Fig. 3, après avoir fait
ri[r;:r-itre le noeud, placez la corde entre la
'il,, - :: e et le nez et vous étes déguise en chinois..
F ; .: faites ensuite deux noeuds en même temps
rirml;; . corde (les rnéthodes ne manquent pas...).
'li -, rbtenez alors un soutienAorgè. Fig.S, pta_
lt*rp:: :s deux noeuds sur la tête et pour peu que
wr :osiez devant Disney Land, tout le rnoide
wr, :rendra pour Mickey. Fig.6, mettez les
mr r - ,: autour de chaque oreille et réunissez Ia
flfl ": : 3n bas, vous avez la grande barbe du père
Il - :-\.
ifu:
Fig.7, resserrez les nieuds, placez-les sur
vous avez des lunettes. Fig.8, prenez
fu* ::-r noeuds dans une main... u"è, ,rrre
"oùr
\Sll,:l"j"pâ"ï;J3*ï:,"o:ilr;;;Xà:i';"s:X;i:
ffilllii:r":. ::er1t. Fig.10, faites un faux noeud dont
flur -" igrandissez la boucle : et pendez-vous...

39
cnSl
V6us ne le croirez jamais, mais l'autre jour ma tôle m'envoie- à-Paris po11l ui
*"vâ"L"-à*t t" "di;. Je'passe parpetit hasârd. *" qi, Sol"merardt,Jt 1r-'Hlq:^t-'
àrÏr"1.'ü;dA"é pÀ"i u"tiet*n ün nirnportkoa (car.j'avais casse le mier:
i;"rrturrdrdes tÿpes-qui discutent : e*ce que tü viens à la réunion. ce soir ? ItÇ*-
'q;; jàï;àu"l'hdreise ! AttenÊs, je vais ie la redonngt!.9*;; c,'est ai1{ gy j-?-=
;;;"'"- lË;-ü;";;;Cr"i"r* i" réunissent en secret... J'ai figé l'adresse dans ma tê:e
;i;ËÂË*i. ôAè aurriare une mousse,.juste e.n facede,l'e,1trée._lllt-f=^ïlt:
urrirer par groupe§ de deux, de trois, et franchement c'est-pas po-ur me vanter r:u
;;r;;;i;;- i'âil- t tt"*ent'plus inælligents que moi. Au bout d'un moment. :'r
Ë"î, j;à"-ui *i"l a"u", en iàventant dôs tas d'excuses dans ma tê,te qoyr justrl'ie::
*Ë'-ir;: ff, Ë1"", cioÿur-t" ou pas, qersonne ne m'a rien demandé, j.'ai -qP"."o
Et,guelle reu:
iàrt" i; réunion et ie süis reparti sansêtre interpell^é u.ne seule fois..'semblé
y,a un type qui est mônté iour faire un truc ile foul^ard-quj m'a pas ma;rx
i'r;;dËjà re§ foulards s1ns tgyglet
luularu§ safiù uuuuucr 4q rr!
J'aVaiS dans Mad-Maglc lâ
r"=âr"itutud-Magic
deja lU la IAçOn dé.nouerles
de Genouer
façon Ce Tf:-19
;;;i";Ë-"à""uiisair p*s Ë routirie complète... et.bien, c'est chcse faite.'.. Et.pe
i;il Ë; ;"*e;-i à, a?"' 19 l:19: I 3]ï1 1": f.:,1 ?"i,^:Tê-l1"gf:: g:,?i*:' d "
ààâuets de trois carhJ en se fouiant de sa gueule I J'ai pas compri-s pourquoi...
hnii.,, quant à moi, j'ai toujours récupéré une routine e-t je l'at echangqg ?YT sq
ae Mâ4, contre 111or'uborrrément de l;année.prochaine.,Je ne sais pas si j'ai bien i
Àti1 ^,io *nn
a+i- qüu mon aynliratinn claire, je
;oit claire-
explication .roit événements dans leur cor:
resiiuerai les événertents
ie resituerai cor'
comrnè dit Léon Zitrone.
Au début l'opérateur montre 6 foulards sép.arés et, il,en,9gse trois sur une ch;
noue les trois autres;ilüüô surl'autre chaise.Il fait alcirs passer les n
â,-r-oru*ier ieu sur le second : "lierposÀ
il rnôntre que le jeu noué est dénoué et vis-verse-. Ft
iêr"ttut, on utilise la méthode âécttti dans Mad ou celle de Marconicks'
"*ii"i-a-"à
;"ii;-à,Âs""*- nA21i pour poursuivre la routine, le magicien renoue les foularCs. l
LE MÏiiËî. Là it y a diverses méthodes pour lei dénouer, moi j'ai a.dap19--'
""ôo'i"
O- fVf-Jl a"iaire fe sans y toucher. Voici la chose que c'est : pour simpl
explications l'un des "àà"a,
foulards sera plus foncé.
1" prenez un foulard en main gauche et deux en main droite. Passez les deux bi
droite sur celui de gauche (flg.1)'
Z. fàumez le nouveaü foularà àe droite autour de ceux $e gauche (fig.a' ^
5. nàà*rur-le devani-c"* a" gauche, en gardant les médius comme en fig.3.. (fig.1" . -.
;: i,;ri;l;r aâ"* ir"t"rdr du"droite'à trâvers le trou,-.grâce gauche au p.ouce. droit
aans te même temps, lâchez la prise du pouce et de l'index (fig.5).

40
3l5tt e
pour un colu *:: aintenant
Lrreie et rerü1
les deux foulards uniqilement entre les annulaires et les auriculaires des
riaill,. la pointp du foulard seul (foncé) est reprise entre le por"" et f inâex àioiis
,..

le mien). i.nü - ,. maintiennent fermement (fig.6).


lr.: ? Figure-;^cr !':ns bguger.la main dr-oite, l'annulaire et l'auriculaire de la main gauche tirent leur
:

que j'ai appn


-. ''ous
ard vers la gauche (fig.7).
tirez alors sur
rs na tête e; ùr, -les-deux foulards, le noeud doit se défaire tout seul" S,il ne se
'

= rt
d ,,-u des q.-re '--:lre
: pas, changez de foulard,
,,
changez cie- main... ou changez à; ;étie;...
Talter ma:i,ü[ alors les foulalds comme en fig.8, passez le foulaid gauche à droite et tenez
)Enent. i'a: :u - :Èux comme en fig.9.
r:ustrfiêr r-m '.;:enez-les en main droite par la pointe A, et reprenez l,autre foulard en main
m.ême assis:r ;:-:le (fig.10).
r

uel.le réunic,x
pe,i mau\'â,,.,,
er au-x noeuM
:... Et penirnrnt
uler des pe
uol...
e aux sangsl
'a bien fa:i-j
Ieur contesrr
21ôuHKD.[
une chaise.
;ser les noei
is-versa. P,au
{arconic}<.. rul
fouiards. P-1,fr
d adapte l':cinrn
r simplifier ru

deux brin uu

;.3.
roit
5i.
13
47
.d
§4 -\=l-i
+
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t
:.

't . Sans houger Ia nn gauche, a:nefler les deux foularris de droite vers la gauche en
piaçant du côte des spectatcurs (fig. 11) de façon que reurs pointes r*eil*;;]r".;
cm envircn.
de ? crn environ"
1f"1" ilÂr{S UN MOUVEIV{ENT CûNTINLI. reprendre ie foulard qu! se trouve le:
nràc r{*o o:rar,*afnr'*.
f:è:porytg et ÿ^-.^--^- l^ ,§^*i:-^
^+ repassez-le cle*"ière.là.s
r.'^ r^,---
.deqx aur.res pài iË ôat* ;ir"i;"(fk::
^d.ll$:ÿclat^qurs
cioi.! ôtre au rnê:ne niveau que-celui cie crevant. A"?i;;;;a attll-^pàii,ï
§* (foncé}
f.oulard
f,".yl_r-l{ Lr{
clu milieu
du lrrur§l {foncéi p'sf
iriilipll \aurrLE, est,??I Lit..
ç§! nm ürr
cn: oi, L!e§§ut".r§
.lo*or.rro {JeJ
eï.dessous dac ileu}(
rJes eieux or:**a. gt
àuÉ-;;t
"io,o auLrgs l-;rii,t".pi,
ô} ia
l^ pornfe ^---
-^;-+^ opp;
dépa'+se I*s tleux autres p*ilites rje 3 à ,4 cnn et forme une sorte c-
__
11. Les pointes s*r:t, gardées en anain bà"rre f riâ -
main gauche fcxll*rd foncé
cauclxe et le f*:"elard fr-,ncé et ip noeïd
*:t: ie **rri èL,
nne,ir,-i ,out o--
js
sonne§ ClaJls
dans ie§ plis; cte§
ies pits des dellx
derex Iüuiârds
deux louiards elairs"
fouiarâs claus.
12" T.a main droite se-saisit dela prointe lrasse du foulard foncé, tire dessus et I'al:pi
par I)E§,RIERE fli{ MAjN
par.IlE§,RIERE MÀIN GALICF{E,
GAUC}IFj. ce cuiqui a püur lrut de
ûüur but rle piier roulara Ài'..
nlier ie f.r,,1"".t Ài?
e-t de mpprimer ie noeud.
noetld. Les deux paintes restantes sont remor
remontees u" Àui" g"i
it_ $*:lgpdPer
cie la n:êsne façon et ies foillards sont p*ses tels que sur ia chaise.

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r gauche en ltt,
passent l'aufu î:
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trouve le plru
droit (fig.12l
it. ia pointe dur
lornte opposée iOUTINE SOPHISTIOUEE OE 4 AS
ooche (fig.13r i(gl#et b cqgfl EF .{gr{@}h .\gfleyÊ.
ud sont emprt {.+
: I FE.T \.1
us et l'appore le rnagicien montre 4 as qu'il pose sur la table, face en
(-{
:æ, ll mélange ensuite le paquet et p-ose 3 cartes sur
ou-lard en der.lr
n main gaucbc ûhaque as et..., comme par hasard, les 4 as
pasent dans \:
ie paquet choisi.
Les manipulations un peu sophistiquées sont
atr magicien
ce que la barre est aux danseurs : un exercice "' et un
o'Atonner les copains du club" Vous les étonnerez
"oJàÀ part'
a iôup sOr si vous maÎirisez cette routine' 0'autre
,r-;üts* feut servir dans d'autres occasions et c'est ài
courquoi notrs publions I'ensemble. t!t
qOUTINE \:
/.,
i Le ieu est tenu face en haut, les 4 as visibles'mains et as- (q$

-l. [;oiétaterr tient leslescartes dans ses deux


Di
;;;;; bteak sous (fig.7 première§ cartes : les 4 as + 3 (ir
\:
cartes quelconques 1 )

-3 Ëa àt ,ont éventailiés comme en fig' 2 etseulement


pasÉs en
(if
§
M.b. sàns lâcher le break qui est maintenant
sur trois cartes et tenu au petit doigt'
l. Les aisont réapportés en M.G' comme en fig' 3'
Notez
ra-pÀiition du'pouce gauche qui appuie su.r les 3 car-
tes àu Oesous, alors que l'as de pique est libre'
Notea
que Îorment 4 cartes-avec le ieu'
àgrrtrtnt I'angle ces
:- Li *ii.garclie semble alors verser ses 4 as face en
u-* Jint É main droite. En fait, elle vene les 3 cartes
iu ûeak et l'as de pique, les trois autres as étant rete-
nus par le Pouce gauche. Fig.4'
Dans le mouvement, l'index et le médius gauches
O*iittnt les as sous le paquet qui est posé face en bæ
,üi i, tutr*. La M.D. retourne son paquet face en
Éurt til on aperçoit l'as de pique' Les "4 as" sont /):)
alors distribués face en bæ sur la table' (iâ
lt Èu .ut battu de la façon suivante.:
les trois cartes \)
de deux
du ïesous sont ramenées desus et, à l'aide Gi
*?rà"gri f.iàiilN" Its 3 æ sontsériésuntoutesles4 »
à2
lrttui. ft suffit donc après une ou deux fauses cou' ftl
pes, de donner les cartes en suivant pour retrouver \)
les 4 as dans le Premier Paquet'
/^/^,ar/nlû\-
.Y/l.ti
?à2
vt
43
lilgililE IIKilil
t.U.- Je sais que tu es ami avec Phoa yiang
@IWIffi ]il«
Il Tiong. As-tu un penchant pour le côté oriei- crée l'illusion de faire de
I talisant de ta magie ? la magie et emmène
son public dans un monde merueilleux, dans
! f ip.- Certains vontjevoir Slydini, moi, je vais un Eden. ll est un peu l'image de Dieu. per-
f

voir Phoa. Non que néglige Slydini, mais ses sonne ne réfléchit assez !à-dessus. ll faudrait
i principes
i ne représentent pas une fin en soi trouver les principes fondamentaux du travail
f, pour moi... Je m'intéresse effectivement aux magique. Fitskee s'en est accupé sérieusement
I philosophies orientales et aux techniques de et a commencé une analyse dont il ne s,est
',I combat, bien que je ne les pratigue pas. Ce qui d'ailleurs pas toujours sorti...
m'intéresse, c'est seulement le pourquoi de la
I chose, laquelle est ta disposition J.M.- J'en ai lu des bouts, mais pas tout, y,a
d'esprit néces- des moments
. satre pour atteindre une maîtrise où il s'égare, personnellement,
; Pourquai je me sens plus proche du bouquin de Nelms...
les
II niveaux différents ? Pas toujours pour une
artistes d'une même branche ont-ils des
Flip"- le bouquin de Nelms n,aurait pas pu
I euestion de travail et de courage. tt y a plutôt, exister sans Fitzkee. ll y a aussi le bouquin de
I ie crois, une personnalité plus ou moins forte Maskeline et du pcurquoi des choses. ll fau.
|I Çut, a un moment, transcende ou pas. ll y a drait que les types débordent le cadre étroit
une étincelle qui se produit avec la satle. des cercles et s'intéressent à tous les arts
I Prenons le cas de Slydini, puisqu'on en parlait. plastiques : Escher, Magritte, les surréalistes.
a ll est petit, malingre, une épaule plus haute
etaussi à la poésie : prévert... à la sculp-
I que l'autre et quaid il rentre en scène il pro- J.M.-ture : Calder !
I duit une certaine électricité, comme le 'font
1 certaines formes arientales d'exprexion. Lrne Flip.- Je mourrai en regrettant de ne pas être
I certaine forme de savoir, ce que l'on vaut, ce Calder ! J'aurais tellement aimé, inventer les
I que l'on peut, qui engendre un sentiment de mobiles qui reflèænt mon caractère...
I sécurité, de confiance et donc de cctntact avec J.M.- Pourquoi alors es-tu devenu magicien
I le public. lJne sorte de connexion sous-cuta- et non sculpteur ? y as-tu déjà pensé ?
I née, propre aux "maîtres". Flip.-
I Un maître... maîtrise ce qu'il fait,et donc peut Je te vais venir... mais ma réponse n,est
pas celle que tu attends...
I le transmettre. ll est l'exemple de ce gue son
I public pourrait devenir et le public le sent. J.M.- Moi, je n'attends rien, je técoute l
I Dans l'art oriental, la seule chose importante Flip.- Mon père faisait un peu de magie : les
I est de montrer sa maîtrise dans un but éduca- balles, le sac à l'aeuf, le dé voyageur..-. ll m,a
I tif. La transmission est dure à préciser, car le appris tout ça, puis mh envoyé chez un de ses
I maître ne doit pas engendrer des imitateurs, amis, un inçnieur en retraite gui en savai:
a mais après s'être transmis lui-même, il devient plus et qui était aussi violoniste, philatéliste.
I marchepied pour que les autres atteignent leur Ainsi chague dimanche,vers l0 ans, jefaisais
I propre maîtrise. cinquante kilomètres à vélo pour allelr-le voir.._
I J.M.- Cèsf pourtant pas ce qui est arrivé à ll m'a prêté fo{.,s ses bouquins, et cbst ains
t Channing Pollock... que jhi commencé l'anglais avec les illustra-
I Flip,- ll élève maintenant des vers de tions de "Later Magic".
T
terre ! Ven 14 ans, j'ai commencé à inventer dæ
I La terre en a besoin... tlucs car mon peu d'argent de poche passa,:
I J.M.- Pour moi, la meilleure façon d'appren- dans des fournitures de dessins. Cbit ains
a dre la magie consiste à mener cette étude de que j'ai découvert le mouvement de la flûte
I cancert avec d'autres : musique, mime, etc... D'abord avec une cigarette, puis un crayor
1 mais dans les sociétés magigues" ee qui préoc- un pinceau, puis des ôrosses de plus en'plui
I cupe le plus ce sont les nouveaux trucs. Les longues... Puis jbi étendu le principe...
1 clubs de magie sont plutôt remplis d'amis de J.M.- Avais-tu déjà lu Slydini à t,époque :
1 le magie que de véritables magiciens... Flip.- Je lbvais vu une fois, mais le princiÉ
! Flip.- Pourquoi pas ! Certains ont une grande était déià trouvé...
I sensibilité, mais pas dans le domaine coicerné:
I ce sont de bons médecins, de bons fonction- J.M.- Les mouvemeng pour retrouver d*
I naires, mais le magicien est un acteur qui objets derrière les coudes présentent des ar+
I IIIITIIII'IIITITITII'IIIIIII-I..II'III logies...

44
6
-,
I
I
I
I
I
I étroit
1
t!,r,-qu,e
C'est. forcé
.que dans un domaine ,^t|
la. magie, les gens qui font les mê-
a mes recherches trouvent les mêmes choses...
a ça .apprend la modestie et vous force à déti-
!
I
sur d'autres terrains, comme la poésie,
oe 9t emmène I
'rueitleux, -i finf
l':slitique..Beaucoup de numéros manguent :
dans I de poésie et de gentitlesse. C'est le contraire I
t de Dleu. Per- | ) pour tes martannettes qui donnent au public
I
ws. faudrait I
ll ) I
aux du travail I |'rnu possibilité iidentification. Car dans I
é sérieusement I I L;";,r;;;;; ;;-;;;' on traite trop tes obje* I
h,nt il I
ne s'est | ,n- triiii'oiii.- ùàsd a dû parter de ceta. I
t I us otlei deiaient-ctre utitisés en tant que I
I I trirr'nrioir;'. iir'exemple, chez Silvan, tes
6 pas !o,ut, a
y rcurtereltis n, ,in, ju'un prétexte à montrer I
I | I
?",'!iliiÂ?': Il, son sex-appea!, auprès du public féminin, ses I
cartes ,r'irnt'qr'in *oyæ de se projeter sur
t'aurait pas pu I
1
I public.
te Le b,allet de Richiardi est'pour lui I
à toréer ; mais le plus bàl exem- I
re bouquin de 1 '. un prétexæ d'llarry Elack- |
c,,roses. ll fau-
le cadre étroit
1 l.I stoine. Là le magiciendansant
Ole, c'est le mauchoir
transmet la vie à un I
tous les arts
1
f, abjet inanimé. [a magie, c'est de donner la I
Vs surréalistes.
1
I vie à des abieæ inanimés. Ca explique sans t
1
I doute l'engouement des objets flottanæ.. ba- I
I
n... à la sculp-
I I fouer les tàis de ta nature iniluence le subcons- I
I I cient, l'envie conç1énitale de l'homme de savoir II
trouve là uie identification.
i de ne pas être
é, inventer
t '- voler
La zombie est plus difficite à faire : c'est en I
t*e...
les
'-
I fait un travail de marionnetiste.,. I
venu magicien I Uais la plus betle boule volante pour moi, I
I c'est Finn John ! a
e+tsé ? I
I
t réponse n'est I 1." - Est-ce-que tlt as vu Doug Henning faire
, le mouchoir ? :
je t'écoute ! 1 Flip.- Non ! Mais j'en ai vu d'autres qui le fai- t
1 saient très bien aussi ! et il y a aussi le truc !
de magie : les I avec le bouchon flottant... Pour en revenir à la I
ryeur... ll m'a 1 convenation, je suis enté dans un club de ma- I
chez un de ses
qui en savait
1 gie où j'ai pu voir Vernon et Slydini... puis j'ai i
ê, philatéliste.
I conti?u!: En 69, i'ai eu le prix de magie géné- I
je faisais 1 rale g Eindhoven puis ibi commencé Duplo- I
ans,
aller le voir...
I ya.gic, parce-que je suis né sous le signe des I
r
, et c'est ainsi
I !ém.eaux. J.'1i essayé d'en faire un numéro !
æ ies illustra-
1 Desiqn et d.'y appliquer mes théories sur la I
a magie. La flûte yrt de fil rouge, tout le reste I
à la f in, tout se rejoint... I
I e:t en .contrep-oint et,j'ai
i inventer des fait à Amsterdarn en -
poche passait I C_?tt,.lr.numéro .que
x- C'est ainsi 1 70. J'ai pal ,y /" prix mais beaucoup de con- I
nt de la flûte. I trat:... Puis i'ai commencé comme designer, I
tis un crayon,
t plus en plus | tr:i !,i,!i,'{ii i;:?:i:;:i::::::î;::, !
1 i'ai couru
.le mond.e à 30 ans, sinon c'est un
cipe... rêve que, j'aurais.dt garder jusqu'à t
50... Si ça
' à l'époque ? I I
I:nh" pas, ie pourrais touiours rependre I
a l:te clesryn...
,ds le principe I t
I J.M.- Ne sera-t-il pas trop tard ? a
ætrouver des I ftip.- Je ne crois pas ! Ca ne se perd pas, le I
nænt des ana- I baeiign, c'est une faiçon de regarder les choses, I
aesion, c'est une attitude l!! I
I
I--II-I-----:

45
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r',içri:+iirr *r.i;; ilri+i*r;",,:' :l:,,i;*:rr ,,iirtirrrrrr

l:.i ::l;,r.,jiri;; i:+i ,' liiir..r;. :i.-.*,r- 1.., :;;1 .i,., ,.;!:t,!!!,: ,,, r llmi rllù
lu,::,t,ffr:,.1; *:*,,,,*. ,rU*, ,r,, i...,,riÎ {;&Às Sâ i,i
r:;;it cl iJl i*pp*risrrii*. *tri; r:li **iri,, r.''t.ir';i1;;.*,,:,:la ilL,: sml]t
u:,rr * çrr,i i*ü æ11,:; ii,n1re.
i...,,,,,.1 ..r..{^.,-\,..: ... *:r:-!.j.,:. . ., ,l ,..',, ,.,.nnrr'r",':r;rr,r" *.lvi;: si :"r
r ,iûtUlilltt,iLL llll -

Sïi,li:::i ,: f:irt. ;:a;i:;i::r 111:1i.1,.,:, ll*,iü.;:m6:l §:-ll. li,.*; i;,;:1 ,.ïtr d; , lltrl&ltl'llll ,i

âli:ri*rrlu srii-i;rËli:+. ij:rlll ;ir.,r.*:tr.;


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l**.*:: rir, pi*i.ierfi*,.;,;, ,..,.;:i*r,rnn*],*iru
i;tt:§îi*ïiï d*r *a:ite* tl"i:qirde: I I lllllütturmrlri

j-,:''li';ry,.,;'il rtf-.rrlrr.0..'4,"-tr.)z.'".-;r ,;,,.",",.",,.;r.,.,;;r, uou {:!issË*SË Ëjr1 .,}e:.i âr tr : i11fll""r;1111 i


,,i,1 *"1rur11Ên§ru.r-§ür::-
I ,1",' i, lirç;r* ;Ei*iir*al'ü.eat i o* ;tuJ;;Ï*,i';i,iii.:;,
*ejr*h*Ëiqlr* Êi- i,t dii*:'r* .-:l_..::.:,::, »rll 'r'
sfu 4 *ç ? t,jt,* ::j qi's*rait
r*iia *t;:,ar ire,: *itr u.*o*li* +u.o,- i;*i*"Ï&*e.;g
"
ii
llllfflillÎllr
tlil*itLas rh*rx *ir*çr: Srrs'*s
y æ ænrr:ri: § ar: rl

q,'"ll ..i.'i., :i].;.\ '.:' ,r:-. ::=:r.. l11; ]tit.,..,+1,, , ..;. :.,. i,",a *i **ii
-!iir'"*ipq: *,0ç,-n**i.,
n;**i"f** tu;iBou, n*xs rioÈ,*iar..s.. uilîln]ultfl
j ,1,,.o -i " ' ::" l*itilÏt rltilti
I

-
""5 ,,"r1*,r:::,i_*i;I: ,;;__
-.
üi*sJ*p*.*ën+r*aqiq**s {:.ü$!,-.ir,ili:iir.*s,.,f* li;.t*ie5 fii"lr.i* uüllllilflrut, it,, l

':'dl{rriü5 ; flci;r e*xx qur r,!s §*fi1 *,*u;,ir.-,_'. i


ii;s ra *iiriç*n, *u*u,
;T_f *;1.*ii.: f,k iË: :-
;,Égr;r;r;*i: , sÀ,*.,, ,.."o*.* *";§ll,,li;, *r*,;îr. ,' { 'nffimuurrr

rulll
F,4Ë ü*Fi'ii,lâ:, pilua;-vriix 'llffip6,
â.ii1{ ,ïi,: i!r-.:iir i*jp iNs igsîs§;r§*{ *î *g*sfri*ez-Ë*rrs -:
uilxlîiliiill

,.j".ili"; ;r-ii.-,:,*t irÊ1rl *aisse n:


l{,T:sTqr,_u=* *,1*rti*r,
*fi§T ür ün flêÂ*t* ,i:r Éæ **;,.,r*r -.,., ,**,i;* i*s
îr:l:;f
î1y *fl;rf *r,, llg,i"Uçmruf:Ë.J *tîi{[ r/i:.
iilüih
,flüfllllllflll
,firriiiirllr

r: -
ir,:"i*ais ,l,o*t j*ua*igneux isî§;.,r*us:,r:
cim* Tlif; Irsfty srïsr ;-rfl É{ ei-ifiy i,:ilfi,}ii*[, ,,dilllllnm m,,r
*s:r.;;rna:*r t* **iiuii*n, ily x grr.rs ù Êaiie. :
s*l-'§ i'!8 §srëT piê§ ddç*s. ilr: p*ui rn*mr.*;:*crcn:ises "*
r;lr ire;rÀ u,i****nà,ru *r§ *N§r.&ffis ei:*i -:
r:s*âer * un prrx de s**.t*riptirn

Âr$â]ftË §**ËftT
Yient de æfilr fir&§iϧ ü*TL.e'E§*rus, a'§ear*ii d* î*r:rs
de canea qui irir ::-
p.ercnnm*Ès.
er p*Épare *u** i'dquip* du il"e.Fl" l* tcr*e ? rÉ* srAm.§
tüm*s de $§arln, vsr**gr, Lieiremæw."r**rarix et
arum wÂ.Esfi:les.:" *lï
A. §*bært. *crp *irg Â*nt l,e*rsæee d,i- :,
p{itsîu ?

ÂfiüÂrdL; a ediaô un relag*ifrqus.*t'ttïi"s&ix* rfex r*arshaErdc


de trucs sr d* fisres nr*gsques du r.:- rn
*mt;cr" Nttds§ter Sæ à ec] {aàrs la sJesæ*rld* ! ",

+ft
TITI}ilTKI( DHI3IIT}NTAKB §I}HI}TI}I}
fi'E NII§LO ilIM rlttNTllrt !,' Batlt UI E § If
THMH§, & P€}UXffiXIM IM§{}TIR&TITD
- . r- YAN TlüruG vient de battre un record : celui d'écrire un livre sur u* seul sujet : la neige
È8r unÊ carte.
prix plu§ que
i -. se.". c'est bien éerit, en quatre langues et les desins sont d'une grande beauté" lt's a must
(So-
.-s av€z l'intention de faire ia neige japonaise et, si par cûntre, le tour ne vous tente pas, le
u Sdisme ::ut se discuter (envirsn frs 80.- avec le port). La pnÉsentation est très boane, le papier est gla-
iéisma,qui est r ," '!1)trs saurez VfiAIMENT faire la neige japonaiæ quand vous I'aurez lu. Un final-car, c'est un
c son diplôrne
:ui remplit la scène el ne tient pæ de place dansvotre valiæ, mérite l'attention... Le problà-
nülle épouse. - . : :: que los danseuæs qui vous suivent vous diront peut-être deux mo§...
I nous on leur
I , lire ce iivre, on apprend Bnctra une chose : c'est que le numéro de Phoa n'est pas fait n'im-
"::0mment:ll estrythmdsuivantlerythmedessaisons"lllusionprintanièreetnaissanced'un
dans le choix
an qui æmble
r - .rt le tout poursuit jusqu'à la neige faponaise qui symboliæ l'hiver."" c'est évidefit quand on
ri,:
I ;, : Êt pcurtânt ça ne transparaît pæ quand on aæiste au"numéro sans le savoir... c'est peut-
lüèrement sur
r ' -- peu dommage.
h trucs facilæ '' : :,tIP§ bouquinsssnten prÉparation, ce qui représentera plus ou moins la lotaliti du nurnéro
rnd magicien. rtlir :---:, Le premier, de toutes façons, est luxueusrnsnt bien fait... PFI0A & B0UWiilAN Publi-
p de la publi- m "; -:mpany postbox I Amsterdam.
re divin si let ,,tri :-=:: DEL0RD vient de sortir un petit ouvrage de poche qui contient une séleetion des tours
rLri, ": :ans ses autres bouquins. C'est une édition populair* ne s'adresant pæ au même puhlic.
us truquées i *,-: inalSansetpælacentainedefrsnécesaireàl'achaldesgrandsbouquins,onestconmnt
r un peu ariCt r' "':..jver un résumé pour 13 francs...
l une positior ;. :T NOPS applaudisent eux-mêmes dans leun communiqués publicitaires la sortie de leur
nt QU'un toul' ' r-' ss boules. lls ont raison car ils seront bien les seuls... Moi, quisuis repréæntant en savon-
ncore 5 ans.
r|l'i-i'i 3 trouve gue c'est un bouquin utile parce que pendant trente pâges on arrête pas de s'y
déplaire... (e. ! rains.." tes dix demières pages sont bonnæ, décrivent une routinc sirnple et effective, sans
r ii" ':- " soi,,. Frs 50.-
riri
r..,). :
rt pas abonnes fi, ,ri i:':ditionnelleduprofeseurFanktrouvernieuxsaplacedanslabibliothèqued'unethnolo-
t afention c- : -' historien que dans celle d'un magicien, à nos avis. 0uelques tours rigol0s auraient aidé à
rilui,Lr

lr-, :tiser l'ensemble : frs 15.-


ræise noire -: i nous signale que la hrochure "Ami-Coop" qu'il nous a fait parvenir ne s'adrese pas à
fi THE VEF\ I . :::liers mais à 2.û00.000, puisque d'autres pays francophonæ sont concernés. ll y a en
!! Si vous ar"; ,rr*ï .-= différence..
æ à parier qrc
çs chez H:"
o
__-:-,/
r: qui lui sc.:
tTEH : les tl"- ,i ." : l'.UÂX nten finir* ja.;rr: is de regler leur cc,.rpte au:r pnrlr-
rgræ d'un ç --IoTues...et, i1 a, hien reisen.Il vient i'r cet, effet, de ."or1,
:
" i .-r 6ditions j'{ÂTIIÂl'l un orrvrage intituré :Ll G.lÀ}iD Rl.utrtr.
;us du mono: : rasse rGeller ,1es chirurgiens nux i.rcins ouesr les fuut,ô;.rco
,:Lritesrles nra,ison*e hontées et,c..,Rien eüe tl:s cTtose-s.,ue
i.r-iez rtéjèrmni," clrrelle,l .rie dc v,iir t,out cel3 i.:rrir.rd noir
l
t L.- :-.nc ,&vec des noms...",\ achet,er et, à offrir à tous ceux
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rfl - : - r crédules ,pa.§sent, Ieur vie à se f aire exploit,er .


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49
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*;j';:q i:!i-ti r:ni ass;iV$ ri* âe,: t,:;rir.:uit,.:11*U, r-j.r-;,
.i* ""rrr-,r;r-_r:i.rü :,ri:i: ;ii{ri.1 itriii tir_ i
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# asez di{fâriEe...,,


lac-lv"lagic
r 'evue, il
e§1 Dour-

e ærieuæ
æs confé.
s S,Vdini,
e ri,J rerie
ôr à faire, mË\Jtxr
3,e tous : t:; regulière des revues nagtques sporadique....
treretii réalisée à la ntait par cetx qu! vous ont
ssextile.., -.1 rs congrès de Lvori.... Hrvaidc ltliiorC.loltr,
a.dtas. ,|fa
( lrù§*
Dirigde par
'ri ËAL .iiDRAS, C €.G. Ce Eage ia Vilte-01390 f A\DRI: rOBERI.
-+^i,^^
t:tue> ^*-
u1:. : E t1 tilArE L. \\ la oremièr* rerrue l'rançaise
. _^-^^
: -iu_t!
i-
u( rle Close -up.
te nous e:_ TRIME§TRIEI-LË. &teilleur rapport
kaiithéprie. Parc Barry, Bat. [i"i.
rue Madon, 13500 Marseille.
ChÈques postaux : M.L. LAUGIER.
€'"it )oil- 52 1 4"28 Marseille. Mandats pûstaux
' :ll Hl.l-, et ehèques bancaires au norn de
- 5 q'LÈ j A. RCIBERT.
=
'!,t
+K Li
;- L tE§ MffUE§.SPAütJtrTT!
"t =Ê 9À?
rv- trT- PRESTTGTÂTORT MODERI\IÛ.
c\ îA..- C/C Vittorio Balli, Yia Massena 9tr.
l0! 28 Torino firalie).
Mensuel humoristique en italien don-
m"m IG nan{ un compte-rendu et le calendrier
des activités du club de Turin : Amici
Bi-Mensuel Magiqrre Desopilani, I rue della Magia. Semble être envoyé gra-

J
Béranger, 93170 BAGNOLY'I' )81.51.29 ' tuiternent.
Gérant-vicleur de poubelles : Jean MERLIN
- Co-gérant grif,fonneur-de-papiers : James MAGTA MODERNA
HODGES - Conseiiier tecirnique pour les La plus ancienne rewe magique ita-
inutes, les erreurs et les omissions : Marc lienne. Due à l'inlassable patience d'AI-
\LBERT - Abonnements exclusivement au berto §itta. Il est plus facile de com-
nom de Mad-Magic, adressés à Michel prendre I'Italien que de le parler cor-
HÀTTE, 8, rue des Carmes, 75005 Paris' rectement. Abonnez-vous chez Â.§itta,
Prir de 1'abonnement : France F.90 üa ["ame rcA - 4022 Bologre.
Etranger F.100 - Prir. au numéro F.20.--
uots répôt léga-l à parution.

il csmp0sB û
On se procure les anciens numéros chez Hatte
r. Le ptohb ou au Siège social de la revue. Compoxi sur
I.ts.M.-Maboule, par "les petites dames de la t
11 Earrés ù U

I Ëtre ér;aur. rue de Tolbiac", imprimé par "les beaux


r. c'est-àdun messieurs de chez-Copy-top", Bl. Mals- 0

rÉ au millst. herbes, Paris. Mad-l\{agic est une reyue irnp.i-


mée. Tout exemplaire écrit à Ia main est un
rbo n nem'{rnr faux. Mad Magic est entièrement copyright.
Égomæ. Curm Légal action will be taken for any form of
ca puzzle ar copy. Copyright Mâd-Magic 1978.

51
HATTE
HAPPAILLOMINAITE
-]UlIGHET KI LRESTOUVAIB TOUTAI{OU
§^ô E KSEPTI ZA KZESSOARZOIIVI S IB
8 RUE DES CARMES 033,13.
Ca aurait pu être une bonne soirée. Vous aviez bossé
dur, mais vite, vous aviez chaussé yos charentaises et.
apres avoir mis un disque d'yvette, vous vous étiez
confortablement carré sur votre püant, avec votre Mad
Magic, pour lire. Et une fois de plus, Ginette a ouvert
ÿbu-s,Bueule pour dire n'importe quoi. Hier, dans I'auto-
j'ai vu maimaine et sa soeur a eu un moutard qui
a la varicelle et avec Freddo ils vont passer leurs va_
cances en Corrèze. D'habitude, vous pensiez seule_
ment "q-u'ils crèvent" et ce soir-là one ne sait pas
;r§
6R/
pourq-uoi vous avez vu rouge. Elle a pris en pleine
poire le buste du sourdinghui qui est sür h cheminée
et c'est devenu l'hymne a U poisse... Elle est tombée
,&s
\F\
- ::r
§
-J

r\

lr^ l'étagêre en merd_oprophypolyurétane, qui s,est ,4à<D


défaite et a renversé Ie rechairà à ga, su, ie.i""t ul -Qb
saient les pa-tates. L"
sur les couches du--petit
""i-
Fu s'est aloÉ repandü jusque
qui sechaient âans le-sejôur JHs
§t{,-
sur I'antenne de télé... et-voilâ que vous êtes le"seul >-:r
sunivant... et ça juste au moment où Mauricette
quitte la boite et vous laisse tomber... C'est quand
-(u.
§+ \'l
même con...
Ah ! si vous aviez plus tôt acheté â Michel Hatte son
truc des lames de rasoir... vous n'en seriez pas Li"..
Vous auriez exhibé les lames; vous les auriez avalèes
une pâr une, sans dang-er, car elles ne coupent pas
vraiement... puis vous -les auriez ressorties^ enfilàes
sur le fil de la bobine... et ça du premier coup, parce
qu'avec la version que vend Mictrei Hatte, même ïous,
vous pouvez y arriver... Ginette, ébahie en aurait ou_
vert la bouche de stupéfaction... Vous auriez alors
les lames g-raç â la jolie bobine truquée et en
9h.a1gé
Iui fourrant dans la bouché, vous lui auriei dit : Es_
sâyes, . tu vas voir, c'est facile... et jamais plus elle
n'aurait fait de bruit...Enfin, maintenànt, toui ce qu'il
vous faut, c'est du courage... et la guillotine, dani le
fond, c'est jamais qu'une-grosse larie de rasoir qui a
des_ pieds... On ne va jàmais assez souvent ôhez
Michel Hatte.
Tout le stock du livre des ballons de Hodges s'était envolé... Michel HATTE
vient de le faire réimprimer... et tenez-vous-bien ... A MotrlË pnrx ... frs 251
papier glacé, format A4.
FORCER UNE CARTE... g" petit [ivre de pavel qui vous remet en mémoire
les procédés les plus faciles. Frs 30,- format A5.

52
+k 17 t+
tas 20 tssN o3r73ao+

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33,13.§3.

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\ffifl ,,§ rewe des moEiciêns dont lq moin droite
ignore ce que l'histoire ls. mgil gsuqhg_ _
.; i ..fgi! de la magie, dans une mise en page
rs §|ande aventure de toute

"';i. I lil
illil-fli-rr:

*
c§e de CECIL BIDE.MOULE
rÊ * * * StarringOnésimeLABOUMHIMSELF* *'# * * *
It IR[J1|Pll{ffi[0p[ **x#ei ONESIME LABOU
0nésime LABOUME, de son vrai nom 0nésime Léon, prudent Du3
n'est pas un inconnu pour nos lecteurs. La façon dont il s'est fai:
vice-président de notre société, après une enquête approfondie sur
la famille, les moyens d'existences et les moeurs de notre ancien
président reste p0ur tous un exemple d'astuce et d'opiniâtreté.
Comme il aime à le répéter lui'même, "i'ai débuté jeune".0n !e
contre en effet à l'âge de 5 ans, pratiquant l'escamotage chez les
chands de i0uets et de bonbons d'Aubervilliers, qui sont, par
même les plus durs à tromPer.
E Après des études moyennes chez les petits frères de SASSEUR, il s'orienta vers des ce
E d"éducation surveillée d'où il s'évadait chaque fois, avec une habileté digne du grand H0U
E Ïrilffi.;ilirri'a ,urr* d'une sotte histoire d'empreintes su, un couieuu tro'-uvé dans le
dans la légion. Mais ilse plaft à rappeler enc0re auiourd'hui :
n ne put
J'rn gu.ndur*e.qu'ils'engagea
rten Prouver.
;i Malgré lamats ans, 0nésime fut un brillant soldat qui récolta plusieurs médailles dont une
ii ses 17
fit miraculer...'
n culeuse, grâce à laquelle il se
n ...par un adjudant sans réserves auquel il plaisait beaucoup. C'est grâce à la bibliothèque
n dernier uu'ii paracheva sa culture : San-Antonio, Play-Boy, Théiàre de Chardonset, surtou'-
E prestidigiration sans scrupules" du Docteur DAUBEBGE. ll se souvient que c'est à la ls
4 [u:iiir"ntràrta son premi'er vrai contrat en même temps qu'une bonne blénho, et une ci
E qu'il a rOusi à conserver intacte lusqu'à auiourd'hui.
n Ëir, i'riffrro à la suite d'une bourre m0numentesque qu'il trébucha sur une poubelle u

tiÎ
,t la0ugllg ql§irlt
laquelle gisait ullts masse poilue
une lllarJ§u Pulluu Ët lEllllllIrIE manifestement culbutée là par desvoyous, l;se
et féminine,
alors qrà de tgutes façons il ne serait pas le premier et c'est ainsi qu'il fit la connaissai
'ii Léonie, qui, comblée dès la première fois, accepta de devenir son épouse.
n Elle lui donna'14 enfants en 11 ans de vie commune, dont l'un s'appelle Franck, en soi
n d'Einstein qu'ils n'ont pas connu ni l'un ni l'autre. Les allocations s'aioutant au .chô
n quittèrent le hangar désaffecté qui leur servait de bauge pour le coquet pavillon de G
n Gonzesses qu'ils habitent encore auiourd'hui.
E C'est sur la péniche de l'armée du salut qu'il fit la connaisance des deux rédacteurs en c
â n0tre revue qui guidèrent ses premiers pas dans le monde magique parisien. Présenté par
I i;;;ï;;1eiiio]üôltir,.p, il'frt,rç, àès la première fois, juste en *êrt temps qu'ila
de trier les 20 000 invendables du journal de la merdigitation et ce, sans masque à gaz.
H
irÏ 0nésime est membre actif du.groupe des collectionneurs,.où il.adéiàexhibédevantses
res quelques belles jalousies, aiÀsi que de jolies rancunes filigranées sur fond de médisance.
ii
n 0n6sime a, c0mme tous les hommes droits, un sens aigu de la justice. Ainsià Vienne, il n
n pas à casser la gueule au président du iury, parce qu'iln'avait pas eu de prix'

E ll est de ceux qui pensent que l'argent n'est pas tout, et qu'on arrive touiours à ses fins à
I Jr-pàtir"rr-.ilî iriràiionr. linii]n'uyant que de màlgtei économies, il vient d'acheter re
I d'un habit. 0uand j'aurai le pantalon, déclare-t-il, il ne me manquera plus rien pour.être
â Urà Au lury. Notre im.iest au sein de la société un exemple,vivant, et il.a æcepté !l1é!tl=
E
tJ ;;r;"rà;i,';ri'en a uien besoin, quetques-uns de ses meitleurs tours. Nous l''en remercior:
vivement. Toulours sur la brèche, il reste le vivant exemple pour les ieunes, que l'on peut a
ItÀ ;';;'ffii;#iJ,i pun,n, de rien
Ce nu"méro tuie$ uéàié. BAc A GAz DE

+ Ç Li q.! Q tl {.} Q ry L} t.} q} Ç {! Ç (,! Q $ + {,} t I q} $Q


(} Ç t-} Ù,,} t-} q} Q {t Li u
54
3
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]OUME
r..i3ent Dugrim
ii s'est fait errmi
Fondle sur la rm
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iârreté.
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rne". 0n le im'
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uicurd'hui qr, urtl

x iont unt
.Taquelquetempsdéjà,lebonAlbertamissuriemarchéunenouvellesortedebien
se transformer en lapin. L'idée était
1,',m
_. le éponge qri p"rt-pâr'rutorrnu,',-,ent
séduisante, et piusieurS ont pensé
qu-il y avait.,,sùrement quelque chose à
I liothèque cie w .-.
.= te...,,. De son cote,'ü"àeàu Trn'nun rendit disponible une routine appelée HATS
N et. surtout. 'lm haut de forme en plastioue
_.,D HARES, dans rür.i. li iournissuit 3 chapeauxjaune.
r c esi à la lé$mm La routine qui accom-
:-=fendu, ainsi que qrl"fquàr p.iils tapinsen
éponge
o. et une cirrhcm étaient sympas..." Ma
.:nait l,ensemble, eluii arr.. débile,.uir tàr.Ëup*ur*
de sa tanre Léontine, qui était bien
rne poubelle crm ,-re ursule, qui est'Üràaeuse, auait héritéindividuelles qu'on place devant cha-
s vcyous. ll se dtttt :..,sante, des petites rrfi.*i mrnuscules et
r connaissance @ - -: convive.
fait breveter une invention tenclant.à :t:T:Î::::î:tl:l
-:.:= son cÔté, Alain SoP a à. papier légè,u*.nt gaurré, consette après s'en
a.nci(, en s0uvgïNfl]l :i.:,.,i:;Joii'&i oà;oîùrÀ
rt au chômage *u
a serv 1...
lirn de Garces'um
autreGuyauxEtats'Unis,atannéAlbertjusqu,àcequ,ilfassedespetitesballes
destinées à vovager
:rges bien rondes d;;"1;;" ;n centimèire de diamètre,
,acteurs en chef m
rs des cartes
PrÉsenté Par eur itr
40, CALDEB, qui n'avait pas encore taif y, tolu:ti,:1tl::::ii"
qu'il a acceptûür ='s les années iiirre cours à son sens artistique il avait réalisé
des
'rps
..:;"#;ï;;;;;,'i"*.ii *êT::.:Hi
,^
^^+i+ {ilm
crrr
-.l,lrïi p^ .rtà, Jàs stauites' des bricoles.tt
i;i;' ïl ;i ù;" *des matériaux :lÏ::
devant ses confuù'
e "nédisance. l;i.: i;.""t,.ü; mém re tou res,11
o i s. -
111' ::: : l'^:u:§:'^i::
rrès simptes L'un des sass de ce
Vianne, il n'hésm |,iiiiiil, à;:ïi.;; iermettait
et .+^i+ il l.i.oai+
dans une case. ouand on l'en sortait, il Iaissait
L",iii Ïll'i,";, ;;iln
--apper trois marrons... que Calder balayait avec une petite balayette '
rs à æs fins à fûllÉi
rr d'acheter le hfllti - , -s ceux-là el bien d'autres encore étaient loin de æ douter que grâce à leur
ien pour être me,tmil -:ntion dont ils n'avaient pas toujours tiré parti' ils allaient ParticiPeret àhoP
une
routine...
folle: rrn rendez-vous dans Mad-Magic, sous forme de
!
pté de décrire Pruil. .
'en remercions bmfi.! =-ture
, - :ommence...
ue l'on Peut arrilmq
1
I
:A GAZ DE LAÛIM

rlQ uqj L) usl


55
MATERIEL NECESSAIRE :
- 3 demi feuilles de papier sopalin
- un mini chapeau haut de forme
vous pouvez également fabriquer si ,
n'en possédez pas en collant un o"
sieurs ronds de chapeaux au fond :
boite de canigou usagée que vous a
peinte en noir mat et cernée d'un r--
de soie
- un lapin éponge Goshman +une :
éponge assortie (@ Z,S cml
2 ou 3 mini éponges de même co.-
de'l cmdeO
- une petite salière contenant du sc
lant... que vous volerez à votre :
Ursule, ou à Bernard Andréi qui en
sède de très belles..
- une petite baguette magique et une s
de ciseaux.

PREPARATION :
Placez les trois petites boules contre le
du lapin (fig. 1) et aidez le lapin :
mettre en boule...
Cette boule, ainsi que l'autre éponge ,
nent dans votre poche droite de vesle ,

la salière.
Placez les trois feuillesde papier dans ,
poche gauche ainsi que les ci

ROUTINE:
1) Montrez le chapeau vide et placez- :
verture en haut sur la table, dépcsa
baguette devant.
2) Sortez devotre poche gauche les fe- i

de papier et les ciseaux. pliez les fe-r


de papier en deux et découpez
formes de lapin, comme pour une r l
belle, en vous inspirant du rn
^.
(fig.2).
dessiné par Hodges
3) Vous détriplez alors- les lapins
quelques gestes magiques....
4) Vous jetez les épluchures. Tout e-
sant cela, vous faites avec les chutes
petite boule de papier qui vous
pour la routine et vous gardez
boule à . l'empalmage classique ::
matn orotte.
marn drotte.
5) Prendre l'un des premiers lapins, ie
tre en boule et le poser devant te
peau avec la baguette magique (+,;

56
-:' alarn di'oite vient alors le saisir,
- .-: index et médrus et, dans le mou-
:--:'rt du sénator Crendall, dépose
. -. :: chapeau ia L-.,alle qui élait Tenue
' ;-r'palrnage (fiU 4) et place ia oalie
: : e en mAin gauche.
.. - :in droite tourne alors ie chapearr
- - : ressi.rs dessous de façon que l'ûu-
r. -'e passe du cÔté de l'cpérateur
.ai
: -arn drorte remonxre alors la balle
- -:rire en main gauche et on exécute
-
-: Jn faux ,Jépôt err main gauche.
, --, n droite, avec ia boule à l'empai-
':= crilinaire, prend ia nagueite, fait
: : rsse au-ijessus de la nrain gauche
-. tQ a disparu
rapeau est alors retourné ouvÊr-
=n haut, de façon à rronTrer que
e est arrivée en dessous. Mais
'cis-ci, ie chapeai; est tourné ou-
': vers ies spectateurs (f ig" 6i. Le
=au esi aiors placé DEFRIERE ia

=n droite vient alors pr€ncire cette


- :.ie comme la orernière iois, pour
- r:irer et dans ie rnouverneni eil€
-::erras§e, comme la prernière fois,
. . couletie empaimée Cans le cha-
:: - ''g 4), la nicnlre et la dépose
-' :'.erent dans le chapeau. Ceiui-ci
=
. : ..;rné oLrverlUre en bas.
'-l,sse alors le seconC lapin en bcu-
-
- {aiI un faux dépôt, une dispari-
. --: ia 2ème bouleite est arrivée.
: -- j 'j droite vient prendre les deux
- : .i.s enire l'index, le méd ius et
,-- aire et, Ên utilisant toujours le
-
:--= 1-rouvement, charqe de nouveau
,reau de ia bouiette empalmée
::"x boL:lettes vrsibies sont placées
-::TÊnt oans le chapeau, qui est
-f
: IJV€rture en bas.
.: :,: "
-:=: -
:Ï ':cède de même avec le dernier
E_ _: : ei l'on retrouve finalement trois
::es dans le chapeau.
: ^rontrant on recharge le chapeau
l:me boulette.
:- :es trois boulettes sont piacées
: -.:'ren1 dans le chapeau et la troi-
:ans la poche drorte, où !a main
. : Ce ia balle éponge normaie.

57
re bas, une passe masique er
Ô '''
'lB)
ff :!',::ï,"'"ï.f§:;l: Êïrïlï:îvers
ies

La main droite se saisit des trois balles, en déplie deux et les refroisse a-
de la troisième defaçon à former une boulette plus grosse (approximativ:
du volume de la balle éponge.
'19)
La main droite se saisit alors de cette grosse Doulette et prétend la place.
la main gauche. En fait, elle ooère un :r
ge d'une main et place la balle'éponge
la main gauche (f ig. B).
20) La main droite plonge alors dans :
che droite, abandonne la balle de pac
prend la salière. Elle arrose alors la
gauche de scintillant, repose la salière s
table et recouvre le contenu de la mar-
che du chapeau, qui sera posé face e-
yl.
(fiq 9)
lTrg.
21) La main droite arrose alors le ch.
de scintiliant et replace la saiière c:
poche droite et s'empare secrèteme-:
lapin plié, à l'empalmage des deux de.
doigts (fig. 10).
221La main droite soulève alors corn-
fig. 1 pour révéler la première balle éc
et repose le chapeau ouverture en ha-:
la table.
23], La main droite
vient alors vers le
gauche comme pour saisir la balle c_
contient, en fait elle presse contre la :
lapin qu'elle tenait empalmée et les
balles sont dédoublées dans le mouve
bien connu.
24) La balle ordinaire est alors plac::
poche gauche, tandis que la main :-
remontre une nouvelle fois la balle tr,
en la tenant au bout des doigts.
25) Cette balle est alors placêe en mai-
che et dans le mouvement la main dr:
retourne, de facon que ce soit le lap -
soit à l'extérieur.
261Ce lapin compressé est placé da-s
chapeau par la main gauche. Grâce .
petrtes secousses, le lapin se déplie p::
petit et se trouve finalement comme l
l-a fig 12, ce qui produit un premier ct -
271 L'opérateur le prend alors par les :
les pour le sortir du chapeau, ce qu;
les deux ou trois petites boules dedars
2Bl "ll faut être très prudent avec les
car ce sont des animaux sans aucune é:
tion...". Ce disant, il renverse le chap::,
les toutes petites éponges semblent êt.: I
crottes de lapin, ce qui produit toujo_-:
sou r rre... .

rûû8ûûtttttûtûss
58
i:::.-:a[I$
§'Afà.FichalÇ,"#
c u p (fl I
.-_ 1 Lhutreiour,j'ai Étéfaireungalaet,puisquei'm'ai faituneban-
^
;...,.',xk,
ih:i;,:tr,:ÏHi#:ï{iflïi,ï**',,*{i;,:ffi
j'avaisdesfiches rondes à 5 branches (i'ai appris plus tard que c'était
des DIN) et l'orchestre n'avait que des entrées avec un gros trou

@\. - l\\
,- -ru( mnlsr ^t
rond (on nn'a dit que ça s'appelait des jack arnéricain, femelles,
châssis...). Breffe, ils m'ont foutu un disqu* de Sheila et i'ai iuré
qu'on ne m'y reprendrait plus" J'ai donc soudoye Mimile, l'éleetri-
-RtJli cien de la boîte qui avait sonorisé I'arbre de Noel de l'année derniere
pourqr-r'il m'expliquetout... et i'ai tout nsté.... pour pas l'tuhlier"..
LA TRANSMISSION DU COURANT ET DU SON
Elle se fait au moyen de fils métalliques gainés" En çt'néral, ils sont
composés d'un ou plusieurs fils isolés de plastique, entourés d'une
tresse métallique gainée. 0n dit alors que le fil est hlindé. Un canal
sonore peut être relransmis à I'aide de 'l fil + la gaine, on parle
alors de C0URANT ASYMETR!0U8.
;OURCEJ

w
Le même canal sonore peut être transmis â l'aide de 2 fils + gaine,
on parle alors de C0URANT SYMETBlOUE.
La gaine est toujours soudée à la mase et les fils aux plots de con-
tact. Un conducteur composé de deux fils +
tresse, peut donc
transporter soit : '- 2 voies asymétriquæ différentes, utilisant la
même masse, soit 1 voie symétrique"
LES PR ISES
tuels que soient leurs rnodèles, les prises se divisent en 2 types :
les prises "PRûL0NGATEUR" fixées au bout des lils {en relief) et
les prises "CHASSIS" fixées à demeure sur les appareils (en creux).
oo Les prises proiongateun peuvent être mâles ou fernelles (quand on
voit les prises et con est malin on comprend tout de suite lesqtlelles

o
EN(EINll D
sont lesquelles... Enfin, moi. i'ai compris tout de suite...).
Les prises châsis sont, la plupart du ternps, femelles, pour ne pas
dépasser de l'appareil... mais il y a quand même quelques excep-
tions... chez CANN0N par exemple. Le but d'un cordon raccord
est donc de sortir le son de la S0UHCt, c'est-à-dire l'appareil de
lecture : tourne-disque, platine, cassette, bandophone, etc... et de
eA(ôRpS l'emmener, puis de le faire entrer dans I'AMPLIFICATEUR, où il
sera amplifié, voire filtré, et redistribué dans des enceintes.
Si tout était simple. tous les appareils porteraient les mêmes prises
el les marchands feraient faillite. Heureusemcnt, poul la ioie de
tous, il y a autant de prises que de groupes de fabricants....
Dans les grandes salles, vous n'aurez bien sûr que votrs bande ou
votre cassette à fournir, mais il arrivera que dans de plus petites
vous serez obligé d'apporter vous-même votre source et de la

tffi connecter arec l'amplificateur du lieu. ll vous faudra donc un


CORDON PR0L0NGATEUR d'un ou deux mètres, au bout
duquel vous pourrez enfieher de courts cordons possédant à l'au'
tre bout l'une des diverses prises existantes et qu'on appelle Bac-
cord. Des schémas simples seront donnés de la fabrication des
raccords et des cordons, mais il nous faut d'abord faire la connais'
t3?'i sance des différentes prises existantes.

59
l§dld d d dgggg, d d d d d d d dcvo-
Les appareils s,nt munies de prises femeltes qui permettent lentrée et
sortie du son.

LES PR ISES DIN


3 BROCHES MONO : l. entrée / 2. masses I 3. sortie (A)
s BRocHES STEREo 1B0o : l. entrée G /4. entrée D i 2. mase/8.
tie G /3 sortie D /ai
!1ryles tables de mixage Gomportant des prises DtN,
seutes les entl

w
TAPE (bandophone) onirrs s
riiotr ronrriE;:ï* entrées lignes er Mi
roil;î;;;;.;i'i;;;il:
€)6"
n',.nt en sénératque 3 enrrées rànnr.C*i,
gauche, pour tes enrrées tigne,'c,est.â-dire tes,nirO*
::11-l.lr
magnéto, tuner, etc... /cl et celles àe droite pour les
Orïi,
entnOei Je ni
micro. ll faut s'en souvenir quand on soude les iaccorUs.
L.es m.icros peuvent sortir en symétrique ou
,n aiymOtrique.
!^yj:l mono symé.trique aüra S titi, auoriisifi en t, Z, J
asymétrique aura 2 fils aboutissant d ,i 3. u; i
tr). Un
micro'stéroo asymiiri
aura 3 fils aboutisant en Z, i, J (o).
5 BRoCHES q60" , prises spéciales pour télécommandes diverses
reporter aux spécifications du constructàur
/F/.
c PRISES CINCH
Chaque prise ne comporte qu,un fil + fil de mase /G/. ll faut donc 4 p
pour entrer et sortir en stéré0.

PRISES CANON
d Elles comportent au rnaximum trois firs et ne peuvent
être utitisées
MrcRO. Sr
p0{r une.seur.e opération lentrée ou ra sortie. Èlrrs
sont inoit]âirl
Ailtl. mare 0u teme[es au châssis. et se différencient de t'utes
res autres
par le fait qu'il faut brancher la masse e,, /
les autres priæs.
et n,n en 2 rorme iri
e lue comportant3 plots,.ces prises ne transmettent pas 2 voies (
!ign
+ une masse, mais une seule voie (mono) avec un courant
svmétr
c'est-à'dire un même c'urant porté par o*uxliii ô,
ment sur les tables de mixages, pour iaccorder des
Ërilàri,riiiri;
micros /r91.
PR ]SES JACK AMER ICAINES
0"n ne peut distinguer de fextérieur si erles s'nt
nnono su stérÉ0. frr,
@g fl.:,Lllifrl.deux fits, Stéréo etles urilisent g iits, mais à i, u]trlirr"
ettes recoivent deux voies rrY*Oiriq;., : ta gauche
9.tN^!9^N, et ta ctr
qur l.utes deux utirisent re même fil de mase. 0n reitrouve
,/-\ ment sur les sono d'orchestres et sur les amplis
nrinc,
/,t/.
@ h PRISES BANANES
Elles ne recoivent qu'ün seul fil. l! faut donc
en hrancher au moins de
mono, 3"en stÉré,. et 5 si l,on veut entre*t,orii, en
steré,. 0n les r

@ sur les tables de mixage et les instruments de contrôle

PRISES JACK JAPONAISES


q;il;il ;,
p*

Y:::*r.._]::,119!-rr,ru
p.as sur tes sono. 0n les trouve sur tes petits
reurs a tranststors, les minicassettes (K et L).
@
@k
@l
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Prise femelle
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i [es :*l:eut
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leg:gsi,llg F : Jack américain mâle mono

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LES PRISES CINCH (A.C.A.) U.S.A. / Japon
L: Mâle
M; Femelle
I rift'e - "rmu LE S PRISES CANNSN U.S'4. / Canada
N Femelle
t Mâle

ffiï'r---fi-Tn, e 0t VEBS
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Bouyer (Francei
Phitips (Holtande)
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RACCORI)
A: PHOLONGATEUR 5/5 M/F DIN
B: BACCOBD DROIT 5/5 M/M DIN
C: RACC0RD CR0tSE 5/5 M/fr/t DtN
D: BACOOHD DROIT 5/5 F/F DIN
E: RACCORO STEHEO/MONO CHOISE 5/3 DII*
F: HACCORO CHOISE 5I5 F/M DIN
G: HACGOBD OBOIT 3/3 OIN BANANË
HA : Asymétriseur gauche
HB : Asymétriseur droit

IA: BACCORD MONO DtNfiACK i MICHO/ASYM


IB: RACCOHD MONO DINâACK / LIGNE/ASYM
J: BACCOHD STEBO OIN/2 JACKS / MICHOS A
K: RACCOBD STEHEO DIN/JACK STEHEO MICR

L: RACCOBO STEHEO DIN/CINCH


M:
"'*'O 'fr,"
HACCOBT MONO DINIOANNO*

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BAccoRD MoNo DrN/cANNofr"il^fTy::
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,:. ,',: !:.i !irts *i'*ê*, ii v ;r,'a *rffir* tjrt c:+ {rnr!:rÉ*ræ! r'i:us i*:lq**l*.;';}*c iir ï'}r}t!îir0;r ii.31;
' , r,.:::,... f""§til riirfr;..,:i vtx* *t*r !* p*ti*rt*c Se uri;li::r'*it:rri,[i !i..'-,I'-*ir, v**:; §iit:ï s{.iil*-
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-g 'I. : ::ri :li,r, ,. V*iirlt$:itëEli?8:'È;:q:t lel rn{:r;*rrls sjâ p#i'tjiii i?'fe{; i*iir i!t,!§:'i'ii
' .. l: ,,,:r::il;,1üflT*tji, il Ër-:i.r:i{;rttf a .ij* "s:*T"itr d* ve?rr iiütii''r:it"
F:ir.':,,,î ix *rpi* dr "r{rtj:
*iaçnét*pl,;**eu *rlr*;:lÈens zur it:-; lnageilt*nhc;l{§;Bi:, lrfir,t1;ij:- i'i!r"t*.,
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_J] rî.:iÊ': i* *r:g:i* d'um l-rlugrléT*ph***r,:*r'*prri: §iir i!i1 *iq-tre. ii::.; Ëh.riig:s: pheilp* {v*ir
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: ,:.''ri,,i it,;Fur d#slx pr*§*nEate*r* ü§ni §lS ;nâi*s, !*rsque ia s*unee ü$t §;tffÉ* §*i*t i!* l's;i;"
": S'ir ,i;uË e;nl c*rdsn *rûisi"â, cln peut f*àre FHû+ü* §) *Fr§*.
: -ii:i,,; i-rermetts$lt eie c*rlvevtir ri*a sfi!.irr:c strrêc! gü m0iÏ*, st d*i:s d* l'gcltà'er sqxl ü*

D§ , '-: r r"§i:*. È-es Flqlts f l4.st §13 sc*f csnstc*tr&s *§ttrË cliJ"q pfrr *in psânt {AÉEi
:,'*..i js i:**çerxlr un prc!a*gat*ur [!§$l §l§ mFTüii mââr* *n ur: pr*i*cg*âe$r ür*i§*....
: , -:*rri üEf* &iTSfi* I ffAfdÂruE pa*r vl*illes tahles de mixary* {&+ffi
",1ËTHtr§§[!ffi ; t! arrive
qilû st]trÊ $siirre ss;t syffi*tri{ifi# : miûr*, et rlue vnrus d*viea
;:i'i! irr: ams.n§i me r§**vsËt que *es **l.!rëilts asyr"nétrËqares. l§faut des:e interealer o:;l A§Y-
iE UË qui va rêffieT!§r les d**x fiis à ss* fà§. §'{& rentr* qi*§}s a'ril* *ætr*e Êigne. alcrs q*e
':1i:1 1.ifi*an(slJ"g1trgl1
tlarls ffit§ üfrtr*s nri*re {&+S+F{ê. r:u &+-* s Fl#i
rr.j v*e.ü§ fr§*â a.§il màrr* symetràqu* av** Nn* §ürt;* l? Ë&J 14ue v-$rjc v*tii*r #lxirf r §!ir ffii
..s
,i'rÉtriq*e $:Ê *4r11pürte§?t q!,.!f d*§ entrses ia*k r"*ict'c, v{}ils r*§?tv*r*r avee;:iis" 'nir:i;r
- :. . . l':t::? tnir:r* stÂ+Ë r lÂ"
'*:1 ,!ir *xemp§e d'e*trer irâï Ê11Ësrn STË!f Ëü d* s*nie iliFi, sur âir* ii&rli.! d'u"r*h*sTrc nq
-:.,: .,",-
- - -, *.:,tr. "à..- **,{*;;".-
r'i.ri"Tqq *l;ilfuq *gf1&lt1 i-"^Ê. i,*'t'"e*""r"-
l,qtzuü j+:F i,*,):rt*tÈ;*. .!!
enîr*r $$ rfiiülcj tt*rê*'ciis üfi* §ü:ïs sffi,s-E{*dêmg r.i*t ja*Tcs
fern*§§*s st*rê*
*":1. d:'gllT-i*i *r:tr+le*
ÈTiÈil*i st*rÉ* siln ün8 ssr]ü *igreh {Â6's§r1.,qKÂ1, §tüTT" #Te...i
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-,.-':r':. ;i* srrTie sryr-'m*TrÈqxc illfu t* *dÀi{ff{'}&É ü*i iliTü çê,iliiSüru *l; l}lrï,
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- -.È i;hs§* âY*s ànfi8 §cuyer
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: -: -r.' :,üi.!,q ÊLtî*e È.!ffie tr*lætgi*e d* rac**rd: ferrnÉs, §s.[.55 r'!Ê sôtii"üe *lil§, dans les cas de
",, ,,:r:i l*; parti*s gau*Éies oa: drcite* qei smrt **ranmïé+s. [3** hr:nn* pr*eauti*n üssrsistal
-:.r ilir a ref*r**;i une pruse q{âe ê'ffn visnt dq smudq:r, * pr*ndr* une pctitc ôtiqu*tte *u{ru-
,: le 1: *rsiisr sur iæ prise" Sus **1"'È* Éâiqu*iËe v*ils îxrt*c Nrl sq:hâsTa de la priæ *ur lequ*i
: :,*; qt-l*ls s*nc'{ ie: pl**l qur ili}s§ 6v*r **rum*et*s !'*ars rsee}svq'*a *ft$üit# t'ens*mhÉs
:': îsr!*âu de **etcàï, p{i{ir qiJr.: l'æn*re ne êttrsss pês à §'spr*i:ve rla: trmps (vciir i!!*strx"
. :r ; pagc *]"
-. ':sis Blus agirôs q$"à i:fiiTlF$§er ucs liq;mes c*fitmE u* j*u dx üss?$trâ.|tî;eil.
"irj€( DiN ü^.)

'-*Â-,1
t.i-lE 1"1 ttr b"l L eilË,À'r.Iï *.
{i3
12
De beaux bambous, c'est bien plus difficile à fabriquer qu'il n'y paraît. C
la Devano, et tous les tours à contrepoids, il s'agit de réaliser un compromis
divers étéments.Bien sûr, les vrais bambous devraient être en bambou, mais
ceta il faut être outitté pour travailler ce matériau à chaud et n'y volts, F,
ne possédons les bons outils. De plus, il faut les doubler intérieuremer:
tube en téftan, etc... Donc, si c'est ce genre de bambous que vous cherc:
mieux est de les acheter dans les congrès, et une paire de barnbous supe
vous sera vendue dans les 500 F.
Nous allons donc décrire la fabrication de bambous de section carrée.
ceux-là, vous pourrez les fabriquer vous'même et l'ensemble ne dépassea
50 F. De plus, moi, Onésime, ie vous garantis un fonctionnement souple e:
à coups, ce qui vaut bien quelques heures de travail....

OUTILLAGE:
ll est des ptus réduits. ll vaus faut : une chignole avec forets de 0 3,5, ô
tourne-vis ; une scie à métaux ..... Et c'est tout.

MATERIEL NECESSAIRE:
2 tubes carrés d'aluminium de + l- 40 cm de long et de 3 cm de section.
2 morceaux de ionc d'acier carré, dont la longueur sera déterminée par le
des pompons (entre 7 et 12 cm)
2 vis terminées par un anneau

4 vis ordinaires de 3 x 20
4 embouts de tubes carrés en plastique dur, s'ernboîtant sur les tubes d'ait
sont embouts gui terminent les pieds de meubles métalliques).
les
2 bouchons
2 pastilles de feutres autocollantes. {Ces pastilles sont destinées à être pl
sous les pieds des meubles)
2 glissières de plastique, destinées à être vissées sur le côté des tirairs
2 grosses perles de plastique
3 mètres de cordonnet de nylon
2 pompons
Un peu d'araldite.

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3c-j i*if '"iTl]filn
:' :ans le jonc d'acier deux langueurs de 12 cm
1:2'-;: ll,lgm; ,--:' avec un forêt de 3 mm des traus comme sur la fig. 1
:É:;jiî: "iü
::' ?vec des vis-anneau en bout (fig. 2)
r s:-: t i: -ffillilllü

:: :es glissières sous les contrepoids ou collez-fes à t'aratdite (fig. 3). par la
,i : , cus pourrez scier l'un des bouts du cantrepoids, de façon à n'avoir que
a: : a ,: : -:--eur nécessaire à tracter votre pompan, car plus le paids est lang, ptus
uiltûl
tt :-: pompon s€ra court..". et plus vo.ç bambous §eront /ourds.... donc
" ': - aniables""..
"r - ,'crJS pouvez ausst, st vous êtes très bricoleur, mauler vos cantrepoids
' : ':z
-
*'.. Pour cela il vous suffit de couper deux tubes carrés que vaus
rr a une extrémité avec un bauchon taillé. Vous faites alors fondre dans
r : , e casserole du plomb de pêche et vous le versez dans les tubes. La
-::.actatian
tl[tiititii', du plornb lors de sa salidificatian vous perrnettra de les

uur* ,'- i " alsément. Vous aurez alors à poids égal un contrepûids beaucoup
ilr . :-,,-':. Vous pourriez même encore le raccourcir en le faisant en .... OR
' ::- i rêver....
,,,,: . i j','3AUS
iir,,, '* " - --i 3art en part un trou de 5 mm de O dont l'axe est situé à 2,5 cm du

' :: :rou des deux côtés avec te farêtde B mm tfig.4)


rr,r;,".--
r.:: aarties femeltes des glissières de tiroir en deux longueurc de 33 cm
":,i-'
" '" -- : ., sarties femelles dans les tubes comme en fig. 5
11r ;-' -'srques de glissières que vous aurez acquises, vous serez peut être
: , '. -e sauter une partie des côtés de la partie femelle paur pouvair les
rflrllrrfl

r --;-s les tubes (fig. 6). Sachez tautefois qu'il existe un petit modèle de
, - '::tre du premier coup.

::--IATIONS
- :rrière des bambous est seulement constituée d'un des embouts
-." :
,:: :-t:ités. L'obturation avant est beaucoup plus importante, car son
lur ' :,:.' un coincement du cordon entre le contrepoids et les parois du

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i..i.rji,t.rr'irit ;.:.:-1i ;,:i 1-l,r::lç '.{fiS i:C.:.
L,tüf,iï,ê\{i F

ll Ëlar,:i::: lçs e,ri:ii;*t;f.r ,ïrrrér,ïs.


irj n-ïllsser /È5 tüfffr'eurlijs su." llrs gl,,x;rlrss, r,r fgi'.s;rlf tr.",lcrUcr içç tr*çs rj'ac:
i-.j:tj§* *ÿ r: i:i.tr ; tr*'ÿ.ïi'*5 âl,'§{j + T r'"',.,1i",.r"
.Jj F'.:;i* #,§"§#r j,+ r.:f,,.od*rriffili' j; i:'.1!#iÎ *t t::ifi:t:: l'i;;,1-1,,",* ç:-r;- lp':friai.-iitrj liau::
:#ttia i*r{!ÿ,lÉtJe rf ,* 'k'ü:-rt. :{,tî lii=,l.r' i1 il- #ri SSS#{i r-it",i tt'*;f Se nçyçf ta.':
r:{:lr;:}.f #{r l.*,tl*:."Â: lfi's. iÛj.
4j ,r,,,"*rr e*i.l;rtr tlirik.xfri*iil'É J,r-tse;.,,g lâ {],':n,,#i!:tlie lI* ltiÇ"1;,rl ê Ja fendie er',
âi! f1i)1.;l .1*i: i"jll y-rtll,7i;:ûIl" i;:tr,,f i..ri? ,Si:rii§i:Jf-f, saliï: l*iii'*i,,f.r* i,.ri;*f ** f*ffe C- --
5jF.la,:e;r i '*ült-r*.r;r+i,r,'#v#Jii :.rl É.rs;i&!.'HJ i* i:*,'r;*v-:t.i. §l iæ r';t;rrjr: ryrT?üftfs frop ,

,;l v,srJ. "çuffïr r"le s['isr L{ri ÈË"ri &a:#i" d* i }r,'ierg #*iri alriiirrtsËrrrcrs.. . si. l{r tcr- "

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ôlj i";l;r;Ii.'r J.,".J*lrr:;*rl l* lor;sue*ir r./s rri.:çl,e crlr,:'ë/sff* de iaç*;; que, lo.::
l'*hisf â rr**fer est rs#trrc rs f:ary:i:nr;, l* c*,,;ôle/:r:;ds n'ait*igne pa:; fûut t
lk;çr'rd'mirri ds r:*iio.,'-r:i "" yrt;tls ét'â.,uner*,r ai*s! i* &zu;if r;elisei rs*r i* th:,:
enr;tr*p*r"#"s #ûfifrs l'à,'n**rif arriére ifiç:. *j. "l

ilnrTâ, r'*sr fini.... ÿ{*skoridt ?,t{*rËi' ! {d*ri:!kt ? Merci*nésiryt*.

iE î G{"rç$lR[, e{{{,§{§:.f- i ÂTT§ t}RÇÂhiIsE i_. CüF,{iERENtn


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-OGI.]E
: :';l.Id pas les gens n'importe cûmment. sinon. on se plante.
t- ^- 2 :-= .:- fort désagréable p-our tout le monde... Noi: seulement pour le penrlu lui
: -ui â I'impression d'avoir raté sa sortie...), mais aussi por-rr lè bourreiu qu'Llne
.rde du public boude... tanclis que d'autres types le traquent... et ler trac.
--::t. fil son entrée dans le rituei de la cérémonie... les bourrèaux eurent le trac
:: -- 3ûrjus n'aient pas latrique... et pcur se donner du coeur au ventre ils r-lcman-
: -luelques chanteurs châtrés de chanter I'hymne bien connu : lil pendaison,
r, i - :- - - -: li Se.colllmande pas" Mais bientÔt. les chantres déchantèrent et certains pri-
- ..re. C'est aiors que les boun-eaux burent.
t:e'â-:a:* 'ii ties boltrreaux bourrés remplacèr lcs bourreaux bourlus. I-es tabor.irets
tie' :2': * , iirent place aux tabourets beurrés. d'où Ie pendu glisse tout seui et dont le
-. ir pendaison dépend....
' 5 que le pêre Dupendu" demandant pour ses fiis le ilroit d'avoir ie clroit
" :i des droits, afin d'avoir ie droit de se pentire soi-même. Bientôt, ce clroit
-:. en même temps qu'un piano clroit^ oir certains Iaissèrent des doigts. le
ri des bois. à la ltteur cl'un feu de bois. Certains pendus étaient honnê"tes et
' -- - -ic pendirent, ntais il'autres plus adroits profitèrent tle leur clroit et firent
ûüe. aa":§ -; , -irS irour se jete r de la tour, que le public d'alentours, chacun son tour
as lcu: e ;lr: ":
r ,'s c'3: lu ' :i.ginèrent
Cofillne à ia chasse, accourt. paré rJe ses plus beaux atours.... D'autres.
de-s tours pendabies.

. ..:1.

: .:iiluoi qu'Ankor. ce jour d'hui, il est toulours en vie et suscite l'envie....


-:gue)

FERE\CE

67
I, 62.--:§MA-D MAG IQUE P RE S ENTE, en aissekluz ivit e t Mon d ial,.\\\\\. I

1*'*'N @nu*,l lï,'#ï,,.ffN W


1 çryy:^.tous les tours de cordes, celui-ci est fort simple quand on l,a mairi-,
1, fort difficile tant que c'est lui quivo,rs maîtrise, p;;;;i.ü;.
,i
T?.u, commence par un bel après-midi de printemps, avec un
i. morceau de :.:r
«rrde (un grand bout de cordàn pourrait faire eÀ*em._:"
i, :.?u:,,u-l?
trn tll bren"ÿ.Y:yl {e
épais). La longueur de la corde varie suivant l,indlvidu. Eï;;_;j.-ü
î; ,-1r:^rt p,gli
9ll1
qil; d;lt'prüi,ii" r"rgueur des a.u* urrr"àÏiir'#:i; ,
I hypophyse"d'un tnangre isocèrè marin. er en divisa;i l.;;r;i;;.
I ',?n".de -

É :atis.faisante, à moins que l'opérateur préseni* un .àru.idrà'iranchemenr si::,


Et s'il y a deux centimêtres en trop, côupez-les f.un.n.À.nt.'
7
/"

rout commence comme le laisse présager la fig. i, ::,


Z ?,1::
;: olr i1^lélii:t
qu lacet dc cnaussure,
par te
at

I ceci fait, la main gauche tire sur son bout jusqu,à ce que la boucle se cc:.:r
le.noeud et I'ôpérateri uu* i" ;;r (la fig. 2 monrre |action
1 31"::
montre la meme quand o, a nnrj. D;un geste habiie, la main droite s,e*:
en cours. É
f rd, Doucle. rano.rs
,? ra. L']oucle. tandis q.!e
que la marn
la main gauche.
gauche, de ses petits doigts
doists déricats, i. ;:._
.o.r. le
délicars serre
,i \::,'::i
lt?.t:T
main (fig.
,1,_oï, 4)
,r1g. .+). La
L.il marn
main drolte
droire. tire
trre sur ia
ra boucie
bouci-e pour l,agrandir. i=
t'oÀ.anoir.--. :"
que.l'opérateu.r puisse uitérieureinent y p.m
1 :J:^,,S^:"^,1.-it_r-.r. -llA9:-.rour
ii: ir^\:; *ri.::,lll:.une peut
rraction
rétrécir 'uit.
la
bort B de la hr. à".;;;;; au pubtic _:
br:ucle. on peut donc faire queiques uu .:,
l

2)^_afe
, Ça {on
gagne touJours une minute....
a,

! L'essentiel est d'arrêter avant que salace.


?
Làchez la.m.ain clu9hg et faites pendre la corde par la boucre
I en vous arri.
f oour que le bout B (celui qui coulisse) soit maintenant à voire droite.

dans la boucle en veiilanr toujours à ce que Ie bout qur


i:::::lr,r_.]: -:
â droite (fig. 5). croisez alors les brins en passunt Ie brin de âroi:=
i'i,, p.,ng.,
celur de gauche et.le -r-
et le nouveau brin de droite encôrekTTR n.1,,; rro
:?:\:9: fl1y.h:drort -.r,^r.^ i:
de droite, encore 3UR ceiut de gauche.
iI _,^..,?_!_l
1r.?,r,? .autourde. votre.tête, dans le sens trigonoméirique. i:
qu'll revienne à droite. La maingauche prend alors t. no.uîqui se trouve
le ptace carrémént aeriiare- a;;;i p.êi. ;i;1;;Ë
à:
i7 *:-:_rll.: :-or,.]
lrrer sur les deux extrémités : la c0rde passe à travèrs votre cou. à;Y; dé..:

vous étrangrez, c'est qu'il y a une erreur de votre part : recommen..;


za une
:l "9":
autre corde.... jusqu'à ce que le pendu reste en vie....

gryt"y, ud'épouses
,f aerres
;::::*:, aimantes u,r
rpvuùÇù durdrr.trb ont regrerte
regretté que leur
ieur seigneur et maître,
setgneur maitre. co;r
co;..
de n pas uur'u
art ycù
rr o.rù connu us,oeuo....
,Z :,-,..:" J€u, ce noeud.... er est pourquol,
et cc,est pouiquoi, les soirs d,er:;
rougeoit. des veuves au front lourd guidées par Oes c::
d,er::
Z lfl^1y.,r:
,:.?:::"^t _r?I.,t
,.i' ùur4Ër
sillage uç
de ruflgues de jeunes tllles
,7 ;.,:'.::.::- _::1."
_911r ].yt
.9
longues rlres
files oe Jeunes fillel dlaphanes
bien d.'un escabeau. espèrenr êrre à rcmps pour pouvoir
;:
diaphanes qui. ,::i
Z :,y:.,_.li]:: é.;.q,,r eî . i Ë il,ï ;.;i;:' -:
;-" i;,1 :HiJ,tÏ"i: ?iir'." I .i
onr Jamals lvu. en un mot comme en cent. Ie beau noeud du pendu.....
1 nYl",:.l,.'*t y q

U
68
/[\

I
\

)L

JT

t -:-

69
iloM§trït l«Ir
r,'autre jour. ies sangsues cre Mad-Magic sont revenues rne voir.
un service qu.ri:
lait'nt. Ilsvoulaient que je leurtournoîeux lloît.t,s,rt ,.,.,
derns clu gauir
massif.... faut pas dér;onner... pcrruquer le micli. j,verux ",r,,uo.rcre,
bien,-mais courir le risc
T rr1lr1 piquer à piquer riu gaufrinox.... makach' A; p;;;;";;,;-;,";;;;;;;:
être la lourde..- alors je leur ui tourné clans ou
du merdalux, et
c'est tiien
bien suffisant.
Je leur:ri demandé pourqu.i.'irtait faire : re bonnetea,
"f ";Ài
qr;ir, m,ont dit...
bie. rirr:, mais j'aime pas con me prenne pour un branque. L"'i;;;;;oî'",.-
des cartes" et pas mal <ic méilroite..,"
Justement" qu'ils m'ont dit :

jf.l,:.Tï.1,::::1.,^"1f la rourine q.ue yous fassiez, est avanr tout un jeu


gent et ne prend son lï: inrérêr::i!que rorsque âes pièces;;;;,,;;;;;r"ririàrri". É.-,
S,i.ug,ur faites jouer <tes'boutonÀ, ou des haricots,
Tl:::ï1*"1t..
quarts de son intérêt-..- rnais il est également clifficile, voire inélégant
i" i"r. pl.a':_,
qu'au clernier sou ceux qui uo.r, ont dâ fù*=,
surtout ,,il.,àrrJaans un lieu p._:rlr
Il fallait tlonc trouver une astuce "ngagé,
Et celi+ci est simple : il suffit cre leur donner de l'argent au départ...
avez I'air moins malhonnête et le jeu garcle de ,on inié.êt.... '
comme.-:
J'ai donc commencé par remettie ichacune des personnes présentes
une Firo*
teur,permettre. rte jouer. Là encorej "r,i.r,por"
i1111î".;l.ur : si
*.i.:.:
Ieur :l:l pièces cà ro centimes", iü "; "À;i;
l",r;;.;;;;il;;#"H,iïii
fournir des pièces qu-'ils vouriront gàrder, ou tout u, Àti.,u qu,ils jou*.r ; 'r.-u
i'r1,,
des rouis a,",,'-oi,-ià"p*r"""" prouve qu"."r
iLTlll,,lr:1:y,l:":..::'-:l:i1r
toujours tr)ar se les faire piquer_... ct pas t""j;;;r;; d;r;;;r.i;";iri,:
falt, qltu.er 6 souverains u,.,gtuir.... iur le paquebàt ,;
?:J]"ï,lnt
J'ai donc rinaremenr pour a". pïa""r ur. ;g"*;:ïï;,;;rï,;oi,
Fra,r"e.....
'pté on p. u,
on"i".,. moaère.'r_e, i.Àîià.'ào.,. ,u poche ie
lïil:::,i::_oi::î_:]".
fastidieux et. tôt ou tard, ,u-,t*n:u
on res met crans une l_roite okito
sait plus quoi faire de la boîte boston...- rou.',u, iï.üïij]I.,
D'ou I'idéo de cctte routine qui combine re jeu cre llonneteau,
quelques les boîtes aux p
astuces.

EF FET
L'opérateur sort trois czutes d'un étui, deux branches et un joker,
et les donnr
ig bur du jeu et ."1", *urnonnêre, je r
ilt:-::,t,*îp];q:-"^enslit_e
I'argent "orr,**
moi-môme.....Ir sorr ot"r. ae"*a po"rr"
piè«'es et distribue t.elles-ci. """
uïii;;i:;;rïiiiii;rË,
"Ët

7A
,l;
?//r>-
F\ KW
' , .' ) .n n:<inlrant la boire, il ajault : ce a'est pas une hr,,ite à pilluics,
.j'ai cri ia f*ire
I\
t\ .rer s;récialem€nt. priur meftre les pièces..." et il ia jetie iilr la lai_-ri+. ll +st bjrn
r-.rrs qli* quelqu'irrr ne.ia premù ilas_ixlur i'exarr:jn*r et, rsl.,:rfi,re l*s pi*.,*es

<
ri,:-
,ll< Ii ,ryr,-rnl,le alors à roiit je n:cncle *u* ia 'bsite est ouor.u**l*,,.i r{'}!.ÀÊ" v{.}ïÀÊ n,al,+z
''-::i-irllji llûmmÊI1{:É} alol's sit ror-itir:e rie bonneteau iians }.nciittSlsr ii$ri,r 11',:}-:i.t;,:i.tiris;
§\
.\
-':si':rtiei éta::i ile r,,igêsrer les piÈ*rs ara.rï:.*ctat*rrr ri aù i:]i
'.:- lc lr,ritf ry!:r{;ltre irr}8.il;:r
.

-= pk:ine, 1'+p*l.aictu-l rang* ies t&rtfi; r.r,;.?in:o ri_, ie t,g};..i1. çi-..,. ,,.r.,._..
r-:*,-.jj*-ci r-.ili
qt;* ie.ie'l e.+i'";:ie, l;r'i*-'h*ri* l::,*nif*sie ûi i:rlf:-e aç i,lrrtrjjr.: d,-. l,:i rri-r,".r-,.

ffir
::.:::iiçt:^e
ï..rÈi:{. i} e.si duFe.... c*lili-ci, i-.ien sfr,r, aci:e1:re. .i,'c,:,ér;rre,,r;r sürr ai- :1.}u-r:ii::iiij
:ts, iie j'Étuj et, pour ii*nner plus iie ci.:a*ns:e au ,+ubtie", ii çe ia:ss*: çne ei i:ç
': :tÊ ij*ux' h'îais. dll-ii, r:ei.i* f*is,iri ftitüs nc ;r-.u*r,i; Irr;; Iu;;*;rr Êt 1i rÊIrj.1.,e se ic
. .a' :,i.l.T la l:oit,e. l,es ii*ux cai:Tes s,lnt o,=;.iuarg*--_.,
l,_, .,i.,u, +.,a,,f Èc rr.,ir:."ril_ri.
li , ;r:.rd *r *r:r:i pir;sieurs i*is. -ie suir*. jusqu'a oe rl-*,ü sc,ii p.o rir::;q,.rrri:{ii.rs§"...
-:'r ,:e:"i,*n;*n-r, *lcrs r+lournées ; eiles ri:nl r*r-lteE iàs t1"*ux blar--,*1,*,a....*"
-,ri-riïTiû j'ai iriché, I'a gent slt à ,.,.lri§. Ii r.luvre aji:r; lii hi;i'i,e ci,
.
à J.'int;li:lr:*r.,
'.',. i.lïl€: carie piiée q,'n 8, ie joker... itrua:ti au:t ;::i:ces. elre-" sa1nr retr*ili:r+es
'-',rçi1q1.., ei personne
n'y co:npr*,ncl plus i:i**.
.'llllr
: R iEL rJâ1ilE§§Âsi?E
, lÉ c;i"rtss lruqué. il s'agit e* latr r-i'ut:e sir:*ple i:rande d* hrisrc! +u rie.r:lasii_
- pliér: r* trais co,,rrï]e s',:r i* fiâ. tr ei **Lcl:é* <ies rleux
lll llli - i pil:ces - L;ne i:c'i;* b,:sr*!'i. J'u-n *â.rô r*e irq,-ieir* **.":l_ro";;;;..1;;t;;i;-
*ne p;o.oe"-
ttll1 - , :a':.+ blarrulte gtnro aviar.l .i '.) ,,1r.ç;n{ as,i{)rtli ; ;*H*, ; rar,:r iri ri:., :.i
ilri{i - :csséqe;: ÿas ce j*ker à ra:*t i]lrxic, rx,tis seu.lern*ril *oo *;:rtes i:ii.:.::i:ir.Es.
llll'rr
- ;: allssi fabriquer Linë car*ij "ili-fiéreiiie" en r:*liairi
.'.: rnâis ceci n'e*L Ëa.§ Lina i:*n.ne sciuijon, c;*. j+,r **,*ri-lii{j gî.jsse roir:r-n€iri,{-j
r.ri*,J.i,:n"iilli_ âsser
r "l5c*ligr et rec+ller Ia gr_:min*lie vil*....',"
-
illllllillr
-.:= ;'-rliliion, §*ur avoir une c:arte rliffôrenT,e, co!.rsisi;e à fain:. irevant les gen:
. :ie(: un lÊutre . pa,f contrt. ijtler.gtiiu?:tisc rCse 1,4.ri1 ;i3r-,, a sigrlei !a,.:'t-1,.
. :ris
';ul trois il y aura un ccrl quri vr-ruiire srgner;*ussi... et j,en c*mrais tiii
llLlflf

=:r lrin,"ryôs pa_r ie cl:ange finei.....


,,tilllüll]

,rrrlttml
- . iut,-rnieux que la cal-i,e ci TfÉrr;nt* srlil rrne vrai ijilr_rÉJ ri_ rir"i+ ÿcl;;c r:.!i e:r.i.,
iit . .-:rà à d+n blanc.."..
I ur{lüt

'' it ulltl\,
. .".qTI{fN :
,:e= jekers ordinaires en E ei pla*ez-l* dans la'**iie i:ost*n
(fig. 2). pl;lc,r:r
, ,llfl§l
--:rs lâ poche droite rie veste et, à côt;é d'elle la ti,riie okJo {_-onteilâilr §8s
l qlrillil

71
ao

4 pièces. Le couvercle peut être maintenu par un érastique. D,un


truqué.vous-placez deux cartes blanches et un côté de r.e
ioker (rig. sl elde l,autre côté. de
cartes btanches prus le joker doubre ruàà,
j:tl1:::: oyer cue soit re
.;o[ur'ririàrà,'?!i"iiii,'r,ii"i"i; i;
I:T,"* "àià-a"q.,"4;-;;#;té
l'artiste de faire une marsue personne,e r,érui. n conviei;
a" r"lr. üTt,";;#'i"lâii';ril"",?tiïi,
se trouve le joker truqué.

ROUTINE
1) Montrez les trois cartes, raissez-res à l'examen et expriquez le jeu.
2) Fournissez I'argent et laissez
boîte.
J) r'altes alors votre routine de"*;;;;j;
bonneteau, en reprenant une pièce
quetqu'unp"'d-;;,-;;;";iliH{iï:riJJr:"':i"*ii"i:"iti:1,i#iî:iË;
ceci pour bien anôrer arn' Ë"à*eau du public
IXiii§r. qüu ru uJii" ÀiïI
4) Abordez la finale, en disant 'oce n'est
même plus ra peine de jouer à r,argent r
que vous avez tout perdu...." et ce disant
la poche'-"9h,
,oui ,emett", rà u"ii" i"r;ri;r,-.
il nà faut pas que3'o.rntie l" "t
i1à,rt"r-rous.... er r
ressortez la boite boston pièce visibie et vous"o;;;;l;....
la coiffez dü couvercre, puis r.
laissez le toui sur la table.
u)
Y:T: j:fiif: ll_" cutrime.démonstrarion
.1^1.. de bonneteau ,,pour t,honne
arres, i k;;- ;;;;ü ;, ;; # ;;,ïJ,, JiH
IX: :ry l::..,?: lj.,ï .
J ff,i,,:
;:Ti3",,::,:'*
voulez vraiment îlilt,j1ï:::
Puis
'o" ',"i;;t;;;";il;; ; ;Tür[T: i
que je vous èxplique cornàent
ça marche ? O.K. 1,,

\r5w
rl
û!r!
tr
r&I
;d?{
.lrl[$,itl

72
2t
avez malquée, vous avez négligeml.ent retorirné
l,étui
. =:,lant la pose que vou§ ;*ds de l'iutre côté en disànt "eh bien, c'est un jeu
. g. 4) et uorr, ,"rrort;;i";
...l,uellepublicnepeutjarnaisgagner'carc'estlatroi.cièmecautequicréetor,lte}a
.:iusion. Et votre seule chance de gagner serait de jouer à ce que I'on appelle 1a
retournez les deux
,.1e retournée." En disant ces mots, vous levez double et vousPour le public' vous
î"-tiÀ-rt uo,rt rééventaillez aussitôt'
-1Ês dü dessus tun"
has (fig. 5). vous le posez ajors.sur^la
. =z seulement retourné t" iot", face en deur blanches restantes {fig' â)'
.:-e, face en bas, "t-uà"r lientourez des
"*teu
face en bas en disant "plus je vais retot:rner
- -ls retournez ators.tr-ca*e normale
Là, vous saveu encore rJu est ie
.. :artes face en bas, et pius ça va être difficileu,! bas,
té l; , i,il;u ::.r. mais quand tel trois "r,t", seront fu"* et mélangées, ]e probièrne
.:: 1e même".. alors i""àr,],à"rave une carte pour^vous donner 5Û ÿi' de ehance.."
- : jisant ces mots ;;;;à;üa 1a seule fu** en haut dans i'étui et vous
"âote
'.: :.1rrgez les deux autres'
pièces sont pour vou§""
, -s ajoutez '.et cetle lois-ci, si vous trouvez, toutes les
: -s ouvrez alors Ia boîte que vous posez en main gauche sur le bout des doigts
pouce drnit ?ait pivoter la boite vers I'ar'
'boîie i" "à.ru"r"ie,iesur la table'
.; 7) et, en replaçani
=,= i iig. ili. Lu
est alors reposée

I a::::
> ;---
\ --l:
.1.-

: ::.ctateur fait son choix et se trompe. Vous répétez alors l'opération ju5-9'à
:. - J ait des SOupçonS et vous retournez les deu:i. cartes pour rnontrer qu'elles
-.::1anches"..
*. dites alors "Puisquej'ai triché, tout l'argent est à vous.
. -! ûuvrez alors la boîte et on peut voir une carte piiée en huit dedans. Vous la
-: --z aÿec un peu de suspens et vous la tendez à la personne qui jouait avec l'ous
: :=::andant : "mais où sont les pièces ?" Tenant ia boîte en main droite, voua
: -.;:z dans la poche, abandonnez la boîte boston, res§ortez alors les pièces FUIS
, : -:e okito.
-, :=_1x cartes qui sont sur la table sont alors rangées dans l'étui... et le tour est

= ::nd, c'est pas si con leur tmc, tant que j'êtais réglé j'en ai fait huit ou dix et
-:.=i que je sais ousquesson leur réunion, j'va retourner, c'est Lrien le diable si
-:tje pas 4 ou 5.... surtout en les vendant moitié prix que lesmarchands"....

Lf
Ftil/ln
Dans les trucs que je sars bien faire, il y a REOUISIT. _
§$Fl i
Un jeu de cartes f olles trouées.
la carte folle. C'est un chouette de bon
truc, la carte folle. Le seul problème, c'est Un tube de 7 cm de long qui pai-
con peut pas donner les cartes à examiner dans le trou des cartes. Un ruban ::
à la fin. Passeque moi, quand je fais des de long. 9 cartes semblables, percé=s d

tours j'aime bien tout donner à examiner ment au milieu, mais AVEC U\.
à la {in, même si personne ne me demande, LEGEREMENT PLUS PETIT N:
je leur Tourre dans les mains et je leur dis :
SANT PAS PASSEF I-E TUBE :
vous pouvez tout examiner. ces cartes dans la ceinture de voir=
lon.
Et là y viennent de mettre sur le marché
une nouvelle version, rien qu'à la lyre, BOUTINE._
j'ai compris comment ça marche... Une f ois votre carte f olle term iné:
blez les cartes et laissez-les en pr:3 !
C'est une carte folle avec un gros trou au le ruban dans le tube et passez :§
milieu des cartes, qu'on fait avec un em- extrém ités dans le ruban ce--
pcrte-pièce. Ca ne gêne en rien Ia routine. milieu ..
I I f aut seu lement faire gaffe de prendre
des cartes qui n'aient pas de point central Donnez les deux extrémités à te' -
comme un trois ou un cinq... et il faut types et retournez-vous (f ig. 2; :
ausi que ies trous soient parfaitement tube à travers le trou, libérez les :
centrés surtout si votre routine comporte changez-les immédiatement con -'=
des levées doubles. tes normales (f ig. 3). Posez ceii:=-:
table.
EFFET. - Après avoir fini sa routine,
l'opérateur montre un cylindre et un lly aura bien un braque qui vou:-.
ruban. ll enf ile le ruban dans le petit de faire passer le tube à trav:-
cylindre puis pase les extrêmités du
'!
lt,,^ 11t^'^l et un guignol qu i exa-
ruban comme en fig. 1 à travers les cartes une par une. Et
cartes et donne les extrémiTés à tenir doigts dans le nez, vous t-
à deux spectateurs. salle en gloussant comme --È

Placant l'ensemble derrière son dos, Le problème est que d'avi '
l'artiste, c'est-à-dire MOl, libère trou dans des canes ord'r = -
toutes les cartes sans que les bouts de sert à rien. Heureusement r::
ruban soient lâchés un seul instant. nateur a éTé visité par la ;ï
Le public croit comprendre, essaye et dessiné pour vous des ca't.**
rate et, de plus, à ce moment là, tou- quelles le trou central d'
tes les cartes peuvent être examinées. motivé.

74
E
@R tr îiF
J'ai vu Fred KAPS faire une versioa
telle de ce truc, qui est la
d'une pi,èce jaune et d'une argentÉe. I
je n'avais pas son habileté à manipu
utilisé un subterfuç pour pary(
rnême résultat et je pense qu'il sera
tous ceux gui sont dans mon cas.
EFFET
L'artisb montre deux pièces des
tés : une piece de 5 frs et une piÉ
noise avec un trou acrré au cent
deux pià:es sont placées en main
bien ostensiblernent, l'artiste en re
sur le bout des doigts.
Passe rnagique et les deux pièces
de place.
EXECUTION
It vous faut : une pièce chinoise,
de 5 frs et une coquille de S fn qrr*
boîte aussi sur la pièce chinoise. fu
nemplacer eelleci par des Centavos
ceux qui n'ont aucune pièce
des jetons de Liebenow, quoique l'
bien meilleur avêc des piràcei, no
avec la pièee chlnoise à cause du t
me je l'ai dit.
La coquille est à l'empalmaç del
droits. côté plein visihle (fag. 1). Læ deux'piècÀ sorr
entre le pouce et l'index droit comme dans lâ fig. 2. N
la pièce chinoise est par dessus la blanche.
l-a main gauche vient les saisir (fig. 3), tes retourne et les

iitt lnn'' luu,G


L.- Nombre de psycologues distingués 0nt dit
depuis longtemps qu'0n venait à la pràstidigitation
par réaction à un complexe d'infériorité. Ca a été - r'.
dit bien ariant tci et Ça n'est pas m0n cas. C'est une
/+l ü\
lD.
voie pour y arriver, c'est plutôt je dirais une prédis-
position naturelie.
Mon goût de la magie a commencé très tôt, dès E
ans. Plus tard, nous passions nos vacances à Ba-
gnières-de-Bigorre, et là, il y avait un casino ; der-
fi {cÀ
. --l."i
-.t,
Ar

rière le casino, il y avait une salle dans Iaquelte ilv


avait un Guignol Lyonnais et le marionnettiste
faisait aussi de la prestidigitation et, là, i'ai vu pra-

78
IIIÏ
llli ffiwiw ,ém i

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:.: i.i r-i ; i.;*j t;îi i,::l l,.i 4} *tS"*r il ::tii I [Tl * gt !

.ri:i ::.{: t,j-le Èi} i:'1i!ia: Ë*i-!{.1!iiii 1Èlrtl-!.?

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', i' i.i§Tr*f:i1:I! iil # illtj{: r:$ i$i:;â*
'-! : ." rl{ilîli ii;

:rË -- rufA ..ri:ir:li!:r il;i, l,'.-.it i* *lX!i:iils:, l,;i:


13rl!:" lllilffi ',.:,":,,*i (.icl{: fi*$i} Iir#r.:io. r.!* T'';l:r:r;'l

r-:. !' lÜ r '.':i::":J'tâ" i .''" -

l-: i"rr ilüi ,' f,l.Jlri" '.. .. ,l ii": 1l " F rT"


i -:::.-*filfiffi
:- ": " lllllfifitt' -; ;-r:.. :r';':,r''i'i!5;ç;;;, r"'rii.i;î1 ;i :l;rrÈ;-'illa
É:-ili.lil1i*i :'ii::,lÈ'il1;{r*tiî :rltl : i+t":
r* :;. : lfllm '-: t; l.iÊ.Ej t egali r:lr:+:* i: ef i"':f i.iit.:{}''
* ::-' ::+r'rrruun ' r' '.ii:'i'i* È;J§]r'§ilniË,: I içi ;t;rià:*
I '', :l*i ttil

ffiæffiffi %w
ffiW
. . ttS ilt i:r r;itl iaUi.ialile ilAii it.rf;:t i-li, rl 'lltliL, ll' ai ii'!,11i '-ii:',i! 111lirlitiilil
:;;ii;L:e-t... .jE
.. ,,.l"rrÀ*t1 ,'L'l;l*l ll'a;itaL'i§ 3'''iii Srliluir' Fa5 rrlr' Ji: i;aiicl r icli'iii 1r.;lil 'i'-1'1' '
ei'r;ri' ;ri ,l'irr-'""1r':l;ir"' rl
'l;; 'lg piàc*s, J'r,,r, rubà n:lailiçi;*, i:ir'li:'i: liiu':;:ii
,1"-r," )x,/a{c
rjaitl r.:i': ;rilrl:
eiàios Cr. i drilaii: i:iil:; sü reriùi.ila;rtri
:. ts;
'- irar:ci avaieill
i:il -'rr;;i;ii'
ci
,r,i'u'rrtl rll Ittli ce Cili13S, ttr... Fsl-r:r rjuu j'i:;l;r: Irais di:r:l.n CÉlà
". a'ilxr.pCrrihle....
: r:as dit ça"..."
-, nti je i'ai dti ..
- ;1 i*rnajs tiir que c'était la seile y$le rsu! ant*ri;:!r à la ;;restitliglr'a$*n,;i:ur dit: tiu*
. ' ]]ie cd.çslô/e . Je ne pense pa$ que te stsit par ex*rnplt: |* cas de e#éffIJ/ff$ F*i../"{iCK.
: : ;, Êr,qty.
, . tli ni ncl n'ei-r savcns iieir.. cn nr sali rra: s'li ,i'er-r cni lia§ eu'-in à i'âqe da I i:i-ts

{.-

! rflr"

l
pd
§
ï,
fu
La pièce est ators transférée sur l,ex Lrü§E

fl|",
du nnédius droit (fig. 6). 1

La main droiê vient alors se fermer au


de la" pièce(fig. 7), sans que celle_ci fi!Tr.r

dans le plan, et â la fin O" *ourerr'"lt- j


empalme la coquille, laissant ", ,=t;;be, ,,u,

pièee ehinoise sur les doigrs


drois (fi;. bï
ll suffit alors de glisser les deux pièces au
des doigrts pour rnontrerqu,eilàs
de position".... ";i;;
La pièce droite peut alors être passée
en
gauche (fig. 9) et pendant ce
temps-on
tomber la coquille â l,ernpatmadd.,
d,
et on est prêt à recommencer l,expérience

I ---E-IEIIIIIIEI{Ir-----IXIIEtr-_-If, r--I
I Je ne sais pas si, à cette^epoque rà, j'avais.un
comprexe_ou pas, 0, si j,avais d,autres
I mais ce que ie peux cjire àvec cert,iucte-i.i,
qr* urr, S un, àËlàlreïJurr;s faire de la
mc: ,:.,.r
I prernier etfei oue i'ai farr, .l ii, ir ,'rnîruir^
f;,.i b ;,,;'?;;ii Ërro ,r, cetle drspa. _
nz-. .

I! fli?::,:',: n',',i ;i,i;


ffi:;*;
Ë;ui;,u
':*i ;* micarême querconque, on m,avair rait
-- r
costun "T.:,ï'li
e oe ctoü^ ià;, oàiihiriii#',i,fti iiiillii;JJ,:liii:Jil:,
! élast;ques eT rerminéc par des volanls
.re prenuir rne noità-ryunî ron,rn, des
nap0 ::
-

ii :::î.ljl"(,'ri:-:::
,Ëii, boite était fermée aux deux exrrêmir:,
^,:"bi-ii1!1;;r,",;",
Retit rabat J'empruntais arors aux amis-àe ,à oà, ;;;;r;; ;t Ëi:,.i:ii
:

,,rfê*iré dans"ei, ;JJ'itT,.ulj':


,iiri,à à,, re Je secoua , . .
I: disparu
iir::l,?"l,::,"l1'l:?gi::l: ::oouvraient re-ünut
rièces rettemenr forr qu'eiles er rombaienr Jr;r-i;;;'dï;J,iii'9Tfl;t.;,
'araitiqu,ioïià
I C'est vraiment mon premier tour.
ti;:^li:^i',i?ïyil:
:r 8:îfli? t'ril,ll,Égàrà,ent
corinet, Magicien oe t'opoquà.-ir
a ra fête à NEU-NEU. oir ir y avait ie
r...,r
otrlïî, tiËit et ie me souviens qr,irirïriiJrut:fl'jr§:::,
I et la lévitation totale.
t E-I-IIIMII_tr_IIM_I-I-I--I-trr-IIII
BO
t
T)
\

I
oLlDbfr
:our magiciens, spectateurs zavertis, et autres rigolos.
--'artiste

'r
sort de son porrereulre
ÉrrosEe sorE-ae

alors
-l^-^
Jr,----,-1
portefetrille un billet
I ;lrtunspassedessus,iJ"afrii"i:Hf,ï§:â;i'',ü:iri.::
I^ ^;^^-J
Druet üe

le second compartiment....
lèce.d'argent....
-::--
radeau,...,
^^--^J:-^-r
oanque qu'li
de ba 'il plle

maladroit : et
il n'y
mais dedans iI
pApHrRs
plie en J3 ctans
dans un §ens,
:uis en trois dans l'autre, pour emprisonner unepiêce d'or. Il replie alors le billet
tout
l"{ais I'illusionniste a éte
billet,
pu apercevoir le deuxieme
le monde a ou
.llet collé sous le premier.... et I'illusionniste doit avouèr qüe Ic public a compris.
.. ouvre .ë
ri a qu'une deuxième
et ie public méause comprend alors qu'il vient âe se faire mener

-" suffit d'utiliser deux pièces dont I'une double-face OR/ARGENT.


-a fig. ! ryontre la construction des bouddha papers, qui vous prendra deux bil-
.::s de 10 F. collez-les avec du RUBBER CEMENT afiÀ de pouîoir les récupérer
r l'ext .i jour où vous ne ferez plus le truc....
-::rs le compartiment du. dessous, vous placez une pièce blanche. Dans celui du
::ssu-s, vous placez la pièce d'or, mais sur un des côtés (f.ig.2), de façon à ce
neraudessr - -'elle se retoume automatiquement lorsque vous refermez-celui-ci. Vôus avez
:.rc maintenant une pièce blanche visibie de chaque côte, le reste est pure
dle+i : :gédie..... Vous pouvéz même si le coeur vous en dif changei la pièce truqüée à
uYemenî . fi.tr pour donner le tout à l'examen.... mais est-ce bien nécéssaire ? '
retornber
I (fig, I "

tces au
o{rt cfr

eÉe en
EPs On
e
rPefr
des
\1
-l--

':-:.
par le hasard d'un camarade qui habitait le même immeuble, j'ai eu en mains le catalogue I
:i: : -r:: ,i , -.,s0n
8i11y......... Un autre camarade, en me v0yant faire des trucs, m'apprit l'existence du I
'' ,r: - js CAR0LY. Je m'y suis rendu. Ce n'était pas la grande cordialité. C'était très sombre et t
, : -^ oemandait des détails: le plateau aux cartes, qu'est-ce c'est ? .... C'est 50 francs. I
u - 2uels étaient les types en renom à l'épogue ? I
-e sais plus. ll y avait en tout cas 0KATl, qui était au musée Grévin. Dans ce temps-là,
. I
. - -3s comme maintenant, on y restait toute sa vie.... mais je ne l'ai pas connu personnelle- I
ryait succédé à G0MBERT que l'avais vu aussiet puis, un peu plus tard, j'aivu les grands I
- : -s DANTE, G0LDWYN, CHEtFALL0 ;ilsvenaient à l'Empirequi était le grand music- I
i -' . y faisaient la 2ème partie comme Damia ou Polin..... rnais tous ceux-là, ie ne les ai pas I
I
-. ',f es c0ntacts avec ies magiciens sont plus tardifs. t
, - . ,.aie première séance professionnelle a eu lieu à la B0URBOULE, car Agosta Menier est !
,,' ,--.eruneséancedansunhôteldelavilledanslequeljemesuisd'ailleursprécipité..J'aitrou- I
r : --:i rien, je suis allé le voir après et il m'a très bien reÇu et c'est lui qui m'a parlé de l'Associa- I
lI- - - I I-IIr-I-III-II--III--IIIIII--iIrrt rJ
-

81
)u côté A, placez seulement cette carte de visite'
ffie::a )u côté ti,'placez une carte de visite et PAR DÉSSUS un 4 de carreau duplicata ;I
:
'æe en bas (fig. 1). I
I
':ECUTION
'
- tien vous allez faire un bon tour, au bien vous atlez faire un miracle. I
: -menÇons par le miracle.
têF s-'
j
: de carreau est sur te jeu en gardant un break et vaus le lan- :
jeu. Vous coupez ce
,

;e couper au :
-: : fait, le ieu doit llOèreqeny
t^----- - :: tégligemment sur la iabte. Correctement
":a<"et-te 4 de carreau est donc plus visible et plus facile à prendre (fig.2)' Quel' ;
êta -a :

it ^ ^^-- - - ,; essal's VouS permettront de déterminer la fOrce et l'angle


de lancement pour i
lerr a'? :a '" ,,er à un résultat optimum. I
:3 moment, vous sartez vatre portefeuille, vous l'ou-v1e-2, Ygry molygz l.q'9ry9 I
îa- a; -v : ,isite et vous demandez à un spectateur DE POUSSF,9 UNE CARTE UN PEU t
.:?S b, RUBAN" Ne tui demàndez iamais de tirer, ni même de CHOISIR une I
:-,... Toute la différence est tà.... (tig. il. I
,lit avàz ieté le jeu négtigemmeni si te break est co!'rectement fait, vous avez !
. :cnnes chances que tei"pe;inteur PbuSSE cette carte. S'il le fait, c'est le.miygle, :
le c'a: -: i- andez-lui alon de prendre connaissance de sa carte, tendez'lui la carte de visite... ;
tr-:e.e :": ' , :us ie verrez sortir à reculans....
, : il peut arriver qu'il tire une autre carte" DanS ce cas, agir comme suit : ne lui :
, ; 1-----
i a - -:

.-rràe, pas de prendre connaissance de sa carte,mais tirez-là vous mêmesans la ;


* antrer et placez-là sur la carte de visite.
" !
rl "

" :s cartes sont différentes.". et pendant ce temps'là vous auvrez votre


que tou- I
: ; main aroite vous retoumez alors te ieu fæe en I'air pour lui montrerportefeuillg
a
j zutre côté.... et vous lui remettez ensemble la carte de visite et la carte "qu'il )lpt {' \
';': juste de chaisir."..". C'est taut. {ÈJ

t---I
Hï ffi ffi
iI.IEI---'.--IIIIE-...III-I',IEI-IIEEEI
ï
I îîffi mï il ffi$ lllffilï I

I
.-
--i en France. .
I
peu.Je I
, .- :vant la guerre, il y a eu des gens au courant. BEZVANi, CARLES, et aussi moi un
oes Anglais I
- -, sns que"lorsqu'il y a eu le c-onqrès de 1947 après Ia guerre, 0n a vu débarquer t
- âpaîé tout ie monde, je me souviens en particulier de Jacques SALVIN qui laissait les gens I
. \
- a/eç un tour basé sür un faro... et, à part nous trois, personne ne savail ce qu'était un I
. :'est ainsi qu'au bout de deux ou trois jours j'ai trouvé son truc en me disant... mais si t
' -^ inélange exâct... je suis allé trouverSALVIN et 1e luiaimontré que j'avaiscompris... et I
.- ,erurorp'rj'estime pour moi... et c'est un peu là que finit mon approche de la magie : je t
- : "tenant sur les rails, que je suis plus ou moins diff icilement... I
- EUX me situer, je Ooii dire que l'appartiens à une famrlle nettenrent aisée : mon père était I
, ';,. de la Société'Générale, diiectéui de toutes les agences de France, mon oncle était prési- T

i, - - ionseil du Figaro et t0ut ce petit monde n'avait guère de soucis financiers...


I
| -='e, évidemmeÀt, aurait souhaité que je fisse des études de ce genre-là. Comme le n'aijamais
I
. .- néchant, i'aifait un peu d'études...
I
II'--
- - rrr-r r-rrrf -rrr-!r-r--rrrr-rrr
r-__rr J
83
/l|tll'"*

ilt
ffiu**;
L'Nil ET e*ffi &ffiffiffiffire wÆ,ænæüffire
:urrrrainss,ouvrentuneàune:raprernièrecontientlesStrrièces<l'argen$'
:: les deux Pièces d'or)'
-: i'HiEtr-iire..'.."
-mll -a kllEË lü§ilE§s.4{I{E :
!C: ;È'iLllii
reces t'l'argent
:"É -:
-.*i t:"or..ï*uble fsce {arg*nt de l"autre cqlté "'"'}
iJllLlllili
.-r r.ri*hsvides
- -"iiÛN:
- --:;l 5 piêces d';lrgent eE Llne rang#e sqlr la tatlie'
1es
- :.r,.! *t d'autre rte cett* ril'"lgé'e' ptraiez::ne pièc* rf i-.nr-llig 1i
llllllll

---:l !.es r1*ux pièces ,i'*,r &ns.h*q** r','urnin" tot ie !;"*ut ries cl*igts e{ sau*s errl

+ r .i +i,r i* rlos. . . t fîg" 2'!


i!*fi5 vL':'
r:iil":; re§ d*rnx rÏlair.ls. c* qui â p(-]ur É:r;{ ;{e reT'Jr'rrntlr s:es deux §llecus

,;.- -r liHil

ii-.: : i" .lllllllllül'

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i'rtt ":;:,flltNlttfll

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n r r ç *æffi æffi &§ ææ&@§§#sææ@@&MSffi
' ''; §
!--- '- :. .'. iL 'lP :f'rl .a i vrài''ll ': 'rjs ['i': ç' u' ]i' "- rjl :'"ra:s lvi { L r:ilt'iii'l'l ai!'ii
r,., ,,nirô],t,a,i cui.1Ê i:üriif.il0' ia litira' " ri rii
'lrir'uî. r â
§
,. -,ri. irciij nl rje trernr.riei .. lrais ro nn ''
- -al, !Li,üir 1cLir, i,ai e prr:ur,,ê le besoin ,j; i;;i;;'' iî;u,tr J ,, sai:ie rrrl iPT c.lg ' r:'il -t' "
Ljans nrr
ieops ie i'aissais ia i:lact' i'envct ars
-.t-lr:rir ij'LlnÊ trûiïg. i1Él tt-rrliils an §

-- '-3F !ie iefermais ia Qlacc l ^r.^.r". r, i,^,,rnc *


- Ir iÊrrlÉ, n ia,,J' ( Lri ;,e I ,l rJa! rlOr',t ;c t:].]:'':.--t r:P rics Ë
:o ;l"ii'e' I c Ü tls ij lF'llrn!'i: rr;t: f
. l,':'ilvetrt à n,ai-Onr. à
'A t)u sl"illi
- -: rg 5urüÔtu, l,nruont.l* ne 'cait ctrrlrûelrr' at ie me suis i0ii"nulié en sar*tOiiur|l i9 §
-, .8
:: à i].EFGEl]AC, .:il ;,ai fait du théâtre
à i,aitià'e ut 1 at g
.,.: :i!.!Y3 . r.éf ci'né - je me i8il.OtjvÊ
de
, : aî r'nis en scsne. pnli ia prernif;re to'''1in' g'ït qui frnt riiaintenant una cairiàie 3*
- -.rmËr i-iélàne t.ll..iC. , - e§t m'rl, *fin 40. J'ai terl'l'lil un I
-.^l â^rt
ce hrave harnme
:- -Eienu pu, u,In)'pAin, et vi,,la que dessils tusQu'à la §
- - -- la moins cnnfort;ble et' '*nu t' g***u' i"ta;s cultâinsment 6§ E u
"écu
E B E § * * * * * §
a B E sr B ür § *E É * æ
[!iü r r r r - E ff DE Ës

--r- B5
5) Placez ensuite les doigts fermés dessous comme en fig. 3.
6) Ramassez ensuite alternativement les pièces, en suivlnt les indications de
la fig
et en plaçant à chaque fois les pièces que yous ramassez sous les deux pi

double-face qui se trouvent dans vos deux mains.


A Ia fin de ce rarnassage' vous vous trouvez ayecen
main gauche l pièce DF
2 piêces dessous et en main droite I piece D/F et 3 pièces
dessous.
7) vous allez reposer ces piêces sur la table alternativement
en posant â l,extrÈ
gauche la piêce D/T d: ra main gauche, à sa droite ta piece
njË ae r, *ui" ài
et toujours plus à droite une pièce de M.G., une de ü.n. ut une ae
M.G. (fig
regose les- 5 pièces et il vous ,"ràÇu pièce d,or d
l:::.I ryl_[";*ï*,1uyz
chaque main. En fait, la main gauche Lst vide et ra main
droite ,"nf"r.n" d
pièces d'argent.
8)vous ralnassez alors de nouveau Ies pièces alternativement,
dans |ordre ôe
fig.4.
9) Correctement exécuté, vous yeftez qu'à la fin il vous
reste 5 piêces d,argem
main droite et deux pièces d'or en main gauche. ATTENTION
de les sàrrrr
bon côté....

j.: - - --: r - rr -rr r r _ E r Er r r_!r ! r r r tr r r r _


I :T^9.: I:r U'autre parr, ie n',ai famais éré un.financier er n'arrache à l'argent._
l?yrc à cela,.s'ajoutait 1e
;
1 valeur rnrnnseque,
vareur rntnnseque, et a oue je
cela s'aloutait le fait que ie n'auais
n,ayais iamais err un rnnrt
nannpr rrn
eu à gagner de _:
ronô do
I! et.que i'avais toujours recu
"."q'ï L["jl_t lyrJurr.r reçu rl'ar§ent
argenr 00nt
dont j'avais
l'avais beioin.
besoin. Disoirs
Disons que
oue iÀ,"iiri.
tous frais narrÉc
payés je
io deva .. :,
rtoi,,
| !./- 3.UUU l- d'argent de poche par mois.
I. ,vrv
Me voilà
vUilo uuilL
donc pendant
purudnr. rd guerie, nn'aimant
la guerre, armanï pas les.c.ûntratntes,
les contraintes, d'un peu
disposant d,un oeu d,e.
d,ar:cr
_:_:_
! :l:ri !'yl fort. héritage. Le§circonstances éraienr difficites, ie'n;âi pàirorr, me taisser er-?.r
!r f: H:jf^q:Ir!:.111'ai oonc vécu pendànl t, srr,,., er avec ma femme de t,époque :_
une américaine, nous n'avons manqué de rien.

i Yr::]!:lf_f:plg n'est inépuisable. A ce train-tà, ta nôtre a duré roure ta guerre, rn: i a

i i-;;
liSTiJ:f ,i?àiÏf5il':,üii:,i3§[:rus
d'argent Arors' à ce moment'rà oïpuires i ui
: ;;;à' irt ,r. ce-momenttà, tentation
I a ta de ta bansue ?
la seule chose que j'ai lamais aimé faire, et que
ie fasse d'aileurs r,.
! h,;,iiii fiili flit
l---rr-rrrrrrrrrrrrrrr-rrrrrrrr-rr-rr-

86
, iu)
:ir:{"l*ttra
L\ pr1g';gi
I,f
ï -

§i

qe Lr î mlr ];1,
i:l
l : mêrne âvec une petite variation snober les amis magiciens'

i e'}.::':imü',ii:
'l;l ' j'utiliser pour cela 7 moutons au lieu de 5""'
!.reJ.r tr"iilü@ ,,,uivezlemêmeprincipe,yousYOusapercevrezqu'àlafindelaroutine.il
G futü; lr,l
,ie en rnâin gauche 2 voleurs plus 1 mouton'
îlll : lracassez fas. Tenez le rnouton cornrne en Fig' 6 et' à la fin-de laroutine'le
_ La n:ain droite et tralancez toutes les piêces sur la tahle,
en abandunnant
l!=É
li
- suppiérnentaire, un peu Çomme dans le HANK-PING-CHIEN move""
gom.
ne possâlez que des pièces sernblables, YouS pouvez aussi utiliser des
["erss::- -e couleur, vertes et rouges par exernple'
!!_-"
,iez aussi faire un tour d'anneaux â la piace'""

lt'
r\
ttlry

--- ! f, - -arÉÉEDgarEf rEn-rt-rB-trtnG§rBEEE6§I


E-: : - rlllll
. .. i.e il'est
pas donnô à tout le monde et sans me vanter
jc
le dois drre que le fais vrai
*: !
::Ë llll
-' ,-,luablement, je ne crains personne ! t
:]r: I'.llll
.:lu du change, et aussi du Poker, pendant 2 ans environ l
, î' trichant, ou sans tt"icher ?
.. 't"tif i I
l-:cprécie/aconfidence,carengénéralceuxquiontétéjoueursprofessionnelsnes,en1
I
':-envantepasnonplus,jeteledisenpassantEtpuis'.àcemomentlà'iemesuis I
donc commencé à I
_,-, jes problèmes , oiîtùij,j poker, di{Ticile iraf ic de devises.-J'ai grand-chose, à part I
ùtoni, pas faire
:., .éances, po* irrrnïuni, oàn, tei car ie ne savais
j'ai
pas s,n homme, I
on-* repurtera.. . et comüe le pistolet ne nourrit
l., ,::1et,
mais
ça T
tout""'
- .,i iaire que de la prestidigitati0n voilà' tu sais t
t - - ''as
- jamais eu l'idée de faire autre chose ?
mais quand j'ai vu le
T
: --,, I ..i'ai pensé rn Ào*à.,t à vaguement enseigner les maths, I
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aue.c urre.fiuiir-àiii*rtions. Elte r;;t t",'11:,!j!-1!'P*
la.pofte u.n paquet de c:

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iélegramme contenant le nom de la carte
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La m é t h o d e il, e: :*^,:
L),:: :q,r; ; ;: ;",: : :',:: : -:.::* rc _m
t D a s'-; m em e......
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quand ,rr, ,r"rré* f '9"' Pour cent tû",,-^T!:t- ta proba.'bilité
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uous saaez' défînitiuemeil de 90 yo . D,. :,


est
pas marcbé.... dans ,' '"!'' si le îiir" n morché ot/ s ,-
;ii1jïiî:,, u'iiift{i,i_iiir[,,"ïi;,1,ii,1;i:* ti,liii''[ii,",,ài;";,;î,);
Le jeu.est un i* ôi.i'ü)
tes les cartes ont ,o ,::r..i-, ,-'" r:""ri'i'iiiiii;* oRrENrE. cetq ueut ai* o*
,qr"i;;y.;;;;rtus.tes
sens et que uous en retuurniez cartes ,or-i
iriiint ,*mÀ.iàrit'ir;;i
une, i'r
ii"oté"s dsns le n
Beauco.up de masiciens,r?:,*i:i-;;;'Ë;;;i. de d.eainer raq;
orientés, ntais" on n
i;i::J:::,':i,,",::ii::"f::yj: ,t::":i_?::',,q'iauii'Mrot ii poi
,, *rni iilj,!îifi"il;
e v t'L tt, -
r- - - - r - - - r -:::':'::::3:*o rr-rr--r-r-rrrrrr-
ui'r u;s,ïÿ
Ir hntrlnt ntta c'était,
bouiot que n'A+^i+ it^t )., .,
i'ai dit Merde rJ'ai fait u,e incu,rsion dans
re oonul,.J;;;;-,:
r
; 1ar vendu des bas. en faisan-t r'épingre ,,
iür.ro J,ailais voir res types et je reur faisais .
i i'):::'i::::iri'"'as ne riraiàniË,;
-- ;;i' ca aussica n'a qu'un remps
I ir;o, ài,*r;u ' " a quand mêrne un tuc que tu aurais voulu fairei,, un rêve. et gue
:-
aimé continuer à mener ra
! i,*i lu1ï[#Êi':nt
i J' M'- Et toi gui a quan.d même pas
srande vie aux rrais de ra princex. :

mar vécu, gue penses-tt.t de !,évorution.


Les mag:ç
qui teur permettrai, de s.adap,er
ii'Jlîzîiïï!i;;',:;{:!:::::::!:M):'i=:,:t
:, i, me demande s,its"n,ont;* ;;;;;.;;;;;;:;;;;L:,i;ir;:tr:;i:;"tîXii;::#
leunes professionners dont
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I premier
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car,ça commence à daier =,
L - | raur recoÀnait,* qr.r'qrà"ri,';;;;';:r;iil"Jii'riri;ornuméro
?"Y,,ii^F:r.!3!!r^i?:.:. mat....
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lri ,:.âf Ë.ë . t!rittk,t'i1' t t5i. '4rt"tlit! t'4t !!1ë î"}ï! 'fil! È':i" tli:'r"''{iJTz
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-l nnr/6, * J*, r,r.s Jrjé{lr.ï id;,.§lJr;;;".. tl; i;" j..u ,.1., ,', ,f ds, {ti i}.ït:it,. ;'.rii.-( ,.,. ' r'
"ii* uilulll

, : i,rri fer.s ;;ogrie"t.... (resr dw blæt'fi..f,:'rr "7 !'ir,,r;;tr !*i' tni,e*te' ÿ{?rls 1}rtaiiiitr:;
,: :ûït€$ {t!:!{, wr;y È.i1.1é:c ÜÜtr7 sCuri}r:J *i* u':l'* {f "4}i;:"i"vL'Li§ *t}tiL /i'rll'" i:*L':s
- : ::l t.i{,rfi/.ï ,gxtusànî *tt î'l:t tli§ië?lï n;rie at*rit ç/i;}ra}f ,"ÿi '';';l Ji " ilt q*:€ t:lst;s
,:,,,r,rgui ,fru, ruru-... *t;i..'"-';r .irir'a' "7' ÿ'<'rxrj rr;ari;'; i*::; c:trtss tl*si i'étxi t:t
"'tlltttr

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".'"- ,11 I ;iii."z:û;:s t?x€ttË* ar; ,rr:ftf itlt;i {tc;ur regrc*vcirr fil i'ri;'rr$ ÿ"Y#cl§t'Ê' 9tr'tir-'l?i't
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1ffi1 ':,rcrrs;il exei,,pl-i prei:ii : si, à la lin ds tr.:n nirnt"1ri,, il.;il i;L:tiridi:r t'tl-lYit,, alL:'ii g
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, .':'i-; ilt iisui::urrnonieijs jeisü'eauetquscgsirrrâ!iriTiq';g''i*sgtns§{irtcti:liÈ:li't'
§

rffit, .. *t'rrriu,,,: nêit'e iis ai-.plaudiise'tt' '.


- v ii p,':s ûe rii',,sIèü... §
i* p*licurrgs,.. îu as la nlusiilit:, i'Éciarrai-;rl l:: ,l[.\'.;i'i;r,i
§
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r r;ilûilrlillll , ijiti aiË ieslei ajili-t:i â
"1flltililIllltifiÎr
ffil 'r i:rr iltit:,.lutrr. ],,-u*riicu*nJia :r't, à il ieiraiie "
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ilülif ' :^1 OrF§f Err:fe,s§iorr nçi, ei qu'ttn aftqlnt l'â$e {!s ia rgtra;1e ,çê §s p-î$sf, corr}r,rrir i §
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iïi fliin'iilm,lll . -. r'i, alc1'a"r*elspen-sé ?


§
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" ] : : cs larrials dervtent,aé auer çuoi fl; allals

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--.Jü]ll** , . - ='- *:'::


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:: :'::î: :'::: ::':'; :'J'J:-: : * * * *. *


3ç)
POUR III{E BOt{t{E III I§E EIU §E
****
u
***

üm DU
r0§
*

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(

F-_rrrr_r-l__rrrrr-rrE-rrrr-rrrrrr---r
| n'yarienqui menavrecommedevoirlesgosses gui,àrg
I 't'u'-Pasforcément,parcegu'ir
commencent à compter leurs points de retraite....
enfin,l'aurais quand même pu faire attention...
i i ;,Uri mais
un exempte précis, tu vis de tes cabarets. Si demain
i ! ;!:ï:r:::!:
iii
tu te une ianx
h;"Y"?,,;'lijîl1i^:,.1!yi-T?1, Ç, n'esr
91t11in0t
p.as srave,
Ça r,unnriu;o.;";, dr
cette aventure, car p0ur uenir avec moi, ette a
d.ans
r.i;;; casses

-:._;
quité r. ,ii][illiiËlll'jir;,i;
I! 1r,:r'Ll.rl9.^iT* avec aurant de bonheur sw re pïirls à ,ilà dàiiü qrc dans des Hirtons
l. M.: Est-ce que ça n'est pas une forme ài ug"o, Z
-- --"
I L - Ça n'est pas à moi de l'apprécier.....
a l. M : Et tu n'as jamais eu de problèmes financierc ?
l L.- I'eu s0uvent. J'ai toujours eu re nécessaire, une trésorerie, à défaut de trésor.
I J' M'- Mais par rapport'à ceux qui ,e rciint'toæ les matints à 6 heures pour aller bosser,
y:\F:r::d:ê:îdes privitésiés personne,ement, tu tes prends pour
!I L.- r\,n, 0n ne sait jamais, ca dépend du départ qu'on des risotos ?
piend...-ju irou* ca pers.nne :
I rrrrrrr-rrr-rrrrr--rrrr!-r--r-rr-r---
90
§§
rur ,il

k*
ii
ii
: . B Uh;E BONNIË fullSE EhI §ËLtE DU CLO§E.UF
ii
J 'Iruc
T
i :::are;l quÊ je vais décrire e§t de ma eÛneeption. C'est un Outil Êt non un Ër]
qu'on hésite touiours un peu à s* fal-:riqt-r*r"'" eT
-=".1u ei it fait partie des choses
1l
I
fl it

il ,11
l ':'s qu'on l'a. on se elemande üo!^fiment Ûn a Bil s'efi pâ§sÊr"'

i , -e ie mûntre la figure. iT s'agrt d'r:ne bande c.ie fsutrine r:aire, sur iartruell* *n a
t1

' ::s poches.


gepüux, ** qii.i iu!
i.,:-e ie ciOSe-up mAn e§t essis, i! disg:oSe cet aceess*i!'i' SLi!'§tS
psl!r qleux qiii i:nt d*§ t":uisses
--; uàri* àu tàpis-reÀr:ant i*i lappings plus aisds,
ilont !! a f:esoin rj*ns ie
, ;1.r, rt li pnun.l Oe fiart et d'autrés tôus les acüe§sü;re§
"',-.ir., et non en farfouillent elans une valise...' posée- sur url tâk)ouret à cÔîÉ de
,aui don" avoir un assistant de chaque côté.... href... un a*eeçsoire inqlisr:em-
: , ti*ut réaiisé *" t*uiiin* noire épaisse, en meltant
r,,: rjeux é§aisseurs si hesE:iri
,l: ,.frcàn-à obtenir quÀrâr* chose dô rigide" La bande de feutrine a entre 3Ûet
pouvant conte'
, , - n;'1;rç et, ae part et"o'autre, ûn â cousu des poches spécialesdéterminées
ser*nt égalernent sui'
""
-- jeu dà caries, i.qu*tt**, etc...lè qu'à
Çet-poches
,:i besr:ins.... ei le dessin n'est titre t1'exemple
pratique pour ries
--=.ois, la granrle poche située sur ia droite peut §e révéler
plus
, .À'uræri ou Oer OepOts pêie-mêle des cbjets dont orr n'a besoin'
"=r
sr-lr deux
: ti;X rectangles A et B sOnt rabattu§ pÛiJr fi?a§GLlgr leS pOChes et Cc1i§ilS
. i;
la poche *.xtérieure
: -s, lorsqu'on glisse dedans un carttn légèrement pius large, eÔté ou de l'autre,
r .,,-: bornbée et il *iirJÀrifâoile, en dépoitant les §enoux d'u.n
-etory'lberDlREaTEMENTdésobleisquisar"rsçatomL:eraientsurlesgeneux"'

orsqu'on a fini la représentation, on empÜrte ie tÛut sur l'épaule tÛr''ime üne


ll' : := COW-bOy.

fr1..-BryÜÉguâGÜæmEÉF§æE$Bam§üÉEEææEEæÉo*%
-. -aisemblabie.... heui"eusement qu'ii y en a..... irais !r:squ'à Que i Point est-cn meiire de §
§
§
- -t, s, tü avai§ eu le chrtlx de ton destin I
.r j'avais le choix, ce serait d'ahcrd rentiet, avec beauccup, beaucoup o'a1ae1, io11 ;
_ _. ,re, belles choses. J'aurais volontiers fait bâtir
à Versailles.... Ensuite, je suis attrre pat ;
--_iessions à tendance artistique, en admettant
que i'ai ie talent netessaiiÊ p0ur eire au ;
, je
. :rcfession.... l'ai fait avec le tir, puisq,-re je suis rhampion de tir ile vitesse au plst0-
§
,t - J,37s, je vais être vache, j'ai !'impression que justement tu fesifues dans le tupen cequi I
]| -.-i:esltobbies,etquetun'yssiamaisbienparvenudenscequetuaschoisi pourmétier"' I
: - - ? Parce que tu es trap fier pour tirer lei sannettes" au Parce
que tu affiches un certain :
-.r - : sme ? l! y a des tlpei qui en §aver,t trais fois mains sue tui et qui ont trois fois
plus de t
li
' : .tirqUOi ?
. :,. .,:rulioutpareii.
JOILUTTL Puruir. llyachezleschanteursdesgensquisontàlafoisvcdetteseilamenta-
'r I v u"s_ , :
I I ! IECTT§T..I'EÜITIÇE'EæÜE'3§æ. -EE§**ooJ
r-r-t
91
qEQUILIBRB
DE CARTE
fô .0.,,
l_:,ï:ll",nrez une ,;;;;;" rienr en
éguilibre
f€. l.
sur Ie tlos a"
p,uis r*-àrigrrffi::;
vous ."aorn"r"'t"o,lii',.,irï,
ner.

Il suftit d,avoir un faux pouce


chaussé sur

rt
Ie pouce droit.

La main gauche vient


saisir carte et faux
pouce ensemble et
place l" ,rr, .r.ji ;:ll1;:':'-

dos des doigrs droits


(fk. 2). f;;.;;:
me si yous maintenr
aver. des ror""."n,i;2.1-êtuühre' pui"-

", ,;i;';;;;;JiT:Jn;iï"*
Ia carte
repassez-lâ *r'i* ,
r"'ru,,, por,",; l':i'i:fi:T;'j
teur porrr gu'il e.."aie :î ii::ff
(en emporte Levant).
d
", ;r;; ffirT

:7 2
t

,:;=:---Ë

IIr,-i-::r-r-rE_rr__
urus. Sr ,r*1,ærïrï#:-:-r--r.rrr
il iôt;Jr"#;l'e avait -"'' res-r;iilu:;';;î;;r-r',,rî,?'nu-r]uiîriiâüI:.î
i i i;;i"';;,";#:i: '*unur"o n",.i,,e,,,n,:,,":",:
! i,i,i,"o. erre Fe:: 'l
,:^"^::'i""u''
qu'aux éponses 'aurail
metiei, ,,.,iàiïiàî!îilent ?
r: ub,;,,yÏ
es1 que, T:i;s-d?:s_n01re
dans un nrrméro àr
raà"'ii.li,",- que de ra maoie
biïll:op ,u,.i' j',i oll,î1" pas n,n plus ; ir v a tout re resre
i ilil:: 'rïjîï?' un ohvsique qui
'e
;la;i;;,-'
-.
; cesraisons, iryenarn^dlt.qhvtiq";;rl;;;iii" ;;
ri;ü illîr#itrüHï'i{[fiÏ[Ë'Ï['H'':i:ii{'"ii::i:ii;:'r"ilfl'#iii'''r'uli*'''
rrr ans que je n,ai o..t--9:1lin,9 ot ÀrlrÀàilîement
concrr' Y'a
pius tt'ait'i5;,.u..Iilr,
, :
qiL:n vienne un 'i' ;;;il;iÏiÏffi:; J;JÏ ffi'f,5.'iiii,î'r'f,î'];
uù LU trur f[l;
c'es: ,.i
; ?-# -" "v ,1ii3,
vrent' et ril
''"u
ity r:j:,1:iiii:)ii*9u,tât,uu,,quatité ?
i-g :§.Ë § TË ü !'=- ! ÏË *ï,î,Ë'ï]'d,ffi lTdî iË üUï [r 18 ;r,r",,,,
Ilr!I---_:

92
B.R-Bffi,ffffi"
@,,&,G
Quand on me voit, moi, Ludaw, pour la
première fois, on ne pense pas tout de
suite que j'appartiens à la caîégorie des
désopilants.... et pourtant, je suis cepable
d'un petit gûg ," et ce pe[it gag je le donne
aux lecteurs de Mad.

C'est un petit gag laid et sale, qui convien-


dra très bien à votre reyue !

Vous faires chaisir Ltne carte, mélanger,


etc... et vous annoilcez 8 de pique / N?lri,
7 de rrè"fle ! ll?lÿ, Dame de carreaw ?
NON etc..-

Vous demandez alors le nom de la carte.


As de coeur ! Ah ! dites-vous, je l'avais sur
le bout de la langue ! Vous tirez alars la
langue et au bout de celle-ci il y a un peîit
as de coeur.

Il s'agit en faiT iï'un marque-verre que vous


vous placez tout stmplement sur la langue
et qwi tient en plate grôce à lu salive.

C'est la seule façon que i'ai trouvé de tirer


la langue au public sans qu'il s'en rende
compTe......
' i -"."-v'-' oi Fo,îoitiâ,,iü'gIo4i'giAGfh?sirT'e?,i?e;d; E?f.p-,yfi6Ïrîi.-eirE;if !
"::: que... sur t0us les soi-disants "phénonrènes"....."

- ';e
taisia parirrrrr,îunt, par beauté du geste... parce que ces gens-là (les scientif iques- :
.-.', c'est très difficile de les contrer : ils parlent au niveau de structures moléculaires qui ;
-::ifiées et qui se seraient peut-être nrodifiées de t0utes facons.... Le problème peut se i
, ,- ,eau du raisonnement, c'est un 1eu de l'esprit.... comme les maths.... I
-
rrli J -1r5, la vie, c'est un jeU ? t
"._.cipasl I
-: ; ca,par amus€ment, par beauté du geste, parce qus c'est différent
et aussi peut-être I
. -: :: :-n'amuse.. J'aime bien prendre un sujet et le développer en public, je crois que I
, - = Tacilité pour cela...
l'ai
I
n i' :'..tis il y a un peu de donquichotisme à s'attaqaerà des scientifiques... car pour un scien- I
- . ': re à la psy, représente une dangeureuse alternative: ou bien on s'est fait berner... ou I
,lirriir,

lirÿ,r ::: Ce mauvaise foi ... I


facon les scientifiques quicroient, c'est très difficiie de les contrer : ils parlent, etc.. I
-:rIII-IIII--
f- t-III-IEII-- IrI-!I-
-
-rrrr{

93
COURDETÀBTES
AUTRE TOUR DE CARTES PAS EVIOENT OUAND ON NE CONNAITPAS LETRUC."
Le jeu est posé sur la table face en bas.
Le spectateur coupe un petit paquet du.dessus, d'une quinzaine de cartes et le mélanp
choi* alors dans ce paquet une.carte, qu'il pose sur la table, face en bas et aprÈs l,avoir Ë
!é.e'
Pyi1,il replace son paquet de cartes sur le jeu et la carté choisie, également desus, ca
fait qu'elle est la premiÈre du paquet, face en bas.
Le spectateur retourne alors le paquet {ace en haut.
A nouveau, il coupe un petit paguet de cartes qu'il mélange et garde en mains. ll retourne a
le talon du jeu resté sur la table et le remet faces en bas. Lé petit paquet qu,il tient rn ,ui,,
alors posÉ, faces en bas sur le jeu.
Le spectateur coupe alors autant de fois qu'il le veut.
L'opérateur n'asiste pæ forcément à l'opération : il peur très bien être sorti, s,il a pris soi-
donner au spectateur de bonnes indications. Le plus simple est de lui montrer une fois m
faisant soi-même les différents mouvements qu'il d0it exécüter, puis de lui rafraîchir la
mé-,u
en lui parlant d'une autre pièce....
0n peut encore lui envoyer jeu avec une notice explicative... ornée de quelques desins,
le
Mais, dès son retour, l'opérateur retrouve la carte sans hésiter.....
ll faut, psur ce tour une clé tactile, genre carte cûurte, coin coupé, etc...cette carte est ai
la 26e à partir du dess,rs"
L'étude des différentes manjpulations montre que la carte choisie étant remise sur le
dess.s
ieu, elle ss trouve donc à 26 cartes de la clé. Le rajout d'un petii paquet du desous e:
différentes coupes ne changent rient.... ll vous suffit âlors de ru*rnri votre cté
rour rr io.-
une c0up.e, puis de faire une coupe exacte comme pour un faro, de compléter ra coup'i,,t
carte choisie est sur le ieu.
Si vous ne savez pas faire de c0upe exacte, vo{.!s pouvez simplement paser les cartes en
éi
devant vous et c0mpter 26 à partir de la clé....
si vous aimez vraiment ies tours par la poste, vous p0uvez aussi envoyer le jeu
avec une
d'instructions...." et renvoyer la carte par correspondance.

l-f 2;l - -L- - = l:Èà.-_:r E


-- r r r r ar _- r _

LE qon n E mÈni- al7:uË :


§
--j.-:
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inEuF cHnnrnrr cuolEfr
I ca y est les mecs l'année e-st pasée... 0n avait prévu un joli
truc de menblisme de g,*ran p
I interview de charrie HrvE Ls'et uien tàut
I aiumm-.,'ii,'i,ij',1,-prii,iJil','iËillica, itilâ
tan t;irilàiiià,, üiiîuine... res toun de
iilïi,iJ:l;,ili3i,i:TlfJli,,..ffifliiX:
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r rapps au j::
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j1E':*lï! -: ;, ;ïi ;JËffi ; ;,-il# ;;'.;; ;
rux.quàilàin;r;ntï;ifiilir'i;ffir:i
res fofles chronioues-Nloi; ",;
iüt
Çr
r !ab-ige1.-_ft_op, e_nvoyez. vire 100 baiiE;t;7;ïrË'iitiËîii,i,,ri"diL[usrvrMErur au rlüt
I de MA0'MAGlG. Glisâz-le dans une liÀrrï;à,o ;;
nl onvnwoz-ta à [ti.h.r rrÂTTE

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telirlr,*tnnnp
unô belle envero"pfe rt*nrôv'rriel'r,t-i;h',i -
! [:,Hi:JiâoiEi*HI§"{e r0

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94
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I.riti.?i:iiaiai ljiliiir, i-ril. ;,:'-:.iii.,, r,,i :ir.ll:. ie r{. ir . -:',}': ' -t ' ' n:''r.,:ii,l::-rr:
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96
SIOUJ SNTO'{ ONYZNIS

.:r:rs parler âussi de rnon enclavage d'anneaux chinois, du premier de la


- :: {ui est donc à ce iitre très important.
,L ''::né deux rnouvements et deux irtrées. La prernière de Dai'YEBNON, la
. - :. KEN RROOKE.
'-:=nd les deux anneaux, les frotte, comme sur la fig. 1. La clé ouverte est
:-::ière l'index droit et les anneaux s'enclavent dans le <<frottis» lorsque
il m: .i r trouve à une position située à il heures de l'autre anneau. Mais cela
: in mouvement descendant de l'anneau clé.

r - ",e. Iui. tient sa clé


de la même façon, frotte de la rnême faqon, enr:lave à
ïr, " l,l \IS Eli REIIONTAI{T" ce qui constitue une grosse différence (ftg. 2).

, -:.oi. je fais d'abord un frottis sans rien, et à ia fl-r de ce frottis mes


r, *: sépa.rent et la main droite est sous la main gauche (f,g.3).Je marque
" :::lps. comme déçu, puis j'enclave aussitôt en remontant cornme Ken
, :.:rs à .l heures cornnle Vernon et. dès que I'enclavage est fait, je marque
- : D'ARltET, avec mes anneaux enclavés, comme s'ils étaient juste l'un
':. puis je fais à nouveau un frottis en écartant les mains et on obtient
: "^ métal qui passe à travers le métal.
1t r : -,,rur ce que Vernon appelle le «CBASHING LINKING» dans lequel la
ll
t! , . " .ie comme en Fig. 4 et dan^s lequel on frappe verticalement sur l'anneau
t, .:rn gauche, j'ai pensé qu'on pourrait considérablement modifier I'illu-
lt
,t
.: .nt cieux trois fois zur l'anneau, pour faire sonner fortement les anneaux,
, ".,: augmente I'idée de solidité et puis, au moment où les anneaux s'inter-
' -. -r faire ABSOLUNIENT SANS BRUIT, un peu cornrne deux ronds de
: - :tntreraient l'un dans l'autre ......
-- ::sais vous seront nécessaires pour y parvenir, la fig.5 montre Ie mouve-
' :I)IGIBT qu'il faut faire pour parvenir à cet enclavage.... auquel on
-. ,lu premier coup.

97
22MERDE I Il ne reste plus qu'une page et j'ai encore tant de trucs à dire : d'abord, vous êtes
con'avait cru et vous avez été des dizaines à envoyer des solutions au puzzle afin d'avoir I'abor
gratuit,.petits sordides que vous êtes... y'a même des monstres qui, pourgrillerles autres, sor-:
porter leurs réponses en métro, au sortir de chez Hatte....etquienplus sàntmême pas abon:-,
falloir qu'on revoit notre système.... Le ton même de notre ievue nous vaut un courrier ncr
lettres cette année, dont 6 d'injures....), mais certains nous téléphonent : cIRS, parexemple
gné de ce qu'on a dit de son fascicule sur les boules... "je sais faire tout ce qui àst dans àc:
(encore heureux papa....). Vous êtes des ringuards, incapables de rnanipuler unà boule et je dé,'
cle mon droit de réponse. Alors, allons-y.
"Dans le numéro (à compléter S.VI") MERLIN démolit sans l'analyær le livre de CIRS ET l
LAMERLOUCHE alias MERLIN est un rêveur sans taient réveur. Il oublie qu'un livre est un:-r
un singe s'y regarde, ce n'est évidemrnent pas I'image d'un apôtre qui apparait. ceux qui -
travailler me comprendront" il est très mauvais. Ce garçon meniionne qu'iiest représentant e:.
nettes, on ne peut que le croire". CIRS.
Désolé, mon vieux, mais j'ai pas changé d'avis,
ça doit venir de ce que je suis ami depuis lc--
avec ZUM POCCO"... Et puis. il faut bien parler du 12e Congres. qu1 niOlre aux participanr.
SAILLES, c'est BYSANCE.... y'avait d'ailleurs pas besoin ti'étre Geller pour le savoir : il étarr :
par Maurice PIERRE et toute l'équipe du Congres eie 73, car soulignàns-le, on ne parvien:.:
résultat qu'avec un travail d'équipe. Alors, citons-les, car, .omme ils sont trop modeste! s
intelligents pour se couvrir réciproquement de médailles. vous risquez d'oublier liurs noms h
LANCHY. responsable de la régie, épaulé par Claude ARIBAUD, lès Filiol's-Brothers, qui rn, s
air détaché sont terriblentent efficaces, JO MARTINIS, qui a réalisé la partie techniqu.,.t,.i
[r_rh:!, qui effeuilla pour nous le livre des merveilles. Bien sûr, aussi MAILL,ati-o, cel::
CHAHIN, BLAY, FOREST, BARBIER..... vous les connaissez tous : ils sont chaque fois fice,e*
poste. DURATY, Joker du congrès (e serais 1à tout-prêt : s'il manque un close-up man, un:
cier, voire un numéro)... Et si nous avions, nous, eu a décemer un potage Royco, nous l,auni,:s
à Jean-Pierre DORMOY.
Dornoy, c'est celui qui rêvox. On le connait mal parce qu'il est toujours caché derrière des 1i:
de sono. C'est lui qui, pendant trois jours à travers le dédale des bandes. des disques et des :
arrive chaque fois à faire un piucours sans faute.... c'est décidé, nous lui enverrons un sl
sache t .
LES GRANDS MOMENTS DU CONGRES :
[æ numéro des rusæs, celui de John Calvert et aussi I'inoubiiable SALVANO. La conièr::
p-OryGO, que personne ne voulait laisser partir.... Le spectacle MAGIE-MINUIT, très dans .,
li
MAD, qui a été merveilleusement bien reçu...... et bien sûr, la remise des prix plus ext:::
qu'on ait uu^duï ur congrès : à ma gauche,les pingouins, à ma droite ies bàzzarts ôt que le, :
gagnent..... ouf ! Quelle santé i Enfin, les choses sont à leur place I Enfm on nous rappe_e
palmarès, finalement c'est pas une chose tês grave.... même et sürtout si on y a un prix.....'
Enfin, il y. a eu celui qui a dit "les mecs, le cinoche c'est mon j ob, et la magil c'est'mon pie: *
r€mettre chacun^à sa place, je vous trouverai une copie de "Nuits d'Europe"..... même si :
dois aller la gaufrer aux chinetoques.... Alors,les maginéphiles, qui depuis'des lustres se sc -
toutes les.compromissions, p{ur ce vieux bout Oe pitloètre, oni.igot. une fois de p1us.:-
dans.leur barbe. au rythme d'un Elsley 9 pour 2..... car le fiim datiit de 20 ans etlàs co:rs
été détruites..... seulement, voilà, à la {in du congrès, pollockétaitlà, fier, superbe, u.rog;,
me,.et tous ceux. qui.coliquent des tourterelles dans les galas de maifaisance,-sans mémi-*-;
quoi, ont regardé ça^la bouche ouverte : lesyeux commàdes billes, un peu tristes d'avoir3er
rninutes été mis en face d'eux-mémes.... Bondhyeux - læmmec, c'est un petit printemps c r
r"t ,",rnei i;; ù;;!,F.è'liLii,liii;;iiiil:i:;ffii1iJ,:,i;,T,,iJlï 3.Ti,:'#iil:1 -
viennent de prendre l0 ans d'avance sur le§ autres. Alôrs, ditês merci au Monsieur. ef bi.. a
ait sùrement rien à foutre, retenez quand même son nom, il s'appelle Christian Fechner. ,_ :r
si vous le croisez^ vous n'aurez pas I'air d'un Charlot I I I I

98
2g
ARililI

aa » HEVUE
-_, : -,s r4Nlière des reyuæ magiquâ sporadique...-
: -' :.ement realisée à la main par ceux qui yous
.':-: te congrès de Lyon.... otlt
Hivalrto, Milord John, \\ B
v
:
:-:t BALANDRAS,
: -. i.te.CHAf E L
C.E.G. de Bagé la Vilte . 01390 ((
\\ @- o*o*'?âIï§ïl
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Jli_tlr: âf inlassablerewe magique ira-
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ALBERT - Abonnements exclusivement au Derto. sitta.
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On se procure les anciens numéros chez Hatte


91 39 Siège social de la revue. Compose su,
::üETi LB.M.-Maboule, par ..les petites àr*'"rï"
m
lEm rue de Tolbiac", imprme par .,les beaux d
messieurs de cheziopy-top,', fi. fvfat_
L herbes, Paris. Mad-Magic ést on".u*u i-pri- ü
J& @[
mée. Tout exemplairJécrit â la main
trDüI un
MEE Ir.u1: "J
M:9 Magic est entièrement copyright.
L.€gal action will be taken for an-v fonri
copy. Copyright Mad-Magic 197g.
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J'étais partirhez Hatte pour acheter sa nouvelle boite au dé baladeur (435 frs), parce qu,e
E
légère, bien faite dans un beau plastique lumineux etque c'est l0 minutes u,
grands à peu de frêt....
,oÀïji, rvY'l
pori Ys!{
oe:s,
....0n se E0ntente c0mme on.pe.ut, d'autant plus que
ça faisait trois semaines que;e me ætenar
r ri n-su e.,u q, r,n 0,,;,; ;üi ;#
; iriË',J'i[l.' iii.,
i ii :iiiff ïi[,ff .ii:
if H
"'
Breffe. je. commençais à moucher blanc et ça devâit se voir'sur ma tcte... ,u;r-nllirtrt
Hrie
m'a pas laisé dans l'ernbarras : il m'a entraîné délicatement dans son arrière boutique e-
disant:. j'ai pour v'us, et il m,a toutexpliqué , ,n,,urpiir.
.quelque choæ forirorrnonr r.
elle rentrerait, quelque chose pour qu;elle reste toujours avec moi...
Et un beau jour, ORFfiHRBRTNG. ! Devine qui vient dîner: mais non, pas Giscard, ei
Mommone,. blen sùr,.moi. j'avais prépare Àon ;;ri.;i È;;; d;;;': iltbffi Jo,nff'Mr*
,lg0)
T.lP Tr,t'avatt essp,tigué.: lumière d'ambiance (B.H.V. variateur électronique Frs ."
doche à la consote (deuche-Krammophone 4s tis liao-musii;;i,-il;;ü*iË dans ies
(maison de la graisse 37 frs), 32' de iempÉrature (thermostats s:
de radiateurs 0anfonce), B.
croyélezounon, à la fin de l'apéro, eile avair déjà plus de chemisier. ci iàùsâii voir
son sc-
gorge DIN (deuche - industrie - norm) en denellô gàtvanisée
lrruppiro orr,l rri'orr*t. i,rur*
attendre les légumes pour le lui ôter, car là elle s'esi brûlée les seini'Oans l'asiette
àe soupe, s: r
tout éclaboussé la nappe (sopalinge 1s frs). Heureusement, !'ai rattrapé l; ;;r; àu oésèno
quelques bonnes glaces (ætucieusement disposées) et c,est afors qr,o,i
m0mmone, elle est çntille, mais elle aime pas perdre son temps.... avec
etult prri. ÿ;;;;;;;
elle, c,est toujoun
deux trains, entre deux-mer, voire entre deux châises....
Alors, ie l'ai coincée entre les deux poteaux en lui disant que c.était une p0rte,
et pendant
regardait pas,.Rrrrrran, j'ai pasé la pgrose tringle à traveri. Elle . porsé rnïrdrrrnt
î-
æ-l
franchement ! jamais auparavant, quànd on faiiait normalement, eile uruliattrlnt
ce degle d
leurs le l'en aurais même pas cru-cable..... y avait l'hémoglobine
dans te trucage er je me'disais franchement que pour dàux mirr,i uairei
iriirrüit,
ùrîiie, ta pe*em
iH;*, iË'zôcior,
m-appuyanrsur t'un des poieaui.que j,aivu qu.iti.;ilrria;
i
l_l::: :''.9_:.:len quel,airro,r
rringle rruquée.... comme.quoi on a toujoün intérOi à tir; la;;ii;e_.-È;il,
Ion0, c etart que mon ainée, et il m'en reste encore trois.... Je lui ai fait une
ilri;';;: ;
par une vitre er, à côté de mes papillons, eile a vraiment fiÀ;uli;;;.-. iolie niche, p-:
i, ï..iorrr"üilr,i
on les poreaux: exceilente barbouiile, on a ravérestringlesaità,,eilesûri
loutJgn: 9 lgvé
bougées vu qu'elles sont finement chromées-... alors, quôi demander Je lriïÈein quoi
f
que d'ici la æmaine prochaine, je trouverai bisn une autru conne, qui a ànvie
I ? Lr
de se faire trinoe".

/vllCHEL HNTE g,HUE uEs


cARMrs 78005 pAnts
100
ÿ
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a
1

l
{
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Cher., .-....., .

t
Ë
tr*
C'est votre ami ....-..... le magicien- qui vcus
envcie ce cûurrier êt vous propose de participer à une
expérience de transtnissiûn r_1e pensée sci-ts préædeni,
afin de vous îeste!'eî ce sai,r:ir si, par hasard. vcus ne
g
posséderiez pas une ,Je ceç lacultés P§l d,"rni on &
-ta
L#
parle ta nÎ.

Vous avez ul jeu de carte; q*i âüüûn.lpâr.lri* çe: ilrs-


k
&
ffi
àI trrlûticins. Veuillez le prer-;Cre âv{ic v{,ltrs et vrJuS
asseoir confort*bier-nent à ure tâble. Sûrte; l*: jsLr de
son étui et bêT"tez le autant rle fois que vsus i,ouiez ffi.
(fig" 1). Frenez ie .jeu en mains, légàrernent éventaiilô,
cr:mme quelqu'un qui joue aux cai'tes (fig. 2i. Fixez
vc{re pensée sur une cartÊ üui vous semble sympa tr
th;que pt sûrtez,la à rû{ritié de i'éventail (fig.3i. H
*trm[ Fixez-la INTEN-SIVEMENT pendant une dizaine r'e sü
secondes au moins, puis paser-la face en hras sur la §
tabie ifig.4i.
llr*illll
ft
i|li

,i qrru,, Fermez l'éventail et retournez le jeu face en bas (fiq.


li'ill TII!!
5) et posez-le sur la cai-te choisie qui se trôirv€ §ur la
| *i 1ll11lr'
cafte.
E nl.iiullllllllr

r{" ïinlll]]],
v/1 fu4éiançez aiors autant de fois que vûus voulez et
replacez {e jeur dans l'étui et rerivoyez-ie mai par la d.
poste.
I rmuiltluilu

i w[[t
{'

§iq.tnmr
r üU.
l\4ais pour nL. $las oub!ier lil cêrte à laque!le vous avez
pensé, je vous suggère soit cie rnarquer son ncm srir un
ffi
,&
papier que vous placerez dans votre portefeuiile, soil
:flJllll{tllllll,
de pr*ndre un jeu da carlss vous appa!"terlant et cle §
ê-iflur. iillflilL
retûurner cette carte, face en haut, dans !e jeii face en
1f 'ml
bas, afin de vous en souvenir jusqu'à mcn pr"ochain §*
-
it"!1dmj
ü1iüülnülllilrl
*#: c$rr rl ier.
Æ
-1 nîîî!lllllF,:' lt
Car, bientôt, vous allez recevoir une surprise cle ma
part. Et ncus sâurûfis, vous et mci, si vous possedez â&
f - $ü. rtflll|lt,
t,

ces facultés PSY dont on parle tani.....


g"nimnu*
:!q I rutitr
J'attencJs impatiemment de vos nouvelles sous la
É't'll]lltmfl forme d'un jeu de cartes. En.rayez,ie au besoin en
I : mm'l port dû si vOus n'avez pas,1e timbres scus la main.

! üml Dans I'espoir de la réussiie cIe cette expérience, je


vous prie Ce croire, Cher..........". en me§ sentiinent§
') maglque; les meilleurs.

.,$

rû1
gffiARE
Charlie RIVELS, 82 ans, une heure vingt de sp
au Bernardt Theater de Zürich, 12 rappels. Le
d'une génération en voie d'extinction.... Le*
clowns.
J,-M.* Charlie, on a coutume de dire que læ
deviennent clowns après avoir taut fait et ,'
gue vous avez dû être un peu acrobate, uD p€;
teur. Alors, avez-vaus été "un peu prestidigiîa..
C. R. - Oui, bien srlr, les clowns ont toujo,-:
mé la magie pourfaire rire, j'ai moi-même êu :
entrées avec les bouteilles, c'est très vieux...
- C'est de vaus, l'entrée des bouteilles ?
- I\gr, mon grand-père ta faisait déjà, on .;
quic'est.
- Mals avez-vous créé des entrées magique:
nelles ?

- Oui, une, avec un poulel. C'était une pari:


entrée quivenait juste après un prestidigitate_-
moi, j'arrivais, je mettais un pigeon dans une
et, pendant que je cherchais le mode d,e:-
partenaire mettait le feu dessous et on ress
poulet rôti. A ce moment-là, je mettais un
par-dessous et le poulel volait sous le torci-:-
que le magicine avant, avait {ait voler une oc
méme façon, alors ça faisait rire.....
J'ai connu un type en France qui faisait un*
parodie de magicien, qui m'a beaucoup amus€
"
* Mac RONAY ?
-- C'est ca ! un type à chaque fois qu'il rate
méda ille, c'est u n très bon numéro, je ne æs
vit encore....
- Je peux vous assurer que oui, je l'ai vu i ,
d'un mois....
a

- Ah bon I tant mieux....


* Vous avez dû en rencontrer des magiciens
- Oh, oui, des tas. ll y en a un, Cheffallc
vaillé peut-être 5 ou 6 ans ensemble. Ca, il éraa
ll avait un matériel, ça remplissait deux car-
que le déballage, c'était un numéro.... l;
toujours avec une dizaine de personnes, des -aû
géa nts.
{ su ite
104
rll
a.

Jtse s
,els L:
r ".. L:§

SIMPLË
ITE PREDICTION
ü,:r
J HL ES FAIGNANTS KINÜN
BEAUCOIJP DE ÜÜURAGË
EFF''E'T
--.-r.n pose 4 as face en haut sur la table. Il sort de sa pochc- une boite
. - :.:3s et demande au spectateur de la poser sur un des as.... I'opérateur
,,,' , 'lûrs. qu'il savait par avance quelle carte serail choisie.

METHODE
,l ,-.:p1e car tous les coups sont gagnants.
:r :S eSt de couleur différente
: - :1i â sa réplique en petit collé sous sa pochette
" :--: du 3ème est écrit à l'intérieur du rabat
--,li carte représentant ie 4ème est cachée derrière les ailLlmr:ttes de la
-:. 3.

'!Ê SË 5

rL

105
qW
il»tilEMx
Pratiq.u.és correctetnenr, ces cii;,4
inyisibles et ÿaus perntettronr r{
praTiquer les routines qui se troi,
ce numéro.

Ier CHANGE, à deux mains

La pocheTte est lenue comnle er.


main draile repose sur le bord ,t
(fis 2) Lamain gaucl.re, !égèren:;*;
repos€ elle aussi sur le bord de i.; ;
nte en fi7. 3. Un léger tnauuett!ffi
l'irtdique la flèche suffit à fair: i
pctcltette sur les genoux. Le cl:;
de la façon suivanTe ; la main :J.
('oulrir la main gauche, iuste au ,*i:
celle-ci fait tomber la pocli:::t
genoux (fic 4).

D nU
.oY
%ili,

106
EXPLICATION

Vous utilisez pour ce tour une pochette


normale. truquée et un: :

L'idéai est de récolter des pochettes


cartonnées faites pe. :
ou autres, bien différentes de
couleur, l,une vantant des:l
ou autres, l'autre des bas, et une troisièÂe votre publicité

Toutef ois, choisissez-les de f acon


(v,,e q,,iuxrre
roire à pouvoir
brât ir un gag
amusanre .: JJ,ai uin;-rilt,r;
;;ïi;,Etats_Unis
ar arnsr.,utrltsé
aux ';;
Unrs ,np nnrr.
une [f"6..-
_

::i:i:: l: l:X^:,jl9rr_dtr
seconde aux n,fll .f aurobus de
";ôl;. ài rà','r"iii!ïJ'oJ,ï.._i ._
armes rnlNcË ;
Johnson (.te Jacques eor.l àr*icain..
I:*::9^
peu pres comme surl ) L,hist: -*

,1,, /1
4t

108
@tlil=s
J-l]ÿGE, à une main.

.:te d'ctllurnettes A ctst sltr la /able,


.:térqteur, la pctcheTte B est à l'em-
.::r pouce tlroit. (Jïg. 5 ).
;-tuche t)ienï pren{lre la pocltette
. i droitc, en laisant cltntne un
" ifig. 6), et dëplace lu pocltcttt
-' : .î ÿ€rô la gauche, puis la ramène
.-,oitefait e.xdcteruenl le ntême
. .i t"ers la droite, mais d'un coup
.- tlroits, elle luisse tomber la
ti' ies g€nou"r (fi7 7) er dépose
.',ile.
: . ! la parole sonl tres iruporf ailïs
..tilge eîIes ge,stes doivertf être
. :,t Jaçon suiyante, par exemple ;

. la donner à rtk;nsieur (gaualte )


,tr (drrsite), le résuitat ierait te

\\ 5iË
ois
'0

Àt& {;, Hoosrs)

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L07
. .':z lt,:jS Cr: peilt à Clvir:rr ii'oir jr
ffi - iif fei), rrais sa,.,..:;,\,,üi.i3 Lrc-rfrriieili

t**
- - 7 (Àrr'F:rai:,-;ol , el rluelirues
: ,-'-r-ile a Paris 11r:ur'Jans Iiifel ;,:air':)
. :-Cahcl. ie pour mrllîr.jr ie l_rus . vr:i_:s
,-( vcy'Ê1 ii- .,.1, ,.'. l'1:, , r' :

,, .,?:;.lC bal.lqL:e1te ? v,*-,ii3 te ie i-üC.ri't.


. i rJ::'.jill ,'ü11 :IIj .-.'ref r,
,= pius près {r:}ranqe), c'est i'l i.irit::r.1
x*r

. .':',Ê;>. |'.,i: t Ëi.ri: rt,.rr 'il:..t,.


. Cas'Lie, ei r:lje a t:ir. stliiÊe
tr r:- "ii:r;rr:
par ur-r élcrrne rlcl;it lii: l;l-e, r:1
rflr :-.\ rnagiciens se iil!'1t p!-ûar-iii:rs iiÊ-.3
.. ÿ[Fi l\]Oi\ a rnêrt-:e vr:it ii,t et.iiürer
::icn... . donc.. . c'est i'rne petilr:
. t'-^ei t,:,i,.-':, rr;r':rrt(
-Tiûru
- .: de base si:r iaari*tie *:t co jiée
. oocl'iette A.
.: â coup€r esi i:i ricairstte ii
--- rt,racte, pour faii-,.: lr. Ciiirli;t ,irta:.

. .: tr,iB est antpi-ltêË dû n,--.1 qrltirl,


. l,r, plr Cr-i:.t it.tnrel1 St.l, !,.
-:..t- fra)chette [] ei;t i:iors r:oilée cr;ii.
-:iîe,i\ corrtrrie i'iniiique la fi,lurc
- .: bien si; ivi lr:s iirilicatioirs, vo!s
.,riDnné ule ;:ociretle à deuy, r'abai:;
-:i lerlveni sÊ cJincer l'un o:,:r
-a stu§ ie qrillilri;.
riiil

u r CiJÊ.FJGËM§P{T
iil
tiitl
"::si tlrnLre en rrtairr ilr-oiî0 {iDmrre
iiil
-: Lr.rr.tae iiroil ttre ie r;bai suprii'ielr
.-:!i:i-. i-.-. il]a il CaUChe Vi'.:rlli ajiOfS Se
. tLlcheite i.lai s.rn côié qaucire, le
- même r c.rrjyi"t st viert se locret
.ê:n ,l:O i- -,i.tua,. Ar;tr . , rl
: :3r-ti€ ci;li$9,1"n p.rciter:ies tardis
.r i-rs s'étend po,;r" aiiraper 1e côté
- =s çue c'est Jait, la pcchette esl
. 4) et eiie senrbie a,,,cir chan!éc de
- -e Siade, ori peut l'r:uvi-tr et ei't
., . lumettes iniét' ieures
, ; referrrier.
iûE
DEUX§Ë M E ÇHAIUGE f\4 E fr.iT

L; pochettr: est p iacée eri


rn;rrr gauciie, gi"atiorr près
iiir p.,:uce ifiS 5)
L: rrilin,JroiiÊr vient par
rJerri",re, fà,i U.,Sc.rle; iJ T,ir' -

tie hauteve[s l'avent et |l.ion.


tre que iâ pOcfre1te vreni de
changer de ritirveau. iJn
lér;el rirouvenrent (-iL-i É)ou/-:!
':r'Ori r,:piar,' i: parlie'r:at =
r]ans l'étu i.
ffi'[
TRCI'SIF M E C}.iANGËTd §'{T &
F*ies le charrge a deur
t1d,1s..jêtf il .,J ri.:jij: (rl ac-r

nirméro

**§[iffi§§§§
I §§§§§§§$ I §§§ I
ffffJüfi
{'\ i:l},!h{l{-l DE -i.\ll,i.Èl L}fl P0("liETTli
Il vi;r.is feut 'r-rlr-ir C,,iu iil: tapis ei i,lfie groSSe llrtChctte rl U'J Yt)tl5 aLireZ à f: -': ..

','Gus-niénre. a,.ci: ciu Iep!Èr genre Kronlekotc dpais. sur iequel votts dessil:..-
motif's rie la po'-:ilc{ie rit iail}e n,:rmalc. Il Ir"est pas nécessaire que cette r- -
r:oiltie n|ie de s aili;llreiïi'i vrlt.ls il()Li\,'ea lciutc'fllis, s;i vous dte s .sot.iciel,lx tles -,
e ri §inlr.riL'r gi;irri' à riii illili'r'alii.r d; troil.t cie canteri-:bert tlue \ otiS il".lre Z -r: -

colililte sur l* de r,;in. li lirt resie aiorr irlirs i;u'â rotrgir ie s bouts avec lltl le ittrt .
{.ette poclietttt c§t placi:',-' :;i-iu! lt l;l;lis ';<tn.ir;t* e ri i'ig. ). f-a pctite p()cil. :
piacée riessir:. lir itrain dr,.-;i1r ui';i'il slisir !tr dilix. ilolttc e tt dessotls. tloigt: -:
,'î tire irès viti ir,s iicr-t;< i-1o'.llrli'-'s tüiertii)lr. ijr: s.' relournr.nt. oe qtli a polr: .

iuiii': a;rpairitrc la grcss*. h i:,c1ite Éi:inr masquét'r-ierriàre.... (lig.3)'

P l'2
110
a o a
ar. o î-
ffi .ld} --*Jlo..
0 Il exhibe un sac d,étoffe noire (genre sac à l,oeuf, un peu plus grand)
9,:-, comme
sIN' I
exrrair 10 pochettes exÀclezurENT sEMbiÀËir§'bN ors-
eiles ne sont pas neuves et qu'il sera irnpossibre pour
spectateur lui-môme de reconnaitre sa boite, il oemuià" -a-à. le
fasse une croix à l'intérieur du rabat de ra pochette
qr,on
dont on a soustrait
une allumette , puis il demande qu,on verÀe toutes les pochettes
dans
le sac"

L'opérateur revient, prace le sac derrière son dos et sort


les pochettes
une par une en les lançant d-es personnes différentes
.à cru prinu", utin
qu'eiles ies ouvrent pour voir s'il v a la croix.
e cnuq"à i;{;; "' sortant
la pochette, l'opérateur annonce : celle-ci n,a pas
a"
".ÀX.-^-'
La dernière est bien sûr ia bonne et I'opérateur l,annonce.

Le principe premier de cette routine se trouve dans un book


Mentzer *close-up cavâlcade", vor. L L'explicatio, àrt1"tro-ementde Jerry

lmple ., ! fqu! prendre des pochettes presque neuves dont le rabat n,a
jamais été ptié et, pour comprendre te principe, t* ;;ii; à" p."r,a.u
une pochette en mains. placez-la sur votre pur*u droiie
fig. 1, et. observer qu'avec le pouce uou, poru*, imprimer trn "à-.rr" "n
vement de va et vient au rabat. ia!u, *ou-

Par contre, si vous farcez ceiui-ci sous ta partie grattoir,


ne pourra plus imprimer ce mouvement au iabat ei
votre pouce
dessus. C'est tout Ie secret du tour, et il esr indécelable.
tur'[ü grissera
"'ert
une relecture de l'effet vous permettra d'observer querques
finesses : re
fait de iancer à la fin les pochettes à différent", p".iornï, pàu, qr,"if",
les ouvrent détruit re truc et c'est un excellent moven
adresse.....
àu'tuir", uot.u

vous découvrirez vite que vous pouvez reconnaître la pochette


dans le
dos et dans un sac... et si jamais.... un jour de brouiliarà,
uous rutie,
votre coup. ça prouvera qu'il n,y a pas de iruc.

a
a
a -.ir
C

1,12
Wffiffiffiffiffi
h ffiffiffi
ffimr"q '',i'â*

Éi*in i* *il1 *i,: ilr,ris ilfir:srr.,ri * i:ir*xt* i:iii r,:'i,,!:i


ijr: r:1tü,... rt j* rliçpr üo:r-:::, *t i;: ir;,jil,.g:_: *"1,
i;i- *i ltt*i ç'sst il ü*1i:* si i'rrlt ll *i.i,:i:r.11*. :,:t.;r
S*ui-rll ;:ag*"... l+r'l i:t-rliitaæt p*s t**irrlt::: ii:i
ea. qr.;*nr* ils sr s*:l-l !ar:,:rs. a*t*ies-.r" fui*r +irq:
'', :i.. io Li.Iri rai : èltl,r..r. rr t:* "îtE! Côÿit: r r..
hi*l',*s. û1 ffil B1§ yi;t."r**it !* r:lai* d*rls !* ric-r, r;;,i
n,* Xt1"1i-t'y*iî ni*ry*. ei tr'l*li:{ii*ssT? qu'ih *,'*at
;:;rsçsà r.:r.:ffiirê* *i'** *g:uiist. ù:'Ê$i: Titut jtrtï* *':is
lilg -';r:q;itfi? 5:*:; lrii:i:,Jr:;,.. ü1..: q:rlrfiÉra:S $ TilÈf:f"
iilii*ii:? lJiiE '*:n :i!
f * irlllre *c i$urc tir*t.*rrs, 6!*i"
is: n'i'ôt;ris fucfuitire Ë rr*ir n:a gu**i* rlens seur
;§i3:;lil i,,1.., - r:1 I:l+i$1:, i;:i; i.:ii;lt*ltS a lllrif:+:; :
üi.!'r:s-{r,: çu'i§ i'r:it ill s:r*c;ieiiiji.r c!{: i:x;s;êftr,
q!i*::d ii i+rliri *r 1r;rt!:*l t:*itsirfrËr a;j s:É*t*-iilr.
*i *:r ;;lçr ç'gpg l:,::.16'5 XË;Èm* rff*drat*n1 *ri*qr:
mt *il.o: *e r;ll'il i'ffljt t{!,* i* ,*i*lq::r.... Ëür'i r:,!ii::}:
r*.;< i;: i1.,. ., ,

*
I

I
i
i

/r

i. .tJ
Four donner reur avis, faudrait peut-ôtre
qu'irs me râehent un peu de pognon
r.... un t,u,
qurri on *,ipas payé, on a d,ordres à recevoir
[ilrYi:llliy:':_:i-pli'"n:qi,
Ators, pour res emmerder, j'ai raii ,r de,
actuellernent et s'irs n'en veurent pas,
ï;
lniÀ' ;;; ffJ':d;: i,i.i ili i§'iii:iJ
irs ironi s, taire toutre, ;il;i;; rlîrornt
monarkalbair, pas payé pour pas payé.... puurqroi pas, je r:
s,en faire.."..
comme dans les autres routines, re fourard du
mirieu sera représenté en coureur sombre
parlerons des foulards blancs et du noir.
t) Foulard noir en main gauche,2 fourards brancs
en main droite. Les pointes blancher
sées SUH la noire. Le médius gauche vient se placer comme
en fig l.
2) La pointe du fourard noir est rabattue
autour des fsurards btancs rnais pas en pasert r
ïl:T:.,"iTT.:,::^,:,1i,,:l.j:l-r, ;;i;;il;; ir*n,
noeu.d no.rmar, mais au
du côté
tateurs, c'esr-à-dire qu'e!te esr rerenue par
remédiÀ;*.d;ffi;ffi;iii,ilr[ïii
3) La pointe noire est ensuite repasée
SUB les deux blanches (fig 3)et les
deux pointes
tr,ou exisrant pJ,i,,,,i,î' re noeud qui
il;;J:iJ[ i]1:: i::::::'":'":,ll,l::: 1,
sauche en se reptiant r.ir'iinte,;ru, roi,* a-i;irï#:
:XiiTJrii,,;,i:o'r, ;:ï:1,:i;
4) [es foulards sont ensuite montrés
comme en fig 5 et ramenés dans ra main comme
en ï
du noeud et rendron marqué A
::if;:,ili"r:ï::î^,|1,.r,1-.g,T:11,,_;;;r;;",p
appuyer avec re pouee droit pour amorcer....
l* uonou*r.*.irro.ri.J#;ÏIffi, ou
!ft;èrement sur le foulard noir.

114
I ttd[' ,ll lrcs€ celui'ci â cha/al sur le bras droit cornme en fig. 7.

TTG E
,,;r 'il i montre un close-up du noeud à ce stade montrart que le foulard noir coulisse entre les
: r'iches. Livré à lui-rnême, le noeud se détordrait, il est donc maintenu entre le pouce et
FIE rlttrrtr-::'0tts.

ùg,*
i lm*ruaire, détordre les deux foulards blancs quisont maintenant à gauche.
., - i ' :auche se place sous les foulards blancs tandis que la main droite tire l'ensemble vers
rt( ililurfl r,û' ,3 s€mblant de noeud (Tig 9).
,llurrrrm *r rouvement, la main gauche saisit le milieu desfoulards hlancspar-dessous, et à ce mo-
ii' - t r droite arrête sa progresion vels l'avant, et opère un mouvernent de recul pour venir
flm
Om[
i -;eud au creux des foulards (fig 10).

Ift2 .,,nr - ! t''r gauche se retourne paume en bas, tandis gue la droite vient saisir l'extrêmité du fou-
ra" ia pointe marquée A.
hE 't-" trds sont
lpL rm posés par la main gauche sur un tabouret. La main droite ramène la pointe A
rTE ûT Nrd:i :nsemble, ce qui a pour but de cacher les foulards blarcs à la vue du public, et des
rrr,üir§ 0n tire sur les deux extrémités du foulard noir marquées d'une flèche, ce quia pour
rnil l,{,r{iÊr les foulards par en desous.
ne Iw
ÉAnr .-i
rnm a:0rs une routine..... Bien à vous
ltrc
ONESIME

115
aaaaaa aaa-
aaaaaaa aaaaÉ
aaaaaaa aaaaE
aaa aaa aaa É
aaaaaaa aaa *
aaaaaaa aaa ta
aaaaaa aaa
taa aao aaa x'.
aaa aa3 aataE
aaa aaa aaaa!
aaa aaa aa.*
aaaaa aaa aaa taa aaa aaaaoaa aaa aaa I
aaaaaaa aaa aaa aaa aaa aaaaaaa aaa aaa
aaaaaaa aaa aaa aaa aaa aaaaaaa aaa aaa E -
aaa aaa aaa aaa aaa aoa aaa aaa aaa
§ aaa aaa
aaa aaa
aaaaaaa
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aaa aaa
aaa aaa
aoa aaa
aaa aaa
aaa
aaa
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aaa
aaa
aaa
aaa
aoa aaa r-
aaa aaa É
aaa aaa E
aaa aaa
aaaaaaa aaaaaô aaa aaa
EFFET : aaa aaa
aaa ata
aaaaaaa
aaaoaaa
oaoaa
aaaaaa aaa
aaaaaa aaa
aaa
aaa
aaaaa aa É-
aaaaaaaE
!aaoatH
Le magicien écrit une prédiction sur une carte de visite.
un-spectateur retourne une carte face en haut, dans un jeu qu,il tient
c
oos.
L-e jeu est étalé en ru.ban, et_ra prédiction correspond à ra cafte
celle-ci est alors déchirée en I m'orceaux. L,un a;éi* àsl uisià'au retc_
pour identification. Les autres morceaux sont brûlés aans uÀiinarier.spe...
Le magicien offre alars de reconstituer ta ciarte et de ra irirr ràippururt-,
le paquet.
lrg maoicien est tellement sûr de lui qu'it sart son portefeuille .
(les temps sont durs...),et affirme que s'il rate et offre
son tour, le biltet appan
au spectateur qui l'a aidé.
.;... Le jeu est étalé en ruban, une carte est face en bas.... et ce n,es:
bonne.....
Alors, INSTANTANEMENT, elle se transforme en biilet.
Ou'y a-t-il dans le portefeuille ?...... Les allumettes !!!
Çu,'v^a7.-il- lZnt tS^pgçlette ? ta caii, re,constituée, ptiée en B et AG F
A LA PLACE DES ALLUMETTES.
Elle est alors arrachég de la pochette et comparée avec le coin que nou:
et qu i...... cancorde !!

MATERIEL NECESSAIRE :
- Un paquet de cartes format bridge
- Une
Une carte poche spéciale que vous aurez à fabriquer (voir ptus toin)
-* Une boulette
carte duplicata de même tarot
de cire
- Un cendrier
- Une petite salière à maitié remplie d'essence à briquet
- un
Two billets de 10 frs
HIMBER wallet
- Ouelques
- Ouelques pochettes d'allumettes
- Un fake d'allumettes
cartes de visite
- à construire.
wARNING : Manier l'essence avec soin. obturer les trous de ra salière :
scotch pour prévenir t'évaporation et aussi les taches.....

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116
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€ .c. *r aaa laa aaa aaa aaa aaa ooa aaa aaa aaa
r*. .at aaaaaaa aaaaaaa aaaaala aaaacaa aaa aaa aataaaa
§.'E* ,)r ata aaaaaaa aaaaaaa aaaaaaa aalaaaa aaa aaa aaaaaaa
!*{ a.a aaaaa aaaaaaa aaaaa aaaaaaa aaa aaa aaaaaaa
1r{ raa aaa aaa aaa aa! aaa aaa aaa aaa
r5..aaa aaa aaa aaa aaa aaaaaaa aaa aaa caaaaaa
$irata aaa ôca aaa
aaa aaa
aaa
aaa
aaaaaaa
aaaaaaa
aaa aao
aaa aaa
aaaaaaa
oaaaaa. LE FAKE ".

i)u ':: soigneusement. !'agrafe d'une pachette et enlevez-en les deux rangées
,, " "rttes. les têy9.s dq.la rangée du dessous et co!lez-les soigniuse-
,t' - --. celle.coupez
du dessus (fig 'l ), de faÇon qu'une carte à jouer puiise être
:))t:.," -
29 en desSous-
'' ::: egalernent une petite bande dans le bas de la rangée d'allumettes de
i, r r- 'elle puisse prendre place au-dessus de l'agrafe.
''",rr .: :-- d'une rangée d'allumettes neuves, une seule allumette, que vous
fixe-
,r . i tut de la rangée grâce à un petit morceau de scotclt en forme de l)
irllit

,ilriflr: ' './


soigneusement un coin de la carte supplémentaire, pliez-la en 4 et
üul ---. pochette (fig 3 et 4).
-. Cans la
i,',r"rrr -:z alors le taut avec les allumettes - fake, que vaus poussez en
force
n,r' - :;rafe (c'est pourquoi vous avez caupé une petite'bande de carton
ril :: a rangée d'allumettes).
, .rlr " '':'lnts fakes prennent un peu de temps à confectionner, mais te plus
rrli'Iriiii -:'Li des allLtmettes collées vous servira la vie, et vous n'aurez'gu'à
,r ,'t
irir/ii allumette avec un bout de scotch pour chaque nouvelle peifor-
, - .: tuin'est pas la mort.
ilr :-:::e d'allumettes avec la carte à l'intérieur est détruite à chaque fois,
'rrrnr -
- -e heure vous en confectionnerez environ 80,....

,,]],. :^,- ENLEVËR LE FAKE DE LA POCHETTE :


:i . , :schette en main droite, dos vers vous, agrafe du côté droit (A). Grâcs
ri, i : - :auche, ouvrez la pochette face aux Spectateurs. LeS doigts gaucheS
,ir.:llr ':tlumette rajOutée d'un quart de taur vers le haut et referment le
illllirii : ::21t l'allumette pointer hors de la pochette. Celle-ci est retournée de ta
lilriiilriill :': 'a droite et tenue en main droite comme en fig. B.
,i ., ::Lche tire alars la pochette vers le bas et le paquet d'allumettes-fake
,Ir,4riiiiiiir :"" :'3 leS dAigtS dfOitS. a
I i ,-.r esf alais arrachée du fake et craquée sur le grattoir. Le fake sera
€?-T "ütj4ffilrl ,,,irr,, --. sius tard dans la poche, en rangeant la salière par exemplg ou taut
,- de votre choix. a

\ r ,l!ür

_l-
177
!o o !
( s9r19z du paq.uet ra carte sembrabte à ceile qui se trouve priée dans :a:
i_?., l'::a te cotn que,vous avez enlevé à l,autre sur son tarot, avec un pe-
*ï:iji4l:;;:z:i,i::i;:';;::,zi;,:,;::i:,;iîn:,;:,ritit;i{:i!,i,12:,3
l, dans la routine : la carte au coin
LA;ECzNDE cARrE TRUouEE.
I Four la réaliser, vous
lo hutt de carreau, toufours aurez besain de deux cartes supplémentaires ; un s::r
I ,:1:rf:!: de même tarot.....
y::tie hachurée du Z et scotchez te Z au B, comme sur ta fis -
a me1 t

'T extrémités .r'els.erybre, re ruban adhésif devant se trouver bien sûr à r,inié, tu
étroites des deux cartes seront caltées ensemble fig. z B.
t
OI LE PLIAGE DU PREMIER BILLET .

pratiquement icrentique à cetui de peter Kane, avec une pe:


t re,nce.
!:-ll:unu.,rtt
., tr n,'est pas exactement plié en trois cornme le montre ta fig. ê
T
\ qtace dans la pochette, cain plié A L,EXTERTEUR (fig. g). *
Q
I COMMENT SE SERVIR DE CETTE CARTE :
|^ L'illusion doit être qu'elle se change en billet.
l'!_u!!a.cettec,artefaceenbas, lecoincoupéàvotredroiteetversvous,i€ fl.
,: ylin gauche. L'index et re médius droits cachent ra portion coupei ,:
I ,7
',frîf,i:;:::i:::?'î,?'[:f;" un rutase dessus de type Horzinser, mais
t al,r-e co- -*
I b) Puispouce gauche frctte le coin extérieur gauche de la carte une fois.
une se.conde, mais à ce moment les doigts droits relâchent la'c.æ
oI
-I t_t,ennent plu.s que le coin supérieur de la carte et du bittet, ce qui'a::",t

fl- , 1eu,
i:';;:'-l:tr;''ili:','f l,Zil';,,che sarde ta carre pochetre, à t,atignc_m
tandis que la main droite tire le bi/tet hors de ia poche irb. loi.

118
0o
;:?ARATION
-E JEIJ (montage en partant du bas vers le haut)
' 1uetquescarteiindifférentes \t/a \f7'
âr,s ,â;
't|l p€; x
rtr8 serS : :e reste du Paquet
: làseconde'caite du dessus face en l'air
-: carte du dessus face en bas
-: POCHETTE ; dans votre poche à briquet
-: SALIERE ; dans la poche droite de veste

qG
CENDR IER ; sur la table
- a,.iBER
,O t-i . - WALLET . iuit-ritru poche intérieure et préparé comme en f ig. t 1

l'in:e, +-' := 1 un billet et qLtelques cartes de visite


t" ': 2 "' des allumettes comme sur le croqurs
'tenant^..... on Peut Y aller.......
,Gê ^r' a
. PRËLIMIlIAIRE A LA ROUTINË
r{iç 3= j :agicien sort son portefeuille, en sort une carte de visite sur laquelle il
',e"prédiction (le nam cle la carte au cain"")
..i le paquet de son étui, et le donne à.un spe.cta,teur
,;r;;r;;;";rri ià iri àâÀt ton dos. tt en rerire la première carte et ta place
';' eur du ieu
'::OUfnË ii"suinuntr e{
lA:;ulvdtlLë la gttù}Ç
et la
td dans tç
glisse uat'r le Jçu' suivant le pracédé de farçage
ieu, aut'ut''
Cette carte sera la
la éarrc que vous avez chaisie. Personne ne la con-
-.1nu.
" ,'ous, nt m01....
,uàiilt urt rendu au rnagicien qui le passe de main en main pour trauver la
'::à en l'air {la car{e au coin).
'tl:iest posée sur la table, face en haut, cPmme 1eu'
le
: utrrs'ta préclictian écrite sur la carte de visite c'est exact'
"
, - ns de ce tour préliminaire sont les suivantes
al/ez avoir besoln' on ne l'a vue seule'
"
-. ,-anez de forcer t, ;uÀi do't
IU
""
: -: Ce face et pour cela aussi, il Y a y.?e raison"'"'
llirl

. -rrtrï ji'portrrriiui iiu, i* billet donr vot"ls aL!rez besain plLs tard et
]: -, :re fois, vous vaus en servez dans un usage qui !ui est propre' Accidentet-
allez t'oublier sur la table'
.::, :usaLle le nom a, tr rài, choisie est écrit sur la carte de visite
est une
-
-, quu te public n'oubliera^^:^ iama!9 votre carte' ,, introduction
:.-L-^t..^a:^^ ALI
-,, +^,,r
au
t
i;;;;;;;;1;;;;,
ce To mais it:t ^^+ tthô excettente
est ane awrollonfp intrnrtlllîlon tour,
/
"'
=-':nt dit.


10 I\2 \

ô (/
1) ô,L

119
!o o a a oa
a îc
LE TOUR PROPREMENT DIT :
a) | ) Le magicien {nontre la carte au coin face en haut
et la plie en 4, en aye
de ne jamais mantrer te coin raiouté à ta cire. puis it ta dé;i;ir; ;; i.' L;r";i
sont alors de nouveau ptiés en 2 et déchirés de nouveau, en aayant soin c:e
le coin supplémentaire sur le dessus.
2) c'est.ce coin que vous prenez et donnez à un spectateur pour qu,it te
souven ir..... i
3).vqus d.ites alors que vaus attez brûter les morceaux et que la carte sera
vée dans le jeu face en haut.
4) vous--dites alors que vous êtes tellement sûr de ce truc que si vous *
vous o.ffrez au spectateur tout l'argent que vous avez avec vous.... vous
alors le portefeuille et voyant b nitbt de l0 F vous *u*,ià : c,esi::=
mieux que rien......
5-)Fermez le portefeuille et mettez-le sur un coin de ta tabte"
6) Mettez taus les morceaux de cartes dans le cendrier et s;àrtez de votre
:,
salière cantefiant l'essence et répandez-en sur les morceaux aicirte qu: .e
a
ro.nt.pas sans ca. sortez alors le plus naturellement du monde votre:3t
d'allumettes et, comme,it a été exptiqué plus haut, sortez t,altimette e-
mant le fake, comme décrit plus haut.
7) Allumez votre carte, saufilez l'attumette et.... rangez vite le tout dans
ra ;,N
8) auand tout est brûté, faites un ruban du jeu et àontrez iu iin" ,unrr.u-
9) Faites renommer la carte.... et apercevez-vaus que vous avez raté.
'10) Maintenant
vous devez être UiV COMËDtEN.'
vous sernblez un instant interloqué, puis très vite vaus regagnez v.:-s
control et vaus dites au spectateur : chose promise, cnose âuâ, le b :r
vous.....
Maintenant, ËT cËcl EST TRES tMpoRTANT, vous devez faire tes tr: :
successives dans un BON RYTHME.
A - changez la mauvaise carte en biltet, avec une pause d'environ 3 sec:
disant, mais alars qu'y-a-t-it clans le portefeuilie....
B- '.ouvrez le portefeuitle, découvrez ies afiumettes et dites : mais ala,
la carte ? dans la pochette d'allumettes ? c,est impossibte !!l
C -..ouvrez la pochette d'allumettes "La vailà, àiiu,feâ;,.... ,,Vo,*
l'arracher et regarder si re coin correspond, si "i c'ëst bien ti mêne )
camment est-ce possible !!!

a aoo. aoa a
o
L20
*ffikffitr& §§

i -;; îfl üitii

ffi -:rï"tillü$if

:' toLlr rirend toute sa.valeur


Iorsqi;e vou§ avez dc.ià fait
IIIIIüM ' -'ri!Iioti. genre cles îrucs elc
anneau évar1é de la ficelle. écroLi. etc..".
,ilil,4lüü11
'ritiitfll//lïll&1
:FFEI' :

- liÉr"1eur préserrte uire pochette d'allun.rettes


enfiiéc sLrr un ruban oil
; ;1"'tttilr,,,tlll'
: iir.rc cordelette. rr la rait courisser le rong et
elcrr:ancie "
â riei.r.",
lrr-lltiltttiffi{ii ':s ce bien v*uioir ienir res ileux extrémite-i'.re tr;;;,i...' "" speürii_
., lrrilflllflllfiti
l,:l,l-.1:i: un granri.tb^uiard. I'.pérat.rrr rrcoLrvre la
*,,,l,,flilllrl :-:r Liis lnstants sorrs lt'f'oulard et. r,ictorieLr\. 1_.,cirette. lril.ouiilc
rÊssori i, 1.,rr.r ,.ii. têrrnÉe.
:i':rÈ irt arrache re fourarrl pour moniiriqu.
r iij(llllllTfltu.,", ra cordeiettc es{ sai..is trlr-
!,-ær*,_ -:a......
r
:i bier: sùr personne' n'apprauclit. irarce qilc toui rc rnonrlc
:'rtr*r a -rirnplenert. ouvrrt ra pdcrrctTe l:lerlse qLif
poilr la dégager e1 pLris r.:i
: r: ::i.-rÉc..... arors ie ,iagicien p.cud |,, <i'crri pr.t;
eiili;-iiÀanrtc -s"ii
* *$
,l*lfllilli
-i;r;j':....., à

::'.ctiltcLrr s'emparc de lii lroite


, rr*ffi, d'lllumettes et va lloLu- I'cuvrir : c,t.tî
.'r.'i' rllr lr ù1,:Iritt\rcijr\ fois agrttbc i,1r ptirl en pi11.
r r***dl[ I- TI\E :
) iliLit Lrr-rri [rrcissc,qrilr'cuse i]c br-rreau. giâce à rilil Lleiie vc)r.rs,Er;-11-r.z
:'i liluttteitrs au iti'ciLr su'eiricitr ciu !rattoir aiin q Lrc ceiu sî voil
' rfig' i ). ( r'irr pochclic est placeic ,tonuï,.rtr. irr.irlrirr.: gaucire
.ircttc orriineire rlui st-- IroLlve sur la f ieelle. soLlr ic cûLi\,,err !-t c.esr
,,.._r9ur resl: l]l!,: ciri'à l"ouvrir. la piacer dans tiu
io,ir,
vi,.ire r",,in.t,..'ot,.r,.
..is !'troLivaiï dLtjà. ct la poser sur li tabje.......,

ü ':'rez (ruc les réactioris ti, pui:ric nc sc iirni ja,ais âtiendrc.

;::
SËl)
:2*r\ T,,i',,,u!",',,1,,'i,',"j
,,,,, t ,1;ï ,"f'),',',"::,,':',,:,t':
lt,, .€t.;!triir, .r,
7,,',lr',,'rl',,'r"rt ,Li\l,'
;?,î,i|,i,
r,r'l !'a I
ni)
>*T?'
c

'-- tt(t.,)t/.\Lil.(..:Llclturi.ç,a,1 ._, ylÉÿ,/ t'z )


' --- ' +
.?i lrt .
-l,ttttt.tt(\,1
t't i,,r,t ,,irr,l.i.;; i;i;,:",t,:, 7, -
"e_...-\
=::z ) asSlslunî.\.....

127
SMARENE RNVS
ll avait un géant, et c'était terrible parce qu.il était plus petit que
21t par Barnum ;ators, ir rui avait fait iaire ods cr'àuisllrirIqiàJr..,..
l,:1.:r^tjl'^
c'est
s^i?id_lrg cetui.de Barnum. Èarnrm Eiaii i;;;l;;.
pour ça qu'il n'a jamais tait gàrnu;, ;;ilJ;;;;;ilJJ;Jièi. ,"_
ce _

rD - Vous vaus souvenez de ce qu,i/ faisait ?


- Plus très bien.'.. ra mémoire me manque.... il passait un nain à î-:,ry
g3:^.;^:l^:y".i] d:' qui apparaissaiànt danl J;; àür;;r, r,u. ,*

"I
üI
apparaissair en haut ":!3rds
d,u.chapiteau après avoir été-tir;-il;iàI E:
demandait comment il faisait, car on n,a tot.rjours
me su is de mandé'' i a ;,";
'Ë;i.ï#' #
uu qr.rÀ r.rt n. -
"'ïi:iJ"' J:r:
ché des ras de sorurions, qui routes aboulissaient
iJ :r'ri:|,T
a Jàr-
a toujours vu qLr,un, méme au repas, j.ose
f LE
*.'
-
:;
_ d
o
ï:::^3:^:L.n'en
sequestrait un...". r vev"-uil,I,
vuu cro.:: :L
pas urvr
* Y a-t-il d'autres magiciens qui vaus ont frappé ?

t -les voyant un américain, ruiaussi était formidabre;ir avait des trucs -{


DANTE,

#
tous les soirs on ne savait pas comment il faisait.
- Mai, j'ai loupé ca, j,étais trop jeune. Et dans les ,,moder,es,,,
vous ont marqué ? ii . *r
- Le type aux cravates ;-c,est un type: ii avait 6 ou 7 spectateLr.::1
enievait leur cravate à la file,,anu qr,il, s.en rendent
compte ; ce, :.i
rigolo.

ilI
E une91:l
C'est Dominique ?

::,^!^qlTllly.r
situation
c'é.tair rrès
vraiment comique, vous compr"n..
fort et route ta saile rigotait parc. ;i
i .i.;otu-ii.ïtàve : =

.r bien.....
- Auand on annonce-un magicien dans un spectacle, qu,est-ce que
dez de lui, qu'il vous riré ?
fasse
Non, un magicien il faut qu,il fasse des trucs qu,on ne comprenne
-ce.rveau
travaille, qu'on se dise ; mais comment a t il fait
ç, ttidrn*
:::
.:.fi

Ë sait les gens" On ne comprenait pas comment il faisalt.


- Mals vous ne concevez pas qu'un magicien puisse faire des trucs cc-- 1"
* s'il est réellement comique, c'est u, crown ! c'est prus un
maE!:.*
:::^1..::9]: .o.aTu en font tes.c.towns.... un magicien, c,esr un ry:::uür

0
- - Aui, mais vous oubliez une ch.ose, on ne peut plus tromper les ct_:
dgns le temps à cause des progrès techniques, ils sont
comme ,,iitii-i,
des choses qu'its ne comprennent pas, re irii ai Ài"r;r";o;orer-_n
étonne plus....
-.Puis, il y a cette saloperie lll {il donne un grand caup dans le poste
c'ést à cause de cetre cochonnerie qr'un n;u"pirr à."ir.iair"',ri,o. - ::
,

STTAIü TITUV
L22
: - : -mffi,
IHARBNE RNVÊL§
. Je ne suis pas contre la télévision, mais c'est pour des malades" mais
:: - -r q&, - - i:on, un vrai, le sentir à travers la cage, ca laisse une âLltre impression
:--. r"t, ffi :: e voir à la T.V. La preuve c'est que les gens mangerit en regardant la
Lnnez des pop-corn à ceux qui se trouvent au premier rang et qui
.-: toucher les lions. Eh bien, tânt que les lions seront là, ils ne mangeront
ân
-; "* ":r ' :op-corn"... ll y a une fascination qui ne passe pas à travers i'écran de
:
.frr
Ltlflrflt*

:,.. ':liülllû|fr
:: .' ,ç,
,= ie sais comment dire, ça rend tout banal. BANAL ! Voilà le mot. La
:.-alise eT c'est à cause d'elle que les théâtres ferment, pourquci voulez-
- -: ies gens se déplacent et paient.... Faudra attendre qu'il y ait dauze æ
:: .omme aux Ëtats-Unis, aiors là, les gens s'en foutent et ils retrouvent I!.-
re el
J
-. lll'llllil.illllil
, -- spectacle."... mais moi, je ne le verrai sans doute pas..... I rl

tr
i: a llldlï]lullryl
-: allans.....
'n : - ,üiii :
:: pas, vous ôvez vu Chaplin. C'est notre maitre à tous. ll était pourtant
" . ei puis vous avez vu.... Ca m'a fait un chagrin terribie, parce qu'il est
-l ru, lü{ll
: .:able, c'était un génie.... ll a fait d'ailleurs
.: -crnaissez sans doute ?
' ::s vraiment.
des parodies de magiciens,

x,
, :," imnul
:-, c'est pas sérieux, parce que c'est une faeon de vous connaitre : voir
=. cefauTs, ca permet de se corriger. c'est nlieux qu'un magrlé.... vous
:: lrLrcs de télé.....
m
re
i:d '
m
::tétoseopes !
- - oon Charlot, c'est le meilleur des magnétoscopes !!! pour toutes les
, -5. ...
. :viez urj reproche à faire aux magiciens, quel serait-il ?
- ::: jent tr0p......
' -.",,ns aussi....
- .-,ais clowns, pas les bons, Les bons créent eux-mêrnes leurs
'"' ':'rsibilité, leur tempérament. ll y a nombre de clowns qui ontentrées,
tLy
ffi
4
essayé
- -: 3T, ils rne voyaient faire un truc, ie truc avait du succès, aiors, iis Ne
. -" :
ieur tour, en espérant le même succès et, souvent. ca rie marchaiT
, :: l-e vüus pouvez copier un thème,vousnepouvezcopierdesgestes.
- -: rs gestes §oient vôtres. un clown. voyez-voi.rs, ca travaiile avec sorl
_-: ne pouvez donc bien faire que ce que votre côrps vou§ permet.
. : -rme un équilibrisle porleur, tout le moncle cornprendrju premier
- i',: que j'ai EFFECTIVEMENT été portÊur, mais si vous levez
,-, '.oir été porteur, vous aurez tout juste l,air d,un type à qul onlesa
w
-.'clver dans le dos.... or. là, les magiciens depuis
un iertain temps,
:-- rÊs recettes : le type est en tenue de soirée, il rentre, sa partenaire
- :: -re soirée à 1 m 5ü derrière lui et elle va aller ranger tous les pigeons
tr*
': -: apparaitre et la personnalité du type ne re§sort pâ§, on ne sait pas
: : . est un passant. Chacun a quelque chose de spécial, d,UNlOLj E
, :-: fessorTir ca, alors iis prendraient une identité, rrrêr,e en faisant ie;
#B
- : - ten, ca doit étre très dur pour eux.....

TEATë HÜEEVffi& L23


Autrefois, aussi, les types se copiaient, la copie ne date pas d'aujourd,hui ! Sa-
lernent, ils se copiaient dans le bon sens, dans le sens de l'émulation : :a:
exemple, un typ€ trouvait le moyen de faire apparaitre un coq, un autre în
voyant ca se disait ; je serai le meilleur, si je fais apparaître un mouton. A]x
un autre faisait apparaître un poney et ainsi de suite....
Et comme le type qui faisait apparaitre le poney ne pouvait forcément:,es
utiliser le même truc que celui qui faisait apparaître le coq, il devait tro,,s,
d'autres gestes, alors ca devenait un autre truc...... C'était une copie consi--;
tive.
L'autre sorte de copie a existé de tout temps aussi :j'ai connu ia vogue:m
"rnanipulateurs-américains". c'est à dire un style muet, plus de grands appaf: §.,.

mais seulement des manipulations, mais avec un style décontracté, calque,-r.


celui des grands cow-boys qui font les choses les plus compliquées sans arr::*r
de mâcher leur chewing-gum.Ouelques numéros comme Ça ont passé l'A::r'
tique, les gens adoraient ce style décontracté, et les types faisaient des tr:-n'*
phes. Alors, tous les Européens ont voulu "faire l'américain".... et lè. a
rencontré des clowns qui s'ignoraient.... des grotesques. qui non seuler=1,I
n'avaient pns le style, mais dont la technique même était très inférieure......

- Créer, c'est bien, c'est le rêve de chacun. VOUS, cornnlent créez-vous "::
entrées ?
- Moi 7 je me promène, je regarde, je reproduis la vie humaine. C'est toul \ ;
desfois où même pas.
i'exaqère
Regardez les gens qui entrent dans un restaurant : ils sont comiques, ils acc':"
chent leur sac à main dans la poignée de la porte, en le décrochant iis prenn:-;
la porte en pleine figure, parce qu'un autre qui arrive en regardant en l'air ne x
a pas vus.... alors ils tombent à la renverse et s'assoienl, sanss'en rendre corn:::
sur leur chapeau ;alors ils cherchent ieur chapeau. L'autre type veut le rai-*
ser, alors ii se baisse et son pantalon craque, qu'est-ce que nous faisons d'au:":
Nous les clowns ? RIEN. rien d'autre. ll n'y a pas besoin d'imagination, sE-:
ment reproduire la vie. Tous les gens sont des clowns. mais ils ne le savent:.i
la vie est un grand théâtre, chacun de nous joue un rôle : Le personnage qu cfl
est supposé être dans l'instant, et les autres, vous donnent la réplique:--*
réplique que vous connaissez déjà, neuf fois sur dix, et parfois, la fatalité ::"
mêle. C'est au moment où vous nê pouvez plus tenir le rôle que vous de'a
assumer, que vous devenez comique. Seulement un clown, c'est quelqu'un c.,r
en a pris conscience, toute la différence est là....

124
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&BUt nES cARMts Iilm PARts

126
,r!i
;ârar
oa
5) La main.droite se retire, avec le paquet de
3 car.
tes, et la piêce cachée dessous.

f
6l L'as de trèfle est relourné face en bas comme en
{ig. 3 et replacé ainsi sur le paguet.

f
J0) L'as de pique tenu en main dro r: :r:
la main gauche qui le retourne et ii es: : r
prsce restante.

7) Le paguet de la main droite est alors placé au,


dessus de la piece située au coin extérieur gauche.
La main gauche s'approche alors paume en-bas, et
du bout des doigts, glisse l'as de trèfle retourné, en
ajoutant secrètement la pièce cachée sous la cartê.
ll y a maintenant deux pieces sous cette carte, tan-
que la main droite se déplace vers la droite

1 1) Vue d'ensemble représentant le s

minées à ce point de la routine.

8) L'as de coeur est alors décalé vers la gauche. La


main gauche s'en saisit et lâ retourne fàce en bas
comme précédemment, et cette carte est placée de
la même façon sur la piêce située au coin intérieur
droit.

130
19) La main droite s'éloigne légèreme.: ::
gauche et reste paume en l'air. Le méc _:
pièce contre la carte, tandis que l'inc::
replacer dessus pour pincer celleci,::-:i
pcuce s'éloigne Cequi faitque mainte-:--
est maintenue sous Ia carte. elie-même :
l'index et le médius droit.

t
1^7),Le. médius droit passe sous Ia
LE,ruêriL, presse Ia prece contre
p-ouce droit est ators rransféré
carte et, en
celle.ci (b).
sun i_À iÂnrï
{c,, tdndis que l'index abandonnant sa prise.
Le
s,é_ {ffi,
/__,[-
res.aurres doigts SOUS la carte (c) reioint
et tes â o"iot.
cachenr maintenant ta pièce. lorsque
se retourne {d - e).
ii ,rl" àr"i"

1 B) La main gauche s'ouvre et la main droite brosse


alors la carte sur la paume vide.

21i Dans le mouvement de révéler l'arrivée de la


pièce, Ia main gauche se recule, et une fractiûn de
seeonde, au-dessus de la carte tenue t-'n main riroite.
A ,;emoment, les doigts droits s'étendenr et pûus-
sentla pièce sous ia carte de la main gauche, où elle
e§Î attrapée par les doigts qauches.

L32
-{
Yr\

mm
ET
- : : : I a môin gauche se retourne pâume en 26) La carte de ia main droite est glissée sous ceile
16 -::trer Ia face de la carte sur laquelle la du coin intérieur droit, et également sous la pièce.
3!l1r@llilr -:squée par les doigts gauches. Ces actions sont facilitées par la main gauche qui
ËEm appuie sur le coin gauche de lâ cârte du dessus.
i mw.

I
I
, -: :: ia main gauche est alors placée sur
rri ::-'::: cièces, et en même temps la 3e pièce
,:,-::--:e avec les deux autres. otlelques 271 La main droite s'élève (al et, se servant de i'as
r - - - -:cessaires pour n'obtenir aucun bruit de pique comme d'une pelle, retourne la carte du
dessus face en haut en main gauche (b).

I
i.

1
ffi)B
: r - rntre la situation. A ce point pré-
r, ' : : :: retourne la carte face en haut.

28) La pièce est alors lancée de l'as de pique sur


l'as de coeur (a). L'as de pique est retourné sur
l'ensemble et la pièce est prise en sandwich entre
ies deux cartes.

;-

133
4
ri)il

,n

29) La main droite mime l'âction de prendre la


pièce qui se t!'ouve entre les deux cartes et fait le
simulacre de la jeter sous la carte avec les trois
autres-

31) La carte face en bas de la main drc .:


retournée face en haut sur l'as de coe--
aussitôt ies doigts gauches poussent ê : *.$
ceileci {c} tandis que ta main droite s,e : :
rement vers la droite.

30) Puis la main droite revient vers la main qauche.


Le pouce gauche décale ensen bie Ia carre dridessus
et la pièce vers la droite et les doigts droits saissis- 32) L'as cje coeur de la main gauche :i:
serit l'ensemble carte-pièce et le médius droit tire maintenant face en bas (al en se servan:::
sur la pièce de facon que celle{i se dégâge de la pique comrne d'une oelle {b).
carte du dessôus, et AUSSITOT, dans une iorte cle
mouvement de va,et-vient, replace la pièce sôus la
carte du dessous . l'as de coeur.

33) Le pouche gauche se place sous sa carte fâce


en bas. En rnême temps, la main gauche se tourne
paume en bas et la carte est poussée jusqu'au bout
des doigts en même temps quê la carte se retourne.
Et, pendant ce temps, la main droite se retourne
de faÇon à arnener les deux mains dans une position
symétrique. La pièce est cachée sous les droigts
droits qui se reculent de façon à montrer la plus
grande partie de la carte tout en dissimuiant la
pièce.

1.34
rTt
"Ë[w\
-F V^ 38) Dès que Ia pièce est recouverte par la earte
t -. - z ns se retournent matntenant paume en gauche, la main droite se déplace vers la droire,
::-: le mouvement, les cartes sont trans- abandonnant la pièce sous la carte gauche et ies
, ,r , -:': es index et médius. 2 cartes sont abandonnées â droite sur la table.

j2a I /** Ir

t---§'\
: i
'7t
-::
-: ::
Y\
1e Ia main gauche est t)ansférée en
ru-'
-q'\
: l'index est repassé en dessous de
: : -':' ia prise de la pièce. \.^
39) Les trois pièces sont alors aiignées grâce à la
main gauche, tandis que la main droite se saisit
de la carte et de ia pièce.

, - ::.chevientsaisirlacartesouslaquelle
î ," :: 31eCeS
cieces aU coin intérieur
au COtn tnteneur gaucne.
gauche. La
r ::.s le même temps, baisse ses cartes 40) La main droite apporte !'ensemble carte et
drir - : - i is louchent la surface du tapis.
pièce vers l'avant et la 4ème pièce reioint secrète-
ment les trois autres.

irr :. ê main gauche, dans le mouve-


î r i i' es pièces, recule un instant et
,,r .: cartes de la main droite qui lâ-
- - - ^::^^
,Fq
41) La main droite reprend alors l'as de coeur et
l'as de pique, puis la main gauche reprend l'as de
coeur.

135
ROUTINE : SHTGEO TAKAGI
DRAWINGS : Tom Onosaka
LAY'OUI ; James HODGES
Frorr Shigeo Futagawa,s enqlish :-.-
COPYRIGÈT U.S A. :Jeff Éusr .
COPYRTGHT France. SFitCEC -:. -

ll
tti PETITE NOTE EN PASSANT:
ll faut avoir vu Shigéo TAKAGI exéc.
42) L'as de ptque est glissé sous i,as de carreau
roulrne pour se rendre compte à quel s
race en bas, âu coin extérieur droit, tandis que
l,as gst nensee jtrsque dans les moindres
de coeur, pciur aider à l,opération, ptrJ; àUË uenatns mouvements qui reviennent ;
".tle sandwich
Ie corn tnterieur gauche de la carte et lors dans le courant de la routine, peu+
ainsi formé est gardé en main droite.
blgr de1 redites-à un eçrit 'ï
meme être tentÉ un instant "r.onI*
de vouloi, n
fier". ou. "trouver Uàs enctraineÀe-s
9ourts... de grâce... s,abstenir...
Etudier geste par geste, sans rien orË
sans nen rajouter, Takagi est un mai=r
gestes répétés sont voulus, il
en tire qi.:rr
cornmê un rythme, comme un refràii
t_..ur finit in_consciemmenr par Ë
:p-*'t
La routine est exécutée avec une ex
brr. parfaitement voulue et presque
C'est une routine o.i"ntaf",15 tà,i;; ;;
pS,
îu premier plan se situe le' bajrq
miracle,. !e voyage n.est finalemenici .
Vgus pouvez penser que je vc,:s
l::{te.
ou que je cherche à remplii dü paou
pour, vous convaincre, il est une
43) La main gauche se saisit de l,as de coeur pour méf,d
simple : Takagi est dans toutes les rr
tape.r sur la carte face en Lras, puis
,u, ta carie 'uons magiques importantes, et de plus
restée sur la table.
il ne se prend pas'pour le nombril'du ,e
vous. le lui demandez gentiment, il v+r
routine.... et peut4trj même diauuJ-
verrez alors un style de travail. une c
faç.gn"
{e mouvoir'les mainil.it n;#
qu'à lui... et que vo{rs aurez biin du
ter... mais vous aurez VU quelque ct ce
d'
la-première fois que Shisdi;Èùi;
donner ses routines à une revue magio,rr
sommes fiers d'avoir été choisis"

14) .t-'rr de carreau est retourné face en haut sur


,a table, grâce à i'as de pique.

!v \;K
46) Toutes les cartes sont placéei à jroire et les
deux mains sont montrées vides des deux côtés
pour terminer la routine.
45) L'as de trèfle est levé pour montre,
tion de la 4ème oièce

136
z- t'

-i :T. tr,"

i :r* :

,':;-ri::.1 ? n:i:; tj'll1l ti:-iar. a:i: iliii


' ::.'J irli:.:- '"'aL"
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-: : la n ,:ci::
",:,:-r:,
-.;:i':I:l !r!!:: ti'i lri':i-,!:. lalii i':_lÜirr
^ 1 ::: J''
.'.-,...i,

rj,:: if,!lr:::i!:
i

.-,:t,:
.; :;
*g@
MATERIEL NECESSAIRE
Une baguette magique
Deux balles de chopcup crochetées
Une balle crochetée de 5 cm de @ pour la finale
2) Le gobelet est placé "ouverture en ba:
Enfin, un gobelet de bois. ment ver§ la gauche.
Les meilleurs sont ceux qui sonr tourné dans les
sabo$ des chevaux du même nom, et tous ceux
qui un .jour où l'autre ont pris une bonne OOcÂ"
peuvent le faire tourner dedans. Faites appel
à
votre imagination : Bro Hamman a fait touiner le
sien dans un ancien pilon. Vous pouvez également
I acheterchezJeff Busby enr. ,l33-l 7th st. ôakland,
Calif: 94612 U.S.A.

De toutes faÇon. la routine mérite tl,être travaillÉe


car, comme vous le verrez à la fin, elie se prête à
bien des développements utilisant O"aut.e' ctrose 3) La main droite tape dans la paume ::
que !e gobelet de bois. gâuche avec la baguette. et la main gauc.i

me sur celleci.

@G)

t., 4)
.La
main gauche se retourne paumee_
la baguette, tândis que la main droite s;
vers la gauche et vreÀt produire
G ou Dout gauche de la baguette.
la balte :

!91mq
TAKAGI,
le montre le ravissanr portrait de M. A
/t
vôus meftez
f§,
/u
:

- une petite baile dans la poche droite de veste,


-
-.
la grosse balle dans la gauche,
la 2ème petite balle est à l,empalmaqe des doiors
droirs et ta main droite tient égaiemeni t.
- la main gauche
b.t;;il;
tient le gôbetet, tr"Jli"iirj
êh
//,f)§[p<
/\.ffi
o<§\
,--\t
-.
vers les spectêteurs.
YlI =à.Y
L'opérateur est debout derrière la table de close,up. La main droite laisse tomber la ba : rum

l/

i) La main droite tape sur le fond du gobelet


avec
la baguette.

138
fT i*

"L!î tütÜ 1_1),La ma.in drotre va jusqu,au gobelet


riilrLL:-:: :st placée sur la table, tandis que la et le saisil
en r encerclant entre le pouce et I,jndex.
| "; :: : i la balle entre le pouce et l,index. est alors levé légàrement v"* t,urrnt,
Le gobelei
doigts droits reiâchenr teur prise
i.nU-; Ë;;;;
, r. À.ffl?.li
b sous le gobelet.

^
I' -"l.,]itnrll

:'i te plâce apparemment la balle en


itil.. :' ; : , ' se ferme: il s'agit en réaiité d'un 1 2) La main gauche repiace la bâguette
sur la table,
l,t: p!'end !e gobeiet â Ia main droite et le repose sur. ia
table.

,/z§-
Ôê\
qv\\
I

13) La nrain droite prend la balle

:': re prÈnd la baguefte et en introduit b


::- s lamain gauche encore fermée.

Ncuveau taux dépôt en main gauche, batte


J,4) à
I empairnage des dc,iqts droits.
..

Sedg uul

15)
.La main droite se saisit du gobelet et le plôce
sur la main gauche qui s,ouvre au
même momênr
comme si on venait recouvrir t, t.ff.,
,.nsàe àtrJ
.ëuche attrâpe alors la baguene au contenue dans certe marn {a}. t_, mrin
ÀÀr"r.i
:,e la balle empalmée reste en main s approche de la table er la main
aroite taitïtissei
l'ensemble sur la table (b).

16
139
t
T,
a"*---\
7v
v7.6*,-
',Y \
21) et la "lance " dans la poche droite

[
f,
.]t
16) La ,nain droite abandonne le gobelet et prend
la bâguette, retenant la balte'a ft.nouf,"aô J"i
doigts. La main gauche prenci le gobelet par iJfraut.

22) La main droite retire ia balie cle la


que la main gâuche ptace la or: - _
:1n:1 bagu.:_.
table. en gârdant ta t:;lle er-npalmée.

"{
17). Le gobelet est incliné vers l,avant,
et le bout
de Ia baguette est approché c* f ,orrurü*,
po*r en retirer la iraile ,,maqiquement,,. "oiËe

23] vrsihte est passée en marr


aussltôt la reptace sur i orifice du oo,rg;:_:.:
,!a ?artÉ
-= _.
prélurle â ia pénétration d" C"nàiiiïii..
dans le Oai Vernon,s book of maqic (u. .
,j,
pour une description plus approfondie :,,

d: : :

'!8) La main gauche repose ie gobelet sur la table,


la main ciroite déplace la baquette jusqu,à une posi.
tron perpendicr.ilêi.e au bord de la table, et te marn
gauche s'apprcche de la nrain droite.
241 La main gauche encercle le has d_ ::
\\ ê .b(\
'r, entre.le.pouce er les do;$ls, et lc poing c.: . ,_,"

\\ \\\ monte de la petilp haile est ptacé sur l; .: -: mr


gobelet.
i§ È?- c

t@\I§I
,D- §Y
19) Au moment orr les deux mains sc
main droite abandonne l" brit.
rouchenî li
geant ia bâguette de main
;.;;i;;;;;;;;;:
{a - b . ci. 25) On amorce alors la passe de Ch. lr' : uË
point droit s'ouvre tout doucement, de fa::
§'-.
§{'v- \
la balie s'enfonce dans le poing.
:l$p

\-\
Y\
20) La main droite fait alors le simulacre de retirer
une balle imaginaire du bout de la baguette

140
ffiq^ sfr\
_ T".
it

I
- :: moment précis, la main droite se sépare
":t:;, tandis que la main gauche le lève et
r -:if en même temps la balle qu'elie tenait à
-: -:ge des doigts. Apparemment, la balle a
k\
11ùY
mri : fond du gobelet.
reGtsET
30) La rnain droite repose le gobelet sur la table,
prend la balle et la loge dans ia poche droite de
veste.

/5\
LI
\_--,l, ,

:: e replace sur la table" tandis que la main


: :-rpare de la balle.

.t_.--o2
,/:.>-)
<,rt/ 31) La main droite ressort ostensiblement vide de
'. la poche et fâit un mouvement de lancer en direc.

-r
7æt3Er
Y
tion du gobelet.

lil . -: ::iie est alors placée ostensiblement en

6-
32) La main droite lève le gobelet révélant qu'il
é '
n'y a rien en dessous, et l'opérateur regarde intri-
gué à l'intérieur.... {attention. à ce moment, de ne
- h) pas montrer qu'il s'aqit d'un bloc....).
\'È.'é",
^lJ
\'/A
t./ ml.wer
a
.ill " ' . : coche, la main gauche abandonne la
,r
I :i : êt se charge de la grosse, toujours à
, - i.:: Ces doigts.
[T]ri

. ; .- :E TEMPS, la main droite lève le


': âche en même temps la balle qu'elle
,mr " :-caimage des doigts : apparemment la
I - j _: .1 poche réapparait instantanément
33) Soudain, la face du magicien s'éclaire comme
s'il venait de comprendre subitement quelque
chose. ll passe alors le gobelet en main gauche,
entre le pouce et l'index qui enserrent le bord (a)'
La main droite donne alors un bon coup sur le
fond du gobêlet et, au même moment, la main
gauche relâche la grosse balle, comme si le choc
l'avait débloquée (b).

1f
l4t
34) F..aiæs.alors une courte pause
qur vous étonne. ce n,est pas et dites que ce
grosse. boule, mais
r,rpprriii*-à.
'uli"iià
pturôt qr" r" gol"i.i..l.
bloc de bois,.... Tapez dessus .r"i f, nrgruaau poî,
le prouver.

:.?:,,roilà1.g?..y est, on a respecté ta routine retie ROUTINE


r'avait. décrr te, mais
:ï,,:"
qu'il neTg]1,],,llr:
s'est prr ur.eiË'rJi":rc' 'r'or§
savez'votrs
savez.vous 1) Sortez les pièces de vorre fouille
zl Ultssez-les une par une dans la fente :_
ou.s
_p
u, s.
i i ri * i., ..i Lr'[ïi i l,l iiî"""ï
r, nant la.manette située sur le côté : .
.,
"2 . ", passe, c'est que l,appareil
sr - :r
,TXi :,i lï;,:1,;,; ".."t gy,l }Jdi*:i;
lij{ff Takagi s,est fair tourn-er ,,
merveilleux X
tre des pièces.
est vide ; arrê:::

qui con?ient Llne il;i;;;; c31tre,,si vous entendez un


lo_,r_:.."u*
un
ceuxreme grosse balle_ lij-ai
dans Ie bas, c'est qu,une boite vient si:_:_:
ouvre- ce gobeiet à un des raccods-Ao,
res qui faeitrlent sa préhensron. Hamassez-.la précautionneusement,
l:
mec:: - i
coup d'oeil à l'abiidéceint,jointutex, L*i à",ii,"irî
"rn"trl volre poche et continuez à jouer
et vous saurez gagnez.
tar::u
E1 maiîrenanr, fasrensie o"fr,
::r-r.
ça marche.
,"i"i 4l Rentrez chez vous.
"oï"i""i
Vous faites votre routine tranquillement, Et maintenant écoutez bien.
jusqu,à la
]'n'.PYil vous reolacez la grosse brll" ;'s-;;;; Videz le contenu d,une des boîtes, sur
3j,ll 1:,r_::!1",
)dr5r(
bien.au miiieu, puis la main
droite terie pour la décaper, ou mieux donnez"
v:::
re goDelet et le tient ,*nicalrmenr, trndi, :;
que l'opérateur s,asscit au mônilarkalbaire, et lavez l,intérieur
s:
ment-
ll_-estâ noter que le pouce ei l,rndex
ororte encercienr le bas du g.U.trt. de ia main lMettez
L.irq; *iri*i ,dans
votre valise de close irp ::_-_
environ à ar_ausirià;l;;Ë,i;
cm vroe, ptus une boite pleine. puis reo:_ r
:^ljoryr S
marn gauche vient rejoindre !.
l. sobetet par te haut. ,"i" l;;i;;, ;;
:.I1:?-. ie pouce Dès qr" t, p;i;; es;
1a113s
mdrs
aanl ;"-' ;;;.;';;;:" :i:.!::,"
remplacez la brosse balle par un
D:- -
-im
assuree, droit liqueur. A
i'occasion d,unà autre rour,^: :":-
ra uail"' po,Iile;;;; donnr un rapide coup dans
i"J'i:' Dortp vrde et retirez en des petits merdte_:
:._
aussitôr re s"b;;ïà;;
;îil:
iîi,,J,:*'i;;3,,
balle a eré "absorbée,.par le gobetet.... T vous seruir à l'expérience : trombone
: ::
serPentins, etc..., puis ranç:: ;
::']:?::'
ostensiblement vide dans voire valise.
L'opérateur marque alors une pause,
puis ouvre Ouelqr.res
celui-ci : la batle est à l.intérieur,..,..;'O;;;r;;;; instants plus tard, ressort::
comprendra comment elie est - " pierne, ouverture en bas et effectuez i
arrivée là...... routine, jusqu'â la production du :
quez une.pose, retournez la
verr. ,-,
Alors. tout ça, c,est bien beau, bofte, désc:*-:lri
mars vous n,avez et versez.le liquide dans le petit verre.
eobeier de bois et. pow air" t.; S,
1t31de eu,t tntellrgence de prendre de la bière
i:':::::.1-::'l:
l,ii""Tîÿuus
q,v,J,
";-;r,';;; détrordera largernent ;; ;";", étceen:L:-l :
"o'"*uno,i.ÀuJË;$;-:
eres rurax parce qu,on vous a fait per-
clre,un ouart d,oeui. Et bien oe production . .. et Ia maltresse
pas
non, f"rrn"a,'Jtît de ma s: -
dans le cellier pou, ct.r"r,uiïiJr;;;'._.
le câs
I accompagnez eR vous excusant,
vous fermez la porte au verrou
pu s
:._-.
fli:l:rorror,déjà vu, par hasard,
détivre te
des distributeurs de et, si ,.:,,-:
p.r: l?R,...!1.9._... eues<ondit ? üerc ,i,
1-o]j:3n cotacot,que
metallquement cylindrioues ,
àr;; ;;;';;il: MARTIN. LEWIS, d,avoir .utoriré
vu ça. Bon, et bien, achetez-en
Ori ,;;;;;;;ë;; cette mod;lication.
... ,
deux. pour --.'",'" *,
êcheter
ilTffÂ,,.#,n%,Èq.ïïff iou. Ebben-lemmec, jekroa. khankor
1n1n",, une ic : :n
Du pognon, sous forme de pidces de vous. Ators, soyez sages :: s§
de I fr. !:rj-.!r.,
meriier le prochain numéro......

742
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rour ce qui sanssi. er n, <.rn a.uair draguer I.éminerte.
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LÏiTil ;'iii i;§l ï?ï;'"#:j;]Ë;;;ii":::fffi:ii"i:X:::31ï
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uül*;:::*l:f.i};*'f**iiî*.,1
côk! : qu'ava* ér€int qu'avaft mis roures
***rffi[l:
:.-'" o.r, ou,o[ïï,1,^I^'i*-ïJ,qu'avait ]es : -.:;
,i
ilÏ;riTr:t'rï$ifi'"n'.ltr"nt. v-riï.'"â.queYe-d'hali' nià*u r,irrni * -.

*r,i * +que*".iïffi#},î:
Prûposez du :ï"1"ï
poÉanr
? i- i Ï'l'i ;'Tlr'uiîj rr""""lli:' -
er rusrem.enr j un u"nî..'l^-'r"o1 a;,u-"u'à-:;irï,"ïiâï;ï:'":ï.::lbreme. n. = -- vous
vends... a* u"r*il".,T]'; 1". qoil de riz. Et
ugrs a" "'"rt
p*"iuî"i;'.:iki:i,une
Ie coup de bambo:r r"t obole-:---
,ir'"":"lt"ilpas jutt"r.", :
rez en 6onc une paire". .r,is-
vendsa6750.erpuir. 1."-J^în 'io"t."n'rà.iu'unou€tteIvousquin'""'put,r"üàr..,'-
eniarronpoliàra*6.,-Ï'^19"t"'t"*âdàuJrî"avecunec,lottedumômeméti'--= -
*;# *îr r :i' *tî* *ïi,i,m H6
arors quoi :
il{1 $ i.î,
rj"{ftH-
âii:#.ïilfî,rji, '3uî î:::e ivanr qrür" ,ïi.r's'
qu"* a' tiàt"ri"i"-{
pu changer ce -ru* uïe si berre ri-=
Pentar' r' ot"î,.,-t
meme pourl'apponer.;iÏ",
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pouvez tac;temen, no ""r.:o::i1?:
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un cadeau : il s'agi, *'' ffi
de cartes aviators' soit ce
st"lt des fako...
io,rl! Ï!fu.'''o^."iiurn;î"î!
;nronreiirii""ui"fi',1il oas les cartes truouées vous
s, vous aiez ;^.d: ?:,
1::Ii!":,î,.au çuttttdtre î;î[J];,i;i!{ !,:::iiii"T1':;,iT,i:i#iilî:"r:i':"^
c,ntraire sl vous evez des gomme$es. - - "''" s!61qu ut' GUt 2 reÇç
"a"i',,'i,,'i)â['"!terchez quelqu'un oui a reÇ;
:';,";;:';.:::7,::J::';:î,,",::":,tuarcmiii
tyiî:";*ï,;ijilr:j,ty:ï;#::':ff
peut
ott ne
,tlT:iT:;;!W:-;;'îâ::;:i!:i
si gouiouÀ ,""r'i"rurout
tnvtte pàs' vous
ave? mal
pas de bots
pas ailer
si i!vous
purtour.. "?', ' "n,avéi n;;;;;,;;,onr;izi;:.r:;:i;,:îr:r:!:;i:,
150
ruRtEFFtæÂNtVtR^iltKt
Dans le courrier on a reçu des tas de réponses au puzzle carré que nous avions
mis dans un de nos merveilleux nurnéras. Notamment Francis Perret {Suissd,
Thierry Lamandé (Mennecy), Thierry Jacquier, Porcell, plus quelques autres ;
qui ont oublié de mettre leur nom plus tous ceux qui sont arrivés trop tard, et
plus Vollmer qui a triché, mais camme au loto, nous ne publierons pas le nom
des gagnants, afin qu'ils ne suscitent pas l'envie de leurs petits camarades...
Camme vous semblez aimer les puzzles, nous remettons en jeu 3 abonnements
pour 1980, et seuls compteront les solutions envoyées par la poste. Pas de
solutions portées à domicile en so''tant de chez Hatte ; c'est tricher, par rap-
port à ceux qui habitent Moscou... Dites pas que les mecs de province ont
moins de chance que les parisiens, c'est tellement la merde à Paris que les
lettres postées à Périgueux - Bas-Rhin, arrivent touiouts avant celles postées
à Paris. Voilà. Eklemeyeurgagne...

"Voici la sotution du puzzle, car i'espère ne pas payer mon abonne*


sachant ce que vous faites de l'usage de notre argent, ie voudrais vc-:
l'infarctus au I'attaque gui guette sournoisement et sans rérnission le; ':
de films porna et ceux qui mangent cornme des chancres dans !es c' '
la capitale
J'espère que ce sera le pius tard possible et que vous continuerez enc:-r
ternps grâce à votre grand talent, à nous distiller ces petits chefs :
dont vous êtes couturniers..." (PALANCHINI)

bt
urzr,-I: DtJ IT"îOI t

,1./-a
È\\ \-a ^


-*r,-'

Découper le drapeau suisse en plusieurs morceaux de facon à obtenir


un carrÊ
parfait. Un abonnement aux deux premiers vainqueurs.
En cas d'exécho....... c'est cerui qui a fait re nroins de nrorceaux qui gagne,

L52
U, ;ttrrJijir€ ''*.r.îr;;+t"Cil;:fl":'t-:rirjii:rii,-:t:-:ii;rrl iii:u1 i:,;jil!s.t r.j*ttl il-
il
iiliiltut
l;***;'l!,r,'rl. Fr{*rei eT br'"çc ! i *' nrdset,l* üûit*.ixtril:el-:î* dr:u;:l-rT
r[, rl
ilMti ,.ottl ie r':;lg!*i*ns".. !€ §Li'ü€§ f çt îi'!iâi tT ;ert'ilil-'l i'l ÿ']:e rrr pni:oï'-:
i ,

.i.. tsien ieit rq:ur ielr gir*rii*. li: i":'*vaier:t qi:'à !irr l'iar,l'ft'1;:ç;c.
lt' ,.r;;-r; j;tr11i;1:i!1 Ul-1l.tt rjistiii*r Til'rirt {#* j:i{t1I: chs"lj r"i't*lvr+; ii*'irT
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,f"tir'
.. l;illill ::;' j-i,,d#*+ r1;"ti avait cu i'ittée aJs r:srÊÉ eÂ{j"üqlt#r*+ - sÉ læ il*rsç':;
, ; r*fë# sei:a§r{!.:}. fair* #reav* rl'll:re pær,e,tü$, ":-.li;'f rreitr:e ;*s
i. ii.,i Cü$nê/S.S#t#rif p.âS".. .4lC,rS r**ffi;i fçr,,s, {ii 1t.t:::ir.ii. i ç94e t-;':;
'. ri.J 1.{3# i*l,rcs. &:fal.t çl* r.'s:;s a $*i i! QË {rr,:'-'i"a r.rt.'r ir
'{§t.ü S#:ï
.,,l1iii ,,,.ç /if*rl-ffeÿ.,c. §e ,çré,',"'ir si utt lcur un* g*tttiil* :i*;n*, qui r*t.t-t
,,1ilt 1 .,t-:'i't;î? tk {i$fre ç:;ine vt:us *ffre Je,ç Ôor:&$;-i;l *f e"ssilie Il* vrtt:5
a ]t- h - ::ë.;.1:; S; l'O;lerl* .' f,:agf i:*l; ÿ eji'É.r i §;r113; flltgJ !.'::'llâ {i't1tÿ-iï,: !'.i;t:
,xfi, ' ,.:..f'rfae/ ,Jfi rtâversât?{ &,æ,t d,*it.E l*s tlr:as. Si,il +r-i #§s.?lri ils t'tr§
I :. !'tr{:t. 6rrj-g5§iiJ-ÿ#tr.5 'llr ,5es+.,r.'.. ;ttl {!i*. r1i;i f:-:il i.r.+q'sJ:t*r Ji'::
.illflIl
ilil , :i-:r'r,5 lds+ ;lsà*s....
. j ,. i,:!at t:;p*liei,t;* dU *;C, à l'Lli:;-li Li -I= j ;i, 'U pré,':;':l-;1*r &'l rrii-iZV-
'' "<a':lL'rlr, iri i,frr:,liæiE Sil'"-'i;':;1:{:}Lr§ i.l*i'1/p-? r:e tjir* :: i.'*5i r:ii'.'l:li
,ol :.. { ::ir i:!a*i1'**e i" {i"LlLiÊf'"1-*{.lilÉi
rlil ^'.:51 :.;i3i171gv1î r.t* vra; r:;:t-t!..

1.:t ir+j ";.-1ij5 tlire rf;mbler, j'::i al,:--é i'1 ;rçri':"iillir;Y li' €{taCiÉ ü:.i*
, :i;i,li tl*Lis ê (Jt{ctt de*;eirr*re : .-lil ï.-r'"i:: t'i:! rÛi:iiniis:'}
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, ',;iq;7al*ns J I'lü{/ÿf;i{r',ii iülÿffS iiË Si YT::ü!. i ;.:;;r.rirrx
-)ah;Ji{ts fluJ--idrc$ ôi* ,'lr'afj. fgs llurs n'urit lti5i-1t:';: ;;t;jt-;*rti'htti
''.,i1* i:t.t!:!it:aiir:r; ,:"/*l.r *#t-i,|îi li\irË iii ,ii!;:urîti,'#1,'#-' sf i#itir?f
-::;f,r1,*ie ;l fe:i.r {;tti î{);;î i'ûr;l illl,'?Il#ii{:8.
.i aai,'?,"es tlu ?*t' iivre tj* clt;se-til-".19 ual.s lgs 196t,i,':t" :i!] ji)ii/ it:/
:,iairlr:r;r#ni r:8r'f*$iIaii,iê's. J'*l e* 'e îïjû;ï1û.,! r:; ÿi'-,1tt ütt
ie n'tas rtül8s dû {;ûtl!éïefi{:e sl;r l*s cûrd*§, qiii tl*çtâii: 3i,-îl:!i'
'at{* piaqii€tfe r:or:;s';-endra l'ericfurage #-s t{ei-'.c éril*lli;i ei/€{:
-'- j
i F.-
:,,:qlr**s et q$€ 7'era,'s rrre-;nl:'t! !*x tiu ecrig,'ds rîç V*rsatl!*t, it
..1-,-. :...
'-.,ôlr, r;r,ri?e rtrui s'a!!';tnE*, *t d':ji.!îras i:*ii{5 r';';ilf::.i'**irt,"e;s 4,,r1
i^;i.: *Ardr:it ii!
':i1* o;:réfrerlr:e,:3u sac à i"*euf. que j'ai vrt pritenter ai! T?-r{lr':}'
=-r iL;r, ;* vtt',;rlr;li-r 3;1v..;!r §,i on utiiise u* c*l,ti Ilü d*t'll s--tui*t
irrt u!: rlt-' 1* ilriche !" iF i-ËUR.Ê'i{}{,lfiF" }
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I i],tr
''J'ai toujours
arrrant de plaisir i lire ler
articles très bien docunre:::.
iiËÀ-iy:il::,J,]". ," ri,r"^i'q,"'i';ï:;,ffi, â rames Hodge: À
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"'ci-joint une chèque


de frs 25û renouverement
vrasrc avec une perire prime de mon abonnerne::
ârir;;r";;;T;!iâ**, ,,
{I-. DIOT - C:
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RF,PONSF :

Mercr belucoup. rnerci infiniment.


r.rrcrci c,ncore.
lttorrJc erair inrnme uo,l:, ,,. .;rrj;',irrnl.i,o,,,*Ah
un
vrainrenl
v.us avcrir p*;;;; ;", abrnnds feu ,r. ._:
r\ous cumpr()ns fernrernenr 1., _

::
l,année .

"Ci-ioint mon réabonn".Tg:t.continuez


pr\se par la rere ' r à dire
""' la vérité et tout;:
HERtsLl\ f"i"niià*r." --r
Lt,tlnrac.t*r,t
{VtSOt{ry
T,Fÿ\Ç.t{rY utt€
ü*é de réussire pour roure l,énuir
?ttntt-t ar _|l*ill"-:r".voeux
«r'i n,c toii p:rrier-.I.oîcenenri. ;;";;;;,' .lr.ri"n :
fl,€\çR .. ,;;iîiil',i,' r I
fTr:i* i;;'J,i:.;.,oi,î:î:,- i,r"" -
er r;;d;;i.-,.
"i-iài,"iii,i,l :;
"Pour nra satislactiorr
nersonnelle. je désirerais salor
ner lcr iJimer!ci,)r.!\ si vous pourc: _l
"^i"1;;:-1J;;;"piir';i;,i ,r. , r..euf. J.ci i. : .r
faire, j':rinrerais riuanrl--*9-"'"' par.Ëfi,,il,"ï.
fflli;1ff::1r,:"jiji,=grovi, savoir
*j Dlen
t'' Irrrrarl'ul' e' crue je
bien que rp, ,.
ie ne ve'.
.innr"'r i-'i-Ëünilr'ffiiî,1'*n'" si vl,us poüvez nre rtonner i..

REPOr.r-SE :

'Lr\ilns !oLr\ tlonner ies dinersr.rs . elies varienr a'ri


L {Ltt ttt üÿtfi I',ï;l'ià',:.f
A -
YN du*r«r
"J'ai pris berucoup de,plaisir i la conférence
merveilleu'r ûve(' de !'nrrlinrire , Hl_..ti,ëÉlX't'l de Flip. !l réussir : .:
i,*r^t ,
Réirons* : poui les confërenc-es noirs
laisons de notre mieux. Ln :._,.
se passe bien. Nous rrnnjr-...r,r;osnnran.
confent. i_l;p,-Siva;ni, et tout le mr
Nous en avons pris {i,autres por. _:
irlÀ'plaisir â tel ou tel :_
sent des circrrirr et nous avons parfois'été,i;;;;;...
lnurrle de Ie cach:: n
tt v',
;ïinJi,i:,",I*T:1. ",' ".unn,olnï[i.rqr*, vareur: süre: ___:
"'Pennellez-moi
de vous remercier en bloc. pour ÿotre
Ft.r l+u t(,Éustttt drllicarerre. concernanr l* Ntu;_;;rù" g,;T. Ëi, parranr dugenlillesse:.r
dessin I _,u
56. j'ai vrairnenl l'imnression-d;";;;;#;rfr'r*
arnver a urre teile réarisarion a rrù ,ourin". er le rrar:_ r
so tticire o de'oir la
être .oilriierurr.. Je suis fier d.:..,r
réati sario nli ;;": :i Sùiiôi
prris- r.

REPONSE :

:;)il: :li:,â:iiÏi::}.:J, n",I]ô tes. on r'avair demandé, parce qu,on r .


mais on dtait presquè,o.s,i'uoin..
l
nous dirais non"". er
orirhiiJ]li"t' -

:lii,:,;:,u"T,:::,r;ïi,:î1,-v11f1s lans ;re-*i;' comrnerce, onr rous ra mêm:


[1 #J',1: i ;:,,:"]':1d::,'j":
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teur conseiller tle faire de: *,
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::,:"^.::-1i"pu'-très
il* ::ïavec ta raille
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;eü1ËË;:#ii:ïr,ff,bï ;;;;;;;;;;;
§"-Tg*".*,:".ulement I,52 m. ou :li
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fô un_ Fl ilkLtr1.(N( griva. de là
gri'a. pan t\turkatbit'.
t\lurkalbit'. r Duo *tl,l {.;i;'il;;;rer
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ceme expérience a:
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C, v ?tpo c(
ô utt(-u( :fll ÿrN
FLE[JR_,tiOClrËi-^"
l\iôàïË,:

15,4
Dc Pasral BOL'CHE
5
: :.tn- rllru, ent,oie une qui rrt'rst t'e,itre {rt'rtdattt tttt.'J? tites.!ottgtt.'1
1i-:1
ferite idet
qffitt]t,
'''
- *lilr rtfitt,
t.ir'rrri'àir-i2â;lrrioo Llorr,,prr,,,i, : ttil lnt' ttt'o'!oujours tnt pr!t gë1tc 'lttts ln
'i,ritr
ri*lito iltë»re sr e!le ô cst pas tnarti{cslilttent trltqute. e[lt cst itttl'tttsil'le
antener co??tftre un
'iios-tt'nrrrrd.
à obiet usuel..^/...
lour lrs i,'ttttttet tt tîs:{i,1trctiqilr:;ir
cbef, t! i.risre rrtaittttultt
,:;;,;t-;;;;;; ii,i'itot,trt ,les!inees à ttttt'te Jl pillt'l':' 1.rr lt^eitrs tutt! 'llr)cr:
pt il sttJiit
'r;;; r;;;;,,;; iàli,
',),)"iiii,irii, -tii,Oubtepi"n" atr trn t:rttail srtr lt'(attLL'rL'lt 'l'ttt' 'Iu'''r'//r'r
-l sur la uatre pour i'n fairt uttt: ltrtirt ,lt ptllult.s ^\..orrl'
rin- j,iri,i-à lui. ldtts ure routiie dottt ie rte Jicrirni ttt.ettt(' l'ùi !".e.iii t ar
ilt, ir',,,'appdrtient
-io,,, pns, exlllique que ces'hoi.tcs sorr, .trtilistits p,ar l+'s l.'arit;-
'r"ir,
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'riiiïiiiïr,-iiiîirt
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trloite. iei t itltrles et la ,r,o,trtat," qtt'Okito J,:tirtt'it l'; i'.'tii' q'ti furtt rÜjt r:!)ttl
L tela que lt's tottlir,P'\ dr' bot'î''s OÈ:ir' !rop jt'tr.?ttt' \atti !{titlt)t;1\ t' ;
"rt Itou,

.... an *atiue dans le cûniîtlerce ,1es pctitts !.,ttites dt c,;cl.ioi:s "I{I[.'[{}li)5


boitt:s Cnttittrc tr,l!,.'-ri r.liP. l i ! Ct {t;rti"\ ,g,Ii{;fi }(irll /','.'rIi'r. i ' '"t't'
.l',:rr.s ,/eS
,:"ilf" ..i l,ot;tbr: r't tjs,ty,i o,tr ,ilir,t,ic,/,'\.§rri. il c!'trt,r, ,'l ir's it.t:t,Pt 1.tr;.!.'tttrs
,i/,iïrt-ri,'plt:irtattr 4lr cartrerc!*i'.cc tiess{next {' 'i'1i i'11' o'l'' i; hnite ': deui
frt.tsiiiotts:
' r,,ro
',i,i,, rr,rrit {nutrt JottlL.r l.t I'oilr';
(\..ttttt}1.'r
,"lt,ot'!, ltL)ttr !?', ïe l()ttr1?é'tlte:'îts de lç boltt dllfis le crtttt:trtle'
I.t ltai-ît: elletti)nte est blanrhe et P{:iilte sett!entent iusqu'a i't fiiche s.itult stt;'
le tlessiy. Lt rcst€ €tit Çûÿleilr tnét*!. Pour que !e tetÛurtt{:tttefi! ltùsse trrdPeY+'tt,
il lattt 7"t;ttctr lc l'titttttre stir L'!'or't (l l" {"'tl'
{-}"'itutri t-titrt. ttàttt t:!! tttt'ttr''. 'rt'tir.ti. l':;.'.t't!)ïii.ttllts out -hottil'i. le Jbttd ii"ig,2)'
'j',-,'rii;t,
iitte'ftoite ;tzttî -l {t)r., a!1'.1(t !1"t t.ittti.i'il ilroLr;lt' trs !}!üstiq!rc, titt tj'.i't
lcs tttatertr,':Jlt:s
'ij,r-i,i, ,;r:;c !esqtta!les tti ,,p1,ri,tt.i :r ,tc,tdrt i,r rtttttsttçie iiri;ts
i;";;tir;
,lrryu,n cl;tcl h'athsn ai'0,"/.,r:z P!,ï.\t-.ieux. tut;it ci.trtctrit ÿeut. ÿi{)r..t!tr'tiiitt-
utiliscr le s piice s qu'il 'ocitt. . i_.... - ,:....-.-r.j qtti",tppla1u'i
-..; .^r_r,...,,.:
';.::,,:,, riri i'iitot r:,t, coiti,{,rtt stir uttc i'oct dt ca*utrkttt.tc,tittt':tttti.
i.-tt''-,i,i
;,:'r-,,,,!
iri,,ti, lr'}'ottri t,n,,,hi
l:ontlti, !ti:ï!îi'ilr?!l{
!r,in:ti'a*1c it
it bt'ite
boite ril l}{)îtL'}r;stoll
b:;st,tttt t:':-'1'"
iir.qr-ct' ,../tr'i/ li ,t
J""" -" ''"' 'lr""rl'r'r, j,l,,lrt'.'1'1tls;":'it,l){)îtt
, r,rirtt'ttt P,;.\ ,1. ,!rf.fari//t 'lt i't l"'itr
I i lrt :\l rt qtt rl :.:
!^",'i,l l^tt'!
'ltllt'.''t'llt' !I
r il"ulll' t:tt tiisiriittr,tut tit's c«!:r't,i't lrir] 1e. ltit ttitt (nü[i;rt, L{::
ii'"'o'i,,,:ri,rirtrr'rl ,!r,rr.,
itor'tL {}kita .1'ai ,triiit rttarttrti ÇL:t tlt {:ffcle ttiæiqie,lr: .\ii;lr1'.' rttsis ar tti t rt
.tLt li{4.
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.ffiôüffiooe
.{t?-
f-,

f*

155
-mKsltlm§ff_
KH
ie ne sais p<ts s; votre routine esl bortne ou mauvarse.
ni si vous man : -
et d'ailleurs, pour être honnéte, je m,en fous... mais laissez-moi
vou, :
Ll::.:^:: y"us.tglssez jamars r1ecour.g", pui-.urx qui, au tieu de vc_, ;
y:: Dr-oterenr se.fourre de votre gueule. Les iociétés de ma--
^.^o.":.,]r,.évorué. ces
rieusernent . ,
dix tiernières annuTr.l'igno.*
pi_"^r"i.il ie sars qu on.y-trouve des clubs ou i,o'rr ,rrr.;ff",e,:i;rr.__ "o**àni";.,. -
I T:;, ;rrne
nues "
y.S:, i,,:, ri iÀà, . i, ; ; i ; ; ;;, i;.., _ï;, ïJ ;: ;", J::-i.,:, i,
I: ::,véritable abominatron.'ll y a qt,elquàs malheureun
;
essaieni ct, t)endant ce temns. au ionrj io tr'iutt*, üui ,r..:
gueule : on lsur Ia,ce <Jes vannes, on tes ro,,t fn-roJi* i. l-
ieur piace lristement et un ileu r,i,.,, nro.t.,.i qï,its
inuectiuâ,nil.r;;l;;;à,--.
n.etaierlt entrés.
Pourtant, ceiix rà s'étaieni entrainés chez eu'x.
Dimancrre. Èt-iru,r, .,-,
dans les chiottes de reur [:ureau ;et tunor ,,:ii.
res fesses serrées con^-.:
à Travotta, its sétaienr dssii .rrrendd"r, *rp.i."i;ï,;;;i;;iii. .

::rl ! "i. L'armée


ils,!11s"ra,e1r,,rur^lr podium r_a misie .rr un.-qànju tu- .
cul aussi rlr C est tlu nro,ns
O.i'on chahute les vieilles oêtes cornm*;',;;;" "uir-,*'rii,;i"l;;i'.r_
comme Marc Albe.: :
,=_
un drame, pur.u q,ru no*,-;;;"'-,r;;-;;;,
nous crever püt;r qu on s,arréte.... .,nais ces types qui
' ;;:.ii;ii;;:iiiri3,t.-
re expérience, ne demancient mdme p.r cr iu'iànciresse, oontunj[o"i ,_ ,
irs ne derna-.:r:-
peu d'attention, et qu'on les guicle. ut uu..
tu.,
co,ntr: LlL.rand rli IsT xronté, 10's, llt :,.ns et ,0trc b0uqLrel à tii , ,
a\,1]{. i,o.- ,ll

en soL;ff la't Ci.rmrrru uit ll ocl.e, pO'i lut la're'saittcr 1,e',iuu,rir,,


:,,1;:':,:,:':^le;î1,:'I':-lé:'r''i:irienvoLrlul"olri,ut-r,'',,,,r
t'rltrtdÉ
I ,,
i,aqr3fp 1tp S0i: l
Ûrt alrart pas armé a jors qu ri, 9d l;sij'1lq ,, _i,,.
,r,,r,,i, Alors pert.être te:_-.
",,c,i(,',,lCir'l:1'r',I'.'']-lIl:::,'-.''.
'.r,,-llu I ,: r.r.,.r.t i .:.,:0jo^ rr. :l,r.A.L,JS| tp:-.
lur fairtr.. .

l,ll insiant
il,:l:, :,:!or ia Dôs Iin, lenrrec, fatiarr i:as ire DTaICI{lr tà dessus jg _.
.Lrt iJc le Llr:rnrère jrlsryl! qr:e BÊFL Llonne à
SJrtre 1lt siti-r Trili: 'Lt tAB WIST" Clrani
Ci inroia"ôunr.,ü , ,
lË.rïr, :
*
o]. aur a les coinS ,,.,
';e
nJ'" iii,r_ne rr.lcclraiqroirurrn,
Br;
l
''l
t1 .,:,:..
,1,,t1 1:,.i',
'-" ^- .l'î'
d,estime ? Et
r'"'ntgio,- .lr

Ï',, i '0''r'"r'r
tluiririr-.' ;\lr la I 1r rrrnnais.bien irr,l,,,r'rrrr,';; ie'i
; ;r ;; il,iijt,i,i; X:^'
" r)-!i eLr L;u: n'onr pas de talent oit qui rr.,cni i ,,iio*,,,i, Sr' ;[ pi.rOiî ]
si:ra iren f a't poLr. ma gueule, mais par rappl-rrï'â'toi,
,
leur lauteuri. jr: sLr,s piioriiarrc
aru^ qLrr ser1nt re(- .

(r lt É PA ,r.r s
cwoùe ?æ#,É

156
Ëffi§- ffigD'ffiffiCIW^G;
';i"r ::r.
mRAfiPE
.,:
î,*
le faire les choses, c'est "r.i'aller voir". C'est de 1e faire, f 'esl de re pas
; :tLLl - r,r l'année prochaine, si 1'ai uir peu de ternps, je vais faite... ou ri v a trcr:
: n{nu
ll
, . à ,;n bouquin et je vais peut-être... "Non, l'importanl c'est de la,ie ia
. =r voir". L'important, c'est Ce se rfettre au pieci du miri et, alcrs. si ott rr
: afl, si cn se iteui'te au fi'ltli-ei qu 0n s'y cesse le tête, laui pas,nstliiilr ies
' ,, a ÏlnalemenÏ
finalement ies ggtl§
qLie lgs
qLje 0ens i0talernerlt imniotriles EL
tuLalulllellL llllllllJt.lllus qui rlü
eI qur ne iont
iuriL ldr r6r)
iamais
.'îl.]".Trf$r .-. à traverser ia vie en disent que t0us ies autrss s0nl cons. Dès qu'r:n iait
.?i- ! .ii,ilirr"'
. ? : o,rieh',mil'tc fartnslrriue
;* 'lIL-
or a t'r'aiment peur. Sur les lerrains C'aviaticn, J'.,r1 ilriote
.:,ir-.
j,à'rue. ll v a deu:. sortes de gus etr bas, ii y a le gus qui ari i'e ,
,:. son avion et qur clit "pêr ce temps ià, il ne faut pas y alier",
- r.-11'.i(r -' I a toulours raison... ll y a les autres g'.1s qul disenl "rl faul
rl!fl|lll 's on décolie, on a urr peu peur, ou rnême on a bien peur, orl va
"a est allé voir, et
:amrîh lllll -- .rn ne passe pas ;Ça n'a pas d'imporiance, on
on l'a mérité . c'es1 soit parce atu'orl a eu peur en rcute, ou
=-
:l*: - - est pas un assez bcn pilote, mais ceux qui restent en bas ef
9! A- a a: trompent jamais... mais lls Iirtissent oar avollJn avion tout
-[ e!]il
-.:it par se {aire absorber par une femme, et par deux nraitres'
.: rJe province, avec deux enfants, et tln enfant en plus et à
-:, rtéde l'âme . et moi,;e préfère.onllnuer à vii're en marche,
:.nent...
,ir.,itiL,i _. rr- te conSoier deS rier-:rs... ;e l'ai lait dtre par rlrr ftteC cl.Lia d I
: -"lll := surcroit n'était pas nra.oicien... enfrn, pas prestidigitateur,
,.i I

i
- rér:nions de l'afap de Paris me cionr:ettt fr,tnctrement en'.'i'-
=s

-,:id on te donnera des conserls, n'écouTe pas n'lrnporte qui.


.,.:l i,nil,
. ,:s jungies marécageuses qL.le sont les réulrions de rnagiciens. l.l
,.-,. ;ui cionnent aux jeunes dels cotrseiis à rebi:urs... de facon à
rnais on {irlit par
=,.'s... On s'y iaisse prenclre urle Llu deux ols,
t Î$ll1l f
:ü . i;llrssent par se trahir, parce ou'on ies retrouve deux mois
gr* . .- ir-ême gala, en tra n rie faire à votre place, ce qu'ils vous
'[*! j
:'rmil]Ïlr
-.,r nrois pius tÔt .

nJ:ûll ill, : i r!cs, c'est coml'ne une garû . r-)f cst ilarîois ol;ii,l-; de passcr
r'l lûlillllll - saüvent ca rend l)ierr sp,v rrr, rlr..ris ,'.t st'raii qLtanrl mêrlle
fli:gr lrr - .] : ies paprers gras..
. -::rî, c'est a:orrme une vielile maitresse, ya des n'cnlcnls, rl'-l
-': i chrer, ntats les soirs ou on a [rersor.rile tl',:r, ltt.';rl 'sl t i-ll
. - r- L-'etfap, c'esi con'nle tout .re alL,l'on ai l'r'lc i;ir:r'r (rn la !ou
. : i:i L-rir:n sÛr c'est lrnposslble, rnais sacrébonilhr,zeur, c'es1
-, -',.iri'dl1 rle rêver....

t57
10 Un maglcien fait du close-up,,et sans touiour$
bien se rendre cc_:
i,?,'l:,::.i:1:: ryr' "1r1y91t"
"il est extrêmemenr 1àiri'ri,inf ià,t,i,u, pâsses e: : :
habite,,. A.Ào;;r;:,'ui"1" ,, veux rien
o seulemen.t à mon sens, chaque ro;s qu;ai'd-ii c-:
â',un maairion n
ô") 1?:'::,
11,
!, ta notion * t r:.f et d' i m p a ss i b t e, es i iu ir,,i". r,
t!:, rl,y
^1: et
d'habiteté, .d
d.iraiiÀti esi a;fr|"iîate_même, une:,:
,i::::l::::u^'it_.est habtte p;;;;;ii à:,,0 un rnasicien
?o,
-te préfère de toirt tes tours au
o r.o.'iiiiâJ*"rcrôT"ir'i"*iiiiil, -,
lument pas aux cartes (ou semble ne pas toulc:her)
ôo
ô
spectateurs qui font tout et ont eux_.émes et clans lesc-::
l,air dr riirrir,"rZl ,
sa seute présence rend ii ii;r.Àène possibte
ô ô :l-::.^!ii,!:,
savent bien qu'une fais le nt.agicien parti, et ::
pourront reprc:- Zils ne
masicieÂ. Ceui-qii iàii uru quintupte c: _:*
iTrf ^|i1yi:tà,es.t
les 4 as .un
au vol et font tournoyer trais iois la iarte
chaisie autc-. :*
ctys. ia tes yeu* bandés, so/.ai j:_::
:r":i"d:_.1:-rattrâper
grands .bouche
artistes, tlq grancls io:n,::ir, t
tr-Ëii ,ir, *;;'r;;p;; ;.
1e ne serai sans doute jama-is capable â,en farre autant,
ob, *u,r,r.j",
.Ën. ce qri-ri*-r";;:;;r;,";;';;r:;;Z', :r:*
des magiciens.
flu_1 T9i:
oô o lours tué la noticn de magie. Un magicien nr, p* Uesoin d Atre u l,i
est magicien... -
ff§o -) C_'est seulement mGn
opinion et fe ne cJemande à personne de :
oo
o.) t:::^y::!i: l?l!r:.pour uû autre, je subodare que c.est p.-:
3 uosnnlan ÿoutait dire. De tûute faÇon. ca rr..t,a
'r0O t,
et puis ne te dois-je pas cet article.
fait pluisiiààii:t.
'c
'l^ 1) o
l?o 1, notre dernière rencontre, tu m,as parlé
bientôt s,or.tir. !t,s'appelle^ ,,ta UâiÈ-u,t*"îrâir,, de ton livre :-
bqç§
§t trancs ll dttit sûrement être earit dans le iaî,, "r roûte une c -:-t-
o^ J.' lecture clait en ,rytr alerte q,-:
o être facile.
Alors Petite Pubbe ; vous, qui vous intéressez
"o
§u -
bL, ()_
atéa1, ses ioies,
à la magie, qui a._..:
p,uiiri."ruiIrororurs er sej
go 1::.::!.!,::-::s
t^?:::*^l:!?, que sinon ca va peut.êrre
'ui _

faire ui peu
o rvtlus avons €n t-rcnçs un grand professionnei qui c/targé...,i'
o sco rnande il.u spectacle, et qui,en a vu plus, puut-ât, depiii ijis c; i:
tez son battquin. y'a pas de tours,
que nous tor: -?_
Ôn 'o "oÙ -uii7:i-piir" "ié'àii"a'.i,;r_
ol"f, §a,rt tranchsTnspl, ie crois que J,ài été bien...l petit
franchement le
ün 5,. sur :;
ou,_! bienvenu....
o r; 00 " . Et iustement Brahnta, passait il rt,y a pas encore tellement lon,:::_
. S,r
ô co o,i '.':: /évitation
une iËi,i:, I:,,'',i1. q:' ::.L' ? ::q u, b t i n " L à, i t * o nj,,, u-n,.,,
l, Ur. sur te tn;*e*,ie^, ^,a'riiruf i_lJ *ii;i*,I?iiruir:'.,î
s e, g u ec t.e * ittr *' iî r, r, *. c
§!
^o ";,,*r\?r:: : : y, a r B ra h., ..o I
o D) veut et connaît ta maaià tr ,r*i, *àirâà;;
| ?
-
U4 ^,,.uf!
Ç ! ôo " ;irz,;? i!_i{i,ir.:
,o,,àî iï,"iiii,'i",i,' j,,,, clonnties,. / ._
:;1;
n
ô " û o^-
f ,) i,ËjT;,ii,,i1i..,
te Paradis f,^ïi_,
tatin / Niire ;;;;;,.'T,r;"Ë) !ir{,
6(]-\c' La rrtatle des tndes. ,r-1yr:;;;r"i;r_i'i,i 1,ir, ,o,ir\ii"i;;rr, ;. -_
)9 ao.. se resume pas au conlptage
ttmstey.... ";rt
ta sensation eJ: : t
o.r^Ôr,-
O .\ü oô 6o Ao 6A
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160
ilfll*u, - -: iâtiîê de S p*g*s"......
itl .r{ ' :)' "É
il
i4,'"ii\, f'ï\ r:i'. i

.t-'*,ffi : Zil-râ,{ : eile fi}i-:reh* *a.: p*il,,È'*v*is


- :li.r, d*ns !a f*t:iée, ;'tri ;lrrarrgé ça ! [li* r.,e lrr!+rrt
r*pére l*r de,*x pstÉt*§ eirËi!!§ *â {:$ts, ll f Y,'r,-q tt
l.'i'r.r1Lt<' ,r; i
i
: ê E0ü h;rllrr : il est grai
, i r I ':"i{à!ti*n ne m'*;rt FÉg Éoût* *h*r i i !
f i(l
,ri ffi* i L 1.,.x, -. F_
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.

:-,ii:i ilïi fu§ad celns*q:rÉ à süshq'np*. §rds Lrisrt, te Ki klkozr ; ii a I'lir ct.e*. i ',t ri'"rf i

"::r oil5e,'tris pâeçe Eu'on a drijè l'irnpr*ssior.l d'av;:ir !u ça;ilii,oi.:rs, §i,;* !a Itt:,,i.;i)i-..', i

;ffi
::.orçi "*t":i,rnêmc", r'!-!ais on e* !e r*piète sans d*ute .ierna;: a;seè. :-u prir*,;a,§ \ r"il"i
:-. consô*rer un n*m:ôre à la teehnique du persi.-nnaçe ût à,tr inaniâte {}$
r: feai;+'1."..".

',: 'e ilû]llffiïtHli,


- r mi{*5 :. :,:'il ÿ e ri*jà que lqu'*r":
.+,T(th clui esT en îri:ir.: iie -s,en clrilrüe !..... e 1. itui it a;h:IÉ
*1111111;1n,Sr

-," utul ,flumrn . âÿsc quelle étcffe peut-{,rr


- -:.i J*ir* un aussi ün peau ds aÈbne
{abriquer *n sac â i'**uf" du drap par exer::,
:'
- s ;lrm ? ear j"ei lru qil€.lr]ils les sacs à i,ç:*uf
"r,idr rT#lFru -""r1âa*ds sqrrt n*irs. J'ai vu prés*nter cetl* *xpsri*nÇe *1 jç i'ê: ti{.ru,râe
trd{
ïrrtrrrrirr&#r
ilfinu - :: iûuc F[-Ét,4to{#C}{Ëi.

:';*' #F,
il' 1nmri$lt*,l ' . r,i.t:lfe si;lple" [-a c.:r-rlelir :; ': pa: d'rlrri;cr.iùflr.rû ,..ji.t::{:iiji-i t! iÏ,1ti ss!
,,#È" :i-êslÊ âvêr i;.: *:ain *;i. i'r:reu f i:ai' r:xi.;;ttü!* iitL!r ias Sirtr a: i[i.,]I-::4a .lii /i1ri,
* ;"rnu1,ffi . .r. Li+: r:r:u l's arhetés "eu noii'
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J

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Iiltiilrrt|t{tlfl,

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,r.41-ttsti.!r:tqiJer |Jn iÊn§ariln€rlifttl fii,.;i pegrt r**: élt: i;1:i+: ti.-rr.:; r,l nç.
:; d-:l n,ilta$ q.fe confér+ces de 5i**tt7 Yc:.k,,*t v<;us d;;.,:r i:É::;_: réËù!, {.,.
' 'ij',r:.lclii{e suiJsèr* rjr* ç'adrelser à i{f:hJ SirTi:*ir.Ë'si i,4Ai i* f LÂe[tr.
! rrtûûllffi[l ,,I L+nci*n l&l - ünç!*nr.i iSüüül-i§i
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""ru:r Çl : :'::it -r:* gr*ch*. J'ai étd très déçii p*r !a po+he. a;r i* p*ls;ril *u$ je tr{.!{i
._", iliïmll|rrlrfi#hr
flr " l.rifiii; Li{!{"lS :irê dire si tûUs ir.i Sij*§ *ett prr:f*S:i,:rtne,S
Cilini.ir;tteflt au§!r
: : .li ,:'sst e*uleffisÈ]t !es sar:s qu'*ir nrei da*s lss h*itee cf*s ecfal:{t. fi*i-*e
:-:' ,''i:rral*r,qlli êil tïû.iêâg.ôsi a aussi ,;ne plxhe r- t*uri Fl-üU!:îSi!*üf,iEi.
,-tt#'o'
c: Jrii ünl ir:.rs üocl:e: ies tei:l:crs_ iel i.,;nqc,:rn;:s. i€5 yc,-,,: 9i, sr ie
:!:! [i,fi!?i]i !,ü{.i§ tr8ire i.:i-} :êl.tkaËsci;e" l.,iia:f r;* iiiiù gi,airi rÏ..,.,erirai {i.ln:
:e Èi:lJl,,oits vorlr le cJtvilijel. i:Jou; vr:,r_i: sr.:r]i;r..ir-,n:;.-!*
i;ij:ll5:tpr chitz uous
',a: i.:iriÊs. :l.t.ril1.Ftr,,ç:.t;i:.u^,.
ft.,; !: re:p4r.!r_ .Tn,, .

:ilrritrt iailies riaris ,:j'aneiens siip: rje :ei ',,enc!er:se:, ies §.:i:ijrrj§ !i.rilt_
:;n: ie.: biis. pour. 27,Li[i f *: sr:itiemêfit.
.s revi:nii sur" la sr-.rj+:t. tât- î)i:ii$ ne scrilme.! 6;as ii l*ui T;,ra u! iüri i:{-li
A;..;l i vlls p r*r:il a i ;-tss i eTrr es re_r lç ri;nt ;a ns r-rii-_.*ns; .

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: 1.; l' : ..,:l :.'

! r),)
§J æ
C'est, comme dans beaucoup de cas, la faiblesse du truc qui, bien e
va vous permettre de monter la routine...
[æ problème est, qu'au départ, les deux foulards doivent être nouer
n'y a aucune raison pour ça. D'autre part, on ne peut pas non plui
trer tellement, ni les secouer tellernent. Supposons pour I'histoire li
vert et jaune. trl faut donc qu'on ait déjâ vu deux foulards ordinair*,.
mière idée qui vient â I'esprit est celle{i : se servir d'un sac à échan-Ee
a) on met deux foulards ordinaires et on les ressort noués,::
b) on met deux foulards ordinaires et un anneau dans le sâc. eI :

les deux loulards


le§ foulards noues
noués et l'anneau pris dans le noeud, CE
I'anneau pns LL QUI L»LrDCr
PRETEXTE pour dénouer le noeud des foulards ; cette action der ier:
c) mais on peut aussi colorer les foulards, faire une teinture ; p
foulards blancs noués à travers un tube et qu'iis ressortent de l'au
en ayant changé de couleur, et comme on le voit, petit à petil. ;r
s'élabore. L'idéal serait un verre de liquide jaune et un verre de lii
dans le tube, et qu'à la sortie les deux foulards soient de ia me::rc
que les liquides.
Mais ceci est problématique : charge, compartiment étanche dans i:
Nous penchons quant â nous pour une solution genre souffle tei:-.
laquelle c'est I'opéraleur qui absorbe les liquides, puis souffle au ;
tube, les foulards blancs qui ressortent colorés de I'autre côté.

t64
-l\E
,"ileur montre une carafe, trois verres et un foulal'd trlanc' le tor-lt sur
r*! !i' -'.,iri;"
:: lElli
, devien_t ela menthe, celle versée dans le
dans le prenrier verre-l-u
-itll
devient a" r, g.[oiàtlin"' foulard blanc se <tédoubie r:t les deux
I rii 'r"
,ilr r. :! sont noués toui'î;;;;'îtiont introduits dans un tutre' L'opera-
rL rt les 2 liquides "; ;"fn;les foularrls au traverl du tilbe. Ils rersortent
I r ,r! noué§ à i'autre bÔut, mais vert
et jaune' - \t'orr
r\.- r-'
ï!rJ{Mr1
qui est prÛpre"' fait en-
:rtr , : iénoués et placâ"sïànt i'n verretl icelui ecl rel;ouvé enlre le- tlettr 3uI!-es'
x: dlrf.ll,|il[ , -nrrntfre ,n lr,,tatA-rouge ' i sr suire
irne rourirle
.l;",i;11;; *;;;i;:';; ;1,;C.;;, pourra se hricoter
;ü{lH" , ,ii concerne r* triü*"
'
i+1;; pratiq-tr-e' parce que-'"561f-ç6piaitred"' est
'Nlayette. Ii s'agit d'u,e feuilie de
r :r le ..souf{.le t*infu**i,Iâ"aiore
,uulr : t"' ü!"1u" itl :try:-,Y,:.":::::
:,rrt plié .n u"nn.iJoî' ainsi plu.sieurs ::,î.t5",1:
,iffry lliÏ,l ïi,ili,l'il.. îr,i,*'*;il Ëil;.-oî rg""" comparri-

t'Ë d*' coîrrraltT-enl]


. Ie. foular,.ls ptàp.i"' àui','n"""llillite t,."*lf,:
les foutards "-tT1s^§:
préparés hors du
.

iir -:s dans u,., ,u*o"l"ii" i""in*


e'llÜmlllll
*lr.f0Ïlil c tour est 3"r*- no-'J. .h;tg;. pi' atpti*' lg fagier.r-1f :-*t::.I1'""t'é
' . ;ôles. bref. il ,t" piut qu'u récolter des bravos' qui seront
::irilprmi '"ut-t*ti"
:\ \VOUS....Onésirne.

165
g-rs {jslrriel iltf--}l{ËAti ele Baiasy : 3 leitr*s d'engueulade qüe nûus résumons :

L"ttre rr:Litt'
li-épcnse:
ilolrrnrent ie savez-vr.,us. pl.:isqu'll it'y ;l ità: iie illte dessrr,s l'r'ltir iltieri vllls-:r.:-
iSlards 5ci1l rêmli*to;. l.iLrt.ts r!srriss{}fis dt;ttc r.igulièreicenr (f ltcul'( t'e ''
réÊr:llèri'p-','t rlui'h{aC devrii pitrlirre;lulitur: -\til1:lilla'. rir::, i'-i1. ..

-ili:-"
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/''ï
it
'\ 'i rourte: i){'r;.j qréa, lr.ç rjessJr.ç Lit t:alrr Jg^s-,:ieaierrr rie-çs j;;-. ij'uiie lllàret" ,:
lruv - tittri:tttti !i ro-ç îtuûrcïos ufle ilo!.a t7'i:urrtour raililé l'er,;,.rttrr.tir,, .
\ ,17,." ',,;;s, i, t 4;a,l l, i. .. ,.,js ....
ir
1! RilPi)li! F.
il l-i'al:oril. ;ter'vlus rraiment irlagiciefi l
ti L)eu.rièmeri;erit. ie ne vous iaissera! pas insulter lJodge s. Li"ahr-,iii parle , -: ri
il d"étre de res itj-Tiifi et, L=risliite. perce que son tâlent c9i recijnl* Liarls !e mit- -" ,:
,//
il §uprdme. à riui vous vous rélërez. a deniandé àpiusieumreprisesd'achete:.,
V.ig.-Zag, parriiullèiel;leilt à Ëau-cc des iiessln*c de l{odges. Son travari ,,
// "Fabuloii: art laçpiq" drns fienii. eta.... !; j'élars vache. ierciis offrirais:='- *
,

,'/ et i! rnise eri pâge iie nlrtre prcirhain nuntdrc.... nris on; trop le respea: -: -
,i' prür çâ L4liez. sans ran.ar. Imdt scyez gentil" n'achetez plus Mad. r -
l(.A'11rn
al. nuUS ni)ite iCtn;... . .

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Ürf+.r-.ls tlp+
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A§CTN§Edïq EFJQcre
tA) A,(tc û0pA?!€K
'a'ffi(«-lçL s'ir{t'î-lÉt)k 0f Lk ?oFlY-
(*?i{'r'gpi-
vÉ (hsceustÜr,* hur'c ot:
US lüft]
A,\û t.'oziçüÇ Lts ÿoF{çS soruf o'J-
a'Y$ü'tÉ
EtulûI içr";5 c'{rr-is NçutL 5E
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fhce A ÜN l"{ur(

rlv TÊL'EAUPfrONT ^,
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FÈrtn* e',^kf o)ç17-
E ,/\\1 ct çu'
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Lm t 1ï ;'at\QA)€ -

iuûüIûrJr xlllll ''çxis.e.d« 741.r) LA CAV\Nt


,v-ry 11,4PqAKÉ{ LSl-
ti-É" , ïodtcwe Vous vat)s{Ç-.
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h:rti,t[ :]::lllûll L|\C€Z-' /-,. ,.
il:r t ;*:lllllüfl
ri. s ri* ,itutttt 6,àiï'.7, Çr\oü *^##, nrtT
§ tr j,lLÿ üü

rtü lr)lll
F-
i 4 trilgl :trlill"'l
AF,PlK.Sor'\ t67
ie ,rrcns Lle rlreilre au i)cint ù,ne expér;ence
originaie, qu , le pense, pour"ait VC,,
vo'se.votrcrevue llsaoitai'untouraiont]esuisi'aute,,,.etquiaonsisteàfa,,=:
ur oeul Lre i';q.,., ,rans .ln s3L vert Le sac:.r:st rront'é
à Ia fin l'oeuf réaoparait et aLrssi à ia Tln ii reviànt.ians iirusieurs ïois bien vir.re .-
Je serai éventueilement décirJé à cécier t:e rne ooite.
arranqemenT îinancier [jleurmoche)
a,,, â".rra revue, si n.us pouvons : ..
1

frEPONSE :
Désolé, nous ne sommes oas jntére-ssés. cette
exflrience rtous semble préser-:_
si m i I i tu d es a vec c e I I e s u e p ré se n
e te M i r; i ;'; r;;' ;;' À u si s ra ra t.
";
Permet{ez moi de vor:s rlire .1ue 1e ne vous,_ontprends pas. Je n,ar pas
l,hcn-.,
dont vo^us me pariez, *uù iu ti.n, â arrirmer b,en
-;.
Tî:tl9l::'::l::::pl:":
t:Y',1,j,::y',îl"i'^.1.,.-._,?y: si quetqu;,,n a-,ti-ia'i.ii
:jJêTu "".1;li':i.:::
:;::'::::'::::""^1 ::.T1!rYES, p u. uit,.ayàn, L iZ;o;,' ;;
chanse à"tieàÀuÀt ,,ïir, "ni''.'j.-',
§ :, .i:,::,î,Tl:',f, 1 : ::, 11 :."1e
r
oà" oî".à,i,ii.,i, ; i,L",.
L
c1o,c ptus.r.u,sÉÀt,''nuir";a"rJ","L"oi,à'ioi,i;[il
oYi l:,,
* :Ti,,:?::"11"^
afin de conserveT):une!,:,]"i.
preuve O.antériorité.

RËPONSE ,

Même gratuitement, vote r2r-tlle ne nous intéresse pas,


même avec un oeuf o: :
ou un oeuf de lump, car le pRlNClpE resTe b m;;e-:-vous
faites finalement o ::
oeuf dans un sac, comme Minarbourre au musigravat.

TN Z:.: E

p,_ -
souFj s ?ecooreffiaNjco{ëli- _*
\Às\\flüLèct pANs Ut! ?tS 7tul _ -:
168
ililr'iü:,ir. x9
*,", *.=, or,r* que vous êtes beau et gentil, ct ausi parce q.ue. i'édite des livres' -ClT"
;,;,';;-ôÂïirn ,rt *iint*n.it sorti et c'esi un.rrès beau livre, qui iespele va
vous !'avez vu, le livre
i : : :::r beaucoup u, poàion i'üiirr;|àr-it-a-*0i.. comme

lm,':,-*,rf,,;;ffi ilit',:l;t'+"+if i*üiiïd:,-:il;*riiii:h1,1* rrs run uu


,*i ,;.. i;;;;; [ri t tonivendus, dans toutes les bonnes matsons' Üu
:Ægr'rt,." ,. ;;i;fîiiencorr lu de.critioues nositives de ces ouvrages
+a
=;;.'i;'*)érril;d.
: \,:Eic, matgré te viror'[i"iiür ü;it,r;; irr-ta.uatic.pbe
d'offrir à votre épou'
, _j actuetlemenl à un livre sur les
rui traduit prus vrtJ iiî,i'iiuir"àüui,ir*ritt,
--'ra.
ullu,, :-, sera très bien ausiiîî" tîiii iornptollllÏl-f3'::.l"tl,';.3["f,::n::illi
: if- -:1
li;. ;,',iiiriliàîï;i;; comptons voüs l'emballer dans une
Ëà,L.ïii,it,ïôis
cordes' pouvez-vous m'en
p;;;;-Ë;;;i plus de notés devotre'
*- Jr- I Él
È -{'1 lllrll
, :-: oréférez'vous ? Aoâ,,hce
,, ;;l.i,l;i;; .-niqut' inerci' Horneckerment
iÉin -. 1 i,lilr
.lf È.- - il
,. ralire LrJlleg(1e
qire des.ercellents
r,i,l 'le temps que Je n avals pas enr'rl'e ljit tLrut 'le rltr ie ilense
llison bletr étatt excei
. :.jrte: L'idée de les avcii iutr'e' tLunt les DOChes
',re ie ne îais pas t",' rt'll"t tuu poi-hes de tlra fe'-nme' 1e les ai trouvésil rnériterait
,i.i]r ü.t""J"r,'ËÏcÉiiÈt[' et cc"r'''e le Lortavne sans
-]]*i sé'"irttt 'a ne viert pas cltr livre' ta
** ,""â'L'" ùu'i" rn'3
l'tur.to
rrrcins
('est Trnalerlent ie Garria qui rlt'a paru le UNW(( Ér('
- .l""r"ni pas la rnilgie .tu
ron, i.irri., er ies eilets Irien rypés 'l'ar aussi apprécié - GMND
rlrrr
|
= ,rüe les erplicatrons n'est cléià pas sl i11 !.
.. süis Ljéià à la page +, t" ut'i àuttt '""' g'ut iioigts i-r.)trclinés'
pra"iqtre car orl peut
^o

8î . rnet incrllsté ilui était à I irrtérieLlr es1 très


Lie drarnants
. ',rt"*a toi"ll" ,l" t'uoot* Lt quanrltéll""ttnl
,rnLrnion, l'ai vrarnrent ilor."'0il'i"'
. -,rrlre. i\,i1erci pt-rut la uolt,r'e, ''ai' i;a' al
,'ttl'n''t'u
1e le mels en mêrne lernps

fr4arc
cjtle r-l-lon
trêrre que i'ai peur.de.linrr
deià. l.1eux' l-1ne qLrr rl'a été o{{er1e
Albefl' pour toute la publicité ô
:::: à l'occasion de
. : nous faisons dans *ud,
Noel
pour-
llar
son ;oLrrnal Sl voLrs vrlule: vrairrent
lrne rJrosse' si possiirlr: pas forcé
rne
V
. ,,,,à lài",.ruis mieux .'u't unt mériarile 4lors
j s itrôsse , le ne sêis pas-ôou'!''oi' 11,1315 o11e^tienuis pius ile 18 ans 1e
':iri rna cotisalion à l'alap, olr ne rr'a g6116;r1 1;rlais rjonné de rrlériaille' et
certalrü en Ôllt de'lli' ce qui proLlve qr'le c'est totl
as autre3 en onl,
"tê'r'e texte genre "AL\4erlin' l'art
... . St vous pouviez tuiru g'à;"t a"ssus un petil nre plairait bien. Faites poLrr le
-'raissanl" ou une torur''ie-iiiniraire' ttela
pa(ailre rl'âLltres livres' ciites le moi'
: , -r re vous avez clu goût' o'u"niuoui lere/
que j'en pense. lv'lerlinesquerleot vôtre
.1 ..,-n"nt ce

;-rneinglischemad'iicheun'Diouringmaillelase0llidé'aiehavesinneinparis'
prezntiqne é trique ouive
:: n-minuzého*rr,, n,ouiifîüùe âiti"' 0umeis was ttii nécésaiv toubib aibeulto
_ : â' ouane
n û e 0
â'nde tsssuË'ou.tJ'Aig
uane esgr. ""rÉ*- "r l;i'.üiqfg{9 '
:. -a to perform ze routlne (l iËiüà,rùràrr*l.

Vous êtesfleurmoche ! Comme on a


toutcÛm-'
-'a masque on vous a reconnu !
pas en Glais' mais c'est bien d'avoir
: .)us avez dit on a ''*u"ài' ;'*-;';;'
savoir emPalmer ttn oeuf '
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A ul*au* effçË.niifËl üu
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?twtwoJ\AA*(..-
171
Chers collègues et ami,
Pourriez-vous annoncer dan§ votre revue que, pour fêter la naissan:,*
fils Fabrice, nous recevrons avec plaisir tous nos amis magiciens e:
ment les Marseillais, et les présidents de filiales, lors d'un petit c:,
aura lieu, rue Madon, parc Barry, Marseille, le 3 juin 1979, à pan -
Vous y serez vous-mêmes les bienvenus et dans l'attente du pla i -
rencontrer, je vous prie, etc...

REPONSE :
Nous repraduisons volontiers ton invitation et naus ne savons Dæ
noas pourrons nous y rendre, mais de toutes façons, merci. Nous g
tons que cette fête soit un franc succès, comme la revue que tu éditx-
ù{essieurs,
Suite à certaines correspondances parues dans votre revue, je i.::t:
signaler que ie suis L'INVENTEUR du sac à l'oeuf, et que le je:.--:
qui m'a piqué de façon honteuse ce truc en changeant la couleur tt
un moins que rien, qui est ÿenu me voir 14Iois de suites au misay
même jusqu'à enregistrer mon texte sur magnétophone... J'ai di
quand il a commencé à filmer et la pôle copie qu'il présente acrttt.:
rien à voir, avec le petit chef-d'oeuvre qui m'est cautumier et c-*
magiciens savent qu'il m'appartient. Je yous prie de faire passer tw,
Gédéan Planchanbois, dit Miralc ourî.

Quand on fait les comptes, an s'aperçoit qu'avec les rédttctions q:.. -.1
qux abonnés, lors des conférences, et lors des numéros spéciaL,
çoivent sans supplémenl de prix, on ne peut s'empêcher de sourirt
a économisé 3x 30fis lors des conférences et 20 frs sur un numérc -:q,.
son abonnement complètement remboursé ! Il a même gagnè .
Claude Isbecque nous fait parvenir un petit ddpliant sur le congi., :1,
les qui se tiendra du 26 juin au 1er juillet 79. au théâtre du Cirà:_: i
rue de I'Enseignenient. Nous lui donnons une idée qui est er::i
adoptée dans le patinage artistique : demander"aux membres du _i_:.
1'ouverture de congrès, en presentant chacun un truc ou un nurr_:::
mettrait un spectacle à peu de frais, et clouerait définitivemen: :
concurrents qui chaque année se plaignent de I'incompétencc :L-
450 F français. on peut pâyer sa place en arrivant.

ACIITUIÿG ! FLEURMOCHE "Keeps on" plesenting ;

LE SAC A L'OEUF DE PAQ(/ES (avec 2 oeufs)


Nous remercians Miralcourt paur la pubticité Eratuite concentat:: - :,t
ro "LE SAC A L'OEUF DE PAQUES" avec lequel noüs cotltu....^ N:"
lrembler les foules.
Pour répondre aux prétentions calomnieuses publiées dans Mac-,,,-
moche est heureux de qu'il n'imite personne et que sar. -
rqqO_eJg1
eonnu ; LE SAC A L'OEUF DE PA/UES est une inventic,.. "
personnelle, à la fois sans trucage e/ sans mesure de securité. r.
-:;r,r
à tout autre de se comparer à lui...

172
" . .l{ !{t}t}§RNA
l.'fllusit;uuistt. 2.
* :. i! an{**ûne relutr nêgiqÈ.r€ ka- i t p: I u :; it e i r'g"t ti t' rt :t lrc r !:' R
-: rr,,e, I'inlaqble ratience d'À1. r :, t t i ; t Ë.

-- i nr il :« pfus facüe de ro,r- fii"{,q5. ÿtr liti.


- :- i [iaÀerr que de ie prrler ror ,- i.tr z .''t§. ft t !ry' rl r,rtzt'
-- . r:-r ÂbErnnee++uE chàz A Sitta. J'f-l/r ffr;, ,it i ijj';i;it'. ÿt l){i
: -.:r l6$ - 4û22 Eologne. 9l l2{} Pttl,tist'ttir

. ieriias rrag/qlfes spa,da;oüe


,:t , i.: :ii)!T) p3l L:eu\ tiùi vt)tts ati)l
t.: l. !rlr . . itr3iiju U,;t)\' Jna )

? --ti t.'
"+il'
4,--
81fr9t'ieÉ.'ç ln:riic'Jebi!e. piitirilil. rle rt;uraise 1i,i. ei ilai:.e Lie it:1trc. I
,i-Jil0 Htgioier. -1(yI j:.;r.1.
.iÈA\ l'1[:liil\. 5. rue l].;rargei..l.li lil Elgrrojci. ,lt,l.:-,
'r,eratt{-rtricltr-iie-priubelie: : ,lL;
{r;-gérantgrrloitleirrile-papiers:J:1hli::S;ttlflcES.'.r,redesCitrs.i.i()lE[,eli,:.
i:- rllô.59.58
llirectellr-eil cirer' des erpitlitions rt,.1es-diverse:,-pilirer[!ses .lr.1t)ltn i-straiives q r.iÉ,il o [\.
.ieur<rii'e:t-trop-b,r;deiitiu*s,poi,rr,les-ia:re : )ithei H.ifTi. I . ir.ir di's ( xrrner,. 'iilil)
P:r ris.
i{rnsciller te.littioilt pi:,ur laie-taiiies. i::rtl-,tor:.irer,ies et llrii 1L)il]1!Sii)rLS hllrr,\1i,,:rt.
I ird cie Sc;t,rstrrprl. ,501i I P.rris.
-<
\lloi{r\itrlii:\IS : [:..re1usivernel1 rddrges irLr lùjr ,1e ]1,{[]-\l {{,i( ,rr i,ir.r.:és;r luir.rrel
l{-âTIE. PRI\ i-111i1 11.} frs i{,}t pour 8rj siirenrerrr pitrs,:her lll [_!.s lii)i)ni.]etr]ctits Lr.ritrrtl
i)rtl.lC,\Toi11i.\lE\T riLr 1er.1,rnlrer Pnr a,l n,.irricrr poui 7r) r ti: l_ prrr. ü,-s:ir.rirtn-,
\ r.lrlrnérÛs : pn-rlrihitili. Ott se li,,eur.. iu, .rritrrtL: ,li ltËi!S clrez ll:ttr. i)li lttj sjeq.. S!)Çirl
1r
i(EALISATIoN : (onrposiriun sur Lil.NI t!rboulc. par les pr.rire: ii,rrlcs ilc la rue,je
Ilit,-*f.iniprirnee par les baunre-essieri ue chez Lrûpy-rcF.:o. i-)l ilrlesh.rbes. ri[,.cx i)a.s.
\ \|ld Yig]i c\l unc re\lr( rirrprimcr, r,,,rr r\(rnplrtrc i..i.ii ; li rr:;ri ... rrr; j,ru\
t
t' tilA\cEl\tENl D,\DRt-ssE : Dr: à la piupart des cas ir un rnanqur. de pratique s !.:rrriri-
ner tle nouveau et joindre l4 rimbres à l0 trs.
PARUTION : ['lati-Magic oLlvre sa gucule 6 lbis par an. qu'(]n le iui rlerr:an6c ou 1(rp. sliLrl
en .a: de j-o.l!g
lrllJgu-r9.orévue par la lor. ou cuiie pr,.liongee ries redrr,reur-r. Dépôr legai à_
rarirtior (lSSN 0,197-310.1 ).
toPYRIGHI I\lad l\{aglr--est_ir-n_g
Iqvue enrièremenr copyriehr : légai action rvill he rakcrr
: . r rtti ('OPYRICHT
.l(,rm oi üop) . l\l 1l) \! \Cl( l,rl,,. I es ,:rrru.irit. !inn cn\, ) (. {Jru
reioumés à leurs auteurs.

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yffi&É[ w tr- E[&§r
iTANs sôN A1'€LtÉ1< HÊffAsi {AÛ çaI I"i1 UNÉ NOOVÉLLÉ
GfTANPE tLL.oStôN

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À'i= t lî:ll {r+ï 1
c'est pas qu'on soit radins,-mais dans ces ternps
plus sûr cie rien" Exemple t,;r;;;t qrb" "ào"1."de morarite troubrée, on est
Guv Lu'x nous émeut. nous dir de iiler io rr"iiuraux quêtes : un beau soir.
poriià..p"trË'riïis*és
Ia catastrophe, puis on apprend qr'ii uïu.nande_deux de
apper... une aurre *l:-:.::,_le-i,iafra. briques pour lancer son
d'enrraidc se goinfre dans.un palace pansien. "i p"rrr. tî'rp;ï;;ï# il c.,mtte
Ies polios. mais comme aii itiLp*ÀË,ii'iri'ïL.t" uru. nos rÉdrtrr... oïàor.," po*
iJs petrvent touiours r ourir... n&;-;ê*"iâ l.arfaire : ils n,auront rien.
lants. après unè bere ra.-rioscopL*t;';iiïri;;. iila ousqu,on esr pourtanr vigi-
lou... le malheureu_r. ir a même'pàsî, iiitàiirË un chéque au cardinal Danié-
En France. on héberee rï;;idiË.;;;;;ii; oüour'rËiiuî;;;.:,,,.
r'i"..ru p,"ïrà;;;h'.r" qui rair
; #l,*,"" ili: J ff ,r,"",*ï:";
- . p *à ii ,, a i,i' iu ;
:;
r iâ i. i ï,j"a."
ïiïàî ; "",,r,
Alors les quêtes, y nU a_ nf anliË l!l on sait pas
nous, on va chez Michet Hatte. parce qu; i;l:i-;;irl;;;;';iiË#,I où va notre pognon... Alors
quelque ch.ose en échange. donn"
Par exemple' pour 62 a.un joti gobelet
1i..9n
routine décrite dans le dernier de bois qui permet de faire ra
§r on est plus riche. et qu.onM;4.'--- donne 1Sl,2b frs. on.reçoir une jolie bougie.
cette bougie est arumée.'et
ment. elle se change en lait. ïi"Ëaà'ïLiîi?iri de prexigrasse, eË, instantané-
si on a 180 frs albrs c'est.r'extase : on reçoit deux grandes
attachées entre eres praques de verre
projeki contre res plàques ""r a"ser?iasùqr"i,'ài"iurt
É ;;;;;n"oisiË
choisir un. ïurià.-le jeu esr
essaye tout de suite en..sorranr de la Uoütüùu.pusré"- enrre res deux. Je
sur mon parebrise. er.j'ai jeæ te.-jeu ô;;;;. pfaça.,i È, al'llîptrqu.. 'a:
"r.
;p;àr.;:êi;;"iàtliiliri.
carte : ça a march'é du 1er coup. fout"ïiôi un.
veau, sauf une : la carre choisie, .urtes sont parties dans le cani-
l'essu ie-glasse., ju ste à. ""-;ôi;à;Lent sur mon pare-brise : sous
ô# à; l;;o;ï;-à;.Ë::l
r<ruano on achete. chez \{r6hgl Ha-tte- au
-oir"r.. on sait ou va notre pognon
c'est tout pour lii, po". sÀ i*iit;;'pfi'bîî'vacances, :

morns on aide quelqu'un qu,on --t- pour sES frais, er au


Arors norez bren son compte<hèque
"onnoit-!--
pos[al : CCp 65g44 pARlS.
s'il vous resre du oonnoir ,. H;Ë-f,""Ëi""în
frs 80 l\rn ou frs ib'0_199^ae_u5. n" 2 en deux tomes
îfre'""î'UJ.t_.i Frank GARCTA ; frs T0
"ards
f,ïry,Ir"orvEAu T'ouR DË iÀRrËd ôi pavÈr.l-r,î,^i,îiâ Lunt"e,
8,BUT I)TS CARMTS IMffi PARIS

35 4.ru@.63
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-'rpiunt(:z un journal à un
F{iNI}i{E
r.li1
I_ES i{.}ilfii!,\LIS firs
glûs billct r,ii' [_.anqr,rc r 5iiO F
rir p1u:,) i: un jolirnalisTe. \/or,rs
sr.cl-nd. cle s risealix à un iroisiernr: e.t <jcs r;rvfli(ippes
\ cLts einp*i:rtez. I paires 11'aiguilies à tri,"rotEr l) i;r 1',:ritnic .l,uri ;rurüiiut,,.
:z des {èuilles de panier iorrmai ;i ia taille riu biliet avec 1*s ciseliur vorr.
' .l:uiile de napier à -1 des journalisles et vous leur iieinanclez de l, piiei".n ,.leL»l^
ialte s avec le [-.ilir't.
. j^r-ll:J-s-Llre
: son papicr'dans une e nveroppe e t les e nveroppes, r,MFR{rNTi--ES
I \RQLIEES, sont rnélangées à votrc insu pâr un journalislj
, ;ioppe est ensuite enlilée_sur r-rne arguille â lricoter et chaque journaiiste en
L'opdrate ur scrr aiorsson briquet ct.
sans réllécirir, met le ieu à'tiois envelop-
- .r feu cst dreint, I'rnveloppc resTante cst ouvrrt. et elle contienï \,éntabie!rent
-runti.
iü , i'extraordinaire dans Çe Trlur, c'est que tout rst empnrnte et que pcLir se
.13 oil et sans cotlipèrc.
ça
. rus sais.bileux. je vous indrque la ntétl'rode c1ue.1"utilise.
': tlans i'ascenseur" vou\ emprr!ntez au lil'l.icr sdn cl-rinegontnre.
ell.in un pr.tit
.. ri iairc une petite br:ule que vous gardez sur l,inrjex.
,rs pliez le l-.illrrt en deux. vou-r laiss"^z la petile bouts 11s chinegonrnte dedans
et
::.2 i'e.nveloppe pendant que les autrcs font pareil. tiette.nuitnpp. Àt facile-
.rais,cable au toucher, car eile est plus dpaisse àt yackseluikilsekilsàÀ.

rr{irii

R
\

179
6
On comprenri arsément qu'au moment oir
on cnflle les envelr:ppes sur les aiguilles à
trtcoter. on repère OLI est celle qui con-
tient le billet. On laisse ensuitr. urr libre
choix aux jountalisTes et on mrt le ièu
ar.lx autrcs enveloppes. A la lirnite. on
pourrait même faire le tour lcs r.r_.ux ban-
de.. Le but tler airuillt's à trir'ot,lr. c(t (lLrc
le s,journalistes ne se bruie nt pas lcs rnains
ii la f in de i:r combustion r'!e I'e nve loppe ct
c'est un beau spectacle que ile 1es voir bras
tendus. tous bien en Iigne avec leur petite enveloppe qui tlarnbe.
on imagine_ deur rangic's syinétriques rle cinquantes iàumalistes rangés cle part et
r'scalier. tjclairant ainsi le prdsitlent cle l'afap, inaugurant I'ouvertuie du côngrès
teurs de corrgrès rriagiques....
Rt-ste évide-rnment le problèine dcs maisons qui n'ont pas d'ascensrur e1 dans lesqrie, .
peul pas emprunter son chinegonllne au liftier . là encore. ii v a un mo-ven rJà s.-
ddr:onçev1iin1 par sa facilité, boulevenant par solr efficacite il sLritlt lorsqu'ôn colle . .
pe_de mouiller la partie droite e r de ITAIRI SEMBLANT Dr MouILLER. LA pARr.:
CH.E. Bien appuyer le rabat et dc donner cette t'nveiopgre 1nrélanger ayce les.. r
enlonc;ant Ies aiguilles à travers les enveloppes. il est une nouvelle iois facile cll :,:
bonne. Comnte les jourrralistes sont, par esscnce rnênrc. des personnagcs très intci .,
c1u^i savent un peu tout faire (sinon ils leraient autre chose). il
v.,.., a àujours un ,.'
refaire I'e xpérience à un collègue après votre riépart. Comnie il'ne connait pas le 1:..-
fortes chances de se gourrer et r'est un truc dont on reltarle clans les rriclacti6ns.
DRIIIIIIING
- Allo ! Ici Sordilux. Bon je vous fais confiance. J'ai un truc pour vols au Casino ti:
.
nlais ce sera seulement une soirde unique, parce que linalernent ils vienne 1t d'e1i.-, -
pout le mois. mais je vous fais conllance. une tois sur place volls trollr,crcz bier,-_'
close-r-rp par-ci. par{à. Ft puis" le Tourluon, c'est rer:rpli âe viril}cs qui, elles. sont L- _ -1
pognon. Alors. un gran«1 garcon conlnie vous. Çâ clevralt pouvoir tenir le mois.
- mals.....
- bon. puisqtle vous étes d'accord. j'arrange tout et je vous envoie les contrats.
SalLri
CliqLre.

\,

\
I

180
n pitre
.)
I

LE
PETIT
fimor
.:t ainsi que (iontrand_partit p<ntr le Touquc.»t, aÿec soil cuclte-t,6/..\é,J g.r()J..r€,!
-iilettes et sott cdsque. Il fit le lraiet cl'une Traite ct c'est ver.s 6 lteures qtt'il àrriya a
;:tttel du Cal'ardoré où il at'aii relenu sa charnbre. C'était un vieil
ltôte! cotnnte il
'; ": L1 cottforT était un peu vétu.ste. mais le nruttre tt'hôrel l'appelait pat.s.)tt lottî.
ri " d'artistes descendaient là, car les chumbres éraiertr
r' -:tctt.trées par de gros r.icleau.r qui tombatertt iusqu au sr.tl,,o,,\'r.,itables', tes 1'enelr:is
t'!' ,Lt'à midi sans être réveillé-_par le lour. De plus,'on pttLtv,aitci1:àiri
qui fait qu'ru"pr,ùr,iit
un [etr cle'cuisitte
tt " '.':iort Jermait les veur...... Enfin, la façade'en elletiême
faiiait enco're illusion.
-
tttt
. tàiri racco*prg,iri ra ir^ àioiï,ii§ïi,,iî.ii,tli:iiirr'or;;;;;";;;;;;';;;ii;;Ort
": t€stdLtrdnt et fit ainsi la cannaissance des autres ciients. On élatt au début
tte l;été
, ', était.pas
.-
,lt-;+ ^,-^ complct.
-^----^l --- I -
Le t!
<1îner J.ut simple et copieur, cle la bonne cuisine de pertsir;n
'i' '- tluis il élait de coutume que le patritn soulta'ita lu bienyenue au nouvel arriyant
en
-' i Lttte bonne bouteille, que lout le moncle tenait boire autour de la mênte tabte À
',, -,iott. tr, ,,o,rrroirtririrr li'nir"ui',Jir,";;':iir',;,:r'i'lo'i'ri{fniii'#iiri;:,iT;ii,:i'r:, â
Ce soir là. on hésita cl'aborcl lortgternps pctur sa»oir à quoi ài
!?:lsZy*r:,.
.'.:,, quond I'ttn tles hî)tes, u! cartain Joseph Jammot, propasa un ieu qLti sà jouait
.trs ieux de lexicctn . ctn les rnélangeoit et oil tirait ai ha'sarcl cles consonttes
, tltacun devait, en L!tilisant les. lettr-es, fonner le mctt le plus long possible. etEtdes
ce
. t. rtqssiltnnynt, sauf p.our.le /ils cle Josàph Jammo!, te peiitArmaià, qui dér.larait
rrt iri l'entendre que le ieu était ittt'cuttple't et qu'il auLraiiJ'allu, pour contrebalancer,
' ,: r€uÿe ctvec des cltiffres pollr que les mathàux aient leur cliance (-otttre tes litté-
wrii,' -
': le monde dit au petit Armincl qu'il n'aL,ait
r'".,1 =ï ü_ÿel les garçon.s de son âge. te pètit Armand rieü:ompris et qu'il leroir nlie;x
prit uri ai, pincé'ù ai qi-i, i;;;-;
' :';,td. il organiserait un jeu fareil ei.que le morul', ,ntrq in'eittenctrart pàrtrir.. . . ,t
':'iefition lui permeftrait de ne plw.s
travailler qu'ut1 four sur d.ettr..'.. auis. t)'i
I tt pere, tu seras un gros'madaire Seul Gontrand
éclata de rire,les auÛes n'oÿaient
- .: I'astuce et.on lut obligé de leur erpriquel qu'un gros madâire ,'rrt J'irriieiil:rr]
iiii .' qui bosse à mi-temps. Bnn. Gontrand, à ce'jeu, si révéla lantentable'. 1fut bol
' - ; Ttartie. Il était touiours un peu malhabile tlans les gestes et les sentiers"qu'il ne
- ' .,rs Il.compensait, ce manqu.e ptlr une palience et utie applicution qui firtissaielt
.' €ur recompense do_ils une.adresse feinre que tout le monde admiraiî. i se promit
" '":
' c'tt quelques iours lc meilleur.a.ct et pensa qu'il pourrait peut-€Ûe utiliser tles
' :gie pour en venir à bout. Dëià u.nieu effer germait daits sa teîe ; si le leu prel"oiiii
: ' nleur nationale, il organiserair des tourùois tlans lesquels it jouerait à't'aviieü':
i", iiàr,à"r',"iîîài',J.-iit;;;";;;;ir;;ir','i,'iito
..rait_pa, sortir une eiv.etoppe,
' - Lttt huissier. Et puis, il donnerait deux ieux de cartes'à mélànger . un avec des
. rutre avec des vo)'elles,,er puis it ferait chctisir par des gens autànt cle vot,elles
et
.:.. jusqu'à 6 par,exemplc, pour que.ce ne.soit pas trop"rong puis res s;Tteriiàri,
je former avec les lettres tirées au hasard, le mot le plus tông possible
'- ùn, fais
:.. ot1 ouvrirait la grosse^enul!?pp*e, qui contiendrait"un cartài sur lequel te iol
" ' ,tt gros.... .
Quel bort effet .! .t [1 Gontrand sentait qu'il était sur le'point de le
.r .!

.i vtc.y^,u
prétexTa aurL
donc tttt
L.n rilut
rnal ue
de t(t( et tle
tête e[ ne sorralî
sortait plu,t
plu,s qu une jois
qu'une fois par jrtur pour
,-.tur. Puis il s'ent'ermait, tiroit cres prans, griffo,nant dàs desslis......

181
- txtp petit Puis il télëphona à la Maison BILLY. C'était la: .i
i$: fabriquc d.'appareils de magie , elle était sise au coin de lo rue clu sonuncrarcl J: ., :
"-el
canr'tes. I! clér'racha le combitté, attettdir I'opéraffice et, lentement, il épt:_
,.:i
3.5.4.1.3.6.3. Il eut Billy en pei\o?tne et lui demanda de luî expétlier une cenr:.-:
gëuntes.vierges, sur lesquelles il dessinerait par la .çuite de grorie, lettres à I't,,._,.
Eill.r' cherclta dans ses sîocks et lui affïrnru'que les carte:;ieraiettt exTtédiées,, rr:
Gontrand avair rotrlour,s.été fasciné par ta iapitlite de son service tl;expédiri . .:
qu'il les recevrait au plus tsrd le lentlemain.'il mit c,e temps ti profï'[ pctur:_
expérience. Il se mit à clterr:her des cr»nbinaisons de t'ot'elies eT de consorii-.;
tissaient à une .fonnation réduire tle ntors. l.e problernc resitlait dutts le
-r,, ..^.. .-n ^.- ^a ,r - - _, lair qt.
nombre
--,,*A-^ de to)'clles et.de consonnes ne pouvair pas ête prévu, trtuiiquc'r. :r1
annonç'aienl au fur et à ncsure "Vayella", "Cr.tnçonne", eic... ,i il ir rr,,, ,
aÿdnt si le mot aurait 6 voy,elles csu 5 vorelles et utle c()nsamme , oyl ,uiittr, . _
fies, ou -1 tolelle,ç et troi.\-cotlsonnes, ou deux vo.1,elle.s et quatri co)1sot11es. (:t, ...r:t
ct cinq_ consonnes. La seule chctse dont il ëtait sûr, t"es;t qu'il n'aurait pas 6 t-."-..
aittsi il est impossible de former un mo{. Il se mit tloni à chercher tles crtr...:..
laçon à abrsutir au minimum de mots possible et)ec onze l(ilres.
Et très »ite, il parvint à la solutiott suivante ;

OEIYOU et STRZX
Il suJfit cn effet tl'amener ces leTlres clans cet ordre poLtr arrit,er à un résultLt: :-,:
1) le spectateur cboisit 6 uoyelles : OEIyO{J
S_i
Le rnot le plus ktng est OUIE
2)Si le spectdteur cboisit 5 uoyelles plus une consonrres : OEtyO + S
Les mots les plus longs soni SOIE et OIES
ott poutait uussi écrire olsE, muis les noms propres ne sant pas retenus.
3)Si le spectateur cboisit 4 uoyelles, plus 2 consonres : OEIy + ST
Le mot lc plus long est TOISE (Os'tie étant un ilom pro2tre)
4lS.i le spectdteur cboisit 3 aoyelles et 3 consonnes : OEI + SIR
4 rttots pct.ssiblt's . SORTIE ORTIES et TOISER RATIES
5)Si le spectateur cboisit deux uoyelles et quatre consonDcs : OE + STRZ
Lr' tttttl lt' 1»111t 11111g cst . S'ORTL'Z
6) le spectateur cboisit une ooyelle et cinq consonnes
S_i : O + STRZX
Le tnor lt,pltts letng est . TORDS

Pour se reposer de son effort, il alluma une Gitane internationale ,la cigarette :,
ret'ortttai.ssart ts.. . ..
Il t,ut alrtrs I'itltie de grouper les mots à prétlire en trois groupes ;

a) OLTILISOIE et
TOISEIOIES
b,t SORTIIIIORTIES er TOISERIROTIES
c) SORTLZ er TORDS
t82
I
,,tne il verulait de grandes prédictions, il prit des enveloppes longues, ntais sans
.r,,i,r-rrn, e't àé:ioupaZ ,ortoit qui rentreraiànt iuste à l'intérieur-. Et atec un beau
@ i,,:,r'iii iirÀpe tlàns I'encre de ihine.... ancêtre du marqueur..... il écrit'it ;

..\.G
lertlafOX . Recto OUIE Yerso SOIE
bl ni,
2e CAÏITON ; Rectrt TOISE '- Yerso OIES
..-., 3e CARTAN ' Recto SORTIE - llerso ORTII:S
4e CARTOI| ' Recto TOISER - Verso ROTII'-S
v.4 ie CARTOiÿ . Recro SORTEZ
" 5e CART'ON . Rectl TO|<DS
u a cltttlue ccrlon dans unt ent.tlttppt
-;;;i
-t
;;;i'ii;i d, ptrru, ,ru ,*,,iàppes par s,oupe.s de.tle::x dttrt-c des"LttvL'Lap
,l,id'it"îit'i,iririi iroi t, bouT. Sur i'inrtiieui,tu )ubat rle l'ettreitt1tpt'!! ùl§rilltLl
ttoir 6II lr ou les tnoti qui :,t'trtil.tt:diarit dans les envela;tpc:; interttts ll etait
: in po..scrsio, tle trris giandr.s Lilv('l!'pl)t,ÿ de ibrmat 2] x 15 tt il cotnprit
qttc
,'t rïffouver, it lui laudraii Ltn mol'en ntnémotechnique
,,;"ioiiiiri ics y,i,etlrs L'une tles gran:-!e:; exycloppe.s L'art.t':tiaiî lts.mttt:; ) I ti
,.0 ,,rroit I'etn,eloppe J. ürte üutri, ciltitt't1ait les 4 mttts à "î t'aye!!ts' tt::'tntil
,. -. Lu Lleriliert COnt;nait l(s t?11)lS à tt, 5 et 6 v-o'i'tilc§, tt seroi t I'ent"i'lc1't7tr:.-1,
flt
,'.,.,rîo iOt, da gatt,,lte i clroite ilet,attt !ui, dans i'ovlre j, -1. -1. Mcig sott ilroblin;e
- t!ic{)r'e rcsoltt. lJien ittr, il autait puI nir, les tli'sséminer sur la scàne ttne tlartt un crtJ-
"
:tr L,tL cltu1se et u-tic pttlduc ,,i mais il ,;oulait ll7N!'it R quelclitc ciictse
.,..t I on.:otttiilettce à titrtis," /es t'r'r'e/irl L'i ies c{}r!s(}t111c5'
..' cle placer lr,s t"',is cu''ei"pi'tet dases un p!ï!e-{io{.1!r?1'enT:i. Jenndnt à tlt utt'i!
, "- i.iit s{}t{;!i.t{,Ltî avanr i;cxpt:iietzt:s e t r'ttra itlie lui Stlut. Il n'etsraiT altsrs. une J'iti:;
t,'l ,l;;ià sr,,rltir !d graniie'i1't1'{:li}ÿ{}{ t'o'r"rcsprincar''i {:u ilc'mbre d€ 1'{)'\'ellt's drttite..
-cli{}i-
_ , crivelçp7;t tle giutlie. "t l':rzvilitppe clu mili':.rt,.:!. ..î t;u {t I'tltrtelt;pnt: 'i:
f,lL &r'rr . t !ti.ér: di'coti-rtntirt,ta!! tr1ùr!!-LlrLL'u'ittL'ttîs ttt sl;.t;!, ou en pla-sllt;ue. iiu! s-'ouurirçiî
't:. ti)î?1!!1e ure pC;t.ltt!'!t:. Ct'!It itiir;iittr't eÜif itzlirCs:;arttC pür1{: qtt"ellc ÿ€.fii'tet- ii
..--rlrriio, la y.rafi{Je ey:ysiçtÿpe {t;t s!}tctttterir lwi-niine, aprës at'oir ùuÿer' le h{}tl
i1
'i, un portcfe_uille au..r"hattgc. ntais t:ela
,,),nuiac(r !'ett,)e!c,ppe t!tt ntili.eu par
'r.id.ëriibie*tent tu tifiie rl.t:,' t;ridirti'rsns eî ii 'rbantiûrtrtc !'idtt {l éuit près"
. .iL; ixçriti, il étçti jrtiau.: r l. Jl.'ri' ..il,L)iI lit L$î ÿ<:r;. il .:;'endormit Li ri';a ?tt'i!
:rL)tlC. le p/us Ôcr;lr t t lc nlits iùri '" ii
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183
..rÉrrr.,)
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1 lal\ ât
furréuei.llé le lenclemain par Georges qlti, respectueltsemetrt, ltt.
"n)[;J^ïl -:t
It-' 0 .rnidi u.n caJ'é noir, un jus.d'csrange et cleux scramblecl egg: : .
t,ers
saucisses. Il poussa alars tous les reliefs du petit déieuner sui-!, , *
lavoho et, n'at'dnt alors plus.assez de place pour se layer, il tlûida cle passer .,..,:*. *
remil directenlent au rraiail dt, ta veitte'itÀïri t;it iri;otàii iiriii-qiritia.""' " '
Il opta deJinitivement pour la solution clu porte-docutnen"ts et tJis trois eilL'€. :
revint ou seul problème qu'il n'avait pas résolu : comment, s,'il .t,oulait dlnner:.
cartes à mélanger" amener les cartes nécessaires et dûns la bon ordre sur le: r:
paquets et au bon n1otneilt......
Il .ett était à. ce paint de sa rëverie, lorsque Georges, touicsurs lui, s'enquir s:. :
débarrasser le lavabo er prévint Monsieur,'par ra mérne occâsirtn, qu''r, pàquri .
-:-
à la réce.ption. c'était un paqLtet cle la mais<tn Billl'. Fostée:s l'a'r,eille,'lei car;.. ,

arrittées le ruatin même au Cafardorë.


(les ge.ns^ar.,isés qui soignent îaujours leurs emballages avaient clispssë
les c;.::
deux boîtes de carton. Gontrand uit immédiatement le parti qu'i!'pourrair r, -.
pensa avec iuste raisctn qu'il suffirait de coincer les cartes clans?escr)uvercler;- ,.
nler un instanl les boîtes pour aiouter les cartes sur le jeu.
Porté par l'élan, il eut mêrne une eutre idée . r'elle rie tlessiner sur le fond 6t,s t ':r.rl
sorte. de.graphisr.ne, co.mprëhensible pour lui seul, et qui lui tlotuteiait perp€:._.1 ,
I'ordre des vo],elles et des consonnes.
Pttis, avec un_e pa.tience d'ange, il entreprit tle dessiner des lettres sur chaque car:; : .;
Il les awit divisées en deux tds et rtî moitié vctÿ,elles et ntoitié c'onsrsnnes. Il rct,:-
rience une au deux J'ttis et s'appréta pour le dîner- Il choisit une belle veste e1. ;:.. i,

sontmairentent lavé et copiettsement aspergé d'aou rle toiletîe, il descendir pottr ,,:p
fut fastueux. Le cuisinier, qui venait de recevoir un nouÿeau livre je cui,siite . ... :
-
recetles de Tante Genevièue, avait tenu àl'essa1,er touî de suite et ce fut un
Jes::..,
Tête de veau au chocolat cltaud, rognons blanc tlu cheffff, tourte clti t.aillei ct,:.-,
t'dourt. Bref. un vrai rëgal.
Puiy, le repas achavé, on s'enquit polirnent de sa santë ; cela ne faisait-il pas :..._.:
qu'il n'dvait rtuittë la chuntbre ? Il n'était pas malade au tnoins ? i n'avait besr.,,,.
Il pou.vait _compter sur ses voisins......... c;est alors qu'il expliqua qu'il ovcit pa::. -..:
iournées dans une intense concentrdtian et qu'il'pensaii êire en mesure'de i;,.:
jours où il était en f'orme, quel serait le mat ie plus long.... on voutlrait bien..
Est-ce qu'il pourrait faire un essai ?
il aquiesça et repartit dans sa chambre chercher le matériel nécessaire.

184
rhapitre :l tffi.lh4[A
il il il il.T;l ;l il il il ;|il il
---r :r-! ii;l il il il
;l ;l i! îl ;l

,. ü: j iillllful
I= ; il tl îl il il lr-l ;l ïl il itîlil il ïl ïIilil ilil ;l
i .i;: La I revint bientôt avec son porte-document qu'il confia
: iliL''
;ilr0lll
',f
' à une rougissante jeune fille qui était arrivée la
/ll1lllll1,,

L :*: I illtt veille et répondait au prénom d'lrma. Elle était ravis-


,r, '-: : rride et pudique. Tout de suite on lui avait présenté :

l ,frltlll
::=rroiselie Frodite, Gontrand de Fierjevole I Enchanté
lllllll
!
i if!'*
;,li:h-,r
iiüf/."

Lil[ilmrr
' : cnc mélanger séparément les voyelles et les consonnes et,
-i::nt,
-:-rnr ra{arma les
referma lac boites, no qui
l.rnitac ce orrt pour
nrri eut nntrr but
hrrt de
rlp rajouter
raintrfpr
; ."î. .t; ,fllllllllillil { : ::-ets de cartes et, ayant
avant attiré l'attention sur son support,
.i î i:'?ti1l/llllllllllli
'1i :''"Ill]ltllflrlllllllllll " ::manda de désigner les voyelles et les con§onnes. La com-
: it- slrr laquelle il était tombé était une des plus courantes :3voyelles et 3 ccnsonnes
!J-*ft -liîlllllliltutl
:: : donc l'enveloppe du milieu du porte-documents et la laissa bien en vue, pendant
- Jt' r| r,, :inrable assistance essayait de former un mot. On opta finalement pour le mot
, : - i. Alors, nonchalamment, Gontrand ouvrit la grande enveloppe et en extirpa
ilflrh,

'n. :r'!llll illllllllllfltfl '.; --es deux petites : celle qui se trouvait en haut. ll reposa la grande enveloppe sur
:4 liillil §4ûr lulillfllll't , .:':i docurnentset, après avoir tourné l'enveloppe longue du bon côté, il en sort!t le
ti'-: - 3t montra que la prédiction était exacte .... ll profita même de l'occasion pour
I ilL;:ililrlulr r,. -lntrer qu'avec les mêmes lettres ils auraient pu tout aussi- bien former d'autres
'U . ,,,'",,r,*-. - : i: cue c'était donc ENCORE PLUS FOHT l!!l
Éaï luillrù,
.l'le]l,' r,
I - @r
,,,
. -: fit grosse impression, tout l'hôtel en parla, puis le café en face de l'hôtel, puis
i&.,
rflfl,lllllllfltill'
,r -:'::and
de journaux, le boucher, qui l'était complètement ; et c'est ainsi que deux
I-liitrJtrulr ,iüililr
r. : : Js tard, Gontrand ne pouvait rnême plus aller uriner sans étre accaparé par quel-
,,,: :;-s-gêne qui lui demandaient des nouvelles de leur chat disparu trois jours plus
:1ü;r! ;iû)illllll]liltTrûrr :- nême s'il pourrait prédire le résultat de la loterie nationale. Lui leur répondait
.5it' TrlxHllrr ' "-' : -::lent :
: -: n'avez pas de nouvelles de votre fils, depuis 5 ans. Vous croyez qu'ii vous a
'g&ru iruun| ,,
;:r
-::-née.... mais non, il est mort, toutsimplement !Etlavieillepartaitrassurée.En
:{r û,u, : --s toute la ville le connaissait. On commencait même à lui attribuer des choses
L
- :,aitpasfaites. Bref, il grimpait au box-of{ice et cela n'était pas pour lui déplaire...
i.,"::.rt, il y avait lrma, elle n'avait pius de regard que pour lui. Elle avait une de ces
ti. ": :bscènes de baisser les yeux en rougissant qui laissait présager à Gontrand qu'il
: cienvenu d'essayer de tenter sa chance -...
"'.:,t donc de l'inviter à dîner ailleurs que dans l'hôtel, afin que les ragots qui
Jéjà bon train ne s'amplifiassent point. Gontrand acceptait les ragots quand
d'une élite, mais quand ils émanaient de la masse hélante du troupeau,
répugnaient ll le disalt lui-même:"je n'aime pas les ragots de mouton
' -: inviterait lrma, mais après son gala, car il savait par expérience que les garçonnes
r,,,, "
-: :écidé de se faire sauter ont une protendance à choisir sur la carte ce qu'il y a de
ft . ".- a'.

J'ailleurs jamais compris pourquoi


': I

3s â 93eâAeeccc üeocQccecceaccccecccoc
185
§
('
§+

'{i

oh. t] LEON DUGROI


c'est alors qu'il croisa dans I'escalier une jeune fille enceinte jusqu,aux
cieux qu: -
geait vers les communs. Eile s'appelait rhérèse et ceux qui
la connaissaient bien :,,
qu'iI n'y avait qu'une seule façon de la dérider...,".
La pauvre enfant avait eu une histoire lamentable : elie n'avait pu résister
au pa::û
l'hôtel. qui l'avait menacée de renvoi si ele ne se iaissait pas comblei";;l;-,
il était maladroit, elie s'était fait mettre en cloque dès Ia deuxième fois. Et ;,ie .,r
reconnaissant, i'avait flanquée illico à la porte. Elle n,avait pas seize
partir, pieds nus, vers i'abime, un soir d'orage, serrant contre elie son
ur,..t or., i.il
châle tro.-. ri
goisse alors que le verglas tombait à gros flocons......
qui vidait les poubelles de t,hôrer, t,homme qui de:_
lï:,:Y**9r*:.'lÏ.Tie
à mains nues les w.c. de l.'hôtel lorsqu'i-is àtaient obstrués par des cacas trop glc: :rL
foetus qu'on avait tassés là pour s'en débarrasser, brefffe, iéon DUGROIN
avai: :-§
avai! ::.:r
de reconnaître l'enfant pour que la petite retrouve sa place Tout le rlutluc monde:-qm : .ru
courant de l'historre, sauf la femme du patron. Elle avaii pensé par elle_même
plus confortable d'être assise derrière un tiroir caisse bien garni - :_:r,
même;;;;;,:--ü
que de garder sa fierte et de percer des trous cle g, quatlrze heures par jour
.:. ,
Alors, ne s'était aperçue de rien. Thérèse arrivait f th".-" dans une vüie d.ea.;
-elle
perte de celles-ci lui laissa présager |arrivée imminente de l,enfant.
celui-ci naquit dans les communs, dans l'indifférence générale. Il était moche
e: .;
air tellement con que n'importe qui en aurait pu être le père. Le patron de l.hi:;r.*
rancunier, promit de prêter une arrière-salle pour Ie bapGme.
c'est a-lors qu'il y eut rl-es
_polémiques pour savoir comment on appeilerait -::
Thérèse voulait I'appeler onésime, Léon voulait l,appeler Léon comme
lui, il d.s. :
avait bien mérite ça.... Irma voulait l'appeler philippe et le patron de t,hôte- i
l'appeler Prudent, comme lui.
on demanda donc à Gontrand de trancher. Il proposa Gédéon, ce qui n'emballa p.::l
Gontrand ne savait pas pourquoi, mais il trouvait que le gosse uruit ,.rn.
têtæ à . :
Gédéon. Il proposa donc à l'ensemble de la famille de faiie un test
jugement des astres.....
a. ,:u, ,.r..I
"t
Il":"*.t donc jusqu'à la chapelle la plus proche et. ayant glissé querque menue r:
distributeur de cierges., il revint à l'hôtel avec cinq magnifiques spécime:_,i
7§qt.l"
à l'or, confrappasaporte. c'était Thérèse Elle était toute J-ourlante et, en b.:-
Gédéon comprit quelle avait été sa dernière occupation.".. ..-à:..-:"1
r
\_tdl:h,
i'implora-t-e1le, vous qui pouvez tout. Aidez-moi à ce qu,on appelle :u
onésime". Thérèse était de ces gens simples qui avec ia mèàe t::-r*
-
croient à Dieu, au diable. aux guérisseurs, aux sourciers et que :
peuvent avoir le mauvais oeil.

186
l3
- .:in.i la rassiura et lui dit qu'il ferait tout son pnssiLrie.
",::Dticement. ü chargea le haut de la rnèche d'un des cierges par une rnèche qni se
-::e ctr.tand on souffle riessus. prit quelques riôrceârrx de papier ei un gros cenririer.
i ré-,init sorr petit rnonde dans 1'arrière-salle llu restaurâni. il drsirihila un *:ierge :-i

-.. en donnant ceiui qui était truquê à Thérèse Ensuile. il den.randa à lous ies pari,i-
, :.: tle n()mmeI
:.. 0€l
tler nornmeï l€
nornmer prénorn qU
le pfeliuill
prénr:rn qu'ils auraieni vouiu
ub aulatctlL soigneusetnent, i.i
et,, stJiÈirttiuùtLrltirL,
vuulu çt'! '1
l'écrivii. sur un
r1'écrlvr

-.ets q'.i'il pliait en 4. Il en fit ajors choisir un par une main i,rrrr.rtrren.ie, l.rritia le:i
.. :; rlemanda à chacun cle souffler son cierge. 11 dépiia ie billet reÊtant *t h-r : Oi'lE-
-rallun:ra
: -.\ ,-:r mon:ent précis, ie cierge cie la personne qui avait énorrcé 1e prêncm se
-,ri[, I C'est urr signe du ciei dit Gontrand : ii faut l'appeler Ûnésime. Et l*ut-;: ia
': i:clile, cierges en main, s'érnut en direr:tion de 1'église 1a plus prothe.
.:.nt ces quelques adulte-o partir à la queue leu-leu aver: leur bougie éteinre"Gorrtratld

IH , . ;u'ils n'avaient pas 1'air üon...". et i1 remonia d.ans sa cl'ramLrre, en se prnmettant


.---.:re I'expérience sur scène. car la ccml-rinl,ison rie ia hcugie qui se raliume avec lr:
. :. ,in hiliei tru:i scmblair interessante.."...

-:-nâ cinq hommes sur la scène, bien alignés, qui prennent chacun une bo'lgie
- 1.:. *.r'llll se
- ,::: iians un boca-i. Lu.i.yerrait bien iequel avaitia b,ougie truquée, reile qr"ri se raliume...
:ù1* * iil[]r -:...rrderait ies prénoms en cûmmenÇantpar lui. et c'est son prénom qri'ii écrirait cinq
a: : . :-:..iI[L , -: .es papiers. Ensuite. ii <iernanderait aux spectateurs de changer <le piace, enfin aux
-r lu i lilllii .-.1 etairni sur la scène. f;uis i1 ferait. choi.sir un ]:iiler. brûlerait les autres, ferait
.,li.L ,itLilL
. '.-' les baugies, ér'ioncer le prénorn restant et. à ce mcment précis, ia bougie du tvpe
'if,
" illll , -:rerait..... ça devrait laire un gros effei, sur scène. Lle plus. c'étaii publicltaire. il
.--. Iiler à chaque spectateur uoe pocheite ei'allumettes sur laquelle figurait sa
*:i:r* LlillllllL -...... brefffe, il était content et" redescendit vers la sa-ile de restaurant: prersc"rirne. Il
::E - lilrni ,-:..i le soii'-ià, en écoutân. Ia T.S"F.
r : ii 9il : dlü|, --,:lques réussiiæs et ii;rliait rronier quand son atkri:i,i*n liit altirée par de:; lrruit,s
-:s .le toutes sorkrs. La peiife troupe rentraji. lls éiaient tous lins heurrés, pire
-
a *'llÈ.. illlLllll

::: uri enterrernent et, À ies votr : cols durs déboutontés, vestes sur l'épaule. ven;re§
- pantaJons. cin ccmprenait que i'église n'avait p*s été leur seule escale. Pmdent
.. iies
+1 !Lliiill lnll à sa f+=rrnine qu'il l'avait, snrlie rlu ruisseau el, 1a iraitait de pr"lie. I-)t: son cÔté. *lie
-:
i.iliJii: û riil, - ::teit 1es quelques acti.,,ités qui a"*aieni permis à sa iiamille d* s'enricirir pendai:i. ia
* . :;inilis que Lôon, ie plus normaiement du mande. pissait par }a fente, da,ns la }-roil,e
- ::.s de i'hô""el. T'hérèse tenait à peine deL;c,ut et Gorriranrl dr-tt la remonlcr jusqu"à
: ."ie. Elle dégueula dans le i;idet et. dans ie môme geste. pissa sur ses bas.
- --:::a par,'i1t à sauver la face. {l'est etrle qui avait let gr-rsse. EIte ie tiraii dans un 1Ll
{I:;l[l]]lulti,,,, . .:: les flancs duquel on lisail llubo... Dubon... trlubi:nuet" Le gosse hurlaii ei." pixir
:sia"l . '- :-ire, c'n lui donna une petite rasade de calva"
"tilr ilr

*t: il(irrilruiiilLlltlllllli

:.:'i ne pouvait en souffrir davantage sortit pour faire un taur.


..- Ce dvoite el de gau,'he.......
:N{*if;I]]Iuil1ililr

!,il[flüllllllllllüiîrl
mMrifmr ' - - + ; ; + à+i;;+ià+t+--'èiià ):-)È il/à È>;è>>È*<+*<É*+<<*+<<<<+§**+ |

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187
14

x 'x ülLlllE lllB/N$


d,abandonner te monde exrérieur à
:i::idî,:j::::-o: "n,y,.h:rt
u ill1j'l: :1"Ï:::i,fit s'easasea
:::::.9f:j:rsé,
.gj:I dans le minuscute
sa frivole exai
ae marrre u;-ffi ; ;:;il i.,Ii:i,'i.ffi
,onrru, qui. en cahohnt di
i
conduisit jusque devant la porte de la
chamhre 41 0.

,1T:lf]::.'^:1r..'_T,ir:,i, lî sorr ,t se rendit jiii::J#;


arygrr.a ,0" ,orrrr, dans ta salle c
','rï:i1:':'r:r';î*o'j.:,':-'::':::ii::,i'ii;ilïi,;Ï:fi '-iiiïffiiJ:[il
,,,.1il,l-,-ï:1i,,d_.iri.,"i.,.J**il.-'il;iffi:ili;i;::ii
ii'J1l#J:il,l,::f
il,ïl,T:h:"r::::',liï:
ehaude, ou Srement tiède
ra tempéiature u, r;,rrl Ëil était frside. mais, dans
,i,ïj:liif;Jffi
Pendant que la baignoire se remplisait,
il ne savait trop que faire. l! prit une
des revues profas
fi:;: ïi:,i:i,.1T',î,iiï:1,:1"::
w.c., *i:.li iil;;,,, ;;;;' i; ;;;I';;i.,',,,* ,, ,es empi,a,
srapittanr une idée parci-parra. p"rurriqràiq;;ffii"güJ:;liri;i#T;l,l,liili:1"ï':
temps, ici ir était à moité en vacances. Du moins
t,rrrit-ir cru. c,était une revue rouge,,Foge.maere,,
r' ;;v;;;'';;;,1îri,,, r,,,,,,.,n,,,
flli,.Xi:,::"Hi',:.""'iï,':::-:'ll-:::i:ll;i*ii,,*s
tisaient avec dérices, en vantani resprit
rionoeu; Ëi,,;ïiilir.iu1,'.r,ïi:,ffil,,,ii,iii,ifil, ro
T,ï,,iiiÏ'",:;il",llr:iï::T:".,.,::l1.î
rrouver
;;u,i;,,i,nt-ou, ,;,;;;";;i,î, raisaienr ,,mbr,n,,lT
rà marière à nourrir.reurs rora*t'ronrtionirr"i".'c
il y a dix ans. re cheval vainqueur * r, ôraTrr-truton. *i-ii'r:ï,,i1ïJj'i;r:ii#Jrl;ii:rJl
Gontrand res connaisait hien. Dans
:T:H:ii,rillr":,:r:: ri* ,_1I?,1 pu,**ffi, re phénomène, d*
irs voreraienr au æcours de l;
en arrirmant bien haur que. d"une.ceri,ilj;ü;;ili9fi;il,iilJ:ïi:ïï:Xi,ir'.'JJ:Li:
iil":ii::i:"':i:1,:'-:" sonrrÀ i;i;;il*;;îl; réeramer une
r"' pi"
et Gontmnd tes enviaient....qr.ra, ,ouurrr:;iffi;'i;iffi;rüJi:iff:Ji:.,iiffJl",#
1i.11'j'ïi::';"' co:,1

i:iij:i.1,::l'.îTif":.':,y:1,:::!"n
un peu et rajouter de l,eau froide, jusqu,à
ü,*,. liil
r,eau étair rrop chaude.l falat donc en fa;:r r
nônn, tr*pàrutrrr...
Enfin il s'y plongea, goûtant pendant quelques
minutes les plaisirs iaponais d.une eau brûlante. p*s
û

ni::,;,r::::il:: re numéro 14. cerui ;;'G;;h,,;l' y avair


Iir.Ë,Jti',tarisme
qui i,avaii riscrné ,;;,;;;;;;;
li:,T,i::,11s-,'t,_c,éoit
;;; #:d; il'ii'#.;,i,:iïf,iï:' dedans *m

ll l'avait esayée plusieurs fois en public ælle qu'elle


étaitdécrite dans la revue, et margré tout le r
devait à Warlsck, il trouvait que cerhines,nosrs
'Frédictionr OrùLnt être simplifiées.
ll s'agissai! en fair, de trois
i;;; il'rïn"rlir,
e.iirr.-r* .roo,r. non rruquée et
rm
:fi,Hmli:,,t iffil:_*,::ï,i:,ïT:g:r::i;
avec des bouteiilæ, r'autre avec des iijrî"1i,i"iii,,,i",*,, de deux roça6
birea, r, trririJr- eroü;ffiffii#r:.iiil,ïi,iill

188
"qs

et*ilsi
rt .: -.Ersêii îur l* fsil q$û ics FrÉdisiisÉi§ *"0*;**t e*r!t*s À l'etuer* âvsË ?roissrai*s de ecu'

': :it *rii;arir**rles sraiss ds oouleür ; ii n'y *vait qu'un ::':agàcie* g:l-;*r *v*ir l'elF'iX ;t§el tsîai:i
: une rgiûæe ardeite aÿ** tï$is cra!r*s rie *sari**r di.ffÉr*ntr : qui vutui lIriF Fr*u'd*r'.'^.
::i
Ld.llrï til ll
' r . "=i chmes le riiif$nnmaierrt Elxcs{Ê :
,0ul!l" lli
rill , ei.i r*ealx f*rçages p§$r ufi seul *hcix iibre et puis le T*r'eage r'ies fuçirteiiies êtalt caæe=pieri ; i!
i ldmrni '.::rfer il* m*t*rtr:i sp*cixl l*urel *t rn *'*teit p,*-< dalts se* çqi*.... frlrçaç* pmLtr f*r§ag;e, at;l*iii
. ,Tlll , .s;r:bie per etjilitiæ* *æàrii+"....
*,?t* hi:;rne
!a:lÂ| ili lryt , :::ie ies fuill*ts n:anq;-eait de qrâee êt *ç-"â ufi ôrirïfuqit q"uailet, *n *rvait q*oilli mem* Ë*us*ir {al:;:
'll1
Ë!§": ill
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:fi m$lliriLllllL ...: c::i;r;sr ies Épingles ê ti*ge : tl ïr,r r*mÈiaçsr*it par dll v*È*tr g!*s r'nc-xdei.i* ct liiilr =r*i!que. ii
AllTT. {llrllrl
rlllli ie B*rtiq n &i* s,rr ies nrnpta*lx de i'arrlplse ot êe p*rtie"ir:*eiie a'.lr lcs tla*!j** t:iç lart*t ir..:a rr,:
:,
ilri llll*li :; :r gr*i:{ên:e pi:isqel'll axiste **q r*Êk::*qriâeiale peur r;rlier À* ilcler*}, !i $avait a'-:rtl :1r:"n ;;*l-:r
tffill"l ., I iàÈ. ii {r!i*it ;*rr**l'iis ips cl-:,i*;i qi* vsir-rr*. .. *i il s.; uit sia*ç t+l'r atçlir:. Fliisr i'rdtiitir''r :i:ir!ït.
l,rr:*$il . : : ::t :tês§*r i* tlltc3 : il av*i i u{c *tai is iel ÿr i$:iilr r iç+iu d t:u::lr *1.:ptiÉ'* airlir Pi:î;i!i *li'*
it T l, *rt i:t i'::
* r.Ëi,' liililililtl 1tffir
;1r - :::rir de h{** tle pr*hr: *v*i; üii!e tsri,*'srtrie lliastielue qu: t'avnit i.,i dæEærit *i d*r'iê.re et qli'
I tfl rirfiill ü. lli{,, . ,'r der #*ua *St*s c*r ies §eÈ;ilôes étaier;c *{erlrç**s da:rs it he*t du h!*r l-"ar dsg rivets. li l*tiirrir;
h.ù.ram# lû]llffi Ir'l .. ::t:iei c*e arididi]il d'iltr côti. in 5ltÊlri*g:i ';|!i:ils-L!c§ *r:r'iir'ir'tç, *1 ** !'iin-*iltct*; ie *i*e 't'; tr-';r
tm:. l.*mnmîr,,irlllrr, rfl Il
:T{ 3ÎltrltlilÏilflnililfl , ,:rnpii6arr l'un des cfttfo de soli 13ii,";rh**"Wiiliet 3v*Ë iie* biÊlstç ieleratiqr;es. trlAt§ *'*S!-le§
'I|.àr ti 1ill|l/üïi , -i eiin qir'i!* çer*foâ*r:l di§fcre*f; au î*i-!u,ier d* *$**ïaqr*r v:;l*nta:re. i§ e*i.tËireit l'*utre e*t,ii
fl1afl,*" ll llfiltilffii,
rniiir ; ;.-: *i!fâren*. il rntt4ts'*r*itsss fu;§l*rt§, !er r*griar+tai?l{ant l* p*rt*ttlurïie *1 aïstiriliT ceÈ*i-ei eü*lr:
'tr": flt ltilt lmtl .:.:iê:-ràrr, ers silv{&ftt *s !'a*tra **té. §i l;.si cie*Te!*de!*it d* snrlÉt l'iin de: foillett rà i'aue'xgT*tte, rle
I [É ; fllmfilllïi; r !u
I .: :: - j. $ê six3ir.! er" cle qa{prrnel lr port*f*,;lll;; iJ* fa*ilrr {iixs Ssis#T}*É a:e geeh* qrt*i bi!!*t s **,ê plie..'""
:,rfi"}i :'lîrr ml t r": r in*â.
I I $* -'liüllilllllu, -::-ri qir'#d*Ç le r*t*terrs*r:rertt de â'erdri§*. airl p**vaitv;'friiiiEûstfeie'* S prrêdicti*nç au Ëi** tÏ';lne'..
r:f .-* : lfirfffiItl ltrtl :-: .tele, i{ Èui fæâlait i:$e trêiy}ê : en deriderait d'a*n t*yarye" d'un* {s§le ***apatl+. *:i *h$isirait [*
Pit îi - ]ilI tilü$Tlû ..,:ltle,gamtarquedet'*uialrlr*hilap*;.rrs'yie$drs,tas*rircod'*r6*:rrtàempor!*r*tl*p*çsei**x
411m

":nciraiâ {*râee aqrx hiBle$ de ""r**que .,.i.


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1 &l r. ,ffirffifllt': r4j1il I :.*=!eLry tfi$:t* de §cn baiffi, i! çc'-+itaà*r* §e!: §;*cR* :
iâ':- rfi ilflllf,[rc, ., : : le h!ç*. d*sîian$erait à u*e pers**n* ei'y t*:rir* un m*r*hre de 4 çhl{fr*s *t de ie passer à s*n
,,,r,ri
.* 1*r;:111'llllgh
,irnuri -.:-: i! ailraiâ reealeillû 4 *kiffres, i! rr+ii vesn u$e *{itf* Pe!îiilÊil# *n i*i dentanda*t e!* falrt I'adcii'
!M . ::-: râ t*mpç, il desylsr:derrit à une g*rçonne rNe i'esç*sta**e d* penuæ: à us:* ç*ri*îts da cit1ô*'rats}"
r* ,: :,;ueile *iitr aimer*it 31ami, en y-B**n**s Ê1, esëfit qu'*tie ait fixri s*r'i clr*!x, çl âari;aiï" eii ha$1 *e
{ --*]]Ë]Hl i' lülllL rrl
, : ,.::iiss. l* mst dellar, S l'emvsis, st d* Sâuûhe è dr*!t*, Êt le reeu*urirait ll'*u *a*ÿre. Fuis iâ {*i
,nrn, r , , . :. raDêîr d* ia uedeÉ3e à iaqtl*3ie elË* e pe:t**i â! *i:,tisfltt ct'ls$lite. *x gr*s tiliHr*-:,;uste e* dev*l:lsJç"
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'lra.,'€,t-t'ni;rsçrs'
dss;:7§flua.fiü''r'9 ütl"-'8trve!i)!7i)'
la sr:r;:i:re i'ur'l ilii!iiai't 'it
mm'
[]u{Ël l[
r;ie surscsne et peut-r';tre vi" r'cecrureu ' *'nrç"i§u;l'il
Les prenières
combi* m*ntle vrtu!ait iouer"
::,t'à neaf heures, la sa!!e titait :o*:t.'
uniqur'trriri*r, qui aitrai! la chance tlt
;. eurflnt pour hut de sélectiontter tiri
. i,,-fie et !e grand mÇrfiefit' catnrnetl';a'
ru[t0' îll
s'embc;i{er à rnaitié tians
âüûrmuril trauvaient 6 grands verres. {)es v*rres pauveiettt
..:)crt se
*e,+ ''enagés à cet e{fet'

de /'alphs$ef'
,.:2 v€{t"8 se trauvait ufie !eit!'e
tE- ;ltüuï mm, thez Davidtt{{'
q.uetiltjî5 t;igares ûes ÿ{aLit-Brio* de
rul :';rrtiet verre, Gontftrïld p!âca
-=,-;ri. plaque
r: mü[ un stylo plune ar, .rsr' rie chine
'-: siàne, un ltrique{, i'lu"au et en Jastte
fttar"{i'ue
'liu''i ü" t'u'il ;*','t*; da-ç la salte céclara r:r'8 lPs
.:'iqme, ün ccttter 'u"'"'u'"''l'' frarics'
u,ï ., ._,t treies et estir.r;a *";;;'i';:
{*iiiri r;tiusieurs dizaines t!ç n'tilie et it tira st:r la Salrtn'bank
ou"'"i'"t'i' "" ç6rite't ii"
f - e tir:quir*uckeq"" 'irqi'i it sartil ttr re!evé
!!s.î'lul[
- : : itietrt), u' ar"i aàc itc; f:'::::ii;'i'i'ti"' Pttts
': patti
eu spectateür
':,i::;;,'ir'i{§iîJ,îiii'r-u::i.,i:{.;:;'iiiÏi, " dernanda 'l;ne
. ,unrt ' Juste une Pièce !
'A'f
pa( unr' !8tt'"e
*t thaqt'te verrs étail symbolise
cût)tenait tlçnc quelque chçse
t r.

..:i cansiste le défr

trtrErelr 'r i nH

"rf, l" illîl ltdllllfl

!flrr Tli ,L L illllllfii

191
x8

ous atlsz devair, au t!épart cle l'expértence, placer ces verres à vatre ccn,,:-,
changer autant cie fais que vaus voulez et donc placer n'intporte quel c: :- t
{
n'importe quel lettre. Ensuite, nous ouvi'irons l'envelappe. Ëlle contient cles ins!,-_
i
vaus feront permuter ia place cles objeTs. De temps à autre, vous clevrez me renc-.
objetsjusqu,àcegu,iln,enresteplusqu,un.Cedernierobfetvousappartiendra,,,
pttisse être et, d'avance, je vous scuhaite hrsnne chance......

La salle retenait san souffle. Le spectateur changea la place rle quelques objets pt :
remit l'enveloppe à Gontrand qui la ctécacheta et en sortit une feuilte de papier :-
à l'huissier"

Celui'ci se placa devant le micraphone et iut lenlement les instructions, taficlis qua :
teur les exécutait : changez le briquet avec le collier, le collier avec {e stylo, et -:-
l'objet qui se trauve à la lettre r. c'était le styla.... changez le rnillian avec l'i,- :
abiets qui se trauvent soir â sa draite, soit d sa gauclte..... changez lc collier et :€ :-
rendez-m oi A. etc... ".. ll q
^,
\U,,
Le suspense allait croissant. Bientôt i! ne restait plus que deux ahjets en liste : le: :
et le million. Rendez-moi..... il y eut un saspense".".. le spectateur se voyait déla r-
et l'huissier poursuivit""... l'objet qui se trai.tve à la lettre c...... c'était le miltion... :
teur restait avec sa ntise de départ....". et la salte éclata en apytlaudissernents. c,éta : : _

tl n'y avait que le spectateur tlui étaii un peu rnaussade, mais, cornme leur dit Go-:-.
ea conclusian, sl c'était moi qui avait perdu.... vüus auriez tous été un peu décu :- 1ti.

vaus-mêmes...... et il rempacha le thèque.


m1"

Gantrand avait taut ramené dans sa lage où lrma I'attentlait. Et le miracle se pr.:- r ,1lL

se jeta à san cau, eile voulait diner dvec lui, ils iraient c!îner ensemtsle.
l
Ce qui fat dit fut fait et ils passèrent ensemble une nuit inctubliable. Gontrand ave : :â
,,il i
costume ele scène tetlernent il était pressé et il s'était dit qu'il repren,Jrait san me:.- :.,
demain. Dans son délire, il avaua même à trma gue I'expérience. q;re l'icltje n'éta :::_ ll,
elle était d'un Américain nantmé rPaul
tt't ttv!tilltÇ clJfrRYt Ltut
aLtt Çu,1rt qui ttn'en avait tdtL
trt, dvdtt qu'un
fait qu truc de c;.::"-.1.
uu l{uL.Ge ctc::".- ïul
peut-être bien voir le parti publicitaire que I'on pouvait en tirer sur scene..". Bref , ]iiui iillh,.

l'habillage, r,:ais le principe premier ne !ui appartenait pas mi ,

'illllr
.

Le réveil fut très triste" ll était midi passé, il était


seul dans la charnbre et son be.-
cte scène gisait sur le ptanger. t'l apoela lrrna, sans réponse, €t eut soatlain un pre::.:
il secaua san ÇÇstun)e : il titait vide . le million avait r!!sparu"..... tl le secoua en ::
pasdedoutes"ll descenditentrornbeetappritàlaréceptionqu'lrmaavaitquitté -:1-,-r
neuf heures du matin.... ll se precipita à la succursale de ta sattin-bank la plus:-:,:
chèque avait éttj tauché

li fut pris ri'une immense amertume et se demanda ce qu'il pourrait faire: il 11't. :,i -
faire-... au si peu. c'est alors que sün regard tomba sur !'exernplaire de le revue';F, --
qui traînait sur ia courte-painte. ll allait leur écrire, décrire l'expérience et racon:.- ;
venture afin qu'elle serve de lecon. C'est ainsi que plusieurs iours plus tard les ré:z:
"Folle'magie" trouvèrent sur leur bureau une importante envefoppe" san conten.- ::a; :
fient importanî qu'ils dét:iderent de passer !'article.
ta
L'effet y était décrit dans son tntégralité, et suivaient plusieurs feitilles d'explicatic-
V

L92
)\
i;dtfll0liûlil iltll ?
§r.tffitüillmflfl1|" iM RIETLT
:T'1U rll§l il{*fli I ÿ^:!l
r 4fi,f flffii
J:Lüili ,rllllilll
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f rnç ;trrflllll,lffiilll'
G FIIRJEI,OTTË §PEüIRtE rt $l.lt
11l@ïfllmflillililfl
'i

# ilfimffiflmi.'
n/r .ilfitililliilfiir't
.-rrfd Jlü§nlrli
, hrillant ami. C. de i'IERIE- enlever la première instrr-rction.
.-L. t,rtriottr: egal i ltti-ntente. urc.' Si le nrillion est placé en B D F'. il n'y a
, rismffi ffiil, :r't con lui connait. tloes it again. I1 rien à faire.
-,:. for the magic liaternity. un r.le tJne éturle détail1ée des inslructit)ns per-
:,r,js personncls. dont l'tntérft est met de ntieux conrrlrendre :

. : nolts n'hésitons pas à en faire trn


::.r spécial. Permutez le mrllion avec l'un iles derix
rùlpe prernier en est bien connu : objets adjacents.
:irà lait des tours semblebles avec Permutez le stylc et le colller
'. -inètes. des zoos- rnais toujours Permutez le cigare lve c le stylo
"*9 rffir.,, rnre cle carré. L'originalité dépe nd Permute z le briquet avee le collier
:,ilt .üm, l.iit que tolit se trouve slrr une Permutez le million avec la p.ièce.
Ê-,,t/i[ .,1gne. On croit savcir que celte Rendez-moi F.
--.,1jil eSt due au génic d'une grande Permutez la pièce avec I'ur-t des dcux
"in$fl1'"
: Jticienne d'Outre Manche
. : obiets adjacents
. (iardner. Rendez-moi A.
' I ) , Jeur st'lutions. suir unt quc Pernrulez la pièce avec l'un des deur
-:
-..i|Êuir place le chèque err AC-[- ou objets adjacents
Rendez--moi B.
., r1t' à se souvenir puisqiie les trois Perrnutez la pièce avec l'urt tlcs deu.x
': .i.r 1er cas (;\CL ) f orment un nrot objets ar-ljacents
It. trr.,Ficicn. (r,nilris\ùn l R.endez-mor E.
Rcndez-rnoi ('.
iiiorr est pliicé en A C I-. il faut Vous qardez i).

No62

193
''l:',.;' l
-
. ::-r
l:rt : 1;'l f.i::: 1.:,1;.' I

,f
J
:'

i r--l r-
2
lors, une fols so rogne passée, une fojs so
lettre expédiée, Gontrand porto plo,_:t
le principe r/ opprit qu'rrmo étoit bien ,onnue
u.ne
c'e, services de porice et sous
s?rte de fichter des endrotts à to morte,
- c
i,r:r":,!::'r",:,:.:,?:u,rrn
,:li:":.:11.e et
des
vutnérobtes. E,e tr,rr,iii"rr'*,r'r;li';riitr':,_
ç;-.
tuseoit
,1u'1r.te
etle décrociatt t" s,,, tot-'. .- L:,)L,i,,,i,,'';",;:;:,,i:',i,i;,-
?::::::: ,i:"?':
surnommée /bmonte à:',: !"."'
/istes.......
Gontrand se dlt alors qu'il fo/lait se remettre lmmédiatemenrau ffovall. lln,ovoit
pour subsister et plus beoucous : ;"
ses économies devarent aider rrma
à se ro courer cro,ce, sous rr;;;;:;;;ï..-
dessinoundindan.euet oeuilefais,pensait_it
::: ,:ri;::;rdelofarceet,machtnotementit .tE:.. -.

ll découpo le dindon en plusleurs.marceoux de f-açon


étolt un de ceux qui t,voit envoyé une réponse u, oeuf...... ll étoit très hobile; _:
à former
rorrrrr, pour re puzzre du dropecu. rl envo;.,'
dlndon à «Folle Mogte» qui, aussltôt, remit :-"
trols obonnements en ieu....". Ceto fit ù
publicité' ll pensa que les mogiciens pouvoient Gontrond _-. :
aussi étre un morché et il invefito une
métho;: :-
,n,n01.,!,,: o, rétéphone. Bien que te
Zi!jfi,"*.?:^::.1::,
foisott grosse impression. ,/"
truc et1 tui_même soit for: -: *,
*:
ll en vendit énorméme:nt, ,, oJ,i),ïir*;r;;:;:r:;:i;i:rti;;".rt
L',el'fet était simpre. Gontrond se trauvoit
chez des amis, it empruntoit un
leu cle cortes et fat:: : _.
cet/e<tétoit perdue dons ie jeu ,t co,t,o,,i)arloit
ff,,r:,,:^y.i,,,.!,:,::.r,:::
omis qui pouvoiï deviner des l?*ée. olors; -_ :^
cortes à distance.'t/
lui-même, puis ou bout du fil on luj révélait
;r;r;;;;/;;",i îràiir,'"i,ir',i:;:ri:?:::-".
_,
lo ,orr" ,ho,r,"
Le truc se passalt de
lo façon suivante ; il avoit ocheté deux cornets
et il ovoit écrit le non des :
-
':;i::::,y::.1-::', o:::,s pyb, en ro,n d, chaque _

le ,t'outy corte, il ovoit mis un préno^. i


Son ami s'oppetoit
iriii,l'#,iliîÏ!ï;;,'." Du)ont, -,u ir )'ii,,';;;;;;;;;;:;;;,:'r:::: :,

connoissoit,
connûiss1il, m0is uur» te leu' tl exécutoit une corte à -;
n'essoyoit pn
mqis n,es.savnit e, nt,.t,n
ouéun ,r, .t^ t- _-^. ter""'
--. aiü'riirîrtttc "r"æ
doit même qiii il-rïiii àans t,étui. il donnoit mêne le ieu a *aioisr, ..
-
Puis' i/ sortait son cornet en disant
; «i'oi un omi qui possède un don extraardinaire.
,"i,ïrtiii,ir.Ti tetephonez. D,oi,eurs, !l vo de: _--
rar ii'ri:r'rr.tro. vorlsiipei)iïni,nl,r t R,tNÇa,: ..
Et, blen sur, it affubtait Mot
correspondont à la carte cholsie.
4tnn*!
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loturrou ,, irnN/€4
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e rclëphone sonnoit ;
Ï :
-lltz_ , Allo, ie voudrais porler à Monsieur Fronçois Machin,
- .Ne quittez pos, ie vois le chercher..... en fait, il outrzit son cornet qui étoit en perfionence
près du téléphone et cherchoit le nom de la corte qui correspondait cu prénom de François...-.
,'t . -'tis, c'étoit un peu plus difficile :
: ;,oudrais parler à Monsieur Mochin.
u"rr .'. cu le fils ?
'Lrr . . :110chin......

, . cudrois porler à Monsieur fulochin.


, "pèreaulefils?
IJ iuüillllilli " . fùit de ld trlnsmission de pensée.....
tr Jmfl . : en fznt tous les deux ......
|J!r@ J/]ll
',i ct in.....
h

l- iûtm|!]llnilJ,J/ilr -, , ous le t her, lter .....

:'\!', :'-)?, un spectoteur incrédule demandait à recommencer l'expérience pendont que Machin étoit au

';-t-là, Gontrond forçoit à une des personnes de I'ossistance une corte dont ils ovaient convenu à
,r :; tout le monde n'y voyalt que du feu.

. :.ec lu yente de ce tru{, eui une rentrée d'orgent substontielle et redéntarra en trombe. ll pensait
i -'. ie truc à la Maison Billy. Pour en retrouver I'odresse, ll reprit lo revue «Folle Magie» et il tombo
| ' :: :€ lnnonce : «L'immonde Merlin venait de rééditer ses fiotes de cordes et même d'aiouter un
nr, ':-:e à lo série. Ce torne, qui ne contenait que des nouveautés, ne c.oûtoit que 60Frs.Gontrondse
ir r .:- i une offaire et envoyo un mondot B rue Béranger, ofin de les recevoir pdr retour du c'ourrier :
iri - tde idéole, il était en vdcances, il auroit le temps de les étudler à fond........
5 llllilllllir

âIt m€ilin'l §c^p€§ r€il€


Ë11

8Hryli]lt[ililll

;)§ iltr

:]EIIYIH PARLI 11
.=; cordomanes ! Le troisième tome de mes lectures
::r-1r. Entièrement réalisé dans le même style que 1es
' : avec des dessins de Hodges, vous y trouverez une
r " ::jets nouveaux : une double corde grandissante, un
ur' r- - :1te au bluff, une multiple corde coupée et I'enclavage
- :, age de deux ânneaux de cordes non truqués, ainsi
. ::'-rnois de corde.
OG rRI
ErlPMIffE BIDICRûE OrlII t'fluTtuR
û[jE BIRRIIGTR OOI/O BffOilGIIT
197
i«]

,.â
inat
Â(p^ t c'est pourquoi, par une belle après'midi, il serenditchez Billy. Fière'
lll tN\/) ment situé à l'angle de la rue du Sommerard et de la rue des Carmes, le
L- i : magasin avait fière allure. On y trouvait tout le matériel classique e:
\,î\- mê'me de temps à autre quelques nouveautés en nombre restreint qui ne
.1

,ti
il se trouvaient pas sur le catalogue. C'est pourguoi, tous les vrais amoureux de magie en'
traient voir, dès qu'ils passaient aux alentours, s'il n'y avait "rien de neuf"...
Et c'est ce que fit Gontrand. A sa grande stupÉfaction, on démontrait'là une machine
parlante,
'la le rotogratophone. Et de plus c'était un tour de mentalisme. La prédiction de
carte choisie était enregistrée sur un disque que l'on tournait à la main. Le taut étati
!éger, rnaniable, et se rep!iait pour le voyage. L'invent"eur en était un certain DURATY
qui monnayait l'apparei! pour la somrne dérisoire de frs 65,- Aussitôt, Gontrand se
porta acquéreur de l'engin et comme il lui restait cinq francs de monnaie, il demanda
pour
'l! faire un gag s'il y avait des tours à 5 frs....
y en a même-à 4 frs : tui répondit soeur Anne, la vendeuse en chef , ainsi nommée
pa'rce
'les qu'elle était toujours vêtue de noir et que c'est elle qui, la première, voyait vent'
ctiènts.... Nous avons une nouveauté loufoque qui ptaft dans les salons et qui n:
coûte, accrochez-vaus, que QUATRE F R,4NCS. Ce tour a pour mm "Select Degueulls"
ou les rubans à la bouche : l'apérateur mange n'importe quai et, hop ! il se met à
vornir un artistique entrelas de papiers de soie de couleur et, pour peu qu'on plombe
le boul, ça se déroule tout seul en sartanl de la bouche. L'ensemble a 6 mètres cie
long et au moins 5 couleurs différentes. Pour 4 francs, vraiement c'est une trauvaille.
C'eit moins cher qu'une bouteille de vin du postillon et le dégueulis est bien plu:
beau... C'est comme qui dirait la différence qu'il y a entre une télé en noir et une e.
couleur. Vamir en scène, OUI ! mais pas n'imparte quoi.....
En sortant, il fut hélé par une cartomantienne qui voulait lui prédire son avenir contre
quelques pièces. ll l'envoya promener, mais curteusernent,.la vieitle s'accro-cha, lu
àemanda l'aumône : qu'as-tu à me prédire de si rmportant, à moi, un mentaliste ? Ta
propre mort, tui dit-etle. Auand le cog aura chanté trois fois, tu auras cessé d'exister'.
Tu dérailtes, ta vieille, dit-il en la bausculant; et il reprit le chemin de chez lui. Eier
sûr, il ne croyait pas à !a prédiction" mais ce qui I'ennuyait, c'est que sa concierge ava':
un coq".. Alors, subrepticement, il entra dans le poulailler et lui tordit le cou... Le ler-
demain, dimanche" il fut réveillé par la radio. Cela l'étonna car il ne se souvenait pas.
l'avoir branchée... Un imitateur singeait Sheila et c'était agaçant. Comme tes aud''
teurs avaient beaucoup téléphoné, on passa un autre disque de l'imitateur, dars
lequet il parociiait Dalida : c'était à la limite du soutenable. Auand enfin, il ento''
na une chanson de Mireille Mathieu, Gontrand trépassa d'un coup, sans souffrt'-
Yves Lecoq venait de chanter pour la troisième fois...

B RUE DE$ OÊNMEG* Eff

198
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:ire s.à§,t§ .Aljd;t,flis§ **1"'i:unt.*uttir *-'uir *r*r!t îü+;.n*.c.!s;.vfi*x *çsr
rr
'..
:iir* ç,i â i* rnaiscn."..] !-"ærrs*mrh|* deii f+r.r,nitii"â,§-r;rr,.,,*']"i,;ï,;_.'ir,.;
ù i'rrr''{r'ri"\'::.'i
'" ,,.,,., o clla*-,h,r: i
i
, -'eæière .-Jéiaareh* **:*sisie * se re*dr* ii*ns u,r !*adig È?*rii.
:i q**i *:*gasin r,rsndânt ** r.ii*Ic r:,iryi. i
cii: mat*rier i,æu*ii. vàl;s rsrqflj*x ia !!st* au,r*n*à,i,
:- ': ii.:l riem:-qndee o"ie ri$us f*#rnir r"emseEmhr*. .§! u**s §
n,y **nnu;ur*r r;"*il !
- -. ;lii;.?r'rlez pa; ;! f*u.!i,rr tlanE les tirçjrs.;.ç",.q .É,p4sii-.+â

ffi . i3.";*u[.e chose qrls v$*s !ir., dîi]ur,âr{.:i ru, li ,iiü"i- 'rÿa*r''
: :rr.:s les r.lrq-rsst*res" i! y *n a B**r 6 fre,....
i?r:î *=",*uair,_ i
r,.,,r"-'fr*-'ii.t,;'
' n':ii **-i:L\i'/ $

' -i f3ùrJiâ pc,sÊr ce had-qe t*e r,gerih.ttsu$ rlt,


§

sl vrlu§ $,a?É!r pû.",.-.:|1: psr-,.,,5,. i


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Ëi.ff ffi Ê'g's'*'§'â.Bïi*irÏm'r-tt ûn
TRANSISTORS
T1. AC 128
T2. AC128 îüü
LAMPES (2)
LEDS ou oiOOeS er
crectrolumineccentes'

li
diamètrà 3 t"o-rlîî 3 volts, l0 mA, I

ii[Ë"rirtiïf;ï;î,:,ïili'"etendirrérentsvortases.
§.!§iefliflq-l3fËi iRJs,jT! pour pire de e v.
TB1;..1"#!gj"c3.e3[Ë'flrillô$,ilB,àiXî?,Xi,
lBâsEIi:ij,ô,IX:.,:r,:ii."'il,ü,Bià?#TiiË3;
l":âi"x:ffi ru:i::l"iiïil;#jHt;iff :.,]i,Tî".
rous à r.endrdiiï.d"Ë,j*:i';,#!i'i:*
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BAÎRTTTE'
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les seuls$:J3rfi,Jîa j::, j:"t #lt
rrôi*n.'","ir'Ii'" InonElge des condensateurs,
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sage, d'une ::,ïË,?'r"'"jg:_fi
croix. Sur le ütema-, une .{i;5e"iï'.'iïË'ffi
"u "u, 'Lï',::
ce pôle. -r indique i,eripiacement
de
Montez les résistances.

Ë i riË1i::iiliî:n'*::" "Ii:11"n t so i n qu

itrÈti*.I=ü[ÉËï+lfr
ii';,i#liili
1, 9'e",u d" Ë il iË :,' nà o-'""r o
[
'irh,5iüiî*lffiffi
11
ce que les transistors ne châ,,f+â-+:-^ - , 1"1§=l
--.--upltsso. Attention à
r' ü

;:l#:i"".ïi:ï*T;lf ::iïi#Ïi"iu,,?'Jl,"i"1,i"1ïoiî.otï"":î i-mtr


i.i:'L':ffi ,";,ï'ïlï'r.":!,i1,Ti'fr ;,ïï'Ëi3,T.'ili:Ji,H:,'r':i
. -.. -es composants est fhs T[
Itl

sans attendre.,-- défecfueux. Cf,rngr"I-Ë


üItil-IEt
200 !iü
tr \\
il
!-
p))
I
ü

tiir'- DES LAMPES


.* r:itlct
"-AGEâu niveau des leds se fait soit em soudmt (respectez leurs
L:r rr' '§es), soit à l'aide d'un domino. Ces derniers
seront §oi!é§
ur" : iradç. Les fils d'alimentation des lampes doiyent être længs.
,,'-grîion ôr.l sÊns de branchernent de la pi!e. Les pattes des eie_
flr*-: trop longs seront coupées. La pile et [e module peuverst être
nr rr :ens une petite boîte, seuls les fils des leds sortiront. On pla*e-
r .: rodule et ion alimentation dans sa pochette du vestbrr, ie
ur*r p rst épinglé au-dessus de la pochette de f4on â dissirnuler"les

r 4).
iri|ri: :
- Un interrupteur peutêtre branché sur um fil d,alimentation
nil il:rn à faclliter la mise en marche ou l,arrêt du clignotant. {fig.
I ::,r la ten:ion des ieds : 2 vdts, lS mA, eonvie-nt tout ausii

C
f

r#
"Y
ruiliii :t€ vous reste plus qu'à copier le dessin de la petite lapine
*:,: æs vous a mitonné avec le talent qui lui est
luu couturnier et,
iflflfl : r !'appareil en place, il ne vous reste plus qu,à entrer en
iûmrr "
-es myopes s'qprocheront de vous. profitez+n. euant
ilrluii ;-xrytes.,". elles vous verront arriver de loin, mais tre lg
ûiim rq!- ias : elle* ont aussi lanrs charmee..,.. suile page I

201
vÀn, IArIoIf-:Æ
,g,Ü;, TT ô
?ËAIrT
p[§[il
[r T
Il I ru
est une routine bien q'"r
dans laquelle
l,no,,i
-* oeuf.
{n,tn*À en
un foulard ^ debrne.ens_uite le ffuconeilr7;\;
"1r?!y,
^^_.r On--":::' '*qu(tte fi?:
4:tt
aue tl'oeuf
que
ruÉ --,
ueuJ est -_^1.-.
creux
creiux :
; on refait
refait alors l,expérience
.est
contbndrc le pablic. on ,casse l.oeuf dans un
i:
rtnnc n-et^ )ouUii,
_^-.-: ui oette....
oene... ErE:

* "*#i
dani
^cette
::ttiitî:::,,,
:
Ti ii f: yo;,e
i m b t e !,e,;t; i,"lx;;:,i;; r:ii iri,,:;
1 ; ei iTL,,,
:
ta1tp*seitàiln* "i,
L'::,f
zür*'ü:i,;;;!;i,;,i::Ë,i,ii:,1:;,r:,;,ibî,f
"ài"iË, "*o
I'u.!i!ke un oeuf creux
co^tté"e.dessui7,;;;,;;l,il,il::r'î:"f
oeu7, te monffe le ::,:,5,i#:îi,
me lors :
*au, j,explique ,tiiii-i]rir r* o

{}:;:';x:î;'fff}'i: :::i oeuf à.!'em\atmage de *


iiliixxr'iii*:";li;,i#iî":{iî!,'i,itr,
;
i
çi,x u: ;, i?i 1r *: :; r iili t,,,
f lf,,"1,:r:{::::î:i::{{:îT;:;j;;*ii:i::;:T,#:
pou.ce gaucbe se retire
*
motn
matn se tlouoent
ttôrtttons comr. 'v, ucut
.^**Ib:-!d-onnanl son_ ,i
oruy et l*-
, À
l**r"1,'i1*";r;:;';,'f ,i;i!;çs:r;fr"::#,:riî:r^,
l\iT',:"'il':*'!.ÿ::l',*,r,ü-ià.",i,ii,i,','a,,
tous les tpr"tot"uri-i*r'""'' 'cr ueux mù'ns s ecfi
tt persaadée que le
t oeul..... foulorci À
Réponse du board of directeurs
;
Cette idee nous a semblé intémcco-+^ al
,rrçrç§arrre et c^r^^z
la orrenl à -jjnln-Ttt"nte er c'est
ta publions. qrunil'nî pouqi-h?r
est pourqiù@

11-- ,',,ff l; g::


gfim:h ^qÈ -îAï
JJJ'.:Ëir:-,i:: .,iïnT#
:: ljJ:ï#,îrëüN'ffi'*ï..i:,,"T: T
ï f,r:!È.I a:t::.t3j

On utilise
/.....) ,

Qi Yl:ï"t avec une pasrille noire,


un oeuf creux,
et deux foulards noirs.
une bofte à oeuf.

202
E.

:'iÀ.4ï/Glir:
i-i crc&x e§{ recouveËi ri'un foerXart{ *t plâe* d:tns le
:. ': à tl+uf. I-'oeuf Yérit&tlle e§t plêeé à *rité, pâ§titrXrl ndlire
',r*é{ateur. [,e second foularè est pl*Ùé *ians ]* p*ch.r:
,. i* ?eston {fïg.5}.
- I l.\.I i
h}\
. -:z !â Lroite â oeuf. &fôntrez le véritable ûeuf en {iÊc'h*nt al
'-..,ir uut ia pastil{e svec le pouce dri}it et $lacer l'(}r:{!f' *
,r." -: i:ocfue où §e tr{}uve le t'outrard. f
T'
t
lez êlor§ de faine ü{r voyage et tr'Ënsf,§rmez ie fortl*'rel
l'ry, ;-li et ressûrtez le fouiarà i{e tre pocire en dis;rnt que trE§

ti
t)n
r
.'.
rbjrts l:ttÉ chângé de place,. Gflaev de reed]l1lnlente'
ie nc*.
;\1 .r'r' l'{ieiÈt
h--'l iÈDi,icez le ioulard d'**s l* Prtehe 'JF<liLe ' ÿilcimt§eÀ
-r
. _1 ;-,,- ljJlriiilt"e
-r :rforffieE-le en foulard."..
L-- j, 1liîlitülll -ireneer à débiner le t:uc en disal}i :
lA,a' "- lJilltllf ': ::r. p&xli' faire ce tr1àcr, ii faut.usl n415ftleuaiâ:ne
çvc:urx {rno*tà?z'
f*mirr*
.i ; i14t1tÉllltl
, , -itii:r t'ouiards {vous s*rtez altlrs tre
-:' l; : -lChe-..i,
,i*: -i,. r'fllllllilltfrirf

x.w j "..-. t:tTlulit lii& ,.. .;t 13 puirlie récupéler dr"trX seî'findes pui'! c{ilYlmeÊÎ+r
:: i. ". rlillillllllll*|il -, :\pii;âtÀ{.!t!, eit assuranf â v*tre puk'rlic i1u'il §i}rÈrâ dtl
r."i : ,i ,;5r " i^rihatlt faire l'expérience'..'
;rr'-
"
- ,le cermn:encer, .ie place secrêterâ'Pefii çe fE:slaril d*:ls
r -:i'L+ droite et .i';xJiibe un fo*lard e;. ur: oeil{ {v;;lr:r
!:* r : 1.,. lllilllfil]hliiil r ' -:. I'*e*f cceux *t le folri*rd). Fuis j* Ëais:*s;:ii[an9 é*
; :-.;:r "îtuÎ !ilr "' l'+eul Eïaxs ia P{}ehe me!§, e*r ne*â}r:é, je i* Ê'sr'le i"lft-l
';l * r .iiillBliliiillllÉ' -. r.}§.ais ç4, glersonfie lle !e §âit..."' (voirs ie faite: s'ans
-:iisier sur tra ilsiir:n d'empanmage..., glÊri{}ui si vi;us
, - : routine de boules atrlres.-.').
*'1j !: "il, .; llil1fi!ili - -... reste i]liis qu'à renker ie faulxr* clans l'oer;f *â À
LJ Li "r.",:"r iriilllllllil{r
-.' - " ,. *;I*; rlllü(llll
r --.i ic seconri foulsrei d* i:l pr-ir-:he.... {vous !e f,aites""
. : :.:lie rit bêternent"...)
,:': "i*. Y lülll,'
| ! ;. ,r rilüilftül I - -: !'{iÀl§ âYex ct}finpri§, je vxis mairlterÏasrt voug rflL}&tr':r
!r *a;* .iliill,llllllli illlt' ï::Ênee invers*. 3e replaee le fi;lllard dans la prlehe *T
t* i ü -"-t ü,' ülr ,Uil +uf dans la rnaiv:. J* transfomne tr"oeuf en for:lxrrl
. , rrtez le ftluletd de I'oeuf et !e ptlhlic r.if de 5rh:s en
r :t lement).
.l i;i 1". ',,Jll,"ri Ûlr
1*iü/ . "' "l,iliùilllllllllllr dlr
.. . iau{ un pe{! d'irabitelé : je <I:"epe lo. fo§lsrd §{'!i !'i1â
:rg 6l e{, sûu§ eouvert de celui-ei, je. larsse torrltær:
:ùe j'artrape en main droàte (fig. ?i ; je pltrnge c*Éte
,ltt ndff eI

'-''l-,"":. - : ,,illdill " -,t..i***nt dans la poche et je fais sernblânt C'en


r '-: l'o*uf que .l'âvai§ dans la ffiatn.,". {er; fait, vsu§ âver
: ,.. - - rné l'creuf creux et pris le vrai, en !.tne fraction Ele
, " r:. devsn{ un public qui ne se doute de rie* et qui rit
I :"l,-i'- - .. llülüir ,lllL
:r -":î,r!-r€flt, de pius eû p!u§ 1Étement...'"). Vous vol.ls
L{Ir]EL: t r rüllllil r, " :- ,lonc aÿec un foulard en maitr et le vrai *euf que
:sl§ irt::r "' ùillj|lllltffiî ,, i:,iez en rnain gauche.
,a.l;r: : -
,:

.--r'inoi rme débarrassez des foularEls et je vaÀs donner


,r,llllruu,
,,,,.;
lr :ï:1 rmc supplémentaire à ceux qui veulent vrâirTrent
iir-" .rpériencè"".. (d'un geste désinveille' Ysus rangeu le
,...-": risibie dans la bofte à oeuf, puis vouc plongeli 1â
nr; " -:oite dans ta poche et sortez l'trcuf, creux SÜU§ le
,r " : ioulard, placei I'ensemble dans !a bofte et refertnez
,.',').
203
Vous commencez alors à construire votre fiinal.

ÿ3 nointetulfortant consiste â ne jamais montrer le


finalement, vous I'arachez et yous cassez I-
",t".......
o:uts un velre.... devant un public qui ne rit plus
du rou
Dans les galas où. je suis fortement payé, il m,arrir-e rÉ
oe un petit morceau de papier de soie noir r
.couer
91"il. noiol. pogl simuler un it"i .oi". àu' foularo ,r

oepasserart. J'explique alors que je vais cautériser ra


sors une allurnette enflammée'0" ,ir" p*tu
le papier. puis je décolle tr. p*tiffà. L ut;..rt
supplémentaire qui
supptementaire oui ajoute l'ittnoi^- "rt
aioute â l,illusion,
,, ,^
p.o,
prooteme de ce truc est, qu'une fois qu'on -^:.
rnais le ,--.-
çe:
a l.oeuj
un veûe,_on- ne sait plus quoi faire du v"rre. Si on
lo
sur un guéridon, on risque de le renverser,
etc.....
II conyient donc d'adapter une suite : vous ver-z l
9i*_T:-j"g11ine,
une
puis
"o*
bougie que vous avez "rnuulr*"
iàîrer.,r*
sortie aUumge d;
et vous ressortez un oeufsur le plat..... "iË*
_? est simple
:lr.* comme sur laavec :
du limpidol, vous coLlez ru
plasuque fig. 8 et vous enfermez ce jâ:
p"g"r qü
deux pages qru seronr co[e"s ...
seront collées t oi. côtés i'ri,
(fig, 9ç tr=
::.:l autres
oeux.
sur trois
pages. yous avez glissé un "àte.
oeuf iui le :,
plasüque et i,oüs r".r", iÀ"rîu".1; ü;"ïni#
j,oyat à I'eau.--vous retoumez Ia reüre,-vous f, ,
f plat,.vous
â chauffez et vous."*;;ib"ui]....t
est joué...... l*

y:^ il. est d'autres.faço_ns plus étranges de conclure


kr
:1_ï9rft une.queetjepour release pour la-première fors. fu:
J1Tr-^"--fr1bTiry, être- honnêrô;e à1oi qr..
re pere du truc, je n'ai pas inventé I'effet Celiri<i
*
r
cerveau du romancier paul Gallico, dans son .Tme
who was magic..,.". On voit d*;;;;;
livre
Lrn nir
casser un oeuf, faire signer les- deux parties
de h fi
battre t'oeuf en omeletie^avec la q,,rnc
";qrilk;;;Ë!
est bien-méIangé, il s'arrete et commence à tourner
chette dans I'àuire sens.... et f,o.ui se-L""rrtia* sr
.-..
les signatures.... tout
- -- .o.*rponà,-'et
:i^1nT:,
bien entier.... ---+ÿvrv'ru' ! t.,,,ed
Ma yersion ne demande qu'un minimum de m
- Un oeuf supplémentaire de Ia méme
couleur que celui que I'on-vient ae cassertaille et del
aan-s j. ,..o
avez sigpé à un boüt de celui_ci.
- Une boite creuse et étanche, comportant un ror
couvercle. pris dans la décoration
* Un sotnlet de
ing-fîfî" "'
da nloo+i^.,^
plastiq.ue ayec un rrou au fond (fry.
:,:j.gg§l"t
r,, ânse, ce. -i
T,:.^:_r_ -qui_lui donne un
"ài,i;.ù-sse... =,
ï';'i:i'iitîî.'i;1t'#riigl'h,'fr
travers
le rrou,
dans Ia tasse.
mais que,
i,r,
*
piàïîi"tiii'^if; "ontÈ,
l'*lrf est cassé proprement dans un verre à pied. on r
::"1§:^,,:^: g:ri fdeux au- ;"il
t, cie ur a n c e t,' ui ;il""i,." r,i"*
em b o f te les .
i
.
*ü"ïrii iL ;ï;",Ë
àq
et on les garde en main droite:L;ilü;;ïJ;*;;
"ilràr_l

204
r..ienrrrBinterxanti'oeufifîgt4i-e{'dansu*rnemtr
,.fiieltt. ln main ga$che retàume -!e grrbelet fond eçr

IeI Të :"rrllli, ''.;'il'il& à*ià"'i-"i poser §es derrx-coquilles §ur !e


[or{ r'
f s r.'itnttit que la rnain,Sattrhe
:&58È
-:
! --
: ÿtflIllll.
-i iàil*'1"iiis.
-l'r,'*.,r*i*t
iin,. de façon qti'ilvienne s'eltroillii;11
votre sfy lo et slgrrtir
, . ;;u;iù;s (hg. l6 ! Sôrtt"z alors
'.';'à
lïË;iï§.l'*lil* vi:ril:le en voust{ile âpproehânt d'Lls:l
l:{ * rHlTllll
'*,i.*t :T. dé<Iicaee ia.coquille vou§
:,i: i' î-:' ul

"u"* ; ceiâ provÛqLle unfT,l:ou'


n{'e""
--1J - '@ : :irr r;hâz vûu§ en s{}uvenir"
e omme unelc-13!
!à.1!e' .' rill ,' :nieveu alons les a*"o à*i"i-toqrriilËs
apilarâil
t 3-:iJl]::l].n[ll[ ,:il'q;; ça colte"") el l'osuf ei.lrierender *il1ï,Fâr
ïi'*,*-rrt*
-,r""&ïl*i*"r +r r* r'*ui.*' derni<*q urlte.'i II
k "':-l::llNt'' et diTes liLri "et v$u§' si§ner riÛàir inûr
soupçctrneux'
I ,-:r - ::lliUmUl
'.1
I iu"u*r, si le spectateur vÛus §efilble en ütg' ! /'
ri:
t"tit ,rïigÀ ,rtà*t cle la "corluille" comale
S: l-l : lll#' -f -v'o
sur l-beut
"rieu t p$ur rËrlges
. -rei ur;§ votre
,.,1" alori tre demi-caquille
dem i-c aq uille I qyT:
,;;-î";ri* auolt*,-i"p'Ln"' -sur l'ense:iitrle des oeufs -:::]ryi
en
!E ft: (dlllllllli
j,lit*-uàÀ*" *n r'g'-i8 et dégasez l* gotætret par ie
en le
il.{r
@_'_
-È lrwltrr'
;i. ;;.;t*; t;t*o*ofit* 'iu fonà *-e retoümez-le' eelui de :a
l.-:
,':;'il;oi, q** i* ;;; corresporu'fe *s*r:
-
li ; idit&t ,,'i* o**iu les cieux demi'c*quiller; *t
l;*à*r *ui *uiir droite cornrne en fis'
-- r- -: lflllü , .l.iritez coltlule
' ";r';;;i; g*b*r*i, de f,a5*n dc i qî q*i|-{* lstniie*t
- ,; :r rlans Ie g*Le-
E- : ;. m
, '. l+rte. p,iis vtmeri'interièur i'osuf
-_t possiblr
srlir le rnoltrs
a,,i,,,* *r' .- 1r inain gauche *n
"ir;i;:"f-*; -i; *iu'nutt'de
-Àuu*l*r
cr çrla«ez .i'txuf, "rnt'ier
- ll- - :':lLllllllllllr' I ij
-
"tS .l
* " :Iilfl
rl . ei erx trâvers, *'fi** si nvec l'llus ne piaeiez qu'utte
$11s flruch*'Êt*' puir'
' : : lllllll
**;uî. II;;; l:**t**re*
goteltt sur l* n:ain <§r*i{'l
[teti'uiner le
=l l;;iracle- -àuo"
fu-itain gar'lclie (iig' ?i I
- -::Eâlit I'ouvertrure
r:l--: , lLlllll ;-.'i',r;;f -"ti*t, i'itut vérifier Ëes signatnres rt dott:ts:';
e :--i trllN' " . :'1 rijuvenir au spectateut '-;1ll â sngne'
* ii{}!l-
":
-
llllLlllllllr
: iityez Û{t l1o!1, rt-eais c'est'tltt truc: dont iT
.g.L.': llüllL
:!-.L!ie 6fi V-!*.'..
-"::[llülllllll: coftrnflft{B?
-1-
Ê *l -';Irlllllllltlllll :s elrtraîner aux diverseg inaniprliations"
3s J .- llliilt,, .r:uf dur.
;i3 :-;:- l'.lllllllll

: jI:É" ._ lllilÛ,
cs:.:J*a iltlu,

3: q -- *Slii

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eî "1{Ê ; lilllllllllfillüI

S ,e ,: -- flttllü,

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t"t-L. :,'t x,Uittli'*çltl
.{ ;û: - : :i,[lll{,l1il*Y'-' ii
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:e ::,J - : .":-]lL.
l'r,:"
:i:rë : :-::ii*
"+
lllllllll

il
llüllL
æmr
2t5
I
Et d'ailleurs, à propos d'oeuf dur, la routine de I'oeui
Ioulard peut.aussi se terminer avec un oeuf dur qu,on éc
car, en certqines circonstances dans lesquelles on est ob
d'apporter oeuf, et ii[:r
_son de. confier ses Uâgages â la §NCF
E
pe-ut se revéler une sage précaution... et i;f;it
d,écaler l.
lâtt aussi un bon effet car. ce qui importe avant tout, c.e
.1""Ë;;.-.il;àili1Ë;r';J,?:ii;iüï,i;,i',i;ffi
I1, j9.t",,
un
poche, ,perir-sac,de plastique kansparent de ru
placez-l'oeuf dedans èt remettez_I" â rn specrâE
ProfTtez de l'occasion pour lui emprunter l0 f.un*
donnez-lui un coin en souvenir et faiies fe UruËt dans l.r
dur : c'est plus propre que dans Ie citron .u. if r;ÿ, po
1us......
I-e principe est rigoureusement le méme que la carte dr
cigarette ou tout autre tour similaire. Seüt I'oeuf Our a
une. petite prép-aration : vous avez enlevé propremen:
petite^ calotte (fig.22)
pç.rrc- çalotle \rr9. zz) et, âvec un couteau fin.
fin, vous av
arel
une fente dans l'oeuf. Vous avez alors intàduit le
roulé à l'ir-ltéri^e_ur et replacé la petite calotte âyec un pel
colle...... II suffit ensuite de couper I'oeuf par le milieu u
retrouver Ie billet..."..

Et, maintenant, un peu de cuisine ; les oeufs marbÉs.


C'est une recette chinoise, comrnuniquée par Tante
viêve. Il faut :

* 4â8oâufs
- 314 de litre d'eau
- 1 112 cuillêrc à soupe de sel fin
- 33 sachets de thé noir
- cuillêres â soupe de sauce soja
--
l^cuill§rcs â caf,é d'épices au 5 parfurns
- l0 clous de girofle
Faites_durcir les oeufs, puis plongez{es dans I'eau fi
Avec le dos d'une cuillêie, Aonneà de petits coups
sur la coque afin de les lézarder, rnais ne les écalez pas_F.s
Mettez les oeufs fêlés dans une casserole avec les aurrei
dients et-portez à ébullition Laissez bouillii dot,".*"*
heure et laissez mariner toute une nuit.
A I'apéritif, c'est sensationnel et puis les gens se den
comment vous avez obtenu les marbrures sur Ies o
(
$lors-. e1 étendant le procédé, une fois les oeufs cinru
lleu de.frapper l^es coquilles avec une cuillêre, percez-ier
une épingle
9e façon â former le nom a'une !àrte ,fr§.
v, La suite coule de source : forcez la carte, écalez I.oe_:-

é -z
lfirt
[f$
7 I
<-/ lre
lü!r[

I \-,
xr0llE
" $r'

206
.:k-, -
: - i - *1. :ner developpemefit$ wr le »etit iapi*
:chéna que Üidier Üupré vaus a faurnlr eSr «,q sehdr:ra s'e ^5ase. ll esf breri certain
t\ -I :, i-,r,les plus irnaginatifs d'entre-vtus auroni à c*eitr cie petlecÙ*ttner *t qÊ se sen"tr des
fl: r §ctur rtiv*ts eifets ntagiql",es. ÿc;cr'qr;eiEurs pcssr$i/,'fds qui s*rit i*s
in*p*,
." : a llL
: -iclres $ui n'aus {icnt vefit!ë§ à !"eS{t,*it, en ne dçutar}f Â}ê.{: {,r.ie ÿ'0{Js ei? trçttverez d*
!É - rfr " ar€uses aütr?$.

;Ë.r- *
,-& -.
;,.il:iis È+
I I :.,11 Ïll
ili.
les wEwæs** seàEæs
1:rr;quez une pÈliTe trtate
effiæe#w
tlui conti€rt l'enÉercbiq
:t:"crle ?i s!r le couveltle de lâquellc vôus des§iie;
;-i :e fiDrl. Au l;eu de relier béiÈnû§l i'ui de: til.!
:-i .: ,,,r,lllllltl : : ê pile à un intÊ[rüFtesr, yôu§ le râliêe à un i!-§.
|-r31" .,llillL : =ce? lri 3imâut §ûüs rûtTe taFis. VÛLls dlrtii
,i l{î - .,llLL
:. :lrriis de pê*ier à riiverses pârsarnâT â
-; cÉ;rrmd+z d'écrire le \isrts
nenr d'une per-
:l É -rliLlllxlÏl i ijfaitt* de sür choilr. rjsF!]az uî,
*: :r'.. li0 ::::irr È uire ,utre pera*ane -'t iili d3-
- i'*ç;ria ciesslts le qçn d'iin*: iier§nrnâ'
:.. "[* - ll
tar ,-,oire L)üi'lê til{lgsus de cnaque pâFtBr. ulJa4o *
:: a!-cèssus de l'*imaii, lâ téts du mûrt iii{,:Èûtt-' É'

---q qli se ierme. Vtu* d4plie: le Fai:ie: et **rut


l!"*: t-eaʧtgxacl

fli "
ûllll tllll!..

ffiffi§ruB§.".m§§Ke
Vc"us riissirnuier pii* 4t Êl$ntêÇe clanç une
sûrtÊ rJe giissière qui est légèren:ent ptr-rs large
qu'une eart* et qul ennrporte un eL}ntâct §ur
ie côté. ainsi qi:e d*s lampes sur la dessus"
rltlus faites choisir un* ciirte que vÉu§ cofi-
t'sit 'i''"'l llüü 8^ trôlez : la 5e ctr Se du dessus. Vaus passez les
-.]" premières cârte§ i:!u je!r sans appuyer sur
in
,i,Ë:t, :uI[. lLLLtüfll]llllt

: üiüit i glrssière et, arrivê à !a carte choisie, vous


| ,tr Fri.Y L lllllûllltib' apl-)i!Ver et ies lârnpes §e ineitent à clignoTer.
[:ryfl*r' LIffi§".

rmllllil ]lfiiüirillllll

,El rfllll illL

a:sa.{üi,lu
I nrr ,*Liilit ,l
TABmAtnffif§'f nâ{
;l{.l,xi- llllllLr-

h{, ,". :e dissimuler deux lampes en bout du


r' : ", | louvez tès bien n'en brancher qu'une""
,riril r ::,:-ire celie-ci dans une cigarette de
r& : : -: ie led vienne pratiquement à fleur
,r..r : : i: :, . Le mécanisme est caché dans le
æ tllüüil]ilrl :Ê cigarettes, vous sortez une cigarette
4 rtlilum,ir ,*- u puis voü§ en sortez une autre à moitié,
,i,r** : *,,r, en demandant vous la voulez éteinte
a liuilLlr ,, *Ée. et à ce rnoment-là, on voit le bout de
rilr xtfliur"'i
= qui semble s'allumer.."
V
suite page 20
(,

247
10

DETECTEUR DE CIRCUIT
Vous placez le mécanisrne dans une petite boîte,
décorée à votre choix avec un c-
iillî,1."1,."::,^_djlT::il,y::
et
g h^.i1. Li .JÀ,iàtt u*" rà prrà,itËàiiàjsrace a .-
vous avez un aimant sous.votre tapis de taOle.
.,,:i::,:,,::J:'.q:?::,:f Vous pr;;^i;;;;;r;i;rir";
vôui pü".1 ,otru p.îir" b-.î;; i'Ë;o;" de
su r te ci rcu it et et te s,a 11t1s,i1et
u me à chaque bJ" ;;;;i;;irË;*;
I I
;"Ë;;; ; JËff: ,:'ar:n
"ffi
I
oIIOIilT.o.e.... Olrtr

LE SERPENT ELECTRONIOUE
Vous cachez le mécanisme dans un petit papi:.
ture et vous roulez les deux fils en'sembie-àt-.r,_
lovez de façon qu'ils fassent .oÀrn" ,n-r..-..:
pourrait sortir en se délovant O,un paniàr àt
::r,,.m
deux leds représentent les yeux.
Vous avez.également une ietite flûte, genre
gosse et plusieurs cartes sur lesquelles-re
c ata
tro.,=*
j^?iiir- r] facites à jouer :.évirer par exemp
lif, Dourcton ou du quatrième É
ou impromptu... Vc_:s
a.lors les airs un par un sur la flûte
"t
à iâir.
dant à la carte choisie, les yeux Ou serpeni
t.
s,à,-

snaHetre

H
L'ALCOOTESTELECTRONTouE
ul,
g! V-ous
,avez une. carte qui représente ç.
rhl oonr te nez a été remplacé par un ied. :
t verres. contiennent diüers", LËirlonu"l
arcootisées et. cerraines non .._
L .t"oàiiiger.-r
fois la carte "poivror,; prriu *tlïus
c __
- contenanrde t,atcool.-te;;;;,rjir;î
G,
=
-
-

208
T!B
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æ5 AirP: ûMlt
C Ar:llllltllflflfl
rgJ: ::Lirülll.

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Eûie'- --,illlili
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È-3;reg"*r 16P 2o-
1g6,e * Mlllll

- l:r-§
K l3r-1![Jlûttmr,
rcPris le collier. On gueule comme ça Pour la forme'
a
Ca v est. Dutain. on
!d - E' .-..
irit ii';,'iiii ie suis pas mécorr;ent d'êûe rentré, Parce que des
ie fond,
r uocances comme Çd, auec ce temps pouft,-con-'1-eu"" et en.Plus, on n'4
pas
éü à Hénin-Lütaid comme d'babitude.C'est Pourtant bien la-bas i /es_8'o§§?§
fo,nt du ski rur les crassiers, oil les uoit pas di: la iournée... Non, c'est
Léonie
';;t;;;;i; ii, à;tti iur la'côte. Elte s'e'st mis à.g;ueule.r, co.n nauet iamais de
oraies uaconces et tout, alors on a été pusser 15 i6urs cbez Marcel Tgu79p1ed,
;;;;;r;;'ii ; ton baufie qu'à une maiion à seinttropde'pèze, leenfin à côté, face
mois, parsseque
'àlo dérborse Alors,"anï est allés 15 iours, pis on est resté
\rt'/ ;;;-ioi i ,ro,di i'àn,e.' Alors, Marcet, il a'dit. uous a')ez qu'à rester et c'est
ce au'on a foit. On s'est fait cbier, c'est pas crcltable A un montent, y eu un
"riir. oii"cl les ni,atuistes sont ariuéi. Voui auiez uu la gueule..de nos
a;bittei. "et ialouses auec Ça, auec Marcel, on pouuait plus sortrt, elles nous
;';i'ùir;;;;;;;rt, elles atlàie'nt même faire les cburses elles-mtômes' "Et que.lles
; ii ,out deux ? uous allez uous entraîner I'un
;;;;1ir-t'q"';; peloter Pdrtez ces petites conne§ pendant.que.c'est
tous'les.
J- :,:.,'^lT î:;;;;.;;"t ailà toutes
boutllfi,
nous .qui
eu une tdee
c 3 .r;elfl *"J ) font la bouffe et la oaisselle ...". C'est alors que sans !'at
de sénie ....
F§ ll,a::L;.rrur les pouces. L'ensemble
i:,-_ ,/*11.!10
I'ai fabiaué des ÿoucettes en bois, ousqu'on glisse
"fr*i, *ri un caàenas, dont on leur laisserait la clé et, cornme ça, on Paulratt
'iouicbetr décou'
Oersonne et d; plus on aurait tellement l'air con,que
ça nou.s
,rîiiin j;oli* drawer'les mincttes.... croyezle ou nofltruq.uees,
ça a.marcbé"" on
on poaoatt
n]u, o laissé sortii, et, bien sùr, les poucettes étaient
retirer l'un des bouces et mettre l'autie main atsec I'appareil dans la pocbe..
l
.

;;';;r; ii, iiui, iain on peut encore en faire des choses""" J'ai bicolé ça
ioii i" ùeux bout de boii et i'ai uendu leî plans aux assoiffés de Mad-Mogic.
Il faut presque ien et le ieu en uaut la cbandelle '

209
't2
MATERIEL NECESS,4/ÂE.
Un b-out de bois de l0 cm x 7 cttt sur une epaisseur de 25.
Un foret de 10, une nècbe de 22. r"'"'
Une scie, une lime.
e de @ yt tte ptus ou ntoins t2 de tons
Y,:r_t:-:y::!:,!:
un eclou paprllon pour uisser dessus.
F acul tatiue m en t, u n cade nas.

1) Percez tout d'abord un trou de trO sur toute


aa milieu, et bien droit.{1ç1
' la bauteur du r,_:;
2) Tracez les centres dei deux cercres à éuider qui se trouuettt
,r!^fy^!: t.i". tl
,!:1d,,
droite est situé
ytais une étade ott""tiii
t' s mm ptui L'iîirl" ,iiiïai"sâurbr.
ii
plan uous montterj :-tË
3) Percez alors des trous,le 22 aôec to iArifi Uis,
en retountar: :
-,,,r'.:::i à-yi:!?!i ,fi, a'ouo;i ii;i ;;;,;;;,p:;;i,iii,ïl"rZ',;
ii
+/rclez te rectansle en 2, auec un guide, de'faion à auoir utte
"
î::a
5) Aoec. la lime, abattez les argles des trous (fig.
trous ablongs.
2) de façon ;:
'r)"!"::::: -t:*yr:,'-:.
aessus e, senez
eu-de.ssous, pta.cez tes pouces,
?,s,paraaec pui: ;
t ensemble l,écrou 1apillon
7) Si ttous tites un bon bicoleur, ,ow oïiii
pass-er un cadenas à traaers (fig f percer l,extrémitë .t: :
-'
J), mals est-cle'b;r"
r"!^?,y,::o
:::s,l;1 y
y am â i, t,i f iiï, i "érriiiiri':i
t ri à,, p,,, o t e u r, a o u s
postuon, mats torsaue Do.us! üous les s.v ,ta
faites mettre a uous, uous tou,__
r.'::, r:y:-t'our (fig ii;; k'ü'";;i',à'â,oi, peut uéitabta"z:.æ ,

!::::
uenrr... ma$ personne ne le sait ....

Et aoilà le traaail. Vou_s_exricutez alors potre routine


soas l'oeil bébahi du pubtic ....
de pouce::*:

Enfin. pour nous, on d Ç!!n-d,ynênrc pas dragué terrible,


la
qu'a bien aoulu. elle ët'ait teilemerü' mocbi qu? c est nousseule q._ . t
"v^'t tru (,r
'tu ' ! -'
u !
Enfin, tout ça. c'est du passé ,1, uoui,irt-iiui r'rr"rà.

Bien à uous, Onésime


to

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I

I

I
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\;\t/l lt a^qn j- -
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I

270
PH0
9v "q2 frr +
XoX rt ïi 0
Aôâ t16 06
iJ:f [ïJî,ï,Ëïî:î1'"i;'î11,iï"T]:1rr
- nrtaient que rrenre Wg'.':!
i,' ii Ii fl!,R1il:
déc o née de rri re r,,, tjru- p oui",i,
d è
î i# I,?;,ii"i SÏtil [ï J il,ï Dombasrois
nî ïllÏ:î:
à a*ü,
",fi
âseux Si;lr,::1,:rl,llr,:lr;:fj$*i:^."lril;ï,,
il:lf er ses r'urs uumiÀr-r"-u,'i;,;ffi',;i'i,;;fii,ï,,'Jliiiiii,l,i"'iliii.r,i,iiiîîl,[H
errarées, son cosrume de barereur
ms,r
sombre. Après ie suis a,é rr
*ii gr-9 ;;;;;:dü11 c,est.rui q-rim;àirrri]nio, vous env,ÿs
liJl'ffiiïl',lfl i àe"rl;,iÏiii,,",rr, ,e,.n,l, ,,,îii#î;1î très tr
,::,iJrffi,is vire L,e.*
CABTE A
Prendre.un neuf de coeur rouge
et -Ë -:
gnlevez le vernis du
tarot avec une rttr :: -f,
t -.
rame
.de rasoir fusqu,à disparition
complete du desin.
Prendre,une carte quelconque
à dos
rouge elle aussi et enlevez'le'vernis t2lt tr nm :.ë fâr
côté face. Puis découpez le rond
&i-
c,entral l'aide d'un coupita. parfaire
.à i- !i r
I arrondt avec du papier abrasif
fin,
tant le rond que sur la cane
_sur
(fis 1;.
Collez,le rond sur un rond de bristol,
d-Lrndiamètre légèrement supérieui
.\ttg, tt. Asemblez le tout avec de
/ >\
la colle {fig 3) de faÇon a ,, qrrl,
rond puise pivoter librement.

F?.;
bn le
decore ensuite avec des chiffres
de
Letraset et on fait un petit trait
norr (tig 4). L'ensemble symbolise
une. molette de réglage et'le petit
tratt sert ausi à ne pas tenir le jeu I@*1:: -: -:
a l'envers.._ un*: --É

212
ÏLt,i lL,$
A {crHs Le5 cbù?1
9N GAÉf"iE:

RTI
ir"i
li

ilu

0Tu rL *
,t
GrY,
*.€*,^*?ÿ_r" #r
FJ * a rt( Vs
c(,,\:üX.t
i;
orY t t- :-

⧠f

:ÀL

ffi
:-; , 'll-l,l

r'n-- - "'rtl
.=- le petitr riref d'*euurs.

::: .-3itc§ ** prdte aux elirenes


'": i rhsto, itilû cihie, etc......
ii faut u** ianic de rascir,
rte la petience,
' ' ,r ri -:traset, deux ieux de Tally"Hü circle - la mêrquede€§t coii*,
ia
importante, car. de par scn d*ssir:,
fantaisies de ia rüutiüe et sTnifor:iise tclur à !+ur i'ohiectif
qtielques

:s- :l iiitl rr " :': iru telly"Hü Hsuç* *r s*n ritui, pius 7 eertes spdr.;iales à cûr{struire vuus-n:Éme çcion
::g- 1" î l .iri r: {ui vçus s+r*nt
. dcnndes {plsrnshe n' !}. Pcur pli.is d* clarté, [es ûÊrt*s ssrfriit nlâr-
î§ - ,Ài tfllltÏ i ,,llif - lt isttres d* A à fi
çnsui{e, grâce à des {*etrasÊ1, l.-an*-
I l-\
.: !irreêu à das 8t-[ti form$ cette rârte en Lins scrte de
-, irls st ies indcx sont i/U-lleire (fiq. 5). §ur ia fass. a
'** +#
: -.: Letrasst spée lal Pc,;r raiiÉ le ca"irature rle Suy-l-,.0.,,.
-. e ies ai noircis avec un
--'t'"
" 'r PenteÈ noir. En fait, CÂRTH f,
üerte à dos rouge, dcnt $n â sntiè"
.:: !éùnêr troP de ;eux
:-J ' ::re rarÏe est faite tian*
re;rien{ graTté la face pcur e1u'elie
devienne b!anche (plus faeile avec
::f rea!..,. sl;r lequti on
: r , '::r gt ün ra!ûut8 uft as de carreau."".i"
S}\§?E G
Carte à dss rouqe drnt ie rcr-id cen-
trat a été rernplacé g:ar le riess!n
:i:arIâAu nOrmal à daS
d'une cible, apràs grattage. l-a face
:: :eui tien du dos, on a est blanche : elle a dté eile ausi
. - : ro de üalton l-lamilvid
' -rr femme à poiis. grâtÎée et, dans son coin inf*rieur
droit, on trouve l'emprunte d'un
, pouce. Ceiie-ci est réalisd en appli"
. : -:s rouge sur la face de quafit srn pouce sur un tarnpon
' , ,ollé le dessin rJ'orseau enc!'eur.
rr.:-gvtiÊ. Se pius, il faut fixer de irart et
d'autre de l'étui un ruban marron
, .-,uràdosrouge.0na de 80 cm {f;g 6}, qui servira de
, -'e lame de rasoir la bandoulière. 0n peut égaler-nent
:: o jusqu'à ec qu'on marquer sur l'étui Kodak 30i M
: "nc cie l'etreSe. 0n a ou n'importe quoi d'autre.

273
16

le ]rûrrra
0uf !!ll Ca y est, la fabrication est terminée.
Reste le montage.
Posez sur la table. l'un sur l'autre : la carte
D face en bas, la carte c face en l,air, le tiec eLr
bleu est vers la droite, re reste du jeu face en uas,-ta'carte's
ra;e en r;rir, Ë'rrit, A face m
C'est tout.
c'est donc la carte A qui est.au-desus du jeu et re pousin qui
est en dessous. 0n met re t:--
l'étui : la carte A vers ie côté de r'étu.i #q;rk;i;.
tenant, petit repàre vers re spectateur, ra cartà c a son
lu càrte À;ri;r;;;;ïr-i;re sorre :-
tiers
' o. oo, uirr-rr* r, oioitr.
Besten_t sur la table les canes E, F, G, pfa.e.,
ainsl-,
l"l'::,"0,i:::::-ïl!,,.';d:$r',urlu-Êiiü rn'r,rrt,puis carre E face en bas.0n rne: e
tel que dans une petite pochette plastique
ou Aun, un portefeuille
-4

'.'K'f\C f
7z--titu

BOUTINE
0n fait choisir I
de K à un spectateur dans un jeu normar et
re
0n rui donne jeu pour
r:j."111r",sr; i,ffiant ce temps, 0n sorr relejeu photc , i

[.ir:f fL:i,,1?.':*:î:,r,:1l
met en bandourière lri-ü,'prri;;";;üq;ii'iàü'k:ii;iliï r:
aurour du^cou. or
#i; È sur ra rabre, race en :i:l;i
91 nrül;
,.t
F:,i'1":1.: l::,.':l':'_!,fre
F er G face en commeiniig i. l;tfipirir,tJir"porrr rr, cachée par,u bas eles ot'de-,
'air à ne pas montrer ,ur,rT.'tt
Bien prendre garde ni res dos de F et G, ni ra face de E, ni rempreinte.
ceci,fait, on récupère re jeu. normar et on re pose
en expriquant qu,on ne va pas utiriser::
tete du spectareur qui oensair avoir véritablemeri-prrU,
"En fait, enchaine re maoicien, 0n ne. va ;, ;;rt;'ü;r"i; ï;r:- """
meme pâi rà retrouver du t,ut, on vâ seureme,r:
une photo de la pensée de v0tre carte,,....._
Et' le plus sérieüsement àu monde, on préænte jeu
qu'on a sur ra poitrine
jl".,ll:::,,:*::j::",:: glT'.l lrors,râ feu en r,1,,u,i ;ü;ï# rib.,, ,",:{ r
re en essayant
f,.ffi,f ii o, pose.ators_te jeu face,n ui,,ri'ru'iuürL,Li,rpriqrr.t
l:^lrl,r, "_
àr;ir-t*iî;;;nlli,ri;i
il,'.fj.:l'.i"T:111.,1,,",::'^^t'Tpj,_?l
gauche en position de ta donne. :s.lii, É oüLJË'F';,"i:ïin'11, 0,.,n, ,
0;;;.;;';i;'b ioil,;iïil liii ilr:ï"ili,.rr,.i;î,
lii:irri:':"1':"î.:j ll:,g1 giriti-sÉre-ciirr.é
oesoui. ôn reirà
'i:il;
ra (cele
carte F
marché, te spectareur croit.qu'on
uu pouce
;ïi;-' j:i;:r"ïriii,ii;ill;rj
du desus). si t:-- r

:Tilii,,'i:,::::,lllî:l:'.ll]U,einte
explique ators qu'ir raut uienJairà ;id;';ï;;;:eli"precisement cachée par re pouce :.i.r
ff;'Ë'ü'l;lf iii friJ,:friiH*
po" sur Ia carte.'... A son rour, re
ma3 ra,r
:',:T::li'i,'l'.:?j,,:',,1,',1:ï::1:':t^1:l'l:q'nt
apercoir, it soutève rimidemenr p_rr;q
g { ËiiJü aerrrrr* t,empreinte..... ,iLifi:i::
:#"0:,liii,tjf:r:.rl
carte AVEC CTBLE et it 1rylr,t.irà;;,àiriià
,lllf ,r;;;i;;;;
qæ ce n,étair pas une carte sensibre.
(Jî rprrru,r* ne sour* our, ,illï,i;; ,
rr
1;
aTfaire à un mérancorique, vous rembailr,
,t ràü rri iir* du Mauriac).
tleureusement, ir reste une autre carte
sensitre.-.... ira carte F que [on montre du
doigt]

274
^*m.m.ffi.ffi*
x7

prend ,e ieu en main.sa,T:ï:,,:ï!1i.ri.r'{Ti:;:i iîllî';$i iiJ'ËT':'i:


tîE ;:ïTl,iT-.il!ii:1"':,-,*iïîEtiï.:i:fi.Jii_.',rxiTi-l]liït1,lï:,iî:
cartes sont
,:-t-rsis autres
I
Ian:'i0qte a"+
lî::i
r :il;îïî1r,.,ïi

iq- ..1.r. d,.c i",n â ûlâce en 2ènte BOSitiorr


'_,1
; -:*

, ïrn,let alors eu pailenr ilïÏ'î


ilÏrilif :"Ë;-l+u rel::j:T., --'t'llji ::ffi üi.,, ,,.,;'i1,i
ljJ,iiii'r-i"u;re ! ei vous î*x:fl
.

,,liÏi,
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rr -' '" cellule". ' i.,
Ill

" lion I ct iu
i:J {- llli ',:;i'; i0u,t,,,11',1
';",;'À "i*' i'unu' rri;l*:-hï*:ll,n'i';l;:îïi'u"u,i"';;l'i;;l.,'"
''no"
:'":i::':; .;;; uw u,, "uu'',r'i ra lt'r:iire :r'i:
le 4 en iace r"r11r'
r -r
,.n* * isu errrnarn îllJ:-d):ï:i--J,T-;l,il f ,:;;;;..; ":ï':;;i::;1;,
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1, l:,:,'
va sgrr,, ullrrii;iïri,_,:t:il
-r.: ue ra rnarn saucne t',Ëi,i',r,i*0,, "",:'
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Tl'^1lu v'us ra secoue,
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*F/ - Jrffiil ' -,e nurnice. vous to"üisrsse' .*ll:^*'ii-I.*ili, ,,' raopins des tarlÊs au u
vers d'artres
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2\5
4r,f,
18

È-r§f, SlglKLI-
TRANSMISSION DE PENSEE ENTRE DEUX SPECTATEURS

Tout Ie monde connaft le truc dans lequel on fait choisir librement trois
troisspeciaË;;;t;;;'i"oiJi#:idlii;ili:ii""îi"".T*i:":i:§.i vr:l
Nous rappelons brièvement le,principe tg.
.qui, dans les tours de mentalisme, ert
Il s'agir du. principe du"iompêre instantané.j/. r
î
:9.!nu ù;qr;i";i;;is carres or: "*r
change le jeu pour gl-ieu de cartes blanches dans lequer on fait rem
P^Tt"l.9n
Ies trors cartes. on fait alors défiler le jeu devant le spectateur eï lui disant
de u
le jeu, que certaines cartes vont lui paiaître différ"nte. aàr-ur;;r;;rË'L"; tÊ

:::,.ru ,l :l-13,:r:
hÏ empreinre, etc-..... er si t,on n'a pas afraii" â ui"spectateu,
À/;:
taré, il.dési.gne, une par une, et parfois en jouant É comédie
cartes choisies. ";"""i;;,'i;
Mais on n'a pas,-toujours- un jeu branc sous la main. cette approche du
d.onc â essayer -- - truc c
d'obtenir
v.rusJvr s vuaLrrrr tç
Ie lrrçrrrç
même çrrtr[ avec un jeu orotnalre...."
effet ayec ordinai*:.:"
Il vous faut.pour cela une carte fake, qu" Jeu pouvez conskuire instan
grâc.e â "o*
.{es éiiquettes aurocollanter qui ,âi trorr"ï;; ;;;#;;îans vohe
dessus Ie teite de ta fig. I, ,i"iiq""
l"^i4:, Yrr,r reproduisez
PendanJ
i" ne"f,". ..
rllon jre fait pas artention a re do: fl
carte (fTg. 2). Il suffît d'empalmer u,e ""u.,"oui;;h;;'il:tü"JtiË'r".
caite du jeu, r"iÀïritou. daru Lr
a"
vous quittez la piè99 gv-ec. le j9u.... tes occasiois n" ",
-urrqrrent pas...... pui.
placez cette carte SOUS le jeu, flèche vers la gauche.
vous faites alors choisir IiÉrement un" .u.i"]'p,ris vous la faites remettre
rnd
iTdg,t' ce
qui a pour but d'apporter ra carré a etiqr"it" i*i* urïàrru, au o. r, .
choisie.
choisisse.z
.alors un spectateur et dites lui qu,il va faire de la transmission de
:l_rî5 fui faites un petit.bararin dans Ie'genre du pre"ea"ri.'p;;;'Ë;;;
conûInon,- purs vous lui dites que. pour corser Ia chose, rrous ailïz
faire déffu
cartes de façon à.ce qu'il n'en voit tjue les dos. vous lui o"-rnc"it"
oe.Ia persoxne qu_i- a choisi Ia carte A TRAVERS le dos des carles
fixer le
et vous corrrr:
à faire défiler ôe[e-ci en éventail devani ro y"r* et, quand vous arrivez à
ra
indicatrice, ralentissez et laissez lui tirer Ia carte....
vous. couper alors â cet endroit, de façon à.ramener ra carte à
étiquette
immédiatement,vous pouvez.ecommencer I'expérience".... - --r!
s-i vous avez affaire à un comédien, t"r rpe"tri"ü.r rr'"n
.roieront Das leurs veur
fin, vous empalmez la carte et vous déôo[ez f ttiqu"tt",;ui'.;i;;;;;;;;;.-X
sion, vous la remettez dans le jeu......

PRENEZ
CEL{f
14.

216
19
:i:!Ë.
si-
.1!-??!
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33! !§ 33:
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d æ. -- aaa aaa aaa .aa a aaaa
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aÉ aaa aaaaæa .daa aaaaaa -i-oooo roaoaa Qaa aaa aoa aaa aaa
âi :3: .3:3=3 33: 3:: 333:::: 3i3t33 aa3S!: !:3aaa, a,saaa;
aaa
aaa aaaaaaa
aaaaaaa
aaa
aa.
aaa aaa
aaoaaaa
aaa aaaaa a.a aaaaaa

wu,^i i'ai pas vu, et pou.r .tre très franc, ie regrette pas, après avoir entendu ceux gui
:-î!\ Ê1nent... et ceux qui n'en sont pas revenus...
3ONS POINTS :
'--oing-show, presentés à iet continu, sur des écrans de tété: de quoi occuper
les
| -ort§...
I entes et nouvelles conférences données par John Cornélius, Howard schwarman,
{ercten, véritable_spéciallste de.la magie pour
enfants, Tony Binaretti, qu,oi ié
:æ, assez souyent, Rix, Liebenox, Larnmertyn et flip...
",ryiciens des rues : stanislas, wittus, tous'les deui spécialistes de la chose, puisqu,ils
,,a: ;e choix d'en vivre-._
,w' rne p.léiade.d9 granls pry§tes... que nous ne citerons pas tous : reportez-vous pour
b i , ctre joumal de société. Nous ne mentionnerons que tes 4 qui ont'eu ure ,;siriiiig
:'' :, G. Bu.chinglam_, plus.ir vieiilit, ptus il a rà forme...' cnrittiin-roiÀîi,-ôii
);-2 le premier prix d'invention et le premier prix de grandes iiluiions, avec d:es'ef-
:L r'eaux
.: sa propre apparition dans un fauteuil design, multiples lévitations : verre,
, : de ch.ampagne, qui se débouche et ve$e seule, àisparitio'n d'un poste de télévi-
: -' marche (son et image) et qui est placé sur une iablé en plexiglass,'enfin sa piipre
: :1 sur un tabouret de bar...
: - JPPO, merueilleux mime magicien, prisonnier d'une buile de savon, qui a prouvé,
:r?!e!go!gP::g!'!,suetes mimàssontptusmagiciens que tes màsiiiens eux-mêmes...
' 'C BRACHETTT. Extraordinaire trànformiite qui passe acruiettimient au paradis-
- " numéro de grande classe, d'une extrême fineæe e't d'une rare élégance...

ffiffiffi
': '/f.S NOlRS... qui furent l,acnée du conorès:
l,e!l plus ius.tifi!
,.":'-I:,!!! gnglaise lorsq.ue te bufiet géantse trouve transformé in-extrémis
21i9tte
t'rême la
sàmie de produits pas màmË1ra*, qi,ài àiii nîiiià, ar^ un hau
.fête du.
personner des usines Renaurt avaii ptus ai clisii.'..-'
::is autobus qui doivent ramener deux milles per,onnes et qui ne font qu,un
seul

[ -? peu d"autosatisfàcûi7
lrrt
'î y'a des tas d'occasions dans lesquelles tes. frangais se montrent minables à gui
illî
w"'-* îlx : .le football,l1.oltinTee ayistigue, e^h.be1t tà, it semOleriii qu,on;;i;ir'p;;;
r,1l?olt". te,gtuyde.qrix-; C9tin, Fechbir, Fiinzi, to pàiriïi,
:^*',:-?,yi
::fin !!!)
,r,i,t,
Michet André, Ggmbin, Mykog,lot, Anaié
Robei:.. Tôui'ceux-tà ont
:i ta France et ont décroché ra timbaie. dà a tongteÀii
iàrÈ diiààore hoilan-
w\Êqent, des prémices d'une école française ???'
al.lais oublier l_e olus important : la fism a un nouveau secrétaire général
't .:ticace.
:- : un
un qui ne se perd p?s en parabres et en intrijiei,-uiïui-partecouram-
: -: eurs langues... un certain Maurice plERRE. Elle ei a"de ti-cnance ta rim,
:,;w :fap qu'aurait cefte chance-là ! !!
2t7
20

UNE qREIGIVE IN THE POC


,r1lr,;iri
V,ous percez les yeux d'une
I v-Hn
rALLy-Ho une dame
oame de carreau d.un ieu TAI
d,un ie.u
;;;; i;;i; â+,r^,,^
et
le,mantage aiisi que ta-pitiie"trouve )r
vous
rarrA d,,; ô.t àr^
carte qui est e,e-mêmi:!1?é,
^^*:,^t:?,y:..-To,ut
alors de tirer la carte lt
aans ta.po,ii"" J; ;r;;;;;ir'rà"rri vestor.
la.poche pour la voir cligÀoteraes
votrs a vez m
v o u s avp2 ménanti
é n a sé u n i 1 te y u q tey r q, i1,â, ii ie- ;;
,,^',9^u,::.y'^.?-o?
{i;i' i ri"n'i. i':;,:
rrt
;:,;ii,
4
"j!f;,1:,*-:n:,'::::r^:rr:i,-t1f11e reme:iÀ a"i,ii rîii,îJi'r,i,,'iiiir", rr,,,
et ta dame se met à ctisnoier-iei;;;; i;;ü;;'iii,"lliiiï"j"..7
iîL,{;i:
une autre apprication c.onsiste à cacher le mécanisme
dans !,étui de canæ
i
.iiiiiiÀ;â;;; ii;i;;'r';:;,;:ir:.ri:r1
i r,,l:y,,
f: 1i:j.,
dame i1'
y1, t1à * p r r rq,, r ià,îiÀî i i iî â v o u s z,
::,= ^11 tibre de1,9trrî
ta de carreau. "
;;;; i;; iii; ;;;';;;;; lîi"irui. ,, ,
l'# ,1':':2'"?,':?.^:!,,i
pose ta carte sur t'étui. ',!!'f-'l!id,s
tes teâs doiveit iriiriïriîr:r";;;;"à:â;;;"1;"iri,
j::':',,:',o.2!.! !^',::::":y, :i,11.jiËi,t"i1 i,ia;
Y:,i: avez
vous ";;;;;;;z'i,î* iot,n:Â
fini votre ,olji?lt vo,us aiis ii pîiiii',-,1;';";;r";;;;;!:::i
ie ne sais plus
p,vo vu
où ÇùL n"urrir"Àiït*j,ai
le rut...
est tÇ roi... neureusernent
votre poche, vous ra montrez.des deux l.ar un repèrc... Vaus ,nno, :, )
Vou, softez
,^.:,::y!!r-uf, kf.des
,t vaus ra posez sur r,étui. .,,t.
"àtàt"irois ;;ir; i;;-r;"L;:et
c.lignoter de l'oeil devant t, *iâi àrnir.:." "oo éL YUr vo_:
Vaus pouvez faire défiter a,rriàîLïiiï et u faire ;
c t isn o ter devan t ; r- ;; i;; ;r;.:." ;; tr';;";r:; i":'[3 Â
pitemment, en disant qae vous ne
vàulez pas d._

ylB'8,E Oll fnn


OU LE DETECTEUR D'OV -
-I
farce gigantesque pour celles c_
tent pas pillule, reiettent t^ 2
leur stérilet et se plantent : ::

de l'utilisatrice, vous pouvez


un vibrator à un bout et vous
tant gue la lampe clignote, quæc
me, il n'y a aucun danger... va-,s
travaillé utilement pour la magie e:

2t8
a'i
--lil
:TE§"VOUS AU§§I iI§TELLIGEiTT EUE VOTH§ FEMME LË CHOIT ?7????

KEÏli riei un ensemble de questionS auxquelles vous ppurrez cril ngn rdpondre. CÛmpta-
: sez vos réponses ... jugez-vous sans indul§ence .." Êt postz ie§.iue§tiüns â d'autres
'.f,Ï"'*
- . - -jr vüir si vous êtes le seu1.......
,-,, , , Lln magir--ien veut dormir l2 heures. trl rern*nte son réveil et règle la sr-unerie. {l
i , tu-,,i,i I
est réve"i]té vers 13 h 30. Combien d'heures a-t-il dormi ?
tu, - Cornbien de mois dans i'année ant 2"{ jours ?
- e ;ilm : Un dccteur ordonne de prendre trois pillules : une toute ies cler"oi-herur+s. tom-
i bien de temps cela va-t-il prencire ?

îj 4L rllfl[]r =
, Ljn ltomme se trouve dans une maisûn dônt. toutes ies {eriêtres rionnei:t sur le
sud. Arrive un c)urs. De quelie couleur est-il
i
?
I,g illllllllllllllll,

l*il;,tli ilfliilr ' L-e r{ui est }'effigie qui se trouve §rir le§ billet§ de 50 frs ?
l,ffiÛi
i
: U* homrne peut"ii. I"EGALEMENT, se n:arier avec la §oeur de sa Yeuve ?
--r-J dqillllll
i - L;n homme qui vit à l'est riu À4ississipi peut-il se faire enierrer à i'euesi de cette
*,llirriiirliiill/llllll, I nême rir.ière ?
' .lt *,F1i[1]!r1u1'fl rI$ ' Tu es; mon lils et v'rairnent je ne srris gras ion père.".'. Qui suis-je ?
l"srqil i[]r,
I ir i9l-2, un homme trouve une piàce d'or marquée 4Ê av. "1.-c" I)er comhien est
-.f JlriilTlut.m
','ieiile la pièce au ruçrnent aù l?omu:e la irouve ?
: ,& ïiillillîIil]lï l-'r: vei,ileur de nuit a-t-il droit à sa reiraite, s"i! rneurt le j*ur ?
- iln homm* pari le raaiin ei ne vgrit pas al.[ux':er pourre pas éver,ller sa lemmei,ii
r@ulil8rflurul1i
"ixdaüs sûn tiroir 50 chaussettes rouËe-q et 50 vei:tes. cc;mbien doit-ii en prendre
y11- Jrflr,il|l' miniriluffi pûur ôlre sûr d'evoir au moi*s une paire assnrtie ?
,Lr*uve da-ns un chalet. dl a une larn;:e à ptltr,:le, une bcugie et un
.-ilïiit'',Illl - -.:r. lir-uu*re se _v
:..u r-iê cherninée. .\4alheureus€rôei1i, il rie lui ieste plus qli irrle sr'ui* ailurnetie ce
:.çon à poltloir tcut altrumer. Que su-t-ii ailr"r-srer en pi(r'ilrier ':'
.!u'e6t,-1-rÉ qui prenel ie pius de ïe:nps à rrri isvtjur Ce rareaux : nettnyer u.ne glace
.:e I ;x? oti.r.re f€nêtre de iûLt,:m-<ir: t'+i+ ?
."d 'clcment iaucer une i:iüie k:tn tl* siii r:t qu"*1le revienne touT,e seul* §ilns avoit
'"4 :in heu::l,é ?
.Z - i: llère Noôi boit un crJup ie ?4 av*c ilri {.'ürse clrurâgëur.} r:n holtr;axriilis 1:rodigue
.: Jri hetrge rntelltgent. Iis n* s<--ui.ru{i"{ ijÉn!§ Xe }:ar. Le garçori est irssassi*é....
?'À : .r.r i*quel ?
""""'lnô5
i?d §âê*,u §nû 'sn§.q-uê;ng*§* §lgm 'u$* Suaulâq§qi#i§ srj'ÿ $nÔA § pü âp
ua!si§PUJ "e!uêÂë$)
r: , âû gÀTloJdç u6Âs §ns lcnb;n*d l{rg{J§}[!E€ui aâua,,dwoa §&611 : S SË êp
=tsJ rnærr .lncd lâï3 §§lê 5§É,* ; 6 çg §p
*ïLrp§euu$q u8§êl˧$É0À : frL ç § ar}
Æ ;eu dorl sed se16"u snûri : *L ç A[ *P
,[*rth .,naàErêur ufi §ftëe : §a§utdç.i §êtlx{oq §&
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sêplr} s'â{/{ru.§Jâg ÿ i ëË"d3-/'?-s irir Js§ J r§1
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!iP.l uà aiiPt! o; talte1 lv1
l iillllllfiflJllllllll,rl -=, """ §a}sJ .Ync.i? §â/ l§Atsilau lnq st,rth au*d'aslguas e1 lgs
ËcmflMfflfiiiili11i r-:) ail#wtifte,l {€l
;:ii[üüill{li lllllllltllrr f' rl J
$ëiJ⧧r?Ëq,
""îryfimtüll elleJlal ap trfisaq §n!d Ë,u t! 'Nauj ]§û l!,s {Ül
vrril|lllllill| ridrir! "lteJpuatÀ 1t,nh lteaes &u auuo§Jad "3'"r turlts §üe s$' ; a|qrssrtcwJ {5
il" ',Milü1mfr''
i;.!?uj sJ {B
ir161 miipp;16r,-
"""Js"üaluê #Jlej os e s8#ërU ':tttt ss,nb*n4 11
S1

r"ütr;flillll[filJÏr
'"""']Jût-li i§a lt 'aAn*A l§ë âü'J{#ÊJ es artbvn4 19
orr l"l,,illiltrr,, t,ltl Ê! a§ $!]uî)tlÜ {g
P- strelq 1§A §JîtA,l : ptau apd ne altrloi] as §wtu$t"l,'7 {ÿ
lilffilllüfin r?jnêq I {{
rffiil ssnof 7; $ulaîu ne ]üo slot{r ssi §fio} {d"
lfu §aj{taq lé {l
j s3szutd§âl

2L9
22

@
6 MtqRo MAGTE POUR TOUS
de R-. Pierotti, avæ des.illustiations
Du format de Mad-Maoic,ce petit oàuscri"
la péche à ta carte. te"d; qri
de Michel Lavæat

s;;;;"d;ï;'i;#ru,
quelques bonnes r.an
"înti"ntta boîte à pièces
g .,
a o, J, rË ù-ii"" j :à r r r,n.
et .i

@
re. ch o i s ie
- y^T,
1,"^: bien !."1
c'est fait, bien jrii"l tËi,'ïr[lt.e. cu doit
ttu r.
chez Monsieur plERortr,

6 "tàir;f.ciË vatoir dans *


î0, ir" i{#r;'B'#àrrr, s2r00 saint-Dizie-
Phoa Yan Tiong vient de sortir le
-- 2ème bouquin de sa trilogie ,,Les
,rys, merve i I teu r".""i S
ïr"rl,,rTlr,"i:.oi#l f bien fa i t et q ùi con tie^ :
bououers de
bouquers ,err."
rlp rreurs. n;; 1ànËi#Ëi:ffi:flilii"iii,r",TlË ;;j#_
gue oes pliafs eï po!T;

% fait depuis vinst ans",j^f:{:jg:,-1jnsi


l,;ü;Ë^i"
ou ptus- CË;
Ies paæs du livre. A tire jbsotu;;;i' -^'""""'
u,un" vie, qui se tr

@
E
LES GUERTSSEURS pHtLtpptNS
, de René Haquin.
Merveitteux bououin d,r"-t;;;;ï;":r;iË;i'impartiat,
la plus grosse enouére sur le sujet f f-r'àôp.à"f,e qui a fait sar
:- rv,,,v, çu Ër uper.,.ons,_wstte.des
,nombreuses opÉraiions, visite àei-oen; ;,;i5'
les guérisseurs, ass![
çns qu i se ;,*r:ru^+
raisons qui poussent certains Srerii,^ ügte-
proclament ^..:-: )t--
à croire, oül ,oüroi. faire croire
aux
- s31".r,":et:ôtés
pos ti f s na gaii rr'oït ; ;À';*. t pL
o.re,
;;; Ë;
@ ::-"1_?-l r-p"#
i

Xl
I
une rigueur de "t scientifiqu" "
i

on est à milte rieuei oes,àeù;"


t-- r;;ffi#J,h
"ànr"]"nt
,r"n". pas à oas
îi :#_Tr"?.
Le méritè
|
l.1"-,_r-
du f,rivie
au a. vé r té, ii iou I.iü ü r" e x ste.
I i
r

",t g,ir;;i'à,'rr;i,ï;ii]Ëil,]ill.j,,rusie
. i

*gu trop prouver. La conctusio


du lecteur. Très bon bouquin
Ed. Jean Pierre DELAnôi iO,
s,impàsà J,Ürà:rie.â,
et sar§
Ë,ii;;;;.#*
Z LA MALI,E DES INDES
ll
rue Mayer, 75O06 paris _ Frs 12,00

,faut bien parler du livrc de Brahma.


C'est un livie bien e"rii, ierocailffi;"
est riche et coloré, les person

@
- lr"r*::
l:iy:,,^
h
ïT,*-
"1, ?j": ri u.
rel;;;;ü-i;;àil,
lly de rien. voii"h,;;
omme. parti
o-," 1-
i,àr"'ir ii àr"i",.;'
que certains se sont
;;; ;ffi ;"i' ;; :i?,:i iXT,ii:*,J
;;#â,,f.r;i, ;iiffi
Z
-
i;,iTilil:"1î.'-',f:,91
i a ?:'-l:-g!:i
ou r près j ou r, usou'à,ia
i
à';irï àI',,,.u, â ra maradie. pie:
."r-*àne ;; ;;.Ë ; ;i
iri, J;:'#r"[,riË
i, T". î J ro te. Ma is rah ma reu
;

::::"1i?::
su_ccession î:,îI"
de faits, et
pi"à'
^d.,lrl,l" I su i B
-r a aussi connu'des:::::
lt"I::,lTî:?To.f
non.sei rr.i"r an!àiit-s ili;:;r"tià;'"11i"fi
il *,qieià
tr ilgroire-ei à" ran ma Àe ; ;;;;; ;,";
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Xr"tfl.,#t,1::"*::.1_f-!^e
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où ça devient paillaià,
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-rrt-àïiît"
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trisre rorsque ça c
Ouand on achète le livre de la.vie
d,un magicien, on s,attend à trous
j"^,11:nj_": tout. au *oi,ii- rn. descri ption du n.;,m
il?i"","riEiffï,
puis. c,"ii'trôp_ou o"iËiiîi'tï?ir"i:î,Bll'"i *,9
@ 'artiste.
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r^_,p:,"_t,,t" ü, üni ; ;=., soi ï' _mê me en

m "i
on est finarem.ntttï;;r;;ü._.::: 'ur-rIrÇI'rc merne
mê rne u
BTlltio-r,"gr 'iL
:j:lli: : je ne suis pas sûr qu;;i -:-' ra urs,"tt" masique contre h
anglaise et i:"::""1.1"":li"1d,,",.Jivie,
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220
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l. æ3'*ii{ûlli' glll\(«\ÿVmagico'déhile parrisat Lle nraurarse

F-rE!Ê:æ rue Bérenser '),ir-0 Bagnoret ]bi ir r')


[.a:-e : *l a :1[,illi::Xi"i:i,;ri; ,.^t ,,'rtRLr\ b
tlOD(;LS l ruc Jc: ( lovs r50lI Pan''
E5 -- }gmi Co'gérant Srilonneür 'i"'p'p't" '^lfltiS
ts;r-c 016.5().58.
ei-!les-diverses
î,,"r,"rr-" ",rat des e\pediiions i';t
p'p"-tj:ot, arinunistrattres-que{ou'-
I rue des ( rrrres l j(10:
tg:s i':N":l'i rl'trtel ii:rrr'
deux+n*st trop bordclique\'P;;i;t
E!.-É :d§ i \1:re Alhert'
lilll.r,., pour laie lrLrlcs lar'l'1Ùrheures el la11 romissitrrts
De ;g-, -a reeittriqLre

e à-r3:' * ü[Èr
,;.îi,l,iii,,, MA(;r( er adrr':ses u viir,er
réiriges au nom de ]rAD
''-' Ps.h()nn'rn'nts priltrr
0- -uË ià '' ^i[i9"1ilïii"'
ilïîîi.'p«tr'n,,,,,:u ' ft' oi'
f"' pt,t
too ' \ure jrcnr plu' 'her t"..I
polt lri -l I'rir ics rretetlr
ru Irunrerrr
OtILIGATOIRE|\{L\T.lu Ier r.lr*,
i !!,r:r- = :t!
fX

i'' ,/ t"
numéros : prohibitrls' Cfn pu'tÏ"'lt' tnt't" nu''t"" chez llatle 'ru ru rLcge sociu]
-.<û0x Psrrs
E a35:l- REALISÀTI()|i(-!)mPosttlonsurl[rMllaboule.parics.petilesrlanresdtlaruede
: liz Tolbiac. inrprimèe p"' tt' tt"utt*"it'-Jt
tn"t topy"ttip ltr bLl tlalesirerire5
}!E lË
y.13 : 1;t-
l!fi 5r- '
::|lrTÎïmM

rlglt
U2 Mâd-MâEic est une revue rmpnmee toul
i'.HîiG"Ë'Ni;i\î ir:iljnEs§r , ùoir, ptrpirt
;;; i;;;,;;"
erenrpiaire

., 1t'rndre i4 trnrl're\ i I i] I.r'


ËïR,iiidN ,1i.i M,c,. :lt1i
cie force tltrleure prevuc l";f
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il1arlque iie Prrtrquf \ eirtral'

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en cas
rB:_4 !opv-'ghr régai Jfr,on *,ll lre-ra.en
,'1 2.,#ïîi$;itrTl:1;üLtl,, une revue enrrèrem.ilr
nrôÈitu'ro rlAc;lc is'ù Les îranuscrits !1on en\oveS suill
ë1 -6r-r* i;'"li't:;i leu§.,i."pi.ili'r
auteun
retoumés à
re :f::t e (D
221
CARTE-CLE
De conception toute nouvelle, cette
carte clé remplace ;
les cartes ctés ordinaires. les cartes
Permet en plus d,ouvrir toytes les et ies coins coupés.
courtes
"La Chouette" uniquement. N" 65Zg _ se*ures en
- carton-
"-' Tarot
irr-ZiO

CON.FAIT.TOUT
Coupez enfin vous-m6me des confettis
tâille de votre choix dans le papier de
ô
vor
grâce à nos ciseaux spéciaux
en DolvDrôr
finement chromé. Lame de rechange pour
fettis carrés. N' 1967. Frs 78.

li

GLOBU LODOU LOUnnprpxo.


LORABI L LE
La difficile expérience des billes entre
l-:1,o?,St ta_portée de rous. Apparues
orancnes, .a
Ies billes se colorent progressi-
rouge sans aucune man-ipula_
:l:",]r, "., par- 1eu de 4 avec unpaquet
uon. Ltvre

i:. :ïü
par la S.S.
*":,"i:;,"0,.,J.",:,; §:,l"rr',:

CHANGING HATTE
véritabie providence pour
ceux qui ont ieté leur qué-
teuse aux orties. Ce chapeâu
a deux ouvertures, fortement
cloisonné au milieu. chanç
n'importe quoi en quelque CABTE OH ! MA SOEUB !
chose d'autre par simple
retournement, No 98186 insatisraits. rerminée à ta main par
l:,j::T'"1,-:^:i:TI?rï
Frs 317.25. Poisnet, er ronéorypé sur papier .or.r,e,
qu i o nt ieàplacÉ ;
.riiï*il:iiirii:'ll ta

1.",ïliï"
heur) t
leur épouæ
il;"i;
^':u.xpàr rn p.qur[J*.ffi.'"'" ;;,-i;rtes
Puur tur (rt arer

ï"rj.yr: l.l.lf r_r.t dj"g,.e nr des;3;r_-[40i;'


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dans te conrexte rétroora
m otivati ns sat ivaires, dé
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ni,,,L t pi.-;., ; ; il ; d,n Jeiffi rti tes, ;n,,
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nées dans te comaine li1fg,Ie_^d;
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i.g.grs_sEz_ AVANr rrs ,rs nu.,o
HUl, Frs 2 500 par an.

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222
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223
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A6IG=
la y est, l'autre jour, j'ai été convoqué par le fils Trapluvite, dans son bureau. "Alors,
lnésime, pour N0ë1, hein, nous complons sur vous, comme l'année dernière v0us allez bien
-rus faire une petite séance. Allez, ne dites pas non, je sais que vous êtes un modeste, et
:Jrtout un travailleur acharné, car d'après ce qu'0n me dil, v0us venez certains dimanches
,ius servir de nos machines pour fabriquer votre matériel. Remarquez. ça ne me gêne pas.
:i, chez ïrapluvite et Convail, 0n aime les types qui en veulent. Vous avez dû en fabriquer
:es nouveaux trucs, alors, mon vieux, montrez-nous ca. J'ai déjà demandé à l'entretien de
-'évoir une petite estrade et le fils ai'né de Marcel Tournepied qui vient d'avoir un accor-
:e0n tout neuf a promis de vous accompagner. Voyez que de notre côté on vous facilite....
rirtout que cette année, c'est pour certains la dernière : vous savez qu'avec la nouvelle
::njoncture, on est en train de restaurer l'entreprise et, autant vous le dire tout de suite,
:r ne gardera que les meilieurs.... Al0rs, tâchez d'être brillant, hein, on c0mpte sur v0us.
:ris, il y aura une petite envel0ppe. Merci d'avoir accepté, et songez que cette année. nous
:irons des grands, des 12/13 ans, des qui veulent savoir le truc. Alors, méfiez-vous, pré-
:arez votre c0up s0igneusement. Bon, ben. c'est pa§ tout ca, maintenant faut retourner au
::ulot....
:r, i'oubliais, l'adjoint au maire s'est pr0p0sé pour faire le père Noë1. ça n'amuse personne
-ais, songez que nous sommes actuellement acquÉreurs du tBrrain communal qui jouxte
isine et que nous sommes plusieurs sur le coup. Alors, on a plutôt intérêt a avoir les élus
:.,ec n0us...... Ce brave homme ræut ahsolument chanter et, p0ur éviter cette catastrophe,
: iui ai dit que vous le feriez apparaître..... tâchez de trouver quelque chose de n0uveau et
:: lui coller une barbe qui l'empêche d'ouvrir la bouche..... Vous voyez ce que ie veux
- i8...-
3ui....." "Bon, et ben ça va, v0us pouvez disposer...".".

ii voilà les rnecs, cornment ie me suis encore fait posséder par cette enflure. Va encore
':lloir se cogner les gnards de l'usine qui vont encore crier "à poil" quand je vais entrer
:r scène..... Alors, ie me suis mis à réfléchir, comme seul le sais le faire et, après quelques
-sits d'intenses cogitations j'ai mis au point quelques nouveaux trucs qui m'0nt aussitôt
:É achetés par les sangsues de Mad et c'est la raison pour laquelle vûus en trouverez les
:escriptions dans ce numéro.

?asryl1ç-./y »*,t//,.4(N4 tll«t%M» I ù4t, tffiwr;rz4s


L,{ REl UT, I)ES \IAGICIENS QUI ONT L,A M,.tr.IN GAI,]CHF ,llI)ROITI =-4>

r'/*
225
LA BUCHE DE NOEL

C'est une routine d'environ 1/4 d,heure, qua^.:

AN bien menée et dont le but est de fabriquer _ -


magique avec l'aide des enfants. L,idée n,est

.N"/ nou_velle mais il y a beaucoup de gags


agrémente et puis, alors que
et de c.
;,ai àe]a vu fab.
gâteaux dans une casserole aux tôurterei,es
§\"/ :lc9re
jamais vu quelqu,un s,en servir pou, -aræ
G

bûche.

ATTENTION, fainéants s,abstenir : il y a pæ.


choses à fabriquer....

MATERIEL NECESSAIRE rm-


1)Livre qui s'enflamme quand on l,ouvre. : il."
-
l'acheter tout fait ou le faire soi-même. _:
ture comporte un titre Eenre ,,Cuisine so_.{.
ciens" ou quelque chose -
dÀ similaire (fig. I
2) Du papier de soie blanc, une agrafeuse.
On fabriquera une toque de cuisinier en s-
dessins (1i5" 2l et on découpera plusieurs :,
papier de 4O x 20.

3) Deux sacs de papier blanc et de section carr-aç

4) Un peu de farine, un oeuf, une salière, une


contenant de l'essence,

5) I cuillères de bois truguées comme suit :

a) les deux premières sont vis#es ensemble ,:


b) les deux suivantes sont truquées de la
vante : on scie le bold,une des deux :-
on le raccorde avec un tenon au bout æ
urrtf/, I r' r.rilr, rr cuillère tfig. a)

4 Ces deux cuillères ont un bout qui se dé1,:}'


Ces deux cuillères, prises ensemble da^r ,a
donnent l'idée de deux cuillères priæs :â
ft'

c) deux cuillères collées sur un plateau ,1 É


(fis. 5) et
d) deux cuillères construites comme les
ix
kiss-kass (fig. 6).

6) Une bougie munie d,un crochet et urE


coulissant dessus.
Cette coquille est faite en papier éclair, ra-ur
SIEURS FOIS autour d,un manche à bala,

7) Une pochette d'allumettes à votre sign€.

226
- ie *ês§er0ie a!..tx TüL!rtei"elles.
rl

ftt rillliifl iliffri,ir


..-ie tlûche de {tioë! §âns trûp de erème, qui ser,i
.,rrn Wtllltüu : :cde dans le couvercle eie ia casserole.
:u'w m,l;ll
lrl

lriiLl
ru aumr mm liljJ luelques cartes séantes su!" lesqu*lles §ont r.i{}ssi-
r'@.Mnr m lll
-:es les séteêLix les plr,;s cs$rants : Baha. $si;ir.
rL rffi rUü
I
]l -:ncré, Chariotie et, ilien sûr. une hûshc {fil. 11.
:trfliiilt ,üm l;
rtit
rilll

iI
-rl ccute*u.
s rmutt rary
flffi
lll!
:L",]anel vçus â*J87 réuni ttilt cÊla, vûus rlGUlrÇJ,r tr, ailer.
'jl

;i!ffË
--:qirien dsmancie l'aide ri'u* {}âr{:ûfi et r.j'r;ne fille
JflF riillllllltl
i fimüilIlllffirir,
: -i ê\rrf,[-dâ qr.r'il eon:5:te 3u!" rji-lx Ë-]i}r.:r 1'*'u*t * réaiiser
:i=*{-J. ll ieur denrande s'ils sê\jçfit filirË les l;âî*;ai:x,.."
l0rrll :mütr
: "t'* âüct-if!8 iiïIportêfice. car j'*i ,Jn l;vrc *Je clisine
- r,leÇi*ien.-..." ,Â, *e rï,ûm$tt '-!," l,i!r'r*,+ iiÿrc à
.-.,,',iêre pase. vË!"§ !a fllle, rn ii-ii *'ci'nai:r'i;,:rri ti *iie
lJrr(§llllllîr 'ifri
' .rl*" Co,'rim* !i tt'v * ri*n ii'éclt df;51iri§. *iie i:e
urrre, ür : :rai!.... iln se diriEe alors vers ie garq:,*r'r, cin *uuir,* i*
. :i{-rriI ii sort cies flarnmes,.." ie gôtuc;i iecuiç *t,
: .v*ir l'air cie rien. *n iui der*;lr-:ii* pr:r^.rrr;i-t*i ii I
: iln revient vers ia tiile, cn rÇirvrt le livre Ét i iÊli
.: il!§Sc.".. e't on rép*ta !'*p'{i:"ati*n plusie r.ri's Tt,"c. . ct
" :cujei*r; ie garçen ql;ia ies Tiamrr"ies.... {"}rr fai'r ale;iç
UtrllllMlllll{lltttr
. -.nt ds iire.

.-, i:r*rilière chose qu'il fa*t. pa:*r *r-risinçr, c'*§t uriÉi


, le er.;is!n!er...,.". Ûr"l d":mande ni*rs al,x;:nf*nts
'frg. JIII
r 'i aBFÇrté ulie tüEue Ejç cuisii'!ie:' ...
@llfli ,lll&il$,

u"l*mr - ..r:-i très embêtorit, (ar ?,-? ;ri ; i,i çi;;",Eî I i]ësçi:1
& -
: il*urt:usen'rent, je uô;§ vüui iirtafise i *eie". Ün
. :i*rs ii char;ue enf;:nt unE bânülÊ rie p**ier *le soic
ilïn :- ÿj üi"àar{le de le toque $irÉe. ** fait aicrs r:t'lr;
& -. d* papier cians laqueiie ie papie r cir n"laqi-
'JÉehiré
:i i!"aflsTûrme en tûslre.... riunt on se r:oiffe. ilien
enfants rÊstent ar"ree les n-iü:'{:eâux.... lJn ls5 jeite
-': es çoifle tous.Jellx d'un seç de 6:apier, *n renliant
,, ün a eil $ü!fi Ce prer:ore de grands sacs pour qr:'ils
": retÉnlls par ies oreilles {fig. 8i" Une fois la ehose
: r. n'']orltre I'intérieur de ia casserole, vide. et ûn la
: :Jr Lln çuér'idon à part. On fait mettre decians Bar
.-;ants un peu de tarine, casser un oei,rf, Cu sel {or:
-iiliser à eet effet une saliôre bouc*ée clcni tcut ie
t , ---ce !*:"squ'Gn dévisse le cmuverele et c!écrite dans
ql, , -ero courrier de Mad...). §nfin on ajslite ciu porvra
', : de I'essence que l'cn veræ soi-nrênre.."".).

221
4
On abandonne le guéridon et on emmène les enfants à l'autre Lrout de la scène. Et c-
très embêté parce qu'ils sont deux et qu'on a qu'un seul gâteau.
"- Alors, nous allons faire un concours.... J'ai ici deux cuillères;vous les prenez ci^
par le manche et le premier qui est arrivé au guéridon pour touiller la pâte aura gagne
1-
Ce sont les deux cuillères vissées ensemble ; vous les lâchez, chaque enfant tire et rièr
passe puisqu'elles sont solidaires l'une de l'autre..... (fig. l0).
"- Heureusement gue j'en ai deux autres....". Vous prenez les deux cuillères tête bêcF:
en faisant tenir le manche à chaque enfant (f ig. 1 'l ). Vous comptez 1 ,2,3 ; vous lâc;:
les enfants tiennent chacun un bout d'une baguette, tandis que vous courez vers le r[ï *.';
don en disant : "j'ai l'impression que c'est moi qui vais faire le gâteau.....',.
"Heureusement que j'ai apporté d'autres cuillères. Pour qu'il n'y ait pas de triche, elles rm*
'm{_
sur rf n plateau ;tenez chacun un bout et à trois, partez...." et les enfants se retrouven: ,fl,*r
dans la main un petit Llout du manche, tandis que vous emportez le plateau et les cL
qui y sont vissées...... "Attention, il m'en reste encore deux, mais ce sont les dernière: uFlrr::
imfl,l:s
et vous donnez à chacun une cuillère qui se casse..... "Bon, tant pis, on ne va pas re +:
j'espère que cela marchera quand même.... Maintenant, il va falloir chauffer l'ense
j'ai apporté une bougie...."
Vous la montrez et, en passant derrière le garcon, vous lui accrochez la bougie dans :
en ne gardant que la coquille.... Vous lui donnez la boite d'allumettes en lui dema'
d'en craquer une. VOUS LA LUI PRENEZ DES MAINS ETC'ESTVOUS OUI ALLL
LA COOUILLE DE PAPIER ECLAIR. La bougie disparaît... encore un peu de co
on fait retourner le garcon et la bougie est retrouvée dans son dos.... On donne la c
la fille et on fait chauffer le dessous de la casserole avec la bougie Itr-
*4-r

i:r-

Fh

On repose l'ensemble sur le guéridon et on demande aux enfants s'ils ont une ide:
sorte de gâteau que l'on va faire..... On montre alors les différentes cartes qui repre
les gâteaux et on force celle qui représente la btlche. On met ie feu dans la casse.:*
étouffe avec le couvercle, et, instantanément, la bûche apparaît..... Vous saluez en r-e:
votre toque et vous faites saluer les enfants de la même facon. Ouand ils ont la tc:
main, vous coupez la bûche en deux et vous glissez chaque partie dans le sac, avei
ils retournent à leur place, emportant un souvenir de la séance......

Voilà la Trame..... ll va sans dire qu'elle peut être modifiée au goût de chacun et se
besoins, mais si vous avez le sens de la comédie, du jeu avec les enfants, vous pou!Êr
un petit quart d'heure, ce qui n'est pas si ma1......

)-

228
'i:ii

r{

. ïEZ VOTRE P}IOPN,E PR,ESEN?ATET]R


i .!! de plus en plus fréquent : dans les artrTs de noëi, et surtout.quandduvous êtes la seule
-.r;;;.i;;i n'ÿ'* p* dJ presentateur ei Aifred IJuchrnuxe. présrrient coinite.l *11.1
-,-.a, roui fait coniprendrô qu'il n'aime pas rrrcrnlcr sur ll :cene ei que ça seralt ml.rux si
,:1 I
. -! comlnenciez comme ça..'''.
,, Îl|lll -.:1tat, personne po.r, iiru que vous ê-ies ]e.nrei-lleur ava&t que vous entriez en scine.
:rnne pour dire votre nom'et, dalS bien Ces cas, vou§ repartir-ez int:ogt-ti'.o.,.."Ngr3u
: '-:";;;;;
Nâtt rn uo""llent illusiolnisiæ l-. "Ah or:i, il s'appelie.omrrent':". "Àh^
- ': ne p"ourrais pas vous dire..."' mais il était trôs bien... ..".
- rlr
-i do:rc un remède en forme de gag, qui vous permet de vous présenter vr-rus-rnôme et-
-icrer. en même temps, votre nom dtrns ia tete de tout le monde" " '

Â:
:omme en pardessus monte sur scène et fflnonce annonce I'illusionniste êvec mouite
I'il.lusionniste evec mot ccmpii-
z= l'appeler. I'ou§ avec mol
allons i'appeler.'Ious moi les entan[s
nfants
Uuir, ajoute
,r. Mais,
:s. t-it. ü est si tirnide...". nous allons
ajo'ute t-i.l. I :

I
,'ôHÀainii I MoUcHABIDE rlus !or!, il esÈ vieux .-i.:îT:*_YYY,!ll*?'33;
aHABibE !! plus fort....... et persônne ne vient..... .Àiors vous déciarez que vous aitrez
--CHABIDE
,vÀi ùr g.arrris rnoyens. Vous vous rendez en coulisse et tr'on vr:us entend vous fâcher :

,üs ne vénez pas de votre plein gré. vous viendrez par la force..." et vous reverlez avec
.
::ant gne conià, doucement-, et pius vous ûirez plus.ia r:orde. s'a.llonge, si bietr qrie vous
.-,i", i" scène el la cor6e eit tellement lolrgue. qur-i ÿous disparaissez dans la car:lisse
*---'i*" -- ,,ù.t*,-mars lir corde esl toujours l.endue et"avance Pl-. lout d'un c.oup. au,i'our. de la
--. e.;t'attactré un vieillard qui avance pénlhk:rnent. -A.rrivé au mjiieu de la scene, l1
:,È sûn rnasque. ,o p*..'.rq*"': eb c'est vorrs....... L'effet porte toujours. à cailse de la
* ;t
.-1;" aussi'à c.ause'ile tout le bien que vüus :lveu dit de voi:s en vûlls préser:.tiul*i.'... car
Ën avez franchement rajoute deux caisses'
.lll /g---:'
' il ll'r

*lllllll
: ,ll[i]

r
:\,=-\'i-<- '
:.TERIEI, NECESSAIRE :
-.
corde tr,ès iongue, un€ grôss€ pi"nce à dessin, un manteau, ull masque de vieüia:c
" :aoufchouc, un machiniste
:.TPARATION:
)- i- ''- - - : le côté droit tle la scène, vous fixez en coulisse la
grosse pince, à rlessin sur un por-ralit et

: -, pas"u, la ficelle dans [es trous (fi.g. 1). Derrièrele rideau de fcnd, vcus plarez vctre
,: ,,--. \7^.,- d'un manlaarr
!t q - -tü"- r.rr ---.-
une chaise.
-L^;^^ Vous recouvrez .,^+-^
votre .*^^1,;*a
smocking "l\rn manteau"
- iachinistæ se tient sur Ie côté gauche : hom de l'r:.e des spectateurs

-
\-si.,1

tirez sur ia ficelle, puis, lorvlue vous êtes hors de vue vous la passez à un machiniste
-,rntin"*
-s
de tiier doutement. Derrière ie taps, vous enlevez votre Inanieau, vous.mettee
:$que et vous vous attachez vous-noême à I'autre extremiUi de la cortie. ..(ft€. 2)
229
6

,ë ,t
I
prin
a et

L'histoire se passe dans un château. Dans


ce.château, ir y avait une beile princ
ses après-rià, a jouer avec une
l""ii:1j:u'"1":l::,!,f.f:sait
consistait à s'asseoir sur re rebord à, pritr, balte d,or.....
üJü,;;i;irii'.i.,i;'j;;r"j", ,on
i.#
,

sa balle v v' yq
d'or qu'elle
E'E sdvdrr
savait rarrraper
rattraprr juste ii,rta'*rnt
avant qu'ere
ou'eile ne r^mh6 .ra^- r^
nê tombe
-..:-^ .
dans re puits. :

1âï'i:'i::l::'?Y:j,li
"oui me rendra jamais ma îlî:.",:'':, -t à pr"u,,, rrru pià,ialonn,",o,
*
ba,e a ô;{i.iiri'o;:;;,5:ïil:f:îr;;,I:
".; ,,Moi, moi,'i.,",à,àî.ita bale ",.
:il:J:::: j?:,:.:i^:,-"or1e, 1ui rui dit:
alors qu'un affreux crapaud sau.ia sur la margelle uu pulis. d,or_
à chaque rnot et ra bave lui dégourinait ,, er.i, r,àrr,ii,::i:fiL,
oË. teur"r..... La princesse eut très oe-l
recula, mais le,v v,qpouu
crapaud lui
ru, urr ;w,ul.6r.îr
dit :. t\,J ate pas peur,
rr je
ie crric,n a,_i et _ -, , pe_:
fond du puits pour te. rendre tu urrl" suis un ami ^i quelqu,un
^+ si
ià.,'.'ur,
s'apercevra de rien et tu ne seras pas pun;u.-... *ri. Ainsi, quand re roi rentrer.;
Mais, vois tu; ;;;; i. vie, on n,a ja.r
, q,uno je r,aurai .;;;;i; baue d,or. r,: ,
;:i '':,"
sera" ". i;'::';,1"r^:::'^::"-:::ditiôn
La petite princesse n.'en croyait
Ëur r., oreilres: épouser,3"tïut ïni;"i
jamais. Mais ra peur de ra punition
e,.n iJ'riàr"nt forre car la baile varair bea,r
gent, qu'etle accepra en pensanr
en ele-mémâ ,";;;r;;,;ï.';r;;'::*irri:i:ilJ
,,i
ilii,i'T1,:::oj,'^i?]"?^'
i
tâche de tenir la tienne....,..
;;ilffir' ü"oii"1to,.t
.ll:'::1.1'."1.,"
ru i, d ir ; "vers ,,, n, it, j"'tà'
:il:ii, "i,.
accepta
::.rliï:jïi
iJi,li'r"J"rr".,.nàn,î,
et
j
La princesse était si triste qu'eile raconta
sa mésaventure à une petite servante
d'une demi-heure après, à son retour, l"
ài?,ri, au courant. c,était un roi saæ ea
sr
était magicien et conseiller du château. ,,ll .ilËiàii,i,;;i,,J
:,Tl i,,il,ï:l?iîlo^"_,ltarore
qui
oonn?e rr oi,ri ii!, ü:;i
n,y. q;,;;;';.",;;iXil["J
,ii;i
:.""i#"1,:1.,:lî":::::oj.:
prononcé
i,-oïi.,,o,,", ra bale avant iui.....,,. A pe.e
ces mots qu'on put :,11,:J
roir rnà-ùu'tà r.r,, se diriger ,u,Ïi;nï râi: §
I:;:":','."'^,:::'::i^":9::'i^f^'::t-'l-0,
sonder
rin" i"nuit rien "n
enïe",","iu,,", Arors. :
le puits afin d,y rerrouvËr la nalte-;;#';,ij,.:
revinrent au château, iis trouvèrent ru piinÉ.rt" i:;ilà?iiïi,#:::
coup, déglurit la baile d'or. il ra posa uu^ pi.o, en compagnie du crapaud qui, lllrÎ s.i
oe ta prinieis" compri: 1l§r
f;:.ï
tenu sa 3?::'":;l:^j_"1,"^11':
tr.e'
parole. Er c,est.ainsi que sa "i,i",
#à1,, o,n, son châreau,"ürr"*i
chacun avait t
o:,ii;:T1^oï::T,ltl111rière
le
f it ;r;i; ;;r"h;.:;liï,0i,,ËËï;iiï* f
,t ,que Merlin (mon ancêrre) eut une;il.-,
ene...._ roi étali tre, Jü,rr. c,esrI AIÜT
r_e
itiortit sa baguette magiquem
aiqr Ë
æ
J]Ê

'o"i:-t:r"n,]p^::-,I"T fois lecrapaud. Le tendemain, quand


" sef
' lèrent, le crapaud était dev;nu ;,
s;^i;i;;
ils se réveit.

N':* §,r ï't;f#: tr i#i";tfi tjsi *T ,


^"i:
(Ë S'se'r
4t

' ttuv- q*q,|L;^^rtv t,*r,",[ul*L(llwtu (J 3- a,o


230 G :gr-:
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I tr - -lu[
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I E:atï&

,- ;r8r!
;'\
Irrftry'ir

(trrÏmi ll
B.!r::]l
fl et eurent plein de petits crapauds..... Ho. pardon, je veux dire plein de
lLlllll

cngtemps,
HE
rrr '::rfants..."...
l1l

i rrl'G i
,u ,I jr- une belle histoire, c'est une belle histoire" Surtout qu'on peut l'illustrer avec trois
,;,r'-,, :éantes, un sac de papier, un chapeau pointu, une baguette et un support de cartes
.,r1r :"-e de château"....
$ærrflffi +-

! §rm ''
-=ncez d'abord par réaliser les cartes sur du carton contrecollé double face. d'au
,,,,,,,r*
'iilîrrmr
: 20 x 30 cm. ll suffit de copier les dessins de Hodges."'
Jl,
i,*, :":rière carte représente la princesse et vous faites le tarot avec du vénilia écossais..'
116, 'ttttt,

Eru IÊ
double-face : balle d'or I crapaud (fig. 2)'
- ,.ième est
: :,ème est double face I Prince / balle d'or (fig.3).
G-" - §ac de papier, de la taille des cartes, vous dessinez des briques au feutre rouge pour
trml&"
r ser un puit et sa margelle (fig. a).
1

-3teau deMerlin,quevousréalisezavecuncônenoirsurlequel vouscollezdesétoiles


Fl{af' î -:es (fig. 5).
, tf gti! ilt illlltl

a château. C'est un morceau de carton découpé en forme de tour (fig. 6).


Srlri:ïrl''l -: est collé une pièce de carton rapportée. dont le centre est évidé en forme de porte
ryrru!Ë rlfl'r
- ce faÇon qu'on voit le noir du bas de la tour à travers.
'trcil
q,r,:-3le forme, dans le bas, une sorte de boîte ouverte vers le haut dans laquelle on
: rær les cartes. Cette boîte est partagée en deux. dans le sens de l'épaisseur, par une
: - :olléc. La hauteur de cette cloison est très importante : elle doitêtre moins haute
.,:fite,maisplushautequelaporte(fig.8),afindepouvoirsedissimulerderrièreune
:- pouvant toutefois la prendre facilement avec les autres cartes qui seront placées
r ::mpartirnent avant.
237
I
Au début de l'expérience, la carte boule / prir:.: qmr
placée
.dans ie compartiment arrière, côté bou . usm
ie public.

La carte boule / crapaud est placée dans le cor;.3-1i..


ment visible, bouie vers les spectateurs, et
recouverte
e É ffil
de la carte princesse.

ll n'y a plus qu'à suivre l,histoire

Montrez la princesse des deux côtés, montrez


et placez-la dans le sac de papier que vous retc__
,a :
sans le faire voir. Vous ressortez le crapaud,
placez dans le compartiment extérieur.'Vors
o.:.
È ,,
vrez de la princesse, vous déchirez le sac
de :
pour prouver qu'il ne contient rien, puisvous
res3
les cartes en ajoutant le prince, oïposu,
Ë p. _,
et montrez la boule qui se trouve derrière le
cra:ar
rosez un tnstant les trois cartes devant
le suc: :r:
demandez le concours d,un enfant pour
fairei:e-:r
teur Merlin. Vous lui mettez le chapeau et ,.:._r
donnez la baguette. puis vous ,.pr.nu iÀ iio,
et placez la princesse derrière.

L'ordre à ce moment est donc comme suit i

La. princesse, par-dessus le crapaud


/ boule
visible), par-dessus le prince / Ooufe (Ooute
" I i-
Ces trois cartes sont retournées ensemble
et
dans le compartiment extérieur. Meriin-Ool_,
:
coup de baguette, on ressort les 3 cartes et
on !..:
juste. la princesse, dessous il y
a une Uoute et, c:
le prince charmant".....

Si vous relisez l'histoire, vous verrez qu,on .€


l'enTant en le faisant applaudir et qu,it'ieste
queiques mots de conclusion qui vous permeftr.rim
=
vous faire applaudir, VOUS.

L. lllusionniste
le plus bel orgd,rc du frencl: Rmg
F'rs ll5 pdr dn.
cbez ,ÿl Robert t,rrze
I1-16 Rte de l'illaine.9l120
9 I 120 Palaiseau

MAGIA MODERNA
L: plu *m Ëruc dlrqc itt-
licmc. DE I I'irlrsblc prticæ d'Al-
bato Sittr. I est phr frdc dc com-
prcndrc I'ltrlien qæ de lc pdcr cor-
Ëtrmot. Aborc+otu che A-Sitta.
Yi. l -lr 160 - 4022 Bologne.

232
! _ -! Ær
I
--

r:-: i t!üllfl{lllil,
.:.ARITION D'UN PERE NOEL
I s:__ r@F
L- --r i/llnlllllül) '\agicien fait montet un enfdnt sur la scène et plopose de le transfolrner en père
-:s tu es trop petit" lui dit-il, "monte sur ce.iabàuret". Noiil....
'}LS É -3g0llu Lbnfait monte etlemagici:n
a: 3: ldit$ntflmT
: :aine _-'e.t,puis, tu ne.le§sembres pas au père Noër, il t, iruirit une barbe et une
:

§rJ! -?il,iri'uûn
r"*rque. Voilà qui est m.ieux..... .4_présent, jep_rgnds_*o Uogtitî,
*agique rt ir r:oi;;;
! :r -:!$m ^;:;.fo.rwter en Père Noë\,.,..". La bâguette ie'déroule, elle'prrr,
.a oo costume de pète
E E l"lüdllll-lfii,, ":. lans.l'orifice duquer r.'enfant pa"sse sd téte.... tout're àd"jii;r, mais aussitôt rillu_
:, :'iiste baisse l'étoffe et derrière ie trouoe un ztéritable parc
he ï-i:: :Ir'* 1lm
:t tabouret......_ iiii i to ptori iil;rn/iir,
a "T *" :'lullllllllrl,
:ruc ne peut se faire qu'en scène, daec ufl rideau de
- §i ,:,ul fond à moitié fermé.
ln grand rnorceau de toile cirée, aous dessinez i"
LLlllll

:^* pArc tti-ii


!s:: : :rmm. ..;':: noire n,'atteig?rant pas les.extrémiüs, qui, rorsque k-;;";r;ii| l)et detrière une
est roulée. fera ra
;'-:' ttotre_d une baguette magique géa.nte {fig. a. ôn découpe |emprocem,i":r- -i;
, ,: i,
métallique i cbaqu.e'Ëout po1r t ;gi,iiit (fig.' t). L, irg"iti
't "^:!:rr::r.,:","9!,
L' -n Don metre de rong et donc, quand la bande est dépliée, celte-ii"aun
bon mflrre de
!- É îrllrilüllllllllllüll' ürIi
El-Ë I r., llrlNlfrll " :'ti Père Noël attend derière le rideau aoec un.macbiniste. Le gosse aura été préoenu
'MtrË:: pour éaiter qu'il ne cie..... euand il a reaétu ra barbe et ra'i,e.ruque,
te àascbn
***:'-le sa
ille tl : Jriliüffi, .bdguette_ d un goup en prenont soin que t'our"rtur" ir't ,li, ,i orriri lî"i
- 3:t- -r t*Ne: que la téte de l'enfant..... ei s'aperceoontbe
loilflllllîllij soî, erteul, it blaissc t t"it, pirii to
! :r -**l:l!linm nts'.rter...._ma.y, pendant ce temps, une
fois ro toile déptiée, le rnacbiniste r"iàtore i,
',)fli::t;., pal derièrc, de la moin droite,-prend le
e 5i :PlÏitX[iiiluül&,,. wboaret ie ta gaach:e et, aussitôt, le père
et te tour est.!oué.
w:. te gosse à l'aaûe bout de la salle..... Mois est-ceon.peot,Zi"itoetü*eot,
:!.-.?i::^::^p?if--!:"s^*.......
,nv:,t'e bien ücessire
fr;* W;;
? car, qLr"a Jiit
Lif* ï des cadeûax, les cbers petits anges ne se préocc"pri, jt"ri"'deoeniiàiti"rpii;i
r
:er,E yl1illllIsllllûül .wr-:-tde....... '
ffiT[ti:

r,pmû@
7ü &rl
iilG ililrixmnml

t* o ullll/tr

ZôÔ
;J----'
EOtcIlon tD-_

AU
e
a

E NEI
o

Le magicien montre une série.de cartes géantes,


sur lesquelles sont desinées des personnages
enfanb : re pdre Noiil Gros.tuourouii,"-cjür;, ;, c
ange, un oontromme ue neig., re grand
:f:::,r_:,,;l:]ttîJryi;i'nâ;i,.,
lTlir;,iï ;;;,:l une carre par un enranr;i re personnase s,irs r.ont reconnu......
üi-ffi;#';.ïïi:ïil.;;]ffiiiiiii;;,T:.î Le
Iil,.,[îüi,,,:ir
l;l';:'#ï,ul;lTJjl,f:T:::l::oH:^:ll:glf':
du baron i. ,.iriili"ii'i&,
il dit arors au sarçon qu'ir va faire appa
'intériéur Ë,:ffi#ïï;ii,ii,1,ï,,.J,i::iliJi;liJi,[11..:
ii;i;Ë;;l; oarron eIet rrir se met du coton dans les
Ï:*:1,::lau ie,inr'gar;-oniiË;
demanàe lj*:r::."0:::i::::..'";d;';i::ilH;: hron orn
res oreillea

ff ;*i,;,il;ïfliiiïffi i:]:lii:';üËd,i:iü§,,,JI1TJ;JïH,:ïîî,Ëïï,;*':*itï
[{iiiidùi::::';t*,1';,',',lrs;îr,l,J,ï[hï,#;r,i§,Tf Tiriil,ilji jfi l!îil
ÿ;;:,i:,;nt;,#'.:î
repires en noir, sort f"113:"li,l1i:1,,-T
une épinsie",t t;,;;uverie ;;jnsË,î,.,.,*-"ii,oesine arors de,l
aïT*ü#(r];:'if:i:lifl.J,xi;;,'irt;ilHi:liJi
'it'
[jii,,i] [ii3;'lj: :Xiî:ixïj:::lf;,,'i:':'"',]ô une sorre de petit tuvau noir dans requerir
,T'l'üJH:i:ï,ï,;i,iT,,nt"i
coite sur re
coire te petir
oetir harrn_n n,,i ii
bail0; rris.
r' miü, ;d;l;
iï,,i#?::
iiirjj:llr-!î*,rrlu.cbup
::1tIJ,T'üLil,ili:|;iïl,
piu.s s,o, ,i, àü;ïu scorch
i). il;;;;';;';;;ïiË"éiïffrï'i',lll',ll:liii#"ii:iJs0ix doubte b
l#
sur le ballon branc. sort uni_nouvelreép'igr; p]ri'gïnde,.genre épingre à chapeau,
er esaie de c
li'lik#l'; à r'enrani o'arei ie"s'a-rj; I-ii:,'',-; 4i,", !, î,s,, enrève re côron qu,ir a dans ræ
et demande u''i:ll:"','îïj,:l'.:lg::: ir

fli:iili; i,,' li,fi,flii,ilïi.''est


coÀprêtem;,i ;ü
'iï'*
ii,"rii'ülïrji",ài"r'n"J,iJ'iï::lf ,ï;il'riffiliiï,F
momenrrà rr *iou,ne r;,nsembre et c,à
m
i I

ROUTINE

51,ffii,;,|3;1iï1; faut deux batons brancs. Le premier esr


de ceux dans resquers on ti,e sui r.i-iril;
*
d'une trentaine d'e cm"ïll:"rî,.ï:î-3g::l.li}r1s ;;ii, ;#il#it
or ai.màtre. l-r;;Ë;'*'constitué par ffiii:i,.:'r'll:';,iifi'jilfl
tu
ï:;
un rectan,re de cancnn n.i,
;l,H il1# î ilil,l',*,ll üi
l ïbü ilÏ i!li, ï1,Ëi,l'i:H:';:ü
i,'i"ii:'i"iif lJ;:xllïl
intérieur
inrérieur d,r r,"1*
nhanoa,, ,
du chapeau. ","::,j.^1r*_l lïr-r.-0n co[il; ffi;
peut même jjaine noire
sur te ,
'1-r,i".';;i;;i##:it";'ffiiJ;'J,iiiilij:iiiffirifi:i,l,rX
i:J:ii,ffi,î,'*,',::::"î':"ïg:+li::-,:-:i,ç;;',,;;,i;ïi,ïliril,ï,
des enjoriveurs qui ne tiennent pas. r.'épinsË*;#ïIiffi:ï:,ili#iilii,tl.ifif,g:fi#
res porres dæ r

*ii:ti,Jî,li31;h:*.,"11:,::j:":ff
à vorrà choix er ce ne sont pas r* &ii,i!.,;;ü;,d."#,'ilïi,in r_, rorcase d, e
rrvr#ir,T:ïr:ii':ir"jii,iliriJrii,n,irl
;ïl.l1T,

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,a .i: ,J 6'
a |«'Ü'
?

234
irÿ\ t
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3 4
,n§.f§ Cl'est un tL.i,lt-pour les bnr:oleurs. Ji va
poncer. polir. bref salir la çuisine. encùrr
iaijoir scier,
Ma;s 1a rcutini:. dont le
thèrne n'est pils nouveau. vttus paiera quanrj
{{
It

R fmc p.'Ine...
EFFET
nte mc de voire

B " tf §l § i,l iïi:,îïd;ïâr.î,i-ï î,,î:l:, ;:,;ii:il:i;,L ji::,ii:ï;:


tout a* l'nr-J de ia sr:ène. l_. g"r* r:*,i;;a;;"ei.:ï;'î;

i!:S0ti-:
B
j;'"i.:[ im]
Iiîr: -1}-tiruilil|l]ul
orlrfr :.1?:liîpjr-
rmpossrbie de
:
, ,l,un
des pie its tornbe er ;i ,:iï
ie ren;eltrur. De plus. t,rri- .1..
ifOi\ Jillrfs piieli: t':.t Lln ïir.:l nlu. n,.ri, ,,,,. :,'
r,r _: -iiuul|ltiititfir
itulrc:. cr al;i Jrir ir. i, ,',,r-,or;.;;:Ï;rl,ii.,:i
ban,:ai .Cn ie larssj sur tn idn.--,-it:
I l5P', : *- tI uflü
demande si un autr. enlaÊt pourrail jr-tl
*ici;i.,-l
confier une rl.l<lntre_
"Pour tcr rernercier". liri diT le m:igici..n... j.a;
i-cL"tl toul i l'treurt Llli plt(lltal. jr, ti:
*, "lllI[ ia i ..,.
j'rüllllfl
tTtlr' lllllr

itlmlillllilll

:llril,lll ülr

: {rÏii Ï[][ rlult

llllriL'llfliü
"-,,.flI[hr.

lll ri|r rI

:-' rttil

-li,illlilrtlll
''illl illtillnü

",u,rlll1l iit

mrll lliilr!,
,,il .lllltilllr

I lilll]Illlr

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ûûlll
-ir"l JlflmflU
;ürI I :, ,ililLLtxfiUiilüil,

!i&':L'. -r': .ï'rm ,ûul

IilL,'*:.llt.,L nuul}l
t i -.i [iïniilmür
1E! É,. I IUUtiilflilIü

* 3rt' " ffi*


EÛE $/i i üüuu'ffi
&$rtltiXi, illl]ll ill lllltffi

235
La montre est placée dans un
sac d,étoffe sombre et l:
sur le rabourer. Le magici.n.
rrli ,1".r;';ï;^ rrlou\.ëir: ur_r
et bouscule Ie tabouret qui ,,e.rouf.
uïË. fu'îronrr. da:i e
sac. "Il laut absolunr"ni r..,""lI'i-":::,'il:
a i, r. i, u
| Ë i. ; ;ï ;";:r,i l.;:'iJ :,:i:1 *î.:: l,rr,J;_
et tire, avec I'aide du gosse. suri;;leJpiediioi'.ou.t.....,
j: -d! b"i te corlptê-rem"r, .. ü;iÀ;ui.i!.r.n,. d *-irro
l::d nranoeuvres.
ces re magicien marche f.ancÀ.*ent
sâc, et on entend un craqllement s,. o
pas sur le coup cai ir *ri
,irirt.a....., lui na .._
:I::çpi,
rnars les en[ants ;.;;;j'uu..
.liifr. ron rab. __:;
le itri signalent . î.r, vrai..
'.r avais oublié
la nrontË,,et ii la oo"r.,ài*rlrsernerr: :_L
une chaise, randis que t., i,.ur
.nïrnj."I;i.;i:i.,i"ïË-.ffi
qu'ir a marché o.,,,i:,r
et retourne à son tabouret !J,;;;i;i|;;;;â;
auq.uél il ..;;i;;
arors que _:n
pied rani :rm,
que mal..... et les enfants
.untinu.ni à.'iriîi* que la :: :,r-.
tre est cassée . alors._prenant.un
contenu du sac de<jans, en verie,ie'Àagicien f.ir_:Ê r
,:ràur'ïov.,
non.....". Malheureusement. riisant bie:: :rc
ce sont Oer-pieces déta::,:**
qui, lamentablement. r.. ..punà.nt'd;;;i.i;.....
,,icien - il faur
bien re t.;ai;às;;;;i...1.. eï ii ::i&
flils ,, offre :.-r:
j:- rlr^"^:r u m ô,t..,- p ;;;, ;;ïü;,
L,rvuyer en reDaratron.
ri1"11"":0" r. pro p cs : u:
Il montre alors une Uoit. ài.. I
tluelle il verse les oièces....t tr.onn.'il:.îïr'n,. ..ll ne
à uuendrô qu. l, ,.puià;;;;;. ::srr
tlT'::
pis demander trop longtemps, ;;r,,i.. er ca _: btr
les preces ont disparu er. à ra .;e ..oi*... ii-ouvre la b: -:: i
n)e : nous vous relournons. cc jour.
pü... àn irorr.îr-,ei.....,* i
la ;;;;;...;::;*
rdparde. elle vous a ere expedid.,;;;; ',in,,poqr.,
Jaune .. Le magicien :emble i"i.ir"qrj ,::. a {{
.i'r.I

iîlffifg**tffi;î+=$l
ne soir cassée .. enfin. nouiiri""ï"àri_i.'àln"^,,,_
.. I
les..cinq bojtes. A I'inrerieur
o. r, .inqùié;;';"?:ji:.:,i I
,;:ir, -
r: Iil i î i i,';iiî.': i ï_1.8îî JÏ;Jlï i; Hi i: -.i
I
615

D É$*"§
Â.\
e,"s
I

_el§ ê
I

El
O @rulE+4f)
ô/
236
.i. fâut 13
.ux petits sacs d'étoffè de cortleur contrast(le : l'un elair de l0 x 10 cnr.l'autrE: tbncé
. l0 x l0 cm de coté
-.
élastiriue
'.e boite tiroir cn carton
r: boite à 7 ou à 5, ce qui est suffisant. ilont la elerniÈre boitc, n'a }ras de lond. lrai5 a
: hiillteur minimum dc i3 cm .la raison en devienclra i:laire rllns la description rlLr
: ôLlfcl
ÏETIC
tall,ourel truqr"ré clont nous allons dicrire la fabrication en riétaii. C'c labouret, qLti est
de l'experience , \:rrtiS fernrcttrr igaicn-rent de rangerr Lln peu rlc nçtteriel
'.19 5le _voûte
-: rl devient valise unc fr--is replié...
, :1..tr1-
.:,
rl
'"CIFE
li
' -'un des pied-s cretix dt-t tabottret qui perniet de cl'rarger.ir nrontre clans le pctit sac
,: trouve dans l'épaisse lrr du taboLlret (11g. I j. I-e de sius ,lu taboi:ret comporT. Llnr
.:crète que l'on ouvre après avoir posrj la boite sans i'onci par ilessus.
",FECTION DIJ TABOURET
. lfre :

.i u contreplarlud cle i0 rrnr : I lois 36 x 36 I lois 36 r 10 4 fois 3.1 x 1ü 1 t'ois


a
.tite liste cie bois dr: . I x 0.5,-le seclion sur 8 cnr dr: lcng
::rirrres invisibles ct à dégagcmcnt du modèle joint (flg. 2 )
-:rée. des cious. des vis.
eTement:
':be plastique or-r métal. d'un diantètrr intérieur de 36131 mm. voire 40mnt
-.reurs c1e -31 i longueur de 33 I longueur de -34
de hois glissant si"rr les tubes
' -..:s
) ernboitts en caoutr:houc pour pieds de meubl*. percés à f intdrie ur. d'originc ef polr-
â force dans le tube que vous aurez trouvé
-r':rtrer
de tige lileté 0 6 à cor"rper en dcux au milieu
- iis allant sur les tigtrs lilctées. ile l'araldite
r -ORATICIN
..re noire et bianche en bonrbe
trontbe.

1
))
J .'
l rq./

:
1r

.)a n
PERCAGE
Percez les 5 trous du i'ond (f;g. ,:
I.es trous A et B sont au diaÀèi::
rieur du tube qui dort pouvoii :u
:
légèrement à force.
Le_trou C : diarnètre extérieur ;_
+ 5à7mm
l-es trous D et E : diamètre per:,:
de re.cevoir les écrous. qui seron:

t2 et collés à l'araldite (fie.'4).

CHARNIERES
ceaux de 34 x r0, en suivant res cores o. ra.r,g.lT'ix'.ïr:l,:lt'îïï'Jii.,ï_::ï.
Iii,"J. i#:,i xili.l'â',ïi:[,1]h# i' o " ia',pe r *., ;i;';;';;"oir n x r ce t t: :
e

SCIAGE

ff;i.'i:',J!J.::ffii'.:'rt i iul.'J: scie. en suivant res indications de ra rig. 6. Des


scier un coin de la partié ïitig. iii.
rrco, à pouvoir ultérieurement y passer le dors:
ASSEMBLAGE

ltLi^1:"oi:,:::l::.-:iîl:.p:1!i.
Assembtez Ie croisonnement par
p du couvercre comme en fig. 8.
"touue.,-.n;;:'o#ïË:i.'b*r"Lr ra partie D
cle sur le coin du cloisonnement marqu?
X ,ui t, fig. 9 (Iig. l0).
du:
.ii:*l:: 1."ï,,"=?,::::l::.:::,1:;-;;,*;;i",,
,ju'iàut.'-,
et vissez res 3 couvercres mobi.res,
b";1;;;ï";,"##lii#:i1i H
*iJ;iJ:i t;,,,,..ïî,ilii
Clouez le fond et vissez la poignée.
"?ïnà.'r.ü.

comme
prenant par les côtés. re couvercrel:1'*"r
*"".,"J,':lI::ï::_::1::::.:.:: {ig r r. Les couvercres I et 2 se r
:, qui esi compteiemenienr"""Jài'ii.rriff:J::H
vvrrrvrLLLrrrrrrr çIItuure
se Iève grâce atr petit coin coupé.
Lafig. l2montreladécorationàdamierquipermetdemasquerlesdécoupes.Lecc:
coffre sera peint en noir à ra
uo-u.,]Ë-à.rJür.ru apprêté, poncé et peint, pour
un n:
238
L PIETEMENT

annez les rleLrx Tig.s liieides


1S

iltir-ls dr:s rntbcuts dr. ç36i11ç6sua.


::itit 1'frS.lr: iraut t,,-s slronI re iiriire -s:;*fiJrir.r'eîi..,i de f;l!,oit çu.r-iles
'tiinecs
r.l-i bas 1,.itt T,;,r;;';-,, .," ],aral,,iiir: {ilg. t-3 i
:i:rruis sei')llt eLlr\-i.É;.111s,:ollds
s-oit cn bcu1. rr:i; ir'intérir.Lrr
'..,li;i;;iï,:;*ï:ï;:,,,,iiï..; jl*i.ïd;.ii aes tirbes rir
,,a:;: ie ;,;;;;.;,.,;,;jes ,,.,,,i,,
_i; 511_

\TO *,: ,,i,irï

N"§ltrm
I
: rn lliltrr 1a:;Lrr:1ir n{lLl.j lr!.
, les iabrir:atl.ns
.-,..::".i'il;'";1,:rT;:.""''t''
drg1.1ç.. par rlr jùtr1i
i1r. sont pa_c i_.onsîitntc-s..._,,,,
f}orir ir,5 liibr: ilr: pi:t lirliti
lii,_i,,r,
::.iü!t (jii(. ,,..1;: irliliir.ia:: ;-1:: lr,1
,",,,i,',',,r." ,,'r,. ,,,,..,j,,;,r;;,,r,:'.
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ir,rbes r:st rjg;:ir-irertt ob;tnirjr
i,:il^Lrl eiri:,..,1ri d: i.;it:l r_ir,iri.
:ur iir: bois serl coiie,l 51.11 i*
.,ïJ,J:ïJJ",i::,:;ï;:i:,t ir-ii-re rie -l,l rm à i ;lr ii,une i..:;lliiriri:
r,oi,.ti,..-1,'pL, un,.,,,1,,,,,, irr.lr i-i; rt lrs
ü.:";,;.=.;;;,.j,,r,,i,.,1i:ha11..y;,
-:-:.
bagllr rit bi;rs r"r"
''t:'ir- rr{ \iKr \r.,x ::::iJ*.-':rrr lr lirirc ,'rr'1j.,,
d.. J-i...à..r i:l',-r ,Lirr.\tiJrriri
j.,,r.,.'., ae -Ji.irlij
...
i,i ri r,t',,i
ltiiircrrl. ,{ l'ai:li-c cxil.êriirtl ui.;;.:,:
È-T
,*.* ,,rfia't-,,r*'ar.rtrr: iragrii: ;)
I ".r::1,...i ,,n,,
i:i_n tJu brrrj.
rilj u'l tLlbi clï cnfliciri'un
côtj r'lii rit l";rritre, ic irbc,i.,lre t rlsi ij;]rlcal Lri.i n(iii._...
hl iil
i,i iËüH
- :r ti'eux
ltr*rls ticrtr:;it;x.
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ilrslaLli. §jii:i que ic .reLrÛi:rc1
': {r"}i,,! Jil 1rûL: {' de i, rig.
"; ,rrr-rrr,....'i-. ,rlur.e t esî aiors
esi .ie 1,e. )t i11i;..
:iir p.tir nbiei emL'airrt,j . n:*irrr,,r ..,ro,r,.ne se;::r f,re !r.rq
- c i toinb* lire cterrenT <.ians le ur. .ri."lr,r,, hrrr:u." .;,.r..,';;;,;';irr jiiiiirr{r.rir
C. *uüuî ciiiire.

j',:,:,ii;;Jo'; t1 ri- F1:, -:ç1 61s,, !e


,
i'i':,J;,::J:'l:""' "re r.,i, de ra rig i
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*"1,1,,É1ltll,Ifill,lt&f

",*.t:ii]tril illlLh,
ufi ]1.îlillllilifiL,'lltnltrt

239
16

ROUTINE

j:,l:,^::lî ,,1 e1f1nt "t,ugm. tui demandez «i'approcher le rabouret qui s: ::


X:i de.ia
rond sc.ène .1e pied avant droir t"Àï.-... i. t;ffi;;;;;T#;ffi.ii;;,;.
s'il ne, tient vraiment pas (scène t.e.-.r'pïri.,;;;....) ;.1-,
::-é::il,^b_llr.,t1qt-.-:t,.
dez au sarçon de le tenir..... vous..pirri.i;Ër;;;;;rii;'aï."ià",
le gosse, vous lui confiez un gros paquet qui peut etre envetoppJ-Jàn. er, pour i-:
avec ruban, ficelle, etc......
du papi::

une bonne, précaution consiste alors à placer l,objet dans


un bout de tube s-:.
taire, de t i0 cm de long, ceci afin de vèrifier s'irTàuri...-u;;,";"r;;r';;;";
d'un con s'il restait coincé dans te pied...... {J;.-i"i; i;;é;-fi;";i"" i;;;,;;;;
l'objet en disant que vous avez une mèileure idée er uouil" =;
;i;;;;;;;, Ie sac sc..:r
En. fait, vous emp,almez ia montre et c'est le sac qui contenait
déjà des mécan;s:er
qui est posé sur le tabouret. on bouscule rl'ensemble, t. 5a{-
LrrùçrrrurÇ, rtr ,u. tom'u* .t vous
LLTIIIDe eI
t1bo.rret : vous te retournez. vous essayez de sortir un peu i:
..r. ïtrtÉ
,À"il\.o-jj
:::?:îTr ly:.dl
est le plus courr des rrois (en. fait. vous déposez ta montre'ààr;1, ra
lelied vous reste dans ra main...... (vous
üi;;._:;Ëi. ir,.J
sa c).
làrrach.r.." qur; p.;; trt a. charE:: c
aiors retourné et placé dans le trou B afin de faire un tabouret à
Lt^,1i19,"r,
Mais malencontreusement, durant ..r *ànâ"rures, vous uu.,
ii:r
-u..iïï;;.i§*
quicontenair la.m^ontre. rr n" Àræ piir'.nruit* qu.i sr,r
ty::"-11.1,1.Iri::,r^r::.,l.,,:ac
présentarion reile qu,elle esi décrite aan, i,eif"t
corrret, vous demandez au gosse de vous le confier, ";;bü;;;ri;;ir;;i"i,;;,
vous en sortez encore un al
vous posez sur le tabouret. Il ne vous reste plus qu'à ouvrir la porte
térieur du coffret, et d'en sortir le petit sac o'etôn ou taboure: l
montre est à I'intérieur...,.....
à;.;r;;;;ettez au ba:rrm

240
tt
Gr-o:
§

fr*1\
lt4)i
t\-:; i
mmffiffiruK
ii.=ll
:::D{CTIüN MUSICALE
lL.ll
I .-_.-.-.1
ü -d-z Affiffiffiffi
-:t bien pratique de pouvair faire apparaître ie Fère iÿadl. Quanci ce!ui"ci entre en scène,
,,, rnroir ptus loli ii l'archestre iaue "PET'IT PAPA î\JÜËL". Et, quand i! n'y a pas
. ':hestre" an y remédie de la façon sLtivante :
-- . :-irsfe présente un mini cassette, qu'il place sur ufi tabouret devant le micro. ilmontre
s cies
'
, ;te a ne plle rj'e casser æs dti commerr:*, pré*nregistrées, des d ivers chanteu rs c an nu

i: :â§"§effes sont mélangées par un €tlfanf. dans uri granc,! sac de plastique, puis l'enfant les
,--e lui-rnân'te une à uie et une ltersûftne du public crie STAP ! quand elle le désrre !,-a
:3ria ôrst appartée sar$ aucun change dans le i#Çteur, ei, aussitôt, s'élàve la douce méla'
". PËTIT'PAPA NOEL. De votre àô#, et avant l'€iipérience, vaus aviez signalé qu'une
,-:snnalité se trauve en caulisse et, que si la prédictio,n esr exâcre, e!ie tloit carrespondre
; cassafte qui sera choisie..... ce qui fie mailquë pas de se praduire.'dris les premières
,s arrive un merveilleux Fapa ftloe:l rlui fait t:hanter las enfanls avec |ui"..". aidé par la
t.:
..;ite.
.
"Ll
ril
,. , qüi srrnt tant sait peu versés dans la hi fi auraî-,t déià compris le truc : Vçus achetez
,,iL :e's rnarchés d€s cêsserres préenregistré*s à vil prix, genr* Enrica {i/lachiasse, Dalida"
": ,ie Matthieu, et i'en çublie...... ll tautriu"il y en ait une bonne vingtaine" La raisan qui
[11,, . ste à acheter des casseffes préenregistrées" au !ieu de les faire værs'mêrne, e§t que Çes
,,:ies ,omptrte*t une étiquette imprimée avec le n*:n du chanteur. Etçatnrne vaus ne
- .z pas les faire écsuter une par une, vaus demandez à votre aide de lire que les titres.."
.il, :cutefois l* laisser alfer fust1u'au baut car, pour mrinager votre finale, i! faut sor'enf
llllr'r

lllil l
ij
ril ' :4es tyuetques çâssarfe§ dont sn ne connaîî P{}$ le clïaïitsur.'-'.
r'l :" : "intipe /es câsseffes preenregistréas sûnr tneffaçabtes, mais n'aubliez pas que vous Sfes
- -ien. L'exarnen Cu das d'sn-e casseffe fait apparaître deux petits ergats {fig..'l ). !-orx
- :es ersots sonf cassds, vaus ne pauvez plus effacer la casseffe, mais, si vous abstrttez le
' .:r- !N!' ' aveî*un ruban adhésif..... vous püuvez i* nçuveau pracérler à !'effaçage, suivi d'un
: r. 'r
;tstrernent.
lLlllLL
.
- .i l u]lrll
:-,s suffif danc d'amener mticaniquernent foufe§ vüs cas§effes vefi le chiffrs ?Üt de
"-. campteur eT d'enregistrer Petit Papa {v-odl sur chaque face § de char4ue câssefre.
:H' rrllll
: fois celle*i sétectionnée, rnettez-la en rüüte sur la faee § et faites entïer le Pèrc
-: ne ferez pas le Lida avæ Ça, et de plus taus les papas présents et passionnes_de li;F.i
t -.t {}fiê va§ue idée du truc, mais c'est la fâte, leur gcsse va avair un jouet, le Pàre.No-'l
* s It* ,,,1' " - : .,.. et an ne vous en demandera pas plus" Si vous êtes amené à faire plusieurc séances
. : i'après-midi, RANGËZ la cassefte chaisie A PART et ne b mettez pas dafts votre
Jl&,

- -ü ll'llllillm)
'+Ïiitr
fi nt.L:- LililIlllfr' ."-'tain passage car sinon on vous fiettrait en derrteure de faire apparaître Jrth n Trav!o'ta'..
:rrm 'l'illllrfu ; te sais pas si Ca serait un bien pour les enfants........"."
l&T - :"1 & " :'incipe en lui-même peut être utilisé dans d'autres acca§ians"

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I\IUIT ET CREPtJSCULE
par Didier Decoin Prix Goncourt

4k
/ '--F 197v
Pierre Brahma est magicien de profession.
La merveilleuse rigueur et l'extrême élé.
gance de ses numé;'os font que je le tiens

;,:4
?r=
pour le vrai Frince des illusionnistes - il a
d'ailleurs recu, à Vrenne en 1976, le tit;-e de
champion du monde de t'illusion. Brahma
ne coupe pasles femmel en morccaur, mais
I
il fait surgir du néant un ruissellemenl cje
ll n'hypnotise pas, mats il
ru1s pierres précieuses.
fasc i ne.
ll n'empêche qu'en ouvrant "La l\4alle des
lndes" que Pierre Brahma vient de puhrlier
chez Julliard, je m'attendais plus ou moins à
subir une de ces autobiographies pariaitement
narcissiques qui ne passionnent fineiement
quecelur quien est à la fois le sujet et 1'ob1et.
Je me trompais :en littérature aussi, Pierre
Brahma est un magicien. Car loin d'être un
auto-portrait complarsanr, "La lr4aile cjes

ll,:e'l* l wif{.
lndes" est un extraordinalre documenr sur
j" lllll&r
les coulisses de la nuit : la nuit des cabrarets,
: -!15 cles casinos, des tournées minables, la nurt
*: :iat"' t:t 1fi' des grandes vrlles du moncie. Ce ne sont pas
rllli{ 1, dffiti là les carnets d'un artiste, mais 1e regard et ia
f,lltlt - ,,", ,, tendresse d'un homme familier de l'envers
' !ü& . illlilt]]
Cu décor, ami (et parfois amant) des êtres
étranges de la nuit : artistes ratés, comrne le
lr$ :.-:'* li llllilüil]
vieux magicien Scarha et sa poule pondeuse;
i &l:l-- r lllllltilûX
travestls pitoyables et bouleversants, comme
iæ: il:rrl ffil. Ia Femita ou la délicier,ise Linotte, prosti-
rnüailf:a lllllllllllllii
tuées cvrriques et attendrissanres, comme
Esther ; exploitants de boites de nuit, comme
: I :1.' i illllllf
le couple Alecto.... et je n'en finirais pas de
,flt1

€J rii .t9illllli nommer ces fantômes de minuit, qui parais,


:al[:qi] ilill tiüi sent n'exister vraiment que le temps d'un
:.&lnr Ht,:t:iiLLlllilfl]ll, effeuillage, d'une métamorphose.
i,ü: t}tl:illi tütr' En lisant Brahma on rit de peur de pleurer,
et il arrive aussi que l'on pleure de rire. Les
ii{;lli\" ill!{iïU lumières de la scène (un peu comme dans
n* rql$flliiiiilll{iltll l'admiraLrle "Limelight" de Chapiin) dissirnu-
;ri û3i tlrü(ür lent mal les contours d'ombre et de tragédie
): 8jp rflflflut-
de ce petit peuple des "artistes". Brahma lui-
même n'a pas été épargné : atteint de surdité
Eg[.]È ]&lr]îfllllfrf,
totale, escroqué plus souvent qu'à son tour
Lr rynmm* par des impressario véreux, il dévoile quel,
Mr,IE &f &, que-unes de ses misères les plus intimes (il y
]:rl"-18i9 t,i t&. â notamment des pages d'une émotion rare
:TPUJT llü
sur l'agcnie et la mort de sa jeune soeur
Annie).
urræ curul ,n
Je dois aiouter que, sur le plan presque
Ed; & lullllulffi. "technique" de l'écriture, "La Malle des
6 ûnûl![r ür lndes" est exemplaire : la narration est vive,
cç. ssilr rmmr piquante, admirablemerrt rythmée comme
Le lh rriruuumu
un numéro de magie bien construit , les dia-
logues ont parfois des verdeurs céliniennes,
EÊFmlnu- [üü
ils sont d'une totale impudeur et c'est
ra ir lHrr[Ilün sans doute pourquoi, paradoxalement, ce
premier livre d'un maître de l'illusion rend
un son de vérité que, pour ma part, ie n'ou-
ü !sm, ffi, blierai pas. Ce n'est pas seulement un bon
|:r I rumür livre, c'est d'abord un beau et grand Iivre.
Idmr n

243
"b[rhtfif,r]W,fr,vfi m
:1rii
tg

Les jours où tout grisaille et con se paie une toile pour


se regonfler Ie bonhomme.
prend un fihn avec quelqu'un qu'on aime et, parfàis,
on en-sort déçu: ..J,ai pa§
Machin dans tel fïIm.....".
"Est-ce lui, est-ce moi ? qui.nëtait pas en forme aujourd'hui
-coroy ? Est-ce/ rv
le trtç
metteur
ltçul en Er
ç!
Boffffe, ça ira mieux demain, dit la mère qu, ,àit?rt en passanr.
grande professionnelle.....',. "o.-"
est valable pour le cinoche, I'est aussi pour le théâtre.....
3, :" aSri
M,rs chaque fois, ce-qui est-sûr, c'est que pas Machin qui est remis en cause
personne, c'est "MACHIN-DANS-TE L-TIiUC,,. "'.it
Mais les nngiciens sont différents...,.
Quand un magicien se p.rânte, c'est LUI qu'on incrimine. La pneuve
c,est que vous n
drez jamais dire "Je n'aime pas ra façon àont Bitambois
*Bitambois faiire saccra-louffe,,, mai-.
est un gros mauvais..."- La sentence tombe, comme;;;;;";;'"i
dé{initive....-
Les jours où tout merdois et qu'on ouvre un canard,
on tombe parfois page l0
page de Pubbe achetée plusieurs millions
et qui nous vante le ouane manne-ch
Bandalaize-... seurement, page ll,
le critique de service nou, ,roï[" j'iiiï;:t
est un con et que son shoï, c,est de f, *"iJ".....Ët c,est
ll]ll.Y9"laize
absolu de le dire et ce dans re même journal.... et le lendemain,
son droit
ta Àeme pubbe rep
j:ït:,.^,f^"ry: î::1èTt et â la méme prace.... eftout ceux qui n,auront pas lu la
de.la veille' augmenté du nombre-d" p"r*ri
""u*
voir le show de Bandalaize, qui du fait se
qrr q;; iË ffi;;; "i;ï:";i
sentira àe plus en plus a f
"i*....
Mais les magiciens sont différents.....
IIs aiment la critique, voi.e même la sollicitent....
en se rengorgeant d,avance
pigeons-paons de tous
";;;, le^s compliments que vous allez reur faiie,ie.t"ir* qr*
n'èt". p * Jà"ii, ;" ïffi
;;'ff Ë;;: "#i1ffi ï;:;,:;f.::: :i-"i:ffi
n
:
catastrope arrive à grands pas..... car, si la chose est waiment déplorabte, on n,. q,*
alternatives ; Ie mensonge dans la fuite : "bougez-pas, je
reviens tout de suite....--
vérité avec ses risques : .,c'est vraiment de la merde,,.
dont .l rien â foutre, et que de toutes façons on ne reverra
plus simple est encore de i?
|;r:,::r^9u1[u'un
le dire "verrynailse,, et de * u..Jt.it*Ëo"r_:.';,*:
i
mais keston. gagne comme temps..... ùais dans le cas de qu"lqu;un
qu'on connail
respecte, voire qu'on admirB, il faut lui faire |honneur
ae'l,rroLài"Ë-;;;, ;;;
îiT.1:^li.ï,,It:tf
"du psvchiâtre" et de f"g"l,s'il
est d'accord, est sans conteste d'emptoyer la
rui piquer zo0o ou i6bôilË;;il;;ilïJ;;i"1i""i::
seulement.le type ne vous en voudra pas, mais il se sentira
méth i: F-'q

rncÀ" à"r tendresses Dorr


au bout d'un certain temps.... car, si vous rui dites, d,emblée,
surcroft gratuitement, il ne pourra plus vous voir en p"intrü...
iou;;"Ëi';:i:ii Ir,IU
liü
consiste â dire
ïar Ia méthode od
"ce que vous faites èst &ês intéressani, on y ae"or" a"îr;";;"; [Æi
qui ne sonl peut€tre pas toujours bien employées...." est
parce qu'elle fait perdre l0 an-s au
une méthode marl
ÿpe......-mais-peut€tr" y ;-i-il des profs qui d
:idire,,ï"":ï":.
même si ": T.p"t.
c'est
que des élèves.... euand un typ" i"ii àe u merae, I
douloureux sur re moment..." comme o" arËr'i"cîriri
raut
voudra, autant être honnête.... une fois la chæ ôtÉÉe, l
il t crair......
244 ";;tr"
21

ffi
îaç,Ï
F
.'#,î:,1î.J:J;.îiî:iiiïË
: "Tante Agatha a la ï,:: l"t urJri"
plume.oin. iîJ,î,làt;';
i[î §:,x';],J::ïî i.;:. ::x
Ël ll
ffi
.=.oin:"
.*ft?.îfi;':,"ii,::: rffi,tïi*t"lmU:-:îJ,#;,i#,T;ïH1:
t;"- :giciens sont differents .....
t*ràt.igr"rpturgror*rdansles

h ,'r:,* : rï ft
*"1
.l* : r. lulilrffir
llll ''i aimé le livre de Rrahma, et j'ai eu le courage d'écrirece que 90 % des rnagiciens
-rrent tout bas et j'ai sans tloute commis un crime de lèse-grand-prix..... et B'rahma
ll|filllrrr'-

Li:::- rlrlrnir ls content. Bon. "Rayez-moi de la liste de yos


,.*4]ll!llt abonnés Bn.. "...',,
1{\i-: 1 est que ça ne m'a pas fait changer d'avis."... car Ie rivre de Brarrma n,est pas
tL|lilltir,

[lllllrr '..:t1rne
de magicien, mais une chronique sur la vie des catrarets. A la limite, n'importe
un
quel
: doué.pour"l'écriture aurait pu écrire la rnême chose... De Brahma. qui arbore sur la
lilrurr ':
I ;lt -. i: :..1', ü, llËû son tltre de champion du monde de Ia magie. on attendait de la magie pas
et une
,llll,o* -ue dans^le genre de ce que simenon a rtéjâ fait dans ..Le déménagement'.. Les deux
,lilü' . -i. mais Simenon re se présente pas comme un magicien.

*:-. "i tilll* 'rma j'attendais autre cltose et c'est mon droit. J'avais fini par croire que les colliers
L[]illlllltl
Il[li lrures qu'il produit cltaque soir étaient véritables et ctrntintàient à scinriller
-;ü , : tii,.]tlllillllll une fois
:cteurs éteints.".. J'ai été déçu, c'esT mon problèrne. ca n'erllève rien au
:=: i- ' Ll1r llûllfl nunréro cle

,38 -.. iltilillilr r il v a autre chose....


r-|Ê-j:- il lll*i I lr Sergio' Léone nte faisait I'honneur de venir bouffer â la maison
-r'e üa: L,r' ::3 jamais".".), ça ne me chnquerait pas outre mesure
{râssurez-vous, ça
! "]lillhiilllilfrf*
qu'il rote un grancl coup â lu dn
r ::, ,, .) et.même chose pour.Elie walrach, parce qu'ils o,ri un" tête à
ia.... par contre, je
fl]lulltif,

Ë I?:i: :r'rii: l]flm& ' : ::rais jamais la chose d'Edernac, question de physique....
i; ht -a -" nrittl||ulllÜr'
- .ble élégance consiste, pour moi, à connaitre les frontières que notre physique
;ri:.' nnililil1lllu
. et c'est sans doute ce qui m'a choqué dans le vocabulairà employé par
nous
Brahma :
- -ne tête à dire des gros mots..... le rnaniement des gn«r-s mots, de i'ilvective. voire de
: lout comme le port de I'habit, ,"1'est pâs l,apanage de tous.....
x ::r rm rü5r, ut ça n'est que mon opinion et je la partage."...
.
;ilg.IÏrf lt rrilIüff,
.i ne pas aimer. c'est l'affaire de chacun. Et finalement, c,est le putrlic qui juge
: rs; ,lI li Lulr.,(lht ''r de compte achète ou n'achète pas. Aucun artiste ne travaille et
i I i,J/l, ilmuüUll[,
-, .'rutrques avaient vraiment du talent, ils seraient
polr les
l-ia "iitlqr,Ër."..
artistes et pas ciitiques....
rrtrttttl uüttr
," :viens d'une émission de Bellemare, dans laquelle Gavoty, qui a iritiqué tanl de
Erytr:iJi 'rait.été incapable de reconnaftre un Lrout de la 5ème de-Beethoven.-". On avait ri
[':lr
-: ce jour-là dans les conservatoires de province... Gavoty n,en est pas mort et Belle_
l,4IfiE8:1".. llllllll
.: plus..... et l'explication linale a dû avoir lieu chez FI,o, devant une charlotte aux
uun urr ]lllllnut
llmÊXl!r,iinûllllrlr
- : S UAGICIEIIIS SONT DIFFERENTS.......
*lrm.

TT
Irllii{rüLl]t,
' :,rrr une fois, faisons.bien les choses, car Mad est une revue libre. MichelHATTE.
TOfl
,;ït^1,""1y1,:.::1,:1rYf j'ai faire du.bouquin., a trouvé une crüique de
ITTE ,l- - ECOIN qui résume son opinion. f:-" Il nous I'a fait pu*"ri. et vous la
trouverez quel-
lilGl ri.. ' ins ce numéro.....
' .:s changent....... et un jour, les magiciens comprendront que finalement tout
ça
'Ul .,, si grave..... et que l'essentiel c'est de bouger, FAIRE même
si on se trompe....
ütuu ;ili- -: lemmecs... sans rancune, Avant de
u"i ".ever,l'é..irai
:: si c'est de la merde, j'espére franchement
bien encore un ou deux bou-
qu'il y aura un plus courageux que Ies
-r le dire....."
245
22
,JZZLE
Bernan
-motn

LE DL

ÿotlJ i

-,-i::- firt
vcL
?nE 2,

DEUX BOUOUINS D'HORNECKER :

Le premier traite de grande illusion et il ne nous a pas emballés : les soi-disant ir


p,Érit,lË,-ir*i"i'ior.,r"'rno.hes, res prans
HJ"troifJ,tn'r,l""l*":f:,.!:,H^F
ment î:Tll"
insuffisants et iilisibres, tes aescri'tiions incomprè,.,
,o,jti]l"r'..il"oilll.' :IOCH
g:H:1t pas la peine de faire ,;-b;;;;i, pour ",
ca.... concentrons-nous prutôr :
-3VY-\
.::NE
MAGIE DES DES, de Gérard MAJAX :=LFIN(
un bon bouquin : bien fait, format très agréabre, :ÀLLO
mise en page aérée, couverture
Siij +'""1,::rf
sAury. De prus, liï: yj
yl:, 1:i
L,
r n r ia" ce rra n depu is r,épu se me n t de
,àili"p'i;"#i'".",rij:Lï:iili.lTJii[ijli
:" " res manipuiaii,Jri "r-",uiË'
i i

,n proorOri.lt - \GEN
,;pîiit"r'#;il,:"i: ce pour ptusieurs raisons : si te dé à
H,l;t*T,1,1,:,"îit:.,?",lol, ::NE
estencore. utitisé tàirr,
ï"i 5iJ; 3;i';ffi"'i:'"i:,;,f"":j,:
q,ïrà''iirr;I.'",*.iiËÏ,I,'ni
iO I II

5:T,,?-""ij'.ifi,f::j.1.:l1pl"
De prus, re dé à'ôo,à." j:i:?n coudre, ni rec
"'i,In "üj; iüï;,;-";HiffiilfiX',:!ïllr"#fJil #i
yrll:r^*:,r1r]u ui*iriré-ô*liuiman,purateur,,macho.,.....
fl,,,:ir;"::l
est d'avoir su proposer, page 42, rÀ làrt.il'nombre. Le mérite æ
et se manipuler avec le.s mêhes iectrniquài : Foyer d,objets qri p"rrËrï"rffi;.# ENNE
de pipe (tel Smith), pommeau oe
rflI,,
1,".:r; etc.... g'"î^g^::,iM_[""; ",ïôon,n,ér"nj. ô.iË.i",,,u]ï liouter à ra riste
cisare, Les derniers chapitreshu;;o"iiil;i;i'i;J;ffi:ll*:i:iEli,l'iBi:d

recherche des Iyl,ll^:l1t


:"1"9:"111!. très ;;r;;;;; et comme irs ont participé activene
,e

JT
r.éli:_,
idées. ir est un p"_, aà.nÀug;qil i;;;';"J.,',
descriptions..... ma rs personne n,est parfa it....
ii"ffi#iirïl',ttr
I J: 1,9"s
un bouquin à rire absoruÀ;;i ;t d;;'ËËri*'0, 7s Frs :I
est amprement justifié. ^'.iî
.f) ,iri

THE VERY BEST OF CUPS AND BALLS


: :v0ii
,v0il
=ooli
"'^\/l
u "li

MI
A lire,absolument,- l'excellent compte_rendu de
lf st rare....... !
"-o^"y"t c'est
coaî.....
Robert
BnlxeUes. Enfin une reaue nationale qai a .Tane
dans l'illusionniste,
le courage d'appeler un d f,\i
246
. >UZZLE DU MOIS DERNIER æ
Bemard Btay a approché la solution : Le petit métier du bravomme : époux-vend'
-à-moineaux.

-:ZLE DU MOIS . 3 abonnernonts en jeu.


i Voo) 'e<â oxt
t44rÿ($8, CARDINI

DiriSée par ANDRE ROBERT,


la premÈre rewe frmçais de
clæ-up.
TRIMESTRIELLE. Merlleur raP-
kâlilhéprie. Parc Barr]. Bat
l. rue Madon. I1005 Mamüe

Chequ6 PostauÀ
\t L. L.AtGltR. C C]] .ll-t.lx \larrrlle
tecr: UanJats postaux et 'hequn Loçares au
§ pia'§ } BOCHAINES MAN I FESTATIONS MAGIOUES
nom de A ROBERT
.§- :

ul 3.*:rtllt 1 4e Congrès Tchécoslovaque 11-14 Oct. 79


71e Réunion nationale 26-28 Oct. 79
Congrès Allemand (M. Z. v. D.) 24 Nov. 79
3ALLO Cercle Suisse 23-25 Nov. 79
w:*118 Rendez-vous Atlantic'Hôtel 1-2 Déc.79
rf,lfi': lE ,]RES lnternational Magic Day 15-16 Déc.79
[E1rn - JNGEN Congrès de Magic-Hands 46 Janv. 80
rbmr .:GNE 72e Réunion nationale 8-10 Fév" 80
I gIr'B .:IATEL Congrès du M.B.S. 25-27 Avr.8O
lc, 'tr Congrès Hollandais (N.M.U.) 15-17 Mai 80
rüî
mr

nu l 25e Congrès Autrichien 5-8 Juin 80


trFrt& Congrès Allemand 29-31 Aout 80
E Erpæs"
- ENNE Magicus { 10-12 Oct.80
ril!!æs]r.
[r'lis'.m
s*{*:{- §
R
l'ltlti :lmpU1.

t.-

c bry hunm.
üû.!ilîlllr
pnîr d

G:nmurr
rt-
qlr
ç

247
POUR VOTRE REVEILLON DE NOEL, et dâns Ia série :

LES BO^:,|\'ES RECETTES DE TAt,tTE GE,\'EI,,|EVE


Michel HATTE fièrement prdsente :

LE BAIZALOEUIL sur cdnapé


Inviter des gens à bouffer, ca coût.de plus en plus en plus et de nos jours, rnême les p:
deviennent exigeants. on petrt plus leur filér des patrt.s .o*r. dans le bonvii:
Nornbreur sollt nos clients qui nous avouent : "J'achèterais bien le beau livre de l\.fa,:;
vous vendez 75 Frs, ou l'excellent livre de Lammertijn ..The very best of .upr unj
_-"

!E!s;e vous avoue, nous avons deux diners cetle semaine, ça me fàit vraiment trop-,.
sroP, une fois de plus, Michel HATTE a la solution et présente I'oeuf carre .

Grâce à notre nouvel accessoire. vous pouvez donner à n'importe quel oeuf dur ung :
rigoureusement cubique et ce pour 22 F et 80 cent.... grâce àux oeufs ainsi rabriqu:.
allez piquer du pognon à vos invités et peutitre même flus.....
Fabriquez trois dés à jouer avec des oeufs. Il suffit pour cela de planter des punaise:
faces du dé (ou des rondelles de truffe, mais c'est chir...).
Amorcez dès l'apéro en pari-ant des poules du Cubistan qui ponclent des oe ufs carr:r
que vous en avez et pariez 100 balles que la chose est possiblè. vousgagnezet, beau-r,
vous remettez trois ou quatre. to-urnées d'apéro coniécutives.... tte'fàçon qü. r,o.-,
soient correctement beurrés. A I'aide des tiois dés, irnprovir., un. partie'421
garnez car vos dés sont plombés (ils ont été pondus par une poul. c_*
sypt.,itiiiqr;... ;l
votre ami 1'a plys de pognon, vous lui jouei les fringues de'sa femme et, bien su:.
perd....'.Afin qu'elle garde une tenue côrrecte. vous]etez seulement sa petite cui:ri
leu e.n dis.ant qu'il serait dommage de voir sa robe-Griilet. Puls voire femme entrain:
vers. la gui_slne pour iui montrer la recette des oeufs durs et vous, pendant
ce ternEi-
perdez habilement votre bouton de mancl.rette dans un des ptls ail cinape.-Cà*il
n'avez. pas vos lunettes, c'est bien la moindre iles choses quà riiirr. uous
donne un c.
main. Quand elle est grimpée sur le canapé, vous la portez aoucàmànt â ébullition.
que son mari mairne dans la cuisine. Très vite, elle sira dégrisée e
;profitezen pàui.",
votre silence contre son chéquier. Renvoyez-les chez .ri, gura", le pognon et fé:
9-.pg*r tout ça pour 22,80 F, plus trois oêufs. euer réveilloî I Ha, vrâinienr, mercl
HATTE

§IICHIHL Ers64 .,trH3.6


CAHMES ME

248
r I
7 r\ :. CAHTE D'ABONNEMENT

et de MEMBRE. ..
"DEPUIS

u* )
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250
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.Vt,A.s>\
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i lt,\tl
A6I
It\\(-)tlo\l l\\l\

Àttï Flllr:]ioNNrl, pour-cette routine' mais il y a'de


ll vous faut plein d'éponges différentes déjà et' dans le cas contralre'
fortes chance§ pour qu""'ï" itt
possediez
plaisir.-"' gette,r!!^t]le
votre marchand de trr* Ë-.üiii"i se fera..dn
poî.'à"s iappings..."'de cheval" mais nous essare-
s,exécutê assis et
;;;tï;ît* "ot
ilià*pliqïer le mieux possible"'

EPONGES NECESSAIRES :
à érono", rouges de 5/6 cm de diamètre
z e[àiæt noiris de même diamètre vendu avec les éponges notres
I cube roug€ creux, q'i'Ëtt g'éne'alement
tantôt boule' tantôt cube'
et qui se transforme pui''iiàütn"ment.: tvpe de celles utilisées
2 petites éponçs t"'æ'iii't*'Jé'ài"-ctradu
tes 'éavorting sPonges"
"Jur
i ntoG boule rouge de 12 de diamètre .
: un ;;;";;;; cnaruon noir en éponæ' dont on a
Eventuellement
et qui tient dans une boÎte de
évidé une grande p.niâ""'"ï'n coupita coriespondant avec le trou du
trou
carton dont le
"o,'"'"1'
possède un
;l tlli
morceau de charuon'"'i'#liffi;i eponæs ",Tl*l,,lli:
ry1"."-**" de ra routi ne " " I I
#;:ïlr"i *Ï:'1iï;;' l;i;!'È;â't'o *
Ëff Ë;;;;,Ëùà,",,t éi;; "'"'
^;!Pi!::-Jî^:i$:i""
§Ï"HÏi:'ii ià ii"i r'"'*tà'' i àut'"i épon çs de a #.:,1,,o":i"'
rou ti ne'
I

is,d,Hârguisullh* :

257
PREPARATION

Placez les deux petites boules sur le cube, pur


deux boules noires et retournez le cube sur
même de facon qu'il emprisonne les 4 boulæ
1). La boule tel est placée dans la poche gauche
veste.

La grosse boule est placée dans la pliure du


droit. Les trois boules restantes sont sur le.
noux... Bien alignées.

BOUTINE

"Vous ne le savez peutétre pas, mais nous


perpétuellement entourés d'atomes.... ll y en e
et là...". r
f

La main droite prend sur la table entre le î


l'index une série d'objets invisibles (fig. 2) e: I
passe en main gauche.

"J'en ai là ausi dans mes coudes... mais vous nr


voyez pas....". Le coude gauche s'élève tandir
la main arrive sur les genoux et que le regm
fixé sur le coude. Pendant ce temps, la main
se charge d'une balle.... {fig. 3 A).

"Pour que vous les voyiez, il faudrait qu,ils


plus gros, comme celui-ci". La main gauche
sortir sa balle du coude droit qui s'est
<
nément levé, tandis que la main droite qui E
un court instant se trouve sur les genoux s,
d'une seconde balle... Le regard est rivé sur le
droit (fig.3 B).

La balle est déposée à gauche de l'opératzur


main gauche, tandis que le CORPS VA \
L'ARRIERE, ce qui permet à la main dro*
8,4 ,ü
remonter naturellement sur la table avec sâ
empalmée (fig.4).

"Ces boules ont une curieuse propriété :


certains monocellulaires. elles se reproduisenr:
sisciparité..... "
/a
{{ù
,
ar' T-\
252
3

<_fr La main droite se dirige vers la boule qui se lrouve


à gauche, La boule emplamée e§t tenue par les trois
r& rrut deiniers doigts droits (tig' 5) et, tandis que la main
ruh glt droite atteint la boule visible, les 3 doigts s'ou
lbülms
vrent, placent la boule à cheval sur l'autre, tandrs
ir que la ionction est Eardée sous le médius droir
(fis.6).

La main droite se recule de tacon que la masse


rouge soit sous l'extémité du médius droit
(fig' 7)'
Grâce à quelques mouvement§ de va et vient, les
deux boules vont petit à petit se séparer et, en
finale, vous vous trouverez comme en fig 8A. une
boule entre les doigts de chaque côté du médius,
comme dans les billes exelcior'."

"Mais ces balles ont un autre pouvoir extraordi-


naire . ce sont de grandes voyageuses"
rL
fi*A rr Le coude droit se place sur la table et les deux
balles sont en l'air (fig.8 B), puis elles sont repo'
sées devant l'opérateur à environ 10 cm l'une de
13'ff l'autre,
! mlir
h Les deux mains se placenl paume en haut sur les
ü deux balles qu'elles écrasent.

Placez-en une dans une main.


;ft
I tr.Ê!!In.
La main droite se lève, laissant apparaitre sa balle
lrt qu'elle monte dans la main droite (fig' 9) et elle
!rt exéeute un laux dépot dans une main gauche qui
üt
!r se referme et s'élève à la fois laissant apparaitre
l'autre boule (fig. 101

Placez l'autre dans l'autre main....

La main gauche s'immobilise dans l'espace. tandis


que la main droite redescend pour se saisir de

liautre balle qu'elle ajoute à la première (f ig' 11A)'

Et, avant qu'on ait ptl savoir comment. nl pour-


quoi......

La main gauche redescend et les deux mains sont


{ermées paume en bas sur la table à une distance
de 30 cm environ (fig. 118).

253
Elles sont de nouveau......

La main gauche s'ouvre avec un mouvement É


lancer yers la main droite

... réunies.

La main droite laisse sortir les deux ballæ u;:


par une par la fourche du pouce. l_es deux bdEt
sont alors replacées devant l'opérateur, distar,:q
l'une de l'autre d'environ 15 cm et vers r
gauche, grâce à la main droite. Le corps est rsllr
l'arrière et la main gauche tombe naturelle"tem
sur les genoux et s'ernpare de la boule resiarn
(fig.12).

"Et maintenant...."

Le eorps se penche vers l'avant, la rnain sr


s'é!ève, tandis que la main gauche se ret
po!.ir arflener la balle vers le bord de la
ifig. 13).

La main droite retombe et s'empare de Ia


(fig. 14i. Flegard sur spectateur.

"Entre ces deux balles,"

La main gauche se dêgage vers la gaurx§


montre les deux balles qui se trouvent à
sur la table. Pendant ce temps, la main
grignote l'éponge, afin qu'elle entre tout
dans la main..., (regard sur les balles). (f ,3

"Vous allez avoir un choix à faire."

La main gauche retombe sur le borc c


table, tandis que la main droite chargée
nl >.
son index vers le spectateur (fig. 16).

Ouel que soit le choix du spectateur, vc_:


l'autre balle en disant :
{K
"Vous n'aimez pas celle-là .... 7"

"O.K., on va prendre l'autre...." J


La main gauche repose sa balle et lève
l\
254
"Je vais vous placer cette balle dans la main,
c'est pour voir vos réflexes. Vous devrez
tçtrûil3r - mg alors fermer la main si vite que je n'ai pas le
temps de retirer la balle....."

Vous le faites alors plusieurs fois avec la main


gauche et chaque fois, la spectatrice que vous
ml |Ë .^;'m0
avez choisie re{erme ses doigts dans le vide.
fu":r :a[Ur Vous reposez alors la balle sur la table en di-
r Ërf,B*r[ffi sant :

Ci rryr-i m
tury. !ffi
"On croit que c'est facile, mais quand on n'a
!,uæ:ile-rarY pas l'habitude, c'est très dur".., Allez, je vous
lr1ê PqgË-"1ll donne encore une chance".

Cette fois-ci la balle est prise par la main droite


qui ajoute celle qu'elle tenait déjà ; le tout un
peu plus lentement af in que la spectatrice
nôrir :f:r l'lB puisse attraper les deux balles comme une.
t te'§r-rrm
& üE :mrrd$ Les tentatives faites avant avec la main gauche
ont un d<luble but "

@ ô Hf!1ililX Elles persuadent sans rien dire que vous n'avez


qu'une boule et, de plus, quand la spectatrice
a enfin réussi, elle n'a plus envie d'ouvrir la
main grâce à la main gauche, vous lui tournez
alors la main paume en bas.en lui demandant
F,f*t* ur de ne laisser échapper la boule sous aucun pré-
t gammNr
ilt texte.
E{,n ïr'5flm
Efi g*atlrff! "Vous avez une boule et moi aussi. Le jeu
J .[L : consiste maintenant pour moi à faire entre nos
deux mains ce que j'ai fait tout à l'heure avec
les deux miennes et c'est très difficle car vous

üârE fr üm IB conviendrez avec moi qu'il y a une des deux


mains sur laquelle je n'ai aucun contrô1e....".
,IF irin?t
La main droite fait un faux dépôt en main gau-
che et aussitôt le coude gauche se lève de facon
r6Ll: Éllx{M[' que la main gauche soit dos au public (fig. 17).

La main droite, avec sa balle empalmée, est à


deux centimètres du bord de la table.

"Regardez bien."

hc nl4mt La main gauche se retourne, le corps s'incline

255
l:' .'
l*:".
vers la gauche et, un court instant, la main c
'*22
§:",j,

T4 est en contact avec le bord de la table et lapDÉ


boule {fig. 18}. Le regard est sur la main

"Hop !"

La main gauche est placée paume en bas


dessusde la main de la spectatrice, tandis
IT
le médius droit tourne sur le dos de la
gauche qui s'ouvre doucement pour
qu'elle est vide (fig. 19).

Sitôt le faitconstaté, Ie corps se recule en


la rnain droite tombe sur le bord de la tar,.c
main gauche sur les genoux où elle s,
aussitôt de la balte (fig. 20).

"Ouvrez précautionneusement yotre


dessus de la table....."
ma,n
T8
La rnain droite pointe à nouveau vers la
trice, puis retombe pour s,emparer de ta
qui lui sera passée par la main gauche ,f4
er 141.

Les deux mains se lèvent, retombenl rrrrt


table où elles s'emparent chacune d,une
(fig. 21A). La main droite ajoute la
celle qu'elle prend.

Beprenez les deux balles...


Ih
l-a main gauche passe sa balle à la mar-
(218) qui réunit les trois balles commÊ :
@@ les place dans la main de la spectatrice r
racommandant de bien serrer.

"Nous allons tenter l,impossible. J,ai ou


poche une balle de rechanç,,.
Br
La main gauche sort de la poche
balle truquée en la tenant sur le haui o_
Itig. 22 A), pour qu'on ne s,aperçoive ;e
ça n'est pa§ une vraie balle, et la pass€ *T
droite qui la prend à plein poing ifi€.

256
r*i "Par contre, je vais vous demander de lever votre
Gt ttls+t
main plus haut".
I
La main gauche prend la main de la spectatrice
entre le pouce et le médius et lève la main de la
tn hr
s
1T spectatrice de quelques centimètres.,. mais, pen-
dant ce temps, la main droite atteint le bord de
th la table (fig. 23i, laisse tomber la balle et se
relève aussitôt comme si elle avait touché une
3 plaque chauffante en disant .

"partait".
}I
hü.
I La main droite, gonflée comme si elle tenait
toujours sa boule, fait un faux dépot en main
gauche.

"Vous êtes prête ?"

rL Nouvelle disparition. La spectatrice ouvre la


main, trois balles s'en échappent.... tandis que
-tr{f1' vous fourgonnez dans votre poche droite. Vous
fG
reprenez alors les trois balles en main droite
comme si vous ajoutiez une quatrième.... mais
vous donnez seulement cette impression ; en
fait, vous ne rajoutez rien....
EI IT
tb Vous fourrez alors les balles dans la main de la
spectatrice en disant
b- .

"Essayons avec une quatrième boule...."

Si votre feinte a été bien faite. elle doutera et


voudra réouvrir la main. Parfois même, d'autres
spectateurs le demanderont aussi.
-
-EI Vous lui laissez alors ouvrir la main et constatez
qu'elle n'a que trois balles. Vous la laissez remet-
fï- tre elle-mêrne les balles dans sa main en lui
demandant .

]tE "Cette fois-ci, vous êtes bien sûre de n'avoir que


nù trois balles ?"
ip "Avouez que si, maintenant, je vous envoyais
I'
IB une quatrième balle dans la main, ce serait
quand même fort.... Et bien, je vous propo§e
d'essayer.... "

257
"J'ai dans ma poche une quatrième balle qui r r
été donnée par l'homme invisible".

Vous ne sortez rien de votre poche guche el


vous le posez sur la table comrne si c'était unr
balle....

"Attention, ie vous envoie la balle"

Vous mimez la prise en main droite, le dépôt *m


main gauche, la disparition et, dans le gieste 03 ü
disparition. les rnains retombent et la nran'
droite se trouve une nouvelle fois rechargée par
la main gauche dans le mouvement de l'lmpar
de Slydini que nous avons déià utilié plusieunt
fois dans eette routine. (fig. 12, '!3 et 14r, ;r
main droite se trouve en fin de parcours sur r:
rebord de la table avec la balle truquée emGD-
mee (fig.24).

"Vous avez bien 4 balles dans la main : 1,2 3


visibles....."

La main gauche les prend une par une et t6


pose dans le creux de la main droite (fig. 25'^

"Et la 4ème, invisible, que j'ajoute...'"

La main gauche fait le sirnulacre de prendre un


balle sur la table et de l'ajouter à celles dc
main droite. En fait, elle compresse le§ 4
§3
ensemble, pouce en dessous, doigts dessus
26). et les montre, en s'élevant dans l'espæ""

"Bien sûr. vou§ ne me croyez pas, parce que


balle est invisible. En général, pour qu'on
croie, il faut que je rende la balle visible "'

Ce disant, la main droite s'empare de la


truquée, la main gauche garde la balle o'-r
trouve la plus près des doigts et les deux
tombent sur la table (fig. 27) et on
4 balles.

"Maintenant, es§ayez de faire comme


Prenez aussi deux balles et placez-les en
gauche en les enfonçant bien"' I
,«p; .,///((

258
9

*u,uu litl La balle de la main droite est placée en main


?g gauche SOUS celle qui s'y trouve déjà et le
pouce droit est introduit dans l'ouverture de
r trusîÜ ü la balle (fig. 28). L'ensemble est alors retourné
i c'àlc avec l'aide des doigts droits, ce qui libère les
balles noires, les deux petites balles, et transfor'
me la boule en carré...,

"Et puis, vous soufflez fort et, si vous avez bien


r,bffi soufflé, les balles changent de couleur....".
b;l:c c mt
d ]t üflllllll La main droite libère les deux balles noires en les
rtp sortant paren-dessous et on s'arrange pour laisser
rù dépasser un peu de matière rouge du cube par le
E haut de la main (fig. 29).
3 ct 'da
rcaç: rr "Vous pensez que les balles rouges n'ont pas
rF disparues.... ereur !'

Vous sortez le cube par le haut de la main et


I vous le posez sur la table, ouverture en bas, en
conservant dans la main gauche les deux petites
balles.....
r5Éü
i: ,ffir. "Mais, alors, avec vous, rien ne s'est passé....
vous avez toujours les deux balles. C'est parce
que vous ne savez pas comment les mettre dans
votre main. Regardez..."
IFffiÊ
a.rtË r Vous placez les balles comme en fig. 30, puis
:t! vous les pressez l'une contre l'autre, ce qui a
E Ers pour but d'enserrer les deux petites balles entre
tr" les deux grosses. Vous les reprenez avec la main
droite et vous les retendez à la spectatrice, en
t FiEt iui disant :

r@tÛ
htr-*.,.| "Êssayez de nouveau.... "

EÈT Dès qu'elle les a dans la main, vous vous récriez :


r* "Non I pas comme ça ! pas l'une sur l'autre I Si
Ëtu vous les mettez l'une sur l'autre, vous allez avoir
sûr ! Ouvrez
Gle de graves problèmes, c'est les
mains....."

SIni* Les deux petites éponges s'échappent avec les


;rb rr deux grandæ, ce qui provoque un rire. Vous en
profitez pour vous saisir de la grosse boule qui
est au pli du genoux droit et pour la ramener en
{t'
259
main droite, comme en fig. 31 : légèrement
dessous du niveau de la table. Pendant ce
la main gauche se saisit des deux éponges
tes et fait semblant de les verser dans la
droite. En fait, elle les garde empalmées
doigts tandis que la main droite s'élève au
du niveau de la table. Et vous dites :

"C'est comme ca qu'il faut les tenir, quand


ne veut pas d'ennuis : I'une à côté de l'au
Tenez, à ce propos, je vais vous montrer un
forrnidable."

Vous apportez alors la main gauche sur la


droite et vous tenez la grosse boule bien
entre les deux mains, Vous dégagez le
droit et vous commencez à souffler dedans
32). Au fur et à mesure que volts soufflee
gonflez les mains et vous lâchez finalerneru
grosse boule. tout en tapant du pied
accentuer l'effet, et en gardant les deux
rouges empalmées dans la main gauche (fig

La routine peut s'arrêter là.

Si vous avez confectionné la boite, vous


aussi rentrer toutes les éponçs dedans.
le couvercle et ressortir l'objet que vats
placé avant. Ca peut être aussi un tube q-r'
tient une petite bouteille creuse {fig. 3a
vous ressortez en disant :

"C'est sans doute ce qu'on appelle boire


une éponge...."

Voilà, c'est fini. ll ne vou§ reste plus qu a

dier éponçs en mains. Le texte n'est pas


très logique, mais il sert admirablerrrrelt
routine. Enfin, je n'ai jamais eu de plar
La plupart des mouvements d'apparitions
disparitions ont été ioyeusement em
Tonton Slydini, notamment les dispa
l'im-pass, rnais la routine est totaleme':
rente. L'idée de la boîte dans laquelle ur
tout à la fin est de Frank Garcia. Le
se transforme en boule a été piqué par
quelqu'un dont j'ignore complètement le
J'espère qu'il me le pardonnera'.'.'..

260

EÊlr€|rr4,-* Jlll]]tl,

a-: :l: :P-rl@[ l'At


tt!.{rÈ{ -:r*:':iulil,lr, * ^4ssisté à
une représefltatiail de l'American
,!.ô.s i îilulllllllnl Circus et, pour tout dire, i'ai ÿris nitlr? pied....
loii& *trï. üûu;l*
c'est utî cirque camnte afi fi'eil ÿait îjlus ett
[grç -"r- :.r*tUtUlll§' Europe : Cltapiteau fu 5 O{}Ü pl*ces, Tr!1? fûÉr
de proiecteurs et de suiueilïs qui irctîn)iefifitrit
au hûn tnotru:ttt. trois fistet qui peurn:1. grirc -
' ::-. fi'-i: ûllflf
-i. uÿrc drcbitecture astucietts€ n'eil deüeî\ir qu'une
e tâ üLt-"is{,,, seule... et des nunéros tTiels sut le aolet :

!"!*Èr , ' i'üllllflt - Extraardinaire ballet rir irr.;las à I'irtérieur


d'une spltère e?î acier de 4 ntètres de oliamètre,
tt ct meme dans le iloir...
- 36 clteuawx sur Ûois pistes différefiies, des ca-
E 5*- ; *ürüilllllir
ÿdtcad€s de cbars, un dompteur qui traaaille ett
iê !.tr iul,.'*ûtü'
douceur, ,net sd téte dans la gueule dtt lion satts
SÊl { :.--lLtllllm lui tenir les çnaaltoires... abandonne ses l'oilels et
!f æJüT":i rl'll{lllfrh
joue littéralefieilt pûnrri les !'auues, §e iette
5ûLs a.: ^:[ütl§, dessus, les embrasse, etc... J'ai senti paur la pre-
. -.a i -r.-- tlllt mière fois une tlû,MPLICI7'E entre l'lsomme et
l!- : .: i(:,1ülllllll' les fauoes..
I :8,- r :.-:-]llNllÜ - ün inaubliable numéro de maiw à main, à rendre
-"-: E - Ji F'echruer jaloux . .. .

- On assiste à I'arriaée d'une soucowpe t,olante


qui, par u'fi iea de luwières apprapriées sernble
urairnent fTotter dans I'espace, autc une débaucbe
de fumée et d'effets "spticiaux"... ll ne manque
I r:rJ: :,:t- illlllll[
que quelques lazers... Le dessus s'ouvre , il en
aÊ;&-i ÿ' ,t!4l|l[l!!t sort tr{}is extrate?Testrcs qui exécutent utl bon
I-e r':i-. PullÜ nuruéro d'équilibre et rep.trtent par où ils sant
!,-:ra : - :Ifflltlt" ueTrus...
Î.1 !r ruüri - tl y a aussi le numéro de t8 étépbants... et it
me suis demandé quel était !'illusiottniste qui
pourrait passer après te nuwéro et je n'ai trouué
qu'un seul nont , Siegfried et R oy....

" Jeté un oeil sur ies trais mdrconicks que [lor'


n:É *1- i §lliur necker uient de sortir. L'ensetwble est cbouette"
l.&: ::,-, üilllllllf,i clair et bien présenté, les effets st)ftt bor?s et
'.-
.'?C" e-"in-'"' flü' faisables. An sent que Marconicsk les a uraiment
+ - i'+â
présenté, soit ea numtira, sait en canfére*ce.
Certains dessins de Kemner dateilt un peu....
tff'::f-5 fl rür
maizenfin.... La seule critiqae que l'on pourrait
I er:f-*lsli d
faire serait adressée à l4arconicks lui-même et
Cr§ü,&r :|,lr§ji tiffil
nofi à Hornecker, et cancernerait le fait des
aàrÉ- - :'Tfur, effets qui se "double*t".. En effet, à{çrcanicks
EL+ 4 :f, lmüm a édité bon nombre de petits fascicules ea Fran'
t" J-i : - tE {ti|llllllllr çais, en Alletnand, en Anglais, en llallandais et
E F"&' ; ih$ufir ü taus se recauolefit les uns les autres, au pairt de
rfiÉr--: :'mrnrlll,,,,,,,. uue des eflbts. Ce qui fait que lorsqu'on achète
un ?rouaeau liore, on a déjà ta moitié des trucs
dan s diffé reru t s au*e s fascicu les....
I{ector EFF ACTEt.TR

267
I
frE îT€tU STA o*:
I

,/((
Y z'onl tout de<moli devant chez nous. ca a été longtemps insalrtbre, c'est
y
vrai, mais en1-1n. yavait des gens qui vivaient là. Ils étaient pas riches. mais
vivaient'zavaientpasdemobilier'maiszavaientduRicardetzétaientpas
pas tou-
chiches. ,o,,, pouoi.. arriver à n'importe quelle 6eure. ils savaient
jours ce qu'ils allaient bouffer' mais zauraient préféré crever ^ que de vous
iaisscr repartir sans Ricard.... Les promoteurs les ont virés. On a fait des
manifls. on a chié snr la gueuie des c.R.s.. mais ces putes y zavaient des
cas-
queS.'. alors, I.orcément-..''. Ya même une vieille qu,est mortt-'. ds peur qrr,on
lachangr.et.quandilavuça.sonvieuxquin,avaitpuqu'elledanslavieet
qui n'avait iantais baisé qu'elle s'est trouvé tellement con et tellement laid'
qu'il laissé crer.er. on étouffé l'aflaire. nrais nous, à (larces-
lout seui. s'est a
les-Gonzesses. on a pas oublié. Quand ils ont etl viré tout le monde. des
squstefs sont arrivés. des mecs qui jactaient même pas lrançais et
que c'était
pas " Epi'
,nê*. pu, la peine de les engueulei parce qu'ils ne comprenaientpagannini
zont viré les squaters, pi y zont tout rasé et c'est MERLIN' le du
béton rloulé qu'a ramené ses cages à poules'

Merlin, c'est un beau nonr pour un magicien.... Moi j'avais un rtroment


pensé

à prendre ça coin,te sc<1onint. rnais quancl que


j'ai eu vu I'habitat-Merlin. que
j'ai eu tellàment lronte' que j'ai resté Onésime Laboum' Quand qui zc)rlt eu
avec quicon
iinl, it est arrivé de ia haute. des cons. des particules rle cval. Par
p.r"rit passentendre. Enfin. les cages à poules ça a aussi du bon exemple'
en fa.e àe chez moi. ya une poule qu'est arrivée. une vrai bête de concollrs, v
unequeàcôté,KarenClieryletSheilasontdesplanclresàpain....etlagârce,
Alors'
eue se déloque tous les soirs devant un store à moitié transpalent-...
moi.biensûr.j.suispasplusmateurqll,unautre.nraisLéonie'bon'c,est
Leonie, e t c'est-dans des moments
pareils con croit à la télékinésie, à force de
,.ga,a",llstore.aforceilemerlirequ,unjouriiallaitserelever.jesaisque
u,r.-,,, nr. croirez pas. eh ben.le store. il s'est relevé'

Là j'arrÔte^ pârce (lr.le ia revue est envoyée à Marc Albert ct que je ne voudrais
pasit.choquelpourrienattmonde.nraislesmecs.nrultipliezlavénalede
ittilr.,u put rlix et vous aurez une idée de la sculpture "
qui se remonte tout
/-
C'est qu'elle s'était lait mettre un store automatique" un -§
j'ai eu plus qu'une cesse : fabriquer aussi des stores' parce que' en
seul. Àlors.
porte apparition' pour enrouler les
magie, vraiment. ça peui servir : dans la à

262
HU g${â3'r D'
BX
ONESIME LAB-) b'- u nn

barreaux des cages à ilisparition" pour l'arre changer il.t:l.ttt t.tttcrtlttlti ilnl 5iil -
f'act-. 6p pelt sr0nle en f irr'r un art si.\ge arrit\re d'l:r;n hrelk tt 1r- tirtr plr-
dessus lcs bagages qLt'ott laisst. afin tlc lle 1ra\ ttl)1er iL-s \olcilr\....

A premirrre vuL.. un storr. autotnatiqr-re. ca l-.arait colrtpliqilLi.lllJi\ c est.r)lllill!'


tolt. Llne iois qu'on cgnnait- c'est sinrple. [4oi i'en 1'abrit]ue d'is qrri tlr' ,lriirrtr
Se nt pas hs l0 frs e1. colltlttc lcs ignolrlcs de Mail nl'ont ùllcori tlotltl.i t1.' .1Lr,,i
me bourrcr la gueule . je vais voiis ilirt comnrt't.tt rlue je fais.

MATERTEL NECESSAIRE

a) Un tr-ryau dt' plonibcrie ou d'rllectricité. en P.V.C. gris


(7) e xtérieur 30i40 mnt. Ior.tgucur à la demande . x
b)Un tenon de bois dt'6 mrn cle @ et 50 nrrri de long
c)lcrochetsàvis
d) I enrbouts de pier-l de meuble en caorttcltouc dtlr. lls doivent pt)u\ oir
rentrcr dans e.t bouclier lr'tuyart A. Les nleilleurs sont cL'Llx de lli ttlarqttt
li;rer. pilrcc (l uc légircrllenl eoniquet.
e) I
blocs de bois de sectic.rn carrée ile 50 ntnt dc cotcl et 70 trrn de l«;ilg.
f-) Une planchcttc de 50 mnt de large srtr l0 ntnt d'r-tpaisseur. LongueLlr "r"
+ Il0 mnr
g) Du caoutchouc de section carré -5/6 rnm cie c(rté.longueur I fois "x"'
h ) Un peu de fil de le r et de I'araldite
i) Un rnorceau d'étolfe pour le storc
i) Une liste de bois de l0 nt x l0 nr de sectiotr et de iongueur "'x"
FABRICATION

I )Percez le tuyau A bien au n-rilieu et cle part en part avcc un forr-t de (r tllnt,
l)Pcrcez un avant lrou de I ntm de 0 dans les deux bloers dc bois. cn prenallt
les diagonales ( fig. 1 ). prof'ondeur J0 ntrn
3)Percez les deur entbouts [) bien au nrilicu avec utlt nrèclle d'Lrn (D égal I
celui cles crocltets C
4) Faites une boucle t'crntée avt-e l'élastirqtre (i. Ne pas l'aire un notLtti . asselll
blez les deur boitts avt'c tlu lil dc l'er qtle voLlq torsa(lcz atrtour (f ig. l)

+
5 )Entrez la bouclc dans le luvau en votts aidant au b!-soin d'trne tice nré1alli-
qur'. arJ bout de laqucllc vous avez fixé un dcs dcux crochets (t'ig. 3) . L'élas-

E E
ü
I r r^r
LB r

263
t4

tique est maintenu en place momentanément par deux crayons ou deux bouts de :_*
fig. 3 t.
{

6)Le tenon est enfoncé dans le tuyau A de façon qu'il passe ENTRE les deux brins ::
--
*
l'élastique. Il est collé à l'araldite et I'on scie ce qui dépasse de façon que le rou...r-
soit bien lisse. Terminer éventuellement au papier de verre.
7)Passez les crochets C dans les deux bouts de l'élastique qui dépassent du tuya-.-
fermez-les avec une pince de façon à emprisonner l'élastique (fig.4).
8)Enlilez les deux embouts sur les crochets. Ceux-ci ayant été àvalisé par la pince ::.,-
I
vent pouvoir entrer entièrement dans l'intérieur de I'embout (iig. 5).
9)Les deux blocs E sont cloués aux extrémités de la planchette. cle façon que les.:-r
avant-trous soient dans I'axe du tuyau.
I 0) Les crochets sont vissés dans les blocs de bois.
L'opération est délicate : afin que l'élastique garcle la merne tension de part et C';--.-:
dtr tenon B, il vous revient d'évaiuer combien de tours demande la vis pâur se viss;::.
il tàut alors faire faire au crochet. et donc à l'élastique, autant de tours dans le ..-
contraire. afin que le vissage terminé. l'élastique soit encore une boucle sans aLi.-*:
torsion.
l1) Il ne vous reste plus qu'à coller ia toile rJe store sur toute la longueur du tuyau e : ::
remonter le rouleau de nombreux tours dans le sens contraire à celui dani lecl.-
doit tirer.
r
q
12)ll ne reste plus qu'à coller. clouer ou agraler l'extrémité de la toile de store à la t..-":
<ie bois qui sert de biocage afin que Ie store s'arrête de tourner lorsque toute l'é: :-r
!
i2
est enroulée (fie. 6).

I)ans cette version, c'est le tuyau qui tourne autour des embouts et il en résulte pa:,-,
un certain bruit. Une autre possibilité consiste à percer le trou des embouts D d'un diàr:.:-=
â
suffisant pour y coller un rivet qui tournera librement autour des vis C. Dans ce ca: :: \
embouts D seront collés aux extréniités du tube. Cette solution est séduisante, parce :{

>-
I
plus silencieuse. ntais elle comporte un grave inconvénient : le store n'est plus démon;:: r
en cas de rupture de l'élastique...". Choisir. c'est sacrifier..... (fig. 7)
{5,
Dans le cas où on désire réaliser un store qui enroulerait les barreaux d'une cage à dis:---

t
tion. on perce le tuyau de part en part d'autant rie trous que l'on a besoin de barreaur.-- (
sur un cÔté" on agrandit les trous de laçcn à pouvoir bien fixer le fil qui servira cle barr=.*
Ceiui-ci est noué à une extrémité,le noeud est encluit d'araldite et il est plaqué à l'inte:..-r-
du rouleau auquel il colle. Il ne gêne en rien l'élastique..... Voilà. il sufîisait d'y pen:.:
et souvenez-vous. lixé au siège arrière d'un break^ ça cache tous les bagages.....
'!-
Bon, c'est pas tout ça. laut que je retourne bosser. rnais c'est pas grave. parce que ce r::-
je serai de nouveau devant la fenêtre. je regarderai de nouveau le store en le fixant ir:."- {ÿ
sément et peut-etre que .....

Bien à vous...... Onésirne

F F
)

,{,

264
V
:dl.l- ." :illl

i-

i1
. r-,

L
# @@wlmtmilil ffi
Letire recue et adressée à la Dtrecttott rle ILlati.

:- * LEON KOLAËANNE
Plakband street 25
M i nésorap ol is {Sco tch I an d)
-i:rl #
iii Dire Soeurs,
Ail âme veriglade to gait your rnagazitte, ltttie evr'tr
issu,ize foremt seutche a grit plé1eude. Batre. ail comme
ta ze pointe ail wood rnatk et con'plarnte. Hit eubaaut
,I ouane artikeul ov Onésrme Labcurne Atl donpte
iiil : lnde-hertz-lnde ouaille, lou guyve hymne ouane rub rrk
,*i-s ine lnche issu..bicauzz, bilivmi. hthlzz rcribadde.
! :üi Ail huit'e teck on lit ouane ekampeùl : lqueve ze olpeul
: ilir'i in ouane {}v your /asre asu s-malle durityoursheii trtque .

ze pas de locket {umb , forinide pisse ove ouCe rnde


* -.1! LLII
soforie.
Aze commère-scie-hall nanadgeur ov ottane shelve ade et
nl
sive teppe. Ail wood bnng your hattenscboii ane matiie
l

person-halle mait-ode. Ouitche izz yauzing hoDr teppe


',iiilll' ov caurse...
l Ail'LL traille io discraill brle rn frennech !anguedge.
plizze, forguiveml becauzz maille frenche lzzricdrloude,
conrne disait le canif .

.ii' lln 1) Vous prend un prèce de platic -soupe, ilenre rorloide


de 3/4 inches de large et de 1,5 inche de longue.
: rtl'ï - '1ll

2) Vous roule ca around your pauce drolte (see sketch


ii[]: - _ll 1), mais pas tro serru.
l-ra 1 r ti rllu, 3) Vaus ftlaintient en farme de tuillau, avec natre bon
*: f,L':'- Ï UtlUil ruban kikol (and which is definitlv the best in the
worlrJ...). VoLts choisi un tape de une belle cauleur,
rouge l.e $.5. 2). Et gràce au tape. vous mdtntient
la plastic en forme de tuyau qui glisse très librement
i
r:t" i UI
sur la pouæ droite. On ne dait plits voir la ptas
l
tique, seulement le tape"
- I I tillt, 4) Vous retire l'annG un siphorné et vous !p glisse halte
,Il intérieur du trou du dévidoir /S.S. 3/
5) Vous demande un guy, to help you et vous déchlre
une longueur de 4 inches de tape que vaus callez
au tou r du p ousse-gau c h e.
6) Vous fait la maime autour du pousse-droite.
7) Alors, at ouatte verimaman, vous glisse le poLtce
ll dans le trou du dévidoir lS.S.4) et l'anno se suce.
perpozz hasselui quillet déjà sur le pousse,tlroit.
à) Veine, vous demande le guy. d'entaurer laide euh
pousse, encore avec une rubandésive. demande le
guy de faire bocoup de tours, pour bien solide {5.5.
Ët
9,) Si vous intelligent, vous voir, vous possible glisser
y ou r ra ill e"fum be
orde l,attache. h
l0J Vous fait alors votte routine préférée de poussetrcs,
sans tout le gros machin-bordet describé par Ané-
sime. Je ioins des dessins pour que vous bten comprit.
Le noeud vait queue des solussions teck-nique . les
ouvrien restent tou.fours cles ouvriers.... ôrrr-qu
distingue les pattes-rand des queues il raieflechi.
1.4
oua/a.
Jaisse-paire que vous public malette qui fera gagner
-...Tr ta n t p resse -yeu x avol é k teu
un
n.
Léon KOLLOFANNE
-
265
t,

i:
Y'll plusieurs trucs qui me les gonf'!ent et. nofanrment. ics magiciens r;ui se plaignent gu'r,,: peut I
Èes eroFie . "ii a p'ris une corde rouge ci)lrlrlle rnol el cûnime final il fait la-neige;;rponai=. truc y
rclnrle mqri."' §-e gros prrnb!ènie esl que Ee plaignani n'a ir:venté ni ['etfdf de Ia c'ririte. ni l. il a l'ai
rrr-ige japonaire et, nel:f fcis sur dix. ceux r;ui gueulent le;llus l'ort sont ceux qgi font :.
sac à l'otuf. ia cclr«le coupee et les h*nri;<.rus..... rtri-ra*d iis lie s'aric:r-!l1ent pas. eg catirlinr. Tous l
au r floullrds r ingrilime siec .. ... lamenr
srotes{
Âlors. nroi il nre fo:;{ ntsrrer. parce {}iie t-ru ils soirt rie ruauvaise f*i. riri iÈs n.ont âucu. . ceux q
mêmoire.... csr la copie est non seulemeut inévitrble. mais eile est nécessaire. euand constrr
:ippre*d il inrporte quoi. olt comrneltce par copier rles maitre,r . on ci-i1:ie non seulenr.:-- janrais
ieurs iter-ivres. iil:ris leurs gestes. csr filuÉ enseigrrercen{ *st â base rie copie. A l"école. ir:
de faire ries dictées" tin fait cie la ct;1iie..". La cr'éaiion et I'imprr-,visaiion rkrrs ir'imp,:-, Par co
q*ei riomaine supposetrt la maitrise d'un vocabulaire de base, i'acr;uisition cl'un céri.- bien pr
nombr* de frurs ef <ie prccé<iés. vcire d'erercices rlLle l'on n"fl pas créés....
Quand
Âilez. les mecs, soyûns honnétes deur minutes. i,a création tt;Tale n'existe pas. er t.)rri donc ;
,
*rttnde rloit quelqtre cltose à lout le r-rronile. Touf le moncle a fril cles emp;urts.... mrr-, ;usqu'a
3t ne (
rian-o la création de notre pr(lple pÊrs.)nnâce. rlui n'est hien sou-r,ent que ln s.,,niltè:e . elors q
siivers éléments l)i{ilrtis ça et lâ e! {jur nou-§ â1 ol.lr réa.juslés â nr,rTre *}esure et â ncls rêre. ,-a sera
.iamais
fl1 ls-r pius grands !1'v orlÉ 1;as écliapué . emulati

Les pretniers cGncerti pour pianti tle Heetholer: ressenrblent r{}nlrne des frères à clu \11:.- Bien s[
:ans int
Ficassr: a cornmencé en copiaul Laufrec" Yves l{on[and étâit â *,s riébr,trs très influenci .
- Irats, n
È4aurice f-irevalier. Eï lel lrrenrières cltansor.rs tle Serge Lenra ressemblent à s'y,*iéprepi:. . .:n créa
du Ilrel.. ". fogance
ne dure
Conrtne tlir llodges. ce qui clevient grave. c'est quanc! on contil.iue de copier à 60 ar,r
Si les
De temps en tetnps. il y en r urr qui apporte un ûerf,eciioirnemell$ notoire i ou ulle ._:ï -i'entrec
comlne iorsqtte Billy Mac Coinb nrit des poissons au bouÊ de-c l):irmbous. les transfor::. " tâche d
ainsi er.r cattne â péche... Qui saurai{ résister à la tentation... et ies ceux qui résiste1r. , , - nagie tr
I'histoir
tiennent aux pompons... On peut pourtant pendre dr-s trs de trucs à des fits : cles arais, :..
.age, v0
des téléphones, des ampoules électriqtres. des pendus. des spéléoiogues. des petir. : :iser tor
homrnes r;ui apprennent â nâger.... iades el
lourqur
Le processrrs uormal clevrait consister à prendre un truc, tel qu'il existe, et â l'adap:.- r :opie, ç
notre personnage... et d'en bâtir notre propre version. Certains se donnen{ ce mal et. .l-r-.
ils y parviennent. ils ont la surprise de voir un jour. au délour rl"un gala, leur routine :-,, {llez, n
gralement copiée.... Alors, ils gueulent. sur le moment . et je Ies cornprencls bien. m:i. l- :'ai lrear
les omt
risque qu'ils me jettent des pavés dans la gueule. je serais tenté de leur dire que, tanl t- .:
3 mettr€
266
l7

;-

rc-
\i
lt
ùûrsr{q)
l-
f\
--JE-i
-l-

:eut les copier, c'est qu'ils sont encore copiatrles, et donc pas assez personnel. Qualr<1 up
:ruc vous va coruflle un gant, ou bien le capieur n'arrive pas â une tronne copie. r;u bielt
:l a l'air ridicule.... et il arrête de lui-nrême.

Tous les mallreureux qui ont essayé de copier la fumée au pouce de Fred Kaps se sont
.:mentablernent plantés et, pour la petite histoire, les procédés qu'on leur a vendut senf
.-rotesques.... Kaps utilise une cigarette au trout d'un fume cigarette en bois et c'est logt....
:eux qui ont essayé de copier son sel sont aussi des comiques.... Ii y en a un qui s'est fail
:onstruire un réservoir dans un vieux Messerschmitt... et je parierais volontiers qu'il n'en a
.:r.nais tiré ce que Kaps en tire. avec sa petite boule de caoutchouc.."..
1É- : ,
i'ar contre. personne n'a été tenté de copier sa routine de grandes pièces et je me dernalde
:ien pourquoi""."

luand on est un personnage. on- v-e1d le penonnage, on ne vend plus les tours. On ne peut
:onc,plus étre copié et" quand bien rnême, un quelgu'un vieÀdrait qui vous copiàrait
rsqu'au costume, soit il restera en-dessous de ce que vous faites, en étant sa proprê rlupe
*. r *1!l
,t ne connaitra qu'un succès_éphérnère â l'illusion duquel ii se trcreera pour un temps.
r.ors que vous. vous serez déjâ loin en avant...., soit il deviendra meilleur que vous'et
.: serait peutétre une occasion pour vous de vous remettre au travail.."" ce qui n'est
.mais mauvais... Le jeu consisterâ pour vous à Ie dépasser à votre tour.... c'est une saipe
'tulation, dont la magie sort toujours gagnante.
:ien sûr, Moretti s'est w copier intégralenrent son numéro par un ringard malllonnête e(
n :- ,:ns irnagination qui, de plus, casse les prix.".. et cela lui a peutétre eilevd quelques con-
:::---"* - ill ":ats, mais il a 4 autres numéros et, â mon avis, il n'est pas prês
d'être au chôrnage'car c'est
-n créateur et, entre-temps il a déjà 3 longueurs d'avance sur le petit pantin deirisoire d'ar-
'-'qance qu.i, c'est sûr, n'arrive méme pas à se trornper lui-même.... ce genre cl'escroquerie
-: dure qu'un temps et, en fin de parcours, la Magie reconnaitra les siens....
!. les ,responsables d'associations magiques avaient des ambitinns pius nobles que de
:ntredécorer en fin de banquets pour les services qu'ils se sont mutuellement rendis. Ieur
*
,che devrait être d'EDUQUER leurs membres et de leur apprendre que la créatiun en
:i-Ll . ,iiLllrl
-:egie passe par d'autres disciplines, telles que le mirne, ta danse, la diction, la musique.
fE:If: l : lll
:istoire du costume, la décoration, l'étude des langues étrangêres, la sonorisation, I'eôtai-
a*=r-- , ,o''*' ":ge, voire-l'électronique et la mécanique de précision.... mais, â la place. on préfère
auto-
§T:"lll "-.er tout le monde à enregistrer directement sur magnétoscope le travaii des-petits
canra-
'.,les et ce sans leur payer aucun droit et, parfois même, sani leur consentemànt..... C'est
rl
: lurquoi quand je lis dans des revues nationales des petits discours moralisateurs sur la
t ' ; :r,:, 'rilil I :'pie, ça me fait doucement sourire....
U-f,. -*illlllLlLl

i' : iN- -1 - .ï'(llr


t^ilez, maintenant, il faut que j'arrête, pârce que je travaille ce soir et, avec rnon numéro.
:i beaucoup de preparation : j'ai rnonté un truc original dans lequel je fais apparaitre
bue: -* rr. irrtttrLL
:'s ombrelles, déguisé en japonais, et mon final, avec le dragon qui lancà du feu èst long
lrl: i- - ilillI l mettre en route....

267
r{((r
{

EFFET:
Le magicien présente un drctionnaire, qui peut étre emprunté, et un jeu de cartes. Le je-
de cartes est donné à mélanger au spectateur, puis le magicien sort son portefeuille, l'oui-; Si t'a
un instant pour montrer qu'il contient une feuille de papier. ll le referme et le pose sur . desso
ta b le. pou r
On prend alors les 3 premières cartes du jeu qui vient d'étre mélangé. Le spectateur;e: ti ons
place sur Ia tabie dans l'ordre qu'ilveut.
Pa(
Les deux premières indiquent le numéro de la page cJu livre, par exemple si c'est un h. -
de trèf le et un quatre de carreau, cela désrgne la oage 84 et, la clernière page, le quantièr.. Pa(
du mot : si c'est un neuf, le mot choisi sera le neuvième en partant du hautàe la page. Pa(

Une fois le tout sélectionné, on ouvre le portefeuille et on s'apercoit que le mot gui figu-;. Chaqr
sur la feuille de papier est bien le méme : la prédiction est exacte. Le pr
secon
MATERIEL NECESSAIRE resta r
-- Un Himber-wallet On fa
- Deux morceaux de papier pliés en quatre
Un petit aimant fort et plat caché dans la partie sas du portefeuille F inalr
- facon
- Une carte magnétique, confectionnée en emprisonnant une lame de rasoir entre oe-r
cartes amincies au papier de verre et collées ensemble (f iq. 1) ll con
PR INCIPE MARI
Les trois cartes choisies sont forcées : pour cela, vous retirez cie votre paquet de ca':r: Vous
deux cartes avec des points : par exemple, un 4 et un 5 et vous les empilez SUR la ca-:* VOUS I

maqnétique. forcaç
Vous
feu ille
un bc
trois r
Vous

F(W> I
-#- dessu:
Le fal
d ivers
a
Lorsq
fa i tes-
papier
milieu
lire le
Si le
visible
(fis. 3

Le pri
d'ordi
on sau

268
?)§
bo?JqeJa"Bm§sËa
'a- : . - Si l'aimant contenu dans le portefeuille est assez puissanl, les 3 cartes adhèrercnt au
tjessous du portefeuille, à cause cje la larne de rasoir contenue dans la dernière. Supposons
pour l'explication que celle-ci est Lin 8. Les trois caries étant forcées, il n'y a que 6 scl,.r
i.[i:' j-:. tions possibles:

Page 45 : 8e mot Page 54 : Be motr


Page 85 : 4e mot Page 58 : 4e nrol
Paqe 84 : 5e mot Faqe 48 : 5e mol
Chaque feuille de papier cornporte trois mots :

Le premier est écrit bien au milreu (fig. 2). Puis le papier est plié en deux et on écrit là le
second mot (fig. 2). On plie à nouveau en 2 et on écrit le troisième mot sur la surface
restante (fig. 2).
On fait de même avec la seconde feuille de papier.
Finalement, les deux papiers pliés en 4 sclnt glissés chacun d'un côté du portefeuille, de
facon que le côté blanc soit visible.
llconvient, bien sur, de se sor.rvenir de la piace de chaclue mot,.....
MARCHE DU Tct-IR
Vous empruntez un dictionnaire et vous vous isolez pour faire une prédiction. En fait,
vous repérez les mots qui se trouvent aux six emûlacements corrÊspondants aux cartes de
forcage et vous écrivez ces six mots sur vos deux bauts de papier.
Vous faites rnélanger le jeu et vous le reprenez en main gauche. Vous sortez votre porte
feuille, vous le posez sur la main gauche afin de l'ouvrir de la main droite et de montrer
un bout de papier qui se lrouve à l'intérieur. Cette manoeuvre a pour but d'alouter les
trois cartes à f orcer sur le jer-r
"

Vous reposez alors le portefeuille sur la tahle. bien en vue, vous donnez les 3 cartes du
dessus en expliquant ia manoeuvre au spectateur.
Le fait qu'il puisse piacer ies carr.es dans I'ordre qu'il veut et donc sélectionner des pages
iiverses a l'air parfaiternent honnéte....
-orsqu'ii a arrêté son choix, demandez-lui s'il veut changer.... Une fois qu'il est bien sûr,
iaites-lui chercher le mot qui correspond. Puis, si le mot choisi est à l'extérieur, sortez le
capier et retournez-le simplement sans ie déplier davantage. Si le mot choisi est celui du
nilieu, sortez la feuille côté blanc, sans la retourner, et ouvrez la juste une fois pour fair"e
ire le mo1.....
Si le mot choisi est celui qui se trouve le plus à l'intérieur, sortez le papier côté blanc
,,isible, dépliez la partie du dessous vers la gauche en rnasquant le mot avec le pouce gauche
fig.3). Et ouvrez pour montrer le mot le plus à i'intérieur.. ..

-e principe du pliage des morceaux de papier est intéressant à plus d'un titr€ ; parce Que
:'ordinaire, l'H imber wallet n'offre que 4 possibilités de prédiction et, dans ce cas précis,
ln saute à 6..,".. I,l ax -liilaire U L' Ni. ON

269
PEE OH! CARJTES
on voit de rnoins en rnoins faire l'épée aux cartes. et cela pour plusieurs rai"
sons : la difficulté de trouver une bonne épée, le fait qu'ii faut ramasser les
g
cartes à la fin et done qu'on ne peut pas le faire en cabaret....

La version que nous voris proposons est faisable partout, avec une épée non
truquée on n'a pas l'envol des cartes, puisque la chose va se passer dans une
-mais
boi'te. Mais, en contre-partie, on. n'a pas'à lei ramasser non prus.." et de plus,
on peut faire l'expérience avec des cartes géantes. ce qui n'esi pas négligeàble.
- _:.F
ll suffit pour cela d'avoir troiscartes duplicata, dans lesquelles on aura percé
des de grandeur Lors d'Lrr
-trous croissante. de facon à ce que les tartes s'échelonnent !ra{}lleZ I
sur l'épée à des hauteurs différentes (fig 1 et 2).
rjiourd i .

ll faut ensuite construire une boîte, l'rjteindrr


en bois ou en carton fort, sernblable à lcnrr'n t 1'r
celle présentée sur la fig 3. La boite est bien sûr moins longue que l'épée et
i otrc ailL
les.petits côtés sûnt légèrement plus grand qu'une carte géa;te be plus, ces
petrts côtê§ comportent une fente dans laquelle on peut glisser l,épée, .lUc toutr
eomme dans un support" l-e côté gauche est clouble et contùnt les trois j ial. e t on
rous la r
cartes géantes, qu'il faut faire attention de placer dans le bon ordre. La
i'ainrablc
double paroi est articulée de facon à pouvoii tomber contre le fond... Le
reste coule de source
lr's allult
:
r n taci es
Vous montrez la boîte vide, vous faites examiner l'épée. vous forcez trois
C'est sùr.
cartes, vous faites mélanger le jeu, vous placez l'épée dans la boite, puis le
jeu en vrac, vous fermez le couvercle et vous secouez, en tenant r.rn instar .n ire ant i.
la boite verticalement, de façon que le panneau motrile lihère les cartes ,'t lr'truc
et gue les trois duplicatas se répartissent le long de l,épée. puis vous
rouvrez la boîte, faites nommer les trois cartes... êt vous êtes le rneil- Vorrs |rrr
leu r... .ande i.le
)aliS COllil
Le tour peut être également présenté avec un sabre de 'rlluntettr
samoura i.
-i.'i'.rllurrr
, étcigne
.\rnault lc Srtliqur 'allunre
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.i llantntr
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:îoLlrdi, r'oils avel llisstj roirr boitr, ,,,,r.,:tr". ir,r,,, 0..,,r,.1)'t,,,iii,rr,,jr,'.
rririndrc r't. alxrs lr gcsic ti.'s pels,,,it,,s bi,i"-jrr,,pra,, 1,,,,,,
jirrrnt !oLl: rr,irr(.rir,l rlril!.jriirr
I'allunr'-'t1t' dlins rir t,.oiic scrijerrrr'rrt. o,,li,). ,,rur.i.rr.z
| Ê1 ti. ,rrlrrrlr..r
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touiL.s li-'s allunrrttts r/rrurrrr
r,,tr, 1,,,r r,,,rr.t.,ttr..i,r"' t,,i,
b-rLrlent rrLt
ilLl c(]Ûllti'i
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ii.,c.,li,..,;,,a
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ï11lltl:"tlrrtrt,e L.l()illltt. tle l, lrtiic \''ous soufrtL'z rrù5sr: .1
.,irs la rrlèrntùz ,Lr dU\slLrlr.
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ltour rtiotrf.[,r Itni.rndtt.....
l)oLlI I,i pL;is ritrt: t-iipi)ùlü1 i
rrlttltl:le J:Sisl;r,1.. qUù \,)ti.,,1r., ttr,i.a,,.i,.t, . \l,rtrr
r(,,,\ir., l.r lr,,;i. : L.ril,,..
sont iii. errticrr:. ,,,nri1,.--ri .,..,, ,r. ,'.J,,..';,',;;'.jlt'.'.1t.îi,ltl;lji,,
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vous lr secoue: en fr.njnl soirr i;u,cilt.nt
,:,,ïj::1,,1:::.,y.1:1ri,.,",],:l],1..ou
r.icigrle pas tr0i) r't. lcnrnl rotrc boitc cor1,lrr
.,liïl]:.1.,: cn conracr ü\iir .,i t;u i.'i.,,irr''.,r,.,,,",
prpi.,..i*ir.
lL. 'lc'nrér:lirrs i:.jt,,,-.i t.larrh... r..us tarsscz *rr
il. i.l
rr. r,r rJIrt,t,'(rliilt
. ,,,id,:^,lj: .rüpl)r()cllarrt
lrr,],,]1.:, .lu-prLr.,,
t, lrtC(ltrl. tlit ilii: .1 ;. \ou\
;r,rt;., 11,,. .l). I:, l.';,,::)
t,,U. li1 lrilltr.z
1,JilLti . i.r r.rr...r,,,rr,, r .rir t., t,rrtrr Ll . Jrrj_rr
lll:,,.t,i -\{)r,r
n,,ii,,',r,,ri.:'::;;,,1;_ ii,,'i:iil'..'ilüï,.
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gritirnneut'-ilt-pairirrs . JAN{l-S HOIX;irS. 7 rr"ir, tlrs ('lor s. 750lE I'rr.is. 0r-ô.t.r.:li
s )irr'ctcur-cn-cltt.l iltse \;.rç;{j1111115e1-de,s<livr:rscs-papcras:,r.s adntini:1i'l1ir(,\-\l Ll\,-jt(,u5-dlLt\-
hÏ tl-tst-trop-bordi'lrrlLres-]lr>ttr-ies-1airc : Mir:lr,:l IIATTL. 8 ruc rlcr ( urrlit-r. 75005 I':ilis.
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s \tsONNLN4trN'I S : [:xi.:lLrsi\f t]tùrtl rtidigris iltl llonr dt MÀt)-lll.{(il{' .'t rtlrrssr i lr{ie lrtl
s(tr :{{fl-I:-. I'RIX poLrr 198{.) . lrs 110. [:rarrcr' el cltrangr:r Il Lcs aborrir('nrr'1rts i-.iutù11i
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*|il -.t:ALISA'fl()N : ( ontposilron sur I.B.M. MuboLtlc. p3r ics pctites tiunrr"s rjt' ll r.Lrc de
sî ,rlbiac. inrprir»crc par lrs baunrr'-r'ssicur dc clr..z L,op\ -tol).
. l(r htl Mllcslrcrbe s. 7500t [,lrls.
{tr
,li
''1.rd-Mlrgic est tttte rtvltcitrpriirér. -foul crcnrplairc ccrit à lu nr.iirr est un laux.
IlAN(lt:MlrNl l)'AI)ltlrSS.l: : lJLr à la irluplrl dcs ces ù Lrn nrlnqur, rle plnirruc . \'!,lrrrri-
0h .:r dù noLrveau e I
r{li -'lRUTION . Mad-Mrgic ioinrirr ].1 tintbrrs à l01rs.
i)u\rr' sit guc'Lrlc 6 iois par lns. (lu'o1r lr lui dtnrantic ()r-r i)()1i.
$ ,irl crt cas di'lirrce nta.yeure 1rrétut par la loi . ou cr-trtr prolonLlrlt.des réductr.urs. I)tlpirt
,85 $r
{i} !al à-parution ( ISSI\ 0-197--1101 I

s Ol)YRl(;llT. MtLl-N,lagic (.sl rrnr. re \ ut: cntrcr(nlùltl cÙp1 rrulrt . li'ull acttOn u ill ht lukcn
r lny {'orr:t of'copl . COPYRI(;HT MAI) MA(;lC I ()^q I L'. tltitittt\\ri1\ rtr)ll L,n\(l\ L:\
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ISSN 0397.3

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REVUE DES MAGICIEN§ QUI OI.TT LA MAIN GAUCHE


ADROITE

boi tes d'ellumeütes libérées


L'artiste montre 4 boites d'allumettes et
enf ile la première sur un cordonnet c0m-
me en f ig. 2. Trois autres b0ites sont alors
enfilées sur ies deux Lrrins du cordonnet

I
comme en fig. 2. Les deux extrémités
sont données à tenir à un spectateur et le
reste est caché sous un foulard. Les trois
boîtes verticales s0nt ensuite libérées,
alors que la boîte horizontale est t0uj0urs
à la même place... Tout peut être examiné
... et le public n'y parvient jamais lorsqu'il
8S§Ale.
ll vous faut :

4 boîtes d'allumetles dont deux ont un


dessin similaii'e : l'trne de ces deux boîtes
est 0uverte grâce à un petit coupita (fig.l)
et on appiique sur le côté intÉrieur-de
cette boîte un petit rnorceau de scotch
double-face. IMP0RTANT. Ce scotch
doubleJace ne sera pas neuf, car il risque-
rait d'arracher le carton ou d'abimer le
bois de la boîte d'allumettes. Au contrai-
re, on l'aura collé plusieurs fois sur un
verre à vitre et ce, recto-verso, afin d'en
diminuer la puissance adhésive.
La f ig. 2 mont[e comment marche le truc.
0n enf ile d'abord la boîte truquée sur le
fil sans insister, puis on enfile les suivan-
tes, une par une, en ayant soin que l'ima-
ge de la dernière soit la même que sur la
boîte truquée...
De plus, et ainsi que le montre la tig.2,
l'un des deux brins n'est pas passé dins
cette dernière boite, mais derrière afin
qu'elle puisse en fin de course prendre la
place de la boite truquée...

275
2
La manoeuvre. n'est pas difficile puisque
vous avez déjà enfilé deux autres boiies
de cette façon, et donc à la troisième, les L
spectateurs ne sont pas particulièrernent p
soupÇonneux....
Le reste coule de source : sous le foulard p
vous décollez la boîte, vous sortez les d
deux autres, vous recollez la boite, puis n
vous la sortez en dernier car, si vraiment S
un de vos spectateurs a le mauvais goût de b
vouloir examiner, il se precipitera sur la b,
première qui sort, puis n'ayant rien trouvÉ M
de suspect, il jettera peutétre un oeil sur C
la seconde et. rassuré il y a fort à parier dr
qu'il ne touchera mêrne pas à la troi- AI
sième.... A
Au contraire, l'attention est localisée sur le
la boîte qui reste enfilée sur le cordonnet... re
et là... bien sûr... vous les attendez... T
le
et
se
de
m
fo
m
CU

co
pi
de

B
pr
fu
il
de
drr
do
qu
àl
alr
les
la
tol
m(
pic
lair
cas
pir
W

-.oo;
;..4
276
>a

Le. principe de cette routine est similaire à celui dans lesquelles


pièces chinoises trouées et enfilées sur un cordonret, on utilise des
eoütru-s.anil.ïie.. q"i
a.une fente (fig. 31. Mais on a pas roujours sur soi des piè;;;;ïi;;ir;s
ni une
que, pourèelui qui se promèneraif ;r;;à;;;;iiisuout,
l,^è.:I.-ldl::-tandis
oe.scorcn tout prets dans portefeuille,
son la routine peut être impiovisée dans
n'importe quel bureau de tabac.
passa.ge les coins-photo adhésifs double-face qui
Iiï{"lr--",
Dlen
conviennent très
a cette expenence et peuvent même, dans d'autres, remplacer les
cérèbres
boules quiès...
{"p 4 propos de la routine.des pièces chinoises,ie vous propose celle-ci : ..Les
chinois ont de très beaux habifs, mais maiÀeu.eusement cès habits n,ont pas
de porches... c'est la raison pour iaquene les pièces ctrinoisàs
au milieu.-.
onîîr, àu
) ""rre
Alors les chinois prennent urne de leun pièces et la fixent en bas, puis
lent toutes les autres dessus-.on .o*p..r,à aisèment que toutes tes pilece, enfi-
retenues par une seule (fig. 4). sont
Il apparait alors- qu'il esiextrêmement facile de libérer les pièces (l'opérateur
le démontre en faisant jouer le noeud de cabestin...) r-- --- r- -r'
et c'est- ce qu'ont compris le_s pick-pockets chinoiq qui, les jours de marché,
se faisaieni, groyez-moi, de joumées... ,{]d* É ch'i"oi, àni'ctange
de méthod.e. Ils ont juste. enfilé_bonnei
u,e pièce et toutes t.r uutre-ààrrirrinr. si,
.les pick-p_ockets chinois étaienf maüns et avec un outl lui tËnàit a ta
mais
fois de Ia cisaille et de la pince, ils fendaient la pièce ou
uàs eiiair"Ënt t.u.
moisson. Parfois même rei pick-pockets essayaiËnt o.ï piàt-p.lËËJià,
qie l'un d'eux rrouva un stratasème iirt.rri!.ni. "rtr"
ITI:,"1,
conslste âî'.,!l.il"^
rixer un bouron en bas de la corderetie, un bourin a "Ëlui
qui
pàu pies
comme celuÈci. er comme vous le voyez,
pince... I1 mettait ensuite.ses pièces pria"*urça .'.rt i.ài ou, a .n'ia'à. a ra
-aIianc"s, et ajoutaitïème-ies proouits
de^ses larcins : bagues chevaüères, etc.îadamË;-;;"b;i;", *"
lll::_"qTr. et vorre chevalière... parfait et c6mmË a.-prurî et it
b3pr19
rumeur' il mettart ensuite pardessus sa boite d'allumettes... dàns hquelre
il avait fait une fente... et il àéambulait arnir oans i"a;;;,;ii;;"r,t];
de ses larcins, sûr de lui-même.et.aussi qu'aucun d" il;.IËil.r'n. iroduit
drait à lui ravir son bien....c'étart.orit.r sans un grand riagicienïninoisË*i.n-
dont la femme avùtété volée... Et voici.. qui r" p",i;, ...-M;ir-'iour
rur.,
que le.s
-magiciens
gardent jalousement leur sèiret j. ne iài-, p* e"xËption
à-la règle et, c'est pourquôi, ie cacherai l;ensemble "t âr". ,n-*6""rroi, mais
ahn.que nous sovons dans rei condirions .eiues-àe l;;;pé;;;;lr"nou..ui
les deux bouts de la cordelette_ et je vous ies donnerai i
la libération... attention, r,egardez "uien tà"i, ài,iiri toute
aàb;rd-iË üJü.r, p"i,
toutes les p.ièces, puis les bagues, puis la'-it-"nt.È
toit" a'â[uÀrii*'.t, Ëiii", p"".
érait le ptus fort, it ieplaça te bouton r"ir.ïoiàLf.'tË..
i:,1T.-,gy'it
plc*-pocket ne comprit jamais comrnent il avait pu retirer t.
laissant Ie boulon... it vôus,. M";;igr;;., les "t
objets, en
une idée, ... en tout
cas, pour avoir rendu son bien à volre femme, "i.r_rou,
vous pouvez me serrer la
pince... monseigneur...

(
(

Oa o- -ooo
277
4
Et hop ! Rien qu'en lisant la routine, vous
avez déià tout compis quesquispass ? Pas
sûr les mecs... Bien sûr, on utilise le fa-
meux boulon truqué, mais on l'utilise sans
risques... La solution la plus simple consis-
terait à avoir le boulon ordinaire empalmé
et à défaire le boulon truqué sous le fou-
lard, puis à le changer contre le boulon
ordinaire... et tout le monde serait con-
tent... mah souÿenez-t)ous dqns la routine, (
vous pouÿez également snober yos amis
magiciens, puisque le boulon ordinaire
est TOUJOURS ENFILE sur ls cordelette I

à la fin de la routine. Alors bien sttr, il


suffit comme dans h routine de boîtes
d'allumettes du début de passer le bou-
lon dans un des deux bins avant de
nouer et de remettre le noeud à tenir
aux spectdteurs... seulement voilà, je
ne mis pas si vous avez essayé, mais ce
Cor,
ry'est pas facile à faire... et de plus, dans plac
la solution proposée, yous avei les mains
vides tout le temps, et rten à empalmer... mel
tout est self-contained, ce qui est bien I tés
p6s
agréable...
teml
Alorc voilà, le ÿéritable boulon se trouÿe
dans la boîte d'allumettes lermée... et l'éct
vous ÿetrez, au cours de l'explication, fent
comment on procède... ROI
1) c<

PREPABATION à
I ) Vous prenez une cordelette de nylon to
dont ÿous avez enlevé l'ôme. Cette bi
cordelette doit avoir environ I m de 2)Lt
longueur... les bouts en ont été brîtlés co
pour ne pas qu'ils s'effilochent... 3)Pt
2)Prenez une quinzaine de pièces chi- l4
noises et faites une fente dans l'une lei
d'elles à l'aide d'une petite scie (fig.3) Ito
3)Une boîte d'allumettes dont la bôîte pu
et le tiroir ont été percés au coupita 4)Yt
w
pu
d'1

§ut
ÿot
pal
yotre
des b
gressir
boîte
extrêr,
faisan,
extrên
lbutre
oo.; a.oo
278
Camme en fig. 6, l'écrou ordinaire est
placé dans le tiroir, calé par des allu-
mette§. Il est placé à l'une des extlémi-
1 tés de la bofte de façon que l'on pukse
passer un des brins du cordan, en même
temps dans la fente et dtns le trou de
l'écrou, et I'autre bin seulement dans la
fente...
ROUTINE:
I ) commencez par frxer une pièce chinoise
à la cordelette avec un noeud de cabes-
t!ry, ryis pour lui donner plus de crédi-
- .qilüé, faite*le cotttme en fiç. 7.
2)Libérez les pièces à l'aidè âu noeud de
cabestan, vous êtes le meilleur...
3)he*ez alors b pièce fendue et enfilez-
lo sur la cordelette de foçon à cacher la
fente comme en fig. 8. Si lo fente se
voit un peu, ça n'est pas très grave,
_.puisque wus allez expliquer le truc...
4)Vous sortez alors l'éirou truqué, que
raous ne donnez pas à examiner, car
puhque vous êtes parti dans une stirie
d'EXPLICATIONS, personne ne se
méfie. Yous faites ulors enfiler l'écrou
sur la cordelette por un speètateur, puis
vous lui dentndez de mettre les pièces
par4essus, tandis que ÿous racontez
a voie hhtoie... lro^ empruntez ensuite
des bagues et des allianies pour la pro-
gression du truc, et sortant ensuite iotre
boîte^ d qllumettes, vaus enftlez les deux
extrêmités à travers le tràu oblong en
faisant attention de passer I'une" des
extrêmités à travers le irou de l,écrou et
I'autre à côté de l'écrou (li*. g).

.oo; {o. -
279
g
11
A partir tle ce momerr, ÿous prenez url certai, recur par rapport
'i
,* t,t'urs. clt'làç.ott qu'ils tte pttiss'ent eil oLtcun cas oux specru-
i: aperce»oir le boulott à trayers
la J'c'trte de la bofte d'allumerres... puis r:oui rrottez les
cordelelte et ro,s les tlon,e: à te'nir à qLuelquhtt. deux extrêmités de la
P.tis .,ous cache: ayec t l
n
ÿ l
lartl
Jitu I
1) Sous lt, Joulartl . l
u)votts o,L're: r'écntu. t'ctus re sorta=, votts re rerenrtez et L,(),s I
re posez st, etl
la table
h )yout ,l.t;.gagt,: /cs ;r/a,.g,
que t.ous Le
(.).t,()u.\ Lllgagt': lt,s bagtt,s quc t,ols ljose:
pt)s(: con
d)vous dtîgagt': tu boîtc dtailu,tnetis.-ie qui est asse: tréricut pour que
t'tttts tirt,: au tna.ti?tuttt sur lL, corLlontte't ( ; ce Jaire d'al
iig I t) )
l-t)us t)ut.t.L,: le tiroir tlt. lu b<tttt,. r,ur,r rr,r'rorrr: doit
l.ëCrou cl pose: !e tirOir
çttr lt tublt .{r.t,c /t, L,()rLlùrret. rr,rirt: tlr]ciài,-J-r, ir'O,,iir.).friri_îr'
ÿ\-"!' /sr'rJ rc pirorq con
darts lu bofte à trarers les tlt,ux li,rttes (fig. I t | - Alo
t't dégagc: la bottt,... qui
Tout tr ttli Ttosé sur la Toble, t,ous »torqLte: une pose._.
qui
gagr

280
ooo a o .a
t2

5) Là,dau solutions ;

ou vous êtes un ringard et vous reprenez direcîement l'écrou et sous le


cauÿert du mouchoir, vous îaites semblant de la renfiler dessus, alors qu'en
réalité vous le foutez dans votre manche, dans votre nez, o.t encore mieux,
vous l'avalez...
ou vous êtes un Nabil-Manipulador et vous enlevez la serviette. Faites lâcher
la cardelette et ÿouE ÿous trouÿez comme en fiig. 12. Yous placez l'écrau sur
le poing gcuche (lig. l3), yous laissez sombrer dans le poing et en même
ternps vous tirez sur la ficelle pour sortir l'écrou déjà enlllé et vous gardez
le second à I'ernpalmage des doigts...
et la fête est finie...
Le concept un peu nouÿeau dans cette routine, le lecteur I'aura compris,
consiste en I'apport de l'écrou. Il existe certes nombre de routines dani les-
quelles on change un écrou pour l'autre avec de iolies manips, mais le fait
d'apporter l'écrou ordinaire et de l'enfiler sous le couÿert dlun autre oblet
doit être décit pour la première fois. Toutefois la boîte d'allumettes ne
constitue pas un obiet idéal, on la motive par le baratin, nuis c'est tout.
Alors MADMAGIC LANCE UN GRAND CONCOURS ; trouvez un obiet
qui permette d'apporter l'écrou ordinaire, sur l'un des brins de la fîcelle et
qui ne soit pas un tube de plastique ne servant à ien".. La meilleure solution
gagne un abonnement d'un an... .

281
FT
EËN
EfiI
È.*l
P$t
.ràl
T II
FII Dbt
[ {l rubr

L'autre jour, je montrais mes routines de pibes à un magicien et, en sortant mes ˧l ?tr
pieces de 5 frs en argent, i'ai vu son regard s'&arquiller.....
OUCEKE-TULLEZAHU ? TUPETIPA M'ENAVOIR KEKZUNES ?
B# I T:"
Voici donc, pour ceux qui ne possèdent pas de telle piùes et qui voudraient s'en ,,#r
procurer sans humismatiser pendant des siæles, une petite routine perconnelle pour
débutant pauvre.....
1) Recherchez dans votre entourage une personne qui travaille dans une banque Efi/
depuis plus de 10, 15, voire 25 ans......
2) Faites-lui le tour du petit voyageur (avec des spectateurs aussi motivés c'est le
pied....)
3) Enchaînez d'autres tours, breffe, le grand jeu, verbe sucré, subionctif à ressort,
pied baladeur à la patronne......
4) Après votre démonstration, épanchez-vous piteusement sur la difficulté de trouver
des piùes convenables pour la manipulation de close-up....
F;r tr
5) Si vous n'avez pas affaire à un débile mental, il vous proposera de vous en vendre,
car :
"ll existe des gens qui, kantilvonzalabank et qu'ils paient avec des rouleaux de
pieces de monnaie, glissent subrepticement et malhonnêtement des pièces mone-
gasques, Surbses, Belges, voire ltaliennes à leurs yeux sans valeur..... et, plus tard,
c'est le caissier qui doit faire l'appoint en mettant la différence de sa poche. Tous
les vieux caissiers de banque ont chez eux des pieces invraissemblables et se laisse-
ront facilement attendrir par vos larmoiements.....

MA IS ATTE NT I ON,....... "


Nevousappesantissez pas trop,sinon le type va vous les faire raquer 7,50frs... piæe '
ll faut les obtenir à prix coûtant : c'est une question de dosage..... ll peut même
arriver gu'on vaus offre des demi-dollar "Kennedy" en argent... ce qui se fait rare....
Surtout, n'ayez aucune honte enverc le banquier, je me suis laissé glisser dans le
tuyau de l'oreille que ces piæes ne valent pas 5 frs du point de vue de leur pourcen-
tage en métal argent (contrairement à une idée préconçue...). Voilà pour les pièces... I

282
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de Devos revue. une
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appnnd seulernent timiaenenl ilrmence
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l!,!out
quoi ? du
{;,;;f:.rgfXi:;::rrr:;ii
paràppÀ,J,'u touer du
chou
* a ou 6 ans.seurement, on
"ontrrpoiii, ,Çi;:;:eil:,
rryE j : ff,ü;i y;;t:;:x;!îiii;îi:{i:i:i!î:::,#i;
i:îîîrfrd;;;i:;:;'if,:::;;::{t";::,i,?.,:,,ïg1;i:l?,il,,2tri::Xi:"
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P -r'{
P
Le cow-boy sort son jeu de carbes et crache par terre. î3 'l --r
Il fait choisirune carbe à un spectateur et lui crache dans Ia gueure. :,
spectateur signe sa carbe et lâ remet dans le jeu,. et le coï-boy crache sur le jeu. l'
I,e Ê
Le jeu est remis dans l'étui, le cow-troy crache ,,r, l,ôt i. t
Il sort son revolver et tire sur l'étui decartes.
Le spectateur sort le jeu, Une seule earte a un trou.."
r
rk ,.
Le cow-boy décharge enzuite le reste de son revolver sur le spectateur qui dans un
I T
t,
demier râle avoue que la carte percée est celle qu,ii avait ôiroi.i".-" Le cow-boy
rËmge son revolver, craclrg sur le cadavre, pendanl que te pianiste joue
le dernier
t
le
rk
succès d'Enzo Cortizone "et pour quelquei àolards de plus;,- t&
s
FACULTATIF:
en sortant le cow boy crache sur le pianiste.
r
ti i:i3,".i ff 3:' ^:1'".*
"",ffi@p)6gl
Y
- des figurants habillés o

-Tij'"'ffi""iïi:i:*pianiste @&ËPe@A
- un chômeur qui jouera le rôle du spectateur (atteniion I i]-en iaut un neuf à
chaque fois... choisissez quelqu'un saas famille pour éviter les complications... r

un révolver chargé d'une balie à blanc et de 5 balles réelles


PBEPARATION:
Prenez une carte n'ayant pas trop de points et avec une perceuse de
bureau faites
un trou à une extrémité (fig. l). Noircissez les bords uri" un feutre noir. place:
cette carte sous le jeu et le jeu dans l'étui.
MARCHE DU TOUR :
1) Forcez la carte au mélange hindou.
Z|Décalez-.le_paquet rup,érieur et faites signer I'extrénaité de ia carte par Ie spec-
tateur (fig. 2).
3) Tirez la balle à blanc sur le jeu, pour ne pas l,esquinter, et les autres balles
sur le
specüateur....
4) Crachez sur le pianiste en sortant.

284
:ïfiiTr-

ÿ
,
fi
Ê
k
s.

!r
L

Ir
k
ù
ü,I Éilffi
Pour ceux qui en ont marre de présenter inlassablement les disques qui chan-
gent de couleur, voici du nouveau :
)t

I Le magicien préænte un disque 45 tours et le place dans une poehette percée


>
de 5 trous (frC" l)" Prenant alors un foulard,le magicien passe ce toutard e
Ë travers le disque, srccessivement dans les 4 trous. La pochette est tournée
*r
&
,* recto-rereo et les spectateurs peuvent faire coulisser eux-mêmes le foulard...".
'F
t) Enfin, le disgue est ressorti intact de la pochette.
,b
hqçz un disque de Sheila, ou de la mère Matthieu, et commencez par décol-
Ë ler l'étftTuette. Rernplacez-la par une étiguette que vous avez confèctionnée
ü vouçmême et qui ne comporte que des ronds concenhiques (frg. 2).
r- -.\:
a --!
Sur une des faces du disgue, collez un petit ergot, fait d'une petite lamelle
t
r .:t
]lfii
d'alu pliee en deux, que vous collerez u.u l'étiguette (fig. 3).
Ê *[i & 71'
-Ê ]Èt.
k fa Enfin, avec une scie à repercer, ou Boc-Fil (fig. 4), entaillez le disque comme
ü
ç ar la fig. 5. L'entaille doit pouvoir être masquée par la main (f,g. 6) et corres-
pondre aux trous de la pochette (fig. 7). Le petit ergot sera plaèé vers vous et
mi::-:
[a i6r-:.:f
-
tb
&.
tourné avec le pouce, ce qui a pour but d'entrainer la partie manguante du
disCue zuccessivement en face de chaque trou. C'est la ràison pour laquelle il
r k ii-Ja: faut, remplacer l'étiguette par des disques concentriques afin qu'on ne voit pas
ü le disque tourner.......
l}

n
A la fin, vous le sontez en masquant la partie manquante..." et le tour est joué.
s
È
È --t4{rNr{t4vl.cruA
ü
TIES
t ur :+*: i
rüEa.i::*.
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1ru,e 5'r:-
It
*..

boi-e* ç-: ,i #
r
,*l&'

l^!-l-, t..r'bb

285
OUATTO PAS§ETT TES GIGOGilE§.... MATERI
Y'a plus d'enfants, 0u c'est moi qui suis con... faut dire qu'avec le boulot que j'ai, j'ai tou' 1) Deux I

jours un peu laissé Léonie s'occuper des mômes... et les mÔmes,0n est teilement habitué è 2) Un pe
les voir qu'on ne les voit plus grandir, surtout les deux plus grandes, je les ai pas vu grandir. 3) Un bil
c'est que maintenant y'en a une qui fait quinze et l'auTre treize. Ca c0mmence à avoir des dou blr
petits seins moulés sous les pull-over, même qu'il y a quelque temps déjà, Lèonie m'ava: -1) Un per
dit . 0nésime, tu devrais leur parler... tu sais, tu devrais leur dire des choses... Moi que j" :) Un ou
ai dit . ]e m'occuperai des garçons pisse-que t'es une femme, taka tûquper des filles... 0i: i) Une vi
qu'elle m'a dit mais j'aimerais que tu leur dises un m0t... alors j'ai dit quelque chose, c'éta :
r) Un sty
jern'ensouviensjusteàlafindudîner,ptêtequec'estlesdeuxlitresderougequi m'avaie': PREPAB,
donné du courage... alors j'ai dit "-Bon, vous ferez ce que vous voudrez quand vous aure: ')Vous r
dix-huit ans, mais d'ici là si yenna une qui se fait mettre en cloque, j'y arrête ses études, :: de gon
j'y fous une danse qu'elle s'en souviendra...". Alors elles m'ont regardé d'un air ébahi et': :) Vous c
plus grande m'a répondu "alors ça papa, t'âs pas de soucis à te faire". "Bon que j'ai c : et les 1

tant mieux" et l'incident a été clos... dans la


"Tuvois"quej'aiditàLéonie, "Tutefaisdusoucipourrien,tugambergesàressort,:- :) Vous n
les vois plus grandes qu'elles sont"... "J'en suis pas sûre", qu'elle m'a répondu... alors je - :) L'enser
aidit qu'elle était conne, et après avoir roté un gr0s c0up, j'ai regardé Guillusque... :) Le styl
0ue j'ai oublié de dire, qu'entretemps, j'avals acheté des petites boîtes gigogne ousqu :-
Iait apparaître une pièce dans une série de boîtes fermées. Et puis, je ne sais pas comme.:
impossible de remettre la main dessus, teilement même que j'ai pensé l'avoir paumé, l'a'.i '
jeté en rnême temps qu'un autre truc... donc, tranquillement, sans me douter de rien, je s- :
allé en racheter un autre jeu... et je me suis bien exercé, mais avec mes gtos doigts bor.l- -
d'heures supplémentaires, je dirais que c'était pas le pied... quand un jour, cherchant --:
bougie dans la table de nuit de ia grande, quesceque je trouve : un jeu de boites que j'a,= :
perdu... j'étais abasourdi . la môme qui aimera'it la magie, et qu'elle aurait pas voulu r:-. :
dire... alors j'ai ouvert la boite et pis dedans, y'avait comme des aspirines, rnais plus pel;:.:
on aurait dit comme des cachets, comme des pillules... et là, 1e suis ptête con, mais là, .
t0ut c0mpris, d'un seul coup... j'ai compris qu'elle devait se faire sauter par un petit::-
desonâge,etqu'enpluselledevaitnousvolerdupognonpourachetercessaloperies..:-
bien qu'elle se privait de bouffer le midi... alors tout d'un coup, je rne suis senti dépa:;
tràs vieux et très con... et j'ai compris que jamais j'y donnerais ia danse que j'y avais:---
mise alors en plus, je me suis senti très las... et j'ai repiqué ma boite, plus celles qu'éta .--
derriàre, et je me suis trouvé avec deux jeux de boites identrques... et une gosse que j'a-'. :
peut-être plus le courage de regarder en Tace... alors j'ai pris mes deux jeux de boîtes e: --:
bouteille de pinard et je me suis enfermé dans la chambre. Au matin j'avais une roi,: -..
avec les deux jeux, le petit porte-monnaie et le billet de 10 Trs... La voilà.

286
MATEBIEL TTECESSAIBE :
') Deux jeux de boites gigognes

lll p.,lit^rllrgeur ancien modète, que vous aurez bricolé vous_même (f ig. 1)
i. i) un brre.t de.banque plié en 4 au dos duquel v0us aurez collé
le charge-ur àvec du scotch
doublejace (fig. 2)
:l un petit porte-monnaie c0mme sur ra fig. 3, qui peut contenir re jeu de boites
:, Un ou deux petits élastiques
-I Une vingtaine de petites pièces de 1 0 ct, et des gommettes autocollantes
-) Un stylo
PBEPARATIOTT
i vous ne gardez que la boite extérieure de l'un des jeux de boîtes etvous la remplissez
de gommettes autocollantes
Vous ouvrez t0utes les boites.du sec_ond jeu et vous introduisez entre les parties boites
et les parties couvercles, re billet de facon'que le chargeur conduise ra piocààiiertàrent
dans la boite intérieure (fro.4)
Vous maintenez l'enæmblà grâce aux petits élastiques (f ig. 4)
L'ensemble esr placé dans le"petit porie-mrr,n;i,;
afi;. ,ii
Le stylo et les pièces s0nt dans unà poche de veste. "

287
t{
MABCHE OU TBUC
L'A
1 ) vous sortel la poignée
depièces de v0tre pOche et vous en faites choisir une. heu
1r v0us s0rlez Ia petite b0ite qui contient des g0mmettes et vous
collez une g0mmeTte sur noi
la pièce choisie.
cel:
,).1:.:q:r]lïll:is*,lu sommerte er la pièce esr ptacée dans te porre-monnaie (en réatiré un
vous la glissez dans le càuloir du chargeLr)
., cub
4) En maintpnanl nnrtp-mnn^rio.,,^i
lp porte-monnaie
âintenant le t^"
;;iT;;;r'i avec res doigts gauches, c0mme en f iq. 5, vous s0rtez re
o ir ret ôn ex pi iqil; il ; ti ili''jÈ,[iili',i,iillililïJ'i;
t,utes les autres et ra retrouvel en moins d'rne seconJe
pièce choisie avec
ten'
(fis
êtes tellement sûr de vorre.c'up que si v'us rar;r; re
,iirîiià
iicln *iüiqiu... ,o* fou
spectateur aura re biilet... Mais
-"'" le fr
p0url'instant,commeir estèncoreàvous,v0usrJmettez'dansunrpo.t....
-, Toutes les pièces s0nr versées
5) età
personnes le secouent...
oans tÀ plrte"monnuie, .rtüi-rr u;'rrf;;ft er prusieurs cub
troL
6) Vous attirez al0rs l'attention sur,la petite b0ite de g0mmettes... grâce à un habile àpc
_, t0urniquet suivi .d'un lapplng sans faille, vous faites dispâraître la boîte de gommettes... Cet
7) vous reprenez alors ie petit portemonnaie et vous l'ouvrez, vous retournez son contenu mafr
sur la table et vous donnez la petite boîte à celui qui a marqué la pièce... il l'ouvre, en noul
tr0uve une seconde, une troisième et cela jusqu'à épuisement des boîtes... dans la der- let
nière se trouve sa pièce marquée... Il n'en ievient pàs, vous non plus;la pièce non plus impr
et lorsque ie spectateur l'interrogera pour lui demander romment c'est arrivé,'elle Tou
restera muette de confusion...
côæ
Voilà la des fignoleurs auraient sans doute retrouvé les gommettes quelque part.. deg
pas m0r... avec
L'autre jour, Marcel était venu prendre l'apéro, j'y ai fait, il en est resté comme deux ronds etd
de f lanc... j'ai un peu loupé mon lapp!ng, e1 la b'0îte à gommettes est tombée sur ma chaus- côte
sJrre, c'est ma grande qui s'est..démerdée pour la ramaiser sans faire de bruit, et pis quand 50 cr
il s'est barré Marcel, elle me l'a tendue, avec un geste un peu gauche, et moi t'âi tourrée Auc
le
dans ma poche, sans oær la regarder, en bougonnànt rnerci... arors comme dans ce truc, il en
ÿ dr
a qu'une seule boite du 2ème .jeu qui sert, j'y ai remis les autres dans sa table de nuit, ellô dépl«
les trouvera bien, elle en fera ce qu'elle voudra... En plus d'être vieux et can, doity avoir
Le cr
des soirs où ie suis un peu 1âche...
vert I

Allez ca ira mieux demain... faut pas s'appesantir, on se ferait mettre en b0îte...
cube
néd
est (
Veilk
égale
Enfor
àlai
sorte
de la
Arrivr
bague
le for
et les
onp
troué
l'expe
suppc
creux
façon
minée
cube
vérital
la suit
ner sr
produ

288
!
RD A fufis
Er-:::: noir sans points... Nous allons arranoer
cela,dit le magicien, et il sort de sa podhe
un foulard à pois noirs à points blancs. Le
I
cube noir possêde deux trous qui permet-
tent de passer une baguette au travers
(fig. 1). L'artiste recouvre alors le cube du
foulard et, à i'aide de la baguette, pousse
le foulard à travers le cube (tig. Z) au fur
et à mesure que le foulard pàsse dans le
cube, il perd ses pois et à la fin l'artiste se
trouve avec un foulard uni et un dé noir
à points blancs...
Cet effet se trouve sur le catalogue d,un
marchand de trucs suédois et bien que
nous n'ayons en aucune façon commandé
le truc, une solution toute simple s,est
imposé à notre esprit :
Tout être humain ne p€ut voir qUe trois
côtés d'un cube à la fois... ll s'agit donc
de garnir trois côtés d'un cube dà carton
avec. des points (le plus possible : 4, 5, 6
et de coller d'autres poinB sur un seul
côté d'un foulard noir opaque, d,environ
50 cm de côté-
Au départ de l'expÉrience, les poins sont
en dessous et vers l'arrière. Le foulard est
deployé pour montrer les pois.
Le cube est pris en main gauche et recou-
vert du foulard à pois (fig. 3). Dès que le
cube est hors de vue, il est aussitôt retour-
né d'avant en arrière. Le foulard à pois
est correctement drapÉ autour (fig. 4).
Veillez à ce qu'il soit réparti de façon
égale tout autour du cube.
Enfoncez-le dans le trou du cube, grâce
à la baEuette (fig. 5) jusgu'à ce qu'il res-
sorte de l'autre côté, entre deux doigts
de la main gauche.
Arrivé au stade de la fig. 6, enlevez la
baguette par le haut et finissez de tiqer
le foulard à la main : celui-ci semble uni,
et les points sont sur le dé...
On peut profiter du fait que le dé est
troué pour continuer en enchaînant avec
l'expÉrience des trois dés enfilés sur un
support (fig. 7). Le cube du haut est
creux. Les trois blocs sont placés de
façon décalés et recouverts d'une che-
minée sous le couvert de laquelle le
cube du milieu disparaît (fig.8). Un
véritable dé duplicata est retrouvé par
la suite et l'on peut arrêter là ou enchaî-
ner sur la boîte au dé voyaçur, des
productions de dés, etc. etc.

289
r6
Il y a quelques numéros, Mad vous conseillait d'accompagaer vos routines de scènes
de montages musicaux réalisés sur bandes. c'est bien beau, encore faut-il savoir
quels disques acheter et des goûts des des couleurs... bon d'accord, mais y a quand
même des repères... des éditeurs avisés éditent des disques destinés à la son-orisa-
ta tion des films. On y trouve beaucoup de choses :
F-
\l
4)(
chi
Mur
Pub
Che
( s)il
Mus
I ) Iæs bruits de la vie ( Sofrason ) Mus
l'tres2.(19 033 Gp 34r) : enfanti,^foures,
disques de cette collecrion
concerts, cabarets, applaudissements. D,au- Con
fournisient un .rs.*ùlà à;-6;;tËË;i;üsés : mer,
vent, pluie. orage, téléphone, basse-cour, machines, tdrp;;;;"gi";;,
loisirs, cloches. etc... bateaux,

'x\ 6)Mu
t
2)La série des "travelling orchestra" (Epervier 2l , av. M. Edmée, 77 chelles) Portsr
6 disques procurant des morceaux de RYTHMES divers et de thèmes divers : fête; La sér
foraines, casinos, ballets nautiques, camaval, etc... chaque morceau est minuté, son Atten
style est indiqué. La sér
Les cc

3) Musique pour maniprrla6ffi /,


Pour.ceux qui penseni que ch. Kuntz date un peu, on peut piocher chez les
Faux
Classiques.,
L_r4ùùrquç§, Jaçquc§ Lousiier : play
Jacques Lou§sler flay 5Bach 1,2,3, + .t S fd"".ài
Yvonne Blanc (piano seul) Mpf 5ô5 I
Saint Preux (légèrement guimauve et bien élevé) 7) Les i
Roger Bourdin (flûte et orgue) (Festival FLDX 4g0) Allez L
§oge-r Bourdin (tendre flûte) (MpF 5061) Paris-Li
The Baroque Connexion (AZ7OA 000). Éxcellent ! Hello D
A la manière de... (Mondiodis Mp 39) My fair
ou chez les lazzmen :
ScottJopplin's rags (Musidisc 30 CV 1330))
Dave Brubeck's Time in et Time out (CBS j'
Tous les-Claude Bolling (Philips)
Les folles années de Jerry Mengo (Mondiodis Mp 23)
Ce disque présente la particu6rité d'être entièrement chronométré à l,intérieur
de
chaque morceau : vous savez à la seconde près combien dure le .olo d. trombone.
la reprise du thème au vibraphone, etc. on gàgne un temps précieux.
Ou chez les sentimentaux :
Tribute to Charlie Chaplin (DECCA pFS 4246) 8) Disou
Violons sensations (Polydor 2664 143) Musiqüe
Ou les percussionnistes : La série ,

Pop Impression (Mondiodis MP II) Si vous


Percussions dans l'espace (Mondiodis Mp 42) "Magic-F

290
F}
-{-.î
Y-- '-r
@M6,
ItBf '$ïL;:,".î"i,ïïi",'üîï"musiquederonddans
cnt*'e Syrl.. u r.ho* (Mondiodis Mp 46)
2 Publrc.relation (Mon_diodis Up
tn-e_ss (Mondiodis Mp 62)
5) Musique de cenr€
lil
Musiques mécaiioues rsgngnigsle
Daphy Dy 69
|I^usicues
de.chevâur de bois tAZ- {+56iil"' "' 507)
rem::is D':- comme au cirque fu"iiol*:iiôv ii)ij
Éri.rise ! --- ::
!rTÊ-< :;:::.-r

h, '- /l::;:i
c* di:r: :]:::,
lqt r::-::. s:'i

i l*r=:rer.r lg
rdÊ [r:::,;n'e

8) Disques sffciaux
â,ho.,.u, (MpF
L,::1,:."9:,.{,-,1, ttvrrr 20I
iut ))
La série oes er..tiüiàT''ur
)r vous en connaiss", , j;l_.1:, .,
vente au magic castle...
l,
"Masic-Fratsrnl1;;;
;:,ï: ,,,",i:i:T.# iâi1vailles ; nous
"..:,:;;;i.;;ï "ï en ferons part à Ia

291
PLIAGE POUR LE BLENDO

ftFffiÉ,1"o§rlrrt
Le blendo qui va être décrit est une inrrrntion d'Alberto Sitta. C'est de loin le plus effectif des
blendos et cela pour plusieurs raisons : les 4 foulards sont montrés séparément et, de plus, trois
d'entre eux peuvent être utilisés dans d'autres routines... enfin la transformation se pase en l'air :
les 4 foulards ont été noués au bout d'une ficelle que l'on tourne comme une fronde... rien à
voir avec les pliaçs merdiques qui ne donnent jamais l'illusion de 4 vÉritables foulards...
En suivant les desins vous pourrez être tenté de fabriquer le blendo vous-même. Je ne vous le
conseille pas car ça vous reviendra plus cher que de l'acheter tout fait sans parler du travail... et
de ceux qui se plantent dans læ mesures.
Le pliage, par contre, m'appartient Bt c'est la raison pour laquelle ie le décris maintenant...
l) Repliez le côté AD sur CD (fig. I et 2)
2) En pasant les deux bras dans la poche, retoumez ælle-cijuqu'à mi-parcoun {E et F, fig.2 et 3)
3) Ce résultat est montré sur la fig.4. 0n note l'apparition du foulard contenu intérieurement
4) Retoumez encore une fois la poche sur la moitié (fig. 5)
5) Tirez un brin sur le foulard de façon à la dégager de la poche (fig. 6)
6) Enroulez la poche sur elle-même, de façon, qu'une fois le rouhau terminé, la petite ficelle æ
trouve au milieu, bien dans l'axe et non pæ sur le bord... comme le montre la fig. 7
7) Amenez la ficelle qui dépase du côté X sur le rouhau et juqu'au milieu de la longueur de
celui-ci (fig.8)
8) Maintenez avec un doigt et faites deux toun autours du rouleau (fig. 9)
9) Fixez l'ensemble en passant une boucle du cordonnet rous les deux lours (fig. 10)
l0) Retournez alors le foulard de façon qu'il emprisonne le paquet (fig.l I )
I 1) Aioutez les 3 autres foulards, nouez l'ensemble en haut avec un cordonnet comme en fig.l2 :
saisisez-vous de la petite ficelle qui dépase du bæ awc une main tandis que l'autre tient les
foulards par la pointe.
12) Cette main est lâchée et la main qui tient le cordonnet du dessous tire desus et donne des
secousses : l'ensemble ss rêtoume... et le blendo est apparu...

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DANS L' I Nou B L AB_LE §-E ! l§ : yappaklechournatdemarkkékridekonnries,
I

voici : LES GRANDS BIDES DE MAD.


Eh oui, les mecs, on s'est planté des fois, faut dire qu'on travaille souvent dans
il
des conditions difficiles...
Alors de temps en temps, certains d'entre vous nous écrivent : ,,J,ai esayé ça
ou Ça et ça ne marche pas... Alors nous, on relit notre prose... des fois'c'est
vous qu.i avez lu. trop vite, mais, d'autres fois, à peine si j,ôse ie dire, c,est nous
qu'on s'a gourré... Voici donc quelques rectificatifs, avâc nos ptus'praiàs.àsr-
kuses...
No7
Tous Maitres magiciens : 3 erreurs... rien que ça...

1)sur la fig. 1, la carte située sous le rabat de l'enveloppe n'est pas un g de


pique, mais un huit de tràfle.
2) une grave omission dans le montage : ll faut écrire au crâyon sur lesdeux
cartes de visite, le mot I de trèfle de la même façon et au Éême endroit de
façon que ces deux cartes puissent être prises i'une pour l'autre dans le
cours de la routine.
3) La sortie de la cartedel'enveloppe (fig.5et6) estmalexpliquée... llfaut:
a) dégager la carte de visite à moitié tirée de i'envetôppé'ôdur iâire tire ta
prédiction I Ce trèfle
b) garder. la carte en ma.in
.droite et dégaçr l'enveloppe
' ' vers la gauche, puis
. lever l'enveloppe verticalement avec i-e jeu (fig. 6)
c) faire basculer la carte de visite vers l'âvant,"également dans le plan ver-
. tical et de façon que le côté 6 de pique soit verivous.
d) rentrer verticalement la carte dâns'l'enveloppe, ce qui a pour but de la
retou rner. ..

N' 22: Par contre page f . il y a effectivement une erreur...


Le mot TOHDS est faux,
par contre avec les lettres on peut faire deux mots : soHT et Bors.
ll convient donc de les marquer de chaque côté du 6e carton et de rem-
placer l'indication sur l'enveloppe..

Jjerertni s esç, oe*.fittl


A.cۤ PEOX Cd'fl.S aot ottt
'« W{cettewærcotE
?'eç+nruê ett-ilui nto
Haac !

.J
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'r'J
lii
ru_,t
tl\
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l'-*
1.1
-l-;

r,
+:+
1.r,§
r.l
{-îi
t.r
).-'
J*.: /1
'{rr
Ça
{'r On a reçu :
d"l
Ji,T de Michd LAVOCAT, I rue du Lièwe, 521m Saint Dizier : une épaisse tr+
duction & Strs of Magic. Ne la cadrms pæ, c'est un boulot monurnantal :
++:
L:û 162 pagÉ traduiÈs et desinées.
*i,:r Lafdrrtkxt : elle ett inétls, ct krccat arotrs lui-même que plusierurs tra
r-Ër ducGrs sa sfrrt rcleÿ{6... C'est pr éùnnrrt vu le boulot...
-+- Dans hl sütdagEs gr.re lxxÉ *or fdts, il y a dos petiæ3 omissions, mais le
È:î
i.!â.
tÊxæ rG!ile tn$xrc corpdfion§bh.
Les dsssàrs : ils ssrt cdgrÉ sur hs pho'bc du lluru st comme cela arrive sou-
v€nt €n pruil cx, ils sont bien phs cleir qm hr pàobr. L'ensemble ect bien
sur un paué, on peut le décortiqur pr pstitr hÊ, ch+itrac pr c{rapitrec,
puiscpe c*rann d'ertie eux est con*é à un magicbn dif{ürent : Sydini,
Vernan, Scrne, Allerbn, D*ÿ, BrrE;r...
Le conEnu :
llest encore d'ætlCiü, sauf peut{aa pour ht crB qui ont cstrrtr ces dix
derniàes années una fuSrrrrU érrcluüon st |el incorrigibhs purists vous
diront qu'on part emplacr tallc pæa, ps Ul artü?, etc. sanr douta.,. mais,
comrrr€ diraat Hornecker, Y'a papétrellement des ieunes qui déàuün! des
nouveaux, des gens qui ne lisant pa l'angrlab... Alor: rcyons honnlÈt, même
quand on lit l'anglais, ça va quand mânre plus vib dale lireen frmçds... De
touê façdn, vqrs ne p(rurrez pæ le photocopicr à le posb pour le prix qu'il
en demande...
LE CLOSE-UP de Jims Pety (tome 3) : 40 pagg bbn ôcrites et illus#es de
BONNES photos, anssi clair* que des dessins. On y trouve un excellant jeu
arc+n+iel, un Huile et l'eau facile æ* ds cârbs doubh facc, Epsilon B 28,
un effet uülisant csrtÊs et dlumettal. "Squeeze p&ay revisied" danr lequel
le petit cylindre injustifiable cst remplâcé par un dô à iouer... et le verre de
plastigue pü un comet à dé, et pour termine una excsllenb rouüne de j+
tons, utilisant ccux guo vous aycz déjà attreüs à Lbhsrow...
L'ensemble est.agrÉôb à lire et vous assnnBra quelques bonnes soirés d'hiver.
De plus, on se{t que les routines décrites ne sont pas des vues de l'esprit, mais
sont prstiquéæ depuis longrtemps par l'ogÉraêur...
Jims Pely, boite postde 86 - 26102 Romans.
Enfin, nous lisons, depuis plusieun anrÉes, les excdlants articles de Jean de
Merry, sur la ventriloquie, lesquels paraissent dans le J de P. : ll y a Iongtemps
qu'on voulait Ie dire : c'est fait.

295
MI
La
€3t
dtr
On oa parlu 5 minutes sérieusement et on l)ous le promet, ce sert la demière fois
de l'année... L't
*MERCI de oos abonrentents. Le nombre des sousciptears augmente sdn§ cesse, Le
bien que nous ne fassions que peu de publicité. C'est.sigrte qu'au fil des années, de
queQues petites raùcanes s'èstompent çc et là... Tant rnieax...
tMicbel Hatte, contrdirement à ce que croient certains, ne prend aucun centime szr AR
les abonnements que ooas lui enaoyez. Il a sealcment lagentillessede s'occaper de La
l'expédition, car il est outillé pour 'On ça et pas rrous... ceu
L'abonrement 1980 e$ à 1Î0 F. a'oublié de le dire dans le dentier numéro de Mic
1979 et certains d'ente aous otrt reçu une Petite lettre poar lear demander les dix
fran c s su p p lé me n uire s. E x ca sez-n ou s ? our c e d é ran ge me r t.. . CAJ
*Nous aoons cbangé cette année la coalear de la reaae pour répondre à certaines
Din
sugestions et permettre une meilleare lisibilité. TR]
*Le
format A4 plié en deux sera maintenu pow plusieurs roisons : 130
1) Pérmettre qie les reaues attùtent moins fliées'et fioitts défraîcbies après leur pas'
chè
sage dans h fenæ d'ane boîtc à letfies...
Mar
2) Permet*e li reliure dans un format LIVRE.
3)Parce que ce format est dit point de oae renubilité te meillear : que oou-s-le
croyez oa noi, c'est le formaî de I'aoenir cat toutes les nouoelles macbines offset
a de
-qand
rendement nè déoassent Das ce format normalisé. Si aous imfrrimez sur
I fotirat doublc A4 oous toimbe, dàns l'offset taditioraelle, beaucoup plus coû-
'teuse.
| Si on laisse bs feuilles à pht, il faut auoir recoars à un procédé de reliure
I pat tlremotollage, plas cber qae l'agrafage.
*Impression. Nous sztons ænu à une impression de qaalité, aoec des tnaryes justi'
fieei à droite. Nous ne tapons donc pasà la macbine nous-mêmes, mais nous le foi-
sons faire à la composeuse.
Tout ceci est an cboir, et nous le maintiendrons.,.
*Nous ffiettons un poitrt d'bonneur à ne publier que du matéiel NEUF et
ç4 aa
moixs oite que de tràduire, ou de recopier des dessins. Bime
tNos mises en pages sont settées et souÿefit nous en mettoîts outattt sur 24 pages
9317'
que d'auffes sui §0... c'est an peu plus touffu à lire, mais nous ooulons garderun Gérar
èompromis qualité-quantité. Nous aimeions bien aussi ,tous permettre de gratdes Cogé
pagés de tities, aoeè des blancs qui reposent l'oeil, faire de grands dessias, des s9m'
Direc
mlires, etc. mak il nous faudrait alors passer au siencil pour garder la reaubiliü.
Nous ne le aoulons oas. on€st
Andü Robert a étè h premier à adopær ce style et il a sans doutc roison car, à ce Conse
que l'on socbe, sa retsuè se porte foi àlez. Nous ne Ie copbrons pas. Il a trouaé un 25 bd
nôte,le maicbé est adste et il y a placg'9 PouT
ityle, nous aaons le nôûe,
style, poay tout le monde. ABO}
foilà
Voilà pourquoi
oourouoi nous ne ne donnerons pas wite aux .anggestionl de cqux qui nous HAT"I
demondert de pdsser en stencils et d'adopter un système similahe ausien... OBLII
*Vous pouoez aoas ptocurer les ancbns numéros cber' HATTE. Sottt définitioe' numér
ment éfruisés le 1,le 2,le 5, & 6. REAI
O *Dans certains routines, nous nous sommes plantés... Il tt a des eûeurs ou des omis- Tolbia
sions, ce qui rend la routine difficilement 1àisable, aoirà incomprébensible. Le bon' Mad-!v
teux bénèfîce de cette année'oa nous p;rmettre de rééditer iles feuilles sépaÿes, CHAI\
eneun et que rtous pouiez insérer dans les numéros en question : ner de
i f;:";:i;s PARU
*Au programme cette année : un spécidl Fecbner, un spéciol Sydini, un §péciol sauf er
: tôus les trois feront date... plus toutes les ntbi'
Pbil Goldstein sur le mentalisme légal à.
ques et les conneries babitaelles... COPY
for
ao.a lo o. an
sont re

296
MAGIA MODERNA 23
La plus ancianne revue magique italicnrle. Dua à l'inhssable patience
d,Alberto sitta. ll
est plur fæile da ccnprendre_ r'rarien gue de re pg,rer
Abonnez-yous
cfiez A. §itta, via Lrne 160 - æZZ Botogü. "".r*i"i"nt.
t deniàre fois
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il des années, de Villoine, 9 l 120 Palaiseau

n centime szr ARCANE


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réalisee à la main par
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n suméro de Micher BALANDRAS. C.E.G. de Baç ta virre -01390'sacÈ]"-cHÂirr_.
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Directeuren<hef des expéditions et{esdiverses-paperasses
d;;ti;y:, i jot s p"rir,076.59.58
b taubüiæ administrativesaue-nousdeux-
onrst-trop-bordéliques-pour-les-faire : Michel nÀrre
, 8 *; d.;ô;;es, 75005 paris.
ùaû cai. a ce Conseiller rechnique pour laie-faures, laid-zorrheures
et rrit;;;il;;ns : Marc ALBERT,
Il t *auæ aa 25 bd de Sébastopol,7500l paris.
tt b monJt ABONNEMENTS : Exclusivem-ent rédigés au nom
de MADMAGIC et adressé à Micher
eta qur fiaut HATTE. PRIX pour 1980 : frs Il0,ir.n.. et étranger
vr". oBLIGATOIREMENT du ler janüer. p"* ,u numéro pour ll r-ei-Àonnemenrs parrent
prix des anciens
et de't,,rit'IIe- numéros : prohibitifs. on se procure les anciens numéros 80 : frs 25.
REALISATION : composition sur I.B.M. Maboule, par chez Hatte ou au siège social.
les petites dames de ra rue de
rot Jes omu- Iol91u-., imprimée par les baume-essieur de chez copy-rop, 26 bd Malesherbes, 7500g paris.
rjbte, Le ba,r- Mad-Magic est une revue imprimee. tourexemplaire
écrit à la main est un faux.
Jk æîaree; CHANGEMENT D'ADREs§E : ouàra plupaii des
cas à un manque de pratique : s,enrrai-
3'a clrreîlton ner de nouveau et joindre 24 timbres a iO irs.
PARUTION : Mad-Magic ouvre sa gueule à foi, pu,
ans, qu,on le lui demande ou non.
ü- r.n slecr.ri' sauf en cas de force r"li.ul. prévue-par la roi, ou-cuite
prolongée d;; ;éd;;;;îrî*;
rfrs ,les r:zl.,n-
§q{,à-pqution (ISSN 0397 -3204 ).
COPYRIGHT' Mad-Magrc est une revue entièrement copyright
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sont retournés à leurs auteurs_
mîuscnrs non enr.oyés

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Depuis longtemps, déjà, vous rêvez sournoisement de laire un hold-up ; pas de


braquer une banque, bien sûr, car ces gens-là ont trop I'habitude, parfois
même ils ripostent ou ils appellent les cognes.... Non, ce qu'il vous faudrait,
c'est un petit hold-up tranquille. pépère.... y'a bien sûr, les vieilles quand elles
vont toucher leur retraite à la poste ? mais, vaut-ce bien la peine ? Combien
ça touche une vieille ? Mille balles ? Quinze cents ? Finalement, ça court pas
vite, mais c'est quand même beaucoup de boulot pour pas grand chose.....
Non, ce qu'il vous faudrait, c'est braquer un commerçant..-. mals là, attention,
il faut agir avec discernement.... n'allez pas connemént braquer un bijoutier;
depuis le temps, ils ont appris à se défendre. Evitez également lei super-
marchés : la caisse est relevée toutes les trois heures....
Choisissez plutôt un commerçant prospère, qui n'a que des vendeuses, et
opérez pendant qu'il est parti bouffer....
Evidemment, pour plus de crédibilité, il vous faudrait un revolver, mais, d,au-
!r.e part, av_e1 _! gueule que vous avez, vous n'obtiendrez jamais le port
d'armes.... STOP.... Michel Hatte vient à votre secours une fois encore : il
vient de recevoir des petits revolvers "PAN" de close-up qui sont tellernent
réalistes qu'on les prend pour des vrais... seulement, lors du contrôle de police,
vous appuyez sur la gâchette, le foulard se déplie, on lit "BANG" et même les
flics à qui l'humour va comme des bretelles à un escargot, éclatent de rire...
On vous fait des excuses, on vous paie un pot et, pour peu que vous ayez le
sens du commerce, c'est vous qui cette année allez faire le gala de la poiice....
Et tout çâ pour 20 BALLES, car vous avez bien lu, ce superbe revolver ne
coûte que Vingt Francs.... Alors, profitezæn.... Un mardi, vers 6 heures,
achetez un revolver dans la confusion générale, puis, le samedi suivant, vers
l2 heures, reyenez avec un masque de Raymond Barre - ça n'étonnera per-
sonne puisqu'il en vend - puis, arrivé prês de la caisse, vous sortez le revoiver
en criant "Ollé-main c'est un holdeupe !!1". Vous braquez le pistolet sur la
caisse, vous faites reculer tout le monde et vous videz le tiroir-caisse....
Personne ne vous poursuivra. Les gens penseront seulement : '.tiens, Barre est
retourné au charbon....". Et comme lui fait ça de façon légale depuis plus de
cinq ans, vous partirez sans être inquiété. Vous pouvéz même louei defgardes
républicains pour mettre sur les trois marches (600 Frs pièce) et, commè vous
avez bien un pote qui est chauffeur de maitre, vous rentrez dans la limousine
tandis que les flics du commissariat en face arrêtent la circulation pour que
vous repartiez plus vite.....
Alors, souvenez-vous : i1 n'y a qu'un seul commerçant à paris assez barjo pour
vous vendre lui-même les outils qui serviront à le braquer :

fllIEL
DES
,RUE
D 7500§ <«»»

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