Les Techniques D Assurance II
Les Techniques D Assurance II
Les Techniques D Assurance II
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CHAPITRE I : Aperçu général sur l’assurance
A/ Définition
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risque, une prestation par une autre partie, l'assureur, qui
prenant en charge un ensemble de risques, les compense
conformément aux lois de la statistique ".
• être futur ;
• être aléatoire et incertain dans sa survenance ou dans sa
date (Assurance Vie)
• être indépendant de la volonté de l'assuré.
B/ L’historique
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Section II : La classification des assurances
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demandées doivent être suffisantes pour couvrir les sinistres et
.les autres charges survenues dans le même exercice
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Les assurances obligatoires dérogent au principe de la liberté
contractuelle qui procède de l'autonomie de la volonté. Elles
justifient le souci du législateur de protéger l'intérêt général,
elles sont rendues obligatoires pour donner aux assurés et aux
tiers les débiteurs solvables
C'est après l'Indépendance que l'assurance connut une grande évolution tant au
niveau de la réglementation et du contrôle qu'au niveau de l'organisation du
marché.
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profondes mutations et se trouve ainsi confronté à de grands et
importants défis (libéralisation, concentration, assurance
maladie obligatoire, bancassurance...) qui vont certainement
affecter le processus de sa croissance, des défis qui une fois
relevés, le secteur sortira certainement plus solide et plus apte
à mener à bien sa principale mission, qui est celle de permettre
à l'économie marocaine à mieux s'adapter aux exigences
internationale.
o L’assureur
o L’assuré
o La prime
o Le bénéficiaire
o Le souscripteur
o L’indemnité d’assurance
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o Le sinistre
o Le risque
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l’entreprise. La vulnérabilité est identifiée par les 3
paramètres : l’objet du risque, ses causes et ses conséquences,
son impact potentiel. C’est donc un concept plus englobant que
celui de criticité.
o La prime
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pour laquelle, les assureurs proposent des primes d’assurances
différentes, puisqu’ils n’ont pas le même historique, la même
expérience, la même base de clientèle. Ils évaluent donc
différemment les risques.
Un assureur qui veut attirer les jeunes peut accepter une marge
négative sur cette population. En revanche, sur les personnes
plus âgées, qui ont moins tendance à réaliser, il peut décider
d’avoir une marge plus forte.
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En fin, la marge, contrairement à ce que l’on pourrait penser,
cette partie n’est pas forcément en hausse. Certain assureurs
peuvent accepter de gagner moins d(argent voir d’en perdre
pour recruter de nouveaux assurés.
o La prestation
La prestation sociale
La prestation compensatoire
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La prestation compensatoire est une somme d’argent versée
après le divorce, à l’un des conjoints pour compenser la
différence de niveau de vie qui va se créer entre les époux.
o La mutualisation de risque
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En fait, ce qui pose problème, c'est très rapidement
l'homogénéité. Dans la démonstration supra, l'hypothèse était
qu'on avait espérances et variances identiques. Le problème,
c'est que deux conducteurs donnés n'ont pas vraiment le même
profil de risque : même si vous n'êtes pas capables de
quantifier le risque, vous vous doutez quand même un peu
qu'un jeune homme sans grande expérience routière et ayant
investi ses premiers salaires dans l'achat d'une 205 GTI rouge a
une plus grande probabilité d'avoir un accident dans l'année
qu'une mère de famille infirmière (par exemple) conduisant une
volvo familiale.
L'objet d'une entreprise d'assurance ne peut se limiter aux seuls rapports qui
naissent entre l'assureur et l'assuré ; car alors le contrat d'assurance se réduirait à
un simple contrat de jeu ou de pari.
L'assurance n'a pas pour objet de couvrir un risque isolé, elle implique
nécessairement le groupement de personnes qui, mettant en commun les risques
susceptibles de les atteindre, décident de contribuer toutes au règlement des
sinistres, ce règlement étant opéré à l'aide des cotisations versées par elles
toutes. C'est cette mutualité qui permet d'éliminer le hasard et de créer la
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sécurité. Grâce à elle, le risque est neutralisé, reparti d'une façon insensible entre
les adhérents : il est dilué, pulvérisé de telle sorte que les coups du sort sont
conjurés ; les conséquences du hasard sont mises en commun et fractionnées, au
point que la charge est pratiquement insignifiante pour chacun en comparaison
de l'importance du risque.
Les bons risques, par contre, sont ceux dont la fréquence est
faible.
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La réduction de l'aléa et l'évaluation des risques
- La prévention :
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La division des risques
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L’assurance joue un rôle économique extrêmement
important, aussi bien envers les ménages – assurance
d’un emprunt pour l’acquisition d’un logement,
indemnisation des accidentés de la route, prévoyance-
retraite – qu’envers les professionnels et les entreprises
– assurance de pertes d’exploitation en cas d'incendie
ou de catastrophe naturelle, permettant de faire
redémarrer l’entreprise sinistrée…
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Définition…………………………………………………………02
L’historique………………………………………………………03
Section II : La classification de
l’assurance…………………………….04
les assurances de dommages et les assurances de
personnes………..04
les assurances de répartition et les assurances de
capitalisation……04
Les assurances sociales et les assurances
ordinaires…………………………05
Les assurances facultative et les assurances
obligatoires……………05
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La réduction de l'aléa et l'évaluation des
risques……………….14
La division des risques……………………………………………
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CONCLUSION…………………………………………………………….15
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