Le Facilitateur PD Correction 1
Le Facilitateur PD Correction 1
Le Facilitateur PD Correction 1
SVTEEHB
ère
1 D
NOUVEAU PROGRAMME
CONFORME A L’APC
Corrigés détaillés et
commentés de toutes les
épreuves d’intégration
Collection Le Facilitateur
COLLECTION LE FACILITATEUR SVTEEHB PD
277
COLLECTION LE FACILITATEUR SVTEEHB PD
278
COLLECTION LE FACILITATEUR SVTEEHB PD
EXERCICE 4
1) Représentation graphique de l’histogramme (voir figure ci-contre).
NB : dans le tableau de l’exercice, au lieu de 500 à la 3e colonne, il
s’agissait de 5000.
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Pour observer une cellule animale, il suffit de placer une goutte de sang ou des cellules de la muqueuse buccale
(prélevées en grattant la face interne de la joue) sur une lame porte objet. Après coloration avec du bleu de méthylène,
la préparation est recouverte par une lamelle et on peut ensuite passer à l’observation au microscope.
3)
FIGURE A FIGURE B
A Paroi squelettique A Mitochondrie
B Vacuole B Appareil de golgi, (dictyosome)
C Noyau, nucléoplasme C Membrane nucléaire
D Nucléole D Nucléole
E Cytoplasme E Nucléoplasme
F Chloroplaste F Membrane plasmique
G Cytoplasme
4) a) L’organite C (noyau) est le siège du programme génétique. L’organite f (chloroplaste) est le siège de la
photosynthèse.
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M1 = 1ère mitose
M2 = 2e mitose
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Consigne 2 Organisation des Chacune des barres correspond aux allèles (formes de gènes) portées par chaque
informations, individu. Lorsque ces allées se situent au même niveau de migration (barres
argumentation, situées sur la même ligne horizontale, alors les individus testés ont les mêmes
Créativité. allèles et seraient donc apparentés.
Consigne 3 Argumentation à L’analyse de ces résultats montre que tous les allèles présents chez l’enfant sont
partir des résultats présents chez monsieur 1, alors que certains allèles de l’enfant ne se retrouvent
expérimentaux pas chez monsieur 2. On peut donc conclure que celui qui est le père de cet enfant
est le Monsieur 1.
SITUATION-PROBLEME CONTEXTUALISEE 2 :
Compétence ciblée Sensibiliser sur la nécessité de la mitose pour le maintien de l’identité biologique
des organismes.
Consignes Les capacités à Les indicateurs de réussite
évaluer en situation
Consigne 1 Argumentation et En observant le caryotype de votre fœtus, nous constatons qu’il est atteint d’une
organisation des trisomie 21, car à la 21e paire il a 3 chromosomes au lieu de 2.
informations Sachant que le développement se fait à partir des mitoses de la cellule œuf, on
peut admettre que toutes les cellules de l’organisme aient la même information
génétique, car la mitose conserve l’information dans toutes les cellules filles.
Votre fœtus est de sexe masculin, car sur son caryotype, on observe les
chromosomes X et Y.
Consigne 2 Communication à Représenter la mitose en utilisant les paires N° 21 et N° 23. On aura ainsi une
l’aide de schéma, cellule mère de départ ayant 5 chromosomes (3 + 2 = 5). Les cellules filles
issues des 4 étapes de la mitose auront chacune 5 chromosomes.
Consigne 3 Développer des Non, car toutes les cellules de l’individu présentent l’anomalie. Un éventuel
arguments traitement impliquerait de modifier l’information génétique dans toutes les
cellules, ce qui est impossible.
Consigne 4 Sensibiliser, informer Présenter des schémas qui illustrent le comportement des chromosomes au
à partir des schémas cours de la duplication (passage d’une chromatide à deux chromatides), puis
montrer la séparation des deux chromatides du chromosome pendant la mitose
pour donner à nouveau des chromosomes à une chromatide.
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Le renouvellement moléculaire
et le code génétique
I - EVALUATION DES RESSOURCES
Partie A : Questions à Choix Multiple (QCM)
Questions 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14
Réponses d a a a, c b a c b d c b c a c
15) 1-e, 2-b, 3-d, 4-c, 5-a
Partie B : Questions à Réponses Ouvertes (QR
1) Définitions :
Renouvellement moléculaire : C’est le remplacement des molécules par des molécules nouvelles identiques au sein des
cellules au des organismes.
Epissage : c’est un mécanisme de maturation du pré-ARNm issu de la transcription, permettant à ce dernier de se
débarrasser de séquences non-codantes (les introns), pour donner un ARN messager mature.
Transcription : C’est un mécanisme biologique permettant la synthèse d'une molécule d’ARNm à partir d'une molécule
d’ADN complémentaire, grâce à une enzyme qui est l’ARN polymérase.
Traduction : c’est un processus permettant la synthèse d'une chaîne polypeptidique (protéine) à partir de l’information
contenue dans la molécule d’ARN messager (ARNm).
Code génétique : l'ensemble des correspondances qui existent entre les séquences de trois nucléotides de l’ARNm
(codons) et les acides aminés constitutifs des protéines.
Gène : C’est une portion d'ADN contenant la totalité de l'information génétique nécessaire à la fabrication d'une protéine.
Allèle : Ce sont les différentes formes que peut prendre un gène dans une population.
Exon : Séquence codante du gène qui sera transcrite puis traduite en chaine polypeptidique.
Intron : Séquence non codante du gène, qui sera transcrite puis exciser au moment de l’épissage.
Codon : c’est une séquence de trois nucléotides successifs dans une molécule d'ARN, qui code pour l'un des vingt acides
aminés entrant dans la composition des protéines ou qui sert de signal de mise en route ou d'arrêt de la production
Polysome (ou polyribosome) : c’est un ensemble de ribosomes reliés entre eux par un ARN messager.
Exocytose : c’est le processus au cours duquel les substances contenues dans le cytoplasme d'une cellule sont enveloppées
par la membrane de cette cellule, pour être ensuite rejetées vers l'extérieur
2)
Les oses : Les pentoses ; exemple le ribose (C5H10O5) et le désoxyribose (C5H10O4).
Les hexoses ; exemple : le glucose, le fructose et le galactose, tous de formule chimique C6H12O6.
Les diosides ou diholosides ; exemple : lactose, maltose et saccharose, tous de formule chimique C12H22O11.
Les polyosides ; exemple : l’amidon, le glycogène, la cellulose, tous de formule chimique brute (C6H10O5)n.
3) Les monomères constituant les protéines sont les acides aminés.
4) Les molécules du renouvellement moléculaire ont deux origines : elles proviennent d’une part de l’alimentation et
d’autre part elles proviennent du remaniement (recyclage) des molécules déjà présentes dans l’organisme.
5) La réaction de Biuret : dans un tube à essai contenant des protides (au moins un dipeptide), on introduit du sulfate
de cuivre (CuSO4) et de la soude (NaOH). Comme résultat, on observe une coloration violette.
6) La réaction caractéristique des sucres réducteurs est la réaction à la liqueur de Fehling à chaud. Dans un tube à
essai renfermant une solution de sucre réducteur, on introduit de la liqueur de Fehling. Après chauffage, on obtient
un précipité rouge brique.
7) a) La transcription et la traduction.
b) La transcription se déroule dans le noyau, alors que la traduction à lieu dans le cytoplasme.
8)
Point de comparaison ADN ARN
Structure Bicaténaire (double brin) Monocaténaire (monobrin)
Composition chimique Acide phosphorique, Désoxyribose Acide phosphorique, Ribose
Bases azotés puriques (A et G) ; Bases azotés puriques (A et G) ;
Bases azotés pyrimidiques (T et C) Bases azotés pyrimidiques (U et C) ;
Localisation Noyau Cytoplasme et noyau
Rôle Support de l’information génétique Expression de l’information génétique
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2) En faisant une transcription inverse, retrouvons la séquence des deux brins du gène qui est à l’origine de cet ARNm.
EXERCICE 2 :
1) On veut démontrer que les ARNm sont les vecteurs des informations génétiques qui permettent la synthèse des
protéines dans le cytoplasme.
Hypothèse : les ARNm issus des érythroblastes de lapin permettent la synthèse de l’hémoglobine dans le cytoplasme
des cellules œuf de xénope.
2) Après injection des ARNm d’érythroblastes de lapin dans les cellules œuf de xénope, on observe trois factions
protéiques différentes : deux d’entre elles correspondent aux protéines A et B naturellement fabriquées par les œufs
s de xénope, la troisième faction est identique à celle de l’hémoglobine identifiée dans les érythroblastes de lapin.
Oui ces résultats sont en accord avec notre hypothèse précédant. On peut en conclure que les ARN messager
d’érythroblastes ont permis la synthèse d’hémoglobine dans le cytoplasme des œufs de xénopes. Un ARN messager
est donc un messager qui transfère son information dans le cytoplasme où il est utilisé pour fabriquer une protéine
déterminée.
3) Les cellules de xénope ont pu traduire les ARNm de lapin puisqu’il y a eu synthèse d’hémoglobine de lapin. Les
molécules cytoplasmiques responsables de la traduction fonctionnent donc de la même façon dans une cellule de
xénope ou dans une cellule de lapin. Le code génétique est de même pour tous les êtres vivants, il est donc universel.
4) Il suffira ici d’utiliser le code génétique pour retrouver une séquence nucléotidique possible de l’ARNm qui serait à
l’origine de cette chaîne d’acides aminés. À partir de cet ARNm, on pourra remonter jusqu’au gène par une
transcription inverse.
Chaine polypeptidique
ARNm
ADN (gène)
EXERCICE 3 :
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EXERCICE 3:
Savoir-faire et/ou être Réaliser une maquette du mécanisme de la transcription de l’ADN en ARNm ;
1) Pour écrire la séquence des acides aminés de ces protéines, il faudrait réaliser la transcription et la traduction.
NB : ici, seul le brin codant nous a été donné. Ainsi pour la transcription Il faudra tout simplement remplacer la
thymine par l’uracile afin d’obtenir l’ARNm.
2) Ces deux portions de gènes comportent un seul triple de nucléotide en commun (4 e position), alors que les deux
chaînes polypeptidiques comportent 5 acides aminés en commun et en même position.
3) La propriété ainsi mise en évidence et la redondance du code génétique, car plusieurs codons différents déterminent
le même acide aminé.
4) a) Dans le noyau, la radioactivité est nulle tout au long de l’expérience ;
285
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Dans le cytoplasme, la radioactivité est tout d’abord constante de 3 à 15 min, puis croit rapidement jusqu’à atteindre
un maximum de 2,75 UA à la 25e minute. Cette radioactivité chutte par la suite jusqu’à s’annuler à la 60e minute.
Dans la lumière de l’acinus, la radioactivité apparaît à la 15e minute et croit rapidement jusqu’à atteindre un
maximum de 4 UA à la 45e minute. Elle chute par la suite.
b) ainsi, l’incorporation de la radioactivité se fait au niveau du cytoplasme.
c) La caséine est synthétisée dans le cytoplasme par l’incorporation des acides aminés ; elle est ensuite déversée
hors de la cellule dans la lumière des acini, puis conduite jusqu’aux canaux galactophores.
EXERCICE 4 :
Savoir-faire et/ou être Réaliser une maquette du mécanisme de la transcription de l’ADN en ARNm ;
4) Le code génétique est non ambigu, car un codon ne peut coder qu'un seul acide aminé bien précis parmi les vingt
qui existent.
5) Le code génétique est redondant, car plusieurs codons différents peuvent désigner un même acide aminé.
EXERCICE 5 :
Savoir-faire et/ou être Déterminer l’origine des précurseurs servant au renouvellement moléculaire
1) Les acides aminés utilisés lors du renouvellement des protéines ont deux origines : ils proviennent d’une part de
l’alimentation et d’autre part du remaniement (recyclage) des molécules déjà présentes dans l’organisme.
2) L’expérience de cet élève vise à déterminer l’influence de certains acides aminés sur la croissance chez le rat.
3) Chez les animaux nourris à la caséine, la croissance est normale. Par contre, chez les animaux nourris à la zéine, on
observe une perte de masse. Cette perte de masse cesse lorsqu’on ajoute le tryptophane à l’alimentation. En ajoutant
le tryptophane et la Lysine, on constate que la croissance devient normale.
Ainsi, on peut affirmer que certains acides aminés comme le tryptophane et la Lysine sont indispensables pour la
croissance chez le rat.
4) Analyse : en ajoutant de la leucine radioactive dans l’alimentation des rats, on constate que certains acides aminés
dans l’organisme incorporent la radioactivité, alors que d’autres n’incorporent pas la radioactivité, notamment la
lysine.
La radioactivité dans certains acides aminés est due au fait que ceux-ci sont synthétisés à partir de la leucine
radioactive. Ainsi, on peut conclure que certains acides aminés peuvent être fabriqués par l’organisme à partir d’autres
précurseurs, ce qui n’est pas le cas pour la lysine qui doit absolument provenir de l’alimentation.
5) La caséine est une « protéine complète » qui renferme tous les acides aminés indispensables, d’où la croissance
normale chez les rats nourris avec cette protéine. Par contre, la zéine est une « protéine incomplète » qui ne renferme
pas le tryptophane et la lysine, d’où la perte de poids chez les rats nourris avec cette protéine.
6) Les acides aminés indispensables sont les acides aminés que l’organisme ne peut synthétiser et dont l’absence dans
l’alimentation entraîne des troubles de croissance.
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Consigne Communiquer Il suffira ici d’utiliser le code génétique pour retrouver une séquence nucléotidique possible
2 , Sensibiliser, de l’ARNm qui serait à l’origine de cette chaîne d’acides aminés. À partir de cet ARNm, on
argumenter pourra remonter jusqu’au gène par une transcription inverse.
Consigne Communiquer Ici, il faudra montrer que la première cause de la phénylcétonurie est une modification du
3 , sensibiliser programme génétique qui entraine la production d’une protéine non fonctionnelle.
Modification de l’information génétique dans l’ADN
Remplacement de l’acide glutamique en position 280 par la lysine dans l’enzyme PAH
Lésions cérébrales
Aération mentale
Consigne Communiquer Si les nouveau-nés sont détectés comme phénylcétonuriques, un apport alimentaire pauvre en
4 , Créativité, phénylalanine dès la naissance permet de ne pas avoir d’excès de cet acide aminé même en
cohérence, absence de l’enzyme PAH. On ne guérit pas de la maladie, mais les symptômes n’apparaissent
pas.
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COLLECTION LE FACILITATEUR SVTEEHB PD
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de faire fonctionner ce gène dans l’organisme hôte, en se basant sur l’universalité du code génétique.
2) La transgénèse est basée sur l’universalité du code génétique ; ainsi, en transférant un gène d’une espèce vers une
autre, ce gène s’exprime dans l’espèce hôte et lui permet d’acquérir de nouveaux caractères « avantageux » qu’elle ne
possédait pas auparavant.
3) L’objectif visé par le document 2 est l’obtention d’une bactérie capable de fabriquer l’insuline utilisable en thérapie
contre le diabète.
L’objectif visé par le document 3 est l’obtention d’un maïs transgénique capable de résister à l’attaque des larves de
pyrale.
4) Les OGM seraient meilleurs pour l’Afrique car il permettrait la production de grandes quantités de nourriture pour
lutter contre la famine qui sévit dans plusieurs régions d’Afrique. De plus, à la différence de la révolution verte qui
est responsable d’une extension infinie des surfaces cultivables, cette augmentation de la production ne sera pas
accompagnée d’une destruction des écosystèmes naturels.
5) Sur le plan économique, les OGM entraînent des dépenses supplémentaires pour l’achat des semences, car les
agriculteurs ne peuvent pas utiliser la même semence plus d’une fois. Ils sont obligés d’acheter à chaque fois de
nouvelles semences.
Sur le plan écologique, il pourrait avoir transfert de gènes d’une espèce à l’autre au cours de la reproduction sexuée,
production de molécules toxiques pour l’environnement.
II - EVALUATION DES SAVOIR-FAIRE ET DES SAVOIR-ETRE
Exercice 1 :
Savoir-faire et/ou être Expliquer la technique d’obtention d’une plante transgénique pour une caractéristique donnée
1) Il faut détruire les charançons, car ceux-ci se nourrissent de graines de céréales qu’ils détruisent, réduisant ainsi la
productivité agricole.
2) On peut détruire les charançons à l’aide d’insecticides, mais l’inconvénient de cette technique et que les insecticides
sur des graines de céréales entraîneraient immédiatement une intoxication alimentaire.
3) Pour obtenir des céréales résistantes aux charançons, on peut transférer le gène responsable de la synthèse de la
protéine toxique aux charançons du pois cassé vers le riz. Ainsi, on obtiendrait une variété de riz OGM capable de
repousser les charançons.
4) Les étapes de cette technique sont : Identification et isolement du gène d’intérêt, amplification et transfert du gène
d’intérêt, expression du gène d’intérêt.
Exercice 2 :
Savoir-faire et/ou être Expliquer la technique d’obtention d’une plante transgénique pour une caractéristique donnée
1) a) le caractère transgénique de ce maïs est lié à sa capacité à synthétiser une protéine toxique pour les pyrales,
protéine normalement propre à la bactérie Bacilus thuringiensis.
b) l’introduction de ce gène dans le maïs vise à conférer à ces derniers une résistance contre les larves de pyrales.
2) a) Le caractère nouveau qui apparaît dans le maïs transgénique et la capacité à synthétiser la protéine toxique de la
bactérie Bacilus thuringiensis.
b) il y aura une augmentation de la production de maïs car les plants de maïs ne seront plus attaqués.
3) a) L’auteur de ce texte et contre les OGM, car :
Il affirme que les OGM pourrait rendre impossible l’agriculture biologique
Les OGM pourraient provoquer l’évolution de super mauvais herbes et de super prédateurs.
La culture des OGM constitue une grave et irréversible irresponsabilité écologique.
4) La culture des OGM pourrait constituer une grave et irréversible irresponsabilité écologique, car ces OGM peuvent
rendre impossible la culture biologique en envahissant le patrimoine génétique des espèces cultivées ; il pourrait
réduire la variété des espèces (biodiversité) et créer de nouvelles espèces dangereuses.
5) a) L’ADN
b) ce support est universel, car le gène responsable de la production de la protéine toxique s’exprime pour
déterminer la même protéine, que ce soit dans chez la bactérie ou chez le maïs.
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Consigne Communiquer, Ici, on notera la créativité de chaque élève dans sa manière de concevoir un schéma
2 informer qui présente les 4 grandes étapes de la transgénèse, à savoir : identification et
isolement du gène d’intérêt, transfert du gène d’intérêt, expression du gène d’intérêt
pour déterminer le caractère recherché dans l’organisme transgénique.
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La catalyse enzymatique
I- Evaluation des ressources
Partie A : Questions à Choix Multiple (QCM)
Questions 1 2 3 4 5
Réponses b a d I : c, d ; II :b, c ; III : a a
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4. Dans des conditions de température proche de celle du corps (38°C) l’ovalbumine est hydrolysée par la pepsine.
Dans des conditions de température très élevée par rapport à celle du corps (100°C) l’ovalbumine n’est pas
transformée par la pepsine. Dans des conditions de température inférieur à celle du corps (0°C) l’ovalbumine n’est
pas transformée par la pepsine.
5. Les tubes 1, 4 et 5 sont soumis à la même température (38°C), tandis que leurs contenus diffèrent. En effet, le tube
1 contient la pepsine + HCL dilué + l’ovalbumine et est soumis à un pH de 2. Le tube 4 contient la pepsine +
l’ovalbumine et est placé dans les conditions de pH de 7. Et enfin le tube 5 contient l’ovalbumine + le HCL dilué et
est placé dans les condition de pH de 2.
6. La réaction positive au test de Biuret signifie que toute l’albumine n’a pas disparue. Cette dernière n’a donc pas
complètement été hydrolysé.
7. Maintenir le pH du milieu semblable à celui des conditions d’action naturelles à celui de la pepsine.
B.
1) Tube 7
2) Les conditions d’action de cette protéase sont : température proche de celle du corps (38°C), milieu
alcalin (pH d’environ 8,3) et un substrat de nature protidique (ovalbumine).
3) Comparaison sous forme de tableau l’action de ces deux protéases.
Pepsine Trypsine
Température d’action Celle du corps (37°C) Celle du corps (37°C)
pH du milieu Acide (pH=2) Basique (pH=8,3)
Substrat Protides (albumine) Protides (albumine)
Type de réaction Hydrolyse Hydrolyse
Exercice 3
1. Lors d’une réaction enzymatique, l’enzyme se lie de manière réversible à son substrat (peptide 2) pour former
le complexe enzyme-substrat. Dès que la réaction chimique à lieu, le complexe enzyme-substrat se dissocie en
libérant l’enzyme et les produits (1 et 2) formés. L’enzyme peut à nouveau se fixer à une nouvelle molécule de
substrat.
Il existe une étroite complémentarité entre le site actif d’une enzyme et une certaine région du substrat :
telle un « serrure et sa clé ». C’est cette complémentarité qui explique pourquoi les enzymes ont une spécificité
de substrat et la spécificité de réaction.
2.
292
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Savoir-faire et/ou être Interpréter les courbes d’évolution de la vitesse enzymatique dans les conditions de
milieux différents.
1) La courbe de l’expérience 1 représente la concentration du produit de la catalyse en fonction du temps. Elle croit
jusqu’à une certaine concentration du produit, ensuite, devient stable : on dit alors que la réaction enzymatique a
atteint la vitesse maximale. Pour expliquer les variations de la vitesse de la réaction enzymatique en fonction du
temps, on est obligé d’admettre la formation d’un complexe temporaire enzyme-substrat. Dans cette
interprétation du phénomène de catalyse enzymatique, chaque molécule de substrat (S) s’emboîte étroitement dans
une molécule d’enzyme (E) au niveau su site actif (ayant une configuration spatiale lui est complémentaire). Dès
que la réaction à lieu, les produits obtenus (P), qui présentent moins d’affinité pour l’enzyme, s’en séparent
2) Les courbes S1, S2 et S3 de la concentration du produit en fonction du temps croient jusqu’à une certaine
concentration du produit, à partir de laquelle elle devient stable : c’est la vitesse maximale de la réaction. La vitesse
maximale pour la concentration de substrat S3 est plus élevée qu’en S2, cette dernière étant plus élevée qu’en S1. En
effet, plus le substrat est concentré, plus vite l’enzyme est saturée, et plus grande est la vitesse maximale de réaction.
3) Les courbes 1, 2 et 3 ont une évolution similaire. Cependant, la vitesse maximale de la courbe 1 est plus élevée que
celle de la courbe 2 et cette dernière est plus élevée que celle de la courbe 3. Les substance « x » et « y » sont donc
des inhibiteurs compétitifs de l’enzyme, vue qu’elles ressemblent au substrat et que leur présence baisse la vitesse
maximale de la réaction. Cependant, l’affinité de l’enzyme pour la substance « y » est plus élevée que son affinité
pour la substance « x ». Car, la vitesse maximale est plus faible pour la courbe 3.
Exercice 5 :
Savoir-faire et/ou être Confectionner une maquette enzyme-substrat
Pour expliquer les variations de la vitesse de la réaction enzymatique en fonction du temps, on a été obligé d’admettre la
formation d’un complexe temporaire enzyme-substrat. Dans cette interprétation du phénomène de catalyse
enzymatique, chaque molécule de substrat (S) s’emboîte étroitement dans une molécule d’enzyme (E) au niveau su site
actif dont la configuration spatiale lui est complémentaire. Dès que la réaction a lieu, les produits obtenus (P), qui
présentent moins d’affinité pour l’enzyme, s’en séparent.
293
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Energétique biologique
I- Evaluation des ressources
Partie A : Questions à Choix Multiple (QCM)
Questions 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
Réponses d c b c d a d b c b, c a b d a d b d
Partie B : Questions à Réponses Ouvertes (QRO)
1) Définition des mots et expressions
Calorimétrie directe : Méthode de mesure de la dépense énergétique d’un sujet, basée sur l’évaluation de la quantité de
chaleur dégagée par le sujet en expérimentation.
Coefficient énergétique du dioxygène : c’est la quantité d’énergie libérée par litre de dioxygène consommé chez un
individu.
Métabolisme basal : c’est la dépense énergétique minimale et incompressible d’un sujet, correspondant au
fonctionnement des organes vitaux (cœur, poumon, cerveau, foie, rein…)
Neutralité thermique : c’est la température pour laquelle la dépense énergétique pour la thermorégulation est minimale,
l’organisme ne luttant ni contre la chaleur, ni contre le froid.
Intensité respiratoire : c’est le volume de dioxygène consommé ou de dioxyde de carbone rejeté par un individu par
unité de temps et par unité de masse.
Quotient respiratoire : c’est le rapport du volume de dioxyde de carbone (CO2) rejeté sur le volume de dioxygène (O2)
absorbé par un individu durant la même période.
Respiration : dégradation complète des métabolites cellulaires en matière minérale avec production de grandes quantités
d’énergie.
Fermentation : réactions de dégradation incomplète des métabolites avec production d’énergie utilisable par les cellules.
Glycolyse : dégradation anaérobie du glucose dans le hyaloplasme des cellules avec production d’acide pyruvique et de
l’énergie.
Phosphorylation : Réaction par laquelle un radical phosphate (Pi) se fixe sur un composé organique.
2) L’énergie mécanique, qui permet de réaliser un travail musculaire ;
L’énergie calorifique, qui permet de réguler la température du corps (thermorégulation) ;
L’énergie chimique, qui permet la digestion et les réactions du métabolisme ;
L’énergie électrique, qui permet la conduction du message nerveux.
3) Ces facteurs peuvent être subdivisés en deux grands groupes : les facteurs internes (l’âge, le sexe, la taille, l’activité
physique, l’état physiologique) et des facteurs externes (la température ambiante).
4) Pour évaluer la dépense énergétique d’un individu, on peut utiliser deux méthodes possibles :
La calorimétrie directe qui est basée sur la mesure de la chaleur dégagée par l’individu en expérimentation, placé
dans une enceinte adiabatique. Au cours de l’expérience cette chaleur est absorbée par l’eau qui circule dans les
parois de l’enceinte. L’élévation de la température de cette eau permet d’évaluer la dépense énergétique du sujet.
La calorimétrie indirecte ou respiratoire qui est basée sur la mesure du volume de dioxygène absorbé par
l’individu en expérimentation (grâce à un spiromètre). La connaissance de ce volume permet d’estimer la dépense
énergétique grâce à un autre paramètre qui est le coefficient énergétique du dioxygène (20Kj/L quand
l’alimentation est équilibré).
5) Il s’agit des fonctions vitales telles que les fonctions respiratoires, cardiaques, cérébrales, hépatiques, rénales,
immunitaires…
6) Pour évaluer les besoins énergétiques d’un organisme, il faut commencer par calculer le métabolisme basal de cet
organisme. Ce métabolisme basal est ensuite multiplié par un facteur d’activité qui varie d’un individu à l’autre.
7) L’ATP est une molécule riche en énergie, appartenant au groupe des nucléotides triphosphate.
Équation de sa synthèse : ADP + Pi + E ATP synthétase ATP + H2O
Équation de son hydrolyse : ATP + H2O ATPase ADP + Pi + E
8) Les processus permettant la régénération de l’ATP au sein des cellules sont : La respiration et les fermentations.
294
COLLECTION LE FACILITATEUR SVTEEHB PD
9)
localisation cellulaire, rendement énergétique, nature des résidus
Respiration Cytoplasme et mitochondrie Elevé (38 ATP) Minéraux (CO2 et H2O)
Fermentation Cytoplasme uniquement Faible (2 ATP) Organiques et minéraux
10)
Réaction Glycolyse cycle de Krebs phosphorylation oxydative
Localisation Cytoplasme Matrice mitochondriale Crête mitochondriale
11) Non, cette affirmation de Pasteur n’est pas exacte dans tous les cas, car certaines fermentations comme la fermentation
acétique ont absolument besoin de l’air (O2) pour se dérouler.
295
COLLECTION LE FACILITATEUR SVTEEHB PD
2) Quotient respiratoire d’un individu est le rapport du volume de dioxyde de carbone (CO2) rejeté sur le volume de
dioxygène (O2) absorbé par cet individu durant la même période. VCO2
3) Calcul du quotient respiratoire relatif à chaque équation QR =
Nous savons que VCO2 = nCO2 x Vm VO2
nCO2 étant le nombre de mole de CO2 et Vm le volume molaire qui est une constante. Ceci implique que
nCO2 x Vm nCO2
QR = QR =
nO2 x Vm nO2
Application numérique : cas des glucides 6
QR = =1 QR = 1
57 6
Cas des lipides : QR = = 0,71
80 QR = 0,71
5
Cas des protides (acides aminés) : QR = = 0,83 QR = 0,83
6
4) Coefficient énergétique du dioxygène (CT) : c’est la quantité d’énergie libérée par litre de dioxygène consommé
chez un individu. E E
Calculons le quotient thermique pour chacune des trois réactions CT = CT =
VO2 nO2 x Vm
Application numérique : cas des glucides
2842
CT = = 21,14 CT = 21,14 kJ/L
6 x 22,4
Cas des lipides
35242
CT = = 19,66 CT = 19,66 kJ/L
80 x 22,4
Cas des protides
2633 CT = 19,59 kJ/L
CT = = 19,59
6 x 22,4
5) L’aliment énergétique par excellence est donc le glucose (glucide), car il présente le CT le plus élevé.
EXERCICE 6
1) Le porc KI est très résistant au froid car il produit beaucoup de chaleur au cours de son métabolisme.
2) En termes d’ATP, le rendement énergétique des porcs WT est plus élevé que celui des porcs KI.
3) Les voies de dégradation du glucose avec leurs localisations sont présentées dans le tableau ci-dessous.
Réaction Glycolyse cycle de Krebs Chaine respiratoire
Localisation Cytoplasme Matrice mitochondriale Crête mitochondriale
4) Pour les cellules du porc WT, le principal métabolite énergétique utilisé est : Le glucose
Pour les cellules du porc KI, le principal métabolite énergétique utilisé est : Les lipides
5) Les porcs transgéniques KI utilisent surtout les lipides comme métabolites énergétique. L’oxydation de ces lipides
s’accompagne de la production de grandes quantités de chaleur qui permet à l’animal de se réchauffer et de résister
contre le froid. Il faut noter que l’oxydation du glucose par contre produit une faible quantité de chaleur, mais une
grande quantité d’ATP utilisable pour tous les travaux cellulaires.
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Consigne 3 Sensibiliser, Lorsqu’on passe du jus de pomme au cidre, on note une diminution de la
argumenter, teneur en glucose et une apparition et augmentation de la teneur en éthanol,
communiquer preuve de l’intervention de la fermentation alcoolique.
C H O Levure de bière 2C H OH + 2CO + E
6 12 6 2 5 2
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ADP + Pi + E ATP
Bilan : H2O + NADP + ADP + Pi Lumière NADPH2 + ATP + O2
Chloroplastes
EXPÉRIENCE 2 : Dans cette expérience, toutes les réactions de la première expérience se déroulent normalement
jusqu’à l’épuisement du NADP, de ADP et du Pi qui ne sont pas renouvelés. À ce moment, le dégagement d’O2 cesse.
Lorsqu’on ajoute dans le milieu du CO2, ceci déclenche la deuxième phase de la photosynthèse (phase d’assimilation) qui
permet non seulement la fixation du CO2, mais également la régénération du NADP, de l’ADP et du Pi. La régénération
de ces derniers permet à la phase photochimique de se poursuivre, d’où la reprise du dégagement de l’O 2.
Equation chimique: CO2 + NADPH2 + ATP CH2O + NADP + ADP + Pi
Matière
2) Dans la 2e expérience, il y aura synthèse de molécules organiques organique
3) pour les équations chimiques de l’expérience 1, voir ci-dessus.
Pour les équations chimiques de l’expérience 2 :
H2O Lumière 2H+ + 2ë + ½ O2
Chloroplastes
NADP + 2H+ + 2ë NADPH2
ADP + Pi + E ATP
CO2 + NADPH2 + ATP CH2O + NADP + ADP + Pi
EXERCICE 2 :
1) Lorsque la chlorophylle absorbe des photons, elle s’oxyde en libérant des électrons.
2) Les électrons arrachés à la chlorophylle sont transportés par plusieurs molécules qui constituent la chaîne
photosynthétique. Ce transport s’achève au niveau d’un dernier accepteur qui est le NADP.
3) L’énergie des photons est convertir sous forme d’énergie chimique pour fabriquer l’ATP et le NNADPH 2.
4) La chlorophylle se régénère en captant les électrons issus de la photolyse de l’eau.
5) Il s’agit de la phase claire ou photochimique de la photosynthèse.
6) L’ATP et le NADPH2 issues de ce phénomène seront utilisés dans le stroma au cours de la phase d’assimilation pour
fabriquer les molécules organiques.
EXERCICE 3 :
1) A l’obscurité, on observe une baisse de la concentration en O2. Ceci s’explique par le faite que dans ces conditions la
respiration est prédominante, entraînant l’absorption de l’O2 par la plante.
2) Pour qu’il y ait dégagement de l’O2 par cette suspension de chloroplastes, celle-ci doit être placée à la lumière en
présence d’un accepteur d’électrons et de protons.
3) a) Il s’agit de la phase photochimique, car elle nécessite la lumière et entraine le dégagement de l’O 2.
b) Les molécules de la chaine photosynthétique qui acceptent les électrons libérés par la chlorophylle (NADP).
Lumière
c) Equation bilan : H2O + NADP + ADP + Pi NADPH2 + ATP + O2
Chloroplastes
EXERCICE 4 :
1) Voir schéma ci-contre
2) À partir du 10e jour, la masse des plantules placées à la
lumière croit, car celles-ci captent la lumière grâce à leur
chlorophylle pour faire la photosynthèse et produire de
la matière organique.
3) Pour les plantules placées à l’obscurité, la masse décroît,
car ne pouvant faire la photosynthèse à cause du manque
de lumière, elles ne pratiquent que la respiration qui
diminue la matière dont elles disposaient.
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4) Au début du développement du lot placé à la lumière, la masse des plantules chute, car bien qu’étant à la lumière, les
plantules ne possèdent pas encore la chlorophylle pour pouvoir réaliser la photosynthèse.
EXERCICE 2 :
Savoir-faire et/ou être – Analyser et interpréter les expériences d’Engelmann
1) Dans la préparation du document 1, les bactéries étant aérobies strictes, elles s’accumulent autour des bulles d’air pour
y rechercher le dioxygène indispensable pour leur survie.
2) Le bicarbonate représente la source de carbone qui permet aux fragments d’algue de réaliser la photosynthèse. En
effet, la dissolution du CO2 dans l’eau conduit à la formation des bicarbonates.
3) La préparation est éclairée par un spectre de lumière solaire afin de déterminer l’efficacité de chaque radiation
monochromatique sur l’activité photosynthétique des algues.
4) Sous la lumière solaire normale, on observe une répartition uniforme des bactéries ; lorsque la préparation est éclairée
par la lumière solaire décomposée, les bactéries s’accumulent dans les zones éclairées par des radiations précises,
notamment les radiations rouges et bleues.
5) La répartition des bactéries observées sur le document 2 est due au fait que certaines zones de la préparation sont plus
riches en O2 que d’autres. Il s’agit précisément des zones éclairées par les radiations rouges et bleues.
6) a) l’abondance des bactéries dans une zone est proportionnelle à la quantité de O 2 disponible dans cette zone.
b) les radiations responsables d’un dégagement important de O2 sont les radiations rouges et bleues ; les radiations
orange et jaune entraînent un faible dégagement de O2 alors que les radiations vertes n’entraînent aucun dégagement.
7) a) Les radiations responsables d’un important dégagement de l’O 2 sont celles qui stimulent la plus grande intensité
photosynthétique ; il s’agit des radiations rouges et bleues. L’intensité photosynthétique est faible avec les radiations
jaune et orange et nulle avec les radiations vertes.
b) Classement : Rouge - Bleu - jaune - vert
EXERCICE 3 :
Savoir-faire et/ou être – Analyser et interpréter les expériences de Calvin et Benson
1) 6CO2 + 6H2O Lumière + chlorophylle C6H12O6 + 6O2
2) l’utilisation du carbone radioactif permet de repérer à tout instant les molécules qui incorporent la radioactivité grâce
aux rayonnements qu’elles émettent.
3) Les premières molécules formées au cours de la photosynthèse sont l’acide phosphoglycérique et les hexoses
phosphates et le ribulose diphosphate.
4) Le CO2 est incorporé en premier dans l’acide phosphoglycérique car, c’est la première molécule à présenter la
radioactivité.
III- EVALUATION DES COMPETENCES
SITUATION-PROBLEME CONTEXTUALISEE 1
Compétence ciblée Sensibilisation sur le rôle joué par les végétaux verts à travers la photosynthèse au sein de
l’environnement.
Consignes Les capacités à Les indicateurs de réussite
évaluer en situation
Consigne 1 Concevoir et produire Le schéma proposé par l’élève devra présenter tous les éléments utilisés
un schéma pour par la plante pour réaliser la photosynthèse. On devra également voir tous les
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transmettre les produits qui résultent de la photosynthèse et qui sont indispensables pour
informations l’Homme et pour les autres êtres vivants de l’écosystème.
Montrer par exemple que l’Homme et les autres êtres vivants dépendent de
l’O2 issu de la photosynthèse pour sa respiration et de matière organique pour sa
nutrition.
Consigne 2 Communiquer, L’amidon qui constitue l’aliment de base chez plusieurs êtres vivants est
organiser des synthétisé par les plantes vertes au niveau des feuilles au cours de la
informations photosynthèse. Dans un premier temps, la plante fabrique la matière organique
cohérentes. sous forme de glucose. Ce dernier est ensuite polymérisé pour former l’amidon
qui sera stocké dans les organes de réserve.
Consigne 3 Communiquer, Les radiations rouges et bleues ont une grande efficacité dans la stimulation
organiser des de la photosynthèse et produisent un bon rendement photosynthétique. C’est
informations pourquoi il est conseillé d’éclairer les plantes de préférence avec ces radiations
cohérentes. pour avoir un bon rendement.
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EXERCICE 5 :
Lumière + chlorophylle
1) Equation photosynthèse : 6CO2 + 6H2O C6H12O6 + 6O2
D’après cette équation, on peut relever que les échanges gazeux respiratoires de la photosynthèse consistent en
l’absorption du CO2 et au rejet du O2.
Pour vérifier que les échanges gazeux sont en accord avec l’équation de la photosynthèse, il faudra montrer que dans
cet écosystème, le nombre de moles de CO2 est égal au nombre de modes O2. (nCO2 = nO2)
mCO2 mO2 mCO2 = 41 t//ha/an = 41 x 106 g//ha/an
nCO2 = nO2 = mO2 = 30 t/ha/an = 30 x 106 g/ha/an
MmCO2 MmO2
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Certaines plantes (Les légumineuses) sont capables de fixer le diazote (N2) atmosphérique grâce à leurs nodosités au
niveau des racines. Ce diazote (N2) est converti en ions nitrate utilisables par la plante.
Consigne 2 Communiquer, informer L’élève devra montrer que s’il n’y a pas réduction du taux de CO2
atmosphérique, il s’en suivra une intensification du réchauffement climatique
responsable des inondations, de la famine, des migrations climatiques, de la
disparition de nombreuses espèces et écosystèmes…
Consigne 3 Sensibiliser, agencer des L’élève devra proposer des solutions adaptées pour les populations cibles aux
arguments pour quelles son affiche adresse à la consigne 1, notamment le reboisement,
communiquer l’utilisation des transports en commun, la priorité aux énergies renouvelables,
la lutte contre la pollution…
Consigne 4 Communiquer, informer S’il y a disparition des papillons, les prédateurs de ces derniers n’auront plus
de quoi manger, ce qui pourrait également causer leur disparition.
Les organismes servant de nourriture aux papillons vont proliférer
rapidement, certaines plantes dont les fleurs sont fécondées par ces papillons
ne pourront plus se reproduire.
Bref il y aura déséquilibre dans l’écosystème avec des conséquences graves
au niveau de tous les maillons.
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L’éducation à la santé
Catégorie d’action 8 : Lutte contre le VIH/sida
Le soi et le non-soi
I- Evaluation des ressources
Partie A : Questions à Choix Multiple (QCM)
Questions 1 2 3 4 5 6 7 8
Réponses b b Pas de réponse juste a b b c b
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2- Le traitement de nevirapine est efficace en ce sens qu’il provoque la multiplication des LT4 qui sont les
pivots de la réponse immunitaire. Malheureusement, cette action ne dure que pendant les premières
semaines de traitement. Ainsi, l’efficacité du traitement est limitée aux premières semaines de traitement.
3- a- Les séquences 1 et 2 diffèrent par un seul nucléotide au niveau de la séquence d’ADN codant pour le
190ème codon de la transcriptase inverse. A ce niveau, la première base (cytosine) et remplacée par la
thymine. Cette mutation ponctuelle par substitution.
b- Au bout des premières semaines de traitement, la baisse de la charge virale est due à l’absence de
transcriptase inverse car, le traitement modifie la séquence du gène codant pour sa synthèse par la cellule
infectée.
II - Evaluation des savoir-faire et des savoir-être
Exercice 1 :
Savoir-faire et/ou être Identifier le soi et le non-soi.
1) Analyses
5ème jour 12ème jour
Receveur B1 Apparition des vaisseaux sanguines Greffon nécrosé
autour des greffons
Receveur B2 Apparition des vaisseaux sanguines Greffon confondu à la peau
autour des greffons
2)
Chez l’individu B1, le greffon est nécrosé car cet individu n’est pas histocompatible avec l’individu
A. Dans ce cas, on parle d’allogreffe.
Chez l’individu B2, le greffon est accepté car cet individu est histocompatible avec l’individu A. Il
pourrait donc s’agir des vrais jumeaux : dans ce cas, on parlera d’isogreffe.
3) Le rejet rapide du greffon lors de la deuxième greffe s’explique par le fait que l’individu B1 avait déjà été
en contact avec la peau de l’individu A, cette dernière a donc été rapidement reconnu et aussitôt rejetée.
Exercice 2 :
Savoir-faire et/ou être Identifier le soi et le non-soi.
1) Les greffons de l’expérience 1 sont acceptés parce qu’ils sont les éléments du soi ; les greffons de
l’expérience 2 sont rejetés parce qu’ils sont considérés comme non-soi.
2)
a) La cause du rejet de greffe dans l’expérience 1est l’absence d’histocompatibilité entre les individus
A et B ;
b) Le raccourcissement du délai avant rejet dans l’expérience 2 est dû à la reconnaissance rapide par
l’organisme d’un antigène avec lequel il a déjà été en contact ; d’où le délai d’élimination court
c) Les différences observées entre les différents fragments s’expliquent par la reconnaissance rapide par
l’organisme d’un antigène avec lequel il a déjà été en contact ; d’où le raccourcissement du délai
d’élimination du greffon B ;
3) La faculté à distinguer le soi du non-soi permet à l’organisme de maintenir son intégrité et par conséquent
sa survie.
Exercice 2 :
Savoir-faire et/ou être Concevoir des outils de sensibilisation dans le cadre de la lutte contre le VIH/Sida.
1. « Chers populations »,
Le SIDA est une pandémie qui fait encore de nombreux ravage autours de nous. Pourtant, cette maladie a été
suffisamment étudiée et malgré le fait qu’elle ne dispose pas encore de traitement, elle peut être contrecarrer
si nous maîtrisons les différents aspects qui conduisent à cette infection. C’est ainsi que je m’en vais vous
parlez des termes séropositif, séroconversion, immunodépression……
2. Le SIDA est une infection virale causée par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Il se transmet par
voie sexuelle, par voie sanguine et de la mère à l’enfant. L’individu devient contagieux quand la charge virale
atteint une certaine valeur dans son plasma, ses sécrétion génitales ou le lait maternel. Le sujet est séropositif
au moment où les anticorps dirigés contre les particules du VIH sont présents dans son corps. Les séronégatifs
doivent refaire le test 3 mois après l’avoir fait pour confirmer l’absence des anticorps dans leur corps. Les
3. Après la contamination, on assiste à une prolifération du virus et un abaissement significatif de la population
de LT4. La réponse du système immunitaire se matérialise dans les premières semaines par l’augmentation
du taux de LT8 et la production des anticorps anti-VIH, ce qui contribue à diminuer la charge virale vers la
fin de la première phase de la maladie.
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4. A la troisième année, on constate que l’augmentation de la quantité de virus commence à croître rapidement,
le taux d’anticorps accélère sa chute et enfin la quantité de LT4 chute drastiquement d’où l’apparition de
l’immunodéficience et des premiers symptômes de la maladie.
5. Car le VIH se multiplie dans d’autres cellule-cibles, et la réponse immunitaire censée le contrecarrer est quasi
inexistente.
Exercice 4 :
Savoir-faire et/ou être Distinguer les différents types de cellules immunitaires.
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Exercice 2 :
Savoir-faire et/ou être Concevoir des outils de sensibilisation dans le cadre de la lutte contre le VIH/Sida.
La
Exercice 3 :
Savoir-faire et/ou être Organiser des causeries éducatives
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Education nutritionnelle
II- Evaluation des ressources
Partie A : Questions à Choix Multiple (QCM)
Questions 1 2 3 4 5
Réponses a b b d a
Partie B : Questions à Réponses Ouvertes (QRO)
Alimentation équilibrée : est une alimentation apportant la quantité et la qualité des aliments nécessaire pour
couvrir les dépenses énergétiques de l’organisme ainsi que ses besoins matériels.
Repas équilibré : c’est un repas qui contient toutes les catégories d’aliments dans les proportions convenables
définit par la règle de GPL 421 soit 15% de lipides, 30% de protides, 55% de glucides, de l’eau, des oligoéléments
et des vitamines. Il doit satisfaire les besoins quantitatifs et qualitatifs de l’organisme en apportant toutes les
substances nutritives indispensables.
Pyramide alimentaire : illustration simple en forme de pyramide dans laquelle les « briques » de l'édifice sont
les groupes d'aliments dans lesquels il faut puiser quotidiennement pour assurer la couverture en matières
nutritives.
Obésité : Accumulation excessive de tissu adipeux dans le corps.
Malnutrition : alimentation anarchique conduisant soit à la sous-alimentation, soit à la suralimentation.
2) Elaborée par le nutritionniste français Albert-François Creff, la règle du GPL 4.2.1 nous donne les clés de
l’équilibre alimentaire, c’est un moyen simple et efficace qui nous rappelle que tout repas (déjeuner ou dîner)
doit comporter 4 portions de Glucides, 2 portions de Protides et 1 portion de Lipides.
NB : Une portion est tout simplement une quantité à titre de référence qui vous aide à comprendre les
quantités d'aliments recommandées chaque jour dans chacun des groupes alimentaires.
3) La réponse ici dépendra de la localité dans laquelle vous vous trouvez. Par exemple, pour un élève de la
localité de BAFIA, un menu équilibré de déjeuner peut être un plat de couscous au légume sauté et au poisson
fumé accompagner d’un verre d’eau et d’une tranche d’ananas. Si le plat a une masse de 500 g, le couscous
et l’ananas doivent représenter 275g, les légumes sautés, les assaisonnements et le poisson fumé doivent
représenter 225g.
4) La manque d’activité physique est un facteur important de risque de maladies non-transmissibles comme
l’accident vasculaire cérébral (AVC), le diabète, et le cancer. La sédentarité (manque d’activité physique) est
l’un des principaux facteurs de risque de l’hypertension, de l’élévation de la glycémie, de la concentration de
lipides dans le sang, de l’obésité, et des principales maladies chroniques telles que les maladies cardio-
vasculaires, le cancer et le diabète.
5) Une alimentation équilibrée est une alimentation apportant la quantité et la qualité des aliments nécessaire
pour couvrir les dépenses énergétiques de l’organisme ainsi que ses besoins matériels. Elle doit être adaptée
à l'âge, à l'activité physique et à l'état physiologique (femme enceinte, femme allaitante, sportif ou sportive).
6) Les mots à placer sont dans l’ordre : journalière - l'organisme - l'équilibre - rationnelle – quantité -
paramètres - proportion - indispensables.
Partie C : Explication des mécanismes de fonctionnement / exploitation des documents
Exercice 1 :
a) 1 litre correspondant à 120 g de sucre, donc 1,5 litre renferme 180 g de sucre consommé par jour.
180×7=1260 g de sucre consommé par semaine et 180×365=65700 g de sucre consommé par an.
b) L’équivalent journalier, en morceaux de sucre, de sa consommation est de 180 : 5 = 36 morceaux de sucre ;
c) L’énergie fournie quotidiennement par ces boissons sucrées est de : 85 kJ×36= 3060 KJ.
Exercice 2 :
1) L’alimentation des américains est riche en matière grasse et en sucre. Cependant, elle est pauvre en poissons
et en laitage.
Celle des soudanais est riche en céréales et en légumes secs, mais pauvre en matière grasse en poissons et en
laitage. Elle ne comporte pas de viande et d’œuf.
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2) Chez les américains, l’excès de sucre et de graisse contenu dans les aliments les prédispose aux maladies
métaboliques notamment les diabètes (excès de sucre dans le sang), l’obésité (excès de graisse dans le corps)
et de maladies cardio-vasculaires (artériosclérose ….
Chez les soudanais, l’absence de protide dans leur alimentation leur prédisposent à la maladie nutritionnelle
par carence telles que le rachitisme (carence en vitamine B) et le kwashiorkor (carence en protides).
Exercice 3 :
Manger varié et équilibré selon les nutritionnistes et autres diététiciens c’est avoir une alimentation
apportant la quantité et la qualité des aliments nécessaire pour couvrir les dépenses énergétiques de l’organisme
ainsi que ses besoins matériels. Elle doit être adaptée à l'âge, à l'activité physique et à l'état physiologique (femme
enceinte, femme allaitante, sportif ou sportive).
Pour avoir une alimentation équilibrée, les différents repas journaliers (petit déjeuner, déjeuner, collation
et dîner) ne doivent pas avoir la même composition ni les mêmes apports caloriques.
La composition idéale du petit déjeuner comprend : une boisson, un produit céréalier, un produit laitier, un
fruit, et facultativement un aliment énergétique (beurre, confiture, sucre, miel…).
Pour un déjeuner idéale, il devra contenir : des crudités (à volonté), de la viande ou poisson ou œufs, des
féculents, des légumes verts, un produit laitier, une portion de fruits, du pain, de la matière grasse (plutôt
végétale), de l’eau.
La collation est composée essentiellement de crudités et d’une boisson, idéalement de l’eau.
Le dîner comprend : les crudités (à volonté) et/ou un potage, un peu de viande ou poisson ou œufs, des
féculents, des légumes verts, un produit laitier, une portion de fruits, du pain, de la matière grasse (plutôt
végétale), de l’eau.
Pour savoir si notre alimentation ne comporte ni carence ni excès, nos ration alimentaires doivent obéir à la
règle de 421GPL. Et nous ne devons ni être en surpoids ni dans un état de maigreur.
1) L’analyse des tabous nous indique que la femme enceinte et les enfants soumis à ces tabous sont exposés aux
carences en protides.
2) Comme aliments riche en protides pour contourner les tabous alimentaires, la femme enceinte peut
consommer les légumes secs comme le soja, le haricot, les chenilles, les termites.
3) Les protéines sont les aliments bâtisseurs ou plastiques de l’organisme. Et permettent l’édification de
l’organisme et la cicatrisation des blessures…. Dans un menu équilibré, les protides doivent représenter 30%
des portions.
Exercice 3 :
Savoir-faire et/ou être Choisir les aliments appropriés pour une alimentation équilibrée.
1. Elle est sans doute toujours sédentaire et continue de consommer les aliments riches en sucre sans pratiquer
d’exercices physiques.
2. Lorsque la demoiselle décide de sauter le dîner, sans doute que le prochain repas qu’elle prendra sera copieux.
Elle ne devrait pas sauter de repas, et devrait associer à son régime une activité physique régulière et
consommer beaucoup de fruit et de légumes. Enfin elle devra surtout réduire sa consommation des sucres
rapides car, ces derniers des transforment facilement en graisse dans l’organisme.
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L’EDUCATION A L’ENVIRONNEMENT ET
AU DEVELOPPEMENT DURABLE
Catégorie d’action 11 : Lutte contre l’effet de serre
320
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2. Comparaison
- la température dans le montage 1 est presque constante au fil du temps de mesure ;
- la température dans le montage 2 croit avec le temps de mesure.
b) La différence est due au fait que la cuve de verre ajoutée dans le montage 2 joue le rôle d’une serre et piège la
chaleur émis par le papier éclairé.
3. Les propriétés sont : la transparence à la lumière de l’ampoule, et l’opacité au rayonnement infrarouge produit par
le papier éclairé.
4. Complétons le tableau Montage 2 Planète Terre
5. Effet de serre = phénomène naturel au cours Lampe de 100 watts Soleil
duquel certains gaz de l’atmosphère piège la Papier sombre Surface terrestre
chaleur provenant de la surface du sol. Cuve en verre transparent Atmosphère terrestre
II - Évaluation des savoir-faire et des savoir-être
Exercice 1 :
Savoir-faire et/ou être Calculer l’albédo de la planète Terre.
1)
a) Au contact de l’atmosphère, une partie du rayonnement solaire incident est renvoyé dans l’espace : c’est la
réflexion. Une autre partie du rayonnement solaire incident est dispersée et propagée dans toutes les directions :
c’est la diffusion. Et enfin certains rayonnements ou radiations solaires sont absorbés.
b) Au contact du sol, des océans et des végétaux, une partie du rayonnement solaire incident est renvoyé dans
l’espace : c’est la réflexion. Certains rayonnements ou radiations solaires sont absorbés.
2) Calcul de l’Albédo global et interprétation
é𝒏𝒆𝒓𝒈𝒊𝒆 𝒓𝒆𝒇𝒍é𝒄𝒉𝒊𝒆 𝟏𝟎𝟐
𝒂𝒍𝒃é𝒅𝒐 = = =0,3
é𝒏𝒆𝒓𝒈𝒊𝒆 𝒊𝒏𝒄𝒊𝒅𝒆𝒏𝒕𝒆 𝟑𝟒𝟐
Ce qui signifie que 30% du rayonnement solaire incident au niveau de la surface terrestre est réfléchi, et le reste
(70%) est absorbé.
3) Calcule de l'albédo
Surfaces Sol désertique Sol de savane Eau de l'Étang
Énergie réfléchie en W/m2 56 35,2 70,4
Albédo 0,35 0,22 0,44
Conclusion : le milieu qui absorbe le plus l’énergie est celui qui à le plus faible albédo soit la savane
4) Les irrégularités témoignent de du fait que l’atmosphère n’est pas complètement transparente à certains radiations du
Soleil. En effet, ces dernières sont soit diffusées, soit refléchies ou absorbées.
5) On constate un décalage entre le rayonnement infrarouge émis par le Soleil et celui qui est effectivement mésuré au
niveau de la mer. Ce qui montre qu’une bonne partie de ce rayonnement solaire n’atteiint pas le sol terrestre. Car,
etant absorbé par l’atmosphère. D’où son rôle d’écran, vis-à-vis de ces gaz.
Exercice 2 :
Savoir-faire et/ou être Etablir le bilan thermique de la Terre
1. La constante solaire est la quantité d’énergie reçue par une surface de 1m2 perpendiculaire aux rayons du soleil et située
à la limite supérieure de l’atmosphère terrestre (environ 1400 W/m2). Tandis que Le flux solaire est la quantité d’énergie
reçue du soleil à chaque seconde par la face éclairée d’une planète (environ 350 W/m2 au niveau de la terre).
321
COLLECTION LE FACILITATEUR SVTEEHB PD
2. Après son entrée dans l’atmosphère, le rayonnement solaire incident subi 3 principales modifications. A savoir : la
réflexion, la diffusion et l’absorption.
3.
a) 77+67+24+78+390 = 636 W/m2
b) 30+168+324 = 522 W/m2
c) 77++235+324 = 636 W/m2
d) 30+24+78+390 = 522 W/m2
e) Bilan radiatif = énergie reçue – énergie émise ; soit (636+522) – (636+522) = 0
4.
a) On appelle albédo d’une surface, le rapport de l’énergie réfléchie par cette surface à l’énergie incidente.
b) 30 : 198 = 0,15
c) 77 : 144 = 0,53
d) (0,15+0,53) : 2 = 0,34
5. Un gaz à effet de serre est un gaz qui présent dans l’atmosphère piège le rayonnement infrarouge émis pas la surface
réchauffée du sol et le renvoie vers le sol. Les principaux gaz à effet de serre sont : le dioxyde de carbone (CO2) la
vapeur d’eau (H2O), le méthane (CH4), le protoxyde d’azote (NO), l’oxyde nitreux, l’ozone…
6. De 900 à environ 1900 ans, le taux atmosphérique de CO2 est resté constant d’environ 280 ppm. Depuis les années
1900, le taux de CO2 s’est accru de façon exponentielle jusqu’à atteindre environ 360 ppm dans les années 2000.
7. L’homme à travers son activité (industrialisation, combustion des énergies fossiles, usage des produits chimiques,
déforestation …) produit des gaz à effet de serre qui en s’accumulant dans l’atmosphère modifie la concentration
atmosphérique du carbone.
Exercice 3 :
Savoir-faire et/ou être Emettre des hypothèses sur l’origine de l’énergie solaire et son devenir à la surface de
la Terre
1. 4 𝐻11 → 𝐻𝑒24 + 2 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑟𝑜𝑛𝑠 + 2 𝑛𝑒𝑢𝑡𝑟𝑖𝑛𝑜𝑠 + 2 𝑝ℎ𝑜𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑎𝑚𝑚𝑎
2. La conséquence énergetique de la formation de l’hélium est la disparition de la matière, cette dernière étant convertie
en énergie
a) Les protons constituent la matière qui disparaît
b) La conséquence de la disparition de la matière est la diminution du carburant hydrogène qui alimente les
réaction thermonucléaires sein du Soleil.
3. Reflexion, absorption . 𝜟𝑬 𝑪𝟐
4. Calcul du temps pendant lequel le soleil brillera encore. 𝑻= = 𝜟𝒎
𝑳 𝑳
Suivant cette hypothèse, le temps de vie (T) du soleil est exprimé par la formule :
322
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Schéma du globe terrestre avec direction des vents dans les deux hémisphères.
3) L’inégale répartition de l’énergie solaire à la surface du globe a comme conséquence, les mouvements des enveloppes
externes fluides, notamment l’hydrosphère et l’atmosphère ceci dans le but de rétablir un équilibre thermique à la
surface du globe.
4)
a) La formation de la glace au niveau des pôles engendre une augmentation de la salinité de l’eau, ce qui crée des
courants océaniques profonds
323
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b) Du fait de la rotation de la Terre, il se crée une force appelée force de Coriolis ; cette force dévie le mouvement
de l’atmosphère et donc les vents.
c) Le vent se déplace de l’anticyclone vers la dépression
Partie C : Explication des mécanismes de fonctionnement / exploitation des documents
Exercice 1 :
1) Représentation des courbes
250
200
150
100
50
0
0 10 20 30 40 50 60 70 80
2) Représenter :
- Hachurer au stylo à bille noir ou bleu l’espace situé entre les deux courbes dans l’intervalle de latitude [0 ;
30,7].
- Hachurer au crayon ordinaire l’espace situé entre les deux courbes dans l’intervalle de latitude [30,7 ; 70].
3)
a) Les mouvements atmosphériques proviendraient du déséquilibre du bilan énergétique entre l’équateur et les
pôles
b) De façon générale, les mouvements atmosphériques ont pour but de redistribuer l’excédent de chaleur
emmagasiné au niveau de l’équateur.
Exercice 2 :
1. Définitions
Brise de mer : vent périodique qui s’établit sur le littoral soufflant le jour vers le continent.
Brise de terre : vent périodique qui s’établit sur le littoral soufflant la nuit vers la mer.
2. Le jour, par beau temps, la Terre a tendance à s’échauffer plus rapidement que la mer. Il se produit alors une
ascension de l’air chaud au niveau de la terre, et qui est remplacé par de l’air plus frais en provenance de la mer.
C’est la brise de mer
Au contraire, la nuit la terre se refroidit plus vite que la mer et il se produit la phénomène inverse. C’est-à-dire, l’air
chauffé par l’eau de la mer a tendance à s’élever et est remplacée par l’air frais en provenance du continent : c’est
la brise de mer.
3. Il conseillé aux touristes fréquenter le bord de la mer en journée et non en soirée pour profiter de l’air de la mer,
c’est-à-dire du vent provenant de la mer.
Exercice 3 :
1. L’étendue des surfaces d’incidence du rayonnement solaire augmente avec la latitude.
2. La surface d’incidence augmente avec la latitude à cause de la variation de l’angle d’incidence du rayonnement
solaire au niveau du sol. En effet, plus l’angle d’incidence est grand, plus la surface d’incidence du rayonnement
solaire diminue.
3. L’énergie solaire reçue par unité de surface terrestre diminue avec la latitude.
4. Les régions chaudes du globe sont comprises dans l’intervalle de latitude : [-40° ; +40°]
Les régions froides du globe sont comprises dans l’intervalle de latitude : [-90° ; -40°] et [40° ; 90°]
5. L’inégale répartition de l’énergie solaire à la surface de la Terre est à l’origine des mouvements atmosphérique et
océanique ayant pour principe de redistribuer l’excédent de chaleur entre les différentes zones du globe.
324
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Exercice 2 :
Savoir-faire et/ou être Expliquer la circulation atmosphérique
1) Au niveau de l’équateur, le bilan radiatif est excédentaire. L’air chauffé par la chaleur du sol, devient léger et s’élève.
Créant ainsi à la surface du sol des dépressions (ou zone de basse pression). Il redescend ensuite aux latitudes plus
élevées où il entraîne la formation des zones de haute pression (ou anticyclones). Cette circulation atmosphérique
forme des circuits de convections appelées cellules équatoriales ou cellules de Hadley.
2) La force de Coriolis dévie les masses d’air et les vents. La déviation se fait dans le sens des aiguilles d’une montre
dans l'hémisphère nord et dans le sens contraire des aiguilles d’une montre dans l'hémisphère sud
3) Aux latitudes moyennes, les vents transportant l’air chaud et humide vont vers l’Est (vent d’ouest), et les vents
transportant de l’air froid et sec vers l’Est.
4) En principe, le déplacement des masses d’air est gouverné par les différences de pression. Or ces dernières sont
dictées par l’inégale répartition de l’énergie solaire reçu au sol. Ainsi, les masses atmosphériques absorbent les fortes
radiations solaires au niveau des zones où le bilan radiatif est excédentaire (zones équatoriales et tropicales), les
stockent et les redistribuent grâce aux divers courants atmosphériques vers les zones où le bilan radiatif est déficitaire
(zones polaires).
Exercice 3 :
Savoir-faire et/ou être Expliquer/éduquer sur les causes et les conséquences des mouvements des masses
d’air.
1)
a) L’atmosphère est de plus en plus froide lorsqu'on va des régions équatoriales vers les régions polaires paracerque
les régions polaires perdent plus d’énergie qu’ils n’en reçoivent comparé aux régions équatoriales. On dit qu’elles
ont un bilan radiatif déficitaire.
b) Au fur et à mesure qu’on progresse vers les régions polaires, le rayonnement solaire est de moins en moins
important car, ce dernier atteint la surface du sol obliquement (c’est-à-dire avec un angle d’incidence aiguë). D’où
l’épaisseur de l’atmosphère qu’il traverse est très importante à cause de la rotondité (ou la sphéricité) de la Terre
en plus, la surface du sol balayée par ces rayons est très étendue.
2) En effet, on peut admettre qu’un point situé au pôle est éloigné 6400 km de plus du Soleil comparé à un point situé
à l’équateur. Cependant, cette distance comparée au 150 million de kilomètres qui séparent la Terre du Soleil est
négligeable, pour qu’on considère qu’elle diminue l’intensité du rayonnement solaire. Ainsi, cet argument ne saurait
être valable.
3) a) Bilan radiatif = différence entre le rayonnement solaire incident absorbé par une surface et le rayonnement
infrarouge que cette surface réémet.
b) courbes de variation de l’énergie incidente et de l’énergie infrarouge (IR) aux différentes latitudes.
325
COLLECTION LE FACILITATEUR SVTEEHB PD
courbes de variation de l’énergie incidente et de l’énergie infrarouge (IR) aux différentes latitudes.
250
200
150
100
50
0
0 20 40 60 80 100
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327
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Exercice 3 :
L’ordre chronologique des évènements géologiques ayant conduit à la coupe présentée est le suivant :
Mise en place de la série W - volcanisme V1 suivie du métamorphisme – volcanisme V2 suivie du métamorphisme –
érosion - mise en place série X – plutonisme G suivie du métabolisme – faille F2 - érosion – mise en place de la série Y
– faille F1 – volcanisme V3 suivie du métamorphisme – érosion – mise en place de la série Z – érosion.
1. Débit du fleuve = 4.1016 / (365×24×3600) = 1,3.1010 cm3.s-1 (car 4.1010 m3 = 4.1016 cm3)
2. Estimons la vitesse moyenne de l’eau dans cette zone du fleuve sachant que :
Débit en m3.s-1 = section en m2× vitesse en m.s-1
On a : Vitesse en m.s-1 = débit en m3.s-1 / section en m2. Avec Section = (largeur × profondeur)
AN : vitesse en m.s-1 = 4.1010 / (365×24×3600)×(1000×5)
328
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Suivre les étapes de l’analyse granulométrique et exploiter les courbes de référence présentées aux pages 237 et
238 et 239.
Exercice 3 :
Savoir-faire et/ou être Reconstituer les milieux anciens de sédimentation
1.
Les grains de quartz transparents et anguleux (c’est-à-dire peu érodés ou tranchantes) ont été peu ou pas
transportés ;
Les grains de quartz transparents, émoussés à facette brillante ont subi un transport prolongé dans l’eau ;
Les grains de quartz translucides, arrondis et mats (c’est-à-dire à facette dépolie) ont été transportés dans l’air.
2.
a) Ces grains ont subi plusieurs types de transport avec agents de transport différents.
b) Ces grains ont d’abord été transporté dans l’eau, puis dans l’air.
3. La cour du lycée abritait une roche compacte comme le granite qui a été altérée, et après le départ de certains produits
d’altération, les résidus (arène granitique) ont constitué les grains de sable non-usés qui n’ont pas été transportés.
Exercice 4 :
Savoir-faire et/ou être Identifier les conditions de transport et de dépôt d’un sédiment.
1)
Plateau continental : galets, sables, vases, argiles, marnes
Talus continental : galets, sables, vases, argiles, marnes
Domaine océanique : boues calcaires, boues siliceuses, argiles rouges
2) Il se déposent sur la plaine abyssale à la suite des courants de turbidité et sont conduits par les courant océaniques
profonds dans les fosses océaniques. Certains sont directement issus de la précipitation des ions dissouts.
3) On ne retrouve pas beaucoup de sédiments au niveau du talus continental à cause du relief escarpé qui ne facilite pas
le dépôt des sédiments.
4) Les sédiments calcaires et des boues siliceuses proviennent des êtres vivants. Ces derniers concentrent activement le
carbonate de calcium en constituant leur coquille ou leur test. A leur mort, elles se déposent et s’accumulent sur les
plaines abyssales pour former les boues siliceuses et des boues calcaires.
III - Évaluation des compétences
Situation problème contextualisée
Compétence visée Faire parler les roches sédimentaires ou lire et traduire les informations contenues
dans les roches sédimentaires
Consignes Les indicateurs de réussite
Consigne 1 La strate A1 est plus ancienne que la strate A2 conformément au principe de superposition.
La série B est plus récente que la série A toujours du fait du principe de superposition. En
fonction du principe de recoupement, le granite intrusif G est plus récent que la série A et
plus ancien que la série B. toujours d’après le principe de recoupement, les plissements
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sont plus récents que la série A et plus anciens que la série B. d’après le principe de
recoupement, la faille F est plus récente que les séries A et B. de même que le volcan V.
Consigne 2 Les évènements géologiques à l’origine de cette région sont dans l’ordre chronologique les
suivants : dépôt des couches de la série A dans l’ordre suivant : n°1, n°2, n°3, n°4 et n°5.
Ensuite intrusion de granite et métamorphisme, suivie des plissements et de l’érosion. Puis
dépôt de la série B dans l’ordre suivant n°7, n°8, n°9, n°10. Apparition de la faille F suivi
du volcanisme n°11
Consigne 3 Les animaux anciens ou fossiles découverts dans certaines couches de terrains permettent en
fonction de leur nature d’estimer l’âge approximatif des couches de terrain. Ces fossiles sont
appelés fossiles stratigraphiques ou bons fossiles. Ils sont caractérisés par :
Une grande aire de répartition géographique ;
Une évolution très rapide ;
Une durée de vie très courte à l’échelle du temps géologique.
Certains fossiles fournissent des informations pouvant servir à reconstituer (ou recréer) les
conditions de dépôt des couches de terrains sédimentaires. Ces fossiles sont appelés fossiles
de faciès. Ils sont caractérisés par :
Une faible aire de répartition géographique ;
Une évolution lente ;
Une longue durée de vie à l’échelle du temps géologique ;
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7) L’existence des « zones d'ombres » pour les ondes P et S signale la présence d’une surface de discontinuité majeure :
la discontinuité de Gutenberg, située à 2900 km de profondeur entre le manteau inférieur et le noyau terrestre.
8) Il existe 3 types de météorites :
Les météorites pierreuse (ou aérolites ou chondrites) formés de silicates et provenant de la zone superficielle
des astéroïdes ;
Les météorites ferreuses ou sidérites formées d’un alliage de fer-nickel et provenant de la zone centrale des
astéroïdes ;
Les météorites ferro-pierreuse ou sidérolites contenant à la fois silicates et de éléments métalliques, et
provenant de la zone de transition entre la zone centrale et la zone superficielle des astéroïdes.
9) Les zones du globe terrestre caractérisées les anomalies du flux géothermique.
Anomalies négatives : les fosses océaniques
Anomalies positives : zone d’accrétion ; arc volcaniques, volcan des point chaud, îles volcanique, arcs
insulaires, les volcans des zones de subduction.
10) Construction des phrases utilisant les groupes de mots
a) Les surfaces de discontinuité en profondeur du globe terrestre sont caractérisées par un changement brutal de
la vitesse des ondes sismiques ou la réfraction des rais sismiques.
b) A cause de leur nature, les ondes S ne circulent pas dans le milieu liquide comme le noyau externe terrestre.
c) Les météorites sont les fragments de roches extraterrestres qui nous renseignent sur la composition chimique
des enveloppes de la Terre
Partie C : Explication des mécanismes de fonctionnement / exploitation des documents
Exercice 1 :
1. - Les reliefs pour lesquels on enregistre les anomalies positives sont îles d’arc insulaires, îles intra-océaniques
volcaniques, axe de dorsale océanique, volcans de la cordillère des Andes
- Le relief pour lequel on enregistre les anomalies négatives sont : les fosses océaniques.
2. La cause des anomalies du flux géothermique
Les Anomalies négatives ont pour cause la plongée d’une lithosphère océanique froide dans l’asthénosphère
chaude : ce qui entraîne une perte de chaleur dans l’asthénosphère ;
Anomalies positives : ont pour principale cause la chaleur due à la remontée du magma des profondeur vers la
surface du globe.
3. L’énergie géothermique est une énergie renouvelable c’est à presque inépuisable à l’échelle humaine et qui peut être
exploiter pour le chauffage et même pour produire de l’électricité. Les reliefs bien placés pour faire l’objet d’un
gisement du flux géothermique sont les arcs insulaires et les volcans des zones de subduction comme la cordillère
des Andes.
Exercice 2 :
Le document 2 ci-dessous montre le trajet des ondes sismiques à l’intérieur du globe terrestre.
1) Nommer les ondes PcP, PkP et PP, puis définir la notion de zone d’ombre
Ondes PcP = ondes P réfléchies
Ondes PkP = ondes P réfractées
Ondes PP = ondes P directes
Zone d’ombre sismique : région du globe, où aucune onde sismique n’est enregistrée lors d’un séisme.
2) Discontinuité de Gutenberg
3) A la profondeur d’environ 3000 km, les ondes P ralentissent brutalement et les ondes S disparaissent.
4) La densité du matériau du globe terrestre augmente progressivement en fonction de la profondeur. Cependant,
l’augmentation est brutale à la profondeur de 3000 km.
5) Cette partie est liquide car les ondes P ralentissent et les ondes S disparaissent.
Exercice 3 :
1) Figure d’interprétation de la structure de la Terre telle que décrite par le texte.
2) Le modèle actuel de la structure du globe terrestre comprend 03 principales enveloppes qui sont : l’écorce ou la
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4-
a. Calcul des vitesses de propagation des ondes P.
- Pour la station située à 2000 km on a : V= 2000 / 290, soit 6,89 km/s
- Pour la station de Hawaï, on a : V= 6630 / 70×60) soit 1,57 km/s
- Pour la station d’Australie, on a : V = 7780 / (73×60) soit 1,79 km/s
NB : Le temps d’enregistrement a été repérer sur les différents sismogrammes
b. Le constat fait après les calculs est le suivant :
Pour les stations d’enregistrement proches de l’épicentre, la vitesse des ondes P est élevée comparativement à
celle des stations éloignées. Cependant, pour les stations d’enregistrement éloignées, plus la station est éloignée
de l’épicentre, plus la vitesse des ondes P est grande.
Exercice 2 :
Savoir-faire et/ou Construire les courbes hodochrones traduisant les temps d’arrivée des ondes
être P et S en fonction de la distance entre l’épicentre du séisme et les stations d’enregistrement.
1. Pour tracer sur un même graphe les courbes représentant le temps d’arrivée (en secondes) des ondes P, S et L dans
les trois stations, il faut convertir les temps d’arrivée en secondes comme illustré dans le tableau ci-dessous.
Stations Distance à l’épicentre (en km) Temps mis
Ondes S Ondes P Ondes L
1 1112 257 144 292
2 5049 889 494 1329
3 11332 1520 828 2982
Ensuite définir une échelle : par exemple, 1000 km correspondent à 1cm (axe horizontal) et 500 s correspondent à
1cm (axe vertical).
2. a) la vitesse de propagation des ondes L est constante car elle ne change pas quel que soit la station d’enregistrement.
b) Les ondes L doivent donc circuler dans un milieu homogène car leur vitesse est constante
333
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3. a) Calcul en km/s, de la vitesse d’arrivée des ondes P dans chacune des trois stations.
- Station 1 : 1112/144, soit V= 7,72 km/s
- Station 2 : 5049/494, soit V= 10,22 km/s
- Station 3 : 11332/828, soit V= 13,68 km/s
b) La vitesse de propagation des ondes P augmente au fur et à mesure qu’on s’éloigne de l’épicentre
4. Plus la distance à l’épicentre d’une station est éloignée, plus et la profondeur à laquelle les ondes de volume
circulent avant de l’atteindre est grande.
5. La vitesse des ondes de volume augmente avec la profondeur du globe car, la densité des couches du globe terrestre
est de plus en plus élevée lorsqu’on va en profondeur.
Exercice 3 :
Savoir-faire et/ou être Utiliser les informations tirées des courbes d’évolution des vitesses d’ondes sismiques
avec la profondeur pour repérer les différentes discontinuités à l’intérieur du globe
Courbes des vitesses des ondes P et S en fonction de la profondeur et modèle de la structure profonde de la Terre
Exercice 3 :
Savoir-faire et/ou être Calculer la densité moyenne de la Terre
1.
- Calcul par la première méthode
4𝜋2 (6371.103 )3
𝑀= M = 1,5×1028 kg
6,67.10−11 (101)2
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Exercice 3 :
Savoir-faire et/ou être Exploiter les données relatives à la radioactivité pour déterminer l’origine de
l’énergie interne de la Terre
1) Calculer la quantité de chaleur totale émise par la terre.
(149,3.109×58,6) + (52,2.109×54,4) + (308,6.109×98,5) = 4,1986×1013 W
2) La cause du flux thermique important au niveau des dorsales est due au magma sous-jacent qui se trouve à
l’aplomb de la dorsale.
3) On peut concilier les deux nombres en supposant que la production d’Energie par la planète est permanente
malgré son refroidissement à travers la perte de la chaleur initiale.
4) Calculer la quantité de chaleur due à la radioactivité, émise par les différentes couches du globe terrestre.
(7. 109 × 689,7) + (2. 109 × 66,9) + (31. 1010 × 4,2) + (59. 1010 × 17,6) + (17. 1010 × 20,9) = 2,02×1013 J/s/Km3
5) L’énergie interne de la Terre a deux origines :
- La chaleur initiale stockée lors de la formation de la Terre ;
- La chaleur produite par la désintégration des isotopes radioactifs.
Cependant, l’essentiel de l’énergie interne de la terre provient de la désintégration des éléments radioactifs.
335