Poésie brutale apaise malaises identitaires
Merci
Je riais jaune au début, mais j’ai fini par succomber à un des rires des plus libérateurs.
L’absurdité de l’anxiété poussée au maximum faisait apparaître un des clowns tristes des plus attachants et des plus troublants…
Pour ceux qui se posent des questions sur la folie parce qu’ils l’ont côtoyée de proche ou de loin, je trouve que ce film est pour vous. Ça remet tout en perspective, parce qu’on a le recul nécessaire pour rire d’une tragédie tout en étant confronté à la réalité de la maladie mentale.
La conception sonore me tirait les tripes; quelle expérience sensorielle.
Je retourne le voir, c’est sûr.
Ce moment où Ruben lui dit « it’s okay » a fait le film pour moi.