The first one is my favorite Marvel film, and the second is in my top 5. But for this one, I must admit I'm puzzled to see grown-ups swoon over a film full of childish sentimentality, and a plot that evokes less the great melodramas than it does "Beethoven" - yes, the 1992 movie with the St. Bernard dog.
For those who may have forgotten, here's its synopsis:
"Barely escaping from nefarious dognappers, an adorable puppy named Beethoven adopts the…
Le cinéma a cessé d'être à l'heure de la littérature en 1945.
Auparavant, Fitzgerald, Steinbeck ou Faulkner écrivaient des scénarios entre deux romans, John Ford adapta même "Les raisins de la colère" un an simplement après la sortie du roman, ce qui donna d'ailleurs au film son caractère brûlant, à vif.
Puis le cinéma a pris du poids et est devenu incapable de suivre la littérature, mais pas que, tous les autres arts aussi en mesure de se mouvoir plus…
Le film jouissait d'une petite réputation dans les cercles cinéphiles français (sur les forums, notamment) il y a une petite dizaine d'années.
On chérissait son DVD comme une relique. C'était "Munich" avant l'heure. On n'avait jamais vu une telle ambition dans un film français. Les acteurs jouaient à contre-emploi (Attal en bonhomme froid et impassible, Kiberlain en call-girl séduisante, Lecoq en... agent du Mossad). La mise en scène était carrée.
Depuis, Le bureau des légendes, du même Rochant, est passé…
Probably the only movie about the French resistance that I don't care about, first because René Clément doesn't know what to shot (and don't tell me about this underwhelming shot with the spider that everyone is talking about), second because it reminds me that the SNCF and its employees were already as smug as today in 1946.
