Favorite films
Don’t forget to select your favorite films!
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Peut-être la plus réaliste, et donc la plus effrayante des dystopies.
Presque filmé comme un reportage de guerre au cœur d’une Angleterre totalitaire (oui monsieur Cuarón, on a bien vu Battersea station), le film parvient malgré tout à être un message d’espoir dans un monde qui en manque cruellement.
Le thème de la foi est omniprésent et on est invités à « croire », quoi que cela veuille dire : en Dieu, en Bouddha, en la paix, peu importe, le…
La preuve qu’il est possible de ressentir autre chose que de la peur devant un film d’horreur
Une lecture double et tragique sur une situation effroyable qui en elle-même est bien plus terrifiante que n’importe quel film
J’y suis allé en pensant voir un film qui fait peur, j’en suis ressorti complètement en miettes émotionnellement
À toi qui me lis, merci du conseil 🩷
L’art est-il fait pour plaire ?
La réponse du réalisateur est évidente ici, et c’est non
L’expérience, toute désagréable qu’elle a été, me semble être la seule manière de retranscrire l’horreur dépeinte à l’écran : l’ennui profond ressenti par un chef de camp de concentration et sa famille, alors même que des millions de gens sont exterminés à échelle industrielle à quelques mètres de là
Ça n’en a pas pour autant été un bon moment en salle, d’où la note au milieu et plus figurative qu’autre chose : c’était désagréable, ce qui était sûrement ce que je devais ressentir. Mais désagréable quand même
Un peu à la bourre, et je pense que tout a déjà été dit sur le film mais faut bien flatter son ego
Un portrait très pessimiste de la lutte des classes, puisqu’elle ne se résume plus qu’à monter des plans sans queue ni tête pour que les pauvres puissent prendre un peu d’argent aux riches (le fameux ruissellement n’est-ce pas). D’autant plus sans queue ni tête, et c’est toute l’ironie du film, que le parasitisme en question n’en a que le nom, puisque chacun des travailleurs est parfaitement apte et qualifié à son travail
Eat the rich