Philippe Maffre, Marie-Hélène Maffre et Dominique Duplantier, Bordeaux, les rues du centre historique, Bordeaux, Éditions Cairn, , 192 p. (ISBN978-2-35068-154-2)
Sortir du colonialisme, Guide du Bordeaux colonial et de la métropole bordelaise, Syllepse, , 252 p. (ISBN9782849508497)
↑Henri Barckhausen : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. I, Bordeaux, Féret et fils, (lire en ligne)
↑À Caudéran, place entourant un important carrefour permettant de rejoindre le centre-ville de Caudéran au nord, Mérignac à l'ouest et le centre de Bordeaux à l'est (via la rue Pasteur).
↑A Caudéran, avenue qui prolonge la rue de l'Avenir et aboutit à la rue Monneron. De simples échoppes y côtoient quelques villas de style balnéaire en meulière avec leurs toits pentus (nos 42 et 78), puis laissent place à des résidences modernes.
↑Caudéran, cette courte rue n'a d'avenue que le nom et permet de rejoindre la ceinture périphérique de Bordeaux depuis la rue Pasteur via la rue d'Ormilly. Ses maisons à un étage prolongent le style néoclassique élégant du boulevard du Président-Wilson.
↑Gabriel Baudry-Lacantinerie : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. II, Bordeaux, Féret et fils, , 144 p. (lire en ligne)
↑De Bordes de Fortage : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. IV, Bordeaux, Féret et fils, (lire en ligne)
↑Joseph-Alfred Hautreux : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. IV, Bordeaux, Féret et fils, (lire en ligne)
↑Caudéran, rue probablement dénommée d'après un propriétaire qui offre une alternance d'échoppes et de maisons à un étage. Elle relie la rue Pasteur à la rue Jules-Mabit.
↑Elle fut successivement appelée rue de La Landa, puis rue des Carmes et lors de la Révolution, rue de la Section du 10-Août.
↑A Caudéran, courte rue reliant la rue de l'Hermitage à l'avenue Alsace-Lorraine. La maison du no 16 est caractéristique du milieu du XIXe avec son balcon en fer forgé soutenu par des consoles de style néo-Louis XVI et sa corniche en architravée.
↑Nommée d'après l'une des nombreuses propriétés périurbaines de Caudéran au XIXe siècle. Bordée d'échoppes, la rue permet de rejoindre la rue Pasteur depuis la rue de l'École-Normale.
↑Caudéran, rue bordée d'échoppes reliant l'avenue d'Arès à la Cité administrative. Ancien chemin de Strekeysen ou d'Estraquey.
↑Caudéran, cette courte rue bordée par la façade latérale d'un îlot résidentiel moderne peut être empruntée pour rejoindre la rue de l'École-Normale depuis l'avenue Charles-de-Gaulle. fAncien chemin du Marché.
↑L'une des nombreuses petites rues passantes du quartier Saint-Pierre. Il y a plusieurs siècles, cette « rue » bordait le port romain de la ville. Surplombant les flots, on y trouvait une statue d'un Hercule en bronze de taille humaine que l'on dit disant gardien de l'entrée du port, « cacellarius » en latin, qui a fini par donner, après de multiples déformations, le nom actuel de la ruelle. La statue fut retrouvée en 1832, dans un égout de l'impasse Saint-Michel, et se trouve désormais au Musée d'Aquitaine. Rue du Cancera sur MonNuage.fr.
↑A Caudéran, cette rue doit son nom au pensionnat du Sacré-Cœur qui occupait vingt-cinq hectares, et comprenait des vignes et une grande chapelle sur l'espace actuellement délimité par les rues de l'École-Normale, Monneron, Pasteur et Famatina. Cette rue résidentielle est empruntée pour rejoindre la seconde partie de la rue de l'École-Normale depuis l'avenue Charles-de-Gaulle et se prolonge dans la rue Robert-d'Ennery. S'y côtoient avec éclectisme des résidences modernes (nos 1-3), des demeures bourgeoises d'un élégant style néoclassique (nos 5-9) et un véritable castel néo-roman (no 20.
↑Daniel Guestier : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. I, Bordeaux, Féret et fils, (lire en ligne)
↑A Caudéran, rue transversale reliant la rue de l'École-Normale et la rue Pasteur. Cette rue résidentielle comporte quelques échoppes et des résidences de construction moderne.
↑Hippolyte Minier : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. I, Bordeaux, Féret et fils, (lire en ligne)
↑Caudéran, rue transversale permettant de relier les rues Pasteur et de l'École-Normale. On y trouve de nombreuses échoppes d'un style soigné.
↑A Caudéran, rue nommée d'après le célèbre écrivain et artiste, qui découvrit le Piquey et à la côte sauvage du bassin d'Arcachon en août 1917, à l'invitation d'André Lhote. Il y passa ses vacances d'été jusqu'en 1923, à l'hôtel Chanteclerc, en compagnie de son ami Raymond Radiguet qui y écrivit Le Bal du comte d'Orgel et y attira d'autres familiers tel que Jean et Valentine Hugo et Georges Auric. Cette rue résidentielle relie la rue de l'École-Normale à l'avenue Alsace-Lorraine et on peut y voir, au no 43, une belle villa balnéaire de style pittoresque, en meulière, brique rose et verte, avec ses ornements de bois découpé.
↑rue dénommée d'après Jules Mabit (1808-1881), médecin qui servit d'abord dans la marine. Établi à Bordeaux en 1841, il devint professeur de clinique médicale à l'école de médecine puis à la faculté de médecine. En 1850, un pamphlétaire en brosse le portrait suivant : « M. Mabit est un jeune homme pensant et musqué qui fait de la médecine poétique... Il a découvert une chose, c'est que la plupart des affections d'une femme viennent du cœur... M. Mabit est auteur d'un livre sur les vapeurs et la sentimentalité... Vous verrez que M. Mabit finira par prouver qu'il n'y a qu'une seule maladie au monde, l'amour et qu'un seul remède... un docteur poétique. ». Cité par Robert Coustet, Le nouveau viographe de Bordeaux, Mollat, 2009. Cette rue adjacente aux boulevards de Bordeaux est bordée de maisons caractéristiques du XIXe siècle avec leurs balcons en fer forgé soutenus par des consoles de style néo-Louis XVI.
↑Léo Saignat : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. IV, Bordeaux, Féret et fils, (lire en ligne)
↑Léonce Motelay : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. IV, Bordeaux, Féret et fils, (lire en ligne)
↑lle porta successivement les noms de Rua Paymentada-de-rua-Boau, Mingin, Permentade avant de recevoir en 1864 le nom du scientifique et professeur de médecine François Magendie
↑Paul Mestrezat : Nos notabilités du XIXe siècle : Médaillons bordelais. (ill. Louis Blayot), t. IV, Bordeaux, Féret et fils, (lire en ligne)
↑Cette rue est formée par le raccordement d'impasses et de tronçons successifs réalisé entre 1820 et 1886. Ce nom ne porte pas le nom du Maréchal de Turenne, mais celui d'un sieur Turenne qui avait ouvert l'une des impasses originelles (Coustet, 2011).
↑A Caudéran, chemin non goudronné probablement nommé en référence au Parc Bordelais, qui offre aux piétons un raccourci entre les rues du Grand-Lebrun et du Bocage.