J'ai un cratère dans le cœur pour la St Valentin. A défaut d'un homme, un astéroïde m'est passé dessus.
Vu sur Arte TV.
J'ai un cratère dans le cœur pour la St Valentin. A défaut d'un homme, un astéroïde m'est passé dessus.
Vu sur Arte TV.
Pardon mais on peut parler de ce couloir sans fin ? Du rêve de ce prêtre ? De cette interview inversée ? De tout ces Dali moustachu ? Et de ce final sans fin ? C'est vraiment du bonheur cette escapade surréaliste. Léger, drôle, piquant.
Et c'est pas non plus sans fond : on apprécie le sarcasme autour des bourgeois collectionneurs d'art, des opportunistes et profiteurs, et bien sûr des hypocrisies intéressées.
Vu en avant-première au Comœdia en présence du réal, mais Édouard nous a posé un lapin. Quel dommage !
C'était évident : tout point de vue engendre une perception biaisée de la réalité. La forme même du film en fait la démonstration.
Ainsi chaque personnage devient monstre en fonction des lunettes portée. Comment se défaire de l'illusion ? en devenant un spectateur conscient d'en être un.
Oh et puis la caresse sur les cheveux, l'échange de chaussures, le wagon interstellaire, le bain maladif, le bout du tunnel...
Vu à la Grenette à Bourg avec Anthony. Le mec de l'accueil m'a confisqué mes biscuits destinés à être offerts en cadeau, je l'ai sommé de ne pas les manger.