Les Personnalites Pathologiques

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LES PERSONNALITES

PATHOLOGIQUES
Objectifs pédagogiques
 Objectif pédagogique général
• Savoir repérer la personnalité d’un sujet c’est-à-dire ce
qui caractérise sa façon d’être au monde selon ses
pensées, ses sentiments et ses comportements.
• Reconnaître les anomalies dès lors qu’elles génèrent
une altération du fonctionnement social ou une
souffrance de l’individu ou de son entourage (trouble
de personnalité ou personnalité pathologique).
Objectifs pédagogiques
 Objectifs pédagogiques spécifiques
• Connaître les grands traits de caractères des
principales personnalités pathologiques

• Identifier les principales modalités évolutives des


personnalités pathologiques
Introduction

 La personnalité:
• Résultat, chez un sujet donné, de l’intégration
dynamique de composantes:
• Cognitives (mémoire, langage, raisonnement, apprentissage,
perception, attention, vigilance)
• pulsionnelles (force physique et psychique poussant le sujet
à accomplir une action pour résoudre une tension)
• Émotionnelles (peur, joie, colère , dégoût, tristesse,
surprise)
Introduction
• L’agencement de ces différents facteurs constitue les traits
de personnalité, à savoir les modalités relationnelles de la
personne, sa façon de percevoir le monde et de se penser
dans son environnement.
• Stable (permanence de l'individu)
et unique (reconnaissable, distinct de tous les autres)
Introduction


La personnalité pathologique:
• La personnalité ne devient pathologique que lorsqu’elle se rigidifie,
entraînant des réponses inadaptées, source d’une souffrance ressentie
par le sujet ou d’une altération significative du fonctionnement social.
• Classification Internationale des Maladies (CIM-10) :
« Modalités de comportement profondément enracinées et durables
consistant en des réactions inflexibles à des situations personnelles et
sociales de nature très variée. Déviations extrêmes ou significatives des
perceptions, des pensées, des sensations et particulièrement des
relations avec autrui par rapport à celles d’un individu moyen d’une
culture donnée ».
LES DIFFERENTES PERSONNALITES
PATHOLOGIQUES
 Pas de consensus définitif sur le regroupement par
catégories des différentes personnalités pathologiques.
 Classiquement:
 Personnalités psychotiques
Personnalités névrotiques,
personnalités psychopathiques
Personnalités borderline
II. LES DIFFERENTES PERSONNALITES
PATHOLOGIQUES
 classification américaine des troubles mentaux (le DSM-IV):
 Le groupe A:personnalités paranoïaque, schizoïde et
schizotypique;
Le groupe B: personnalités antisociale (psychopathique),
borderline, histrionique et narcissique;
 Le groupe C: personnalités évitante, dépendante et
obsessionnelle compulsive
II.1. Personnalité paranoïaque: « LE PERSÉTÉ-
PERSÉCUTEUR »

A. Epidémiologie :
• 0,5 à 2,5 % de la population générale.
• 10 à 30 % de la population hospitalisée en psychiatrie.
• 2 à 10 % des consultants en psychiatrie.
II.1. Personnalité paranoïaque: « LE PERSÉTÉ-
PERSÉCUTEUR »

B. Description clinique :
Trois traits essentiels:
 Surestimation de soi;
Psychorigidité;
Méfiance.
II.1. Personnalité paranoïaque: « LE PERSÉTÉ-
PERSÉCUTEUR »
1. Surestimation de soi:
 hypertrophie du « moi »: mépris et égoïsme (le paranoïaque se considère
différent et plus important que les autres. C’est une vision égocentrique du
monde)
 Orgueil
 Intolérance
2. Psychorigidité:
 Fausseté du jugement : raisonnement conduit logiquement, mais sur de
présupposés subjectifs et faux;
 Absence d’autocritique
II.1. Personnalité paranoïaque: « LE PERSÉTÉ-
PERSÉCUTEUR »
 Scrupulosité (individu légaliste à outrance, procédurier…)
3. Méfiance:
 S’attend sans raison, à ce qu’on lui nuise (idées de persécution)
 Préoccupation par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité du
conjoint ou d’amis
 Susceptibilité et rancune
II.1. Personnalité paranoïaque: « LE PERSÉTÉ-
PERSÉCUTEUR »

C. Evolution :
• Ces caractéristiques en font un individu ténébreux, difficile à supporter.
• Isolement social assez fréquent.
• Risque d’épisodes psychotiques brefs ou installation d’un véritable délire
paranoïaque.
II.2. Personnalité schizoïde: « L’ISOLÉ »

A Epidémiologie :
• Prédominance masculine
• Touche 3% de la population
II.2. Personnalité schizoïde: « L’ISOLÉ »

B. Description clinique :
• Incapacité à éprouver du plaisir,
• Froideur, détachement ou émoussement de l’affectivité,
• Incapacité à exprimer aussi bien des sentiments chaleureux et
tendres envers les autres que de la colère,
• Indifférence aux éloges comme à la critique,
• Intérêt réduit pour les relations sexuelles,
II.2. Personnalité schizoïde: « L’ISOLÉ »

• Préférence marquée pour les activités solitaires,


• Préoccupation excessive par l’imaginaire et l’introspection,
• Désintérêt pour les relations amicales et absence d’amis proches,
• Indifférence nette aux normes et conventions sociales.
C. Evolution :
• Relativement stable.
• Évolution pouvant se faire vers une schizophrénie.
II.3. Personnalité schizotypique: « L’excentrique »

A. Epidémiologie :
• 3 % de la population générale.

B. Description clinique :
• croyance bizarre ou pensée magique,
• idées de référence,
• perceptions corporelles inhabituelles,
II.3. Personnalité schizotypique: « L’excentrique »

• Méfiance, idéation persécutoire,


• Pensées et langage bizarres sans lien avec le groupe culturel
de référence,
• Vie affective pauvre,
• Comportement excentrique.
II.3. Personnalité schizotypique: « L’excentrique »

C. Evolution :
La personnalité schizotypique représente, pour beaucoup d’auteurs, un
mode d’entrée dans la schizophrénie ou une forme mineure de cette
pathologie.
II.4. Personnalité antisociale, ou
psychopathique, ou sociopathique
A. Epidémiologie :
• 3 % des hommes, 1 % des femmes.
• 2 à 3 % de la population générale.
• Taux plus élevés en prison.
• Forte corrélation avec les troubles des conduites à l’adolescence
II.4. Personnalité antisociale, ou
psychopathique, ou sociopathique
II.4. Personnalité antisociale, ou
psychopathique, ou sociopathique
B. Description clinique :
 Tendance à la séduction avec manipulation, tendance à la
mythomanie;
Impulsivité majeure avec agressivité: agression au moindre
obstacle ou frustration, d’où la fréquence de manifestations
caractérielles (colère, opposition, agitation clastique, etc.) et
de passages à l’acte hétéro- et/ou auto-agressifs, bagarres et
agressions répétés et non justifiés;
II.4. Personnalité antisociale, ou
psychopathique, ou sociopathique
 Dans l'enfance:
• Manifestations caractérielles précoces, des colères, une
opposition précoce à l'autorité parentale, de l'agressivité
envers les camarades, une irrégularité dans le travail scolaire;
• Scolarité médiocre malgré un niveau intellectuel normal, les
maîtres disent à leur sujet : manque de concentration et
d'attention;
• Petits vols, l'école buissonnière, des mensonges et des
fugues.
II.4. Personnalité antisociale, ou
psychopathique, ou sociopathique
 A l'adolescence:
• conflits répétés avec l'autorité (parents, professeurs,
représentant de la loi),
• inadaptation à la vie en groupe,
• Echec de la formation professionnelle,
• Fréquentation des milieux marginaux qui est l'occasion
d'entrer dans la délinquance avec vols, agressions,
toxicomanies, activités illégales diverses, sexualité précoce et
souvent agressive.
II.4. Personnalité antisociale, ou
psychopathique, ou sociopathique
 A l'âge adulte
• Instabilité professionnelle caractérisée par un changement
fréquent d'employeur, de métiers,
• Chômage, escroquerie et délinquance souvent mineure mais
récidivante
• Vie affective et familiale chaotique avec une suite
d'aventures amoureuses, des séparations et des divorces :
aucun lien affectif durable n'est possible
II.4. Personnalité antisociale, ou
psychopathique, ou sociopathique
• Ne se conforme pas à une norme sociale
• Comportements agressifs, instables et impulsifs diminuent
souvent
• Indifférence froide envers les sentiments d’autrui,
II.4. Personnalité antisociale, ou
psychopathique, ou sociopathique
C. Evolution :
• Ruptures répétées avec des conséquences sur le plan
de l’adaptation sociale : actes médico-légaux, incarcérations.
Ces troubles s’amendent classiquement dans la seconde
moitié de la vie.
• Complications psychiatriques: abus de substances.
• Le risque de décès est élevé (accident, suicide).
• Après 40 ans, peuvent apparaître des manifestations
anxieuses et/ou dépressives.
II.5. LA PERSONNALITE
OBSESSIONNELLE-compulsive
Elle comprend deux groupes distincts : personnalité
psychasthénique (Janet) et caractère anal (Freud). Ces deux
aspects s’observent rarement à titre isolé. La majorité des sujets
possèdent, à des degrés divers, des éléments des deux groupes

A. Epidémiologie :
• 1 % de la population générale.
• 3 à 10 % des consultants en psychiatrie.
II.5. LA PERSONNALITE
OBSESSIONNELLE-compulsive
B. Description clinique :
 Traits psychasthéniques (Janet):
• Tendances aux scrupules et aux vérifications : toute action
entraine des doutes pénibles, tout acte doit être vérifié. Le
sujet soupèse indéfiniment le pour et le contre de chaque
chose avec doute permanent, interrogations sans fin
• Indécision ou absence de décision rapide avec procrastination
(tendance à tout remettre au lendemain, peur des
responsabilités et misonéisme (crainte de toute nouveauté).
II.5. LA PERSONNALITE
OBSESSIONNELLE-compulsive
• Inhibition affective, sociale et sexuelle
• Méticulosité, lenteur, manque de spontanéité en raison de
ruminations et hésitations permanentes
• Contention des émotions : exprime ses émotions de manière
contrôlée
II.5. LA PERSONNALITE
OBSESSIONNELLE-compulsive
 Caractère anal (Freud):
• Souci exagéré de l’ordre avec méticulosité, soin, horreur de
la saleté et de tout ce qui n’est pas parfait. Le sujet cherche
une perfection inaccessible (perfectionnisme). La
préoccupation exagérée pour les détails fait perdre de vue
l’objectif principal de l’activité.
• Parcimonie et avarice, refus de partager, incapacité à jeter
des objets usés et sans valeur, accumulation et goût
prononcé pour les collections (collectionnisme)
II.5. LA PERSONNALITE
OBSESSIONNELLE-compulsive
• Obstination, entêtement pouvant donner lieu à une
opposition violente.
• Ambivalence se traduisant par des doutes permanents ;
• Tendance à l’intellectualisation : il préfère son travail ou une
activité intellectuelle intense à des loisirs ou à des relations
interpersonnelles.
II.5. LA PERSONNALITE
OBSESSIONNELLE-compulsive
C. Evolution :
• Personnalité stable avec pauvreté des investissements
sociaux.
• Complications dépressives, hypochondriaques, anxieuses,
symptômes obsessionnels avec intrusion de pensées et
d’impulsions importunes s’imposant au sujet.
II.6. LA PERSONNALITE HYSTERIQUE
(ou histrionique)
A. Epidémiologie :
• 2 à 3 % de la population générale.
• 10 à 15 % des consultants en psychiatrie.
II.6. LA PERSONNALITE HYSTERIQUE
(ou histrionique)
B. Description clinique :
 Egocentrisme : tendance à tout rapporter à soi, indulgence
pour soi-même sans considération pour les autres.
 Théâtralisme ou histrionisme : dramatisation des
situations, tendance à la mise en scène et aux
démonstrations excessives, expression exagérée des
sentiments (hyper expressivité); d’où nécessité d’attirer
constamment l’attention
II.6. LA PERSONNALITE HYSTERIQUE
(ou histrionique)
 suggestibilité : réceptivité aux influences extérieures sans
critique de leur valeur ou de leurs conséquences. Le sujet est
facilement influencé par autrui ou par les circonstances.
II.6. LA PERSONNALITE HYSTERIQUE
(ou histrionique)
 Conduites de séduction :
La relation du sujet avec son entourage est marquée par le souci de
plaire physiquement et le désir de séduire:
 Soit sur un mode érotique:
• Exagération des traits féminins (hyperféminité outrancière);
• Séduction sexuelle inappropriée et non adaptée au contexte social
• Erotisation des rapports sociaux.
Soit sur un mode non érotisé (mode infantile), avec comportement
manipulateur.
II.6. LA PERSONNALITE HYSTERIQUE
(ou histrionique)
 Troubles de la sexualité :
• Séduction érotisée permanente sans aboutissement à un
engagement durable ;
• Inhibition sexuelle avec crainte ou dégoût de la sexualité;
• Evitement de toute relation sexuelle;
• Possible frigidité, avec absence de désir sexuel.
II.6. LA PERSONNALITE HYSTERIQUE
(ou histrionique)
 Labilité émotionnelle :
• la réactivité émotionnelle est excessive et parfois
incontrôlable mais se calme rapidement;
• Tantôt joie, enthousiasme ou douceur, tantôt anxiété,
tristesse, agressivité ou colère;
• passage sans raison apparente d’un comportement adapté,
voire agréable et séducteur, à une crise de colère avec
agressivité, chantage au suicide, bouderie.
II.6. LA PERSONNALITE HYSTERIQUE
(ou histrionique)
 Intolérance aux frustrations :
• sensibilité à la frustration, qui est mal acceptée et fait l’objet
d’un chantage affectif
• Menace ou passage à l’acte suicidaire fréquemment
rencontrés.
II.6. LA PERSONNALITE HYSTERIQUE
(ou histrionique)
C. Evolution :
Variable :
• soit atténuation des traits avec l’âge au bénéfice d’activités
gratifiantes (œuvres caritatives, bénévolat…),
• soit évolution marquée par le risque d’addiction, de
dépression…
II.7. LA PERSONNALITE EVITANTE OU
ANXIOPHOBIQUE OU DEPENDANTE: « LA TIMIDE »

A. Epidémiologie :
 1% de la population
 Sex-ratio = 1
II.7. LA PERSONNALITE EVITANTE OU
ANXIOPHOBIQUE OU DEPENDANTE: « LA TIMIDE »

B. Description clinique :
 Attente anxieuse permanente s’accompagnant d’un état constant
de tension et entrainant une asthénie importante avec parfois
symptômes phobiques, surtout phobies sociales (peur de parler en
public et/ou d’être jugé si l’on s’exprime)
II.7. LA PERSONNALITE EVITANTE OU
ANXIOPHOBIQUE OU DEPENDANTE: « LA
TIMIDE »
 Vision pessimiste du monde : personnes tristes, se complaisant
volontiers dans un imaginaire morbide, attendant sans cesse des
malheurs redoutés, à l’origine un sentiment d’incapacité, d’infériorité
et d’insécurité qui explique la tendance dépressive fréquente
II.7. LA PERSONNALITE EVITANTE OU
ANXIOPHOBIQUE OU DEPENDANTE: « LE TIMIDE »
 Inhibition, isolement, timidité, blocages, refus des responsabilités,
paresse (recherche continuelle à s’effacer, à éviter les situations
angoissantes); ce qui réduit considérablement ses activités
(adynamisme).
 Parfois hyperactivité avec comportement de défi et suroccupation
(le sujet affronte ce qu’il a envie de fuir; les situations redoutées).
 Faible estime de soi (perception de soi comme socialement
incompétent, sans attrait, inférieur).
II.7. LA PERSONNALITE EVITANTE OU
ANXIOPHOBIQUE OU DEPENDANTE: « LE
TIMIDE »
C. Retentissement:
 Difficultés dans les relations affectives;
 difficultés professionnelles du fait de l’inhibition et de la mauvaise adaptabilité.
II.8. PERSONNALITÉ BORDERLINE= ÉTAT
LIMITE
A. Epidémiologie :
 2% de la population
 Prédominance féminine
II.8. PERSONNALITÉ BORDERLINE= ÉTAT
LIMITE
B. Description clinique:
 Instabilité de l’humeur, de l’image de soi (besoin de s’appuyer sur ce que les
autres lui renvoient comme image de lui-même;
 Alternance idéalisation/dévalorisation des personnes;
 Impulsivité: comportement à risque, colère, agitation, passages à l’acte hétéro-
agressifs;
Peur de l’abandon et efforts effrénés pour l’éviter;
 comportements auto-agressifs fréquents : automutilation, tentative de suicide;
C. Évolution:
 Épisode dépressif majeur
II.9. PERSONNALITÉ NARCISSIQUE

A. Epidémiologie :
 Faible prévalence en population
B. Description clinique:
 Surestimation de soi: sentiment d’être supérieur, d’être capable de réalisations
grandioses,
 Égocentrisme : besoin d’être admiré, pense que tout lui est dû;
 Pense que les autres l’envient;
 Défaut d’empathie : ne reconnait pas les sentiments d’autrui comme légitimes s’il
ne les partage pas.
II.9. PERSONNALITÉ NARCISSIQUE

C. Retentissement:
 Généralement réussite sociale importante
II.10. PERSONNALITÉ DÉPENDANTE : « LE
SUIVEUR »
A. Epidémiologie :
 3 à 5 de la population,
 Prédominance.
II.10. PERSONNALITÉ DÉPENDANTE : « LE
SUIVEUR »
B. Description clinique:
 Difficultés à prendre des décisions seul : recherche l’approbation d’autrui, évite
les prises de responsabilités;
Peur de perdre le soutien d’autrui : peur de l’abandon, d’être laissé à se
débrouillé seul, difficultés à exprimer son désaccord;
 Sentiment d’incapacité.
C. Retentissement :
 Difficultés professionnelles dues à l’absence d’initiative et au besoin constant de
soutien,
 Difficultés sociales : isolement, victimes de partenaires maltraitants.
CONCLUSION
 Les personnalités pathologiques sont fréquentes en clinique
psychiatrique. Il s'agit cependant d'un cadre nosographique
difficile :
• A définir sur le plan sémiologique : les critères diagnostiques
sont mal ou insuffisamment validés ;
• A comprendre sur le plan psychopathologique ;
• Enfin à traiter.
CONCLUSION
 L’association entre troubles de la personnalité et troubles mentaux
(comorbidité) semble fréquente;
• Ecole psychanalytique: existence d'une continuité entre la
personnalité et certains troubles mentaux (névroses, notamment) : à
la personnalité obsessionnelle correspond la névrose obsessionnelle,
à la personnalité hystérique, la névrose hystérique, etc.
• clinique contemporaine: pas de relation systématique entre
pathologies mentales et troubles de la personnalité.

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