Feminity

An interpretive method drawing from social psychology, feminist
theory and art criticism is developed to analyze contemporary images of gender. Utilizing and expanding upon visual research techniques, a selection of ads from contemporary fashion magazines and catalogs was assembled to illustrate particular themes suggested by research on the representation of gender in advertising. The body-and what it expresses-is a site of central concern, and discussion focuses on how female and male bodies are represented in advertising. The conventions of art history, when framed within a social science perspective, offer unique contributions to the study of advertising and gender, well suited for researchers interested in the culture of consumption.

The purpose of this study is to examine the management style of immediate superiors and workrelated values of subordinates in a plant turnaround maintenance setting. Design/methodology/approach: As the study was conducted in a real industrial plant setting, questionnaires were used as the main method for data collection due to practicability. The questionnaires were administered to staff of the Propane Dehydrogenation Plant who are involved in the turnaround and the workers of the turnaround contractors. Nine items (using a five-point, bipolar rating scale) related to individualismcollectivism, power distance and masculinity-femininity were used to measure predominant management styles of the immediate superior. Additionally, twenty-three items (using a five-point, bipolar rating scale) are used to operationalize the dimensions of sociability and solidarity. The study was coordinated through the Turnaround Central Services Department of the petrochemical company. Out of the 250 questionnaires distributed, 137 were returned, yielding an overall response rate of 55%. Findings: Turnaround maintenance with enormous activities, inevitably leads to division of labor, horizontal and vertical differentiation among the organizational members. As such, common direction, coordination, and control of organizational resources through the appropriate organizational culture are vital. Understanding the behavioral pattern of the workforce will facilitate planning initiatives for organizational improvement. Initiatives to be taken by management involving the staff should take into consideration these cultural elements and value system. By and large initiatives that are in congruence with the value systems of the workforce are more readily accepted rather than those departing from their cultural patterns. After all, labour has reached a stage whereby it is no longer a simple commodity that can merely be bought and sold in the market. Research limitations/implications: A larger sample size that covers more companies is required to ensure representative groups of people for the results to be generalized in the petrochemical industry. Furthermore, there was a lack of prior research studies of work culture in plant turnaround maintenance environment. Originality/value: The analysis showed that immediate superiors live out low power distance characteristic whereas the subordinates subscribed to high power distance work value. It was argued that the organizational structure, structuring processes, rules and guidelines that were established to certain extant shaped the relationships between immediate superiors and subordinates and hence the power distance.

In contemporary Western society, there is a strong focus on how the body looks and performs, and whether it requires regulation. These powerful expectations impact on individual embodiment—the lived experience of having and being a body, including the internalisation and enactment of socially constructed norms (Kosut and Moore 2010; Shapiro 2015). In this article, we focus on the ways in which tattoos are an embodiment of the interaction order (Goffman 1983); a symbolic mediation between individuals and the social structure. To achieve this, we draw upon the experiences of Rachael, a 24-year old woman employed as a receptionist with ten tattoos, to illustrate how social discourses about the ‘normalised’ feminine body can be reinforced and challenged through tattoos. This is evidenced by Rachael’s use of tattoos as part of a suite of ‘technologies of the self’ (Foucault 1988), which make her feel in control and align, and reconfigure, her body with social discourses of femininity. Our analysis highlights how the body is entangled in an interplay between broad socio-cultural contexts and personal embodiment, as witnessed in tattoos.

Marie-Pierre Bousquet et Anny Morissette examinent les nombreux concours de miss, de princesses, de duchesses et de reines qui ont lieu dans les communautés amérindiennes du Québec depuis le début des années 1950. Les Amérindiens, s’interrogent-elles, auraient-ils incorporé à ce point les éléments d’un mythe à multiples facettes, où la princesse tient à la fois de la sainte, de l’aristocrate, de la chef et de l’objet de désir ?

Pour cette cinquième édition, la galerie Colbert ouvre à nouveau ses portes au grand public. Lieu historique conservant la mémoire du XIXe siècle et de ses fameux « passages », elle héberge depuis 2001 la plupart des établissements d’enseignement et de recherche d’Île-de-France en histoire de l’art, ainsi que l’Institut national du patrimoine, permettant de renforcer la communauté scientifique de l’histoire des arts, en tissant des liens entre chercheurs confirmés et doctorants, ainsi que la coopération internationale.

Selon le principe de cette journée, une œuvre a été choisie pour fédérer les réflexions et nourrir les débats, un chef-d’œuvre de l’art européen qui a durablement marqué l’imaginaire des artistes et des créateurs : la tenture de la Dame à la Licorne.

Les multiples sujets que l'on peut aborder à partir de cette œuvre vont bien au-delà de l'intérêt que les concepteurs et réalisateurs portèrent à la tenture : l’allégorie des cinq sens, celle des six vertus courtoises du Roman de la Rose, le riche symbolisme de l’iconographie, la question du métier, sans oublier la représentation de la féminité. Ils concernent non seulement toute l'histoire de l’art, depuis l’iconographie antique des êtres fabuleux ou de la représentation de la féminité jusqu'à Gustave Moreau, Mapplethorpe, Rebecca Horne ou Grégoire Solotareff, mais aussi le spectacle vivant de Gaëlle Bourges ainsi que toutes les pratiques artistiques : peinture, architecture, sculpture, arts décoratifs, théâtre et opéra, musique, photographie, cinéma, vidéo, performance.

Conclusion de la journée : projection / débat

A mon seul désir, conception et récit de Gaëlle Bourges (Association Os / www.gaellebourges.com), 45 min.
Avec Carla Bottiglieri, Gaëlle Bourges, Agnès Butet et Alice Roland, et la participation de 34 volontaires pour le bestiaire final.
Réalisation du film : Claire Ananos
Caméras : Claire Ananos et Hervé Nisic

A mon seul désir convoque les six panneaux de la série de tapisseries connue sous le nom de La Dame à la licorne, qui présente une jeune fille et une licorne entourées d’animaux et de fleurs – vraisemblablement une allégorie des cinq sens augmentée d’un sixième, resté assez mystérieux. Mais les licornes sont aussi réputées terriblement sauvages, ne se laissant approcher que par de jeunes vierges. Le travail insiste donc plutôt sur un des points centraux de l’histoire de l’art européen : la représentation de la virginité des femmes, ou de leur non virginité puisque, Vierge Marie oblige, il y a au cours des siècles comme une oscillation entre déflorations et non déflorations, ce qui revient finalement au même : on n’est jamais tranquille.

Projection suivie d’un débat en présence de Carla Bottiglieri, Gaëlle Bourges, Agnès Butet et Alice Roland, modéré par Panayota Volti, maître de conférence, Université Paris Ouest Nanterre La Défense / THEMAM-ArScAn.



Partenaires de la Galerie Colbert
École des hautes études en sciences sociales (EHESS), l'École nationale des chartes (ENC)
École Pratique des Hautes Études (EPHE)
Institut national d'histoire de l'art (INHA)
Institut national du patrimoine (Inp)
THALIM / CNRS (Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité)
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Université Paris VIII Vincennes Saint-Denis
Université Paris-Sorbonne
Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3

En partenariat avec le musée de Cluny, musée national du Moyen Âge / www.musee-moyenage.fr

Coordination des Rencontres de la Galerie Colbert
Michaël Decrossas (INHA)

Équipe d'organisation
Ada Ackerman (THALIM / CNRS)
Anne Creissels (EHESS / CEHTA)
Michaël Decrossas (INHA)
Carmen Decu Teodorescu (université de
Paris-Sorbonne)
Soercha Dyon (INHA)
Ludovic Jouvet (INHA)
Katyeryna Lobodenko
(université Sorbonne Nouvelle Paris III /
Eur’ORBEM)
Massimo Olivero (université Sorbonne
Nouvelle Paris III / THALIM)

Service de la Diffusion Scientifique et de la Communication (INHA)
Anne Lamalle
Marine Acker
Elsa Nadjm

Renseignements
Anne-Gaëlle Plumejeau (chargée de communication) : anne-gaelle.plumejeau@inha.fr
tel. : 01 47 03 79 01

Accès

Galerie Colbert
2, rue Vivienne ou 6, rue des Petites-Champs
75002 Paris
Métro : Bourse ou Palais Royal-Musée du Louvre

Entrée libre dans la limite des places disponibles