Copie de Cours-mé Thodologie-De-La-R㩠Daction

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Recherche de l’information, synthèse et exploitation

Chercher de l’information c’est constituer une liste de références ou une liste

bibliographique.

La démarche classique et logique pour une bonne recherche de l’information se résume

en cinq étapes :

1. Préparer sa recherche (savoir ce que l’on veut obtenir, avoir déjà des mots clés,

des termes précis et faire une bonne combinaison)

2. Choisir ses sources

3. Interroger le catalogue et les bases de données

4. Récupérer et gérer ses références

5. Évaluer ses références

6. Présenter ses références

1. Préparer sa recherche, explorer les dictionnaires de langue, les


encyclopédies, les dictionnaires par discipline pour trouver les termes
appropriés. Puis, cerner son sujet à l’aide de la grille suivante :

Qui ? Quels groupes particuliers sont concernés par la question ?

Quoi ? Quel est l’objet de l’étude ? Quelles sont les composantes de la question ?

Quand ? De quelle période s’agit-il ? Le sujet s’inscrit-il à une époque précise ?

Peut-on le circonscrire dans le temps ?

Où ? Quel est le contexte géographique ? Le sujet peut-il se limiter à une


région particulière ? À un pays précis ?

Comment ? Quelles approches ou points de vue faut-il considérer ? Expérimental ?

Théorique ?
Pourquoi ? Quelle est la signification ou l’importance du sujet ? Quelles en sont les

implications ? Pourquoi devrait-on s’en occuper ?

27

1. Choisir ses sources


Type d’outil Type de document

Catalogue de bibliothèque - Livres


(collections de l’université) - Titres de périodiques
- Rapports
- Publications gouvernementales
- Thèses

Bases de données Articles de périodiques


(index électroniques qui recensent le Comptes rendus
contenu de périodiques auxquels la Thèses et dissertations
bibliothèque est abonnée).
On y trouve souvent le texte intégral des articles.

Base de données et assistant Possibilité de demander l’article


par le prêt entre bibliothèques.

3
Il est clair que les informations recueillies par recherche bibliographique vont être

exploitées pour en tirer une toute petite information utile à son propre travail de

rédaction. Il faut donc lors de la rédaction de son mémoire, thèse ou rapport, rédiger

une liste d’ouvrages bibliographiques qui est en général mis à la fin du document. On

peut se poser déjà les questions ci-dessous pour essayer d’y apporter des réponses

pratiques sur la façon dont est traitée l’information:

1. Pourquoi rédiger une bibliographie

Trois réponses sont évidentes:

1. Respecter les auteurs: ils ont édité des ouvrages de références, vous

vous êtes appuyés sur un corpus de textes pour consolider votre texte

et votre argumentation scientifique ou technique ; Vous devez les citer

(droit d’auteur).

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2. Montrer la qualité de votre travail et en permettre sa vérification en

répertoriant les documents que vous avez utilisés, donc lus. Ceci

donne plus de crédit à votre écrit. Les lecteurs se rendront compte que

vous vous êtes bien documenté sur le sujet de votre travail.

3. Identifier sans aucune ambiguïté le document décrit (fournir

suffisamment d'éléments d'identification au lecteur pour qu'il puisse le

rechercher et le localiser facilement).


2. Comment rédiger une bibliographie

Quand un chercheur soumet un article à un journal scientifique, il doit suivre

des règles très strictes pour la rédaction de sa bibliographie (style propre à

chaque revue).

Il n’y a pas une seule règle de présentation bibliographique, mais plusieurs !

Se tenir à une seule façon de faire et ne jamais changer de présentation au

cours du même travail.

3. La citation dans le texte.

Il est important de bien citer dans le texte les références pointant sur la

bibliographie, afin de faciliter la recherche de la référence dans la liste

bibliographique.

5
Elle se fait le plus souvent :

Par auteur : on inscrit, à l'endroit adéquat du texte, le nom entre parenthèses

ou entre crochets, suivi de l'année.

… économie institutionnelle (Williamson, 1987)

… avantage comparatif (Mucchielli, 2001)

Quand il y a deux auteurs, on les inscrit tous les deux :

...previously reported (Salais et Storper, 1993)

Au-delà, on ne reprend que le premier auteur suivi de la formule 'et al.'

… previously reported (Amable et al., 1997)

La citation d’une partie du texte doit être retranscrite tel quel (respect de la
ponctuation, des majuscules, des fautes ainsi que la mise en forme (gras,
italique, souligné).
La citation doit toujours être suivie de(s) auteur(s), année, page

Il s’agit d’une citation :

L’intégrer dans le texte entre des guillemets « … »

Exemple : En effet, l’évolution démographique laisse entrevoir un

déplacement important du rapport de forces sociales au détriment des jeunes.

« Les débats autour de la question de la santé montrent assez bien que ce

sont les générations qui avancent en âge, avec le cortège de problèmes que

le vieillissement entraîne, qui occupent le devant de la scène. » (Gauthier,

1999, p. 33).

Il s’agit d’une partie de citation ouvrir les guillemets suivis de points de

suspension « …la partie de citation. »

6
Exemple : Il faut absolument que les travailleurs sociaux connaissent les

valeurs des adolescents « … si nous voulons qu’une “chimie” se crée entre

les jeunes et les institutions ou les entreprises qui les accueillent. » (Bachand

et

Boulet, 1999, p. 25).

S’il s’agit d’une citation en langue étrangère

1. Langue comprise par les lecteurs

On peut citer un passage en langue étrangère si on sait que les lecteurs

maîtrisent la langue de l’extrait. On n'a alors qu’à mettre le passage cité en

italique et entre guillemets (« »).

Exemple : On doit examiner les facteurs qui déterminent les structures

institutionnelles : « The Canadian focus on both high-school and university

students undoubtedly reflects the fact that the latter educational route is far

more common, and therefore less elitist, in Canada. »

(Juhnke, 1997, p. 170)

2. Langue originale qui ne peut pas être comprise par les lecteurs

On doit essayer de trouver une traduction déjà publiée de l’extrait et indiquer

dans la référence le nom du traducteur ainsi que les dates de publication et

de traduction. Si aucune traduction n’a été publiée, on doit traduire soi-même

l’extrait. Il suffit de mettre sa traduction entre guillemets (« ») et d’indiquer la

mention Notre traduction entre crochets [ ].

7
Exemple : Janet Juhnke, dans un article qui traite du roman Le Magicien d’Oz

de L. Frank Baume et de sa version cinématographique faite par Victor

Fleming, souligne la qualité de l’adaptation : «Le film Le Magicien d’Oz produit

par MGM est l’une des adaptations les plus réussies d’un roman au cinéma. »

[Notre traduction] (Juhnke, 1997, p. 170).

On veut citer une citation et on n’a pas accès à la source originale : On doit

mentionner non seulement la source d’où est tirée la citation, mais également

la source originale. Généralement, on utilise : « cité dans » ou « cité par »

Exemple :

L’étude des opérateurs amont a été développée dans une logique de

compréhension de trajectoires d’exploitation. Un article paru dans Agreste

Les

Cahiers explique : « Les recensements généraux de l’agriculture (RGA) de

1988 et 2000 permettent de cerner les tendances lourdes depuis les années

1980. »

1 Agreste Les Cahiers, n° 2, 2000, p. 9 ; cité dans Barlin, H., Letanne, J.P.,

Machoix, P. et al. Les exploitations agricoles à responsabilité limitée. Paris:

CNASEA, 2002, p. 142.

Attention : dans la bibliographie, on n'indiquera que la source secondaire,

c’està dire la source que l'on a consultée. Dans l’exemple précédent, le livre :

Les exploitations agricoles à responsabilité limitée se retrouverait dans la

bibliographie, mais pas le journal Agreste les Cahiers.

Deux règles de bases sont à observer pour rédiger une bibliographie :

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1. La bibliographie doit absolument être structurée et organisée :

- L’écriture des références est différente selon le type de documents.

- Respecter l’ordre des auteurs tels qu’ils apparaissent sur le document. 2.

La bibliographie doit répondre à des règles de présentation

homogènes (respect de la typographie et de la ponctuation).

- Ouvrage (Monographie)

- Ouvrage collectif

- Chapitre d’ouvrage

- Article de périodique

- Thèse, mémoire

- Communication à congrès

- Cd Rom ou DVD

- Site web

Noter bien qu’à chaque type de document de la liste correspond une citation

bibliographique particulière : exemples

a. citation d’un ouvrage:

Nom, Initiale du Prénom (Année). Titre de l’ouvrage : sous titre. Lieu d’édition :
Éditeur. Pagination. – (collection)

Exemples :

Ménard, C. (2004). L’économie des organisations. Paris : La Découverte. 123

p. –(Repères)

Ménard, C., 2004. L’économie des organisations. Paris : La Découverte. 123

p.

9
Ménard, C. (2004). «L’économie des organisations». Paris : La Découverte.

123 p.

Plusieurs auteurs :

Saussier, S., Yvrande-Billon, A. Ou Saussier, S. et Yvrande-Billon, A.


Si plus de trois auteurs : Bartoli, P., Boulet, D., Laporte, J.P. et al.

b. Citation d’un ouvrage collectif

Nom, Initiale du Prénom fonction (Année). Titre de l’ouvrage. Lieu de

publication : Editeur, Pagination

Exemples :

Exemples :

- Zuindeau, B. éd. (2010). Développement durable et territoire.

Villeneuve d’Ascq : Presses universitaires du Septentrion, 517 p.

(Environnement et société)

- Belasco, W., Horowitz, R. eds (2009). Food chains : from farmyard to

shopping cart. Philadelphia (USA) : University of Pennsylvania Press, 296 p.

c. La citation d’un chapitre d’ouvrage

Nom, Initiale du Prénom de l’auteur du chapitre (Année). Titre du chapitre. In :

Editeur(s) scientifique(s) de l'ouvrage. Titre de l'ouvrage. Lieu d’édition :

Editeur, intervalle de pagination.

Exemple :

10
D’Hauteville, F., Sirieix, L. (2007). Comprendre la consommation du vin en

2005. In : Couderc, J.P., Hannin, H., D’Hauteville, F. et al. (eds). Bacchus

2008. Paris : Dunod, 105-135

d. Citation d’un article

Nom, Initiale du Prénom (Année).Titre de l’article. Titre du périodique, vol.


(n°), intervalle de pagination

Exemples :

Barrett, C. (2008). Smallholder market participation. Food Policy, 33 (4),


299317

e. Citation d’un article en ligne

nom, Initiale du Prénom (Année). Titre de l’article. Titre du périodique [en

ligne], vol., n°, (date de la consultation) <URL>

Exemple :

Farès, M. (2009). Wine Brokers as Independent Experts. Journal of

Agricultural and Food Industrial Organization [en ligne], 7 (1) (page consultée

le

10/11/2009) http://www.bepress.com/cgi/viewcontent.cgi?

article=1259&context=jafio

f. Citation d’un mémoire ou d’une thèse

_ Nom, Initiale du Prénom (Année). Titre de la thèse ou du mémoire. Type de

document : Spécialité. Lieu de soutenance : Université de soutenance,

nombre de pages.

Exemples :

11
Sidibé, Y. (2009). La tarification de l’eau d’irrigation. Mémoire Master

Recherche : Agriculture, Alimentation et Développement Durable – A2D2.

Montpellier : Montpellier SupAgro, 69 p. Cheriet, F. (2009). Instabilité des

alliances stratégiques asymétriques : cas des relations entre les firmes

multinationales et les entreprises locales agroalimentaires en Méditerranée

[En ligne]. Thèse de doctorat : Economie du développement agro-alimentaire

et rural. Montpellier : Université de Montpellier 1, 443 p. Disponible sur :

http://www.supagro.fr/theses/intranet/09-0015_CHERIET

(page consultée le 21/12/2010)

g. citation d’une communication à un congrès

Auteur(s) de la communication (Année). Titre de la communication. Titre de la

conférence, organisateur de la conférence, date et lieu de la conférence,

nombre de pages.

Exemples:

- Aubert, M., Bouhsina, Z., Egg, J. et al. (2008). Substitution céréales

locales - céréales importées et stabilisation du marché : une liaison

impossible au Sahel? Colloque international : intégration des marchés et

sécurité alimentaire dans les pays en développement, CERDI, 03-04/11/2008,

Clermont-Ferrand (FRA), 15 p.

- Sirieix, L., Grolleau, G. (2007). Consumers and food miles. Colloque

international AIEA2: Développement durable et globalisation dans

l’agroalimentaire, 22-25/07/2007, Londrina (BRA), 15 p.

12
h. citation d’un dvd ou d’un cédérom

_ Nom, Initiale du Prénom (Année). Titre [Type de support]. Lieu d’édition :

Editeur. Informations complémentaires

Exemples :

- Larousse. (1997). Encyclopédie Larousse multimédia 2008 [dvd].

Paris :Larousse. 120 mn

- Sabourin, E., Antona, M., Coudel, E. eds. (2004). Action collective


[cédérom].

Montpellier : CIRAD.

i. citation d’un site web

Nom de l’auteur ou de l’organisme. Titre de la page d’accueil [en ligne]. (date

de consultation du site). <URL>

Exemple:

- AGRESTE. Recensement agricole 2000 [en ligne] (page consultée le

10/11/2009). http://agreste.agriculture.gouv.fr/enquetes/recensement-agricole/

- FAOSTAT. Statistiques Production/Cultures [En ligne] (page consultée le

21/12/2010) http://faostat.fao.org/site/567/default.aspx#ancor

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14
Apostrophe ’ néant néant

Astérisque avant le mot * un espacement néant

Barre oblique / néant un espacement

Crochet ouvrant [ un espacement néant

Crochet fermant ] néant un espacement


:
Deux-points : un espacement un espacement

Deux-points dans les néant néant


Heures numériques ‘‘

Guillemet anglais un espacement néant


(ouvrant) ’’

Guillemet anglais néant un espacement


(fermant) «

Guillemet ouvrant » un espacement un espacement

Guillemet fermant ( un espacement un espacement

Parenthèse ouvrante ) un espacement néant


.
Parenthèse fermante ! néant un espacement
?
Point néant un espacement

Point d’exclamation un espacement un espacement
;
Point d’interrogation un espacement un espacement

% néant un espacement
Points de suspension
+, -, x, , = un espacement un espacement
Point-virgule

Pour cent Kg, s, cm,


un espacement un espacement
Signe arithmétique
un espacement un espacement
Symbole SI ou autre
un espacement un espacement
Tiret _ un espacement un espacement

15
Trait d’union - néant néant
$, £, etc.
Unité monétaire un espacement un espacement
,
Virgule (texte) néant un espacement
,
Virgule décimale néant néant

4. Les outils informatiques d’aides à la production de

documents Les outils de production sont souvent imposés par l'éditeur ou

le commanditaire du rapport et conditionnent sensiblement la qualité du

rapport. Les possibilités de diffusion et de modification du document sont

également liées aux outils

utilisés.

Ces outils, disponibles en assez grand nombre sur le marché, peuvent être

classés en plusieurs catégories, mais en matière de document électronique,

la question du format des données doit aussi être considérée.

4.1. Editeur de texte, traitement de texte et formateur de texte

L'éditeur de texte est l'outil de base du développeur de logiciel, il est utilisé

pour saisir du code source informatique dans un format texte brut (ASCII). Il

peut ouvrir des facilitées au programmeur, telles que le vérificateur syntaxique

et la mise en forme du texte.

Un traitement de texte apporte une aide à la mise en page et au formatage de

son document.

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Il est le plus souvent de type WYSIWYG (What You See Is What You Get) et

permet ainsi de voir l'aspect du document au fil de la frappe. Les plus connus

sont probablement MS-Word et OpenOffice.org (logiciel libre). Le formatage

du texte est obtenu par application de styles. Malheureusement, de nombreux

utilisateurs, insuffisamment formés, n'utilisent pas ou utilisent mal cette

fonctionnalité.

Le formateur de texte, dont le plus connu est probablement LATEX, procède

en distinguant contenu et présentation. Il permet au rédacteur de se

concentrer sur son texte sans être accaparé par des soucis de présentation.

Un outil comme LATEX intègre, à travers des bibliothèques de styles, le

respect de règles typographiques. Ce type d'outil, en général non-WYSIWYG,

requiert un investissement souvent important pour se former (balises, règles

de syntaxe...

).

Une fois maîtrisé, par contre, un tel outil permet une productivité et une qualité

de résultat en général sensiblement supérieures aux outils de traitement de

texte.

4.2. La question du format des données

Le stockage de données numériques repose sur l'adoption d'un format qui

définit la façon dont ces données sont codées et structurées. Il existe

aujourd'hui une grande diversité de formats ce qui est source de nombreux

problèmes lorsque l'on doit exploiter un document et que l'on ne dispose pas

de l'outil utilisé pour sa production.

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Lorsque l'on se pose la question du choix de l'outil d'aide _a la production de

documents, ce facteur doit aussi être pris en compte. En effet, tous ces outils

n'offrent pas les mêmes possibilités en matière de format d'entrée et de sortie.

Sauf raison motivée, on accordera sa préférence à des outils ayant le statut

de logiciel libre qui, outre le fait d'être très souvent disponibles gratuitement,

recourent systématiquement à des formats ouverts (c.-a-d. dont la

spécification est publiée). De plus, ces outils sont en général disponibles sur

les principales plateformes du marché (Windows, Linux, Mac). On pourra ainsi

retrouver le même outil alors que l'on migre d'une plateforme à une autre.

Nous avons déjà évoqué deux produits qui relèvent de cette catégorie, il s'agit

de LATEX, considéré depuis bien longtemps comme la référence en matière

de publications scientifiques, et d'OpenO_ce.org, produit plus récent, soutenu

par Sun Microsystems.

De façon pratique, lorsque l'on transmet un document électronique à un

interlocuteur, ou qu'on le met à disposition sur un site Web, la question du

format se pose. Pour rester pragmatique, voici quelques conseils :

- si le document est destiné uniquement à la consultation avec possibilité

de sortie papier de qualité, le format PDF est aujourd'hui le plus recommandé.

Si le document n'est destiné qu'à être visualisé à l'écran, le format HTML

convient en général ;

- si le document est destiné à être remanié par son destinataire, il faut

alors utiliser un format compatible avec l'outillage dont dispose celui-ci. En

général, cela peut être garanti si l'on opte pour un format éditable dit ouvert,

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car un outil libre8 saura le prendre en charge. RTF, HTML, TEX (LATEX) et

naturellement TXT (texte brut) entrent dans cette catégorie.

En ce qui concerne les images et graphiques, les formats ouverts que l'on

peut conseiller sont actuellement JPEG, EPS et PNG.

Références bibliographiques

1) M.C. Mouchot, ‘‘Guide de rédaction de rapport de projet’’ version 1.5,

2008, Télécom Bretagne. (Autorisation accordée pour la reproduction à

des fins pédagogiques).

2) Chapitre reproduit du: site du Centre de documentation P. Bartoli :

UMR MOISA / UMR LAMETA / Département SESG Documentation

Pierre Bartoli, Place Viala, 34060 Montpellier Cedex 1, Email :

perez@supagro.inra.fr,

http://www1.montpellier.inra.fr/bartoli/moisa/bartoli/download/moi

sa2011_pdf/regles.pdf

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