BemananaHilda GES M1 10
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FACULTÉ DE DROIT, DES SCIENCES ÉCONOMIQUES ET DE GESTION
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« DÉPARTEMENT DE GESTION »
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BEMANANA Hilda
OPTION : COMMERCE ET GESTION D’ENTREPRISE AGRO-INDUSTRIELLE
Décembre 2010
0
SOMMAIRE
SOMMAIRE .................................................................................................................0
INTRODUCTION .........................................................................................................5
PREMIERE PARTIE : «GENERALITES SUR L’ENTREPRISE »...............................7
CHAPITRE I : LA SECREN-SA ET SA STRUCTURE ................................................8
SECTION I: HISTORIQUE ..............................................................................................8
SECTION II: NATURE JURIDIQUE .................................................................................11
SECTION III : LA STRUCTURE ORGANISATIONNELLE .....................................................12
SECTION IV : LES DIRECTIONS SECTORIELLES : ..........................................................18
CHAPITRE II : L’ACTIVITE ET SON ENVIRONNEMENT ........................................23
SECTION I. LA SPECIFICITE DE L’ACTIVITE DE LA SECREN-SA ....................................23
SECTION II : LES RESSOURCES HUMAINES ..................................................................32
CHAPITRE III : LES MISSIONS ET ATTRIBUTIONS DES CADRES DE LA
DIRECTION COMMERCIALE ...................................................................................37
SECTION I : LE DIRECTEUR COMMERCIAL ..........................................................37
SECTION II : LES CHEFS DE DEPARTEMENTS ...............................................................41
DEUXIEME PARTIE : «LE COMMERCE DE LA SECREN-SA» ..............................50
CHAPITRE I : LES OUTILS DE L’ANALYSE COMMERCIALE ET MARKETING...51
SECTION I .LA FONCTION COMMERCIALE DE LA SOCIETE ..............................................51
SECTION II. L’ANALYSE MARKETING ...........................................................................58
SECTION III. LE SYSTEME DE FIXATION ET POLITIQUE DE PRIX DE LA SECREN-SA ........66
CHAPITRE II : LES CRITERES D’ACHAT DE LA SOCIETE...................................72
SECTION I: L’ACHAT .................................................................................................72
SECTION II. LES PRIX ................................................................................................73
SECTION III. LES DELAIS DE LIVRAISON ......................................................................73
SECTION IV. LES CONDITIONS DE PAIEMENT ...............................................................73
TROISIEME PARTIE : « ETUDE DE RENTABILITE ET LES SUGGESTIONS » ....74
CHAPITRE I : ETUDE DE RENTABILITE DE LA SOCIETE ....................................75
SECTION I: ANALYSE DE RENTABILITE ........................................................................75
CHAPITRE II : SUGGESTIONS POUR L’AMELIORATION DE LA SOCIETE ........84
SECTION 1 : L’AMELIORATION DE LA GESTION INTERNE ...............................................84
SECTION II : L’AMELIORATION DE LA PRODUCTION ET DU CHIFFRE D’AFFAIRES ..............89
SECTION III : LA MISE EN ŒUVRE D’UNE PLANIFICATION DE CROISSANCE ET DE CONTROLE
...............................................................................................................................91
CONCLUSION ..........................................................................................................97
BIBLIOGRAPHIE ......................................................................................................98
ANNEXES ...............................................................................................................100
REPERTOIRE DES TABLEAUX ............................................................................113
TABLE DES MATIERES .........................................................................................114
1
REMERCIEMENTS
• Tous les enseignants du département gestion qui ont bien voulu nous
prodiguer leurs connaissances durant nos années d’études à l’université de
Toamasina ;
• Sans omettre de remercier notre famille pour leur soutien moral, matériel et
pécuniaire durant nos études.
Notre profonde gratitude s’adresse aussi à ceux dont les noms ne figurent pas dans
cet ouvrage mais qui ont contribué, de près ou de loin à sa réalisation.
2
LISTES DES ABREVIATIONS, SIGLES ET ACRONYMES
VA : Valeur Ajouté
VI : Valeur d’Immobilisation
3
GLOSSAIRE
AS400 : c’est un logiciel ou programme utilisé par la société pour faire la saisie de
toutes les données concernées pour la réalisation des tâches de la SECREN-SA.
Facture : c’est une pièce comptable indiquant la nature, la quantité et le prix des
produits fabriqués et vendus ou de services exécutés.
4
INTRODUCTION
L’Entreprise occupe une place importante dans la vie économique. Elle regroupe un
certain nombre de facteurs de production en vue d’atteindre ses objectifs dans le
cadre des contraintes imposées par les environnements.
Elle exerce deux grandes fonctions : l’une au niveau de l’individu et l’autre au niveau
de la nation. La première est consacrée à la production des biens et services
destinés aux hommes pour satisfaire leurs besoins. La seconde constitue à créer des
richesses. Elle a réinjecté le surplus de sa valeur monétaire générée par sa
croissance propre dans le circuit économique. Cela va contribuer à l’élévation du
niveau de vie de la population d’un pays. En tout cas, la finalité de l’Entreprise c’est
de maintenir ses équilibres et de permettre le développement économique. Donc,
elle est l’origine de la croissance.
5
De plus, les partenaires et les investisseurs ne s’intéressent uniquement qu’à la
rentabilité, la survie et le développement de la société dans un climat de confiance.
Pour mettre en lumière des disfonctionnements de quelques éléments défavorables
dans une situation de l’entreprise, nous avons choisi un thème qui s’intitule :
« Contribution à l’analyse de l’activité d’une société de construction et de
réparation navale; cas de la SECREN-SA »
Il nous a fallu choisir un champ d’étude particulier pour confronter nos connaissances
théoriques aux faits réels que nous pouvons rencontrer. Cela nous a conduits à
prendre le cas de cette société, une grande entreprise d’État qui a des expériences
dans le secteur naval. Elle a aussi un rôle à jouer dans l’allègement de la pauvreté
quand elle se développe. Elle est une valeur sûre de création des richesses durable
à travers la création de la valeur ajoutée.
Cet ouvrage est le résultat de la formation que nous avons obtenu à la Filière
GESTION suivi de stage pratique au sein de cette société. Il permet de nous montrer
« comment pratique t- on un diagnostic commercial au niveau d’une entreprise à
partir des documents de synthèse »
6
PREMIERE PARTIE :
PREMIERE PARTIE : «GENERALITES SUR L’ENTREPRISE »
7
CHAPITRE I : LA SECREN-SA ET SA STRUCTURE
Section I: Historique
8
Parmi ce support financier, l’Office Militaire Nationale pour les Industries
Stratégiques (O.M.N.I.S) a été créé à cette époque, et devenu la tutelle de la
SECREN-SA depuis l’année 1976.
La nouvelle orientation économique du pays entre 1972 à 1982 se basait sur deux
axes fondamentaux : le Nationalisme et le Socialisme. L’idée force consiste à une
maitrise populaire de l’économie.
Alors, en 1985, cette société a connu un regain d’activité avec le programme thonier
et la politique d’ajustement structurel du Fonds Monétaire International (F.M.I) et de
la Banque Mondiale avec la Caisse Centrale de Coopération Économique
9
(C.C.C.E) ; elle est dénommée actuellement « Agence Française de
Développement ».
L’opération « Thoniers » est une opération commerciale visant à assurer l’entretien
des navires Françaises et Espagnoles spécialisée dans la thonière dans l’Océan
Indien.
Pour améliorer sa situation financière dégradée, elle a reçu des prêts venant de la
C.C.C.E de 10,5 millions de Francs Français en 1985 et 25 millions de Francs
Français en 1987.
Ces prêts sont destinés à la réhabilitation, à la reconstitution des stocks et à la
formation.
Pour cela, la SECREN-SA a signé des contrats avec des partenaires étrangers afin
de faciliter le contrôle de C.C.C.E pour le décaissement de fonds.
Ce sont des partenaires étrangers de cette société en matière d’approvisionnement,
de technique et de prospection commerciale étrangère.
Ainsi, cet afflux des clients a entraîné la saturation de la capacité du chantier. Cette
société est touchée par l’événement 1991 à 1992, elle est mise sous la tutelle de la
présidence pendant cette époque.
10
L’adoption par l’État d’une politique de libéralisation de l’économie entraîne un
changement au niveau des entreprises socialistes dont la SECREN-SA fait partie.
Elle est transformée en Société Anonyme et prend le nom « Société d’Études de
Construction et de Réparation Navales » en 1994.
La SECREN-SA est une société anonyme dont le capital est de quatre cent million
(400 000 000) d’Ariary. Vu l’assainissement financier pratiqué au niveau de la
société, il y avait de la conversion de dettes en action pour les créanciers Malagasy
de la SECREN-SA.
Nombres
Montant en
Nombre d’actions Pourcentage des
Million Ariary
actionnaires
Etat 7500 37,50 150 5
OMNIS 5300 26,50 106 3
CNaPS 4050 20,25 81 2
SGR (ex BTM) 2500 12,50 50 1
SOFIR (exBFV) 650 3,25 13 1
20000 100,00 400 12
Source : SECREN-SA année 2009
11
Section III : La structure organisationnelle
12
Organigrammes de la SECREN-SA
Quels que soient le degré d’autonomie et le type d’activité d’une société d’Etat, elle
est toujours appuyée par un support institutionnel appelé « Tutelle ». Elle assure la
conformité et l’harmonisation des politiques commerciales adoptés par les dirigeants
de la société avec la politique générale du pays. L’objectif des autorités malgaches
représenté par l’OMNIS est de placer la SECREN-SA en bonne position sur le
marché international de la construction et de la réparation navale dans l’océan
indien.
I. Le conseil d’administration :
Il est nommé par décret ministériel parmi tant de personnalités proposées par le
conseil d’administration. Il est assisté par des conseillers et des attachés pour la
réalisation de ses lourdes tâches. Il responsable de l’exécution des décisions prises
en conseil d’administration. Il assure la gestion ainsi que la réalisation des activités
pour l’épanouissement de cette société.
Il est tenu à faire le rapport annuel sur les affaires sociales et la gestion devant le
conseil d’administration.
Il représente la société vis-à-vis des tiers et toutes administrations. Ainsi, ses actions
sont orientés vers :
• La définition de la stratégie et de la politique générale en matière
commerciale, en production, en personnel et financier ;
• La prospection de la clientèle étrangère ;
14
• La recherche de financement.
Le marketing est un ensemble des moyens dont disposent les entreprises en vue de
créer, de conserver et de développer leur marché ou si l’on préfère leur clientèle.
Ce département assure :
• la prospection commerciale qui consiste à voir, à rechercher et à étudier
des clients concernent leur solvabilité et leur crédibilité ;
• Le suivi des marchés qui est consacré à l’analyse des marchés par
sondage des besoins de la clientèle et par la comparaison de la possibilité
de la SECREN-SA. Le suivi permet aussi d’évaluer la qualité et le prix des
services rendus à la clientèle par rapport au concurrent ;
• La création de nouveaux marchés : il s’agit de faire connaître la SECREN-
SA par un support publicitaire à l’aide d’une édition de maquette et de faire
savoir les intérêts, les qualités de travaux, les délais de livraison et enfin la
rapidité de travaux et de services rendus ;
• Le suivi et l’établissement de support publicitaire tels que la presse et le
prospectus
• L’établissement des maquettes destinées à la clientèle.
L’entreprise est un système ouvert. Son ouverture sur le marché en amont est
confiée à l’activité d’approvisionnement.
La mission première d’une entreprise est de satisfaire les besoins de ses clientèles
en produisant des biens et services de qualités adaptée à leur demande.
15
La production exige les achats des matières premières, consommables, des
outillages et des fournitures qui doivent être disponibles en quantité suffisante et
d’une manière régulière.
Donc gérer l’approvisionnement signifie assurer l’existence des divers stocks
nécessaires à la bonne marche de l’entreprise.
Ainsi, ce service assure les missions suivantes :
• La constatation des besoins et la certification de la demande d’achats et de
l’acquisition d’immobilisations ;
• La passation des commandes après la consultation et le choix de bon
fournisseur ;
• Le dédouanement des marchandises importées et des déclarations
diverses ;
• La réception des marchandises en vérifiant la qualité et la quantité reçues ;
• L’emmagasinage des marchandises selon leur catégorie dans les divers
dépôts de cette société ;
• La gestion de stock qui constitue à :
Gérer matériellement, à identifier, à répertorier, à ranger et à
coder les articles dans les magasins,
Comptabiliser les stocks et en déterminer leur valeur suivant des
pièces justificatives,
Prévoir le stock minimum, le délai d’approvisionnement et la
régularisation des fiches de stocks,
L’inventaire physique et comptable de stocks.
Grâce à ce contrôle, le dirigeant peut vérifier l’utilisation rationnelle des moyens qu’il
dispose pour atteindre ses objectifs.
Il donne signal au cas où l’objectif assigné risquerait de ne pas être atteint. Certes, il
est un outil nécessaire pour suivre de près l’évolution de l’entreprise dans son niveau
économique et contrôle la performance de celle-ci.
16
Ce service est subdivisé en quatre bureaux ayant chacun les attributions suivantes :
• budget et contrôle budgétaire dont les tâches sont :
la préparation de budget annuel et la présentation à la direction
générale,
Le suivi et contrôle des budgets affectés au cours de l’année et le
réajustement de prévisions,
L’établissement du tableau de bord pour avoir un outil d’information.
Tous les éléments indispensables à la décision figurent dans ce tableau. Parmi ces
éléments, on peut citer le taux d’occupation de bassin, de chantiers, du total du
personnel productif et administratif, les travaux terminés refacturés, la masse
salariale, le chiffre d’affaires…
• Contrôle analytique concernant :
La vérification de taux d’absentéisme et l’analyse de sa cause,
Le devoir de disposer toutes les informations existantes en vue de
leur intégration dans le système budgétaire et situer les
informations manquantes,
La vérification de la date d’engagement des dépenses ainsi que la
comparaison des réalisations avec des prévisions afin d’analyser
les causes éventuelles des écarts.
• Audit interne assurant :
Le diagnostique de tous ordres et dans tous les domaines,
L’inventaire et la conception de projets de procédure en liaison
avec les utilisateurs et la direction,
La vérification de la bonne application des procédures.
Et enfin l’audit interne assure les dirigeants que de tels contrôle existent et qu’ils sont
appropriés et sont appliqués de façon satisfaisante. Donc, il vérifie des régularités,
des sincérités et des efficacités de la structure mise en place ainsi que son
adaptation aux informations.
17
• Inspection a pour objet de :
Surveiller l’actif de la société contre le vol, le prélèvement non
autorisé et le détournement,
Contrôler les retards des employés et les utilisations des moyens
de production de l’entreprise.
18
Le suivi de la trésorerie au jour le jour à travers la situation journalière
de compte bancaire et journal de caisse.
Les documents financiers établis permettent aux dirigeants de servir de base aux
diverses analyses
• Le service juridique
Il s’occupe de :
La régularisation des clients douteux et irrécouvrables conformément à la
législation en vigueur,
Les problèmes juridiques, les assurances et les contentieux comme les
assurances pour les véhicules, maritimes, incendie et vol.
19
En résumé, nous avons vue que l’analyse suscite de la structure organisationnelle de
l’entreprise nous a permis de connaître les attributions respectives, des directives et
des services. Elle doit être complétée par l’analyse de l’activité et de l’environnement.
La SECREN-SA est une grande société qui subit les effets de l’environnement qui
l’entoure. La recherche d’information concernant son activité s’avère indispensable.
L’étude porte sur celui de l’environnement économique, social et politique et la
situation de cette entreprise sur son marché. Chacun d’eux peut influencer les
résultats de l’entreprise.
Elle a été créée dans le but de motiver les ressources humaines dans cette société.
Elle est gérée par un directeur de ressources humaines qui dirige les départements
suivants :
• Le département administration du personnel : assure la gestion du personnel
ainsi que son administration ;
Elle a pour mission d’assurer la vente, et est dirigée par un directeur commercial qui
supervise deux départements :
• Le département vente qui assure :
La facturation : qui est responsable de :
l’établissement des factures,
20
la collection des informations concernant les dépenses tout en
suivant de près les travaux pour pouvoir calculer les prix de
revient.
C’est l’organe de production. Elle est gérée par un directeur de réparation navale qui
assure la gestion de ses départements et de ses ateliers. Elle assure le système
d’information de production et les conditions optimales de réalisation de travaux. Elle
est responsable de travaux de réparation navale tels que :
21
• le carénage : la peinture, le nettoyage et l’échafaudage
• la mécanique : ajustage, moteurs, manutention et les machines outils
• l’électricité : électricité, électronique et le froid
• bois bord : bois bord, embarcations, plastiques et la menuiserie
• tôlerie bord
• chaudronnerie : chaud, tuyauterie, tôlerie
• services généraux bassins : installation chantier, grues, pompiers et tous les
travaux effectués autour du bassin pour garder la sécurité.
Elle regroupe le bureau d’étude et les départements qui mettent en relation directe
la construction de nouveau bateau et le département des travaux divers. Elle est une
direction technique. La construction navale est précédée de l’étude de projet et du
plan effectués au bureau d’étude. Le lancement de travaux à l’atelier s’est réalisé
après l’accord de client sur le devis.
22
La production d’énergie indispensable au fonctionnement de toute la
société par une centrale électrique,
La réparation et l’alimentation d’eau et d’air comprimé dans divers
ateliers.
I : La réparation navale
23
I.1. Le carénage
Il se traduit par une visite classique et périodique de navire en vue de faire l’entretien
général que l’on effectue dans le bassin.
Les travaux concernent généralement les œuvres vives, les nettoyages, les
remplacements des usagers et la peinture ainsi que les entretiens généraux. Ils
apportent un peu plus de recette par rapport aux autres car la plupart de navires
étrangers thoniers et des crevettiers y sont arrivés pour le carénage
Ce sont des petites réparations effectuées aux navires qui passent au port
d’ANTSIRANANA. Les navires ne sont pas obligés d’entrer au bassin si la réparation
ne l’exige pas. Dans ce cas, le personnel de cette société se déplace pour les
réparer.
Elle vise à construire des nouvelles vedettes, de bacs, des chalands en bois ou
en tôles.
Ces travaux de construction nécessitent l’établissement de plan bien étudié avant la
réalisation proprement dite. Les travaux peuvent durer au moins quatre mois.
Nous pouvons citer comme exemples des constructions navales :
• la construction de quatre bacs pirogue de 12m de long et 7m de large en
2007-2008,
• la construction de Remorqueur de 17,5m ; 60 tonnes de charge.
En outre, pour aider les Entreprises de la région elle effectue également d’autres
travaux à part de son activité principale. Ce sont les maintenances
Industrielles et les travaux divers.
24
III : Les travaux de maintenances industriels et de diversifications
3. la fonderie :
Ils concernent tous les travaux d’impressions des documents et des livres
nécessaires à cette société,
Parmi ses diverses performances, on peut citer la construction de :
• Vedettes pour passagers ;
• vedettes de pilotage ;
• embarcation en plastique ;
• navires de cabotage ;
• barge, chalutier ;
• remorqueur ;
• bac à pirogues.
25
IV. Importance de l’activité de la SECREN-SA dans notre économie
D’après ce que nous avons constaté dans ces deux tableaux, le nombre de bateaux
a augmenté entre les deux années (2007- 2008).
La plupart des produits fabriqués sont des navires pour transporter des biens et de
nous rendre de services. De même, les travaux divers aident et améliorent le
développement des unités de production avoisinantes et voire tout le pays.
26
Ainsi, la production de cette société peut satisfaire au moins une partie des besoins
de notre nation dans le cadre de ses activités.
D’une part, elle permet de déterminer la valeur ajoutée qui mesure la création de
richesse et d’autre part la génération de diverses entrées dans notre pays.
• Les matériaux et outillages industriels comme les ponts roulants, les grues, les
bateaux - porte, les pontons d’amarrage, les étuves, la station de pompage,
les fours, les compresseurs…
27
• Le bassin radoub : Il est un grand bassin utilisé pour faire entrer les navires à
réparer. Il mesure 200m de long, 28m de large et 18m de profondeur avec un
tirant d’eau de 8m à l’entrée.
A chaque côté du bassin circule une grue de 50t appelé « grue clyde » et une grue
galinet de 3t qui desservent à la cale sèche.
Les bateaux-portes qui séparent le bassin à la mer sont constitués d’un ensemble
mécano-soudé. Autrement dit, ces bateaux-portes ferment le bassin.
L’épuisement de ce bassin peut être réalisé à l’aide de quatre pompes et
l’assèchement peut se terminer à l’aide de deux pompes.
• Les équipements de chantiers :
Il regroupe les matériels et les outillages de menuiseries tels que la raboteuse, la
tenonneuse, les scies, la tronçonneuse, la ponceuse et l’affuteuse ; le matériel et
outillage divers comme les tours fraiseuses, les perceuses, les meules, le poste de
soudage, les palans, les ventilateurs ou extracteurs d’air chaud et les aspirateurs…
Ce sont :
• les installations téléphoniques, télex, télécopieur et réseau d’eau et d’air
comprimé ;
• les installations réseau électrique pour l’alimentation du chantier, des
bureaux et des logements ;
• le central électrique producteur d’énergie utilisé dans l’exploitation. Il
comprend des groupes électrogènes et des moteurs à puissances
variables.
3. Le matériel de transport :
4. Le matériel naval :
28
5. Le matériel informatique :
Il est composé des micro-ordinateurs avec les imprimantes et les autres ordinateurs.
Elles sont constituées par les bâtiments et les ouvrages d’infrastructure. Ce sont :
• Les bâtiments industriels et commerciaux composés des ateliers de
production, des garages et des magasins ;
• Les bâtiments administratifs qui sont l’ensemble des bureaux ;
• Les bâtiments à usage social tels que les bungalows et le foyer
SECREN-SA ;
• Les rails, caniveaux d’eau, la route, la terre pleine qui sert au
débarquement et à la fois circulation.
29
Sur le plan commercial, on sépare les clients étrangers en deux dans le but de la
rentabilité et d’isoler les recettes obtenues par les navires thoniers. Cette séparation
de recette est possible grâce à l’application des procédures appropriée et des
conditions de vente.
30
V.2. La condition de vente
Avant de traiter le contrat ferme entre les clients et la société, il faut connaître un
peu la condition de vente pour qu’il n’y ait pas de litige.
• La SECREN-SA n’est tenue à aucun engagement sans avoir possédé le bon de
commande de travaux en bonne et de forme émanant du client et approuvé par
le Directeur Commercial compétant du chantier ;
• Le délai de livraison est à partir du premier jour œuvre qui suit le bon de
commande et la mise en disposition du chantier. Il y a une prorogation de délai
s’il y a de travaux complémentaires ou s’il y a une modification ;
• Le départ de navire réparé ou ma mise en disposition de l’armateur est procédé
après les essais concluant effectués en présence du commandant et des
techniciens de bord ;
L’absence de réclamation écrite au moment de l’enlèvement des pièces
constituées traduit l’acceptation officielle et définitive de travaux effectués à la
SECREN-SA.
• Les pièces et les modèles fabriqués par la société et non facturés aux clients
ainsi que les vielles matières récupérables restent entièrement la propriété du
chantier ;
• La garantie donnée par la SECREN-SA est limitée au remplacement des pièces
qui révèleraient défectueuses ou à la réparation des parties endommagées pour
lesquelles la responsabilité du chantier serait engagée. Cette garantie n’est
valable que sauf sur accord écrit exceptionnellement de la part de la SECREN-
SA: dans un délai d’un mois pour les navires et quinze jours autres que les
réparations à compter de la date de l’acceptation ;
officielle et définitive de travaux confiés à la SECREN-SA.
• Le délai de règlement est comme suit :
Prestation diverses : 100% à la livraison,
Réparation navales : 50% du montant divisé au début de travaux et le solde
au départ du navire.
• Les modes de règlement accordés aux clients sont :
en espèce à la caisse,
règlement par chèques,
31
règlement par compensation : il suppose que deux sociétés sont
réciproquement débitrices et créanciers. La compensation est l’extinction des
dettes réciproques de plein droit à concurrence de plus faible,
règlement par virement bancaire,
retenu sur salaire uniquement pour le client personnel de la SECREN-SA.
Toutefois, Il est nécessaire que les relations entre les dirigeants et les subordonnées
pendant l’exécution du travail soient bonnes afin que les efforts de chacun
convergent effectivement vers les objectifs fixés. Plus, les êtres humains sont actifs,
plus la production s’accroît.
L’homme est l’être complexe parce que chacun possède ses propres besoins, ses
aspirations et ses ambitions. C’est pour cette raison que la gestion de ressources
humaines est un grand problème de dirigeant d’une entreprise. Comment fait-on pour
déployer les efforts de ses employés pour accomplir leur tâche ?
Pour nous aider de connaître un peu plus la qualité de ressources humaines de cette
Entreprise, il est nécessaire de voir la façon de dirigeant pour réaliser le recrutement,
de gérer et d’administrer son personnel et enfin comment les motiver ?
I. Le recrutement
D’une manière générale, le recrutement est réalisé après avoir connu les critères
indispensables au poste attribué.
32
Avant cela, le poste doit être bien défini. Après les examens de Curriculum Vitae et
des tests d’entretiens, les dirigeants effectuent la sélection auprès des éventuels
candidats.
Cependant, la SECREN-SA étant une société d’Etat, outre la compétence des autres
facteurs influent le choix de décideur : l’environnement économique de la société et
les options à caractère politique dictés par les dirigeants de haut niveau.
Malgré cela, elle ne procède plus à de nouveaux recrutements à cause du sureffectif
du personnel.
Pour rendre plus claire ce que nous venons de dire, nous allons établir des tableaux
qui retracent l’évolution du nombre de personnel de la SECREN-SA
33
Tableau N° V : Evolution de catégorie de personnel
D’ après ce que nous constatons dans ces deux tableaux, on déduit que l’effectif est
en progression et le nombre de cadres augmente. Cela nous montre qu’il n’y a pas
mal d’intellectuel dans cette société. La progression de ce nombre se traduit aussi
par l’utilisation de la nouvelle technologie et l’application de la méthode de marketing.
Donc, le nombre de main d’œuvre diminue et ils sont presque remplacés par des
machines. Malgré tout cela, l’entreprise devrait recruter des ouvriers temporaires et
journaliers pendant la période d’abondance de travaux. Ils travaillent environ 10jours
environs.
Elle peut être définie par la gestion de son personnel à partir de son embauche
jusqu’à sa retraite en passant par le suivi de sa carrière.
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Au moment de l’accueil, le personnel de cette société fait sa présentation et sa
mission. Il donne les informations utiles comme les renseignements concernant la
paie, la CNaPS, le centre médical, les textes règlementaires et toutes autres
disciplines ainsi que le règlement intérieur de la société.
Dès que le personnel est embauché, il est classé selon sa compétence, ses
diplômes et les formations qu’il a suivies. Il a droit à une rémunération et par
conséquent il doit verser l’impôt sur les revenus et autres charges sociales. Ces
charges sont déterminées par l’entreprise selon les critères biens définis. L’entreprise
fait la déclaration à la CNaPS et à la contribution indirectes pour les charges dues.
Elle met en place le système d’appréciation afin de construire les différents
programmes et asseoir les décisions concernant les carrières des nombres de
personnel tels que : la promotion, l’ajustement de rémunération et la fonction.
1. La promotion
2. La formation
35
La formation dispensée présente deux aspects principaux :
• Un aspect continu et permanent de formation pour maintenir les employés à
un niveau de connaissance satisfaisant et de savoir-faire, aussi permet-elle
aux intéressés de se développer dans leur carrière ;
Nous pouvons prendre un exemple : la formation de personnel à l’institut supérieur
de la technologie, le recyclage à l’INSCAE pour développer la capacité
d’encadrement.
3. La motivation
La motivation est définie par la satisfaction des besoins de chaque individu. Elle est
l’origine du développement économique malgré l’évolution intensive des besoins. Le
manque de la motivation et la négligence des conditions de travail sont des
principales raisons qui ont entraîné la faiblesse du rendement.
Les hommes qui s’engagent dans l’activité dans l’activité de l’entreprise ont des
mobiles propres : la recherche de revenu, l’accumulation du capital, l’exercice du
pouvoir, le contact social positif, la liberté d’exécution des tâches et certaines marges
de décision ainsi que des initiatives. Pour aboutir au résultat escompté, il faudrait que
tout le personnel soit motivé et que les conditions afférentes à l’exécution des tâches
et certaines marges de décisions ainsi que des initiatives. Pour aboutir au résultat
escompté, il faudrait que tout le personnel soit motivé et que les conditions afférentes
à l’exécution des tâches soient satisfaisantes.
Il a pour mission d’assurer la vente, et supervise trois services et des chefs de bord.
MISSIONS :
• Coordonner l’ensemble des activités de ventes ;
• Assurer la promotion et l’image de marque de la société avec souci de
rentabilité optimum de l’outil de production et des possibilités de négoce et
sous traitante ;
• Définir la politique commerciale ;
• Proposer les axes de développement dans le cadre du plan stratégique.
37
I. Politique commercial
II. Développement
II. Ventes
38
Elle peut :
• Superviser l’application de la politique de ventes sur terrain ;
• S’assurer de la qualité de recrutement et des actions de formation de la force
de vente (commerciaux, agents ou revendeurs) ;
• Superviser l’organisation de la prospection de clients potentiels et des
prescripteurs ;
• Élaborer les offres correspondant à des campagnes promotionnelles spéciales
et les transmettre à la force de ventes ;
• Entretenir les contacts avec les clients et les prospects importants et intervenir
dans la négociation des contrats importants ;
• Établir et communiquer à la direction générale le calendrier trimestriel des
principales visites ; faire réaliser par la fonction financière les études de
solvabilité des clients ;
• Demander l’accord de la direction générale pour la prise de commande de
clients dont la solvabilité n’est pas encore reconnue ;
• Consulter la direction pour tout dépassement des conditions de ventes et non
respect des prix « plancher » ;
• Superviser le traitement des litiges clients.
•
Une telle stratégie se justifie si le domaine d’activité considéré est appelé à un fort
taux de croissance ou si la société espère accroître sa rentabilité, son efficacité ou
son contrôle en intégrant certains éléments de son système marketing.
39
• Proposer le système de rémunération de la force de vente ;
• Mettre au point un tableau de bord de suivi de l’activité de la force de vente et
du service interne, l’analyser et le soumettre à la direction générale ;
• Suivre l’évolution de chiffre d’affaire et de la contribution marginale par pays,
secteurs, représentants, produits, clients ;
• Informer la direction générale des anomalies constatées et proposer des
solutions pour y remédier.
V. Qualités
40
La SECREN SA Améliore la qualité des produits pour satisfaire les exigences du
marché dans un souci de rapport qualité /prix ; et définit les besoins des prospects et
prépare les produits de qualités et de meilleur marché ;
La Société coordonne le développement des produits et assure le suivi de leur
élaboration et de leur réalisation.
Il a pour mission d’assurer l’ensemble des activités de vente et élaborer les choix
d’axes de développement et de la stratégie commerciale de la société en matière des
ventes de produits. Ainsi, il s’occupe de :
• Gérer l’administration et la force de vente ;
• Organiser le circuit commercial de la direction ;
• Superviser la fonction des représentants commerciaux et veiller à la procédure
en matière de tarification ;
• Assurer l’analyse des coûts et des écarts éventuels en matière de tarification
et de facturation ;
• Rendre compte au directeur commercial.
41
Il organise à l’exécution de traitement administratif des commandes et suit
l’exécution des commandes dont :
L’orientation du client dans ses besoins relatifs,
Le respect de délai,
Le traitement des reliquats.
Suggérer en liaison avec le département marketing de l’opportunité existante
sur le marché ;
Veiller en liaison avec le département technique de la société au respect de
délais, coûts ;
Émettre les factures aux clients en vue de leur paiement ;
Dresser le tableau de bord commercial en fonction des estimations et
prévisions de vente.
42
• Planning d’activité.
Ses qualités sont de mettre en application les procédures et s’assurer que les
solutions qu’il propose et les informations qu’il communique en interne et en externe
se jointent conformément aux procédures définies par le rapport qualité. Ça implique
dans tous les projets qualité.
43
III. Chefs de services
QUALITE :
• Être associé à toutes études sur la qualité.
44
III.2. Chef de service accueil / clientèle :
QUALITE :
Implication dans les procédures QUALITE, service, délai des travaux.
45
Les documents sont de :
• Bon de commande ;
• Bon de dépôt ;
• Bon d’enlèvement ;
• Bon de livraison ;
• Billet de sortie matériel ;
• Livre journal des comptes d’ouvrages ;
• Fichiers clients : clientèle, clients douteux, clients fidèles ;
• Situation mensuelle des travaux en cours ;
• Badge client ;
• Carte de visite ;
• Fichiers réclamation et doléances des clients ;
• Fichiers litiges clients ;
• Catalogue de prix ;
• Rapport de visites et rencontre avec les clients ;
• Rapport d’anomalie ;
• Dossiers clients.
QUALITES :
• Met en application les procédures ;
• S’assurer que les solutions qu’il propose et les informations qu’il communique
en interne et en externe se joint conformément aux procédures définis par le
rapport qualité.
Il a pour mission de faire la cotation des travaux demandés par les clients, des avant
projets et des travaux de frais généraux et assister le département sur l’élaboration
des standards du chantier ainsi qu’à l’édition et archivage des devis.
47
• Assurer le suivi et l’édition des devis, des factures et des statistiques de
ventes ;
• Vérifier la véracité du calcul et rendre compte au chef de département ;
• Contrôler l’adresse des clients sur le projet des factures ;
• Contrôler les conditions générales de ventes ;
• Assurer l’archivage des devis.
III.5. Secrétariat
Elle aide la secrétaire de Direction sur les travaux de secrétariat des services
commerciaux.
MISSIONS :
• Organisation et exécution des travaux administratifs de la direction
commerciale.
ATTRIBUTIONS :
• Assurer l’archivage et le classement des dossiers et documents de la
direction ;
• Assurer la rédaction des courriers administratifs et des procès-verbaux de
réunion ;
• Assurer la mise à jour et suivi des dossiers et des fichiers de secrétariat ;
• Assurer la gestion des agendas et déplacement du directeur ;
• Assurer l’accueil physique et téléphonique ;
48
• Assurer l’organisation des évènements internes ;
• Assurer les services généraux : courrier, nettoyage, communication.
49
DEUXIEME PARTIE :
DEUXIEME PARTIE : «LE COMMERCE DE LA SECREN-SA»
50
CHAPITRE I : LES OUTILS DE L’ANALYSE COMMERCIALE ET MARKETING
Elle a pour mission d’assurer la vente, et est dirigée par un Directeur Commercial qui
supervise deux départements : Le Département Vente et le Département Marketing.
51
ORGANIGRAMME :
DIRECTEUR COMMERCIAL
SECRETARIAT
CHEF DE BORD
CS ACCUEIL / CLIENTELE
CD VENTE CD DEVIS
CS FACTURATION
CS TARIFICATION CS DEVIS
I. Département vente
52
• Augmenter le chiffre d’affaire de l’année en cours de 10% de celle de
l’année précédente ;
• Rentabiliser les ateliers pendants les heures creuses pour les réparations
navales en travaillant sur le développement des produits divers ;
• Développer les secteurs produits divers et exposés les produits sur le
marché national et international ;
• Adopter une nouvelle politique de promotion de construction neuve.
53
• Devis sur des frais généraux, c’est tous ce qui concerne les biens matériels
de la société ;
• Devis sur les constructions neuves ;
• Devis sur les constructions et réparations diverses ;
• Devis sur les réparations navales.
Avant d’établir un devis, il faut savoir :
- La nuance de matière,
- L’existence de matière première au magasin,
- La faisabilité,
- Les phases d’exécutions.
Le devis devrait être fiable et pertinent pour ne pas conduire le client ou la société à
une perte, donc pour être sûr de ne pas commettre des erreurs dans ce domaine il
faut que le service tarification travaille en collaboration avec le service technique de
chaque département ou les promotions internes, qui sont les anciens ouvriers
devenus maintenant chefs d’atelier ou de niveau supérieur grâce à l’expérience qu’ils
avaient acquis durant sa vie professionnelle.
Formule :
• Le revient théorique (RT)
RT = A X 1,05 +B X th
54
- Le prix de vente (PV)
PV = (A x 1,29 x 1,30) + B x th
Celle-ci sera multipliée par les heures prévisionnelles pour la réalisation du travail
pour avoir le coût de main d’œuvre.
Le taux horaire de chaque produit (construction navales, réparation navales et les
divers.
Taux
Taux horaire revient (HT) Taux horaire vente (HT)
Produits
-Divers:3226,40Ar/heure -Divers : 8000,00Ar/heure
-Menuiserie: -Menuiserie :
Produit divers
860,40Ar/heure 1800,00Ar/heure
Constructions navales 3226,40 Ar/heure 8000,00Ar/heure
-Nationaux :
-Nationaux :
16000,00Ar/heure
5914,20Ar/heure
-Internationaux :
Réparations navales -Internationaux :
10220,00Ar/heure
13,75€ /heure
Source : SECREN-SA année 2009
Si le devis est terminé, il sera signé par le Directeur Commercial et expédié au client
par le service promotion produit.
C’est en possession du devis que le client décide s’il va passer une commande ou
pas.
L’AS400, c’est un logiciel ou un programme que la société utilise pour saisir toutes
les données concernées, par exemple : matériel que chaque atelier dépense pour la
réalisation de ces tâches, les totaux des heures cumulées, la présence ainsi que
l’absence de personnel, pour faire le calcul de revient,…
Le service vente est tenu de récapituler toutes les ventes mensuelles et annuelles de
toutes les activités comme :
• Réparation navale :
les travaux d’intervention,
les avaries,
le carénage,
la prestation.
• Les travaux divers.
56
III .Le service facturation
Le service ne peut commencer leur travail qu’après que le service tarification finisse
ses taches. En général, la responsabilité de service vente est de facturer les
travaux réalisés et d’enregistrer toutes les réalisations annuelles, trimestrielles et
mensuelles
Il y a trois sortes de facture à réaliser :
C’est une facture sur les acomptes de 50% que le client paye avant de
commencer les travaux.
Elle est utilisée au moment du prix devisé, il sera contrôlé par les différents services
pour éviter les erreurs dans la facture finale.
La facture finale est négociable, mais il ne faut surtout pas que le marge bénéficiaire
sera en dessous de 30% du revient enregistré dans le AS400, c’est pour cette raison
qu’avant d’être signée par le Directeur général, la facture devrait être vérifiée par le
contrôle de gestion. Après le contrôle, la facture sera multiplier en plusieurs
exemplaires, et ce nombre dépend du type du client ou de produit :
* client personnel : (5 exemplaires)
- un pour service Comptabilité,
- un pour service Finance,
- un pour client,
- deux pour archive.
* Client société ou Entreprise :(6 exemplaires)
- un pour service Comptabilité,
- un pour service Finance,
- deux pour archive.
* Sur le navire :( 7exemplaires)
- un pour service Comptabilité,
- un pour service Finance,
57
- trois pour client,
- deux pour archive.
I. Notion en marketing
Le Marketing est de gérer les fonctions afférentes au produits de sa création via son
développement jusqu’à sa consommation et satisfaire les besoins exprimés des
consommateurs par l’échange de produits contre une certaines valeur.
58
III.1. Missions et attributions du chef de département Marketing
59
• Déterminer avec précision les exigences du client en collaboration avec le
département technique et élaborer une revue de besoin de marché ;
• S’assurer de la communication claire et précise de toutes les exigences du
client à l’intérieur de l’entreprise par le biais des ateliers de fabrication ;
• S’associer à toutes études de nature à rechercher et atteindre l’objectif.
QUALITES :
• Appliquer les procédures qualité ;
• Impliquer dans tous les projets études QUALITE.
DOCUMENTS UTILISES :
• Plan marketing ;
• Plan de communication ;
• Budget publicité ;
• Information et analyse de la concurrence :
Produits,
Marché,
Force de vente,
Situation financière.
• Positionnement des produits sur leur courbe de vie ;
• Échéancier des travaux :
Étude de marché,
Analyse,
• Dossiers de presse ;
• Documentation et étude de la législation spécifique des ventes avec remise,
primes… ;
• Budget propre au service ;
• Tableau de bord de son activité et indicateurs de performance.
60
Ce département ce décompose en deux services :
• le service communication et relation publique ;
• le service promotion produit.
Pareillement aux autres départements, celui- ci a un objectif bien précis qui est la
satisfaction des besoins de la clientèle, et pour en arriver chaque service a sa
mission.
61
Pour le produit : La SECREN-SA, offre la meilleure qualité de produit. Et les main-
d’œuvres sont très qualifiées. Elle utilise la technologie conforme aux normes
internationales. Elles respectent aussi le délai mentionné dans le devis ainsi que la
facture pro format.
Pour le prix : Le prix de l’offre de la société est très compétitif au niveau de marché
national et international vu la qualité des produits et les délais des travaux qu’elle
réalise.
Produit Consommateur
Publicité Communication
Prix Coût
• Presse écrite ;
• Magazine ;
• Revue professionnelle ;
• Correspondance par internet : le mailing ;
• Exposition en foire ;
62
• Edition des dépliants ou prospectus ;
• Visite et prospection au niveau national et international ;
• Le MARKETING DIRECT (Par téléphone).
• Faire des reportages, des films, des photos en vue de les publier ;
• Organiser une relation publique : la conférence, communiquée, voyage de
presse ;
• Participation aux foires, salon national et international ;
• Réaliser les plaquettes de la société, exemples : les calendriers, les cartes de
vœux, les agendas ;
• Faire un suivi sur l’efficacité de campagne pour pouvoir le rectifier s’il est mis
en erreur ;
• Assurer les campagnes publicitaires ;
• Bien élaborer les plans de campagnes publicitaires ;
• Travailler avec les agents publicitaires ;
• Bien choisir les canaux publicitaires qui peuvent directement avoir un effet
positif sur les attitudes et comportement de population cible.
63
• La distribution : il s’agit d’identifier les circuits appropriés moins coûteux pour
mieux adapter les efforts de ventes.
Par contre les bateaux Thoniers sont en général des clients fidèles.
• Thoniers Espagnols :
ALBANCORA S.A,
ATUNSA,
HARSWATER / ECHEBASTAR FLEET,
IMPESCA S.A,
INTERTUNA LTD,
OPAGAC,
PE.VA.SA,
ALBAFRIGO,
CALVA PESCA,
C. a EUROPEA DE TUNIDOS,
PEVAECHE,
64
SOLDE SHIPPING Corp,
TINIDOS CONGELADOS S.A.
• Thoniers Français :
SCN,
ACF,
SAPMER,
COBREPECHE,
CMB,
SAUPIQUET Armement,
EPPAM,
SOMARSAL.
• Divers :
• AQUALMA ;
• CIMAT ;
• MADA EXOTIC ;
• PNB ;
• PMM ;
• PECHEXPORT ;
• REFRIGEPECHE EST / OUEST ;
• SDV ;
• SOMAPECHE ;
• SMC.
65
La connaissance des stratégies permet de définir les concurrents directs et les
moyens de la contrer, celle des objectifs, d’anticiper les réactions à venir tandis que
l’identification des forces et faiblesses facilite la direction des hommes des
différenciations et d’attaque.
Les concurrents possèdent des matériaux et des technologies très avancées. Malgré
tout ils sont toujours jugés faibles par rapport à la SECREN-SA, à cause de la
présence des mains-d’œuvre compétente et expérimentées.
I. Importance de prix
Le prix est une variable très importante, parmi les quatre moyens d’actions
Marketing. Le pouvoir attractif d’un produit ou service ne dépend pas uniquement de
ces qualités mais aussi des prix auquel il est offert.
Par l’approche économique, le prix a un impact qu’on ne peut pas négliger sur la
variation de la demande. Le plus souvent, la fixation d’un faible prix de produit
engendre l’augmentation de la demande mais dans le cas contraire c’est
l’investissement.
Il est remarqué que cette situation ne se produit pas forcément. Par l’approche
psychologique, on lui considère comme un donné psychologique car c’est l’un des
premiers éléments visibles de l’offre d’un produit ou service sur le marché. Le prix est
aussi un facteur qui peut freiner l’achat, mesurer la qualité du produit et constituer
une limite pour la demande quand il est trop faible ou trop élevé.
66
De plus, le prix est la mesure de capacité produit qui constitue dans une société.
Il a une influence sur le résultat, alors toute variation de prix provoque une réaction
sur son active et générale.
La question se pose sur ce point : quel niveau tarif faut-il adopter pour améliorer
l’image de la SECREN-SA ? Faudrait- il augmenter ou diminuer ou s’aligner au tarif
des concurrents ? Pour atteindre l’objectif, nous pourrions penser à la diminution des
prix à un niveau inférieur par rapport au concurrent et cela provoquera
l’augmentation de la demande de la clientèle où nous allons augmenter le prix à un
niveau supérieur et dans ce cas, la diminution de la demande est compensée par les
niveaux très larges de marge avec le prix.
Mais nous allons focaliser la politique de prix de la SECREN-SA, qui fixe le prix à
partir de la concurrence et au prix du marché.
67
• CRITERE CONCURRENTIEL : prix créneau similaire à la concurrence, prix de
positionnement différent (haut ou bas) de la concurrence ;
• CRITERE DEMANDE : prix d’amorce (attirer), prix non arrondi, prix de
prestige (service)
Toute société doit d’abord clarifier l’objectif qu’elle s’efforce d’atteindre si la cible et le
positionnement ont été clairement identifiés, le Marketing Mix et le prix en découlent
logiquement. Souvent, plusieurs objectifs sont simultanément poursuivis. Une
politique de prix peut en fait pour servir jusqu’à cinq objectifs :
1. La survie:
2. La maximisation du profit :
L’un des objectifs de tarification les plus fréquemment adoptés est la maximisation du
profit. Ce modèle, qui suppose connus et constants, les effets de couts et de
demande ne tient compte des autres variables mix, de la réaction de concurrent et du
cadre règlementaire, et bien sûre à répartir.
La société cherche à optimiser le chiffre d’affaire plutôt que les bénéfices. C’est le
cas lorsque les coûts sont mal connus ou difficiles à répartir. On se sert alors du
revenu comme un indicateur de rentabilité.
4. La maximisation de la croissance
La société qui cherche avant tous la croissance estime qu’un volume de vente
supérieur entraînera, grâce aux économies d’échelle des coûts réduits et les profits
deviennent plus importants.
68
Plusieurs conditions doivent être réunies pour optimiser cette approche :
• Le marché est sensible au prix ;
• Les coûts de production et de distribution à l’unité baissent fortement lorsque
le volume s’accroît ;
• Un prix bas décourage la concurrence d’entrer ou de se maintenir sur le
marché
5. L’écrémage :
La stratégie d’écrémage c’est de débuter par un prix élevé sur l’image puis baisser
par étape pour pouvoir vendre à toutes catégories les produits sur plusieurs
marchés, c'est-à-dire élargir le marché de cette société à partir de cette stratégie.
La société préfère être leader en qualité plutôt qu’en volume. Elle adopte un prix
d’écrémage qui, par chaque innovation, valorise les efforts de recherches et la
supériorité du produit par rapport à ses concurrents. Un prix d’écrémage se justifie
si :
• La demande est attentive aux innovations ;
• Les économies d’échelle ne sont pas très prononcées dans la fourchette de
production considérée ;
• Un prix élevé n’a pas pour effet d’attirer la concurrence ;
• Il est supporté par la supériorité perçue de produit.
Alors que la demande détermine souvent le prix plafond, les coûts induisent le prix
planché. Toute société souhaite fixer un prix qui couvre les coûts de production, la
distribution de vente, et procure une juste rémunération de l’effort fourni et de risque
encouru.
69
III.4. Analyse de la concurrence
Entre le prix plafond issu de la demande et le prix planché imposé par les coûts, les
prix concurrents constituent un troisième rôle de référence.
Pour le connaître plusieurs méthodes : les relèves de prix qui consistent à se rendre
directement dans le point de vente, l’analyse des tarifs catalogue de la concurrence
et les enquêtes au près de consommateurs destinés à apprécier le rapport qualité /
prix pour chaque concurrent important. La connaissance s’oriente souvent la
politique de la tarification de la société.
Une fois connue, les courbes de demande et de coût ainsi que les prix de la
concurrence, la société est en mesure de choisir son prix. Les différentes des
fixations des prix mettent l’accent sur ces facteurs.
L’objectif des étapes précédant était de réduire les fourchettes de prix acceptables. Il
s’agit maintenant d’optimiser le prix final proposé sur le marché.
le prix final doit respecter les lignes directrices de la politique habituelle de la société
en matière de tarification. Il s’agit d’adhérer à l’image de la firme et à ses habitudes
vis-à-vis de la concurrence.
70
3. Les autres intervenants :
le responsable Marketing doit enfin tenir compte des réactions anticipées des
différents intervenants sur le marché.
Il consiste à fixer les prix inférieurs à ceux de la concurrence afin de s’introduire sur
le marché existant. Cette méthode vise à l’obtention d’une plus grande part de
marché et à donner à la société une assise solide sur le marché.
C’est le prix qui existe sur le marché fixés par les sociétés et que les autres sociétés
ne font que l’adopter.
71
En conclusion, la société qui se trouve confrontée à une modification de prix décidée
par un concurrent doit s’efforcer d’identifier l’objectif de ce dernier et le caractère
temporaire ou permanent de sa décision.
S’il est souhaitable de réagir rapidement, la société a intérêt à planifier à l’avance ses
décisions face à différentes situation possible de concurrent par les prix.
La notion d’achat est l’échange de monnaie contre un bien, un service pour toute
valeur matériel ou immatériel, financière ou réel. La fonction d’achat a une double
importance pour la SECREN-SA :
• C’est lui qui alimente la SECREN-SA en matière première et lui permet une
activité régulière ;
• C’est elle qui permet de dégager une marge afin d’assurer la rentabilité ;
Le problème des achats est la rentabilité : le souci de la rentabilité de la
SECREN-SA est le fait que beaucoup d’entre elle, les achats dépassent la
moitié du chiffre d’affaire total des ventes. On fait mieux comprendre au
dirigeant que bien acheté et bien approvisionné, est aussi important que bien
produire. Les critères d’achats de la SECREN-SA sont la qualité, les prix, les
délais de livraison, la condition de paiement.
Section I: L’achat
Elle constitue la plus part de temps le facteur décisif. Dans l’industrie, il faut que la
qualité de produit ou matière achetée correspondent rigoureusement aux exigences
du service d’utilisateur. L’amélioration des conditions d’usinages, l’objectif de la
satisfaction du client l’emportent sur considération du prix. Dans le commerce, la
qualité permet d’espérer un affrontement efficace de concurrence et une vérité
massive génératrice de prospérité.
72
Section II. Les prix
Les prix interviennent à qualité égale pour fixer le choix sur un article déterminé. Le
facteur de prix est primordial lorsque par suite de l’automatisation de l’usinage, des
achats représentent un pourcentage très élevé du chiffre d’affaire.
Aussi, un service d’achat est souvent dans la nécessité d’imposer aux fournisseurs
sous forme de contrat, le respect de ces délais de livraison. Malgré cela, les services
d’achat n’est pas à l’abri de défaillance possible du fournisseur. Ce qui incite à
accroître son stock de sécurité.
73
TROISIEME PARTIE :
TROISIEME PARTIE : « ETUDE DE RENTABILITE ET LES SUGGESTIONS »
« ETUDE DE RENTABILITE ET LES
SUGGESTIONS »
74
CHAPITRE I : ETUDE DE RENTABILITE DE LA SOCIETE
Elle met une expression du résultat obtenu d’une action économique. Or, la
rémunération des facteurs et du capital est le problème fondamental d’une entreprise
et qui immobilise des ressources rares et souvent onéreuses.
Cependant, l’accroissement des moyens de production entraine l’augmentation de
profit et donc l’amélioration de la rentabilité de l’actif total. La diversité des groupes
sociaux concernés par le résultat de l’entreprise rend la notion de la rentabilité
encore plus relative, suivant l’objectif suivi par chacun d’eux.
La contrainte de l’équilibre repose sur le réseau des échanges des biens et des
services ainsi que des opérations d’endettement, alors que la contrainte de
rentabilité dépend des relations de l’entreprise avec son environnement (avec les
prêteurs et les actionnaires).
La rentabilité peut être appréciée à différent niveaux selon le point de vue adopté
par chacun des agents économiques concernés. C’est pourquoi, elle met en œuvre
la méthode de ratio.
Ainsi, la rentabilité des actifs doit en même temps permettre l’accumulation d’un
niveau de liquidité suffisant pour assurer le maintient du capital de production de
l’entreprise. Elle doit aussi assurer le remboursement des emprunts et contribuer à la
croissance du capital. Enfin, elle doit dégager une rémunération du capital investi par
les actionnaires. La mesure de rentabilité et sa signification dépendent de la
définition du rapport qui la définit.
75
L’étude de la rentabilité est celle qui résulte de l’usage de l’ensemble de l’actif
physique et financier détenue par l’entreprise. Nous pouvons distinguer, selon les
diversités des points de vue, et de l’objectif de chacun, la rentabilité en trois grandes
catégories.
I. La rentabilité commerciale
Le ratio de rentabilité a pour objet d’analyser des marges par rapport au niveau
d’activité. La rentabilité commerciale se définit par la capacité de revenu par rapport
au chiffre d’affaires.
Tableau N° VII : Détermination des ratios de rentab ilité commerciale
1. La productivité :
77
Tableau N° VIII : Les ratios de la productivité
78
Jusqu’à 70%, on peut considérer que l’entreprise possède un outil de production
satisfaisante, qui laisse apparaître des traces de dégradation entre 70% et 80% pour
atteindre le seuil d’obsolescence à 85%. Plus ce ratio est élevé, plus les moyens
d’exploitation sont vétusté. Ce qui explique l’importance de coûts et la médiocrité de
la qualité de produits. Par contre, si ce ratio est faible, c’est le signe de
renouvellement satisfaisant des facteurs de production.
Pour cette société, les taux sont respectivement de 62,34% ; 55,12% pour les
périodes 2008 et 2009. Ce qui nous conduit de conclure qu’elle possède des moyens
de production en moyenne qui ne sont pas tout à fait dégradés. Elle a essayé de les
améliorer pendant l’année 2009 par acquisition de nouveau matériels et outillages
ainsi que la réhabilitation des équipements de production.
2. L’efficacité :
79
les moyens mis en œuvre pour assurer la production et les échanges. Nous
constatons que les ratios sont élevés du fait de l’augmentation des chiffres d’affaires.
R2 : indique les ratios de la vitesse de rotation du capital investi qui est très élevé en
2008, et qui traduit un équilibre financier précaire du fait d’une importance de
l’endettement car la vitesse de rotation est égale aux rotations de l’actif multiplié par
le coefficient d’endettement.
Tableau N° X : Calcul du coefficient d’endettement
Le niveau d’endettement est très important en 2008 mais il est très réduit en 2009.
Cet état de chose nous traduit la diminution du ratio de la vitesse de rotation du
capital investi en 2009. L a situation est satisfaisante pendant cette dernière année
avec la rotation un peu plus rapide.
80
III. Les ratios de rentabilité économique :
Parmi l’ensemble des ratios de rentabilité économique, deux ratios méritent d’être
analysés.
Le taux de rentabilité de l’actif progresse pour chaque année d’étude. Elle est très
significative en 2009. Ceci résulte de l’amélioration de la politique de dirigeant en
matière d’expansion commerciale et du fait de l’accélération des éléments d’actif.
R2 : mesure la rentabilité brute de l’entreprise. L’excédent brut au numérateur nous
renseigne sur le résultat économique et les capitaux engagés au dénominateur
donnent le montant de l’actif économique. Le ratio est correct pour l’année 2008,
mais il régresse en 2009 dû à la détérioration d’excédent brut d’exploitation.
81
IV. La rentabilité financière
82
Résultat net Chiffre d’affaires
Rentabilité financière = ---------------------------- X ------------------------
Chiffre d’affaires capitaux propres
= marge nette x rotation de capital investi
Ces deux derniers ratios indiquent la rentabilité suivant les besoins des prêteurs. La
rentabilité commence à être satisfaisante à partir de 2009 du fait de la diminution des
dettes et des charges financières.
83
CHAPITRE II : SUGGESTIONS POUR L’AMELIORATION DE LA SOCIETE
Cette partie constitue un essai sur la résolution des problèmes afférents à l’activité
de la SECREN.
Les problèmes humains ont une place majeure dans le commerce, il ne s’agit pas
que de technique. Le rendement sera également fonction d’un doigté qui aura son
importance aussi dans le choix des hommes que dans leur gouvernement.
Les impératifs d’une entreprise dans sa gestion du personnel consistent en la
formation et au perfectionnement de son personnel. Les entreprises doivent être
soucieuses de la formation et du perfectionnement de leur personnel spécialisé : ce
qui, pour ceux qui aspirent à en faire partie, est à la fois un investissement et un
encouragement.
Les sociétés veulent compter sur les qualités humaines, le bon esprit, la bonne
volonté, le sens de l’adaptation de leurs équipiers, voyageurs entrainés, bons
84
psychologiques sachant comprendre, approcher, traiter au mieux avec les clients
qu’ils doivent informer et convaincre.
Quant aux qualités professionnelles, elles tiennent à un constant perfectionnement,
théorique et pratique, des connaissances commerciales et des langues étrangères.
L’exercice de l’activité de la SECREN-SA est très particulier. C’est un métier qui
nécessite une technique qui s’acquiert sur le terrain, une spécialité en la matière et
une connaissance générale.
Plus les employés se communiquent, plus les gens se comprennent, d’où une
ambiance de travail qui fait développer la société.
85
I.2. Communication interne et circulation :
Communiquer c’est aussi faire circuler l’information. Les outils et supports de cette
communication constituent une préoccupation permanente des dirigeants qui
pensent souvent que leurs actions ne sont pas suffisantes pour les salariés
C’est ainsi qu’il faudrait développer une presse d’entreprise, des moyens audio-
visuels et plus récemment des réseaux d’informations pour relayer les supports
traditionnels tels que l’affichage ou la note de service.
La communication évoque toujours la relation qui s’établit autour d’un message entre
un émetteur et un récepteur. Ce terme prend un sens élargi au cours du vingtième
siècle et notamment sur la valeur scientifique à travers les premières formulations
des théories de la communication. La communication d’entreprise se développe dans
cette voie scientifique et c’est ainsi que son importance est mise en valeur.
Il appartient donc à tous les responsables de montrer à son personnel l’importance
de la communication au sein d’une organisation. Par ailleurs, un autre point de vue
méritera d’être traité : c’est le recrutement.
Sur ces quatre étapes, la troisième, c'est-à-dire la sélection, est la plus importante et
qui attire la plus d’attention. C’est la baes d’un recrutement strict.
86
Cependant, les trois autres ne sont pas négligeables pour l’efficacité du recrutement.
Logiquement, la sélection découle d’une constatation de faits. Il n’existe aucune
méthode de sélection qui permette une certitude, aucun instrument de sélection
parfait. En conséquence, toute méthode de sélection est un « test » : c'est-à-dire
qu’elle compare les individus à sélectionner avec un modèle préétabli du candidat
souhaité au moyen d’un critère (profil du poste)
Nous comprendrons que, de plus en plus, se précisant les règles auxquels les
entreprises se réfèrent et se confrontent pour sélectionner le personnel à admettre
dans leur service. Elles exigent notamment : garantie de moralité, conscience
professionnelle, références contrôlables, santé, situation de famille (pour liberté
d’action et frais de déplacement), examen d’essai spécial à l’entreprise, aptitudes
aux problèmes humains et relations sociales, facilité d’adaptation, vivacité d’esprit,
sens psychologique, présentation impeccable,… et bien entendu connaissance des
langues étrangères usuelles. Par contre, on éloignera les candidats à caractère
instable, les nerveux, revêches, inquiets.
Il faut donc considéré que tous les instruments de sélections sont seulement des
aides à la décision d’embauche. Il faut toujours garder plusieurs personnes pour
pouvoir comparer les résultats. En tout état de cause, leurs résultats contiennent
implicitement la certitude d’un pourcentage d’erreurs quand ils sont appliqués sur
une série de cas.
Par conséquent, un recrutement strict signifie choisir une méthode qui entraînera la
moindre erreur. Les éléments de sélection disponibles doivent autant que possible
être stables. Ils mesurent biens la même chose à des instants différents dans le
temps ou suivant les utilisateurs différents.
87
Ces éléments doivent être aussi valides, c’est-à-dire qu’à un score élevé, ou bas,
correspond bien à la présence élevée ou basse du prédicateur chez l’individu en
question. Les principaux éléments de sélection sont les suivants :
• Les questionnaires biographiques à remplir par le candidat dont l’analyse
peut être précédé par le tri du curriculum vitae fournis simultanément ;
Ce dernier pourrait cibler un groupe de candidat avec plus de précision
(expériences, qualifications précises)
• Les tests : si le moyen de sélection le plus utilisé en pratique est bien
l’entretient d’embauche, le plus célèbre est sans doute le test
psychotechnique. Le test est un moyen de sélection, comme les autres,
conduisant à acquérir des données sur le candidat avec un pourcentage
d’erreurs inévitable ;
• L’entretient d’embauche ou interview qui est l’outil de sélection le plus
fréquent. Sa pratique est de connaître les hommes et de savoir les
reconnaître à première vue.
L’étape finale d’un recrutement est le placement du candidat recruté à son poste :
« le mettre dans le bain ». Les responsables pensent maintenant à son
apprentissage et sa motivation.
II.2. La motivation :
Très souvent, parler de motivation sous-entend argent, mais ce n’est pas le seul
moyen pour motiver. Nous devons donc analyser les motivations, ce qu’elles
signifient pour les individus, à travers leurs discours conscients (motifs, enjeux) ou
moins conscients (pulsions, passions, scénarios implicites). Il faut prendre en compte
les divers facteurs de motivation : symbole honorifique (médaille de travail),
88
communication interpersonnelle, ambiance de travail d’équipe, respect envers le
supérieur hiérarchique.
Pour toute société, le choix d’un investissement est le fruit d’une longue étude tant
au niveau financier qu’au niveau d’exploitation, voire même le côté rendement. Un
projet d’acquisition de matériel (véhicule de service, engins,…) suppose la solution
d’investir dans de nouvelles acquisitions.
Pour bien placer cette entreprise dans une large compétitivité et construire sa
croissance, elle doit améliorer sa production et soutenir l’évolution de son chiffre
d’affaires. Elle pourrait parvenir à cette objectif grâces à des efforts d’amélioration
d’organisation et des diverses actions commerciales telles que :
89
L’amélioration des procédures d’activité et de l’organisation de la production sont les
premiers facteurs qui diminuent les charges de cette entreprise. Pour ce faire, elle
doit améliorer tout d’abord sa gestion de stocks notamment :
• Sur la commande ;
Elle doit réduire le coût de possession de stocks par la rotation la plus élevée
possible de stocks. Mais elle doit diminuer en même temps le coût de rupture de
stocks pour réduire des risques. Cela suppose une connaissance parfaite des
rythmes de consommation de stocks et de délais de livraison. La commande doit être
déclenchée dès que le seuil de stocks outils en matière stratégiques est atteint.
90
• L’identification des clients insolvables ;
• Le déplacement sur place auprès des clients mauvais payeurs pour discuter
directement avec le responsable ;
Le non paiement de ses clients entraine une lourde charge pour la société. Voilà
pourquoi nous recommandons d’améliorer ces procédures de suivi de ses créances.
En terminant cette deuxième suggestion, la réduction des charges financières
constitue la marque de l’efficacité de la direction financière. Les charges financières
représentent le coût de financement à court et à long terme de la société.
Donc, il est à conseiller si possible de rechercher le financement moins coûteux pour
renouveler ses équipements de productions et satisfaire les besoins dans son
activité.
I. La planification de croissance :
91
I.2. La stratégie de pénétration du marché :
Dans ce cas, la société cherche avant tout à développer les ventes de ses produits
actuels sur ce marché grâce à l’effort marketing plus soutenu. Trois solutions sont
possibles :
• La société essaie de pousser ses clients à accroître leur niveau d’achat ;
• La société s’efforce de détourner les consommateurs des concurrents ;
• La société essaie de convaincre les consommateurs utilisateurs.
92
I.5. La stratégie de croissance par intégration :
Une telle stratégie se justifie si le domaine d’activité considéré est appelé à un fort
taux de croissance ou si la société espère accroître sa rentabilité, son efficacité ou
son contrôle en intégrant certains éléments de son système marketing. Trois
systèmes d’intégrations sont proposés pour améliorer le système de distribution des
produits :
• Intégration en amont : Une telle stratégie consiste pour la société à mieux
contrôler et éventuellement à racheter ses fournisseurs ; Par exemple, une
société dépend essentiellement deux types de fournisseurs, une autre société
peut avoir intérêt à intégrer ses activités en amont si ces fournisseurs ont un
rythme de croissance et un taux de rentabilité élevé, ou si le coût
d’approvisionnement est très incertain pour l’avenir.
• Intégration en aval : Elle consiste à mieux contrôler et éventuellement à racheter
le distributeur. ;
• Intégration horizontale : L’intégration consiste en fin, à mieux contrôler et à
racheter certains de ses concurrents. Par exemple, une société ayant observée
que certaines petites concurrences obtient de bon résultats en réunissant
notamment à rattacher de jeunes talents, peut décider de rattacher ces sociétés,
afin de bénéficier d’un sang neuf.
A côté du type contrôle, que l’on peut appeler le contrôle du plan annuel, la société
met également en place le contrôle de rentabilité, qui consiste à examiner la
rentabilité de chaque produit, marché, secteur de vente et circuit de distribution ainsi
qu’un contrôle d’efficacité destiné à améliorer l’impact d’un franc investi dans le
marketing.
93
II.1. Le contrôle de plan annuel:
Elle consiste en un examen du chiffre d’affaire réalisée par rapport aux objectifs
préétablis.
Deux outils sont disponibles :
• L’analyse de la variation des ventes qui s’efforce d’identifier la
contribution relative de différents facteurs à un écart de chiffre d’affaire ;
• L’analyse de vente détaillée qui peut fournir la réponse. Elle a pour
objectif d’identifier les produits commerciaux.
94
• La part de marché global ;
• La part de marché servi ;
• La part de marché relative.
• La part de marché globale : c’est le rapport des ventes de la société sur les
ventes totales. Il est clair qu’une évolution en unité traduit une modification
des volumes de vente, alors qu’une mesure en valeur subit également
l’influence des prix
3. L’analyse financière :
95
A condition de savoir imputer les coûts marketing, il devient alors possible de
déterminer s’il faut développer, réduire ou maintenir tel ou tel aspect de l’activité
commercial.
Une analyse des coûts marketing ne suffit pas pour décider des actions
correctives à entreprendre. En général, l’analyse du coût marketing fournit des
informations sur la rentabilité respective des différents canaux de distributions.
96
CONCLUSION
Notre étude s’est basée sur l’analyse commerciale de la société. Cette société
rassemble plusieurs directions ainsi que des ateliers. Ces derniers permettent la
société de produire et d’atteindre son objectif prévisionnel de l’année. Chaque
Direction constitue des mains d’œuvres très qualifiées et expérimentées qui lui
permette d’avoir une bonne réalisation dans toutes ses tâches.
La Direction commerciale joue un rôle très important dans la société, c’est pour
cela que les clients se renseignent sur la faisabilité de leurs besoins et passent leurs
commandes.
Les travaux seront exécutés à la chaîne, chacun tient son poste et assume sa
responsabilité. La hiérarchie est respectée dans toutes les tâches. On peut dire que
tout est harmonisé dans cette Direction.
97
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES GENERAUX :
MEMOIRE DE MAITRISE :
• ASARA José Martial : « ETUDE DE PROJET DE CREATION D’UN SUPER
MARCHE », dans la région DIANA, commune Urbaine de Diego-Suarez,
page 30, 32. Nombre de page : 105, année 2005 ;
• RAKOTONDRAVONY Viviane : « COMMERCIALISATION DE LA
VANILLE», cas de la société SOAVANIO Sambava, page 55, 58. Nombre
de page 100, année 2002 ;
• VELONJARA Elie Florence : « POLITIQUE DE FIDELISATION DE LA
CLIENTELE », cas de la société SCIM, Antsiranana, page 45, 49. Nombre
de page 113, Année 2004 ;
SUPPORTS PEDAGOGIQUES :
• Cours de marketing de Monsieur Ralambomanantsoa Patrick, 4ème année
Gestion de l’Université de Toamasina, année 2008-2009 ;
98
• Cours de management de Monsieur HORACE Gatien, 4ème année Gestion
de l’Université de Toamasina, année 2008-2009 ;
• Cours de droit des affaires de Monsieur INDRAY Grégoire Arson, 4ème
année Gestion de l’Université de Toamasina, année 2008-2009 ;
99
ANNEXES
100
Annexe I : Productions des trois dernières années (2007, 2008, 2009)
101
102
103
Annexe II : Devis
104
Annexe III : Facture
105
106
107
108
109
110
Annexe IV : Fiche de revient
111
Annexe VI : Figure de Bassin de Radoub
112
REPERTOIRES DES TABLEAUX
113
TABLE DES MATIERES
SOMMAIRE
INTRODUCTION ........................................................................................................ 4
PREMIERE PARTIE : «GENERALITES SUR L’ENTREPRISE ».............................. 7
CHAPITRE I : LA SECREN-SA ET SA STRUCTURE ............................................... 7
SECTION I: HISTORIQUE ............................................................................................. 8
SECTION II: NATURE JURIDIQUE ................................................................................ 11
SECTION III : LA STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ..................................................... 12
I. Le conseil d’administration : ............................................................................ 14
II. Le directeur général : ..................................................................................... 14
III. Les services et les départements attachés directement à la direction générale
de la SECREN-SA : ........................................................................................... 15
SECTION IV : LES DIRECTIONS SECTORIELLES : .......................................................... 18
I. La direction administrative et financière .......................................................... 18
II. La direction de ressources humaines............................................................. 20
III. La direction commerciale .............................................................................. 20
IV. la direction de réparation navale ................................................................... 21
V. La direction de construction navale et diversification ..................................... 22
VI. La direction d’appui technique .................................................................... 22
VII. Bureau d’étude ............................................................................................ 23
CHAPITRE II : L’ACTIVITE ET SON ENVIRONNEMENT ....................................... 23
SECTION I. LA SPECIFICITE DE L’ACTIVITE DE LA SECREN-SA .................................... 23
I : La réparation navale ...................................................................................... 23
I.1. Le carénage .............................................................................................. 24
I.2. Les travaux d’avaries ............................................................................... 24
I.3. Les travaux d’intervention ......................................................................... 24
II: La construction navale ................................................................................... 24
III : Les travaux de maintenances industriels et de diversifications .................... 25
IV. Importance de l’activité de la SECREN-SA dans notre économie ................ 26
IV.1. Les moyens de production ..................................................................... 27
V. La clientèle et les conditions de ventes ......................................................... 29
V.1. Les procédures à suivre pour les travaux effectués à la SECREN-SA ... 30
V.2. La condition de vente .............................................................................. 31
SECTION II : LES RESSOURCES HUMAINES.................................................................. 32
I. Le recrutement ................................................................................................ 32
II .La gestion et l’administration du personnel .................................................... 34
II.1. L’administration du personnel .................................................................. 34
II. 2.La gestion de rémunération : ................................................................... 35
CHAPITRE III : LES MISSIONS ET ATTRIBUTIONS DES CADRES DE LA
DIRECTION COMMERCIALE .................................................................................. 37
SECTION 1 : LE DIRECTEUR COMMERCIAL......................................................... 37
I. Politique commercial ....................................................................................... 38
114
II. Développement .............................................................................................. 38
III. Ventes ........................................................................................................... 38
IV. Budgets commercial et suivi des résultats .................................................... 39
V. Administration des ventes.............................................................................. 40
VI. Qualités ........................................................................................................ 40
VII. Etudes et projets .......................................................................................... 40
SECTION 2 : LES CHEFS DE DEPARTEMENTS ............................................................... 41
I. Chef de département vente ............................................................................. 41
II. Chef de département devis ............................................................................ 43
III. Chefs de services.......................................................................................... 44
III.1. Chef de service tarification :.................................................................... 44
III.2. Chef de service accueil / clientèle : ......................................................... 45
III.3. Chef de service facturation ..................................................................... 46
III.4. Chef de service devis.............................................................................. 47
III.5. Secrétariat .............................................................................................. 48
DEUXIEME PARTIE : «LE COMMERCE DE LA SECREN-SA» ............................. 50
CHAPITRE I : LES OUTILS DE L’ANALYSE COMMERCIALE ET MARKETING .. 51
SECTION I .LA FONCTION COMMERCIALE DE LA SOCIETE .............................................. 51
I. Département vente.......................................................................................... 52
I.1. Politique du Département Vente .............................................................. 52
I.2. Son objectif .............................................................................................. 53
II. Service élaboration tarif ................................................................................. 53
II.1. Les étapes à suivre : ............................................................................... 53
II.2. Etablissement d’un devis ......................................................................... 53
II.3. La réalisation d’un devis proprement dite ................................................ 54
III.4. Les conditions générales de vente ........................................................ 55
III .Le service facturation .................................................................................... 57
III.1. Facture d’Acompte : ................................................................................ 57
III.2. Facture projet : ........................................................................................ 57
III.3. Facture finale : ........................................................................................ 57
SECTION II. L’ANALYSE MARKETING ........................................................................... 58
I. Notion en marketing ........................................................................................ 58
II. Rôles du marketing dans l’entreprise et dans l’économie .............................. 58
III. Marketing à la SECREN-SA .......................................................................... 58
III.1. Missions et attributions du chef de département Marketing .................... 59
III.2. Les stratégies marketing utilisées au sein de la société ......................... 60
III.3. Les outils marketing de la SECREN-SA ................................................ 62
III.4.Les différentes méthodes utilisées pour assumer leurs tâches................ 63
III.5. Les éléments qui entrent dans l’analyse de la concurrence :.................. 63
IV. Les clients potentiel de la SECREN-SA....................................................... 64
IV.1. Les Clients Internationaux : ................................................................... 64
IV.2. Les clients Nationaux : ........................................................................... 65
V. Les principaux concurrents et leur faiblesses ............................................. 65
SECTION III. LE SYSTEME DE FIXATION ET POLITIQUE DE PRIX DE LA SECREN-SA ........ 66
115
I. Importance de prix .......................................................................................... 66
II. Fixation de prix ............................................................................................... 67
II.1. A partir du prix de la concurrence : .......................................................... 67
II.2. Egal au prix du marché : .......................................................................... 67
III. Le processus de fixation de prix .................................................................... 68
III.1. Déterminer l’objectif ................................................................................ 68
IV .La stratégie de prix de la SECREN-SA......................................................... 71
IV.1. Le prix de pénétration : .......................................................................... 71
IV.2. Le prix de défense : ................................................................................ 71
IV.3. Le prix directeur ...................................................................................... 71
CHAPITRE II : LES CRITERES D’ACHAT DE LA SOCIETE.................................. 72
SECTION I: L’ACHAT ................................................................................................. 72
SECTION II. LES PRIX ............................................................................................... 73
SECTION III. LES DELAIS DE LIVRAISON ...................................................................... 73
SECTION IV. LES CONDITIONS DE PAIEMENT ............................................................... 73
TROISIEME PARTIE : « ETUDE DE RENTABILITE ET LES SUGGESTIONS » ... 74
CHAPITRE I : ETUDE DE RENTABILITE DE LA SOCIETE ................................... 75
SECTION I : ANALYSE DE RENTABILITE .................................................................... 69
SECTION II : MESURE DE RENTABILITE..................................................................... 75
I. La rentabilité commerciale ........................................................................... 76
II. La rentabilité économique ........................................................................... 77
CHAPITRE II : SUGGESTIONS POUR L’AMELIORATION DE LA SOCIETE ....... 84
SECTION 1 : L’AMELIORATION DE LA GESTION INTERNE ................................................ 84
I. Formation en communication d’entreprise : .................................................... 85
I.1. Communication interne et compréhension :.............................................. 85
I.2. Communication interne et circulation : ...................................................... 86
II. Recrutement/ Motivation ............................................................................... 86
II.1. Recrutement strict : .................................................................................. 86
II.2. La motivation : ........................................................................................ 88
II.3. Dotation en matériels : ................................................................................ 89
SECTION II : L’AMELIORATION DE LA PRODUCTION ET DU CHIFFRE D’AFFAIRES ............... 89
SECTION III : LA MISE EN ŒUVRE D’UNE PLANIFICATION DE CROISSANCE ET DE CONTROLE
.............................................................................................................................. 91
I. La planification de croissance : ....................................................................... 91
I.1. La stratégie de croissance intensive : ...................................................... 91
I.2. La stratégie de pénétration du marché : ................................................... 92
I.3. La stratégie d’extension de marché : ........................................................ 92
I.4. La stratégie de développement de produit : .............................................. 92
I.5. La stratégie de croissance par intégration : .............................................. 93
II. Mise en œuvre et contrôle ............................................................................. 93
II.1. Le contrôle de plan annuel:...................................................................... 94
III. Le contrôle de rentabilité : ............................................................................. 95
III.1. L’analyse du coût marketing: .................................................................. 96
III.2. Identification des actions correctives : .................................................... 96
116
CONCLUSION ......................................................................................................... 97
BIBLIOGRAPHIE ..................................................................................................... 98
ANNEXES .............................................................................................................. 100
REPERTOIRES DES TABLEAUX ......................................................................... 113
117