Evaluation QCM (Revision) – Bac Sc Exp (SVT)

Pour chacun des items suivants, il peut y avoir une ou deux réponses exactes.
Reportez sur votre copie, le numéro de chaque item et indiquez la (ou les) lettre(s)
correspondant(s) à la (ou aux) réponse(s) exacte(s).
Toute réponse fausse annule la note attribuée à l’item considéré.
1) Parmi les cellules du tube séminifère qui ont une fonction exocrine, on peut citer les :
a- spermatides,
b- cellules de Leydig,
c- cellules de Sertoli,
d- spermatozoïdes.
2) Le spermatocyte du premier ordre est une cellule :
a- diploïde,
b- qui résultat de la première division de la méiose,
c- à noyau excentrique,
d- mobile.
3) Les cellules hypothalamiques sécrétrices de GnRH sont activées à la suite d’une :
a- élévation de sécrétion d’inhibine,
b- chute de sécrétion de testostérone,
c- élévation de sécrétion d’ABP,
d- chute de sécrétion FSH.
4) Chez l’homme, les cellules de Leydig :
a- ont des récepteurs spécifiques à l’inhibine,
b- présentent des récepteurs à la testostérone,
c- synthétisent et sécrètent l’ABP,
d- interviennent dans la régulation de la spermatogenèse.
5) La castration bilatérale d’un mâle pubère entraîne une augmentation du taux
plasmatique de :
a- l’inhibine,
b- la LH,
c- la FSH,
d- l’ABP.
6) Les tubes séminifères d’un homme sain :
a- ont une double fonction,
b- contiennent des cellules somatiques,
c- sont des structures cibles de la GnRH,
d- sont activés par la LH.
7) Greffé sous la peau du cou, le testicule d’un rat hypophysectomisé et castré
assure :
a- la restauration des caractères sexuels masculins,
b- le développement du tractus génital,
c- le rétablissement de la fertilité,
d- une augmentation du taux sanguin des gonadotrophines.

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8) Parmi les effets physiologiques suivant, quels sont ceux qui sont déclenchés par
le complexe Testostérone-ABP chez l’homme :
a- développement des caractères sexuels secondaires à la puberté,
b- stimulation de la sécrétion de gonadostimulines,
c- activation de la spermatogenèse,
d- développement des cellules de Sertoli.
9) Injectée à forte dose chez un mâle castré, l’ABP n’entraîne aucun effet car :
a- la spermatogenèse est bloquée,
b- les caractères sexuels secondaires sont régressés,
c- il y a augmentation du taux de testostérone,
d- l’organe cible est absent.
10) Chez l'homme, une forte dose de testostérone provoque une :
a- activation des cellules de Leydig,
b- faible sécrétion de LH,
c- hypersécrétion de GnRH,
d- sécrétion importante d’inhibine.
11) Un rat ayant subi la lésion de son hypothalamus, reçoit, en perfusion continue,
du sérum contenant des extraits hypothalamiques. On constatera :
a- l'hypertrophie de l'hypophyse,
b- aucune réponse de l'hypophyse,
c- reprise de sécrétion des gonadotrophines,
d- la réduction de l'activité de l'hypophyse.
12) Chez un rat adulte, on enlève l’hypophyse puis on la greffe à un endroit
quelconque chez ce même animal. On constate que :
a- l’hypophyse continue à sécréter des gonadostimulines,
b- l'hypophyse cesse de sécréter des gonadotrophines,
c- l’animal reste stérile,
d- la fonction endocrine testiculaire est restaurée.
13) Une baisse importante du taux plasmatique de testostérone au-dessous de la
valeur de référence :
a- accentue le freinage sur le complexe hypothalamo-hypophysaire,
b- provoque une diminution de la sécrétion de la LH,
c- est suivie d'une augmentation de la fréquence des pulses de GnRH,
d- induit une levée de l’inhibition sur l’axe hypothalamo-hypophysaire.
14) Le document ci-contre correspond à un type de cellules qui
existent dans la paroi du tube séminifère au cours d’une phase de la
spermatogenèse. Il s'agit :
a- d'une spermatogonie à 2n = 4, au cours de l’anaphase de la mitose,
b- d'une spermatogonie à 2n = 6 au cours de la prophase de la mitose,
c- d'un spermatocyte I à 2n = 4 au cours de l‘anaphase de la division
réductionnelle,
d- d'un spermatocyte II à 2n = 6 au cours de l‘anaphase de la division
équationnelle.

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15) Un rat ayant subi la lésion de son hypophyse, reçoit, en perfusion, du sérum contenant
la LH. On constatera :
a- l'hypertrophie des testicules,
b- aucune réponse des testicules,
c- la restauration des caractères sexuels,
d- le rétablissement de la spermatogenèse.
16) Greffé sous la peau du cou, l’hypophyse d’un rat castré :
a- continue à secréter la LH et FSH,
b- assure la sécrétion de testostérone par les testicules,
c- ne fonctionne plus,
d- rétablit la production des spermatozoïdes.
17) La folliculogenèse chez la femme fertile normale :
a- s’effectue en même temps que l’étape de reprise de maturation,
b- s’effectue en même temps que l’étape d’accroissement,
c- correspond à la formation d’un ovocyte II,
d- se déroule entièrement dans les ovaires.
18) Au cours du cycle ovarien, l’atrésie folliculaire est sous la dépendance d’une :
a- chute des hormones ovariennes,
b- élévation de sécrétion de LH,
c- chute de sécrétion de FSH,
d- élévation de sécrétion de GnRH.
19) L'émission du premier globule polaire se fait dans un follicule :
a- primaire au même temps qu’une glaire dense,
b- secondaire au même temps qu’une glaire filante
c- cavitaire au même temps qu’une glaire dense,
d- mûr au même temps qu’une glaire filante.
20) La pénétration d'un spermatozoïde dans l'ovocyte II provoque une :
a- réaction acrosomique,
b- reprise de la division réductionnelle,
c- réaction corticale,
d- reprise de la division équationnelle.
21) Les cellules hypothalamiques sécrétrices de GnRH ont des récepteurs :
a- d’estradiol,
b- d’inhibine,
c- de testostérone,
d- de testostérone-ABP.
22) Le rétrocontrôle négatif exercé par l’ovaire sur le complexe hypothalamo-
hypophysaire au cours de la phase lutéale :
a- commence après l’ovulation,
b- est toujours intense,
c- s’affaiblit à partir du 22ème jour,
d- est l’origine de la menstruation.
23) Des injections de LH chez un animal mâle impubère provoquent :
a- une augmentation du taux d’inhibine,
b- une augmentation du taux de gonadolibérine,
c- une production de spermatozoïdes,
d- un développement du tissu interstitiel.

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24) Parmi les premiers signes de la grossesse, on cite :
a- une diminution des taux sanguins des hormones ovariennes,
b- une augmentation des taux sanguins des gonadostimulines,
c- l'absence des menstruations,
d- une apparition de HCG dans le sang de la femme.
25) On envisage la F.I.V.E.T.E. pour corriger une stérilité :
a- féminine due à une forte acidité vaginale,
b- masculine due à une oligospermie,
c- féminine due à une obstruction d'une trompe,
d- masculine due à la capacitation des spermatozoïdes.
26) Si la fréquence des gamètes AB est de 40 % chez un individu de
génotype AB//ab, alors la fréquence des gamètes recombinés est de :
a- 80 %,
b- 10 %,
c- 20 %,
d- 40 %.
27) La phase de gamétogénèse présente dans le document ci-contre est une :
a- multiplication des ovogonies,
b- maturation des spermatocytes I,
c- multiplication des spermatogonies,
d- maturation des ovocytes I.
28) Chez une femme enceinte, le tabagisme favorise :
a- la mort de l'embryon dès la 1ère semaine de grossesse,
b- la dépendance du fœtus vis-à-vis de la nicotine,
c- un retard mental du nouveau-né,
d- une baisse pondérale du nouveau-né.
29) Un individu de phénotype [A B] est croisé avec un individu de
phénotype [ a b ].
La descendance comprend : x [A B], x [a b], y [A b] et y [a B] avec x ≠ y.
Dans ce cas, on peut affirmer que l’individu [A B] est de génotype :
a- A//a B//b ,
b- A//A B//B ,
c- AB//ab si x < y,
d- Ab//aB si x < y.
30) Le document ci-contre représente une garniture chromosomique d’une
cellule germinale, les gamètes obtenus par brassage interchromosomique
sont :
a- A1 ; A2 ; X1 ; X2,
b- A1X1 ; A1X2 ; A2X1 ; A2X2,
c- A1A2 ; X1X2 ; A1X1 ; A1X2,
d- A1X1 ; A2X1 ; X2X1 ; A1X2.

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31) Au moment de la fécondation, les granules corticaux libèrent des
enzymes pour :
a- favoriser la pénétration du spermatozoïde dans l’ovocyte II,
b- dégrader les récepteurs de la zone pellucide,
c- dégrader toute la zone pellucide,
d- assurer la monospermie.
32) La pilule combinée :
a- active les ovaires,
b- inhibe la prolifération de l’endomètre,
c- agit sur les ovaires pour bloquer l’ovulation,
d- inhibe le fonctionnement du complexe hypothalamo-hypophysaire.
33) La FIVETE est utilisée en cas :
a- d’une irrégularité des cycles sexuels,
b- d’une malformation des trompes de Fallope,
c- d’un nombre insuffisant de spermatozoïdes,
d- de ménopause de la femme.
34) Le brassage interchromosomique :
a- affecte des gènes situés sur la même paire de chromosomes,
b- induit une diversité des gamètes produits par un individu,
c- résulte d’un échange de fragments de chromatides entre chromosomes
homologues,
d- n’a lieu qu’au cours de la deuxième division de méiose.
35- Le brassage intrachromosomique :
a- n’a lieu qu’au cours de la première division de méiose,
b- affectent des gènes situés sur des paires de chromosomes différents,
c- résultent d’une répartition aléatoire des chromosomes au cours de la méiose,
d- se produisent entre deux chromatides sœurs.
36) L’alcoolisme chez la femme enceinte est :
a- un risque tératogène,
b- une forme de toxicomanie,
c- la cause d’une malformation congénitale appelée ″bec de lièvre″,
d- la cause d’une malformation congénitale appelée ″phocomélie″.
37) Le pouvoir fécondant des spermatozoïdes est acquis au niveau :
a- des tubes séminifères,
b- de l’épididyme,
c- de la glaire cervicale de la femme,
d- de la trompe de Fallope.
38 On détermine la dominance éventuelle d’un allèle par rapport à un autre si :
a- la moitié des individus de F1, ont le caractère concerné,
b- la totalité des individus de F2, ont le caractère concerné,
c- la totalité des individus de F1, ont le caractère concerné,
d- la moitié des individus de F2, ont le caractère concerné.

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39) La probabilité des gamètes de type AB produits par un sujet de génotype
Ab//aB est de 5 %. Dans ce cas, la distance entre les deux gènes est de :
a- 5 centimorgan,
b- 10 centimorgan,
c- 15 centimorgan,
d- 2 0 centimorgan.
40) Deux gènes liés :
a- sont des gènes situés sur le même chromosome,
b- sont obligatoirement transmis ensemble dans un gamète,
c- sont recombinés par le phénomène de brassage interchromosomique,
d- peuvent être modifiés par crossing-over.
41) Deux gènes indépendants :
a- sont des gènes situés sur des paires différentes de chromosomes,
b- sont recombinés par le phénomène de brassage intrachromosomique,
c- sont recombinés par le phénomène de brassage interchromosomique,
d- peuvent être modifiés par crossing-over.
42) Dans le cas de deux gènes liés avec linkage partiel, lorsqu’on croise F1 avec
un parent double récessif, les descendants sont :
a- de même phénotypes,
b- de même génotypes,
c- de deux phénotypes différents,
d- de quatre phénotypes différents.
43) Dans le cas ou les deux gènes sont indépendants, un individus double
hétérozygote produit :
a- quatre types de gamètes de même proportion,
b- quatre types de gamètes de proportion différents,
c- plusieurs types de gamètes de même proportion,
d- plusieurs types de gamètes de proportion différents.
44) Dans F2 du dihybridisme, les individus de phénotype dominant :
a- sont toujours hétérozygotes,
b- sont toujours homozygotes,
c- sont soit hétérozygotes soit homozygotes.
d- sont toujours de mêmes génotypes.
45) Les allèles d’un même gène :
a- occupent toujours le même locus sur un chromosome donnée,
b- sont identique sur les deux chromosomes homologues,
c- sont au nombre de deux au sein de chaque gamète,
d- se séparent normalement lors de la division équationnelle de la méiose.
46) Un individu hétérozygote pour deux gènes liés distants de 20 CM fournit :
a- 40 % de gamètes recombinés,
b- 20 % de gamètes recombinés,
c- 60 % de gamètes parentaux,
d- 80 % de gamètes parentaux.

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 47) Une anomalie récessive liée au chromosome sexuel X est transmise :
a- par un père phénotypiquement sain à toutes ses filles,
b- par une mère phénotypiquement saine à tous ses fils,
c- par un père phénotypiquement sain à tous ses fils,
d- d’une mère phénotypiquement malade à tous ses fils.
48) Dans le pédigrée ci-contre, l'allèle de la maladie est :
a- porté par un autosome,
b- récessif,
c- dominant,
d- porté par X.
49) L'arbre généalogique ci-contre est celui d'une famille dont deux
membres sont atteints d’une maladie liée à X :
a- l'allèle responsable de l'anomalie peut être récessif,
b- l'allèle responsable de l'anomalie peut être dominant,
c- ce couple peut donner naissance à des filles atteintes,
d- ce couple ne peut pas donner naissance à des garçons sains.
50) Le résultat d’analyse d’ADN d’un homme malade montre deux types
d’ADN :
a- le gène de la maladie peut être lié au chromosome X,
b- la maladie est contrôlée par un gène dominant,
c- cet homme donne des filles toutes malades,
d- le gène de la maladie est autosomal.
51) Le mariage consanguin :
a- est une union entre deux individus non apparentés,
b- augmente le risque d'apparition des anomalies récessives,
c- augmente la fréquence des homozygotes,
d- est conseillé dans le cas de l'existence d'une anomalie récessive.
52) La formule chromosomique d’un garçon atteint du syndrome de Down
est :
a- 44 autosomes + XXY,
b- 45 autosomes + XY,
c- 45 autosomes + XXY,
d- 44 autosomes + XX.
53) Un homme sain épouse une femme conductrice du daltonisme. Sachant
que l’anomalie est due à un allèle récessif porté par le chromosome X, leur
garçon a :
a- 50 % de chance d’être sain,
b- 25 % de chance d’être sain,
c- 50 % de risque d’être malade,
d- 25 % de risque d’être malade.

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 54) document ci-contre représente le résultat de l'analyse de l'ADN, par
électrophorèse, d'un père sain, d'une mère atteinte d'une maladie liée à X et
de leur fœtus:
a- l'anomalie est récessive,
b- l'anomalie est dominante,
c- le fœtus peut être une fille malade,
d- le fœtus peut être un garçon sain.

55) La formule chromosomique d’un garçon atteint du syndrome de Down est :

a- 44 autosomes + XXY,
b- 45 autosomes + XY,
c- 45 autosomes + XXY,
d- 44 autosomes + XX.
56) Les mutations géniques intervenant dans l’évolution des êtres vivants conduisent à
:
a- de nouveaux gènes,
b- des nouvelles versions d’un même gène,
c- la diversité des caractères au sein d’une même espèce,
d- la naissance de nouvelles espèces.
57) Les mutations chromosomiques peuvent :
a- s’effectuer par fusion des chromosomes,
b- être dues à des changements de bases azotées,
c- conduire à des nouveaux allèles,
d- conduire à des nouveaux caryotypes.
58) Un homme sain épouse une femme conductrice du daltonisme. Sachant que
l’anomalie est due à un allèle récessif porté par le chromosome X, leur garçon a :
a- 50 % de chance d’être sain,
b- 25 % de chance d’être sain,
c- 50 % de risque d’être malade,
d- 25 % de risque d’être malade.
59) document ci-contre représente le résultat de l'analyse de l'ADN, par
électrophorèse, d'un père sain, d'une mère atteinte d'une maladie liée à X et de leur
fœtus:
a- l'anomalie est récessive,
b- l'anomalie est dominante,
c- le fœtus peut être une fille malade,
d- le fœtus peut être un garçon sain.
60) La sélection naturelle :
a- s’exerce de façon aléatoire sur certains individus d’une population,
b- dépend de l’environnement dans lequel vivent les individus d’une population,
c- dépend des génotypes des individus d’une même population,
d- entraine une adaptation des populations à leur environnement.

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61) Au cours de l’évolution des êtres vivants, la spéciation :
a- est la naissance d’espèces nouvelles à partir de deux espèces originelles,
b- ne peut se faire qu’après un isolement géographique des populations,
c- est une conséquence de mutations géniques et non chromosomiques,
d- est conditionné par l’apparition d’une barrière reproductive.
62) Dans l’exemple de la phalène du bouleau, la pollution causée par les usines
dans les zones industrialisées :
a- est un facteur de la sélection naturelle,
b- est un facteur de mutation,
c- a rendu stérile la forme claire,
d- a favorisé la prédominance de la forme claire.
63) D'après l'arbre phylogénique ci-contre :
a- X, Y, Z, A1 et A2 sont des espèces fossiles,
b- A1 et A2 ont le degré de parenté le moins fort,
c- l'ancêtre commun de X et Y est plus récent que celui de Z et Y,
d- il y a trois ancêtres communs.
64) L’amplification génique :
a- est une mutation génique,
b- est une modification du caryotype,
c- augmente le nombre d’allèles d’un même gène,
d- augmente le nombre de gènes et d’allèles.
65) Le document ci-contre présente une technique de
prélèvement de cellules fœtales, il s’agit :
a- de l'amniocentèse,
b- du prélèvement des villosités choriales,
c- du prélèvement du sang fœtal,
d- du prélèvement du liquide amniotique.
66) Un individu atteint de trisomie 21, possède 3 allèles A1. Ses parents sont
hétérozygotes pour le gène (A1, A2). L’anomalie est due à une erreur au cours de :
a- l’anaphase II de la méiose de la spermatogenèse,
b- l’anaphase II de la méiose de l’ovogenèse,
c- l’anaphase I de la méiose de l’ovogenèse,
d- l’anaphase I de la méiose de la spermatogenèse.
67) la fusion chromosomique :
a- est une mutation génique,
b-est une mutation chromosomique,
c- augmente le nombre de chromosomes,
d-conduit à la naissance de nouvelles espèces.
68) la sélection naturelle :
a- est un processus aléatoire,
b- effectue un tri des génotypes les plus adaptés à milieu donné,
c- assure une variabilité au sein de la même espèce,
d- permet de modifier l’information génétique et tend à transformer l’espèce au cours du
temps.

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69) Dans le réflexe myotatique, le neurone sensitif et le neurone moteur ont en
commun :
a- un corps cellulaire étoilé,
b- un corps cellulaire unipolaire,
c- une fibre nerveuse logée dans le nerf rachidien,
d- une conduction centrifuge.
70) Si on excite efficacement une fibre nerveuse après avoir bloqué les C.V.D. à Na+ :
a- on enregistre un PA normal,
b- on enregistre un PA avec une amplitude plus élevé,
c- on enregistre un PA avec une amplitude plus faible,
d- on n’enregistre pas dans ce cas un PA.
71) Les courants locaux :
a- naissent entre la zone réfractaire et la zone voisine au repos,
b- assurent la propagation du PA,
c- s’établissent entre le milieu intracellulaire et le milieu extracellulaire,
d- se caractérisent par l’attraction des charges positives par les charges négatives.
72) Le potentiel local :
a- peut être enregistré en tout point excité,
b- est obtenu sans stimulation efficace,
c- est capable de se propager avec une vitesse constante,
d- obéit à la loi de tout ou rien.
73) Les canaux chimiodépendants à Cl- :
a- s’ouvrent suite à une entrée du neurotransmetteur dans l’élément postsynaptique,
b- assurent un transport passif des ions Cl-,
c- sont responsables de la dépolarisation du neurone postsynaptique,
d- existent au niveau des synapses excitatrices.
74) Un réflexe myotatique:
a- correspond à une contraction de deux muscles antagonistes,
b- correspond à la contraction d'un muscle en réponse à son étirement,
c- fait intervenir un circuit nerveux polysynaptique,
d- a pour centre la moelle épinière.
75) Parmi les points communs entre le PPSE et le PPSI, on peut citer :
a- l'entrée des ions Na+ dans le neurone postsynaptique,
b- l'entrée des ions Cl- dans le neurone postsynaptique,
c- la libération d'un neurotransmetteur dans la fente synaptique,
d- peut faire l'objet d'une sommation temporelle.
76) La période réfractaire :
a- résulte de la propagation unidirectionnelle du message nerveux,
b- est à l'origine de la propagation unidirectionnelle du message nerveux,
c- s'explique par la fermeture momentanée des C.V.D. à Na +,
d- s'explique par l’ouverture momentanée des C.V.D. à K +.

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77) Dans une cellule nerveuse au repos :
a- les ions Na+ qui entrent et qui sortent ne sont pas à égalité,
b- la membrane plasmique présente à la fois un transport passif et un transport
actif,
c- les canaux de fuites sont toujours fermés,
d- les canaux Na+ et K+ voltage dépendants sont ouverts.
78) Dans une fibre myélinisée, Le message nerveux est plus rapide que dans
une fibre amyélinisée car :
a- la propagation du message nerveux se fait par les courants locaux,
b- la propagation du message nerveux est saltatoire,
c- le diamètre des fibres sans myéline est plus important que les fibres avec
myéline,
d- les canaux voltage-dépendants n’existent que dans les nœuds de Ranvier.
79) Quel sera le temps de parcours du message nerveux le long d’un circuit
neuronique de 20 cm comportant 2 synapses, sachant que la vitesse le long
de l’axone est de 40 m/s.
a- 4 ms,
b- 5 ms,
c- 6 ms,
d- 7 ms.
80) L’ordre décroissant de la vitesse du message nerveux dans les différentes
fibres représentées ci-contre en coupe transversale est :
a- A B C D,
b- B A C D,
c- D C B A,
d- D C A B.
81) Un récepteur sensoriel :
a- est toujours localisé à la périphérie de l’organisme,
b- stimulé, il est le siège de la naissance d’un potentiel de récepteur,
c- envoie au centre nerveux un message codé en amplitude,
d- ne présente pas de potentiel de repos.
82) Les canaux chimio-dépendants :
a-sont des protéines intégrées à la membrane cellulaire,
b- exigent un voltage seuil pour s’ouvrir,
c- assurent un transfert des ions sans dépense énergétique,
d-caractérisent les nœuds de Ranvier et les sites générateurs.
83) Dans un potentiel d’action, la repolarisation est le résultat :
a- d’une entrée de Na+ à l’intérieur de la fibre,
b- d’une sortie de K+ par les canaux voltage dépendants à K+,
c- d’un excès de K+ à l’extérieur de la membrane de la fibre,
d- d’une entrée de Clet d’une sortie de K+.

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84) On enregistre au niveau du site transducteur d’un récepteur sensoriel
stimulé de manière efficace :
a- une hyperpolarisation,
b- un potentiel d’action (PA),
c- un potentiel local de récepteur,
d- un potentiel postsynaptique excitateur (PPSE).

85) Placé dans un milieu anaérobie, un muscle reste capable de régénérer l’ATP à
partir de :
a - créatine,
b - la phosphocréatine,
c - glucose-phosphate,
d - l’adénosine monophosphate.
86) Au cours de la contraction musculaire, la régénération rapide de l’ATP est
assurée par :
a - la respiration cellulaire,
b - la fermentation lactique,
c - la voie de la phosphocréatine,
d - l’association de deux molécules d’AMP.
87) La chaleur initiale de relâchement :
a - est le résultat de l’hydrolyse de phosphocréatine,
b - est le résultat de l’hydrolyse d’ADP,
c - fait intervenir la créatine kinase,
d - fait intervenir l'ATPase.
88) Ce qui caractérise la chaleur initiale par rapport à la chaleur retardée c’est
qu’elle est :
a - aérobie,
b - anaérobie,
c - moins ample,
d - plus brève.
89) La chaleur initiale de la contraction musculaire
a- est le résultat de l’hydrolyse de l’ATP,
b- est le résultat de la regénération de l’ATP,
c- nécessite l’eau,
d- nécessite l’oxygéne
90) Le document suivant représente en désordre quatre étapes à l’origine de la
contraction musculaire.L’ordre chronologique normal de ces quatres étapes est :
a- A-B-D-C
b- A-D-B-C
c- C-B-D-A
d- B-D-A-C

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91) La régénération lente d’ATP dans le muscle squelettique en contraction est
assurée par la(les) réactions(s) suivante(s) :
a- ATP + H2O ADP + P ,
b- ADP + ADP AMP + ATP ,
c- glucose-P + ADP acide pyruvique + ATP ,
d- Phosphocréatine + ADP créatine + ATP.
92) Au cours de la contraction musculaire :
a- les myofilaments d’actine glissent entre les myofilaments de myosine,
b- les myofilaments de myosine glissent entre les myofilaments d’actine,
c- le sarcomère se raccourcit par raccourcissement des disques clairs,
d- le sarcomère se raccourcit par raccourcissement des disques sombres.
93) L’unité structurale du muscle squelettique est :
a- la fibre intrafusale,
b- la fibre musculaire,
c- la myofibrille,
d- le sarcomère.
94) Parmi les points communs entre une fibre nerveuse et une fibre musculaire, on
cite la présence d’une :
a- activité électrique,
b- striation,
c- gaine de myéline,
d- activité mécanique.
95) Au niveau d’un muscle squelettique au repos, les fuseaux neuromusculaires :
a- envoient un message nerveux afférent,
b- sont totalement inactifs,
c- conduisent le message nerveux centripète,
d- transmettent le message nerveux efférent.
96) Au niveau d'un récepteur sensoriel, le corpuscule de Pacini, un potentiel
d'action naît au niveau du premier nœud de Ranvier car :
a- c’est le site transducteur,
b- il s’agit du site générateur,
c- les canaux voltage dépendants calciques sont nombreux,
d- il est recouvert de la gaine de myéline.
97) Les tracés suivants sont enregistrés au niveau d’un neurone postsynaptique
suite à des stimulations successives ou simultanées portées sur la fibre
présynaptique.

Document 1

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 a- le tracé 1 est enregistré au niveau du cône axonique,
b- le tracé 1 montre une sommation spatiale de deux PPSE,
c- le tracé 2 montre une sommation temporelle,
d- le tracé 2 représente un potentiel d’action présynaptique.
98) Concernant les tracés 3 et 4, d’après le document 1 :
a- le tracé 3 est le résultat d’une seule stimulation présynaptique,
b- le tracé 3 montre une sommation spatiale de PPSE,
c- le tracé 4 est enregistré au niveau du cône axonique,
d- le tracé 4 fait l’objet d’une sommation spatiale.
99) En ce qui concerne les tracés 5 et 6, d’après le document 1 :
a- le tracé 5 est le résultat de deux stimulations successives,
b- le tracé 5 montre une sommation,
c- le tracé 6 est enregistré au niveau d’une synapse inhibitrice,
d- le tracé 6 montre une sommation spatiale.
100) Au niveau du muscle squelettique, la contraction musculaire est :
a- maintenue en absence d’ATP,
b- provoquée par un potentiel d'action musculaire,
c- suivie d'un potentiel d'action musculaire,
d- bloquée en absence d’oxygène.

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1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
c a b d b-c a-b d c d b
11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
b b-c c-d d c c b-d c d c-d
21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
a-c a-c d c-d b c c d d b
31 32 33 34 35 36 37 38 39 40
b-d d b b a a-b b-c c b a-b
41 42 43 44 45 46 47 48 49 50
a-c d a c a-d b-d d a-c a-c b-d
51 52 53 54 55 56 57 58 59 60
b-c b a-c b-d b b a-d a-c b-d b-c
61 62 63 64 65 66 67 68 69 70
d a c d a-d a-b b-d b c d
71 72 73 74 75 76 77 78 79 80
b-d a-b b b-d c-d b-c a-b b c b
81 82 83 84 85 86 87 88 89 90
b a-c b c b-c c a-c b-d a-c a-c
91 92 93 94 95 96 97 98 99 100
c a-c d a a b c c-d a-c b

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