Illustration exemplaire de la beauté napolitaine : une beauté souvent à la frontière du mauvais goût et de la vulgarité, et qui s’autorise parfois à plonger dedans (les contre plongées sur les fesses, le regard de merlan frit de Parthenope quand un vieil écrivain alcoolique et un vieux universitaire cynique lui apprennent pompeusement la vie)
Mais Sorrentino est l’un des rares cinéastes de son envergure à avoir un sens de la scène, à penser son cinéma en scènes (et ça j’aime bien)