Vibrations Transmises Aux Membres Supérieurs
Vibrations Transmises Aux Membres Supérieurs
Vibrations Transmises Aux Membres Supérieurs
DOSSIER
VIBRATIONS TRANSMISES
AUX MEMBRES
SUPÉRIEURS
SOMMAIRE DU DOSSIER
Ce qu’il faut retenir Evaluation des risques Suivi médical
Exposition aux risques Prévenir les risques Publications et liens utiles
Effets sur la santé Réglementation
Ressources INRS
Les opérateurs tiennent-ils des pièces qui transmettent des vibrations (meulage, polissage…) ? Oui / Non
Les opérateurs se plaignent-ils d’engourdissement ou de picotements des mains, de syndrome de Raynaud, de douleurs du poignet ou du Oui / Non
coude ?
Un opérateur a-t-il développé une maladie professionnelle relevant des tableaux n° 69 8(régime général) ou n° 29 9 (régime agricole) ? Oui / Non
8 http://www.inrs-mp.fr/mp/cgi-bin/tableau.pl?tabkey=TAB_RG69
9 http://www.inrs-mp.fr/mp/cgi-bin/tableau.pl?tabkey=TAB_RA29
11
11 http://www.inrs.fr/dms/inrs/img/contenu/Schema-Niveau-Vibration2/Schema-Niveau-Vibration2.jpg
Lien utile
Le syndrome vibratoire
L’exposition régulière aux vibrations peut être à l’origine de troubles vasculaires, neurologiques et musculosquelettiques (Norme FD CR 12349 : 1996).
Troubles vasculaires
L’exposition aux vibrations transmises aux membres supérieurs peut provoquer l’apparition de troubles de la circulation sanguine au niveau des mains. Ces
troubles se traduisent dans un premier temps par un blanchiment des doigts, qui peut se compliquer de douleurs, ou de troubles de la sensibilité. Différents
termes sont employés pour décrire ces affections : doigts morts, doigts blancs, syndrome de Raynaud d’origine professionnelle…
Les troubles se manifestent plus fréquemment lors d’une exposition au froid. Ils débutent habituellement à l’extrémité d’un ou plusieurs doigts. Si l’exposition aux
vibrations se poursuit, ils peuvent s’étendre à la base des doigts. Lorsque la circulation sanguine se rétablit normalement (favorisée par la chaleur ou un massage
local), les doigts deviennent rouges et sont souvent douloureux. Ces troubles évoluent par crises qui peuvent durer de quelques minutes à plus d’une heure. La
fréquence, l'intensité et la durée des symptômes varient en fonction des caractéristiques des vibrations reçues et du froid. Ils sont réversibles à l’arrêt de
l’exposition aux vibrations.
Lors d’une crise, l’opérateur concerné peut subir des troubles de la sensibilité des doigts accompagnés d’une perte de la sensation tactile et d’une diminution de la
dextérité manuelle. Ceci peut interférer avec le travail à accomplir et accroître le risque de survenue d’un accident : lâcher d’objet, blessure avec un outil,
chute…
Troubles neurologiques
Les vibrations transmises aux membres supérieurs peuvent provoquer l’apparition de sensations d’engourdissement et de picotements des doigts et des
mains. Ces symptômes tendent à s’aggraver (en durée, en fréquence et en intensité) si l’exposition se poursuit. Les opérateurs concernés peuvent présenter une
réduction de la perception tactile ainsi qu’une dégradation de la dextérité manuelle.
Ces affections peuvent se révéler très invalidantes dans les activités professionnelles. Elles ont également des répercussions importantes sur la vie sociale et
familiale des salariés atteints. Elles peuvent par exemple rendre difficile des actes simples de la vie quotidienne (boutonner une chemise…) ou compromettre
certaines activités de loisirs (conduite de moto, sports de plein-air…).
La fréquence et la gravité de ces pathologies professionnelles dépend de différents facteurs liés à la tâche des opérateurs :
intensité, fréquence, durée de l’exposition aux vibrations
type de machine utilisé
efforts importants nécessaires pour tenir la machine (préhension, poussée…)
mouvements répétés
contraintes posturales (position du bras)
travail dans le froid
ou aux particularités des individus :
âge, force musculaire
tabagisme, prise de médicaments affectant la circulation sanguine périphérique…
pathologies préexistantes.
Multisyndrome 4
Arthrose du coude 41
Ostéonécrose du semi-lunaire 54
Total 144
Mécaniciens, ajusteurs 14
Tôliers chaudronniers 8
Autres 53
Total 144
Un opérateur exposé à des vibrations, atteint d’une pathologie ou d’un symptôme non inscrit dans les tableaux n° 69 16 (ou n° 29 17 pour le régime agricole) peut
faire une demande de reconnaissance en maladie professionnelle. Cette demande sera traitée par le Comité régional de reconnaissance des maladies
professionnelles (CRRMP) si l’affection provoque une incapacité importante (IPP supérieure à 25 %).
16 http://www.inrs-mp.fr/mp/cgi-bin/tableau.pl?tabkey=TAB_RG69
17 http://www.inrs-mp.fr/mp/cgi-bin/tableau.pl?tabkey=TAB_RA29
Les conditions d’utilisation des machines influent sur l'émission des vibrations. Une machine vibre différemment selon la façon dont elle est utilisée et entretenue.
Différents facteurs (liés à l’environnement de travail, à l’équipement ou à l’opérateur) permettent de classer les conditions d’utilisation des machines en 3 niveaux :
sévère (absence d’entretien, outils usés, machines et outils non adaptés, pression d’air inadéquate, opérateur non formé, machine obsolète…),
normale,
favorable (machines traitées contre les vibrations, machines et outils adaptés et correctement entretenus, opérateur bien formé…).
Méthode 1
Des mesures de vibration ont été réalisées au poste de travail dans les trois axes des machines utilisées et ont permis de déterminer la valeur de l'accélération
totale ahv pour chaque machine.
Méthode 2
Aucun résultat de mesures vibratoires n'est connu, mais les machines utilisées au poste de travail figurent dans l'application "OSEV main bras" (décrite ci-après).
Cette application "OSEV main bras" 22(méthode simplifiée d’estimation de l’exposition vibratoire) permet d'estimer l’exposition journalière A(8) d’un opérateur en
fonction du type de machines et des conditions de son utilisation. Elle ne nécessite aucune mesure sur le terrain ni de connaissance vibratoire particulière.
L'application simple et rapide gère elle-même les valeurs d'émission vibratoire ahv et repose sur une base de données de plus de 2000 mesures réalisées sur le
terrain. Cette application est disponible sur ce site "Vibration" de l'INRS (Outil INRS n° 59).
22 http://www.inrs.fr/media.html?refINRS=outil59
Méthode 3
En l'absence de mesures réalisées au poste et si l'application OSEV ne référence pas les machines utilisées, il est possible d'estimer l'émission vibratoire de la
machine (accélération totale ahv) en se référant :
aux valeurs fournies par la littérature (généralement sous forme de graphes),
à des bases de données contenant des mesures vibratoires sur une machine identique
à des mesures de vibration sur une machine identique,
et en dernier recours aux valeurs déclarées par le fabricant.
Suivant la source de ces données, il est possible de prendre en compte les conditions d'utilisation des machines (favorables, normales et sévères) pour pondérer
la valeur de ahv.
Cas des valeurs d’émission vibratoire déclarées par les fabricants : une source d’erreur
La directive "Machines" 2006/42/CE impose aux fabricants, importateurs et fournisseurs de machines dans un objectif de comparaison d’indiquer dans les
notices d'instruction les valeurs d’émission vibratoire transmise aux membres supérieurs suivant des codes d'essais normalisés. Les codes d'essais ne
représentant pas forcément des situations réelles de travail, il est déconseillé d'utiliser ces valeurs pour estimer l’exposition A(8). Cela peut être une
source d’erreur importante même en faisant les corrections nécessaires conformément à la norme européenne FD CEN/TR 15350 (cas des valeurs
déclarées auparavant sur un seul axe).
Méthodes 1 et 3
A partir des deux grandeurs évaluées au préalable (accélération totale et durée), le calcul du A(8) est obtenu en appliquant les deux formules mentionnées ci-
dessus. L'utilisation de la calculette vibration Main Bras 23 (Outil INRS n° 43) facilite le calcul arithmétique du A(8) et ce pour plusieurs machines vibrantes
utilisées sur une journée de 8 heures.
23 http://www.inrs.fr/media.html?refINRS=outil43
Méthode 2
Pour déterminer la valeur de A(8), l'utilisateur de l'application OSEV 24 doit répondre aux 3 étapes suivantes (Outil INRS n° 59) :
24 http://www.inrs.fr/media.html?refINRS=outil59
Etape 1 : choix par menu de la machine (ou des machines) utilisée(s) quotidiennement
Etape 2 : réponse à un questionnaire basique sur les conditions d'utilisation de chaque machine
Etape 3 : entrée de la durée réelle d'utilisation de chaque machine
En final et selon les choix et les réponses faits, l'application calcule la valeur A(8) de l'opérateur.
La liste de machines vibrantes proposée par OSEV comporte les familles de machines les plus courantes (dans les conditions habituelles d’utilisation). Elle n’est
donc pas exhaustive et les valeurs obtenues à partir de cette application sont données à titre indicatif.
Évaluation des risques professionnels Comment mesurer les vibrations émises par les machines
Cette brochure a pour but de fournir des éléments de réponses aux questions percutantes ?
les plus fréquemment posées sur le document unique d'évaluation des risques La mesure des vibrations émises par les machines percutantes permet de mieux
28 appréhender le risque vibratoire mais reste délicate. Des précautions doivent
28 http://www.inrs.fr/media.html?refINRS=ED%20887 donc être prises pour éviter des erreurs importantes. 29
29 http://www.inrs.fr/media.html?refINRS=NT%203
Liens utiles
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Le point 2.2.1.1 de l’annexe 1 prévue à l’article R. 4312-1 du Code du travail impose d’indiquer dans la notice d’instruction de toute machine portative tenue ou
guidée à la main la valeur totale des vibrations auxquelles est exposé le système main-bras lorsqu'elle dépasse 2,5 m/s² ou le cas échéant, la mention que cette
valeur ne dépasse pas 2,5 m/s². Le code d'essai normalisé approprié doit également être mentionné.
Valeurs seuils
Pour les vibrations transmises aux membres supérieurs, les articles R. 4443-1 et R.4443-2 du Code du travail fixent 2 valeurs seuils d’exposition journalière (pour
8 heures de travail quotidiennes) :
une valeur déclenchant l’action de prévention, nécessitant la mise en œuvre de mesures pour réduire les expositions,
une valeur limite ne devant jamais être dépassée. La valeur d’exposition journalière A(8) (exprimée en m/s²) d’un opérateur est à comparer à ces valeurs.
Valeur d'exposition journalière 2,5 m/s2 Si elle est dépassée, des mesures techniques et organisationnelles doivent
déclenchant l’action être prises afin de réduire au minimum l’exposition.
(dite « valeur d’action »)
Valeur limite d’exposition journalière 5,0 m/s2 Ne doit jamais être dépassée.
L’évaluation des niveaux vibratoires et, si nécessaire, le mesurage, doivent être planifiés et effectués par des personnes compétentes à des intervalles appropriés.
L’inspection du travail peut mettre en demeure un employeur de faire procéder à un mesurage de l’exposition aux vibrations mécaniques par un organisme
accrédité par le Cofrac 37(article R 4722-19 du Code du travail).
37 http://www.cofrac.fr/fr/organismes?list-6584597
Note :
Pour déterminer l'exposition vibratoire journalière A(8), l’article R. 4444-1 du Code du travail donne le choix à l'employeur entre mesurer le niveau vibratoire
transmis par la (ou les) machine(s) ou faire une estimation de ces accélérations 38 avant d'appliquer les formules de calcul du A(8) mentionnées dans l'arrêté du
6 juillet 2005 39.
38 http://www.inrs.fr/risques/vibration-membres-superieurs/evaluation-risque.html
39 https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000262405
Les résultats de l’évaluation des risques doivent être retranscrits dans le document unique et les résultats des niveaux de vibrations mécaniques ou du mesurage
sont conservés sous une forme susceptible d'en permettre la consultation pendant une durée de dix ans. Ils doivent être tenus à la disposition des membres du
comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et, à leur demande, de l’inspection du travail, et des agents des services prévention des Caisses
régionales d’assurance maladie ou les Caisses d’assurance retraites et de la santé au Travail (Cram / Carsat / CGSS).
Lorsqu’il procède à l’évaluation des risques, l’employeur doit notamment prendre en compte les éléments suivants :
les facteurs ergonomiques susceptibles d’aggraver cette exposition (gestes répétés, efforts importants pour tenir la machine…) ;
les conditions de travail particulières, comme les basses températures ;
les conclusions tirées par le médecin du travail de la surveillance de la santé des travailleurs ;
les incidences des vibrations sur les travailleurs les plus sensibles comme les femmes enceintes et les jeunes de moins de 18 ans.
Lorsque l'évaluation des risques fait apparaître que des travailleurs sont exposés à des risques dus aux vibrations mécaniques, l'employeur veille à ce que ces
travailleurs reçoivent des informations et une formation en rapport avec le résultat de l'évaluation des risques et avec le concours du service de santé au travail.
La réduction des risques d'exposition aux vibrations mécaniques se fonde sur, notamment :
La mise en œuvre d'autres procédés de travail permettant de réduire les valeurs d'exposition journalière ;
Le choix d'équipements de travail appropriés, bien conçus sur le plan ergonomique et produisant, compte tenu du travail à accomplir, le moins de vibrations
possible ;
Des programmes appropriés de maintenance des équipements de travail et du lieu de travail ;
La modification de la conception et de l'agencement des lieux et postes de travail ;
L'information et la formation adéquates des travailleurs afin qu'ils utilisent correctement et de manière sûre les équipements de travail, de façon à réduire au
minimum leur exposition à des vibrations mécaniques ;
La limitation de la durée et de l'intensité de l'exposition ;
L'organisation différente des horaires de travail, prévoyant notamment des périodes de repos ;
La fourniture aux travailleurs exposés de vêtements les maintenant à l'abri du froid et de l'humidité.
Lorsqu'en dépit de ces mesures, les valeurs limites d'exposition ont été dépassées, l'employeur prend immédiatement des mesures pour ramener
l'exposition au-dessous de celles-ci, détermine les causes du dépassement et adapte les mesures de protection et de prévention en vue d'éviter un nouveau
dépassement.
Tout salarié bénéficie d’une visite d’information et de prévention (VIP), réalisée par un professionnel de santé (médecin du travail ou bien, sous son autorité, le
collaborateur médecin, l'interne en médecine du travail ou l'infirmier), dans les 3 mois qui suivent la prise effective du poste de travail.
Cette visite a notamment pour objet :
d’interroger le salarié sur son état de santé ;
de l'informer sur les risques éventuels auxquels l’expose son poste de travail ;
de le sensibiliser sur les moyens de prévention à mettre en œuvre ;
d’identifier si son état de santé ou les risques auxquels il est exposé nécessitent une orientation vers le médecin du travail ;
de l’informer sur les modalités de suivi de son état de santé par le service et sur la possibilité dont il dispose, à tout moment, de bénéficier d’une visite à sa
demande avec le médecin du travail.
Pour plus d’informations voir la page « suivi médical » 42
42 http://www.inrs.fr/risques/vibration-membres-superieurs/suivi-medical.html
Resources INRS
Syndrome des vibrations. La main et le bras en danger Évaluation des risques professionnels
Dépliant de sensibilisation sur le syndrome des vribrations. Le risque est L'objet de cette brochure est d'aider les responsables à initier de manière simple
présent dès qu'il y a utilisation régulière d'une machine, d'un outil ou une démarche de prévention dans leur entreprise : repérage des risques,
équipement tenu à la main et hautement vibrant. 43 exemples de mesures de prévention 44
43 http://www.inrs.fr/media.html?refINRS=ED%206204 44 http://www.inrs.fr/media.html?refINRS=ED%20840
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Les salariés exposés à des vibrations font désormais d’objet d’une visite d’information et de prévention (VIP) réalisée par un professionnel de santé, c’est-à-
dire, le médecin du travail ou bien, sous son autorité, le collaborateur médecin, l'interne en médecine du travail ou l'infirmier.
La VIP doit être réalisée dans un délai qui n’excède pas 3 mois à compter de la prise effective du poste de travail, sauf pour certains salariés plus particulièrement
sensibles aux vibrations pour lesquels des dispositions spécifiques sont prévues. Il en est ainsi concernant :
les apprentis, pour lesquels la VIP doit être réalisée dans un délai de 2 mois ;
les jeunes travailleurs de moins de dix-huit ans (à l’exception des jeunes travailleurs affectés sur des travaux interdits susceptibles de dérogations), pour
lesquels la VIP doit être effectuée préalablement à leur affectation sur le poste.
La VIP a notamment pour objet d’interroger le salarié sur son état de santé, de l'informer sur les risques éventuels auxquels l’expose son poste de travail, de le
sensibiliser sur les moyens de prévention à mettre en œuvre et d’identifier si son état de santé ou les risques auxquels il est exposé nécessitent une orientation
vers le médecin du travail.
A l’issue de cette visite, le professionnel de santé délivre une attestation de suivi au travailleur et à l’employeur. Les femmes enceintes, allaitantes ou venant
d’accoucher, sont orientées sans délai, et, à tout moment si elles le souhaitent, vers le médecin du travail.
La VIP est ensuite renouvelée selon une périodicité fixée par le médecin du travail, en prenant en compte les conditions de travail, l’âge et l’état de santé du salarié,
ainsi que les risques auxquels il est exposé, sans que le délai entre deux visites, ne puisse toutefois excéder 5 ans.
L’employeur doit être tenu informé par le médecin du travail de toute conclusion significative provenant notamment du suivi de l'état de santé du salarié exercé
par le professionnel de santé, dans le respect du secret médical.
Lorsqu'un travailleur est atteint d'une maladie ou d'une affection identifiable, considérée par le médecin du travail comme résultant d'une exposition à des
vibrations mécaniques sur le lieu de travail, ce travailleur est informé par le médecin des résultats et de l'interprétation des examens médicaux dont il a bénéficié.
Le médecin du travail détermine la pertinence et la nature des examens éventuellement nécessaires pour les travailleurs ayant subi une exposition semblable à
celle d'un travailleur atteint d'une maladie ou affection susceptible de résulter d'une exposition à des vibrations.
Dossier médical
Formation INRS
Lien utiles
Ressources INRS
Actes du colloque INRS « Bruit et vibrations au travail ». Hygiène et sécurité du travail n° 223 - 2011
Vibrations Mains-bras. Des mesures en toute simplicité. Travail & Sécurité n° 734 - décembre 2012
De Dietrich - Des fouloirs bien suspendus. Magazine Travail & Sécurité n° 647 - février 2008
Interaction entre forces de couplage et vibrations émises par une meuleuse pneumatique. Hygiène et sécurité du travail n° 210 - 2008
Vib@Work, capteurs pour la mesure des vibrations
A télécharger
« Guide de bonnes pratiques en matière de vibrations main bras». Guide consultatif de bonnes pratiques en vue de l'application de la directive
2002/44/EC relative aux exigences minimales d'hygiène et sécurité pour l'exposition des employés aux risques résultant d'agents physiques
(vibrations). - 2006, 65 p. (fichier pdf, 1 Mo)
« Physical Agents Portal ». Base de données sur les agents physiques réalisée par l’institut italien de prévention des risques professionnels (INAIL)
(en anglais)
Le site européen VibGuide (en anglais)