Mini Projet GSI-M1S2 (Yoro Boubou SIDIBE)

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Ministère


de l’Enseignement Supérieur et de
République du Mali
la Recherche Scientifique (MESRC)
Un peuple-Un but-Une foi
Ecole Nationale d’Ingénieurs
(ENI-ABT)

Mini projet de Transmission de


puissance :

THEME : Vérin différentiel

Cycle : Master Génie des Systèmes Industriels


Filière : Génie Mécanique et Energétique
Option : Mécanique 1ère Année
Année académique : 2019-2020
Professeur : Dr. Solomani COULIBALY

NOM PRENOM
SIDIBE Yoro Boubou
Sommaire :
1. Introduction :
2. Mise en situation du projet
3. La hauteur de levage
4. L’effort appliqué en M
5. Le moment du couple moteur M3
6. Les caractéristiques géométriques sur le pignon B
et les vérifications
6.1. Résistance à la rupture de la dent
6.2. Calcul des efforts (radial et tangentiel)
6.3. La contrainte de flexion en service
6.4. La contrainte de flexion admissible
6.5. Coefficient de sécurité totale
6.6. Résistance à la pression superficielle
6.7. Pression superficielle maximum en service
6.8. La pression superficielle admissible
6.9. Coefficient de sécurité totale
7. Contrainte maximale de torsion dans le carré
manœuvre
8. Le nombre de filet
9. La longueur de la clavette
10. Conclusion
Reference
11. Dessin d’ensemble
1. Introduction :

La présente invention concerne un vérin différentiel à disjoncteur


électrique, du type dans lequel la chambre annulaire du vérin,
définie par la surface intérieure du cylindre du vérin et par la
surface extérieure de la tige sortante du piston, est reliée en
permanence à une source de moteur électrique. La tige sortante
du vérin est attelée au contact mobile du disjoncteur. La première
manœuvre fait sortir la tige de piston et amène le disjoncteur en
position enclenchée ou fermée, tandis que la deuxième manœuvre
fait rentrer la tige dans le cylindre et amène le disjoncteur en
position déclenchée ou ouverte. La réalisation des vérins
différentiels, pour cette application, présente des difficultés
constructives, notamment du fait qu'ils doivent garantir une
étanchéité permanente et absolue, pendant de très longues
durées.

2- MISE EN SITUATION DU PROJET :


La chaîne cinématique du vérin différentiel est représenté sur la
figure ci-dessous. Il comprend essentiellement un système vis-écrou
commandé pour le double engrenage A/C et B/3. Sur l’arbre moteur
6, en acier C35 ; sont taillés les pignons A ET B. La roue C est solidaire
du Foureau écrou 4en acier E295. La roue 3, en acier C35 est
rapporté sur la vis 5, en C35. Les efforts axiaux communiqués par la
charge, à la tête 9 de la vis 5, sont encaissé par les butées à billes 8 et
2 de manière à réduire les pertes d’énergie par frottement. Les divers
guidages en rotation se feront par coussinet en bronze. La semelle 1
est en acier E295 et le carter 7 en fonte EN-GJL-250.On envisage une
lubrification sommaire à la graisse. L’entrainement en rotation de
l’arbre moteur 6, terminé par un carré de manœuvre, se fait au
moyen d’un levier muni d’un système rochet-cliquet qui permet
l’entrainement de 6 par fraction de tour, aussi bien à la montée qu’à
la descente et cela par simple retournement de ce levier de
manœuvre.

3. La hauteur de levage de la charge Q


correspondant à une rotation d’un tour de
l’arbre moteur 6.

Soit H le calcul de hauteur de levage.


H=h2−h1 avec h2= p ×n 3 et h1= p ×n c
⇒ H =p ( n3−n c )
ZA nC
Le rapport de réduction entre A/C donne : i A /C = Z =
nA
C
Z n
Le rapport de réduction entre B/3 donne : i B /3 = B = 3
Z3 n B
On trouve :
ZA ZB
⇒ n C =n A et n3=n B
ZC Z3
ZB ZA
Et par suite, ⇒ H =p n B ( Z3
−n A
ZC )
Application numérique :
Z A =18 ; Z B=20 ; Z C =32; Z 3=30 ; n A =n B=1 et P=12
⇒ H =1,25 mm
4. Détermination de l’effort F appliqué en M sur le
levier :
Par définition, C=F × L
Or le couple appliqué sur l’arbre est le même que sur les
pignons, donc C=C B.
On sait aussi que :
C B Z B ω vis P vis
= = et ηg = ∨P vis =C vis × ω vis et PB =C B × ω B
CVis Z Vis ω B PB
C vis ω vis C vis Z B
⇒ CB= × = ×
ηg ω B η g Z Vis

Calcul du couple sur la vis : C vis


Nous allons considérer deux cas : La montée et la descente.
 Montée :
C Vis=Fa × R m × tan ⁡(α + φ' )
p
tan ( α )=
π Dm
p 12
D m =D n− =48− =42mm
2 2
12
tan ( α )= =0,090946
π 42
α =tan−1 ( 0,090946 )=5,1965 °
f
tan ( φ' )=
cos ⁡(β)
β=12 °
f 0,12
[
φ ' =tan −1
]
cos ⁡(β)
3
[
=tan −1
]
cos ⁡( 12)
=6,9941

C Vis=50.10 × 21× tan ( 5,1965+6,9941 )=226837,73 N mm


C Vis=226,84 N m
Par suite,
C vis Z B 226,84 ×20
C B= × = =189,033 N m
ηg ZVis 30 ×0,80
C B 189,033
⇒ C B =F × L ⟺ F= = =378,067 N
L 0,5
⇒ F=378,067 N

 Descente :
C Vis =Fa × R m × tan ⁡(φ' −α )
C Vis =50.103 × 21× tan ( 6,9941−5,1965 ) =32953,55 N mm
C Vis =32,954 N m
C vis Z B 32,954 ×20
C B= × = =27,46 N m
ηg ZVis 30 ×0,80
C B 27,46
⇒ C B =F × L ⟺ F= = =54,92 N
L 0,5
⇒ F=54,92 N
On constate que l’effort nécessaire pour faire monter la
charge est nettement supérieur à celui pour faire descendre la
charge, d’où la nécessité de choisir le plus grand couple des
deux, pour continuer les calculs. C’est-à-dire que nous allons
considérer le cas le plus défavorable.
5. Calcul du moment du couple moteur M3
exercé par la roue 3 sur la vis 5
C Vis=226,84 N m

Déduisons la valeur de la contrainte maximale de compression de


torsion dans le noyau de la vis
σ éq= √σ 2x +3 τ 2

4 Fa 16 CVis
σ= 2
et τ=
πd 3 π d33

Application numérique :
d 3=D n−P−2 a

a=0,5 mm
d 3=48−12−2× 0,5=35 mm

4 ×50.10 3
σ= 2
=51,97 MPa
π (35)
16 C Vis 16 × 226840
τ= 3
= =26,95 MPa
πd 3 π ×(35)3

σ éq= √(51,97)2 +3 ×(26,95)2=69,86 MPa

⇒ σ éq=69,86 MPa

6. Les caractéristiques géométriques sur le pignon


B et vérifions la résistance de la dent et le
coefficient de sécurité.
Hypothèses :
Nous allons nous placer dans le cas des dentures droites.
De plus, nous allons considérer le cas où les dentures sont
déportées, dans le but de :
 Conserver l’entraxe imposé ;
 Améliorer la résistance à la rupture de la dent ;
 Equilibrer les glissements spécifiques ;
 Optimiser le rapport de conduite
 Dans tout ce qui va précède j’utiliserai le document sur des
engrenage de Dr. S. Coulibaly.
Vérifions que le choix des dentures a été bien fait en
calculant β .
En supposant que nous avons une denture hélicoïdale,
Z 3+ Z B m 0 Z +Z m
a= ( 2 )
cos ( β )
⇒ cos ( β )= 3 B 0
2 a ( )
⇒ cos ( β ) = ( 30+20
2 ) 4
100
⇒ cos ( β ) =1⇒ β=0

Or pour une denture hélicoïdale, on 15 ° ≤ β ≤ 30 et pour une


denture droite β=0.
Calcul des coefficients de déport
Sachant que on a un engrenage extérieur à denture droite
déportée :
Z B +Z 3
x 1+ x2= [ inv ( α ' ) −inv ( α ) ] ( 2 tan ( 20 ° ) )
Avec :
inv ( α ' )=inv ( 22,45 ° )=0,021514

inv ( α )=inv ( 20 ° )=0,014904

Z B=20 et Z 3=30

⇒ x 1 + x 2=0,45(1)

Selon ISO
Z 3−Z B ZB
x 1=0,6 ( Z 3 +Z B )
+( x1 + x 2)
Z 3 +Z B

x 1=0,6 ( 30−20
30+ 20 ) +( x + x )1
20
30+20 2

x 1=0,12+ ( x 1 + x 2) 0,4 ⟹ 0,6 x 1−0,4 x 2=0,12(2)

Formons un système d’équation avec (1) et (2) :


x 1+ x 2=0 , 45 ⇒ x 2=0,45−x 1
⇒ x 2=0,15
{ {
0,6 x1 −0,4 x 2=0,12 0,6 x 1−0 , 4(0,45−x 1)=0,12 x 1=0,3 {
Le tableau ci-dessous résume les caractéristiques géométriques

Caractéristiques Symboles Formules ou observations


Angle de Z3 =30 Z B=20
pression α0
20°
normalisé
Angle de
pression de α' 22,45°
fonctionnement
Module m0 4 mm
normalisé
Module de
m' 4,07 mm
fonctionnement
Pas au primitif P 12,57 mm
Pas de base pb 11,81 mm
Entraxe de
a' 101,67 mm
fonctionnement
Diamètre di 120 mm 80 mm
primitif
Diamètre
primitif de d 'i 122,1 mm 81,4 mm
fonctionnement
Diamètre de d ai 130,14mm 88,94 mm
tête
Diamètre de d fi 112,4mm 71,2 mm
pied
Diamètre de d bi 112,76 mm 75,18 mm
base
Saillie de h ai 5,07 mm 4,47 mm
fonctionnement
Creux de de h fi 3,8 mm 4,4 mm
fonctionnement
Hauteur H 8,87 mm
Angle de αa 29,95° 32,30°
pression de tête
Epaisseur
curviligne au si 7,1567 mm 6,7199 mm
primitif
Epaisseur
curviligne au s 'i 6,6749 mm 6,2994 mm
primitif de
fonctionnement
Epaisseur
curviligne au sai 2,7436 mm 2,7101 mm
cercle de tête
Epaisseur
curviligne au sbi 8,4055 mm 7,4355 mm
cercle de base
Déport de Δ 0,12 0,6
denture
Rapport de
conduite partiel εi 0,7782 0,6970
de retraite
Rapport de εα 1,4752
conduite total
Longueur
partielle de ga 9,1905 mm 8,2357 mm
retraite
Longueur totale gα 17,4262 mm
de conduite
Arc de conduite gt 18,5446 mm
6.1. Résistance à la rupture de la dent :
Engrenage extérieur à denture droite déportée :
Pignon B :
Nombre de dents Z B=20

Acier de cémentation
C vis Z B 226,84 ×20
C B= × = =189,033 N m
ηg ZVis 30 ×0,80
Calcul de la vitesse :
On sait que C=np avec C :la course et n :nombre de tours et P :≤ pas
C 120
⇒ n= = =10 ⇒ n=10
P 12

Or θ=ωt ⇒ 2 π n=ωt ⇔ 2 π n=2 πNt ⇒n=Nt


Pour t=1 min ⇒ n=N ⇒ N=10 tr /min donc N 3=10 tr /min
N3 Z B Z B 30
On sait aussi que : = ⇒ N B=N 3 × = ×10 ⇒ N B =15 tr/min
N B Z3 Z 3 20

' ' π NB ' d'B ' π N B d ' B π ×15 81,4 10−3


et R B= ⇒ V =
−1
V =ω R B avec ω= × = × =0,06 m s
30 2 30 2 30 2

Donc V ' =0,06 m s−1

6.2. Calcul des efforts


Effort tangentiel :
' CB 2C B 2× 189,033 '
F T= '
= '
= −3
=4644,55 N ⇒ F T =4644,55 N
RB dB 81,4 10

Effort radial :
F ' R=F ' T tan α ' =4644,55 tan 22,45 °=1919,08 N ⇒ F' R=1919,08 N

Effort sur la dent


F ' =√ F ' T 2 + F' R2=5025,41 N ⇒ F ' =5025,41 N

6.3 Calcul des contraintes :


6.4 La contrainte nominale de flexion :
F 'T
σ FO= Y ε Y FA Y SA Y β
b m'

F 'T =5025,41 N

b=m× k =4 × 8=32 mm

m' =4,07 mm
0,75 0,75
Y ε =0,25+ =0,25+ =0,76
εα 1,4752

Y FA Y SA=4,68( Annexe 1avec Z B=20 et x2 =0,15)

Y β=1

σ FO=137,24 MPa

1.5. La contrainte de flexion en service :


σ F =σ FO K A K V K Fα K Fβ

σ FO=137,24 MPa

K A =1

V Z1
K V =1,01(fig 11 avec =0,012; qualité ISO 7)
100
K Fα =1

K Fβ =1,15+0,18 Ψ 2d + 0,3 10−3 b

Choix de Ψ d :
(Annexe 5)
σ Flim=470 N /mm2 ⇒ HB=250 MPa⇒ HB<350 MPa

Position de la Roue :
Entre appui,
Non symétrique (console) : classe de pression 7-8
Ψ d =0,5

K Fβ=1,2

σ F =166,33 MPa

1.6. La contrainte de flexion admissible :


σ Flim
σ FP= Y Y Y Y Y
S Fmin NT ST δ relT R relT X

σ Flim=470 N /mm2

S Fmin=1,5
Y NT =1(figure 12 , N L =107 )

Y ST =2,10

Y δ rel T =1

Y R relT =1

Y X =1(figure 12 avec m' =4,07 mm)

σ FP=658 MPa

La condition de résistance à la flexion est : σ F < σ FP

Le coefficient de sécurité total :


σ FP
S F= × S Fmin
σF
σ FP=658 MPa

σ F =166,33 MPa

S Fmin=1,5

S F=5,93

S F > S Fmin donc les dents vont tenir à la flexion .

1.7. Résistance à la pression superficielle :


σ Hlim =1480 N /mm2

6.8 La pression superficielle de base :


F ' T U +1
σ HO=Z H Z E Z ε Z β
√ b d'B
×
U

2 2
ZH=
√ sinα ' × cosα '
=

sin ⁡(22,45 ° )× cos ⁡( 22,45° )
=1,38

E1 E2

Z E = 0,35
E1 + E2
avec E1=E 2=210 000 MPa

⇒ Z E =191,70 √ MPa

4−ε α 4−1,4752
Z ε=
√ 3
=
√ 3
=0,92

Z β =1(denture droite)
Z3 30
U= = =1,5 et d ' B =81,4 mm ; F 'T =4644,55 N ;
Z B 20
b=32 mm

σ Hlim =1480 N /mm2 ≥ 1200 N /mm ²

Alors pour le calcul on prend : σ Hlim =1480 N /mm2

σ HO=419,56 MPa

6.9 La pression superficielle maximum en service :


σ H =σ HO √ K A K V K Hα K Fβ
σ HO=419,56 MPa

K A =1

K V =1,01

K Fα =1

K Fβ=1,27

σ H =475,18 MPa

6.10 La pression superficielle admissible :


σ Hlim
σ HP= Z Z Z Z Z Z
S Hmin NT V L R W x

Z NT =1( N L =107 ; Acier de cémentation)

Z x =1(m ' =4,6 ; Acier de cémentation)

4(1−C ZL)
Z L =C ZL+
1,34 2
( 1,2+
)
ν 40

σ Hlim −850
C ZL=0,83+ × 0,08
350
σ Hlim >1200 MPa ⇒σ Hlim =1200 MPa

⇒ C ZL=0,91

Lubrifiant Huile ISO VG 68 donc ν 40=68


⇒ Z L =0,946

2(1−C ZV )
ZV =C ZV +
√ 0,8+32/V '
V ' =0,06 m s−1

σ Hlim−850
C ZV =0,85+ ×0,08 avec σ Hlim =1200 MPa ⇒C ZV =0,93
350
⇒ Z V =0,9361

C ZR
3
Z R=( )
R Z 100
1000−σ Hlim
C ZR =0,12+ avec σ Hlim =1200 MPa⇒ C ZR=0,08
5000

100
R Z100 =3(R a 1+ R a 2) 3
√ a'
Ra 1=0,8 μ m et Ra 2=0,12 μm

a ' =101,67 mm

⇒ R Z 100=2,7445 μm

⇒ Z R =1,00715

S Hmin=1,1

σ Flim=470 MPa ⇒ HB=250 MPa donc 130 ≤ HB ≤ 470 alors Z w =1

⇒ σ HP =972,96 MPa

La condition de résistance à la pression superficielle


σ H <σ HP

Le coefficient de sécurité total SH en pression superficielle :


σ HP
SH= × S Hmin =2,25⇒ S H =2,25
σH

7. Calculons la contrainte maximale de torsion


dans le carré manœuvre
Soit a la mesure de la longueur d’un côté du carré.
Par définition :
a
Mt × 4
max
2 a
τ max= avec I 0=
I0 6
Application numérique :
M t =F × L=378,067 ×500=189033,5 N mm
max

a
Mt ×
2 3× Mt
max
3 ×189033,5
τ max= 4
= 3
= max
=46,61 MPa
a a (23)3
6
⇒ τ max=46,61 MPa

8. Calculons le nombre de filet :


La condition de résistance impose que :
2 Fa
P= ≤ Padm
π d m pn
2 Fa 2 ×50.103
n≥ = =5,26
π d m p Padm π × 42× 12× 12
n=6
Application numérique :
2× 50.103
n≥ ⇒ n ≥5,26
π × 42×12 ×12
donc n=6
Déduisons la longueur du taraudage à effectuer sur l’écrou
Soit L la longueur du taraudage
L=np=12 ×6=72 mm
⇒ L=72mm

9. Calcul de la longueur de la clavette


Soit L1 la longueur de la clavette
Le tableau des dimensions des clavettes normalisées nous donne :
d=40 mm ; a=12mm ; b=8 mm ; j=d−5 ; k =d +3,3

La condition de résistance impose que :

V 2 Mt
L1 ≤ Padm mat et V =
b d
2
4 Mt
L1 ≥ avec M t =C vis
b d P admmat
Padm mat =600 bars=60 N /mm 2;
4 × 226840
L1 ≥ =23,63⟹ L1=30 mm
8 ×40 × 60
10- Conclusion :

Ce mini projet m’a permis à la fois de me rendre compte


comment on peut facilement oublier les notions bien assimilées
sans les avoir mis en pratique quotidiennement et à réviser les
modules de l’engrenage et le logiciel AutoCad.
Il a été très bénéfique pour moi car en premier lieu ça m’a
permis de conscientiser le degré auquel l’esprit humain peut
facilement oublier les notions élémentaires surtout dans le
domaine scientifique et en second lieu ça m’a d’être un
autodidacte.
10. Dessin d’ensemble

Référence :
 Engrenages : Etude géométrique et cinématique
Dr. Solomani. Coulibaly ENI-ABT MC

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