Kit SNCC Formation Catechistes 2014

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SNCC - KIT « FORMATION DES CATECHISTES »

Servir
la formation des catéchistes

1. Présentation
Dans le cadre de l’Année de la foi, le SNCC s’est donné une priorité : la formation des acteurs de la
catéchèse.

Vous avez pu participer à une Journée du « 20ème anniversaire du Catéchisme de l’Eglise catholique »
(dont les conférences sont disponibles dans la collection « Documents Episcopat, n° 9-10/2012 :
« Expression de la foi de l’Eglise ») suivie d’un Kit de formation du SNCC (le retrouver sur
www.catechese.catholique.fr) à destination des équipes diocésaines pour soutenir des démarches
d’appropriation par les catéchistes de ce document de la foi de l’Eglise.

Un travail conduit par la Commission épiscopale de la catéchèse et du catéchuménat (CECC) a eu lieu au


cours d’une journée avec les Instituts de théologie pastorale (IPER, IER, IERP, ISPC…) en janvier 2013. Il
s’agissait de porter un regard prospectif sur la formation des responsables en catéchèse pour que toute
l’Eglise grandisse dans sa responsabilité catéchétique selon la dynamique du Texte national pour
l’orientation de la catéchèse en France (TNOC).

Puis la session nationale d’été sur « La formation des catéchètes aujourd’hui » (3-5 juillet 2013) a voulu
assumer le rapport de la Parole de Dieu et des diverses expressions de la foi. Trop souvent, nous
sommes conduits à penser ces deux « lieux » de la foi en extériorité l’un par rapport à l’autre. Pour les
lier intérieurement, la session nationale a voulu prendre au sérieux le Directoire général de la catéchèse
(DGC) qui en appelle à une formation intégrale de la personne « par la promotion de tâches d’initiation,
d’éducation et d’enseignement. Autrement dit, des catéchistes qui soient, à la fois, des maîtres, des
éducateurs et des témoins » (DGC 92).

Voici maintenant ce nouveau Kit formation : « Servir la formation des catéchistes ». Il a été pensé pour
permettre aux équipes diocésaines de s’approprier les meilleurs fruits de la session nationale d’été et de
soutenir l’action de formation dans les diocèses avec les quatre fiches qui le composent.

SNCC – KIT « Formation des catéchistes » – février 2014 1


2. Comment utiliser ces fiches ?
Ces fiches sont à destination des équipes diocésaines. Elles veulent trouver leur place dans les temps de
« réflexion » de vos équipes. Vous pourrez aussi les communiquer aux divers réseaux de responsables en
catéchèse de votre diocèse…

Chacune des quatre fiches est « autonome » et peut s’utiliser indépendamment des autres. Mais il est
possible de se servir de plusieurs d’entre-elles voire des quatre, ensemble ou séparément !

Elles sont utilisables en amont d’une formation pour la « penser », la « préparer ». Elles peuvent aussi
bien servir en aval, pour relire l’acte de formation et l’évaluer. Chacune ne joue pas le même rôle.

3. Sommaire
Fiche « Se laisser travailler par la Parole… » Il s’agit de mesurer toujours davantage
l’importance de la parole de Dieu dans l’action catéchétique ; comment elle
nourrit la foi et engage un dialogue vital avec chaque catéchiste.

Fiche « Prendre en compte les lieux de l’expérience de foi des catéchistes… » Il s’agit
de faire droit aux dimensions personnelle et ecclésiale de la foi.

Fiche « Entrer dans l’expérience de foi... » Il s’agit de déployer l’organicité de la foi (foi
professée, célébrée, vécue et priée) afin de permettre une formation intégrale
de la personne.

Fiche « Prendre en compte le temps et la personne… » Il s’agit de relire avec une


dimension ’’spirituelle’’ les propositions de formation avant de les vivre.

Nous sommes heureux de vous confier le fruit de notre travail au terme de quelques étapes centrées sur
la formation des catéchistes aujourd’hui.

Bonne continuation du travail à vous dans vos équipes, vos diocèses, et les écoles de formation des
catéchistes…

Avec toute l’équipe nationale,


P. Luc Mellet, Directeur du SNCC

SNCC – KIT « Formation des catéchistes » – février 2014 2


Se laisser travailler par la Parole…

En jetant un regard sociologique sur la société française, la Lettre aux catholiques de France (1996)
appelait les chrétiens à refuser une privatisation de la foi. C’est pourquoi « l’Eglise toute entière [était
conviée] à se mettre en état d’initiation […] en accueillant plus résolument la nouveauté de l’Evangile 1».
Dix ans plus tard, le TNOC réitère cette invitation2. Pour quelle raison, une lecture plénière de l’Ecriture
est-elle importante ? Comment procéder dans une formation de catéchistes ?

1. De l’importance d’une lecture plénière de l’Ecriture


Cette affirmation que le magistère rappelle dans le
« La foi n’est pas uniquement adhésion
vitale à Dieu, mais aussi assentiment de Directoire Général pour la Catéchèse indique qu’il y a
l’intelligence et de la volonté à la vériténécessité de reprendre la question de la transmission des
révélée » contenus de la foi aujourd’hui. La mission du catéchète est
(Directoire général pour la catéchèse § 130)
de développer toutes les dimensions de la foi de telle
sorte que celle-ci puisse être connue, célébrée, vécue et
priée. Comment permettre à quelqu’un de s’abandonner « tout entier et librement » à Dieu, discerner
sa vocation, si son intelligence, sa volonté, son cœur, sa mémoire ne sont pas sollicités et nourris ? Le
christianisme est avant tout une vie ou une force intérieure. Croire relève d’un choix personnel qui ne
saurait être effectué une fois pour toutes.

Mais, la vérité engendrée par la foi ne se révèle jamais de l’ordre d’un savoir confortable. En effet, toute
catéchèse vivante fait retentir, en s’appuyant sur l’Ecriture, la question de la Vérité et de la Vie. Le
simple fait d’exister comme être humain place chacun obligatoirement devant cette question originaire
du croire, espérer, aimer. Or l’Ancien et le Nouveau Testament ne cessent de la soulever. Si bien que
catéchisé et catéchiste ne sauraient sortir indemnes de cette provocation que le travail de l’Ecriture
engendre d’autant qu’il en va de l’identité nouvelle que le Christ offre à toutes celles et ceux qu’Il
appelle.

Travailler l’Ecriture, se laisser travailler par l’Ecriture est donc prioritaire. Il s’agit de faire une « lecture
plénière de l’Ecriture », c'est-à-dire une lecture qui lie Ancien et Nouveau Testament et qui révèle que le
Christ en est la clé de lecture.

Comment procéder pour qu’une telle lecture soit possible lors de la préparation puis de la réalisation
d’une formation de catéchistes ?

1
Proposer la foi dans la société actuelle, Lettre aux catholiques de France, p.35
2
Texte National pour l’Orientation de la Catéchèse en France, p.28

SNCC – KIT « Formation des catéchistes » – février 2014 3


2. Pour favoriser une lecture plénière de l’Ecriture
Une lecture plénière d’un texte biblique suppose une écoute active (un travail) de ce qu’il dit, repérant
les liens entre Ancien et Nouveau Testament et ce qui est manifesté du mystère du Christ.
• Qu’est-ce qui est dit du projet de Dieu pour les hommes ?

3. Pour favoriser le travail de l’Esprit


Ouvrir son cœur à l’action de l’Esprit dans la formation « Pour accueillir la Révélation, l’homme doit
• Comment la formation favorise-t-elle la disponibilité et l’ouverture du ouvrir sa conscience et son cœur à l’action
cœur de chacun à l’action de l’Esprit ? Comment permet-elle de se de l’Esprit Saint qui lui fait comprendre la
laisser travailler par la Parole, de la méditer ? Parole de Dieu présente dans les Ecritures
Saintes » (Benoît XVI, Verbum Domini, n°25)

« Le synode a insisté à plusieurs reprises sur


Un climat de prière dans la formation
l’exigence d’une approche priante du texte
• Comment la formation permet-elle d’approcher l’Ecriture en établissant sacré comme élément fondateur de la vie
un dialogue avec Dieu ? spirituelle de tout croyant » (VD 86)

Une lecture ecclésiale durant la formation « C’est une Parole qui s’adresse à chacun
Pour que la lecture ne reste pas subjective : personnellement, mais c’est aussi une Parole qui construit
la communauté, qui construit l’Eglise. C’est pourquoi le
• Comment la formation favorise-t-elle la découverte par
texte sacré doit toujours être abordé dans la communion
chacun qu’il est impliqué dans l’histoire du salut ? Quel
ecclésiale (…) il est important de lire l’Ecriture Sainte et
avenir, quelle espérance ouvre ce texte ?
d’entendre l’Ecriture Sainte dans la communion de l’Eglise,
• Comment la formation aide-t-elle chacun à faire le lien c‘est-à-dire avec tous les grands témoins de cette Parole,
entre la Parole de Dieu et la foi professée, célébrée, vécue, en commençant par les premiers Pères, jusqu’aux saints
priée ? d’aujourd’hui, jusqu’au Magistère actuel » (VD 86)

De tout son être, dans la formation


L’écoute suppose l’implication de chacun avec tout son corps, son intelligence, ses sens, l’épaisseur de
sa vie et de son histoire (ses questions vitales, ses espérances, ses doutes…).

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Prendre en compte les lieux de l’expérience de foi
des catéchistes

La formation des catéchistes s’enracine dans l’expérience personnelle de foi et dans l’expérience
ecclésiale des personnes auxquelles elle s’adresse. Prendre en compte cette expérience est capital dans la
formation pour porter sur elle un nouveau regard et en recueillir les fruits.

1. Pour visiter nos lieux de foi

- Le Credo comme acte de confiance devant d’autres et avec d’autres (foi professée en Eglise)
- Les sacrements comme le fait de recevoir Dieu et de dire merci (foi célébrée en Eglise)
- L’action comme foi active qui transforme le monde en vue du Royaume en lien avec la société
dans laquelle nous vivons (foi vécue)
- La prière comme se tenir devant Dieu ensemble et personnellement (foi priée)

• De quelle manière cela est-il proposé dans la formation ?

2. Pour se laisser interroger par nos lieux de foi

Ce sont des lieux vivants :


- Lieux d’apprentissage de la vie ecclésiale
- Lieux qui conduisent à une plus grande liberté intérieure
- Lieux de mémoire et d’anamnèse
- Lieux d’unification et d’intégration
- Lieux de croissance et d’adaptation mais aussi parfois de rigidité
- Lieux de conversion, de déplacement et de transformation
- Lieux parfois de combat intérieur et extérieur

• Comment la formation permet-elle aux catéchistes de mettre des mots sur ce qu’ils vivent dans ces
lieux ? En quoi cela est-il formateur pour eux ? A quelle conversion cela les convie-t-ils ?

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3. Pour habiter les lieux de la foi

• Dans la formation, la foi est-elle présentée comme une entité vivante et évolutive au travers des
relations et dans une dynamique de conversion permanente ?
• La formation articule-t-elle le « je crois » et le « nous croyons » au sens où la foi est toujours un acte
éminemment personnel et éminemment ecclésial ? Comment cette formation contribue-t-elle à
« l’édification de sa propre maison de la foi » ?
• Comment cette formation met-elle en valeur la dimension dialogale de la foi : importance de
l’initiation à la conversation (à l’image de la dimension dialogale de la Révélation) en lien avec nos
contemporains et la culture dans laquelle nous sommes insérés ?
• Comment la formation invite-t-elle le catéchiste à une posture de témoin et de serviteur ? (Ce qui
suppose que les formateurs soient aussi dans cette posture…).

Cette fiche nous a fait traverser et habiter nos lieux de foi. Si la foi est professée, elle est aussi vécue,
priée et célébrée dans des lieux concrets qui sont tout aussi formateurs. Les honorer permet d’unifier sa
vie et de mieux vivre la mission confiée.

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Entrer dans l’expérience de foi

Le catéchiste n’est pas seulement un témoin qui fait vivre une expérience, il est un acteur qui met en
mots l’expérience de la foi de l’Eglise. La catéchèse prend alors appui sur les quatre parties du
Catéchisme de l’Eglise Catholique (CEC) qui interagissent dans l’acte de formation.
La démarche proposée ici est inductive. Elle part de l’image introduisant la 4ème partie du CEC.

Miniature du monastère de Dionysiou sur le mont Athos,


peinte à Constantinople, XI° s.
1. Pour passer du voir au croire

L’image choisie dans la première étape de cette fiche,


permet de repérer la dimension de la foi priée (Notre
Père, 4ème partie du CEC) et de la foi professée (Credo,
1ère partie du CEC).

Avec l’image
• Qui sont les personnages et comment les
identifier ? (signes, gestes, postures).
• Que font-ils ? à quels indices le repérer ?

Avec Mc 1, 32-37 particulièrement les versets 35-37.


• Est-il possible de retrouver des éléments du partage précédent ?

Quelques repères
• Le Christ se tourne vers le Père (voir CEC §2599). Il prie seul, dans un lieu désert ou sur la montagne.
Ce lien privilégié du Christ avec son Père nourrit toute relation à Dieu.
• Les disciples rassemblés regardent Jésus. Pierre, le chef des apôtres, tourné vers eux, leur indique
Celui qui est le Maître et le Chemin de la prière chrétienne (voir CEC §2607).

Résonnance
« Seigneur, apprends-
La foi professée et la foi priée sont intimement liées dans un acte de formation de catéchistes. nous à prier… Quand
• A quels aspects importants de la foi ce visuel et les échanges précédents conduisent-ils vous priez, dites… ».
pour une formation ? (Lc 11,1-2)
• Comment la prière s’articule-t-elle aux autres temps de la formation ?
Servir ce lien peut être le rôle du témoignage d’un croyant au cours de la formation.

La formation travaillera aussi sur la foi célébrée (Sacrements, 2ème partie du CEC) et la foi vécue (vie dans
l’Esprit – Commandements, 3ème partie du CEC).

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2. Pour articuler tous les modes d’expression de la foi

Durant la formation, l’articulation des diverses modalités de l’expression de la foi sert la maturation de
toutes les composantes de l’être croyant. Il est important de se demander comment la formation assure
entre autre :
• Le lien entre la foi professée (1ère partie du CEC) et la foi vécue (3ème partie) ?
• Le lien entre la prière de Jésus au Père et la prière des disciples, donnée par le Christ (le Notre Père -
4ème partie du CEC) et l’expérience éthique de l’amour de Dieu et des frères (3ème partie) ?
• Le lien entre la prière de Jésus (4ème partie) et les célébrations sacramentelles (2ème partie) ?

3. Pour favoriser la croissance de « l’être catéchiste » (pape François)

Les quatre niveaux de l’expression de la foi sont liés les uns aux autres dans une formation qui vise la
dimension intégrale de la personne, « parce que cela engage la vie » (pape François), toutes les
dimensions de la personne (cognitive, psychologique, affective, corporelle, historique, sociale,
spirituelle…).

Développer la cohérence dans la formation


Foi :
• Découvrir le Mystère pascal comme centre de la foi qui donne cohérence à tout l’organisme Professée, célébrée,
de la foi. vécue, priée
• Entrer dans l’initiative divine de création et de salut, toujours gratuite.
Expérience de Vie :
• Inscrire l’existence dans la suite du Christ comme Vérité ultime du sens des engagements et La réflexion, le don,
des actes. la relation,
• Progresser en la confiance qui fait vivre dans la dépendance amoureuse du Christ, Lui qui en l’ouverture à l’Autre
est la source et le terme.

Aider à « garder et alimenter la mémoire de Dieu » (pape François) dans la formation Dimensions :
• Clarifier la connaissance de Dieu (comme source, dynamisme, amour, communion, salut…) théologique
• Clarifier la connaissance de l’homme (comme capacité à aimer, répondre, reconnaître, anthropologique
choisir, se donner…)
• Clarifier aussi l’avenir, la destinée ultime de l’homme (son entrée dans l’alliance sponsale, eschatologique
mystique, éternelle, offerte par Dieu)

Ouvrir un questionnement sur le devenir « disciple missionnaire » (pape François) dans la formation
La formation est attentive au travail de maturation de la personne et permet de reconnaître les fruits de
l’Esprit (conversion éclairée par la foi reçue de l’Eglise et des témoins qui l’incarnent).
• Comment la formation fait-elle grandir la vie apostolique ?

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Prendre en compte le temps et la personne

La formation peut être un temps pour conformer sa vie au Christ, devenir disciple, unifier sa vie en
s’ajustant à lui, entrer dans sa fécondité, annoncer la Bonne Nouvelle dans la joie.
Voici trois étapes pour relire avec une dimension ’’spirituelle’’ les formations proposées, avant de les
vivre, en ayant à l’esprit que c’est toute la personne qui doit être prise en compte par une formation
intégrale (DGC § 29, 237). Chaque étape, permet de vérifier comment la formation met en œuvre les
différents points d’attention suggérés.
Il est possible de reproduire les arbres et de noter dans les bourgeons, les feuilles, les fruits, comment
chaque point est honoré.

Étape 1 : Je suis (ce que la personne est en arrivant à la formation)

Comment chacun est accueilli personnellement ?


Les conditions d’accueil disent-elles l’amour du Christ pour chacun ?

Comment tient-on compte de l’histoire, de la vie de chacun


dans les propos que l’on tient, dans les propositions
qui sont faites ? Comment tient-on compte de l’expérience
catéchétique des participants ?

Comment chacun est rejoint dans son existence propre par des questions
qui le touchent, le concernent, l’intéressent…?
Comment la formation prend en compte les dynamismes vitaux
des personnes ?

Comment chacun honore les engagements pour lesquels il a été appelé


pour cette formation, comment y est-il fidèle?

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Étape 2 : Je deviens (la personne au cours de la formation)
Quelles modalités permettent de se confronter à une foi professée, célébrée, vécue,
priée ?
Comment permet-on à chacun de se construire, de bâtir une relation aux autres,
avec Dieu pendant la formation ?

Quelles prises de conscience peuvent s’opérer ?


Quelle place aux refus, aux doutes, aux difficultés ?

Qu’est-ce qui est mis en œuvre pour permettre une


prise de recul, pour accepter de se recevoir d’un Autre ?

Comment prend-t-on son temps, laisse-t-on du temps,


permet-on une appropriation?

Comment la fidélité à la parole de notre Église rend-elle créatifs,


audacieux et incite-t-elle les personnes à l’être?

Étape 3 : Je suis devenu et toujours en devenir (la personne à l’issue de la formation)

Quel avenir est ouvert ?


Qu’est-ce que chacun pourra être capable de mettre en œuvre
dans son savoir être et son savoir faire de catéchète ?

En vue de quoi les différentes propositions sont- elles articulées ?


Comment la formation va-t-elle permettre
une plus grande familiarité avec le Christ ?

Que devient la personne suite à la formation proposée ?


Quel suivi sur le terrain ? En vue de quoi ?

Quels outils sont proposés pour évaluer


le chemin parcouru, les objectifs de la formation ?

Comment se sentent-ils engagés, impliqués,


formés eux-mêmes par la formation ?

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