It is the last day of the year and night falls on the small town of Toyama, Japan. A man who has come to the public baths to retrieve a forgotten object finds an old but valid ticket and lets himself be tempted. Among clouds of vapor and the gestures and conversations around him, a simple bath slowly becomes an invitation to existential reflection.
France
Festival de Cannes
Indonesia
Jakarta Film Week
FranceTP
France
Indonesia
J’ai aimé que le deuil se dévoile petit à petit. Que lors du dénouement final, qui est enfaite la fermeture, on comprenne tout. Qu’on comprenne que le seau appartient à l’être perdu, pourquoi il était si attentif à ses discours sur la perte d’un proche et pourquoi les gestes d’un père à son fils, ou de lui-même à la mamie deviennent éloquents.
J’ai aimé le calme et la contemplation que permet les plans fixes.
Oyu était beau, éthéré, apaisant et je pense une très belle façon de représenter le deuil.
L’histoire est tirée d’une réelle discussion qu’il a eu avec un ami dans un bain.
Le chef-opérateur () a expliqué que pour l’effet brumeux, ça a été un gros challenge.…
Scoops up the eternal feel of attaining the value of life through basic human connections.
Heart feels like a blanketed soul On a cozy day.
mmm les kikis des japonais
sieste hein
I loved the eavesdropping storytelling this could have gone on for hours and I would've been happy
Who would’ve guessed a public bath could double as a karaoke lounge and a whirlwind of emotions?
*sigh in loneliness*
J’ai vu ce film dans un théâtre de Cégep saguenéen.
Avec les copines, on est arrivées dernière minute.
C’est l’effervescence de festival, on veut faire toutes les séances et on arrive en retard à tout.
On a tout de même réussi à se faufiler, mais il ne restait de la place qu’à l’avant. On était assises au tout tout premier rang. On était assises tellement près de l’écran qu’on avait pas le choix de lever le menton et de s’étendre de tout notre long. Mais c’est bien, on avait de la place pour étirer nos jambes. Et moi j’suis pas très grande, en fait je suis plutôt très petite, alors j’étais pas gênée de m’asseoir devant tout le monde.
J’ai regardé ce film la tête couchée sur le dossier.
Le manteau en guise de couverture, j’ai pensé à ma petite maman.
Et j'ai pleuré. Un peu.
How dreary life can be, even at the threshold of a new year. The shadows follow me and the night won't set me free. Quiet and contemplative, the interior of the onsen provide literal & figurative warmth to the coldness that is letting grief take its time.
Cannes 2023 • Directors' Fortnight / Quinzaine des Cineastes
It hits my heart in different way and of course beautifully.
oalaaahhhhhhh
C’est fou comme dans la banalité du quotidien on peux y retrouver autant de beauté, les geste , les paroles , le cadre , tout est d’une simplicité tellement humaine et si tragique …
Bref j’aime
