Je saurais même pas dire qui a le plus pleuré entre mon père et moi.
Début troublé par l’incompréhension. Trop réel pour être une fiction mais trop joué pour être un documentaire. Après m’être renseigné, c’est justement un bon mélange des deux. L’histoire est touchante, la véritable comme la fiction racontée dans le film. En tout cas c’est fascinant de s’intéresser à ce projet.
This review may contain spoilers. I can handle the truth.
Comme prévu c’est trop trop chouette. Plus léger que Parasite, enfin ça dépend du point de vue. Les acteurs sont impressionnants de justesse, les dents de Mark Ruffalo me terrifient, et j’ai rarement été aussi impliqué pour la cause de créatures en CGI.
Ça parle cause animale (d’ailleurs faut que je voie Okja), bêtise américaine, identité forcément, le tout avec humour et questions contemporaines hyper intéressantes, c’est surtout ça qui m’a marqué.
SPOILER : surpris que la fin soit aussi positive, j’avais trop peur que tout le système dégringole comme dans Parasite (ne connaissant pas d’autres films de Bong Joon-Ho).
Sûrement loin d’être une note objective, on aurait difficilement pu avoir un aussi bon film sur Charles Aznavour. Acteurs parfaits, les personnages de Pierre Roch et Edith Piaf >> Mais alors Tahar Rahim quelle claque encore : c’est comme une illusion d’optique, si tu penses à l’acteur tu le vois mais si tu penses à Aznavour tout d’un coup c’est lui que tu vois aussi. Jamais été autant troublé par une interprétation, et il y aurait encore beaucoup de choses à…
Mimi et touchant. Les quatre acteurs sont trop beaux à regarder, ils vont parfaitement bien ensemble. Enya Baroux dit s’être inspirée de Toledano et Nakache et j’avoue que ç’aurait vraiment pu être un de leurs films. Le mélange humour/tristesse est bien dosé, et ça donne un super moment, pas forcément joyeux mais qui marque.
