Du Contrat Social
Du Contrat Social
Du Contrat Social
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J.-J. ROUSSEAU
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LIBRAIRIE DE LA BIBLIOTHÈQUE NATIONALE
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1880
Tous droits réservés
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APP 1 2 1932
4/12/32
NOTICE
SUR
LIVRE PREMIER
III. -
— Du droit du plus fort.
10
IV. - De l'esclavage.
VII. -· Du souverain.
DE CONTRAT SOCIAL
34
LIVRE II
VI. De la loi.
VII. - Du législateur.
VIII. - Du peuple.
X. - Saite.
LIVRE III
L. -· Du gouvernement en général.
IV. De la démocratie.
V. De l'aristocratie.
VI. De la monarchie,
( In civili.
105
de confondre le gouvernement royal avec ce
lui d'un bon roi . Pour voir ce qu'est ce gou
vernement en lui-même , il faut le considérer
sous des principes bornés ou méchants, car
ils arriveront tels au trône , ou le trône les
rendra tels .
Ces difficultés n'ont pas échappé à nos au
teurs ; mais ils n'en sont point embarrassés.
Le remède est , disent-ils , d'obéir sans mur
mure. Dieu donne les mauvais rois dans sa co
lère, et il les faut supporter comme des châ
timents du ciel. Ce discours est édifiant, sans
doute; mais je ne sais s'il ne conviendrait pas
mieux en chaire que dans un livre de politi
que. Que dire d'un médecin qui promet des
miracles et dont tout l'art est d'exhorter son
malade à la patience? On sait bien qu'il faut
souffrir un mauvais gouvernement quand on
l'a; la question serait d'en trouver un bon.
(1. II, c. 1x) sur les inconvénients des grands Etats, car
s'agissait là de l'autorité du gouvernemen sur ses
membres, e il s'agit ici de sa force contre fes su
jets. Ses membres èpars lui servent de point d'appui
pour agir au loin sur le peuple, mais il n'a uul point
d'appui pour agir directement sur ses membres mê
mes. Ainsi, dans l'un des cas, la longueur du levier en
fait la faiblesse, et la force dans l'autre cas.
G 115
nisse les crimes, et celui-là qu'on les pré
vienne ; l'un trouve beau qu'on soit craint des
voisins, l'autre aime mieux qu'on en soit
ignoré; l'un est content quand l'argent cir
cule, l'autre exige que le peuple ait du pain.
Quand même on conviendrait sur ces points
et d'autres semblables, en serait-on plus
avancé ? Les quantités morales manquant de
mesure précise, fût-on d'accord sur le signe,
comment l'être sur l'estimation ?
Pour moi, je m'étonne toujours qu'on mé
connaisse un signe aussi simple, ou qu'on ait
la mauvaise foi de n'en pas convenir. Quelle
est la fin de l'association politique ? C'est la
conservation et la prospérité de ses membres.
Et quel est le signe le plus sûr qu'ils se con
servent et prospèrent? c'est leur nombre et
leur population. N'allez donc pas chercher ail
leurs ce signe si disputé. Toutes choses d'ail
leurs égales , le gouvernement sous lequel,
sans moyens étrangers , sans naturalisation,
sans colonie , les citoyens peuplent et multi
plient davantage , est infailliblement le meil
Jeur; celui sous lequel un peuple diminue et
dépérit est le pire . Calculateurs , c'est main
tenant votre affaire : comptez, mesurez, com
parez (1).
(1) On doit juger sur le même principe des siècle
qui méritent la préférence pour la prospérité du genre
humain. On a trop admiré ceux où l'on a vu fleurir les
lettres et les arts, sans pénétrer l'objet secret de leur
culture, sans en considérer le funeste effet : Idque
apud imperitos humanitas vocabatur, cum pars
servitutis esset. Ne verrons- nous jamais dans les
maximes des livres l'intérêt grossier qui fait parler les
auteurs? Non, quoi qu'ils en puissent dire; quand,
-116 -
XIII. - Suite.
XIV. -Suite.
&.
139 -
LIVRE IV.
E. - Des suffrages.
(1) Ramnenses.
(2) Tatienses.
(3) Luceres.
151 -
lement de lieux, mais d'hommes, il défendit
aux habitants d'un quartier de passer dans
un autre, ce qui empêcha les races de se con
Th fondre.
I doubla aussi les trois anciennes centuries
de cavalerie, et y en ajouta douze autres, mais
= toujours sous les anciens noms, moyen simple
et judicieux par lequel il acheva de distinguer
le corps des chevaliers de celui du peuple,
sans faire murmurer ce dernier.
A ces quatre tribus urbaines , Servius en
ajouta quinze autres, appelées tribus rusti
C ques, parce qu'elles étaient formées des habi
J tants de la campagne partagés en autant a
cantons . Dans la suite, on en fit autant de
nouvelles , et le peuple romain se trouva
enfin divisé en trente-cinq tribus, nombre au
quel elles restèrent fixées jusqu'à la fin de la
république.
De cette distinction des tribus de la ville et
des tribus de la campagne résulta un effet di
gne d'être observé, parce qu'il n'y en a point
d'autre exemple, et que Rome lui dut à la fois
la conservation de ses mœurs et l'accroisse
ment de son empire. On croirait que les tri
bus urbaines s'arrogèrent bientôt la puis
sance et les honneurs, et ne tardèrent pas d'a
vilir les tribus rustiques ; ce fut tout le con
traire. On connaît le goût des premiers Ro
mains pour la vie champêtre. Ce goût leur
3 venait du sage instituteur qui unit à la liberté
3. les travaux rustiques et militaires, et relégua,
pour ainsi dire, à la ville, les arts, les métiers,
l'intrigue, a fortune et l'esclavage.
Ainsi, tout ce que Rome avait d'illustre vi
152 -
vant aux champs et cultivant la terre, on
s'accoutuma à ne chercher que là les soutiens
de la république. Cet état, étant celui des plus
dignes patriciens, fut honoré de tout le monde;
la vie simple et laborieuse des villageois fut
préférée à la vie oisive et lâche des bour
geois de Rome, et tel n'eût été qu'un malheu
reux prolétaire à la ville, qui, laboureur aux
champs, devint un citoyen respecté. Ce n'est pas
sans raison, disait Varron, que nos magnani
mes ancêtres établirent au village la pépi
nière de ces robustes et vaillants hommes
qui les défendaient en temps de guerre et les
nourrissaient en temps de paix. Pline dit po
sitivement que les tribus des champs étaient
honorées à cause des hommes qui les com
posaient ; au lieu qu'on transférait, par igno a
minie, dans celles de la ville les lâches qu'on
voulait avilir. Le Sabin Appius Claudius étant
venu s'établir à Rome, y fut comblé d'hon
neurs et inscrit dans une tribu rustique, qui
prit dans la suite le nom de sa famille. Enfin,
les affranchis entraient tous dans les tribus
urbaines, jamais dans les rurales, et il n'y
a pas, durant toute la république, un seul
exemple d'aucun de ces affranchis parvenu
à aucune magistrature. quoique devenu ci
toyen.
Cette maxime était excellente ; mais elle
fut poussée si loin, qu'il en résulta enfin un
changement, et certainement un abus dans la
police.
Premièrement , les censeurs , après s'être
arrogé longtemps le droit de transférer arbi
trairement les citoyens d'une tribu à l'autre,
- 153
permirent à la plupart de se faire inscrire
dans celle qui leur plaisait, permission qui,
sûrement, n'était bonne à rien et ôtait un
des grands ressorts de la censure. De plus,
Eles grands et les puissants, se faisant tous
inscrire dans les tribus de la campagne, et les
affranchis, devenus citoyens, restant avec la
populace dans celle de la ville, les tribus, en
général, n'eurent plus de lieu ni de territoire;
mais toutes se trouvèrent tellement mêlées,
qu'on ne pouvait plus discerner les membres
de chacune que par les registres ; en sorte
que l'idée du mot tribu passa ainsi du réel
au personnel , ou plutôt devint presque une
chimère.
19% Il arriva encore que les tribus de la ville
étant plus à portée, se trouvèrent souvent les
plus fortes dans les comices, et vendirent l'E
tat à ceux qui daignaient acheter les suffrages
de la canaille qui les composait .
A l'égard des curies , l'instituteur en ayant
fait dix à chaque tribu, tout le peuple romain,
alors renfermé dans les murs de la ville , se
trouva composé de trente curies , dont cha
cune avait ses temples , ses dieux, ses offi
ciers , ses prêtres , ses fêtes appelées Compi
talia, semblables aux Paganalia qu'eurent dans
la suite les tribus rustiques.
Au nouveau partage de Servius, ce nombre
de trente ne pouvant se répartir Sgalement
dans ces quatre tribus, il n'y voulut point tou
cher, et les curies, indépendantes des tribus ,
devinrent une autre division des habitants de
Rome ; mais il ne fut point question de curies,
ni dans les tribus rustiques, ni dans le peuple
154 ―
qui les camposait , parce que les tribus étant
devenues un établissement purement civil, et
une autre police ayant été introduite pour la
levée des troupes , les divisions militaires de
Romulus se trouvèrent superflues. Ainsi, quoi
que tout citoyen fût inscrit dans une tribu, il
s'en fallait beaucoup que chacun ne le fût
dans une curie.
Servius fit encore une troisième division ,
qui n'avait aucun rapport aux deux précéden
tes, et devint, par ses effets , la plus impor
tante de toutes. Il distribua tout le peuple ro- C
main en six classes, qu'il ne distingua ni par
le lieu, ni par les hommes, mais par les biens,
en sorte que les premières classes étaient je
remplies par les riches , les dernières par les es
pauvres, et les moyennes par ceux qui jouis- e
saient d'une fortune médiocre. Ces six classes qu
étaient subdivisées en cent quatre-vingt-treize
autres corps, appelés centuries, et ces corps e
étaient tellement distribués , que la première
classe en comprenait seule plus de la moitié, e
et la dernière n'en formait qu'un seul. I seel
trouva ainsi que la classe la moins nombreuse ed
en hommes, l'était le plus en centuries, et que by
la dernière classe entière n'était comptée que ar
pour une subdivision , bien qu'elle continta
seule plus de la moitié des habitants de Rome.
Afin que le peuple pénétrât moins les con
séquences de cette dernière forme, Servius at
fecta de lui donner un air militaire ; il ir séra s
dans la seconde classe deux centuries d'armu me
riers , et deux d'instruments de guerre dans
la quatrième ; dans chaque classe, except a no
dernière , il distingua les jeunes et les vieux
135 -
c'est-à-dire ceux qui étaient obligés de porter
les armes et ceux que leur âge en exemptait
par les lois ; distinction qui, plus que celle des
biens, produisit la nécessité de recommencer
souvent le cens ou dénombrement ; enfin, il
voulut que l'assemblée se tînt au champ de
Mars, et que tous ceux qui étaient en âge de
servir y vinssent avec leurs armes.
La raison pour laquelle il ne suivit pas, dans
la dernière classe, cette même division deg
jeunes et des vieux, c'est qu'on n'accordait
point à la populace dont elle était composée,
l'honneur de porter les armes pour la patrie :
il fallait avoir des foyers pour obtenir le droit
de les défendre, et de ces innombrables trou
pes de gueux dont brillent aujourd'hui les ar
mées des rois, il n'y en a pas un, peut-être,
qui n'eût été chassé avec dédain d'une cohorte
romaine, quand les soldats étaient les défen
seurs de la liberté.
On distingua pourtant encore, dans la der
nière classe, les prolétaires, de ceux qu'on ap
pelait capitecensi. Les premiers, non tout à fait
réduits à rien, donnaient au moins des ci
toyens à l'Etat, quelquefois même des soldats
dans les besoins pressants. Pour ceux qui n'a
vaient rien du tout et qu'on ne pouvait dé
nombrer que par leurs têtes, ils étaient regar
dés comme nuls, et Marius fut le premier qui
daigna les enrôler.
Sans décider ici si ce troisième dénombre
ment était bon ou mauvais en lui-même, je
den crois pouvoir affirmer qu'il n'y avait que les
te mœurs simples des premiers Romains, leur
désintéressement, leur goût pour l'agricul
- 156 -
ture, leur mépris pour le commerce et pour
l'ardeur dr gain, qui pussent le rendre pra
ticable. Où est le prince moderne chez lequel
la dévorante avidité, l'esprit inquiet, l'inti
gue, les déplacements continuels , les perpe
tuelles révolutions de fortunes pussent laisser
durer vingt ans un pareit établissement sans
bouleverser tout l'Itat? Il faut même bien re
marquer que les mœurs et la censure , plus
fortes que cette institution, en corrigèrent le
vice à Rorne , et que tel riche se vit relégué
dans la classe des pauvres pour avoir trop
étalé sa richesse.
De tout ceci l'on peut comprendre aisément
pourquoi il n'est presque jamais fait mention
que de cinq classes, quoiqu'il y en eût réelle
ment six. La sixième ne fournissant ni soldats
à l'armée , ni votants au champ de Mars (1) ,
et n'étant pres que d'aucun usage dans la ré
publique , était rarement comptée pour quel
que chose.
Telles furent les différentes divisions du
peuple romain. Voyons à présent l'effet qu'el
les produisaient dans les assemblées. Ces as
semblées , légitimement convoquées , s'appe
laient comices ; elles se tenaient ordinaire
ment dans la place de Rome ou au champ de
Mars, et se distingua'ent en comices par cu
ries , comices par centuries et comices par
tribus, selon celles de ces trois formes sur la
(1 ) Je dis au champ de Mars , parce que c'était là
que s'assemblaient les con ices pár centuries , dans les
deux autre formes, le pet ple s'assemblait au Forum
ou ailleurs et alors les arpitecensi avaient autant
d'influens d'autorité que les premiers citoyens.
- 157 -
quelle elles étaient ordonnées. Les comices
par curies étaient de l'institution de Romu
lus ; ceux par centuries, de Servius ; ceux par
11
1yea
VI. - De la dictature.
IX. Conclusion.
Pages.
NOTICE Sur J.-J. Rousseau, par N. DAVID......
DU CONTRAT SOCIAL
LIVRE PREMIER
1. →
គត
១៩
Sujet de ce premier livre.....
ខន
ឌ
II. A
៖
Des premières sociétés... 16
III. Du droit du plus fort ......…………………
IV. - De l'esclavage.... ....
V. - Qu'il faut toujours remonter à une pre
mière convention. ..............
VI. - Du pacte social......
…………………… ......... 27
VII. Du souverain.....…………………………………………........
VIII. De l'état civil ..………………………………………......
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MUSÉE NATIONAL
COLLECTION DE PORTRAITS DES PERSONNAGES
LES PLUS CÉLÈBRES
accompagnés de leurs Biographies