Rayane

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La résistance algérienne

Malgré toutes les difficultés, le peuple algérien a toujours résisté à l’occupant, génération après
génération jusqu’à l’indépendance. Je pense que l’Algérie a survécu à ces moments difficiles grâce à
ses braves enfants.
D’abord, de 1830 à 1920, chaque recoin du pays a fait un mouvement de révolte malgré les
massacres, les destructions massives et les incendies que les colons n’hésitaient pas à présenter
comme « l’unique moyen pour gagner la guerre ».
Ensuite, après la création des mouvements populaires en 1920, la résistance a pris de nouvelles
formes, surtout avec l’apparition des partis politiques, en effet, entre 1920 et 1945, on a enregistré
des actions des maquisards, des attentats contre les colons.
Puis, le 8 mai 1945, après la défaite du fascisme, les Algériens souhaitaient que les Français réalisent
leur promesse. Ils ont fait des manifestations pour réclamer leur liberté, mais malheureusement, ces
manifestations sont réprimées dans le sang par les colonisateurs.
Enfin, le mouvement irrésistible qui a uni tous les Algériens aboutit à la grande insurrection
victorieuse de 1954 qui a duré sept ans et demi et a terminé par mettre fin à l’ennemi en 1962.
Ainsi, la résistance extraordinaire du peuple algérien a fait toujours l’admiration du monde.
Ahmed Akkache, « La résistance algérienne de 1845 à 1945 »

La résistance algérienne
Malgré toutes les difficultés, le peuple algérien a toujours résisté à l’occupant, génération après
génération jusqu’à l’indépendance. Je pense que l’Algérie a survécu à ces moments difficiles grâce à
ses braves enfants.
D’abord, de 1830 à 1920, chaque recoin du pays a fait un mouvement de révolte malgré les
massacres, les destructions massives et les incendies que les colons n’hésitaient pas à présenter
comme « l’unique moyen pour gagner la guerre ».
Ensuite, après la création des mouvements populaires en 1920, la résistance a pris de nouvelles
formes, surtout avec l’apparition des partis politiques, en effet, entre 1920 et 1945, on a enregistré
des actions des maquisards, des attentats contre les colons.
Puis, le 8 mai 1945, après la défaite du fascisme, les Algériens souhaitaient que les Français réalisent
leur promesse. Ils ont fait des manifestations pour réclamer leur liberté, mais malheureusement, ces
manifestations sont réprimées dans le sang par les colonisateurs.
Enfin, le mouvement irrésistible qui a uni tous les Algériens aboutit à la grande insurrection
victorieuse de 1954 qui a duré sept ans et demi et a terminé par mettre fin à l’ennemi en 1962.
Ainsi, la résistance extraordinaire du peuple algérien a fait toujours l’admiration du monde.
Ahmed Akkache, « La résistance algérienne de 1845 à 1945 »
Le pêcher magique

Il y avait une fois une pauvre petite fille qui n'avait ni père ni mère, et elle était si pauvre qu'elle ne
possédait rien, pas même une poupée. Quand ses parents étaient morts, une vieille voisine l'avait
recueillie et lui donnait matin et soir un peu de lait et un peu de pain. Un jour, pendant qu'elle
balayait devant la porte, elle vit quelque chose briller dans la poussière. C'était un simple noyau de
pêche, mais si propre, si rose si joli que la petite fille, au lieu de le jeter, le mit dans sa poche. « Ce
soir, se dit-elle, je le planterai dans la petite cour. Si j'arrose tous les jours, peut-être un pêcher
poussera. Que ce serait joli si j'avais un arbre ! » Et dès que son travail fut fini, elle prit une pelle et
s'en alla dans la cour. Là, elle se mit à creuser la terre sèche et dure tant et si bien qu'elle fit un trou
profond où elle enterra son joli noyau rose. Puis elle alla se coucher. Le lendemain matin, déjà, la
petite fille vit avec surprise qu'une tige sortait du sol. Vite, elle alla chercher de l'eau pour l'arroser.
Dès que l'eau eut touché terre, voici que la tige se mit à pousser, et devint en quelques minutes un
joli petit pêcher avec trois branches qui se couvrirent de feuilles. Le soir venu, elle courut vers son
pêcher. En l'examinant, la petite fille découvrit sous chacune de ses feuilles vertes, une clochette
d'argent. Et quand elle posa sa vieille chaise sous l'arbre et s'assit pour se reposer, un vent léger
passa, et toutes les clochettes se mirent à sonner, en faisant la musique la plus douce. Alors
commença une vie délicieuse.

Le pêcher magique

Il y avait une fois une pauvre petite fille qui n'avait ni père ni mère, et elle était si pauvre qu'elle ne
possédait rien, pas même une poupée. Quand ses parents étaient morts, une vieille voisine l'avait
recueillie et lui donnait matin et soir un peu de lait et un peu de pain. Un jour, pendant qu'elle
balayait devant la porte, elle vit quelque chose briller dans la poussière. C'était un simple noyau de
pêche, mais si propre, si rose si joli que la petite fille, au lieu de le jeter, le mit dans sa poche. « Ce
soir, se dit-elle, je le planterai dans la petite cour. Si j'arrose tous les jours, peut-être un pêcher
poussera. Que ce serait joli si j'avais un arbre ! » Et dès que son travail fut fini, elle prit une pelle et
s'en alla dans la cour. Là, elle se mit à creuser la terre sèche et dure tant et si bien qu'elle fit un trou
profond où elle enterra son joli noyau rose. Puis elle alla se coucher. Le lendemain matin, déjà, la
petite fille vit avec surprise qu'une tige sortait du sol. Vite, elle alla chercher de l'eau pour l'arroser.
Dès que l'eau eut touché terre, voici que la tige se mit à pousser, et devint en quelques minutes un
joli petit pêcher avec trois branches qui se couvrirent de feuilles. Le soir venu, elle courut vers son
pêcher. En l'examinant, la petite fille découvrit sous chacune de ses feuilles vertes, une clochette
d'argent. Et quand elle posa sa vieille chaise sous l'arbre et s'assit pour se reposer, un vent léger
passa, et toutes les clochettes se mirent à sonner, en faisant la musique la plus douce. Alors
commença une vie délicieuse.

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