Des cigarettes, du whisky, et toi…
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Onibaba 1964
De la misère, la débrouille, du désœuvrement et du désespoir, surgit l’horreur
Un film impressionniste et néanmoins hyper réaliste, un peu misogyne, et un peu fantastique, qui rappelle le Rashōmon et Les Bas-Fonds de Kurosawa, et fait penser aussi bien à l’Île Nue qu’au Kuroneko de Shindō, réalisateur et scénariste aussi talentueux que prolifique de ce film culte
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The Godfather Part II 1974
Chaque scène, chaque plan… encore.
Chaque personnage, chaque motivation, noeud de l’intrigue ou ironie du sort, tout s’imbrique avec un soin, une patience, une importance, qui rendent chaque moment aussi vital que le suivant, et le précédent.
C’est l’histoire d’un orphelin qui s’érige en roi, et du prince qui hérite d’une cour de fantômes
Chef d’œuvre absolu.
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The Godfather 1972
Il n’y a pas une scène, pas un plan, pas une goutte de sang, coup de feu ou ligne de dialogue, qui ne soit pas pure perfection.
C’est l’histoire d’un soldat qui vend son âme au diable.
L’histoire d’un homme d’honneur qui sans le savoir sacrifie toute sa famille.
Mais pour l’instant, c’est l’histoire d’une lutte pour leur survie…
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