Compte Rendu Machines Électriques 2 - 1
Compte Rendu Machines Électriques 2 - 1
Compte Rendu Machines Électriques 2 - 1
Compte rendu :
MACHINES ELECTRIQUES
Réalisé par :
Encadré par :
• Mohammed Taha ELOUELLAD
M. Omar DIOURI
• Walid ELQARFA
• Mohammed OUAHID
• Yassine AGRIGAH
• Mohammed Reda LKHZAMI
• Mohammed LAABADI
• Mostapha OUAHMANE
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SOMMAIRE
CONCLUSION………………………………………………………..22
2
<
2.2 Synchronisation
La synchronisation est un aspect crucial du fonctionnement des machines synchrones. Elle se
produit lorsque la vitesse angulaire du rotor correspond à la fréquence du courant alternatif,
assurant ainsi un suivi parfait du champ magnétique rotatif du stator.
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2.3 Principe de fonctionnement
Le moteur synchrone se compose, comme le moteur asynchrone, d’un stator et d’un rotor
séparés par un entrefer. La seule différence se situe au niveau de la conception du rotor. La
figure ci-dessous montre un rotor à pôles saillants constitués d’aimants permanents ou
d’électro-aimants alimentés en courant continu.
Après le démarrage, le moteur tourne en synchronisme avec le champ tournant. A vide les axes
des pôles du champ tournant et du rotor sont confondus. En charge, les axes sont légèrement
décalés. La vitesse du moteur synchrone est constante quelle que soit la charge. On notera aussi
que :
• La charge (le système d’ascenseur) ne doit pas dépasser l’effort de démarrage entre le
rotor et le champ tournant.
2.4 Stator
Figure : Stator
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Le stator est une partie fixe d'une machine électrique, généralement située autour du rotor. Il
joue un rôle crucial dans la génération du champ magnétique nécessaire au fonctionnement de
la machine, que ce soit dans un moteur électrique ou un générateur. Le stator est composé de
bobines de fil conducteur alimentées par un courant électrique, créant un champ magnétique
stationnaire qui interagit avec le rotor en mouvement pour produire le mouvement mécanique
ou générer de l'électricité.. Il se compose principalement :
• De la carcasse
• Des paliers
• Des flasques de palier
• Du ventilateur refroidissant le moteur
• Le capot protégeant le ventilateur
L’intérieur du stator comprend essentiellement :
• Un noyau en fer feuilleté de manière à canaliser le flux magnétique,
• Les enroulements (ou bobinage en cuivre) des trois phases logées dans les encoches du
noyau.
Dans un moteur triphasé les enroulements sont au nombre minimum de trois décalés l’un de
l’autre de 120° comme le montre le schéma ci-dessous.
Lorsque les enroulements du stator sont parcourus par un courant triphasé, ceux-ci produisent
un champs magnétique tournant à la vitesse de synchronisme. La vitesse de synchronisme est
fonction de la fréquence du réseau d’alimentation (50 Hz en Europe) et du nombre de paire de
pôles. Vu que la fréquence est fixe, la vitesse du moteur peut varier en fonction du nombre de
paires de pôles.
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Nombre de paires de pôles Nombre de pôles Vitesse de rotation (tr/min)
1 2 3000
2 4 1500
3 6 1000
4 8 750
5 10 600
6 12 500
2.5 Le rotor
Le rotor est la partie mobile du moteur synchrone. Couplé mécaniquement à un treuil
d’ascenseur par exemple, il va créer un couple moteur capable de fournir un travail de montée
et de descente de la cabine d’ascenseur. Il se compose essentiellement d’une succession de pôles
Nord et Sud intercalés sous forme d’aimants permanents ou de bobines d’excitation parcourues
par un courant continu. On distingue donc deux types de moteurs :
• Aimants permanents
• Rotors bobinés
Rotor à aimant permanent
Ce sont des moteurs qui peuvent accepter des courants de surcharge importants pour démarrer
rapidement. Associés à des variateurs de vitesse électronique, ils trouvent leur place dans
certaines applications de motorisation d’ascenseurs lorsque l’on cherche une certaine compacité
et une accélération rapide (immeuble de grande hauteur par exemple).
Rotor bobiné
Ce type de machines est réversible car elles peuvent fonctionner en régime moteur comme en
régime alternateur. Pour les moyennes et grosses puissances, les moteurs synchrones à rotor
bobiné, associé avec un variateur de vitesse, sont des machines performantes.
Comme le montre la figure ci-dessous, le rotor est composé d’un empilement de disques
ferromagnétiques. Comme dans le stator du moteur, des enroulements sont logés dans des
encoches pratiquées sur le rotor et reliés électriquement aux bagues de bout d’arbre.
L’alimentation en courant continu s’effectue via l’ensemble bagues-balais.
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Le contrôle de la vitesse de rotation d'un moteur synchrone revêt une importance cruciale dans
de nombreuses applications. La relation fondamentale permettant d'appréhender les paramètres
influençant la vitesse de rotation est exprimée par l'équation suivante :
n0=n
Où :
• n0 est la vitesse du champ tournant (en tr/min)
• n est la vitesse de rotation de l'arbre du moteur (en tr/min)
Cette relation peut être décomposée davantage en utilisant la formule :
𝑓
n= 𝑝 × 60
Où :
• f est la fréquence du réseau (en Hz),
• p est le nombre de paires de pôles du stator.
Ainsi, il est possible de réguler la vitesse de rotation en agissant sur deux paramètres principaux:
• Le nombre de paires de pôles, ce qui est réalisable dans le cas de moteurs à nombre de
pôles variable.
• La fréquence du réseau.
Le contrôle de la fréquence est la méthode la plus courante dans la régulation électronique de
la vitesse des moteurs synchrones, notamment grâce à l'utilisation de variateurs de vitesse. Il
convient de noter que, pour démarrer un moteur synchrone, il est souvent nécessaire de recourir
à un système auxiliaire, car le rotor ne peut pas "accrocher" un champ tournant statorique trop
rapide, notamment à des vitesses de l'ordre de 3 000 tr/min.
L'utilisation d'un variateur de fréquence associé au moteur synchrone permet de démarrer le
moteur avec une fréquence statorique initialement faible, voire nulle. En ajustant la fréquence
et la tension sans perte significative de puissance, il devient possible de piloter efficacement la
vitesse de rotation du moteur, étant donné que la vitesse du champ tournant au niveau du stator
évolue en conséquence.
3. Applications Spécifiques
Les moteurs synchrones, en raison de leur aptitude à maintenir une vitesse constante, sont
couramment utilisés dans des applications industrielles où une précision de contrôle est
cruciale. Cela inclut des domaines tels que la production chimique, l'industrie pétrolière et
gazière, ainsi que la fabrication de papier.
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4. Avantages des machines synchrones
1.1 Stabilité de Fréquence
L'un des principaux avantages des machines synchrones est leur capacité à maintenir une
fréquence constante, ce qui contribue à la stabilité des réseaux électriques.
1.2 Efficacité Énergétique
Les machines synchrones offrent un rendement élevé, contribuant ainsi à une conversion
d'énergie efficace et économique.
1.3 Contrôle Précis
Elles permettent un contrôle précis de la vitesse et de la puissance, ce qui est essentiel dans de
nombreuses applications industrielles.
5- Inconvénients des Machines synchrones
5.1 Coût Initial
Malgré leurs avantages, les machines synchrones peuvent avoir un coût initial élevé d'achat et
d'installation, ce qui peut être un facteur limitant dans certaines applications.
5.2 Maintenance
Certaines machines synchrones nécessitent une maintenance régulière, ce qui peut augmenter les
coûts opérationnels.
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6. Relations et bilan de puissance :
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II. Les machines asynchrones
1.Généralement :
Les moteurs asynchrones représentent au moins 80% des moteurs électriques ; cela est
dû à leur simplicité de construction et à la facilité de démarrage.
Définition :
La machine asynchrone, connue également sous le terme anglo-saxon de machine à induction,
est une machine électrique à courant alternatif sans connexion entre le stator et le rotor. Comme
les autres machines électriques (machine à courant continu, machine synchrone), la machine
asynchrone est un convertisseur électromécanique basé sur l'électromagnétisme permettant la
conversion bidirectionnelle d'énergie entre une installation électrique parcourue par un courant
électrique (ici alternatif) et un dispositif mécanique. Il est constitué d'une partie fixe, le stator
qui comporte le bobinage, et d'une partie rotative, le rotor qui est bobiné en cage d'écureuil. Les
circuits magnétiques du rotor et du stator sont constitués d'un empilage de fines tôles
métalliques pour éviter la circulation de courants de Foucault. Le moteur asynchrone est
constitué de deux parties : le stator et le rotor.
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Figure 2 :vue en coupe d’une machine asynchrone
2. Principe de fonctionnement :
2.1 Création d’un champ tournant :
Le fonctionnement d’un moteur asynchrone s’explique par la loi de LENZ, un champ
tournant produit la rotation d’un disque de cuivre ce disque tourne à une vitesse inférieure à
celle du champ tournant. Si on alimente 3 bobines, identiques placées à 120° par une tension
alternative triphasée :
Une aiguille aimantée, placée au centre, est entraînée en rotation ; il y a donc bien création d’un
champ tournant.
Un disque métallique en aluminium ou en cuivre est entraîné dans le même sens que l’aiguille
aimantée.
En inversant deux des trois fils de l’alimentation triphasée, l’aiguille ou le disque tourne en sens
inverse.
Les trois champs alternatifs produits par les bobines alimentées en courant triphasé se
composent pour former le champ tournant.
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2.2 Relation d’électrotechnique :
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Organes Électriques :
• Enroulements statoriques.
• Barres rotoriques (rotor à cage).
• Enroulement rotorique (rotor bobiné)
• Plaque à bornes.
• Boite à bornes
Organes Magnétiques :
• Circuit magnétique fixe.
• Circuit magnétique mobile.
Organes Mécaniques :
• Carcasse.
• Pattes de fixation
• Rotor avec l’arbre.
• Visseries
• Roulements .
• Ventilateur.
• Capot de ventilateur.
• Flasques.
• Graisseurs.
• Anneau de levage
2.4 Le Stator :
C’est la partie fixe du moteur. Il est constitué d’une carcasse sur laquelle est fixé une
couronne de tôles d’acier de qualité spéciale munies d’encoches. Des bobinages de section
appropriée sont répartis dans ces dernières et forment un ensemble d’enroulements qui
comporte autant de circuits qu’il y a de phases sur le réseau d’alimentation.
2.5 Le Rotor :
C’est la partie mobile du moteur, il est placé à l’intérieur du stator, et constitué d’un
empilage de tôles d’acier formant un cylindre claveté sur l’arbre du moteur, il tourne à une
vitesse inférieure à la vitesse du champ tournant. Il est placé dans un champ tournant par rapport
à lui, il doit être feuilleté pour réduire les pertes par courant de Foucault.
Couplage des enroulements du stator :
Les bobines du stator peuvent être couplés soit :
En triangle.
En étoile.
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Le choix du couplage dépend :
De la tension nominale des bobines
Des tensions du système triphasé d’alimentation.
Pratiquement, le raccordement des bobines sur la plaque à bornes est tel qu’un jeu de trois
barrettes, permet de réaliser aisément l’un ou l’autre de ses deux couplages :
Dans le cas du moteur asynchrone, sa vitesse est toujours inférieure d’une valeur
désignée par le glissement.
Exemple :
Ns=1500 tr/min → Vitesse moteur asynchrone 1450 tr/min.
𝑁𝑠−𝑁𝑟 1500−1450
g= = =0.03 = 3%
𝑁𝑠 1500
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3.2 Rotor à double cage :
Ce rotor comporte 2 cages, l’une extérieure assez résistante l’autre intérieure de résistance
plus faible. Au début du démarrage, le flux étant de fréquence élevée, les courants induits sont
dans la cage intérieure.
3.3 Le rotor bobiné (rotor à bagues) :
C’est un cylindre constitué de tôles empilées solidaire de l’arbre du moteur, les encoches
sont percées dans ses tôles. Près de la surface de ce cylindre, des conducteurs passent dans ses
encoches est sont réunis à une de leur extrémité en court-circuit, l’autre extrémité est raccordée
à 3 bagues permettant une liaison avec un circuit fixe (des résistance). Les pôles du rotor sont
en même nombre que le stator. Sur les bagues viennent frotter des balais raccordés au dispositif
de démarrage. Ces moteurs ont un couple de démarrage s’élevant jusqu’à 2.5 Cn, et le courant
de démarrage est sensiblement égal à celui du couple.
Vitesse :
Dans les alternateurs, les enroulements statoriques sont soumis à l’influence des pôles «
NORD » et « SUD » qui en se déplaçant, induit la force électromotrice alternative caractérisée
par sa fréquence et sa tension. La fréquence est liée à la vitesse et au nombre de paires de pôles
par la relation F=P.Ns avec F : Fréquence en hertz (Hz), P : Nombre de paires de pôles et Ns :
Vitesse de synchronisme (tr/s) Pour la fréquence de 50 Hz, les vitesses de synchronisme sont
données dans le tableau suivant :
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III. Machines à courant continu
1. Introduction
Une machine à courant continu est une machine électrique. Il s'agit d'un
convertisseur électromécanique permettant la conversion bidirectionnelle d'énergie entre une
installation électrique parcourue par un courant continu et un dispositif mécanique ; selon la source
d'énergie.
Dans l'industrie, les machines à courant continu sont largement utilisées pour plusieurs
applications :
• Commande de Vitesse : Les moteurs à courant continu sont souvent utilisés dans les
applications nécessitant un contrôle précis de la vitesse, comme les convoyeurs, les
machines-outils et les appareils de levage.
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• Applications de Traction: Dans les systèmes de transport, tels que les trains, les
tramways et les métros, les moteurs à courant continu sont utilisés pour leur capacité à
fournir un couple élevé à des vitesses variables.
Ces exemples démontrent la polyvalence des machines à courant continu dans l'industrie,
offrant des solutions efficaces pour une variété d'applications nécessitant un contrôle précis et
une grande fiabilité.
• Stator : Le stator est la partie fixe autour du rotor. Il produit un champ magnétique
constant ou à excitation séparée pour interagir avec le rotor.
• Bobinages : Les bobinages sont des groupes d'enroulements utilisés pour créer
différents types de circuits électriques, tels que ceux pour le rotor et le stator.
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Les machines à courant continu (MCC) présentent plusieurs avantages et inconvénients :
✓ Avantages :
• Efficacité : Les MCC sont connus pour leur efficacité énergétique élevée à des vitesses
variables.
➢ Inconvénients :
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• Coût initial : Ils peuvent être plus coûteux à l'achat et à l'installation que certains autres
types de moteurs.
Malgré ces inconvénients, les machines à courant continu restent populaires pour leur
adaptabilité et leur capacité à fournir un contrôle précis dans de nombreuses applications
industrielles et commerciales.
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Partie calculs et synthèses
❖ Essai à vide
Dans la première étape, nous avons débuté par mesurer la résistance du stator d'un moteur à
l'aide d'un ohmmètre, obtenant une valeur de 1,2 ohms. Ensuite, nous avons procédé à un essai
à vide en couplant le moteur en configuration étoile et en le connectant au réseau. Pour surveiller
les paramètres électriques, un ampèremètre a été ajouté en série, tandis qu'un voltmètre a été
placé en parallèle.
Dans la deuxième phase de l'expérience, nous avons connecté un moteur triphasé et un moteur
synchrone triphasé, les reliant par un arbre commun. Initialement, le stator du moteur triphasé a
été couplé en configuration triangle et connecté au réseau électrique pour l'alimentation.
Ensuite, le stator de la machine synchrone a été couplé, et l'induit a été connecté à une source
d'alimentation continue, accompagné d'un ampèremètre en série. Pour mesurer la tension E,
équivalente à U, un voltmètre a été ajouté entre deux bornes d'une résistance du stator.
On varie la valeur de Ie et voir la valeur de E, les résultats son représenter dans le tableau ci-
dessous :
Ie (A) 0.4 0.8 1.2 1.6 2 2.4 2.8 3
E (V) 55 108 157 180 202 219 230 236
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Conclusion
Au cours du travail pratique dédié aux machines électriques, nous avons pu acquérir une
compréhension approfondie des caractéristiques inhérentes à ces moteurs. À travers
l'exploration méticuleuse des configurations de couplage et la mesure précise des variations de
tension et de courant, nous avons réussi à discerner les différences fondamentales qui
distinguent ces deux types de machines. Ces expériences ont agi comme un catalyseur pour
enrichir de manière substantielle notre compréhension des multiples applications et des
performances des moteurs électriques.
Cet apprentissage détaillé offre des perspectives significatives quant à l'utilisation de ces
moteurs dans divers contextes industriels. En effet, en comprenant les nuances entre les
machines synchrones et asynchrones, nous sommes mieux équipés pour choisir et optimiser
l'utilisation de ces moteurs en fonction des exigences spécifiques de différentes applications
industrielles. Ainsi, cette expérience pratique a contribué de manière significative à élargir notre
expertise dans le domaine des moteurs électriques, ouvrant la voie à des applications plus
précises et performantes dans l'industrie.
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