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Que P

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Sub.

Syndétiques -> Complétives -> [que P]


(hola chicos, como hemos dicho de hacer esto para tontos os pongo una pequeña nota.
Según el esquema de francisco esto es el punto 2, que se sitúa dentro de las completivas,
dentro de las subordinadas syndéticas. Este punto se desarrolla a partir de otros 3
subpuntos, que son los siguientes:
1. Définition, composition, usage et analyse
2. Fonctions de la sub. Completive conjonctive pure (dentro de la función sujeto
encontraréis la aposición, la secuencia del impersonal, el término subyacente,
todas ellas se corresponden con la función sujeto)
3. Mode du verbe: aquí no he encontrado los ejemplos, creo que no tengo una
ficha, pero con la teoría creo que esta bastante claro, pero me decís si hay algo
que no os cuadre
[que P]
1. Propositons conjonctives pures [que P]
1.1. Définition, composition, usage, analyse :
- Les complétives introduites par la conjonction (que) sont les plus
fréquentes ou les plus communes. L’ordre des mots est canonique et le
conjonction (que) n’a aucune fonction, elle est juste un instrument de
subordination. Peuvent assumer les fonctions d’un G.N. Elles sont
indispensables à la phrase car si on les enlève le sens de la phrase change
- Ce type de phrase complétive se divise en 2 groupes
a. [que P] : conjonction (que) joue un triple rôle : démarcation –
enchâssement – nominalisateur. En même temps il n’a pas de
fonction dans la phrase. Cette construction ne peut pas être placer
après une préposition.
b. [ce que P] : selon la grammaire générative on utilise ce type de
phrase quand il y’a une préposition [à, de, en, sur ]. Le pronom « en »
a besoin de « de » / le pronom « y » a besoin de « à ». Faire attention
aux subordonnées relatives introduites par [ce que] dans ce cas-là le
[que] n’est pas une conjonction et joue un rôle dans la phrase
b.1. Néanmoins ils existent 2 types d’analyse pour cette
construction.
- Grammaire générative : [à ce que] va ensemble = subordonnée
complémenteur (noyau du syntagme) + complément du complémenteur.
Analyse préférable
- Grevisse : [à de] séparé et joue le rôle de la préposition
b.2. Ils existent 2 types de constructions : selon le registre,
l’usage, le contexte et la préférence qui soit liée à la réalisation de
la phrase.
- Écrit : « Ils consentent à que je parte » // se souvenir de
- Oral : « Il consent que je parte » // se souvenir que
-> Double analyse :
- [De ce que] subordonnant complémentaire + reste du complément (générativistes)
- [De ce que] test de pronominalisation
- Locutions conjonctives lorsqu’il s’agit de la fonction C.N.

1.2. Fonctions de la complétive conjonctive pure :


- Sujet : la langue tend à éviter l’usage de [que P] comme sujet. En
échange, on propose d’autres alternatives dites impersonnelles pour
éviter cette construction. On trouve le pronom « il » entant que pronom
non-référentiel et a la fonction de régir l’accord du verbe en personne
a. Apposition :
- [que P] est étonnant = [que P] fonction sujet // [que P], c’est étonnant =
[que P] fonction apposition [que P] me fond l’âme = [que P] fonction
sujet Séquence de l’impersonnel :
- [que P] est compréhensible = il s’agit d’une construction artificielle, [que
P] est le sujet, Il est compréhensible [que P] // C’est compréhensible [que
P]
- (« il » et « c’est » sont des sujets apparents - [que P] est le sujet réel et
logique selon la tradition grammaticale. Fonction séquence de
l’impersonnel, terme complétif) – vb. attributif
b. Terme sous-jacent libre :
- [que P] me fond l’âme = [que P] fonction sujet // [que P], cela me fond
l’âme (vb. copulatif)
- [que P] fonction apposition Prop. Sub. Opposée au pronom sujet
- [que P] terme nominal libre qui ne fait plus partie de la phrase, terme en
extra-position, détaché ou détermine la fonction qu’il avait avant le
détachement par rapport à la position sous-jacente du sujet.
c. Constructions impersonnelles – quasi-impersonnelles, Le Goffic :
- Constructions impersonnelles lorsque on utilise le pronom « il »
- Constructions quasi-impersonnelles lorsque on utilise le pronom est « ce
»
d. Structures en prolepse – reprise : ce type de constructions ont lieu
quand [que P] se situe en tête de phrase (position de prolepse) ou à la
fin (reprise)
e. Détachement : on prend un constituant de la phrase et on le place en
tête ou à la fin pour en faire le thème du discours – COD. Le procès
de détachement, phrase disloquée, segmentée.
- C. Nom :
« L’idée qu’il porte me révolte »
- Attribut :
- Il y a des structures attributives qui ne sont pas claires et e prêtent à une
double analyse. Pour savoir où se trouve le sujet de [que P] il faut faire le
test de focalisation : c’est ____ qui/que ______
- De cette façon on peut identifier le sujet et l’attribut
« L’important c’est qu’il soit là demain »
- COD :
- « je veux [qu’il vienne] » les conjonctives pures les plus fréquentes. On
les trouve après de verbes de volonté (vouloir) de sentiment, de jugement
(penser, trouver, vouloir) de déclaration (dire)
- C. Prép // COI :
Analyse traditionnelle : « Je me refuse à ce qu’il vienne avec nous »
Autre analyse : « Je me refuse à ce qu’il vienne avec nous »
- C. Adj : « Je suis sûr que tu réussiras »
- C. Adv : selon des philosophes
Thème d’une prédication averbale : « Heureusement que tu es arrivé à
temps »
1.3. Mode du verbe
 Principe base : le sens du rapport de la completive détermine le mode de
la completive. Le mode de la subordonnée pourra être déterminée par la
modalité du support
 Zones d’hésitation :
1. La catégorie du verbe :
2. Les valeurs du verbe : valeur déclarative / interprétative / de
perspective
3. Verbes polysémiques (structures) : la variation du mode est liée à la
polysémie du verbe support = structure argumentale différente
- Indicatif : lorsque celui qui parle envisage le contenu de son énoncé
comme actualisé lorsqu’il considère comme vrai ce contenu, alors il va
l’inscrire dans la temporalité. Est obligatoire après les verbes comme
dire, croire, penser, etc… sauf lorsque ces verbes sont à la modalité
négative ou sont niés. Dans ce cas-là le subjonctif est possible
- Subjonctif : est obligatoires après craindre, souhaiter, se réjouir,
regretter etc. Celui qui parle souhaite exprimer que le contenu de
l’énoncé appartient au monde des possibles. Ce qui est commandé par la
subjectivité, l’affectivité de l’énonciateur est au subjonctif, soit qu’il
veuille exprimer
a. Désir
b. Point de vue
- Modalité déclarative : offre la possibilité de 2 modes
a. Doute / négation + négation = indicatif
b. Vb. D’opinion + déclaration + négation = subjonctif
- Modalité négative : offre les 2 modes
a. Indicatif :
b. Subjonctif :
- Modalité interrogative : subjonctif
- Le locuteur ne prend pas en charge ce qui est dit dans la prop : P. 31
- Le locuteur prend en charge le contenu de la subordonnée : P. 32

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