Favorite films
Don’t forget to select your favorite films!
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La preuve qu’il est possible de ressentir autre chose que de la peur devant un film d’horreur
Une lecture double et tragique sur une situation effroyable qui en elle-même est bien plus terrifiante que n’importe quel film
J’y suis allé en pensant voir un film qui fait peur, j’en suis ressorti complètement en miettes émotionnellement
À toi qui me lis, merci du conseil 🩷
L’art est-il fait pour plaire ?
La réponse du réalisateur est évidente ici, et c’est non
L’expérience, toute désagréable qu’elle a été, me semble être la seule manière de retranscrire l’horreur dépeinte à l’écran : l’ennui profond ressenti par un chef de camp de concentration et sa famille, alors même que des millions de gens sont exterminés à échelle industrielle à quelques mètres de là
Ça n’en a pas pour autant été un bon moment en salle, d’où la note au milieu et plus figurative qu’autre chose : c’était désagréable, ce qui était sûrement ce que je devais ressentir. Mais désagréable quand même
Un peu à la bourre, et je pense que tout a déjà été dit sur le film mais faut bien flatter son ego
Un portrait très pessimiste de la lutte des classes, puisqu’elle ne se résume plus qu’à monter des plans sans queue ni tête pour que les pauvres puissent prendre un peu d’argent aux riches (le fameux ruissellement n’est-ce pas). D’autant plus sans queue ni tête, et c’est toute l’ironie du film, que le parasitisme en question n’en a que le nom, puisque chacun des travailleurs est parfaitement apte et qualifié à son travail
Eat the rich
Un film pour le moins ambitieux, qui essaye de brasser beaucoup de thématiques : immigration/intégration, antisemitisme, architecture (étonnamment, dans cet ordre d’importance)…
L’expérience cinéma a été pour le moins unique, avec une impression d’assister à un chantier pharaonique, tant à l’écran qu’au niveau du film en lui-même. La durée peut sembler énorme (et elle l’est) et même rallongée artificiellement par l’entracte, mais après maturation du visionnage j’ai quand même l’impression que le parallélisme entre le monument et le film (quoi…