Informatique Gen1 2024-2025
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I. IDENTIFICATION
Au terme de ce cours l’étudiant qui aura suivi les matières avec attention
soutenue sera à mesure de :
- Pour les futurs informaticiens : ce cours est une initiation qui les fait marquer
leurs premiers pas sur certaines notions un peu plus générales qui, du reste,
constituent l’ensemble des cours (à caractère informatique) qui seront
développés dans les promotions montantes.
- Pour les non-informaticiens : Éveiller l’esprit de ces étudiants, probablement
futures utilisateurs d’un micro-ordinateur dans l’exercice de leur activité
professionnelle et les aider à avoir les notions indispensables pouvant les
aider à s’intéresser à l’ordinateur et à comprendre son fonctionnement.
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V. BIBLIOGRAPHIE
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Le terme « Informatik » est créé en 1957 par l'ingénieur allemand Karl Steinbuch
dans son essai intitulé « Informatik: Automatische Informations verarbeitung », pouvant
être traduit en français par le titre « Informatique: traitement automatique de
l'information ».En mars 1962, le terme « Informatique » est utilisé pour la première fois,
en France, par Philippe Dreyfus, ancien directeur du centre national de calcul
électronique de Bull, pour son entreprise « Société d'Informatique Appliquée » (SIA).
Ce néologisme est formé par la contraction des mots « information » et
« automatique ».Le même mois, Walter F. Bauer inaugure la société américaine
Informatics Inc., qui dépose son nom et poursuit toutes les universités qui utilisent ce
mot pour décrire la nouvelle discipline, les forçant à se rabattre sur computer science,
bien que les diplômés qu'elles forment soient pour la plupart des praticiens de
l'informatique plutôt que des scientifiques au sens propre.
L’Académie Française a adopté ce terme en 1965 afin de désigner la « Science
du Traitement de l’Information » ou plus exactement « la science du traitement
rationnel, notamment par des machines automatiques, de l’information considérée
comme le support des connaissances humaines et des communications dans le
domaines techniques et sociaux ».
1.1. Définition de l’informatique
L'informatique est le domaine d'activité scientifique, technique et industriel
concernant le traitement automatique et rationnel de l'information par des machines.
Plus concrètement, ces machines peuvent être des calculateurs, des systèmes
embarqués, des ordinateurs, des robots, des automates, etc.
L'informatique, contraction d'information et automatique, est devenue la
science du traitement de l'information.
A. INFORMATION
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concernant un sujet bien déterminé. Elle peut également être une expression qui
donne la connaissance ».
L’information peut être représentée par des sons, des images, des textes, des
nombres etc.
Une information peut être analysée selon sa forme, la manière dont elle se
présente et selon sa signification, le renseignement réel qu’elle nous apporte.
L’information n’est donc pas seulement une donnée brute mais, c’est aussi la
signification qui l’accompagne.
L’information est une ressource primordiale d’une organisation et pour cela, elle
doit être disponible, traitée, stockée, diffusée et transmise au destinataire.
a. L’information quantitative
b. L’information qualitative
Exemple : Le Kasai est une province riche en diamant mais aussi riche en matière
tribale.
En informatique, l’information est représentée par une suite de 0 et 1 qui
traduisent l’absence ou la présence du courant électrique dans un circuit donné.
Il sied de signaler qu’une petite confusion s’entretient entre donnée et
information. Une donnée est une suite de caractères numériques, alphanumériques,
alphabétiques, des signaux lumineux, des ondes…représentant une information et qui
se prête à un traitement machinal. En d’autres termes, une donnée est une
information codée envoyée à une machine et dont la réaction aboutie à un
traitement machinal.
B. AUTOMATIQUE
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- Un fait est automatique artificiel quand il est déclenché par l’homme mais son
exécution ou son traitement se fait sans aucune intervention humaine.
Exemple : Pour que le ventilateur produise de l’air, le seul travail que l’homme peut
faire c’est de brancher le ventilateur au secteur électrique et d’appuyer sur
l’un des boutons de démarrage. L’homme ne fournira aucun autre effort
pour que le ventilateur produise de l’air.
(Qui peut nous donner un autre exemple concret
1.2. Sortes d’informatiques
Avantages :
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- Le papier reste toujours le seul support qui sera exploitable dans 5 ans, 100 ans
ou 1000 ans. On édite toujours tout sur papier, on fait des listings à longueurs de
temps, on édite en double, triple .... On a jamais autant consommé de papier
!
- Par son instantanéité, l'informatique favorise les paniques boursières et les
fluctuations excessives.
- L'informatique participe à la diminution du besoin en main d'œuvre et donc
au chômage.
- Quand l'informatique est en panne ou en maintenance, ou piratée, c'est
l'usine voire la société entière qui est arrêtée.
2.0. Définition
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Maintenant que l'électronique a fait des progrès suffisants et que les premiers
calculateurs ont fait leurs preuves, les ordinateurs vont pouvoir apparaître, nés du
besoin de réaliser des opérations de plus en plus complexes.
Jusque là, l'ordinateur était une énorme machine inaccessible et destinée à traiter
des masses de données sans intervention extérieure. L'augmentation des
performances va maintenant permettre à l'ordinateur de "communiquer" avec
l'être humain ! C'est aussi à ce moment que le premier réseau
d'ordinateurs APARNET, ancêtre d'Internet, va naître.
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1956 : Création du premier ordinateur à transistors par la Bell : le TRADIC qui amorce
la seconde génération d'ordinateurs.
1957 : Création du premier langage de programmation universel,
le FORTRAN (FORmula TRANslator) par John Backus d'IBM.
1958 : La BELL crée le premier Modem permettant de transmettre des données
binaires sur une simple ligne téléphonique.
1964 : Thomas Kurtz et John Kemeny créent le langage BASIC (Beginner's All-
purpose Symbolic Instruction Code) au Dartmouth College pour leurs étudiants.
1968 : Hewlet Packard présente sa première calculatrice de bureau
programmable fonctionnant en notation Polonaise inversée (RPN), la HP 9100. Elle
n'était pas constituée de circuits intégrés mais de transistors et d'une mémoire à
tores de ferrite, ce qui explique sa taille et son poids de 20 Kg !
Janvier à Mars 1971 : Portage du tout nouveau système d'exploitation UNIX sur PDP
11/20. Ken Thompson et Dennis Ritchie ont obtenu cette machine en prétextant le
développement d'un logiciel de traitement de textes, les responsables du Bell
Lab ne voulant plus entendre parler de systèmes d'exploitation suite à l'abandon
du projet MULTICS.
1972 : Bill Gates et Paul Allen fondent la compagnie Traf-O-Data qui vend un
système basé sur un Intel 8008 pour mesurer le trafic routier.
Juin 1973 : Le mot microcomputer (micro-ordinateur) apparaît pour la première fois
dans la presse Américaine dans un article au sujet du Micral.
Juin 1975 : Bill Gates et Paul Allen renomment leur compagnie Traf-O-
Data en Micro-Soft (le tiret disparaîtra plus tard).
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Août 1980 : Microsoft commercialise Xenix OS, un UNIX portable pour machines à
base d’ntel 8086, Zilog Z8000 et Motorola M68000.
Octobre 1980 : Sharp commercialise le premier ordinateur de poche
programmable en Basic : le Sharp PC 1211 muni de 1,9 Ko de Ram, d'un grand
écran LCD ( Liquid Crystal Display, Affichage à Cristaux Liquides) de 24 caractères
au prix de 1500$. Une interface optionnelle permettait d'utiliser un magnétophone
comme unité de sauvegarde.
Août 1981 : IBM lance son 5150 Personal Computer équipé d'un processeur Intel
8088 à 4.77 MHz, de 64 Ko de Ram, de 40 Ko de Rom, d'un lecteur de disquettes
5"25 et du système d'exploitation PC-DOS 1.0 pour 3000 $. Une version haut de
gamme avec carte graphique couleur CGA (640x200 en 16 couleurs) coûtait 6000
$. Il n'apporte rien d'original par rapport aux machines déjà présentes sur le marché
sinon le "poids" d'IBM.
Janvier 1982 : Microsoft signe un accord avec Apple pour le développement de
logiciels sur ce qui deviendra le Macintosh. Microsoft reçoit un des premiers
prototypes pour réaliser ces développements.
Juin 1982 : Sony présente un prototype du premier lecteur de disquettes 3"1/2.
1982 : Phillips et Sony signent un accord pour définir un standard de disque
compact numérique à lecture par laser.
Dans cette période, les micros ordinateurs avec une interface graphique vont
devenir accessibles à tous. C'est ce qui va permettre à une population de plus en plus
large de profiter d'un micro-ordinateur à la maison.
Avril 1984 : Microsoft présente Interface Manager (renommé par la suite Windows),
un concept d'interface graphique pour le PC, et annonce sa sortie prochaine.
1984 : Phillips commercialise le premier lecteur de CD ROM pour ordinateur au prix
de 1000 $.
Janvier 1985 : Microsoft lance son logiciel de traitement de textes Word pour
Macintosh.
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Un PC moderne est à la fois simple et compliqué. Il est simple dans le sens où, au
fil des ans, de nombreux composants utilisés auparavant pour construire un PC ont par
la suite été intégrés à d’autres composants, l’objectif étant de réduire le nombre total
de composants. Il est compliqué dans le sens où chaque composant prend en charge
beaucoup plus de fonction que sur les modèles plus anciens :
Carte mère : Sans aucun doute, la carte mère constitue le composant principal
d’un PC. Pratiquement tous les éléments internes d’un PC sont connectés sur elle.
Les possibilités de l’ordinateur, sans mentionner ses performances, dépendent
fortement des caractéristiques de la carte mère. Il existe plusieurs facteurs
d’encombrement des cartes mères de PC.
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Fig3. Processeur
Boitier (châssis) : le boitier est le caisson externe qui abrite la carte mère,
l’alimentation, les unités de disques, les adaptateurs ainsi que l’essentiel des
composants physiques de l’ordinateur.
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Disque dur : Pour de nombreux utilisateurs, le disque dur est l’élément le plus
important, mais également le plus mystérieux de l’ordinateur. Un disque est un
élément scellé qui stocke les données non volatiles de l’ordinateur.
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Fig7.CD-ROM
Le DVD
Le DVD (Digital Versatile Disc, plus rarement Digital Video Disc) est une
«alternative» au disque compact (CD) dont la capacité est six fois plus importante
(pour le support DVD de moindre capacité, simple face, simple couche). Le format
DVD a été prévu afin de fournir un support de stockage universel alors que le CD était
originalement prévu en tant que support audio uniquement.
Un DVD peut facilement être confondu avec un CD dans la mesure où les deux
supports sont des disques en plastique de 12 cm de diamètre et de 1.2 mm d'épaisseur
et que leur lecture repose sur l'utilisation d'un rayon laser.
L'intérêt du DVD est essentiellement sa capacité de stockage, ce qui en fait le
support par excellence pour la vidéo. Un DVD de 4,7 Go permet ainsi de stocker plus
de deux heures de vidéo.
Carte vidéo : la carte vidéo (ou carte graphique) contrôle les informations
affichées à l’écran.
Carte son : indispensable pour profiter des fonctions audio du PC.
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opèrent dans les deux sens : un lecteur de CD-ROM ou une clé USB, par
exemple, permettent de stocker des données (sortie).
Fig8. Clavier 1. Pavé des Touches 4. Pavé des Touches de 2. Pavé des Touches
Alphanumériques direction numériques
DESCRIPTION DU CLAVIER
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Ainsi nommé parce qu’il combine les touches marquées des caractères
alphabétiques (lettres) et des caractères numériques (chiffres). Il contient en plus
certaines touches marquées de certains caractères spéciaux, et même d’autres
touches dites mortes parce qu’elles n’ont d’effet que combinées avec d’autres
touches et donnent à ces dernières une possibilité supplémentaire.
Voici l’explication de certaines touches :
b. BLOQUEUR : marquée Caps Lock, Shift Lock, Fix Maj ou tout simplement par un
cadenas fermé, elle sert à bloquer le clavier en mode majuscule.
c. MAJUSCULE : marquée par Shift, Maj ou simplement par une flèche verticale
orientée vers le haut, c’est une touche morte qui sert à éditer en majuscule
(lorsqu’on le garde enfoncée en appuyant sur la touche à éditer) ou éditer le
deuxième caractère d’une touche à deux ou trois caractères. Notons qu’il en a
deux, l’une à gauche et l’autre à droite du pavé alphanumérique.
d. CONTROLE : marquée par Ctrl, Cont ou Contrôle, elle n’agit que pour modifier
l’effet d’une touche. En effet, c’est une touche morte qui, combinée avec
d’autres, leur donne une possibilité supplémentaire. Donc elle permet
d’augmenter les possibilités du clavier. Elle permet donc d’obtenir les raccourcis
claviers. Elle est aussi double.
e. ALTERNATIVE : marquée par Alt, c’est une touche morte qui fonctionne comme la
touche contrôle. En particulier, en combinaison avec les touches du pavé
numérique, elle permet d’éditer le caractère correspondant du code ASCII2.
C’est une touche double, mais son double qui se trouve à droit de ce pavé est
marqué Alt Gr (Alternative Graphique) permet d’obtenir le troisième caractère
d’une touche.
f. RETOUR CHARIO : marquée Entrée, Enter, Return ou tout simplement par une flèche
brisée vers la gauche, elle sert à placer le curseur sur la ligne suivante (paragraphe)
et valide aussi toute commande à exécuter.
h. ECHAPPEMENT : marquée Echap, Esc ou Escap, elle a des fonctions variables selon
le programme en cour. Généralement, elle sert à sortir d’une situation indésirable,
par exemple : abandonner une commande que l’on a appelée par erreur.
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i. BARRE D’ESPACEMENT : C’est la barre la plus longue du clavier, sur laquelle il n’y a
pas de mention. Elle sert à insérer le caractère espace.
j. WINDOWS : marquée par l’emblème Windows, à elle seule, elle appelle le menu
démarrer et si elle combinée avec le lettre « E », elle ouvre l’Ordinateur ou Poste
de Travail.
Il comprend tous les chiffres (de 0 à 9) ainsi que les quatre opérations
fondamentales (Plus +, moins -, diviser par /, multiplier par *) et le point décimal. Ce
pavé n’est accessible que s’il est verrouillé (activé) en mode numérique à l’aide de la
touche Num Lock ou Ver Num ou simplement Num. A défaut, il regroupe la touche
Enter et les touches des pavés des touches de direction et de traitement de données.
Pour les obtenir il suffit de déverrouiller ce pavé.
Lorsqu’on active ce pavé, on voit s’allumer une lampe témoin, il suffit d’appuyer
encore sur la touche Num Lock pour l’éteindre et désactiver ainsi le pavé.
c. DEBUT : marquée Home, Début ou tout simplement par une flèche oblique orientée
vers les touches de fonction, elle permet de ramener le curseur au début de la
ligne ou de la page, selon le programme.
d. FIN : marquée End ou Fin, elle permet de ramener le curseur à la fin de la ligne ou
de la page, selon le programme.
e. PAGE PRECEDENTE : marquée PgUp, Page Up, Pg Pr ou tout simplement par une
flèche verticale orientée vers le haut et plantée sur deux ou trois traits parallèles,
elle permet d’afficher la page précédente dans un document.
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f. PAGE SUIVANTE : marquée PgDn, Page Down, Pg Sv ou tout simplement par une
flèche verticale orientée vers le bas et plantée sur deux ou trois traits parallèles, elle
permet d’afficher la page suivante dans un document.
6. Le Pavé de Touches de Gestion de l’Ecran
a. IMPRIMER ECRAN : marquée Print Screen, PRTSC, Sys Rq ou Impr Ecran, elle permet
de capturer le contenu de l’écran de manière à imprimer tel quel ou d’activer
l’imprimante (lorsqu’elle est utilisée avec l touche Ctrl).Elle dispose aussi d’une
lampe témoin sur certains clavier.
b. ARRET DEFILEMENT : marquée Scrol Lock ou Arrêt Défil, elle n’a d’effets qu’en
conjonction avec la touche Ctrl. Elle permet d’arrêter le défilement d’un message
dépassant les limites de l’écran et selon le programme.
Touches de
1 2 3 4 5 6 7 8 9 0 ° +
combinaison
CapsLock Activé 1 2 3 4 5 6 7 8 9 0 ° +
ou Shift Désactivé & é «» ’ ( - è _ ç à ) =
Après M 1ère
Touche
Activé %
Désactivé ù
2) Souris
Une souris est un dispositif de pointage pour ordinateur. Elle est composée d'un
petit boîtier fait pour tenir sous la main, sur lequel se trouvent un ou plusieurs boutons.
La souris a été inventée en 1963 et présentée au public en 1968 par Douglas Engelbart.
Il existe plusieurs types de souris, classifiés selon la technologie de positionnement
d'une part, selon la transmission des données à l'unité centrale d'autre part.
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Fig9.Souris
La souris est utilisée pour activer les options et commandes visible à l’ordinateur.
Elle se présente par un dessin souvent par une flèche blanche « Pointeur » qui change
de forme selon l’endroit ou on la place. En informatique on parle de clic quand on
appuie une fois sur la touche gauche de la souris et de clic droit ou menu contextuel
quand on appuie sur la touche droite. Double-cliquer consiste à appuyer deux fois
simultanée sur la touche gauche de la souris.
3) Scanneur :
Fig10.Scanneur
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Remarques : Ces deux types de moniteur sont munis de deux câbles. Un câble
pouvant servir d’alimentation de l’écran appelé câble d’alimentation et un autre
permettant de raccorder l’écran à l’unité centrale appelé câble de données ou
câble vidéo ou encore câble VGA.
Les écrans se différents aussi par leur taille. Cette taille s’exprime souvent en
pouce (12’’, 14’’, 17’’, 21’’ et écran géant).
2) Imprimante
Fig13. Imprimantes
L'imprimante laser ;
L'imprimante à bulles d'encre ;
L'imprimante matricielle ;
L’imprimante Thermique.
3.1.0. Introduction
Pour travailler correctement, l’ordinateur utilise la notion de système de
numération. Un système de numération est un ensemble de règles qui régissent une
numération, voire plusieurs numérations données. De façon plus explicite, c'est un
ensemble de règles d'utilisation des signes, des mots ou des gestes permettant d'écrire,
d'énoncer ou de mimer les nombres, ces derniers étant nés, sous leur forme écrite, en
même temps que l'écriture.
De nombreux systèmes ont été utilisés par des peuples et à des époques variés.
Un système binaire (base 2) utilisé dans des langues d'Amérique du Sud et
d'Océanie et est à la base du système de numération utilisé en informatique (1 le
courant passe, 0 le courant ne passe pas)
Un système quinaire (base 5) était utilisé parmi les premières civilisations, et
jusqu'au XXe siècle par des peuples africains, mais aussi, partiellement, dans les
notations romaine et maya.
Un système sénaire (base 6)
Un système octal (base 8) est utilisé en langue pame du Nord, au Mexique, et en
langue Yuki, en Californie, ainsi qu'en informatique.
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Un système décimal (base 10) a été utilisé par de nombreuses civilisations, comme
les Chinois dès les premiers temps, et, probablement, les Proto-indo-européens.
Aujourd'hui, il est de loin le plus répandu.
Un système duodécimal (base 12) est utilisé au Népal par le peuple chepang. On
le retrouve, à cause de ses avantages en matière de divisibilité (par 2, 3, 4, 6), pour
un certain nombre de monnaies et d'unités de compte courantes
en Europe au Moyen Âge, partiellement dans les pays anglo-saxons dans
le système d'unité impérial, et dans le commerce. Il sert aussi pour compter les mois,
les heures et les œufs.
Un système hexadécimal (base 16), très couramment utilisé en informatique.
Un système vigésimal (ou vicésimal, base 20) existe au Bhoutan en langue
dzongkha, et était en usage chez les Aztèques et, quoiqu'irrégulier, pour
la numération maya. Certains pensent qu'il a aussi été utilisé par les Gaulois ou par
les Basques dans les premiers temps, mais on ignore en réalité si leur numération
avait un caractère décimal ou vigésimal.
Un système sexagésimal (base 60) était utilisé pour la numération babylonienne,
ainsi que par les Indiens et les Arabes en trigonométrie. Il sert actuellement dans la
mesure du temps et des angles.
A l’école, nous avons tous appris comment compter dans le système décimal.
Compter dans le système décimal veut dire tout d’abord n’employer que 10 chiffres
(nos chiffres arabes), puis grouper les éléments à dénombrer par puissances de 10
c’est-à-dire en paquets de 10, puis de 100 si nécessaire, puis de 1000, etc. Ces groupes
possèdent d'ailleurs des noms : dizaines, centaines, milliers...On écrit le résultat en
notation de position, c’est à dire sous forme d'une suite de chiffres, tous inférieurs à10,
égaux successivement au nombre de milliers, de centaines, de dizaines et enfin
d’unités isolées. Par exemple, le nombre 1956, écrit en décimal (on peut le faire suivre
de l'indice 10 pour préciser le système employé :
195610 =1.103 +9.102 +5.101 +6.100
=1.1000+9.100+5.10+6.1
= 1000+900+50+6
3.1.3. Système binaire
constituent le code binaire moderne. Ce code à 2 états a trouvé son application avec
l'apparition des relais (sortes d'ampoules électriques à 2 états aussi : ouvert ou fermé).
Les premiers ordinateurs étaient donc des calculateurs. Les systèmes informatiques
actuels étant construits à l’aide de circuits intégrés (composants électroniques qui
rassemblent sur une puce de silicium quelques millions de transistors), ils ne peuvent
fonctionner que selon une logique à deux états telle que, de façon schématique, le
courant passe ou ne passe pas dans le transistor. Ces deux états logiques,
conventionnement notés 0 et 1, déterminent une logique dite binaire qui correspond
à deux niveaux électriques que nous donnerons, pour simplifier, comme étant
équivalent à 0 volt et à +5 volts.
Toute information à traiter devra donc pouvoir être représentée sous une forme
assimilable par la machine, et donc sous une forme binaire. Que ce soit en interne
dans la machine que sur les fils permettant de faire circuler l’information entre tous les
composants d’un ordinateur.
Le passage d’une information, d’un langage compréhensible par l’homme à un
langage compréhensible par le système informatique, s’appelle codage ou
codification. Nous verrons qu’il existe de nombreuses possibilités de codage de
l’information, BINAIRE, HEXADECIMAL, ASCII, BCD…
3.1.3.1. Conversions
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La flèche pointée vers le haut indique le sens de lecture binaire. Le nombre 13510
équivaudra ainsi à 100001112 en binaire. Chaque élément binaire déterminé, pouvant
donc prendre la valeur 0 ou 1, est appelé un digit binaire ou, plus couramment bit
(abréviation de l’anglais binary digit). Une suite de quatre bits prendra le nom de
quartet, une suite de huit bits prendra le nom d’octet.
Passage d’un nombre en base 2 à un nombre en base 10 par multiplication
successives. On multiplie chaque élément du nombre binaire (ou bit) par le chiffre 2
élevé à une puissance, croissant par pas de 1, comptée à partir de zéro en partant
de la droite, puis on effectue la somme des résultats obtenus.
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Les opérations sur les nombres binaires s’effectuent de la même façon que sur
les nombres décimaux. Toutefois, il ne faut pas oublier que les seuls symboles utilisés
sont le 1 et le 0, nous aurons ainsi les opérations fondamentales suivantes
Addition
Soustraction
Multiplication
Les multiplications binaires s’effectuent selon le principe des multiplications
décimales. On multiplie donc le multiplicande par chacun des bits du multiplicateur.
On décale les résultats intermédiaires obtenus et on effectue ensuite l’addition de ces
résultats partiels.
Division
Nous avons vu que la multiplication était basée sur une succession d’additions.
Inversement la division va être basée sur une succession de soustraction et s’emploie
de la même façon qu’une division décimale ordinaire.
Soit 11002 à diviser par 1002
1100/100=11
Le résultat qui se lit de haut en bas « descendant » est donc 112
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Les nombres supérieurs à 9 n’existent pas, en tant que tels, dans la notation
hexadécimale où ils doivent être remplacés par des lettres, ainsi notre « 13 » devra-t-il
être remplacé par la lettre D. on dit que l’on remplace le nombre décimal par son
équivalent hexadécimal.
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L’octet (symbole "o") est une unité de mesure en informatique indiquant une
quantité de données.
Un octet est toujours composé de 8 bits, soit 8 chiffres binaires, alors que le byte
a souvent (mais pas toujours) une taille d'un octet. Cette similitude fait que les deux
mots sont fréquemment, mais abusivement, considérés comme synonymes.
Symboles
Le symbole de l’octet est la lettre « o » minuscule.
La lettre « O » (en majuscule) n'est pas acceptable dans le système international
d'unités (SI) en raison du risque de confusion avec le chiffre 0 et parce que les lettres
majuscules sont en général utilisées pour les unités dérivées d'un nom propre (par
exemple : Volt). Cette question n’est cependant pas tranchée, les unités
d’information ne faisant pas partie du SI.
Multiples
Ubuntu écrit les valeurs en Gio (puissance de 2), ce qui est conforme au SI.
Traditionnellement, les préfixes « kilo », « méga », « giga », etc. dans le monde
informatique, ne représentaient pas une puissance de 10 (103 = 1 000), mais une
puissance de 2 (210 = 1 024) (plus précisément, il s'agit de puissance de 103 et 210, car
la notion de multiple porte sur l'exposant 3 ou 10). Cependant cette tradition violait
les normes en vigueur pour les autres unités, y compris le bit, et n'est même pas
appliquée uniformément aux octets, notamment dans la mesure de la capacité des
disques durs. Une nouvelle norme a donc été créée pour noter les multiples de
210 = 1 024 : les « kibi », « mébi », « gibi », etc.
Windows Vista écrit les valeurs en Go (puissance de 10), tout en les calculant en
Gio (puissance de 2), ce qui est contraire à l'écriture dans le SI.
Cette distinction est d'ailleurs utilisée depuis longtemps par les fabricants de
disques durs. Le fait que l'usage de préfixes en puissances de 10 permette d'afficher
commercialement des capacités supérieures à celles données par les puissances de
2 peut introduire une erreur d'appréciation de la part d'utilisateurs non avertis. Ainsi,
un disque dur de 100 gigaoctets (100×109 octets) contient le même nombre (à l'erreur
d'arrondi près) d'octets qu'un disque de 93,13 gibioctets (93,13×230 octets).
La très grande majorité des disques durs étant divisés et adressables en secteurs
de 512 octets, un comptage en unités de 1 024 octets serait plus naturel (en utilisant
cette fois les préfixes binaires) ; les disques de stockage à mémoire non volatile (y
compris les clés USB, lecteurs MP3 mobiles, etc.) utilisent généralement l'unité avec le
préfixe binaire. Mais cette capacité est celle du volume non formaté, le formatage
des disques en système de fichiers en retire une partie, de plus une petite partie du
volume de la mémoire non volatile est parfois utilisée par le logiciel interne de l'unité
de stockage.
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Multiples normalisés
Les préfixes kilo, méga, giga, téra, etc., correspondent aux mêmes
multiplicateurs que dans tous les autres domaines : des puissances de 10. Appliqué à
l'informatique, cela donne :
Bits et octets
8 bits = 1 octet
1 kilobit = 1 024 bits = 128 octets
512 kilobits = 524 288 bits = 65 536 octets = 64 kilo-octets (65 536 / 1 024).
1 mégabit = 1 048 576 bits = 131 072 octets = 128 kilo-octets (131 072 / 1 024).
10 mégabits = 10 485 760 bits = 1 310 720 octets = 1,25 méga-octet (1 310 720 / 1
024)
100 mégabits = 104 857 600 bits = 13 107 200 octets = 12,5 méga-octets (13 107 200 /
1 024)
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Un circuit logique est un circuit qui fonctionne avec une variable qui peut
prendre la valeur 1 ou la valeur 0.
Lorsque la variable prend la valeur 1, on parle d’un circuit fermé ou tout
simplement que le courant passe. Sinon, le circuit est ouvert et le courant ne passe
pas et la variable prend la valeur 0. Lorsque le courant passe ou si le circuit est fermé,
celui-ci est représenté par une ligne continue comme suit : et
lorsque le courant ne passe pas, celui-ci est représenté par ce qui suit :
- Dans le cas de trois circuits, le deuxième circuit a, sur les 8 possibilités, la chance
d’avoir la valeur 1 ou 0.
Exemple : A=2n/2 qui donne 23/2=8/2=4
B=2n-1/2 qui donne 23-1/2=22/2=4/2=2
C=2n-2/2 qui donne 23-2/2=21/2=2/2=1
Et la table de vérité de A+B+C est :
A B C S=A+B+C
1 1 1 1
1 1 0 1
1 0 1 1
1 0 0 1
0 1 1 1
0 1 0 1
0 0 1 1
0 0 0 0
Donc si A est un circuit, alors son complément est A. Ceci se justifie par la table
de vérité suivante :
A A
1 0
0 1
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A B AB
1 1 0
1 0 1
0 1 1
0 0 0
4.1. Composition
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Windows de l’Anglais Will Instal Needles Data On Whole Station qui se traduit veut
dire Installer les Données même Utiles sur le Système (littéralement « Fenêtres » en
anglais) est au départ une interface graphique unifiée produite par Microsoft, qui est
devenue ensuite une gamme de systèmes d’exploitation à part entière,
principalement destinés aux ordinateurs compatibles PC.
4.6.0. Histoire
DOS, que ce soit dans sa version IBM PC-DOS ou dans les versions pour clones
MS-DOS, ne comportait pas d'interface graphique. Il était possible avec une grande
facilité de créer des graphiques sous le langage BASICA (GW-BASIC pour les clones)
livré avec le système, mais les commandes devaient être mémorisées par l'utilisateur
et tapées à la main, ce qui rendait le système pénible d'emploi.
Par ailleurs, chaque couple application/périphérique exigeait son pilote
générique, ce qui rendait la gestion de ces pilotes compliquée et constituait un frein
à l'évolution des configurations.
Inspirées d'interfaces comme l'Alto de Xerox, puis du Lisa et du Macintosh
d'Apple, les premières versions de Windows, en 16 bits, s'appuyaient sur l'OS existant :
MS-DOS. Celui-ci ayant été conçu monotâche, on y lançait Windows comme un
simple programme, qui incorporait dès lors quelques unes de ses fonctions (comme le
tracking de la souris au système. La limitation intrinsèque propre au monotâche, ainsi
que le côté marginal de Windows 1 (dont les fenêtres ne faisaient que partager l'écran
sans superpositions), puis Windows 2 (permettant les superpositions, mais de faibles
performances) n'inquiétèrent pas alors le rival Apple, plus préoccupé de la stratégie
d'IBM.
IBM ne pensait pas l'usage du mode graphique viable avec la limitation à 640 K
du DOS ni la faible résolution des écrans de l'époque et s'orienta vers un
multifenêtrage en mode texte, Top view, très réactif, mais gardant malheureusement
l'inconfort du DOS.
Windows 3 intégra trois versions livrées simultanément : une en mode 8086 (16 bits
simples), une seconde en mode 80286 (16 bits avec adressage étendu) et une
troisième en mode 80386 (adressage 32 bits). L'appel de la commande win depuis le
DOS effectuait quelques tests système et lançait automatiquement la version jugée la
plus appropriée, sauf demande expresse de l'utilisateur au moyen de paramètres. La
version du DOS était elle aussi testée, afin de substituer autant de fonctions Windows
que possible à celle du DOS, qui ne servait plus guère que de lanceur et d'implanter
les vecteurs d'appel aux bons endroits (un effet collatéral fut une série de messages
d'avertissement si on lançait Windows depuis un OS concurrent comme DR-DOS). Son
usage d'Adobe Type Manager le positionna comme un concurrent sérieux du
McIntosh et déclencha de la part d'Apple un procès en contrefaçon. Mais Apple le
perdit à cause du précédent de l'Alto.
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La version 3.1 poussa la qualité un peu plus loin en remplaçant Adobe Type
Manager par TrueType. Une version 3.11 intégra de façon native l'usage du réseau
local.
Ces versions avaient peu à peu fini par intégrer un noyau, un shell propre similaire
au DOS et des utilitaires de gestion du système d'exploitation en plus de l'interface
graphique qui donna son nom au système d'exploitation. Elles furent donc considérées
comme les successeurs de MS-DOS, avec le confort que chaque périphérique
comme chaque application n'avait besoin dès lors que du driver Windows, ce qui
simplifiait considérablement la gestion de ceux-ci.
Avec Windows 95, l'OS (Operating System), épaulé par une importante
campagne de publicité grand public, rencontre un grand succès, dû en partie au fait
que son éditeur a passé de très nombreux accords d'exclusivité avec les constructeurs
d'ordinateurs leur interdisant d'installer un autre système sous peine de sanctions
financières. Vendu préinstallé sur la quasi-totalité des ordinateurs personnels qui ne
proposent par ailleurs aucun autre système au choix, il possède un statut de quasi-
monopole (ce qui n'est pas le cas sur les serveurs).
4.6.1. Chronologie de sortie des systèmes Windows
Année Version Bit
1985 Windows 1.0 16-bits
1987 Windows 2.0 16-bits
Windows 1990 Windows 3.0 16-bits
(Basé sur le DOS) 1992 Windows 3.1 16-bits
1992 Windows for Workgroups 3.1 16-bits
1993 Windows for Workgroups 3.11 16-bits
1995 Windows 95 16/32-bits
1998 Windows 98 16/32-bits
Windows 9x
1999 Windows 98 SE 16/32-bits
2000 Windows Me (Millenium) 16/32-bits
1993 Windows NT 3.1 Server / Workstation 32-bits
1994 Windows NT 3.5 Server / Workstation 32-bits
1995 Windows NT 3.51 Server / Workstation 32-bits
1996 Windows NT 4.0 Server / Workstation 32-bits
2000 Windows 2000 Server / Workstation 32-bits
2001 Windows XP 32-bits
2003 Windows Server 2003 32/64-bits
2004 Windows XP SP2 32-bits
2005 Windows XP 64bits 64-bits
Windows
2007 Windows Vista 32/64-bits
basé sur NT
2008 Windows Server 2008 32/64-bits
en Bleu = Serveurs
2009 Windows 7 32/64-bits
2009 Windows Server 2008 R2 64-bits
2012 Windows 8 32/64-bits
2012 Windows Server 2012 64-bits
2013 Windows 8.1 32/64-bits
2013 Windows Server 2012 R2 64-bits
2015 Windows 10 32/64-bits
2016 Windows Server 2016 64-bits
2019 Windows Server 2019 64-bits
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Deuxième acception : Ensemble des ordres donnés pour exécuter une tâche
bien précise.
Ex: le programme que l’homme donne à sa femme ou le chef donne à sa subalterne.
De toutes ces deux acceptions, la dernière acception intéresse le
software. En effet, pour que l’ordinateur exécute une quelconque tâche, il doit
recevoir des ordres et les reconnaître. C’est pourquoi, nous pouvons définir le
programme comme «Ensemble des ordres donnés à la machine pour exécuter une
tâche bien précise ».
Ainsi, pour donner quelque utilité au matériel (Hardware), il faut les
programmes ou les logiciels. Un logiciel consiste donc en milliers d’instructions
qui indiquent au matériel que faire à vos commandes.
Les programmes d’application sont déjà conçus en vue d’une application bien
déterminée. On distingue parmi les logiciels d’application, les logiciels de
programmation dans lesquels il faut encore concevoir l’application à exécuter et les
progiciels qui sont des produits logiciels finis c'est-à-dire prêts à être utilisés
directement.
5.0.1. Pilotes
Un pilote (anglais driver) est un programme qui contient les instructions à
exécuter pour utiliser un certain périphérique informatique. Les pilotes sont fournis par
l'auteur du système d'exploitation ou le fabricant du périphérique. Un système
d'exploitation contient typiquement de nombreux pilotes correspondant à de
nombreux composants matériels susceptibles d'être montés dans l'ordinateur.
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Les langages compilés sont des langages où toutes les instructions sont traduites
en code objet avant d’être exécutées. Cette conversion s’effectue au moyen d’un
compilateur.
Les langages interprétés sont des langages décodés et exécutés instruction par
instruction lors de l’exécution du programme, à l’aide d’un programme appelé
interpréteur.
Les langages de bas niveau sont des langages proches du langage machine ou
des langages offrant peu d’instructions et de types de données. En général, chaque
instruction écrite dans un langage de bas niveau correspond à une instruction
machine. Le langage machine et le langage assembleur sont considérés comme des
langages de bas niveau.
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Langages machines
Le langage machine représente le langage dans lequel s’exprime le résultat
final d’une compilation de langage assembleur ou d’un langage de haut niveau
quelconque. Constitué de « 0 » et de « 1 », ce langage est chargé et exécuté par le
microprocesseur. Appelé également code machine, il constitue le seul langage
réellement « compris » par l’ordinateur, tous les autres langages correspondant à des
formes de structuration du langage humain.
Langages assembleur
Le langage assembleur est un langage de programmation de bas niveau, où
chaque instruction correspond à une instruction machine unique. Le jeu d’instructions
d’un tel langage est donc associé à un certain type de processeur. Ainsi, les
programmes écrits en langage assembleur pour un processeur particulier doivent être
réécrits pour tourner sur un ordinateur équipé d’un processeur différent. Après écriture
d’un programme en langage assembleur, le programmeur fait alors appel à
l’assembleur spécifique du processeur, qui traduit ce programme en instructions
machine.
Le langage assembleur peut être préféré à un langage de haut niveau lorsque
le programmeur recherche une vitesse d’exécution élevée ou un contrôle étroit de la
machine.
En effet, les programmes écrits dans ce type de langage tournent plus vite et
occupent moins de place que ceux produits par un compilateur. En outre, ils donnent
au programmeur la possibilité d’agir directement sur le matériel (processeur, mémoire,
affichage et connexion d’entrées / sorties).
Les langages évolués, dits aussi de haut niveau ou de troisième génération, sont
des langages informatiques offrant un certain niveau d’abstraction par rapport au
langage machine, et manipulant des structures syntaxiques telles que les déclarations,
les instructions de contrôle, etc. Usuellement, le terme « évolué » désigne tout langage
de niveau supérieur à celui du langage assembleur.
Les langages évolués sont classés en trois grandes familles : les langages
procéduraux, les langages orientés-objets et les langages orientés-listes. On retrouve
ainsi dans la famille des langages procéduraux : le FORTRAN, le COBOL, le BASIC,
l’Ada, le PASCAL et le C, dans la famille des langages orientés-objets : le C++ et le
Java, et dans la famille des langages orientés-listes : le LISP.
A. Langages procéduraux
Les langages procéduraux sont des langages où la procédure (suite
d’instructions) constitue l’élément de base. La plupart des langages évolués sont des
langages procéduraux.
Langage FORTRAN : Premier langage de programmation de haut niveau, le
FORTRAN (acronyme de FORmulaTRANslation) a été développé entre 1954 et
1958 par John Backus d’IBM. Il est à l’origine de nombreux concepts avancés,
tels que les variables, les expressions, les instructions, les sous-programmes
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B. Langages orientés-objets
Les langages orientés-objets sont des langages adaptés à la programmation
orientée-objet, type de programmation où chaque programme est considéré comme
un ensemble d’objets distincts, ces objets constituant eux-mêmes des ensembles de
structures de données et de procédures intégrées. Dans de tels langages, chaque
objet appartient à une classe qui définit les structures de données et les procédures
associées à cet objet. Le premier langage à introduire les notions d’objet et de classe
a été SIMULA, développé en 1967 par Dahl, Mayrhaug et Nygaard à Oslo. Aujourd’hui,
les langages orientés-objets, comme C++, Java, OBJECTPASCAL, OBJECTIF-C, EIFFEL
ou SMALLTALK, sont devenus les outils des développeurs.
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6.1.1. Introduction
Aujourd’hui, les entreprises ne peuvent plus s’en passer de l’informatique et
d’internet mais la perte, le vol d’information ou un incident du système informatique
peut avoir de lourdes conséquences pour les entreprises.
C’est pourquoi, il est important de mettre en place des mesures de
protections des informations confidentielles et aussi de l’ensemble du système
Informatique.
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Les causes d’incidents peuvent être multiples. Cela peut provenir d’erreurs
humaines, d’acte de malveillance, mais les agressions externes sont les plus fréquentes
(virus informatique, vol des matériels, d’informations, espionnages).
Pour éviter ce problème, les dirigeants doivent mettre en place une
politique de sécurité opérationnelle comprise par tous.
D. LA SECURITE PHYSIQUE
E. LA SECURITE LOGIQUE
La sécurité logique est l’ensemble des procédures et des moyens logiciels
permettant d’assurer la confidentialité, la disponibilité et l’intégrité des données et des
opérations informatiques1
Les données ou informations étant considérée comme un point de départ et
point fort de toute entreprise nécessitent la sécurité à toutes épreuves.
1
https://virtinelinguistique.oqlf
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Mettre à jour les ordinateurs pour lutter contre les Virus informatiques. Et
chercher à installer les antivirus qui peuvent permettre les outils au bon
fonctionnement.
6.1.3. VIRUS
6.1.4. ANTIVIRUS
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2
www.wikipedia.org
3
www.talent.com
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L'ANI est le type d'IA le plus simple à identifier, déjà utilisé par la plupart des individus.
Voici quelques exemples d'ANI que vous reconnaîtrez certainement :
o Les voitures sans conducteur : les voitures sans conducteur n'ont ni volant ni
pédales. Elles fonctionnent avec des cartes en 3D et sont contrôlées par un
Chauffeur Google.
o Les appareils à commande vocale : de Siri à Alexa, la plupart des
consommateurs possèdent et utilisent quotidiennement une interface ANI via
des appareils intelligents.
o Les filtres de messagerie : toutes les boîtes de réception, sinon la plupart, offrent
aux utilisateurs la possibilité de trier des spams et de signaler des messages
spéciaux.
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7.0. Définition
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7.2. Histoire
Dans les années 1960, les premiers réseaux informatiques étaient de portée
limitée (quelques dizaines de mètres avec par exemple l'HP-IB, l'HP-IL, etc.) et servaient
à la communication entre micro-ordinateurs et des instruments de mesure ou des
périphériques (imprimantes, table traçante, etc.).
Les réseaux informatiques filaires entre sites distants apparaissent dans les années 1970.
7.3. Découpage géographique de réseaux
le réseau régional (RAN) qui a "pour objectif de couvrir une large surface
géographique. Dans le cas des réseaux sans fil, les RAN peuvent avoir une
cinquantaine de kilomètres de rayon, ce qui permet, à partir d'une seule
antenne, de connecter un très grand nombre d'utilisateurs. Cette solution
devrait profiter du dividende numérique, c'est-à-dire des bandes de
fréquences de la télévision analogique, qui seront libérés, après le passage au
tout numérique, fin 2011 en France".
7.4. Internet
Le mot internet lui-même est la contraction de Interconnected Networks
(Réseaux Interconnectés). Au sens strict de mot, Internet n’existe pas. On ne trouvera
nulle part dans le monde les bâtiments de l’entreprise Internet. En fait, on peut
comparer Internet à une gigantesque toile d’araignée qui entoure la terre entière. Les
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fils de la toile sont les lignes téléphoniques, et partout, les ordinateurs sont reliés à ces
lignes pour dialoguer entre eux. L’information circule à la vitesse de l’électron, que
ce soient des textes, des sons ou des images…
L’histoire d’internet commence dans les années 1960. A l’époque, le
gouvernement américain avait peur qu’une bombe atomique ne détruise d’un seul
coup son grand ordinateur. L’armée a donc décidé de créer un réseau d’ordinateurs :
chaque ordinateur allait être relié à tous les autres ordinateurs. Ainsi, si une liaison
explosait, le message arriverait quand même à son destinataire en transitant par les
ordinateurs relais. Dans les années 80, les ordinateurs des universités et des entreprises
vinrent rejoindre ce réseau. Et l’on vit ainsi apparaître progressivement le réseau des
réseaux.
7.4.1. Web (World Wide Web) www
Un site web (aussi appelé Site Internet ou page perso dans le cas d’un Site
Internet à but personnel) est un ensemble de fichiers HTML stockés sur un ordinateur
connecté en permanence à l’internet et hébergeant les pages web (serveur web)
Exemple : http:/www.commentcamarche.com
Par l’Assistant Matthieu LUSONGO ET Assistant Jean KABALA KALALA DIBA (+243 991 689 390, +243 826 254 025)
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Notes de cours de l’Informatique Générale L1 LMD 2024-2025
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