OoR.S.T.O.M.

CENTRE DE LOME
B.P. 375

LE ·,A

Le rôle et l'importance
de sa pratique au TOGO

(Publication provisoire)

JANVIER 1976 par EoKo Fiatoe AHIAKO

 o• R• S. T• 0 • ~1.
CENTRE DE LDME

B.P. 375

LE FA

Le r~le et llimportancp.
de sa pratique 8uTOGO
(publication provisoire)

Ces travaux ont été r~aliDés sur le terr~in

sous la direction da ~~ A." GTHILY, aocio-
lOQue à l' 0 H :3 T (J n .. CEf~TR!:: v[ Lm'lE

:lAf\IVIER 19'6
 -1-

LE FA

Le rOls et l'importance de sa pratique au TOGO.

Son nom exprime l'idée de fraîcheur, de ~aix, de

liberte3 et d'harmonie. "Froid ll au toucher selon le vrai sens du
mot "FA Il ; quelque chose qui est froid au toucher est accepta- '
ble par tous.
Il est considéré comme le père de tous les dieux (vodu)
au B~nin ~ex-Dahomey) et au To~o. Ses fonctions sont multiples.
Le Fa est consulta souvent à Itoccasion d'un malaise, d'un
malheur ou d'un projet ou d'une difficulté quand il s'agit
du choi~ et de l'installation d'un nouveau chef traditionnel,
d'un prêtre de vodu, d'un accouchement difficile, de l'envoi
d'un enfant en apprentissage, d'un voyage, d'un jugement, du
choix de son conjoint ou d'un emploi; bref il est consulté
dans une situation malheureuse ,ou incertaine, ou pour améliorer
sa situation personnelle ou celle des proches~ Son prêtre ou
devin est désigné sous le nom de IIBOKONON". C'est à lui que le
malade ou l'intérossé a recours pour connaître l'origine de son
mal.
La consultation repose sur l'interprétation des signes
obtenus et cantrolés soig~eusement par le prêtre. C'est par ces
signes "Kponli ll que celui-ci reconna1t ce\qu'il faut faire pour
réàgir à une situation donnée.
Ces signes sont classGs dans doux catégories :
Les signes mères "DOUi~OIl et les signes enfants IIVIKLII\l II •
Les signes mères sont RU nombre de seize (16) un diseptième est
appelé 18 "Messager". Les.signes enfants sont les combinaisons
des signes mères. Les noms de tous ces signes seront lus et
présentés par brdre de grandeur à la fin de la note.
Même dans les villages, on a recours au FA pendant les
décès ; on demande les raisons de la mort ; on demande égale-
ment. comment sera fait l'enterrement et, s'il s'agit de quel-
qu'un qui a reçu le FA,' on demande au mort s'il faut l'enterrer
avec son FA (1) ou non.

(1) Destruction du FA après la mort de l'initié.

 -2-

On distingue plusieurs forme de FA.

al1 • Le FA - DJISMJ
b/. Le FA - r!AGo
cl. Le FA - ATCHAKE

dl. Le FA - GoNGON
el . .Le FA - DJor~ LoUG DU

A l'origine, la FA-~AGO 6tait le prœmier et chef des FA.

On raconte que tous les FA voyageaient sous la conduite du FA~
NAGo. En, cours de route, . le FA-NAGŒ qui ~tait à la tête de la
d616gation, aurait rencontr6 un: g6nie ; il s'arrêta ot appela
ses camarades. Il leur dit qu'il ne pouvait plus continuer sa
marche et fit demi-tour. Djisan le deuxième des FA, reprit
alors la tête du convoi pour aller voir 18 génie. Arrivé près
de lui, il l'affronta et en triompha: après l'avoir frappé
durement, il fit passer ses camarades. C'est è partir de ce
jour que le FA-NAGD perdit sa place. Djisan devint le chef des
FA et Nago occupa sa place.
Le FA-DJISAf~ se fait avec 18 noix et est toujours ~n
'"
relation avec le FA-ATC!~A!([ qui est aussi fait avec 18 I-loix.
Le FA-NAGO qui est populaire, est fait avec.2D noix;
.
il est en relation avec le FA-GD~GDN qui alors est fait avec
18 noix.

1 e FA-DJDNLDUGDU qui est le dernier d8s autrès, est

a pp e16 au s si: "Z EVIf"l E- FA" ::: le FA fa i t dan s la pot e rie. Ile s t
fait aussi avec 18 noix; il est solitaire, autonome, indépen-
dant. Ses possesseurs ne font pas de purification en cas d'adul-
tère de leurs femmes au contraire des quatre autres.
Le grade de grand devin ou Bokonon, donne droit à 26-
28 noix selon. la forme de FA eu et conduit aux trois phases
d'initiation:
- La première phase est régulière c'est-à-dire qu'on don-
ne le FA dit: "ALDDEKA" à n'importe qui s'i11e faut même à un
enfant au sein de sa mère; ALDDEKA veut dire d'une soule main;
elle ne nécessits pas beaucoup de c6rdmonie ;

... / ...
 -3-

... dans toute cette cér~moni8, les noix ne changent pas ellas
sont au nombre.de 18 ·ou 20 selon le genre de FA.
- La deuxième phase est appoléele FA-ALDUE (FA de deux
mains) DU ZOUYIy'r (passa'2e d,ms le bois ou la b'roussc sacrée)
(1). Co FA n6ce3sit~ beaucoup de cdr~moniBs causant beaucoup
. .
. ' ' . "

de di..;pens8s sur lesque~).GG on reviendJ:'cî ultÉÎri8ur8f~Ent. La

premièrA et la deuxième peUv8nt avoir lieu ou être reçu~s au
même jour si l'intéressé le désire. Cotte initiation permet
à l'int0r8s~é d'avoir six noix do plus; C'D3t avec cos noix
sup:.J18rncntairr-3~' '=lU' il c:Clvient un devin m:1is, il n'est [Jas aL'-

toris0 G donner ,le FA ~ un Butro. C'est au cours de CGtt8

deuxième qu'on apprend b l'initié (le FAVI = enfant du F~)
les signes et tout c6 qui El, troit au FA ; et, c'est pour cela
qU'il doit être donné ~ celui qui a atteintl1âgo mur ou l'âge
de connaissance c'est-~-dirG P~U$ da 18 aris.
- La troisième et laderni~re partie, qui donne droit
~ l'initi~ de donner· lui aussi la rA à un autre, se fuit à

l'~gede45 ou 50 ans uniquement,'quGlquGs fois,blus tard,On

. . .
c·evient alors un gr::md Devin appelé sous le nom d'llf~DJOG8Af".jAII.
, ,

Cette pha'se s'apf1elle :. "ZOUTCHITCHI" ;on a droit à deux noix

de plus et à un temple·: "fil-BAS.SI\II.
Ln 'consultationpropr8~9nt
dite se fait à l'aide des
noix de F~ ou d'un chapelet spécialement fabriqué. L6'pr~tre
construit les signes d'aprts 18 nom~ro de noix sorties oul~
manipulation du chapolGt.
Les 83ize signes ~~r8s qui c08posent le FA sont cambi-
o ' • •

n~s ensuite antre eux pour former les aignes s8condaires~'~tu-

de de ces signes demande un trovail attentifat de longue üuréo
car, chaoue signe a sa légende, SGS rites ous8crifices,s8s
interdits, sa chanson et le v~duqui en dérive.
En attendant do voir 10 d~tail d8 tout calos nous'prd-
senteronsles signes sous toutes leurs formes.

(1) Le 80is sacré, aut~ofois etait 10 li?u oLl sn déroulait

la consécration d'un. devin. '~'\. nos jours ;~i.; faut::: de place,
'une partie de la concession ou hors de la concession est
reserv~e uniquement p~3.r le8 '-~raÎlds 8okonon pour.cette cé.
rémonie et nonplws dans la brousse. .
 3a

UN EXEMPLE DE CONSULTATION PAR LA NOIX

DE FA ET LE CHAPELET

A. - lA CONSUL TA TIDN PA R LA NO IX •

. le devin est assis sur une natte les jambes allongées et

écartées. Devant lui et entre ses jambes est pl~cés son VÊTEKPlO
(plateau en bois presque rectangulaire et sur lequel celui-ci trace
ses signes cf. F.1). En face de cet instrument et un peu à gauche,
repose une a~siette (1) à couvercle ou une petite calebasse
(cf. F.3, n03) également recouverte d'un couvercle contenant les
no ix de FA· (FAKU). Au sommet du plateau on peut voir aussi le
chapelet (cf. F3, nOS).
Ces noix de FA sont des noix de palmier (2). Sur le pla~eau
..
est répandu le YE (une épaisse couche de sciu~e fine de bois ou de
la farine de mals rendant lisible le tracé des signes). Le devin
s'installe, il extrait de son sac un VODZI (3) (cf.F.3 n04) qu'il
. présente au consu~tant (4) dans une coquille. Celui-ci prend
l'objet, l'approche de sa bouche, murmure quelques paroles puis 10
remet dans la coquille et le donne au devin qui ne le touche pas.
Apr~s l'avoir placé au sommet du plateau, il le recouvre ainsi que

le chapelet, de son vieux sac de VDDZI •. Il fait une rapide libation

d'eau au FA et d'alcool (Sodabi) aux ancêtres et au~ vodu de la con-
cession sUrtout à l'autel d'''APElI'' (5).

(1)- Au cas 'Olt le FA d'un initié ne doit pas rester dans une assiet-
te, on le met dans une petite calebasse. Dans le premier cas, le FA
interdit à son initié de boire ou de manger dans une calebasse ou
de l'utiliser.
(2 ) .. le palmier de FA est différent des autres; il est difficile à
trouver ; s'il est découvert dans un champ, le propriétaire en
prend soin. Avant même qU'il be soit utilisé, un~ cérémonie dB
libation lui est faite; il est toujours appelé :"FADE".
VOOZI est composé de plusieurs objets r,amassés ici et là :
têtes d'oiseaux morts, os, perles, graines d'arbre, pierres
polies, cauris, ampoules grillées, morceaux de fer etc •.••
(4)- Si le consultant est un malade ne pouvant pas se déplacer ni
parler, un des parents :ui touche le front et le coeur avec le
VOOZI placé dans uns feuille de "KPATIMA (hysope)" qu'il
apporte au devin.
(5 )- APELI est un LEGBA-gardien de la concession. Il est toujours'
installé au milieu de la concession. '
 3b

Il Dommence par une prière d'invocation aux dieux connus et inconnu~~

aux ancêtres, aux grands prêtres décédés et au grand devin initia-
teur,en appelle la présence des seize signes mères, du premier -
le signe'DZOGBE ou GBEMEDZI - jusqu'au dernier ~ le signe messager,
TSETULA. Dans sa prière, il demande au FA de faire appara1tre le
signe correspondant aux voeux du consultant.
Le devin doit tracer surIe tableau les signes mères qu'il
effacera (1) avant de faire appara1tre les signes propres à cette
consultation particulière.
Il compte d'abord les noix (2) pour s'assurer qu'il n'en
manque aucune et les remet en place. Il prend une poignée de noix
dans l'assiette ou la calebasse; avec les deux mains, il fait des
gestes de manipulation jusqu'à ce qu'une oU deux noix restent dans
sa paume gauche; il referme les deux mains, la droite sur la gau-
che, pour tracer le signe avec le médius et l'annulaire de la main
droite. Chaque signe est tracé du bas vers le haut dans l'ordre in-
diqué dans l'exemple ci-dessous. La lecturè ne peut s'effectuer que
lorsque ces huit opérations ont été réalisées.
2 II II 1
4 II l' 3
6 l II 5
8 l II 7
Le devin procède à une deuxième opération pour savoir si le
s~gne apparu est favorable ou néfaste (3). Il interprète ce signe
en conséquence. Il fait alors part au client des résultats de la
consultation. Si ce dernier est satisfait, la consultation est
terminée. Dans le cas contraire, le consultant demandera· des préci-
sions complémentaires et le devin devra continuer la consultation.

8.- LA CONSULTATION PAR LE CHAPELET

Le chapelet est fait avec des graines fendues par le milieu

appelées : "AVINI". Elles sont enfilées sur une ficelle, séparé8s'
ou non entre elles par des perles ou autre objet décoratif (cauris
par exemple). Ce chapelet (cf. F.2)·compte huit. demi-noix, nombre
nécessaire au tracé de tout signe.

(1). En effaçant les signes, le devin prononce la phrase suivante: 1

"Wo me no na DU mate mate tena FAOU 0". (Traduction impossible).

(2)- La façon de compter sera décrite dans une étude ultérieure plus
détaillée.
(3)- Si celui-ci est favorable,-le devin fait un gros point ou un
petit trait vertical "." "ln en haut et au milieu du signe.
S'il est néfaste, il met seulement une croix "+".
 3c.

Tantot ~l tient le chapelet à chaque extrémité, tantot il

lui imprime un balancement, avant de le lancer devant lui, sur sa
natte, d'un geste vigoureux, les deux bouts tournés vers lui.
Les noix renversées sont figurées en noir sur notre dessin,
les noix ouvertes en blanc (cf. F.2).
A la face noire correspondent deux traits verticaux, à la
face blanche un seul ; nous obtenons ainsi le signe :
*TSE-KA Il . II l
l II
II l
II II

Le devin procède à une deuxième opération pour savoir si

TSE-KA est ~avorable ou néfaste (1) et, interprète le signe en con-
séquence.
Après avoir fait part du résultat de la consultation, le
devin demande à son client. s'il a d'autres questions à poser.
La consultation terminée, le devin donne au consultant
3 graines ou. des cailloux qu'il remet dans une de ses mains en
évitant que le devin ne sache dans laquelle des mains ceux-ci se
trouvent. La dernière opération détermine la main qui contient les
objets et confirme le bon résultat de la consultation.

(1)- Les signes favorables déterminent généralement l'avenir, les

signes néfastes font référence au passé.
 YETEKPLO GUMAGA
(cha pelet)

" .
Fi g 1 Fig 2.

2
5 0,

LEGE.NDE

1 ~ . LQ. devin'

'2... Le con~LJll:anl:
3 a o
-1
3.: le 6e:.\o~·Gale6d~~e eontendnl
Fig 3 .··Ie.5 nO"IX de ta
, "

4. L ~n5el'Ylb\~ de VOdOZI'

. : 5~, Le chape,le.t
(; - Cc:1lebdS~ d Gc,t) de ti6dtion
.7- 'L6F[pel;i~ con,ne' ~e"VQnt li 5Q- .

c.r-ifier \a c:hèv1"& GlU Fa).

_/-1--
 -4 bis-

LES SIGNES SECCNDAIRES (V!KLIN)

N.B.- Les termes suivis d'un astérisque sont utilisés

comme terme de r~mplacement. l'utilisation du
terme propre ent~~ine~ait :f~. malédiction du FA'
et la sanction d~ prêtr~. Ces termes propres se-
ront d~finis dans une étude ultérieure plus
approfondie.
 -5-
.
SERIE • G8C'lEDZI ou OZDG8E
~

, .- G8E-YEI<U II
II
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9.- CAE -sA II
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II l 11.- CBC-TUI'f,ILA* 1 '1
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~.- CSE-LOSO l l
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12.- G8C-LETE
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6.- G6E-ABLA l i 14. - GflE-TSE l l

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7.- G8E-AKU\ II 15.- GSE-FU ~I

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3.- YEKU-BLEDI l II 11. - YEKU-S ITULA l II

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4.- VEKU-GBOLOSO l II 12.- YEKU-VILETE* l II

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5.- YEKU"!'SHJLOE II II 13. - YEKU-SII<A II II
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SERIE TRUKPtMEDZI, TRUKPETUTU~ LELUMEDZI ou TRUKPEDZIME

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SERIE TULAMEDZI

1.- TULA-DOLOGBE l l 9.- TULA.KPAGUDA l L

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2.- TULA.VEKU II l 10.- TULA-SA rI l
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3. - TULA.DHJOLI II 1 11.- TULA-MITUTU* II 1

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5 ... TULA ..DESO l 1 1 3.. TU LA ./<A II l

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6 .... TULA-NLOE II l 14.- TULA.T5E l l
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7.- TULA-DABLA l l .15. -' TULA-FU, II l

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8 ... TULA_DAKLA III

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 - 17 -

SERIE :LETEMEtiZI

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3.-'LETE-DAKLA II 1
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 - 18 -

SERIE : KAMEDZI.

1 .- KA-WOGBE l II 9.- KA-GUDA l II

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l II II II

2.- KA-YEKU II II 10.- KA-SA II II

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L~._ KA-XODI l II 12.- KA-TULA l II

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6.- "I<A-rJlDE
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 - 19 -

SERIE TSEi"IEDZI

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11 • - TSE-fDTRLlKPE" II l
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5.- TSE-LOSO l l 13.- TSE-8ILETE * l l

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...
6.- T5E-NLDE II l 14.- TSE-KA II 1
II II l II
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7.- T5E-Pd3LA l l 15.- TSE-FU II l

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II II III

b.- T5E-AKLA II l
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 - 20 -

SERIE : Fur"1EDZI

l II 9.- FU-KPA GUDA l II

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2.- FU-YEKIJ II II 10.- FU-SA II
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','. - FU-DI l II 12.- FU-TULA l II

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FU-LOSO 1 II 13.- FU-LETE l II

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'.J • - FU-KPA NLDE 1l II 14. - FU-KA II II
II l l l
1 II II II
l l II l

7.- FU-KPA ABLA l II 15.- FU-T3E l II

II l II l
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II . l II l

8.- FU-KPA AKLA II II

II, l
1 l II
1 1
 8 l 8 LlO G R A PHI E

ALAPINI - Le Culte de Vodou et de Oricha chez les Fon et les

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par l'ORSTOM dans un recueil de textes intitulé
(nPhén!':'mènes religieux bas-Togo, bas Dahomey")~
(Lomé"ORSTOM),(S.d.·). - 27 cm, 11p., ronéo.

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ne COte des Esclaves en Afrique; Dakar, IFAN, 1957-
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repl., h-t., (Mémoires de l' Insti tut Français
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