Tunisie: Recherche Et D'irrigation Avec Des Eaux Salées
Tunisie: Recherche Et D'irrigation Avec Des Eaux Salées
Tunisie: Recherche Et D'irrigation Avec Des Eaux Salées
Tunisie
Recherche et formation en matière
·d'irrigation avec des eaux salées
1962·1969
Rapport technique
'I\UNISIE
1962 - 1969
RAPPORT TECHNIQUE
Tech.Rpt./Unesco/UNDP(SF) Paris
TUN.5 août 1970
(Publié également en
anglais)
SOM MAI R E
Pages
AVANT - PROPOS l
Bibliographie III
" IV
INTRODUCTION l
A. LE PROJET l
1. Importance de l'eau saumâtre dans l'agriculture tunisienne l
a. L'agriculture dans l'économie nationale l
b. Les périmètres irrigués et les eaux d'irrigation 2
2. Le centre de recherches sur l'utilisation de l'eau salée
en irrigation 3
a. Objectifs 3
b. Méthodes et moyens 4
3. Déroulement des opérations 5
B. AGENCEMENT DU RAPPORT 6
A V A N T - PRO P 0 S
Les résultats des travaux accomplis par le Centre ont été présen-
tés à un Séminaire organisé à l'initiative du Gouvernement tuni-
sien pour informer les responsables de ses services agricoles et discuter
les conclusions à la lumière de l'expérience acquise par des chercheurs
d'origines diVerses.
Les séances ont été suivies par plus de 250 spécialistes dont 150
étaient venus de 15 pays j parmi ces ingénieurs se trouvaient plu-
sieurs Directeurs et codirecteurs de projets de la FAO, et des représentants
de grandes organisations de recherches de divers pays européens et méditer-
ranéens ainsi que des Etats-Unis.
C concentration, en g/l ;
D dose, en mm ;
P pente, en %0 ;
S.A.R. "Sodium-Absorption-Ratio" == Na+/V(Ca++ + Mg++)/2 ; Na+, Ca++
et Mg++ sont exprimés en milliéquivalents par litre
Bibliographie
l N T R 0 DUC T ION
A. LE PROJET
a. OBJECTIFS
Par ailleurs, il est établi que toutes les cultures ne sont pas
aussi sensibles les unes que les autres à la salure. Il s'agit
donc de déterminer la sensibilité des Qiverses cultures et de proposer des
méthodes de production économiquement intéressantes et agrologiquement cor-
rectes.
b. METHODES ET MOYENS
L'accent a été mis en général sur l'étude des problèmes en plein
champ. Cette méthode a certains désavantages :
Les essais effectués sur les stations expérimentales ont été suivis
très méthodiquement par des analyses de laboratoire. Compte tenu
du nombre considérable d'échantillons à traiter, des laboratoires de chimie,
de physique du sol et de physiologie végétale ont été spécialement prévus
dans le batiment central, construit pour le projet à Ariana {Tunis).
.
Le calendrier des travaux ne présente pas d'intérêt majeur, il
faut seulement noter que l'infrastructure du bâtiment central et
des stations expérimentales principales a été réalisée en 1963-64.
L'exécution du programme d'études a effectivement débuté au printemps 1964.
Ce Conseil, qui s'est réuni deux fois en 1963 et ensuite une fois
par an à partir de 1965, a eu comme tâche de définir le programme
de recherches, d'étudier les résultats obtenus qui sont présentés dans les
rapports annuels, de les évaluer en vue de leur application pratique et de
recommander éventuellement une extension des essais.
B. AGENCEMENT DU RAPPORT
Le présent rapport donne une vue d'ensemble sur les travaux effec-
tués par l'équipe des experts et des homologues; il ne peut pas
contenir le détail des résultats obtenus pendant cinq années de recherches,
l'abondance des données traitées ne peut qu'être évoquée.
A. LES STATIONS
Dès le début du projet trois stations ont été implantées dans des
secteurs dont les sols et climats ont des caractéristiques diffé-
rentes à sa~oir :
Salure moyenne
Station (x) de l'eau Pluviosité
Terre
(mm/an)
(g/l)
Tozeur (:JE ~)
sable gypseux 2,1 90
(Helba)
a. CONDITIONS NATURELLES
(1) Sols'
(a) Texture
Les analyses granulométriques effectuées sur les sols des stations
ont conduit, d'une part à définir la texture de ces sols, d'autre
part à dresser les cartes des taux d'éléments fins à différentes profondeurs
oe qui est apparu nécessaire en raison d'une hétérogénéité marquée dans la
composition des sols de chaque périmètre.
(b) ~:~~!~~_~EE~~:~~~
Les graphes de la figure I.A-f4 indiquent la densité apparente en
fonction de la profondeur pour les différentes stations. Pour ten-
ter de définir quantitativement la structure des sols, on a procédé en pre.-
mier lieu à des déterminations de la densité apparente à diverses profon-
deurs sur les différentes stations (figure I.A-f14). Exception faite de la
couche de surface, les sols de Che.r'fech et de Messaoudia ont des densités
apparentes de 1,5 à 1,6, les valeurs plus basses oorrespondant en général à
des textures plus légères, les valeurs plus élevées à des textures plus ar-
gileuses. Bien que la texture de Nakta soit plus légère que celle des sta-
tions précédentes, la densité apparente est de l'ordre de 1,6. C'est le sol
de Ksar Ghériss, qui montre les valeurs les plus élevées, de l'ordre de 1,7,
bien qu'il y ait également des parties, où la densité apparente est un peu
moins élevée, de l'ordre de 1,6. En revanche, le sol de Tozeur a la densité
apparente la plus basse de toutes les stations (1,3 à 1,4).
2°) les travaux de plusieurs auteurs ont montré que le taux d'hu-
midité du sol après ressuyage est susceptible de varier en fonc-
tion des conditions antérieures d'humectation. C'est pourquoi il est recom-
mandé d'effectuer les mesures après que le sol est demeuré à l'état humide
pendant une période assez longue : en hiver ou au début du printemps par
exemple en pays tempéré. Les mesures effectuées après une période de séche-
14
(2) Eaux
Le cas particulier du bore n'a pas été envisagé; en effet des étu-
15
des antérieures ont montré que le bore, étant en très faible quantité, ne
pose pas de problème dans les régions où les essais sont installés.
(3) Climats
A Tozeur les valeurs indiquées par le bac A2, placé à l'ombre des
palmiers (oasis), sont environ les deux tiers de celles indiquées
par le bac A2 placé à l'extérieur de l'oasis (chott).
b. EQTJIPEMENT
(1) Irrigation
Il fallait rechercher:
(2) Drainage
B. ESSAIS ET ETUDES
1. PRESENTATION DI ENSEMBLE
- fumure organique
- fumure phosphatée
- défoncement
- inoculation de la luzerne
- façons culturales
- Salures
a b
En connaissant :
EC s = EC e SP
Hs
Cs = f(EC s )
Un abaque a été construit à partir de ces formules (Fig. II B-fl) •
Ces formules ne doivent pas servir à calculer EC s et Cs à partir
de la conductivité de l'eau d'irrigation" (ECi).
-IIQualité d'eau"
Comme les eaux employées dans les essais où elles sont la seule
variable, ont des pourcentages d'ions constants dans le temps,. il
n'y a eu lieu de ne retenir pour:
- les études sur la salinité que la teneur en sel (g/l)
Il Il Il l'aloalinité que le SAR.
- Dose et fréquence
La quantité d'eau (A) apportée à une surface cultivée doit néces-
sairement être ramenée à une base de temps (B) par exemple le cy-
cle végétatif, une phase de la vie du végétal, un mois •••• etc. (A/B) qui
peut être oonsidérée oomme une seule dînnée a pour dimensions L3T_l et en
raisonnant par unité de surface : L.T- •
Régime d'apport
Par exemple un régime défini par le couple (Dit 5,5, T = 12) est
représenté par le point RI, il implique la distribution par inter-
vention d'une tranche d'eau d'épaisseur comprise entre 50 et 75 mm (exacte-
ment 66 mm).
- Modes d'irrigation
Remarques liminaires :
- Ce sont en effet des méthodes d'irrigation de surface qui ont toujours été
utilisées pour les essais formant la base du programme. L'aspersion n'a
été employée qu'à titre d'essai exploratoire et assez tardivement dans le
déroulement du projet, car ce procédé avait été écarté au début des travaux
21
L'eau est arrêtée en tête peu avant que le front d'avancement at-
teigne l'extrémité de la parcelle.
Le terrain est façonné en carrés d'un are environ séparés par des
bourrelets. Cette dimension a été choisie compte tenu du débit
adopté (5 à 10 l/s) de manière à garantir. même pour les plus
faibles doses. une bonne couverture du sol par la lame d'eau et
donc une homogénéité correcte.
Remarques
sure le dessalement.
- Pour une valeur donnée de Dit, la salure du sol variera d'autant moins
dans le temps et en particulier les maxima seront d'autant moins marqués
que la période sera plus réduite.
Exemple
Les apports par unité de temps que .nous désignons par dose (D)
pour la raison exposée en I.B.2 ont été repérés sur l'évapotrans-
piration moyenne mesurée sur une parcelle bien drainée et en régime inten-
sif, qui sera désignée ici par l'expression "consommation maximale en plein
champll. Cette consommation correspond en principe à. la dose désignée par D2
et prise pour base 100.
Remarque
D2 n'a été pris systématiquement égal à la consommation maximale
en plein champ que dans les essais lIdose et fréquence ll . Pour les
autres essais D2 a une signification différente, mentionnée dans le texte
en temps utile. .
C. METHODES DE TRAVAIL
Pour les études dont le principe a été retenu dès le début du projet il
fallait obtenir
1. METHODES STATISTIQUES
a. Plan d'essai
Sur trente essais qui peuvent être signalés par leur importance
ou leur durée dix sept sont en Blocs Complets Randomisés et treize
en Blocs avec parcelles subdivisées. Tous les essais en grandes parcelles
sont en Blocs Complets Randomisés.
b. Traitements
Dans le choix des traitements, chaque fois que cela a été possible,
le schéma factoriel a été préféré à la simple étude de traitements
différents : de cette façon pouvaient être mis en évidence les effets princi-
paux des facteurs étudiés ainsi que leur interaction. Cette façon d'opérer a
fourni plus de renseignements que les simples comparaisons de traitements
deux à deux.
c. Nombre de répétitions
Les essais de base ont toujours été conduits en six, sept ou huit
répétitions selon le nombre de traitements et, malheureusement
quelquefois aussi, les possibilités matérielles, mais toujours de façon à
permettre une estimation de la variance résiduelle à dix huit ou. vingt de-
grés de liberté, au strict minimum quinze (dans trois cas seulement).
Une exception doit être signalée dans les essais de base: c'est
l'essai qualité d'eau. Il est en quatre répétitions, implanté en
Blocs Complets Randomisés. Pour des raisons matérielles (difficultés de
mise en place) il n'a pas été possible de porter le nombre de répétitions
à plus de quatre. De toute façon de grosses différences étaient attendues
et plus de quatre répétitions n'ont pas été jugées indispensables lors de la
planification. La suite a d'ailleurs montré que cette vue était juste.
d. Analyse statistique
Ces analyses n'ont posé aucun problème particulier, elles ont tou-
jours été très correctes au point de vue précision : la grande ma-
jorité des coefficients de variation observés se sont situés autour de 8 ~
à 12 ~, parfois 15 ~ pour les cultures, de 13 ~ à 15 ~ ou de 15 ~ à 17 ~
pour les variables chimiques, en particulier la conductivité électrique. A
posteriori on peut d'ailleurs dire que si cette précision a été satisfaisan-
te sur le plan recherche (elle a permis de voir des différences et de situer
leur importance), elle a été presque trop grande sur le plan pratique puis-
qu'elle a permis de voir des différences qui étaient, pour la conductivité
électrique par exemple, inférieure ou égale à l mmho, ce qui est dans la pra-
tique agricole une limite inférieure extréme en dessous de laquelle il est
inintéressant de descendre.
a. Prélèvement
b. Analyses
Les calculs à partir des données numériques fournies par les labo-
ratoires étaient effectués très rapidement pa;' la section spécia-
lisée de manière à pouvoir le cas échéant revenir sur une analyse ayant
conduit à un résultat aberrant.
• 29 •
- Salinité
Alcalisation
32
1. SALINITE
a. Influences de différents facteurs
(1) Qualité de l'eau
Evolution de-la salure
(a) ECe
(b) Ions
(2) Dose et fréquence
(a) Sols argileux à limono-argileux
(i) Essai "dose-fréquence"
-DFl et DF2 à Cherfech
-DFl et DF2 à Messaoudia
(11) Essai "dose" (Dr) à Cherfech
(i11) Essai "lessivage d'hiver" à Cherfech
(b) Sols sablo-argileux
(i) Essai "dose - fréquence" : DFl.DF2.DF3 à Nakta
(11) Essai "lessivage d'hiver" à Nakta
(c) Sols sableux
Essai "dose - fréquence" : dfc, dfb, DFC, DFB à Ksar Ghériss
(3) Mode d'apport
(a) Salure et mode d'épandage
(b) Salure et distance depuis l'origine de la parcelle
(c) Salure dans un billon
(i) Profil du billon
(ii) Orientation du flanc du billon
b. Exemples d'évolution de la salinité
(1) Cas d'un sol surirrigué
(2) Lessivage de sols très salés
(a) Utique
(b) Tozeur
~. Efficacité du lessivage
(1) Description de la méthode utilisée
(2) Tozeur
(3) Cherfech
2. ALCALISATION
1. SALINITE
Dans ce qui suit, l'accent n'a volontairement pas été mis sur les
cultures. La nature de celles-ci et les apports d'eau sont donnés
en annexe (tableaux II A-t20 à 27).
l
Luzerne Luzerne Luzerne Trèfle Ma'!s Fèves Piments
(planche) (planche) (planche) (planche) (billon) (billon (billon)
Maïs Ray-grass Ma'!s Ray-grass Pastèque Betterave Artichaut
II (billon) corrugation corrugation
(billon) (billon) (planche) (billon)
Sorgho- Sorgho- Sorgho-
III fourrager Bersim fourrager Bersim fourrager Bersim Tomates
(planche) (planche) (planche) (planche, (billon)
(planche) (planche)
Les irrigations ont été faites avec quatre catégories d'eau diffé-
rant entre elles par la teneur en sels totaux. Les eaux disponibles
étaient celle de l'oued Ellil. celle de l'oued Medjerdah et celle d'un puits
situé sur la station. Les quatre qualités d'eau ont été obtenues de la façon
suivante
A Eté et 0,3 0,2 1,1 0,7 1,1 1,5 0,4 0,1 0,8 0,8
Hiver
B Eté 2,2 1,4 12,9 8,0 1,8 6,6 3·, l 0,1 13,0 5,~
Hiver 1,8 1,1 10,0 6,2 1,4 5,3 2,5 0,1 10,0 5,1
C Eté 3,7 2,5 23,1 14,3 2,3 11,2 5,5 0,2 22,9 7,9
Hiver 3,2 2,1 19,1 Il,8 2,0 9,4 4,4 0,2 19,0 7,2
D Eté 5,4 3,6 33,1 21,1 2,7 16,3 8,9 2,6 30,8 8,7
Hiver 4,9 3,3 30,5 19,4 2,5 15,0 8,2 2,4 28,3 8,3
Evolution de la salure
(a) ~~_~~~~~~~~~~~~_~!~~~~~9~:_~~_!~:~~~~~~_~:_~~~~~~~!~~
L'examen de l'évolution de la salure du sol sur une profondeur de
l,50 m fait ressortir que les quatre traitements ont amené rapide-
ment les sols à des salinités nettement différentes, et que les quatre soles
ont réagi de la même façon (figure II.A-fl). Toutefois, bien que le sens gé-
néral de cette évolution soit le même, le niveau de salure atteint à chaque
époque diffère suivant la sole considérée étant donné que la rotation des
cultures n'a pas été la même pour chaque sole. Les évolutions de la salure
observées sont plus ou moins marquées suivant la profondeur : exemple la
sole l (figure II.A-f2). Dès la fin de la première saison d'expérimentation
-c'est-à-dire en automne 65 - les quatre traitements ont nettement marqué
dans les couches 0-40 et 40-80 cm. Les couches plus profondes (80-150 cm)
ne subissent que plus tardivement l'action des quatre qual:l:tés d'eau, et la
réponse est plus ou moins nette suivant les soles. Les différences entre les
ECe observées aux automnes successifs et les ECe constatées au départ dans
la couche 0-150 cm, ont augmenté régulièrement en valeur absolue depuis le
début Jusqu'à la fin de l'expérimentation pour tous les traitements à l'ex-
ception du B (tableau II.A-t3).
Tableau II,3-t3 Différence entre les EC e des automnes 65, 66, 67, 68 et
tes EC e du printemps 65 (couche 0-150 cm) en mmhos/cm
Epoque
(a) ~~!~_~~~!~~_~_!~~~~~:~~~!~~
Les essais ont été implantés à Cherfech et à Messaoudia ; l'eau
utilisée titrait 2 g/l dans les deux cas. Le programme d'expéri-
mentation réalisé comprenait trois séries d'essais ayant chacune des objec-
tifs différents et se complétant à savoir : des essais "dose et fréquertct,:Il ,
des èssais "dose" et des essais "lessivage d'hiver".
- 'Essai DFI
Profondeur
en cm 0-20 20-40 40-80 80-120 120-150
Epoque
Couche .
'-,
cm P64 A64 P65 A65 p66 A66 p67 A67 P68 A68
0-40 1,4 3,2 2,4 4,8 2,5 4,4 2,4 4,3 1,9 5,4
40-80 4,5 4,3 4,2 5,5 3,8 3,9 3,1 3,8 3,6 4,1
80-150 9,8 7,7 7,0 6,9 6,9 6,1 6,1 5,3 5,7 5,4
- Essai DF2
L'expérimentation a été faite suivant le même schéma que celui de DFl. Les
rapports entre les trois doses ont été identiques mais la rotation des
cultures étant différente, les apports d'eau ont été moins importants pour
le DF2 en hiver.
Par contre. les doses (figure ILA-f8) ont marqué dans les couches
0-40 et 40-80 cm d'une façon nette pour l'essai DFl • plus atté-
nuée pour l'essai DF2 et dans le sens: Dl sale plus que D2 qui sale lui-
même plus que D3' Les différences de réponses aux traitements et de niveaux
de salure observées entre les deux essais sont dues au mode d'irrigation
qui a été tantôt le calant. tantôt le billon. L'application des doses pen-
dant une durée plus longue et la hauteut' de précipitation en hiver moins
importante qu'à Cherfech. expliquent qu'à Messaoudia la réponse au traite-
ment à "Dose" ait été significative alors qu'aucun effet n'a été enregistré
à Cherfech.
Cette expérience ne portant que sur deux années il n'est pas possi-
ble à la vue de ces premiers résultats. d'exclure la dose Dl en
faveur des doses ~ ou D3' Il est nécessaire de poursuivre les essais afin
de vérifier si dans les conditions de Messaoudia il ex~ste à long terme un
danger d'utiliser des apports aussi faibles que DIoU si au contraire les
niveaux élevés de salure obtenus par ces apports peuvent être rabaissés par
l'action des pluies et des irrigations d'hiver. ...
n'ont pas été irriguées. si la couche 0-20 cm s'est dessalée sous l'influ-
ence des pluies. le restant du profil accuse une augmentation de salure due
à la fois à l'accumulation des sels lessivés de la couche 0-20 cm et à la
remontée capillaire à partir de la nappe.
Dl 112,5 0 0 0 112,5
~ 112,5 97,5 0 0 210
D3 112,5 97,5 211 112 533
D4 157,5 122 2)5 157 731,5
Dl 127 0 0 0 127
D2 127 64 0 0 191
D3 127 64 86 86 ;1)3
D4 168 90 120 120 i~98
Comme pour les deux premiers essais la salure du sol dans la cou-
che 0-40 cm n'a pratiquement pas été influencée par les ~rai~e
ments (figure II.A-flO). Par contre un effet très marqué est apparu dans les
couches 40-80 et 80-120 cm : la salure du sol va croissante depuis les par-
celles ayant reçu le traitement D4 jusqu'à celles ayant reçu le traitement
Dl' Les apports d'eau d'irrigation ayant été sensiblement les mêmes que ceux
appliqués l'hiver précédent, notamment dans les traitements Dl et D2' il
semble qu'il faille imputer la différence de réponse entre les deux essais,
à la hauteur de précipitation qui a été inférieure au cours de l'hiver
68-69 et à la répartition des apports.
(i) Essai "dose et fréquence"
Les doses ont eu dans les trois essais un effet qui classe les
trois traitements toujours dans le même ordre Dl ' ~, D3'
L'intensité de cet effet n'est pas identique dans chacun des essais: les
différences observées ayant comme origine les différences d'apports d'eau
et les différences de consommation des cultures pratiquées. Ce qui est à
remarquer et qui est commun à chaque essai c'est que les salures atteintes
en fin d'été, si importantes soient-elles, ont pratiquement toujours été
rabaissées au cours de l'hiver: c'est une constatation importante car elle
signifie qu'il est possible de mattriser la salure.
- Les trois traitements ont marqué : L3 lessive plus que L2 qui lui-même
lessive plus que Ll' Mais les différences constatées en fin d'opération
sont faibles et compte tenu de l'importance des différences dans les apports
d'eau (350 mm entre Ll et L3) ce sont les considérations économiques qui doi-
vent dicter le choix du traitement.
- Dans les deux essais les premières irrigations, faites en Octobre et Novem-
bre r'ont pas provoqué de chute appréciable de la salure et le lessivage n'a
pratiquement commencé qu'à partir de Décembre pour se terminer fin Février -
début Mars. Ceci montre que pour obtenir le maximum d'efficacité des apports
en vuè de lessivage ces derniers doivent être effectués pendant l'hiver de
manière à bénéficier non seulement des pluies mais aussi de la réduction de
l'évapotranspiration.
- Parti de niveaux de salure t~ès différents aussi bien dans l'essai DF4 que
dans l'essai DL, on est arrivé en fin de lessivage, début Mars, à des salures
voisines de l'ordre de 6 mmho/cm. Il semble, qu'on ne soit plus très loin de
la valeur la plus faible pouvant etre obtenue dans le périmètre de Nakta
compte tenu de la qualité de l'eau disponible.
Des essais ont été faits à Ksar Ghériss. Le sol est un sol steppi-
que reposant sur un dépôt de texture moyenne riche en calcaire et
en nodules calcaires. Ce sont des sols sableux dans les parties supérieures,
sablo-argileux en profondeur. L'eau d'irrigation titre à 4,0 g/l.
Les doses ont eu sensiblement les mêmes effets dans les quatre essais
sur l'évolution de la salure du sol (fig. II.A-f13 et II.A-f14) :
dfc elles ont marqué presque à toutes les époques : les ni-
veaux de salure atteints se classent ainsi Dl) D2, D3 ou
Dl'> D2> D.3' mais les différences observées sont relativement faibles, de
0,7 mmho/cm en moyenne.
DFC elles ont très peu marqué, moins souvent que dans l'essai
en petites parcelles (dfc) et quand elles l'ont fait les diffé-
rences observées intéressent presque toujours uniquement la zone à nodules
calcaires et non les couches supérieures ce qui est la conséquence des ap-
ports d'eau plus importants dans l'essai en petites parcelles. Ces diffé-
rences indiquent dans la majorité des cas un classement des salures :
Dl,/ D2> D3' mais elles sont aussi très faibles, en moyenne 0,5 l1llTÙJo/cm.
Les fréquences ont très peu marqué aussi bien dans les essais en
petites parcelles, que dans ceux en grandes parcelles et quand
les différences significatives sont apparues entre les deux traitements Tl
et T2, le sens de l'effet est en faveur tantôt de la période courte, tantôt
de la période longue. Mais les différences observées sont, comme pour le
facteur "Dose", très faibles, en moyenne de 0,4 mmho (figures ILA-f15 et
IL1-fl6) .
(a) ê~!~~~_~~_~~~~_~~~E~~~~~
(i) études provenant de Ksar Ghériss
- planches
- billons.
Remarques
- Les résultats exposés ci-dessous proviennent soit d'essais spécialement
mis en place pour étudier l'influence du mode d'épandage sur la répartition
de l'eau et de la salure soit des essais "Dose - Fréquence". Dans ce dernier
cas on a pris la moyenne des traitements.
- Les billons qui variaient entre 12 et 15 cm de hauteur (cf. I.B.2) posaient
un problème pour ce qui concernait la couche 0-20 cm. Une expérimentation
spéciale a été réalisée afin de mettr'e au point une méthode de prélèvement
telle que l'échantillonnage soit représentatif de la dite couche.
- Les résultats proviennent de parcelles qui ont été irriguées durant toutes
les années d'observation selon un seul mode d'arrosage.
Mode d'épandage
Les études effectuées à Ksar Ghériss ont porté sur des planches
et des billons de 68 m de longueur, ayant une pente d'environ 8% ;
les débits engagés ont été respectivement de 20 à 30 l/s sur 12 fi de large
pour les planches et de 10 à 12 l/s sur 18 m pour les billons.
48
- pour les trois profils des différences très importantes de salure s'obser-
vent dans la couche 0-5 cm où la zone la plus salée est toujours le milieu
du billon, la salure diminuant ensuite graduellement en allant vers le sil-
lon. Ces différences se retrouvent encore, mais bien moins marquées dans la
couche 5-10 cm et disparaissent pratiquement à partir de 10 cm.
- les deux profils B et C provoquent la même salure.
- le profil A sale globalement plus que les autres.
1. Détail des EC e
0-5 'cm 4,3 4,8 4,4 6,2 16,7 21,5 14,8 9,2 5,7 3,8 3,5
cou- 4,1 4,1
5-10 cm 3,7 4,2 4,5 7,8 8,7 7,6 5,6 3,4 3,2
che
10-20 cm 5,6 5,5 5,3 6,3 7,2 7,0 6,2 5,4 4,5 4,5 4,9
Profil B
0-5 cm 3,5 4,5 3,7 9,9 14,5 17,1 14,8 16,1 5,3 3,1 4,2
cou-
5-10 cm 3,4 3,4 3,5 4;9 7,1 8,5 7,0 5,3 4,0 3,5 3,2
che
10-20 cm 5,2 4,7 4,3 5,1 6,0 5,2 5,9 5,8 4,5 4,7 3,9
Profil C
0-5 cm 3,9 3,7 8,2 12,2 14,8 11,3 10,9 5,0 3,1 3,9 4,3
cou-
che 5-10 cm 2,9 2,6 4,3 5,9 7,4 5,6 4,8 3,2 2,7 2,9 3,2
10-20 cm 4,6 3,4 3,7 5,4 5,5 5,5 4,4 3,8 3,9 3,5 4,4
Profil A 6,3
Profil B 5,7
Profil C 5,1
51
Tableau II.A-tlO Valeurs des ECe ' en mmho/cm, d.aml W'1 billon de m@me
profil à Cherfech, Ksar Ghériss et Nakta.
0-5 cm 3,8 3,8 3,7 5,0 6,9 6,7 6,6 5,6 3,0 3,1 3,0
cou-
che 5-lO cm 3,8 4,0 3,5 3,8 3,8 3,6 3,4 3,4 2,9 . 3,1 3,5
10-20 cm 4,3 4,3 4,1 3,6 3,6 3,6 3,4 3,2 3,5 3,9 4,1
Ksar Ghériss
Nakta
à Cherfeoh 4,0
à Ksar Ghér1ss 4,9
à Nakta 6,0
52
Eté Hiver
La salure a été suivie mois par mois de fJIai 1964 à Mars 1968 sur
une profondeur de sol de l,50 m qui pour l'exposé des résultats
est divisée en 3 couches: 0-40 cm, 40-80 cm et 80-150 cm. L'analyse complète
de l'extrait de saturation permet de conna!tre l'évolution de la salure du
sol par ECe et l'évolution de la concentration de chacun des principaux ions
à savoir: Cl-, S04--, HC03-' Ca++, Mg++, 1<+ et Na+.
- Les ions Cl- sont en quantité plus faible que les ions Na+, car une partie
de ces derniers provient de sulfate. Dans les trois couches étudiées l'é-
volution des ions Cl- et Na+ est pratiquement parallèle à celle de la sa-
lure : c'est en effet ces ions du fait de leur provenance de sels très
solubles qui conditionnent en majeure partie les variations de la salure
du sol. Dans la couche 0-40 cm les quantités d'ions Cl- et Na+ subissent
54
- Les ions s04--, dans la couche 0-40 cm, suivent la même évolution que cel-
le des ions Cl- mais avec des variations moindres; les teneurs dans l'ex-
trait de saturation sont en moyenne de lS,2 mé/l à la fin de l'été et 7,9
mé/l à la fin de l'hiver soit une variation de 10 mé/l entre les deux sai-
sons. En profondeur les quantités de s04--, qui sont de l'ordre de 25 mé/l
pour la couche 40-S0 cm et de 50 mé/l pour la couche SO-150 cm, sont res-
tées les mêmes pendant les trois premières années et ont diminué légère-
ment a~ cours de la dernière année.
- Les ions K+ proviennent de chlorure ; leur teneur moyenne est comprise en-
tre 0,2 et 0,6 mé/l j leur distribution dans le profil est inverse de cel-
le des autres cations, les horizons supérieurs étant plus riches que ceux
de profondeur par suite des apports d'engrais potassiques. Dans la couche
0-40 cm une variation saisonnière existe, comparable à celle des autres
cations, mais très peu marquée.
- Les ions HC03=- ont une distribution et une variation saisonnière inverse
de celle des autres ions : les quantités les plus importantes se trouvent
dans la couche 0-40 cm, et ces quantités diminuent en été et augmentent
en hiver. Les racines, tout au moins en majeure partie, sont localisées
dans la couche 0-40 cm et c'est dans cette zone que, par suite du phénomè-
ne de respiration, la tension du C02 de l'atmosphère du sol est la plus
forte et permet ainsi une formation plus importante de bicarbonate. De
plus en hiver, les couches supérieures du sol restant longtemps humides,
la diffusion du C02 vers l'extérieur est restreinte ce qui crée une aug-
mentation de la tension de ce gaz dans le sol et par voie de conséquence
une formation supplémentaire de bicarbonate. Ceci peut être à l'origine
des variations saisonnières constatées dans la couche 0-40 cm pour les bi-
carbonates. Ces variations sont en moyenne de l mé/l (2,7 mé/l en été,
3,9 mé/l en hiver). Dans les couches plus profondes la teneur des ions
HC03- reste sensiblement constante, de l'ordre de l à 2 mé/l.
Pour la couche 40-150 cm au contraire cette composition est à peu près cons-
tante au cours de 11a~née. Le tableau II.A-t12 donne la composition moyenne
des extraits de saturation au printemps et à l'automne: les valeurs indi-
quées sont les moyennes des prélèvements faits aux printemps 64, 65, 67 et
68, et aux automnes 64, 65, 66 et 67.
Ions mé/l
Couche
Epoque
cm Cl- 80 4 -- HC03- Ca++ Mg++ K+ Na+
~'évolution
de la. salure dans les couches supérieures du sol
(0-40 cm) a donc été tout à fait différente de celle constatée
d~~s les couches profondes (40-150 cm). Dans les premières on constate des
variations saisonnières importantes et régulières : augmentation de la salure
en été, diminution en hiver. Les secondes n'ont pratiquement pas marqué de
variations saison::üères mais ont subi un dessalement régulier au cours des
cinq années d'expérimentation.
La quantité d'eau drainée pendant l'hiver 65-66 (56 mm) n'a pas
fait baisser la salure du sol, au contraire on a enregistré une
augmentation de 0,4 mmho/cm. En revanche les 139 mm et 141 mm de drainage
des hivers 64-65 et 67-68 l'ont fait diminuer de 0,7 mmho/cm et les 200 mm
de l'hiver 66-67 de 0,9 mmho/cm. Dans ces trois derniers cas la salure du
sol a été ramenée à son niveau du printemps précédent. Dans les conditions
de notre étude la quantité d'eau drainée en hiver nécessaire pour éliminer
l'accumulation de sel produite au cours des cultures d'été s'est donc située
entre 56 et 139 mm. Une interpolation à partir de ces données indique, d'après
la figure II.A-f26, que cette quantité est de l'ordre de 80 mm.
(i) But
Tl s'agissait, par deux méthodes de calcul, de suivre l'évolution
dans le temps, du stock de sel dans un volume de sol défini.
Dates: Mai 1964, Juillet 1967, Août 1968 et Avril 1969. L'étude a
donc porté sur cinq ans.
En posant
Si Quantité de sels présents dans une couche n de sol à la date
initiale, en kg/ha
Sf Quantité de sels présents dans la même couche n de sol à la
date finale, en kg/ha
Ci Concentration de l'extrait de saturation de la couche n en
g/l, obtenue à partir de EC e de la couche n à la date initi-
ale (cf. 1. C. 3)
Cf Concentration de l'extrait de saturation de la couche n en
g/l, obtenue à partir de EC e de la couche n à la date finale
(cf.1.C.3)
SP Humidité pondérale de la pâte de sol saturé
E Epaisseur de la couche n en m
D.A. Densité apparente de la couche n
on a Si = Ci. SP DA E 100
Sf Cf. SP DA E 100
et .6 S = Sf- Si = (Cf - Ci) SP • DA·. E . 100
où ~S = Quantité de sels évacués (-) ou accumulés (~) entre les dates
i et f, en kg/ha
(ii) Observations
(4) ~es valeurs Ha. He. Ca. Ce n'ont pas pu être déterminées de
façon continue mais on s'est attaché à se rapprocher de la théo-
rie sus-exposée en réduisant le plus possible les intervalles c'est-à-dire
en considérant Ha et Ca à chaque irrigation et He et Ce à chaque drainage
consécutif à un apport d'eau (irrigation o~ pluie).
(ili ) Résultats
, . /
Une seconde zone (150-280 cm) est mise en évidence. zone dans la-
quelle la salinité a largement baissé depuis le début et se trouve
actuellement à un niveau qui écarte tout danger immédiat de salinisation
secondaire pour la couche racinaire.
Le sol
Le sol est fOf'mé d'une série de dépôts alternativement limoneux et
argileux dont la perméabilité est relativement bonne. Le taux de
calcaire est dans l'ensemble de 30 à 40 %.
Deux profils choisis l'un dans la zone la plus dénudée (profil 1),
l'autre dans la zone la plus fournie en végétation (profil 2) ont
été étudiés avant la mise en place de l'expérimentation. La salure est très
élevée dans la couche 0-20 cm du profil l, de l'ordre de 60 rnrnho/cm, alors
qu'elle est inférieure à 2 mmho/cm dans le profil 2. Pour les couches sous-
jacentes cette différence va en s'atténuant jusqu'à 60 cm de profondeur. Les
graphiques de la figure II.A-f28 montrent bien que la salure totale reflète
à chaque niveau du profil la teneur en différents ions de l'extrait de satu-
ration. Les sels présents dans ces sols sont en majorité des chlorures
(NaCl, MgC12) et un peu du sulfate sous forme de CaS04.
L'expérimentation
mé/l
EC RS SAR
mmho/cm g/l Cl - S04-- HCO - Ca++ Mg++ K+ Na+
3
2,1 1,4 12,4 7,7 1,8 6,6 3,0 0,1 12,5 5,7
Parcelles non labourées - Aussi bien dans les zones avec végéta-
tion que dans celles sans végétation la salure a diminué très sen-
siblement (figure II.A-f3O). Mais, les trois doses ne marquent que très peu.
(b) Tozeur
mé/l
EC RS SAR
mrnho/cm g/l Cl- S04-- HCO -
3
Ca~+ Mg++ r Na~
3,1 2,1 17,6 13,0 2,4 9,0 6,7 0,6 17,6 7,4
couche Juil Juil Oct Fév Avr Juil Nov Jan Mai Juil Nov Jan Mai Juil
cm 64 65 65 66 66 66 66 67 67 67 67 68 68 68
0-20 55,3 5,7 5,6 6,0 8,7 8,4 6,0 4,9 7,3 5,9 5,2 6,2 7,3 7,1
20-40 ~,7 6,8 6,0 5,6 8,0 8,6 7,1 4,9 6,6 7,2 5,1 6,0 7,2 6,8
40-80 22,8 8,9 7,3 5,9 8,5 8,5 9,0 5,8 6,3 8,4 7,8 6,1 6,5 8,6
80-120 17,0 8,8 8,3 5,9 8,3 7,3 9,0 6,3 5,7 6,8 9,5 6,1 6,2 6,2
120-150 10,9 9,1 10, l 6,4 9,4 7,5 9,8 6,5 5,8 6,4 10,5 6,4 6,6 6,1
.
Moyenne
du 25,3 8,2 7,7 6,0 8,6 8,0 8,5 5,8 6,2 7,1 8,1 6,2 6,6 7,0
profil
mé/l
Epoque Couche sa -- HCO -
Cl-
4 3
Ca++ Mg++ r Na+
estimées par les teneurs en ions Ca++ des extraits de saturation car tant
qu'il y a du gypse dans le sol ces teneurs atteignent toujours un seuil
qui dépend non de la quantité de gypse présent mais de sa solubilité, elle-
même fonction de la composition chimique des extraits et de leur force io-
nique. En Juillet 1964 l'extrait de saturation de l'ensemble du profil con-
tenait environ 43 mé/l d'ions Ca++, il n'en contenait plus que 35 à partir
de Juillet 1965. Cette diminution est due simplement aux différences de
teneur en ions Cl- qui, en quantité très importante en Juillet 1964 augmen-
taient fortement à cette époque la solubilité du gypse (tableau II.A-t14).
c. EFFICACITE DU LESSIVAGE
(2) Tozeur
EC e en mmho/cm
Pour Cherf~ch ces calculs ont été faits d'une part pour la parcelle
"Bilan", d'autre part pour l'essai de lessivage en hiver 1966-67.
Dl D2
f f f f f
ECe 100% 0-40 50% 100% 0-40 50% 0-20 30%
obser- 40-80 75 40-80 75 20-40 40
Date Couche
vée 80-150 100 80-150 100 40-80 60
80 80 80-120 70
120-150 80
60
14
Correspondance sur 17 sur 20 9 sur 12 sur 20 18 sur 20
20
20
- au fur et à mesure que la dose devient plus fOÏ'te, l'eau se mélange moins
bien avec la solution du sol, ce qui fait diminuer l'efficacité du lessi-
vage.
71
- l'efficacité est plus élevée en hiver qu'en été, ce qui peut s'expliquer
d'une part par l'absence de fentes de sècheresse, d'autre part du fait que
l'apport d'eau en hiver provient pour une partie assez importante de la
pluie, dont l'intensité horaire est en général plus basse que celle d'une
irrigation.
2. ALCALISATION
Comme pour la salinité, sont présentés ici les résultats des tra-
vaux effectués dans le but d'analyser les effets des pl'incipaux
facteurs de l'alcalisation : qualité d'eau, dose et fréquence des apports,
saison, mode d'irrigation •... Les essais ont été ordonnés sous deux thèmes
qualité d'eau et dose et fréquence. Un cas de désalcalisation particulière-
ment intéressant est également présenté. L'ensemble des résultats a permis
aussi de confirmer la relation entre alcalisation et salinité.
A B C D
- De ce fait les différences de Na/T entre les 4 traitements pour une même
couche sont d'autant plus faibles que la couche considérée est plus pro-
fonde.
- On peut aussi observer dans un même traitement que les Na/T augmentent
avec la profondeur et que le gradient est d'autant plus faible que le BAR
de l'eau est plus élevé.
B C D
Les résultats obtenus dans les deux stations co!ncident : ils mon-
trent que ni les doses ni les fr;équences utilisées n'apportent de
différence dans les valeurs de Na/T. Cette observation est en concordance
avec celle faite dans ces mèmes essais pour la salinité qui, elle non plus,
n'avait pas été influencée par les différents traitements. A Ksar Ghériss,
sur sol sableux et non salé au départ, les Na/T sont restés pratiquement,
constants: environ 3 pour l'ensemble d~ profil. Ils sont de l'ordre de 8 à
Cherfech, sur sol argileux et salé en profondeur au départ, après quatre
années d'expérimentation. Cependant, dans ce dernier cas, les résultats
moyens des six traitements font ressortir une évolution différente suivant
la couche considérée. Il a donc paru intéressant d'étudier ces évolutions
sur un essai de longue durée où un seul traitement était appliqué. La par-
celle IIBilan" (cf.ILA.l.b.(l)" répondant à ces exigences a été utilisée
à cet effet.
Comme pour la salure nous avons étudié à part les zones avec végé-
tation et les zones sans végétation. Les valeurs'de Na/T consta-
tées avant et après lessivage sont données dans la figure II.A-f41.
O-IG 43 64
10-20 49 54
20-40 45 39
40-60 36 29
60-80 35 17
80-100 29 24
0-40 46 49
40-100 33 23
0-100 40 36
75
NafT = f (EC e )
Na/T f (SAR de l'extrait de saturation)
ont été étudiées sur l'ensemble des résultats obtenus pendant les deux pre-
mières années dans la sole I. Elles sont définies par les équations sui-
vantes :
1. EFFETS DE LA SALURE
La salure du sol est déterminée deux fois par an pour chacune des
couches suivantes : 0-20, 20-40, 40-80, 80-120, et 120-150 cm.
Comme la densité racinaire diminue lorsque la profondeur crolt, les racines
s'arrêtant à environ 80 cm, et que d'après les profils hydriques, les vari-
ations de l'humidité du sol suivent une loi analogue, il semble raisonnable
de ne considérer que la couche 0-80 cm et, compte tenu de ce qui précède,
la conductivité ainsi calculée :
EC moyenne = 1/4 (2 x EC 0 - 20 + l x EC 20 - 40 ~ l x EC 40 - 80).
En tout état de cause, les salures des couches successives jusqu'à
80 cm étant voisines, la valeur obtenue ne varie guère pour les
différents types de formules suivantes :
SI
Valeur calculée
Couche Formule
A B C D
(3) Résultats
- Sorgho fourrager
C'est la variété Trudent qui a été choisie pour les essais; les
semis ont été effectués en Mai. La période d'irrigation a été de
l'ordre de 10 à 15 Jours.
Les semis ont été effectués en Octobre; les apports d'eau d'irri-
gation ont été réglés au vu du régime pluviométrique et de l'état
du végétal.
. Qualité d'eau
A B C D
Qualité A B C D
- Les essais ont été accomplis "au champ" : tout en assurant une
conduite méthodique des cultures et en effectuant des contrôles
rigoureux on s'est rapproché le plus possible des conditions réelles.
- mats : la germination n'est retardée par la salure que pendant les 6 jours
qui suivent le semis, ce phénomène est légèrement plus marqué avec la solu-
tion type l (ajustée au NaCl).
Les autres cultures qui ont fait l'objet de nos études (sorgho-
fourrager. luzerne. ray-grass, bersim et fèves) ont eu des réac-
tions intermédiaires mais nettement plus voisines de celle du mats que de
celle de la tomate.
(b) Comme l'essai "Qualité d'eau" en plein champ ne permet que d'établir la
relation entre le rendement et la salure du sol et qu'il peut être utile
d'étudier d'une façon plus détaillée le stade de la germination et de la
levée. nous avons en été 1967 mis en place un essai sur bacs en plein champ.
87
Cet essai a été effectué dans deux serles de quatre bacs sans fond, remplis
de 40 cm du sol de Cherfech, avec des niveaux de salure différents, repo-
sant sur le profil no~mal de Cherfech.
(1) On sait que la réduction bactérienne des sulfates est couplée avec
l'oxydation de composés organiques facilement métabolisables, tels
que l'acide lactique, suivant des réactions du type:
(a) ~~!f~~~:~~~~~~~~~_~~~~~~E~~~~g~~_~~~~~~~~!~~_~_~~~_~~~f~~~~~~~~_~~
!~~~!~~~~~~~~_~~_!~_E!~~~
(i) Observations in situ
(2) Par rhizosphère, on désigne le volume, très limité, de sol où les ex-
sudats racinaires diffusent, stimulant ou inhibant certains éléments
de la microflore tellurique qui, par leur activité, peuvent à leur
tour transformer l'environnement rhizosphérique. La spe~mosphère (syn.:
spermatosphère) est le microhabitat homologue de la rhizosphère dans
le cas des graines.
89
Sol hors
. Sol non 4,24 0,1
rhizosphère
engorgé
(aérobiose) Sol de la
4,64 0,1
rhizosphère
N.B. La densité des bactéries sulfato-réductrices est exprimée ici sous for-
me du 10glO du nombre de microorganisme~6P~ g de sol sec.
La teneur en sulfure est exprimée en 10 S-.
(b) ~~!~~~~:~~~~~~~~~_~~~~~~E~~~~g~~_~~~~~~~~~~~~~_!~_~~~E~_~~~_E~~~~~~
aériennes
A Nakta, lorsque la coupe du sorgho est suivie d'un engorgement du
sol, la repousse se fait mal : les rejets ne partent plus du pied
principal mais de talles secondaires; en outre leur croissance est médiocre.
Cette perturbation apportée à la repousse du sorgho s'est traduite, au cours
de l'été 1969, par une perte de l'ordre de 10 T/ha de fourrage vert.
(c) ~~!~~~~:~~~~~~~~~_~E~~~~~E~~~~9~~
Lorsque, dans un sol du type Nakta, l'engorgement intervient après
le semis, une grande partie des graines en cours de germination
meurent. Des accidents de cette nature ont été observés à Nakta sur mats en
avril 1969 (pluie après irrigation) et sur blé et orge en fin septembre
(pluies excessives après le semis).
(d) Conclusion
L'arrosage a été fait tous les deux jours et en excès pour main-
tenir la conductivité dans les pots la plus proche possible de
celle de l'eau d'arrosage. Après une période de croissance de trois semai-
nes tous les plants ont été coupés et analysés.
Tableau II. B-t4 Comparaison des teneurs en Na+, K+, Ca++, Mg++ pour des
cultures irriguées par aspersion et par ruissellement
(résultats exprimés en me pour 100 g de matière sèche).
- Luzerne
La figure II.B-f16 illustre l'évolution du stock d'eau, ainsi
que le rythme des irrigations pendant l'été 1968. Les prélèvements
ont été effectués avant chaque irrigation Jusqu'à 220 cm de profondeur.
Toutefois en ce qui concerne TIDI les prélèvements ont été continués après
la dernière irrigation du 16 Juillet. Le tableau II.B-t6 dbnne la consomma-
tion brute calculée sur diverses épaisseurs.
Profondeur
Traitement Période
0-60 60-100 100-160 160-220
Tl T2
Coupe du Coupe du Moyenne Moyenne
Coupe du Coupe du
hebdoma- hebdoma-
25/6 20/7 25/6 20/7
daire daire
(b) Nakta
- Luzerne
Durant l'été 1968 des prélèvements ont été effectués avant chaque
irrigation Jusqu'à une profondeur de 220 cm. Le tableau II.B-t9
donne la consommation brute calculée sur des épaisseurs de 100 et 220 cm,
ainsi que les apports d'eau exprimés en mm/Jo
Tl - 10 jours T2 - 15 jours
période du 7/6 - 19/8 période du 12/6 - 16/8
Cultures d'hiver
Le tableau II.B-tlO montre la consommation des cultures d'hiver en
plein champ, déterminée sur la parcelle "Bilan". Il en ressort, que
les différences entre les cultures sont faibles et que la consommation moyen-
ne est en mm/J de l'ordre de 2 en Novembre, Décembre et Janvier, de 3 en Fé-
vrier et Mars pour atteindre environ 5 en Avril.
Vesce-Orge
1964-1965 1,6 1,6 1,6 2,9
Ray-grass
1966-1967 . 1,8 1,7 3,0 2,9
Bersim
1967-1968 2,7 2,0 2,0 2,6 2,6 5,5
Blé
1968-1969 1,8 1,8 2,8 3,8 5,3
Cultures d'été
La consommation a été d'une part mesurée sur la parcelle "Bilan",
d'autre part évaluée sur les parcelles "Essais d'irrigation".
Contrairement à ce qui se passe sur la parcelle "Bilan", sur les "Essais
d'irrigation" les traitements ne sont pas uniformes et les quantités drai-
nées sont évacuées par les mêmes drains. Nous avons donc estimé les quanti-
tés provenant de chaque traitement selon le principe suivant :
. "
soit h la hauteur drainée pour une irrigation donnée. Cette quantité est la
somme de hl, h2 et h3, drainages des parcelles traitées par les doses Dl, D2
D3' Les parcelles ayant la même surface, on a approximativement:
101
h2 = hl + (D2 - Dl)
h3 hl + (D3 - Dl)
donc h = 3 hl + (02.- Dl) + (D3 - Dl). ce qui
permet de calculer hl. h2 et h3. Cette méthode peut donner un ordre de gran-
deur pour la 'V'aleur du drainage correspondant à un traitement donné.
(b) !:t~~!~~~~~~
Les lysimètres utilisés sont des bacs ayant une surface de 4 mf
et une profondeur de 1,25 m ou de 1,75 m. Ils sont remplis d'une
couche drainante de sable grossier de 25 cm d'épaisseur, sur laquelle re-
pose le profil du sol de Cherfech.
(3) Conclusion
- En été et pour les plantes étudiées (maIs, porgho, tomates, luzerne) les
consommations moyennes sur des périodes assez longues (de 2 à 4 mois) ne
semblent pas s'éloigner des valeurs de 6 à 7 mm/j, quelles que soient les
stations. Les besoins de pointe n'ont pas dépassé 10 mm/je En une m~me épo-
que, la consommation d'une m~me plante (luzerne) n'a pas varié de plus de
1 mm en des points aussi différents que Cherfech, Nakta et Ksar Ghériss.
- Le stock initial d'eau du sol n'a joué un raIe de volant que dans des cas
particuliers (apports faibles, périodes longues, ou arr~t des irrigations).
En d'autres termes, si les apports d'eau réalisés correspondent aux besoins
moyens de la plante, les consommations de pointe seront satisfaites grâce à
un prélèvement relativement peu important sur la réserve du sol. Par contre,
si les apports moyens sont trop faibles, le sol ne joue pas le raIe de volant
dans la fourniture ·de l'eau.
- Alors que, dans les sols à texture lourde, il n'y a pas eu de grosses dif-
férences de consommation d'eau entre les traitements Tl et T2' par contre,
dans les sols à texture légère, le traitement T2 a souvent entra!né une ré-
duction sensible du stock, et une diminution de la consommation d'eau provo-
quant une baisse de rendement de la culture.
- Les consommations de pointe n'ont jamais atteint les valeurs obtenues sur
lysimètre.
(1) Description
RN T + S
105
avec T
P
f
.
( .max -ea
Rs + Ha
j L
cp y
S = Ra (e f - Ba)
Sous des conditions telles que la valeur de (e max - e a ) soit élevée la tempé-
rature de la feuille peut devenir du fait de la forte transpiration plus basse
que celle de l'air entrainant ainsi un transfert de chaleur sensible par ad-
vection : le terme S devient négatif et l'énergie pour la transpiration (T)
plus élevée que la radiation nette (RN).
A partir des valeurs mesurées nous avons calculé une moyenne quo-
tidienne. Sachant que la transpiration est fonction du déficit
hygrométrique (4 e) et de la résistance des stomates et que l'influence de
cette résistance à midi, quand A e est élevé, est plus importante que tôt
le matin ou tard l'après-midi, il faut donc adopter pour la résistance une
moyenne pondérée
v = vitesse du vent
a = constante, fonction de la géométrie de la feuille
b = constante de l'ordre de 0,8 d'après la littérature
Tableau II.B-t13 Valeurs des constantes a et b à partir
de l'analyse des courbes II. B-f31
a b
Calcul de la consonunation
T RN
T :li
.1e Ra S RN
Oc . .
s.cm- l cal cm- 2 mn- l cal.cm: 2 mn- l Cal.cm-~mn-l mm;j-l
* la valeur T exprimée en cal cm- 2 mn- l doit être multipliée par 1,5 (indice
foliaire) afin de tenir compte de l'absorption totale de l'énergie par la
culture.
T
X.L
p
(5) Conclusion
Dans les régions arides ou semi-arides la ~empérature élevée d:
l'air provoque un déficit hygrométrique tres fort et rend posSlbl:
une évapotranspiration importante, qui a lieu si l'humidité du s~l :st suffl-
sante et le vent fort, donc si les résistances stomatique et lamlnalre sont
faibles.
En été l'évapotranspiration sur lysimètre est nettement plus élevée
qu'au champ. L'analyse des mesures effectuées met en évidence que
_ la résistance stomatique augmente moins sur lysimètre qu'au champ, c~ qui
reflète une meilleure alimentation en eau à partir du sol, en raison d une
réserve hydrique plus importante et d'un meilleur développement du système
racinaire.
111
a. GENERALITES
Dans les tableaux II.B-17 à 24, en annexe sont résumés par culture
pour les différents essais, les apports d'eau totaux et Journa-
liers (irrigation et pluie), les productions par hectares et par m' d'eau.
Luzerne
(1) Phénologie de la plante
Elle est considérée comme l'une des plantes fourragères de base
dans les périmètres irrigués tant pour sa plastioité que pour la
qualité de son fourrage qui est apprécié aussi bien en sec qu'en vert.
(b) Sols
La luzerne une fois implantée semble s'acoommoder de sols très
différents à oondition toutefois qu'ils soient suffisamment pro-
fonds et ne présentent pas trop de risques d'asphyxie. Le rendement oscille
entre 55 et 70 T/ha pour des apports annuels (irrigation et pluie) variant
entre 750 et 1500 mm.
La nature du sol et le olimat interviennent sur le devenir de la
culture à partir de la troisième année. En effet sur sol lourd
un certain nombre de pieds disparaissent sous l'effet oonJugué des irriga-
tions et des attaques de parasites. Dans la zone à hiver doux, la luzerne
n'a pratiquement pas de repos végétatif ce qui a pour conséquence la dis-
parition de la culture au bout de quelques années (3 à 4) alors que là où
le climat est plus continental elle peut subsister de nombreuses années
(6 à 9).
(a) La qualité de l'eau d'irrigation est assez peu intervenue sur le rende-
ment;-ïorsqüë-ïa-saïürë n'excèdait pas 4 g/l.
115
Les fréquences ont marqué alors que les doses n'ont pas marqué. Il
faut cependant noter que :
- les coupes se faisaient au m~me moment pour les deux fréquences. La période
courte Tl a été irriguée en général 2 jours après la coupe contre 6 à 8 jours
pour la période longue ce qui a défavorisé les traitements T2 • Il n'en de-
meure pas moins qu'en été il serait préférable d'irriguer avec un intervalle
de la - 12 jours.
- les irrigations d'été correspondaient pour TIDI à des apports moyens de
l'ordre de 6,5 mm par jour et couvraient donc les besoins de la culture.
Dl D2 D Moyenne
3
Tl 94,8 112,2 121,6 109,5
T2 89,7 113,1 133,3 112,0
Moyen. 92,3 112,6 127,4 110,7
Les fréquences n'ont pas marqué alors que les doses ont fortement
marqué. Les résultats sont identiques pour chacune des deux années
étudiées séparément. L'apport moyen a oscillé entre 3 mm par jour pour Dl et
5 mm par jour pour D3'
Les doses ont marqué fortement alors que les fréquences n'ont pas
marqué. A la reprise des irrigations en Mars 1969 il n'a pas été
possible de distinguer une différence dans le réveil de la végétation.
Il est donc possible m~me avec des eaux saumâtres de réduire sur
luzerne les irrigations d'été et de rendre ainsi l'eau disponi-
ble pour d'autres cultures. Le~ conditions économiques et sociales du pé- .
rimètre dicteront le choix. .
(c) Production
Ioct. Nov. Déc. Jan. Fév. Mars Avr. Mai Juin • Juil. AoUt Sept.
Production
2 .. 7
de Matière
,
Verte en 4 a 7 à 5 à 6 4
kg/m3 -
Apport 2 3 4 à 7 4 à 6 4 t 5
,
Production de
Apport total Période Matière verte
en mm (irr. d'irrigation attendue :
et pluie) en j
en T/ha
Production de
Apport total Période Matière Verte
en mm d'irrigation
attendue
en j
en T/ha
SORGHO FOURRAGER
(a) 2~~!~_~~~~~~~!f
Plante à croissance estivale, dont le zéro de végétation se situe
aux alentours de 19°. Le sorgho fourrager ne doit pas ~tre semé
trop précocement étant donné sa sensibilité aux parasites durant les pério-
des froides. En fait la période de semis la plus favorable sous les condi-
tions tunisiennes se situe de fin Avril à fin Mai. Pour des semis de Juillet
la production est réduite ; en outre à partir de fin Septembre les tempéra-
tures sont trop basses et les jours trop oourts pour lui permettre de se
développer.
(b) Sols
Cherfech Messaoudia.
(a) S~~!!~~_~~_!~~~~
Le sorgho semble être moyennement résistant à la qualité de l'eau
d'irrigation.
(b)_~~~!~~_~~!~~~~~~!~~_
Action des doses
(c) Production
Ci-dessous nous avons présenté, pour un semis de mi-Mai, la meil-
leure production au mètre cube d'eau apporté ainsi que l'apport
journalier correspondant :
Cherfech Nakta
Production en T/ha ,
Nombre de Apport total
jours en mm terre riche moins riche
Mode d'irrigation
MAIS
(a) 9l~!~_!~~!~~~!~
La culture a un cyole végétatif relativement court qui m@me pour
les ma'!s tardifs n'excède pas 150 jours dans les conditions tuni-
siennes.
Importance de la phase l
(b) Sols
Etant donné la rapidité de son développement le maIs est assez
exigeant sur la qualité des sols. En terre pauvre, comme c'est le
cas de Ksar Ghériss, le niveau· des rendements est relativement faible en dé-
pit de fumures minérales élevées. Sur cette station par exemple les produc-
tions sont inférieures de plus de 30 % par rapport à celles obtenues avec
une eau de même qualité à Cherfech où le sol est argilo-limoneux. Le pourcen-
tage grains/épis y est aussi plus faible (60 %contre 70 %).
Les rendements sur ces sols sont légèrement plus faibles que ceux obtenus
avec des eaux de qualité similaire sur sols sourds.
(a)_~~~!!~~_g~_!:~~~_g:~~~~~~~!~~
Le maïs semble être moyennement résistant à la salure de l'eau
d'irrigation. De l'essai "Qualité d'eau" à Cherfech, il'ressort
une perte dans le rendement de 40 à 50 %lorsque la salure de l'eau monte
de 0,2 à 3,5 g/l.
(b) .!!!§!~~_~:!~~!§~~!~~
Saison
Même avec les variétés tardives les irrigations ne sont pratiquées
que pendant 90 à 95 jours. En tout état de cause, comme nous avons
pu le constater sur nos essais (DF Cherfech - Ksar Ghériss) il ne para1t pas
intéressant de poursuivre les irrigations une fois passée la fécondation
(stade barbes noires apparaissant une semaine après la fécondation) sur un
sol ayant une bonne capacité de rétention.
Apport total
Un apport total supérieur à 450 - 500 mm n'a pratiquement pas d'ac-
tion sur le rendement à condition toutefois que le démarrage de la
culture ait été correct.
Fréquence
Lorsque le maïs pousse normalement les fréquences marquent relati-
vement très peu.
(c) Production
Ci-dessous nous avons résumé pour un mats semé fin Avril - début
Mai et poussant normalement, les productions en kg d'épis/m3
d'eau en fonction des apports totaux fournis à la culture:
- Sol lourd - Salure de l'eau 2 g à 2~5 g/l (Cherfech - Messaoudia)
apport total en mm 450 500 600 700 800 1000
production en kg d'épis/m3 2,2 1,9 1,5 1,4 1,2 1,1
d'eau
- Sol sablo-argileux - Salure de l'eau 4 g/l (Nakta)
Les productions sont réduites de 20 à 30 %par rapport aux précédentes.
Etant donné les brusques variations que l'on peut constater dans
le développement du mats, les apports doivent légèrement précéder
la demande pour que la plante n'ait pas à souffrir d'une sous-alimentation
hydrique. Lorsque le sol est capable de bien tamponner la demande en eau,
il y a intér~t à reconstituer au cours de la phase l et d'une partie de la
phase 2 les réserves en eau du sol de manière à écr~ter les pointes d'apport.
Sur ces bases on peut dresser le modèle d'irrigation pour un semis de fin
Avril - Mai:
125
Mode d'irrigation
Le mats peut être irrigué aussi bien par planche que par billon.
Toutefois si le sol est très fortement battant le billon est à
préférer pour obtenir une levée correcte. Sur ces terres l'emploi de l'as-
persion en. début de culture peut ~tre intéressant. En effet. il est possible
par ce procédé d'épandre de faibles doses (30 à 40 mm) qui n'entra1nent pas
l'apparition de la battance ce qui permet d'obtenir de très bonnes levées.
Billons Planches
Apport total en mm 486 610
Rendement en qx d'épis/ha 38.4 44.0
Produotion en kg d'épis/m3'd'eau 0.8· 0.7
Le mats tolère d'être irrigué par aspersion marne avec des eaux
chargées : à Cherfech 2.5 g/l et à Ksar Ghériss 4 g/l. Dans les
deux cas les cultures ont évolué normalement à éondition d'être irriguées
de nuit à partir de Juin. Toutefois il est à noter que le rendement a été
plus faible à Cherfech sur ces parcelles que sur celles irriguées par ruis-
sellement.
TOMATES D'ETE
Pour assurer l'équilibre financier des périmètres irrigués. il
est nécessaire compte tenu des lourdes charges d'amortissement
qu'ils ont à supporter d'y pratiquer des cultures riches. Elles permettent
en outre de valoriser le fumier produit par le bétail et sont consommatri-
c-es de main d'oeuvre.
(a) Ç~~!~_~~~~~~~!f
Sa période de végétation s'étend d'Avril à Octobre, Novembre dans
nos conditions de climat. Bien que la production débute vers la
mi-Juillet la pleine récolte se situe en Aoüt, en particulier avec la varié-
té Roma. Une seconde période de floraison a lieu en fin AoUt avec production
en automne (Octobre) si la culture a été préservée contre les parasites.
(b) Sols
La tomate d'été végète bien m~me sur des sols assez lourds. Toute-
fois en début de culture elle redoute l'asphyxie m~me de courte
durée. Les sols légers peuvent être utilisés à condition que leur fertilité
soit suffisante faute de quoi la production baisse fortement.
(a) ~~~!!~~_~~_!~~~~
Sous les conditions climatiques de la Tunisie la tomate en été se
révèle sensible à la qualité de l'eau d'irrigation. En effet en
utilisant des eaux chargées en sel, on entra1ne l'apparition de la pourri-
ture pisti11aire ce qui a pour effet de réduire le tonnage de fruits "mar-
chands" •
~
g/l 0,2 1,1 2,5 3,4
Période
A Ksar Ghériss avec des eaux de 4 g/l i l n'a pratiquement pas été
constaté de pourriture pistillaire sur des tomates d'arrière
saison.
Fréquence
(c) Production
Production d'été
Production d'été
apport en mm/J 6 8 10
production en 5 à 5,5 4 à 4,5 3 à 3,5
kgjm3 d'eau
La production par mètre cube· d'eau obtenue en automne serait au moins aussi
bonne que celle d'été. Sur sol favorable (sol se ressuyant bien) et lorsque
les orages ne sont pas trop à craindre, il y a intérêt à poursuivre la cul-
ture Jusqu'à son terme à condition que les plantes ne soient pas trop épuisées.
Mode d'irrigation
La tomate est en général irriguée par billons. Sur sol filtrant elle
tolère toutefois la planche, mais alors le pourcentage de déchets
est augmenté surtout en culture non palissée.
RAY-GRASS
(N. 100 à 200 kg/ha, P205 100 à 140 kg/ha, K20 100 kg/ha)
Pluviosité
Fumure organique
(a) S~~!!~~_~~_!~~~~
Fréquences
Doses
La dose n'intervient pratiquement pas pour des apports moyens
compris entre 3,5 et 4,5 mm/Jo
Mode d'irrigation
BERSIM
(b) ~~~_~~_E!:~~~~!~!!
Le tableau II.B-t29 en annexe donne par période de végétation
l'apport d'eau total (irrigation et pluie), l'apport journalier
correspondant, la production en T/ha et celle obtenue en kym3 d' ea~.
(a) ~~~!!~~_~~_!~~!~
Le bersim est assez sensible à la qualité de l'eau d'irrigation.
Sous le climat de Tunis la baisse de rendement devient sensible
lorsque la salure de l'eau dépasse 3 g/l. Sous des pluviosités de 250 à
300 mm elle ne doit pas dépasser 2,5 g/l surtout s'il est nécessaire d'ir-
riguer au semis.
Les doses marquent peu pour des apports moyens compris entre 3 et
4,5 mm par jour jusqu'en Mars et 4 à 7 mm par Jour d'Avril à
Juin.
(c) Production
850 à 1150 65 à go
1,34
Mode d'irrigation
Aspersion Ruisselle-
ment
apport du 1.4 au 22.5 en mm 176 353
apport moyen en mm/ J 4,3 8,6
production de matière verte 16,6 33,5
en T/ha
production en kg/m 3 d'eau 9,4 9,4
ORGE EN VERT
Elle peut être semée depuis fin Septembre jusqu'en Janvier. Cette
souplesse la fait apprécier pour pallier une période de sécheres-
se en hiver ou au printemps. Il est ainsi possible de pratiquer, en fonc-
tion des conditions climatiques de l'automne ou de l'hiver, des semis éche-
lonnés de façon à atténuer les effets d'une sécheresse momentanée.
(b) Sols
(c) ~~~~_~~_E::~~~~~~~
Dans la figure II.B-f37 nous avons représenté l'évolution de la
production à Nakta en 1968 sur l'essai Dr et à Ksar Ghériss en
1967 et 1968 sur l'essai "fumure organique". Comme on peut le voir la pro-
duction d'hiver est importante:
Nakta-1968 10.10 6.1 21,9 391 3.3 14,3 207 36,2 598
K.G. -1967 20.10 29.1 14,5 370 26.3 26,6 224 41,1 594
1968 22.10 8.1 12,3 287 11.3 29,2 182 41,5 469
(a) S~~!~~~_~~_!~~~~
Fréquence
Doses
Une variation des apports moyens entre 2,5 et 5 mm/J marque as-
sez peu à condition toutefois que la culture se soit implantéé
correctement •.
(c) Production
Apport en mm Produotion
Période attendue' .en T/ha
Octobre à Janvier 200 à 300 15 à 20
Janvier à Mars 250 à 350 25
450 à 600 40 à 45
Mode d'irrigation
Elle compense par un meilleur tallage l'espace perdu par les sillons.
FEVE
(a) 2l~!!_!~§~~~~!f
Récoltée en vert la fève est une spéculation d'hiver à revenu inté-
ressant. Toutefois sa production dépend des conditions climatiques
de l'hiver et en particulier de la période allant de fin Décembre à Février.
En effet des gelées peuvent anéantir les deuxième et troisième floraisons
qui sont les plus rémunératrices. Cette spéculation est surtout localisée
le long de la zone côtière.
(b) Sols
\
La fève doit être considérée comme une culture maratchère. Elle ne
pousse et produit correctement que si le sol est suffisamment ri-
che. Elle craint les terres asphyxiantes. Avec des salures d'eau dépassant
3,5 g/l il est préférable de lui réserver les terres sableuses à condition
toutefois qu'elles soient d'une richesse suffisante sinon la plante ne pro-
duit pas.
A Nakta (salure 4,5 g/l) la fève a été cultivée sur trois séries
de parcelles sablo-limoneuses avec un pouroentage de sable grossier
allant en augmentant des parcelles 1 aux parcelles 3 .
Parcelle 1 2 3
-
Nature de l'essai DL DF4 hors essais
Production de fève 0,5 1,7 2,6
verte enkg/m3 d'eau
(2)Réaction à l'irrigation
138
Fréquence
Doses
Pour des apports moyens variant entre 2,5 et 5,5 mm/J la dose ne
marque pratiquement pas si ce n'est en fin de culture (fin Mars-
Avril par printemps sec).
(c) Production
Mode d'irrigation
ASPERGE DE PRIMEUR
(c) !!~~~_~~_E~~~~~!~~
La cueillette débute en Mars mais sous plastique elle peut être
avancée jusqu'en Février. A partir de Mai les cours à l' exporta-
tion s'effondrent et il n'est plus intéressant de cueillir sauf pour sa-
tisfaire les besoins locaux. Une fois la commercialisation du produit or-
ganisée, il sera sans aucun doute intéressant de poursuivre l'exploita-
tion jusqu'à la mi-Mai qui co~cide avec la pointe de production. Cepen-
dant pour ne pas épuiser les plants et surtout ceux destinés au forçage,
il sera prudent d'arrêter la cueillette au cours de la seconde quinzaine
de Mai.
141
Fréquence
Doses
(c) Production
Ci-dessous sont indiqués les apports d'eau effectués au cours de
142
Bien que peu rustique cette variété est préférée en Tunisie pour
la qualité de ses fruits.
En effet, elle est beaucoup plus exigeante que les autres variétés
de palmiers tant en ce qui concerne la culture que le climat et le
sol.
Ses besoins en eau sont plus élevés que ceux des autres variétés.
La production est très sensible à la régularité des apports ,
alors que les variétés dites communes sont beaucoup plus plastiques.
Sols
~ Le
sol ne doit pas présenter d'obstacles à la pénétration des ra-
cines, la présence de croûte dure ou d'horizons compacts est à
éviter. Dans de telles situations un défoncement avec décroûtement condi-
tionne la réussite de la plantation. Le gypse, s'il n'est pas aggloméré ne
semble pas présenter d'inconvénient.
(a) S~~!!~~_~~_!~~~~
palmier-.'résiste à la salure de l'eau d'irrigation. Toutefois
Le ~.
(c) ~~!~~~~~~~~_~~~_~_~_~~~!!~~_~~§~~~_~~~~9~~
Il était évident que le palmier dattier réa~issait favorable-
ment à l'irrigation. Toutefois la question se posait de savoir
s'il était possible d'augmenter la production de palmiers adultes préoé-
demment sous-irrigués et mal drainés en améliorant leur alimenta.tion hy-
drique et le drainage. Après 5 années d'essais il e~t possible de con-
ciure d'une façon favorable sur l~ remise en état de palmiers plantés à
une densité correcte (100 plants)ha) mais jusqu'alors sous-irrigués et
mal drainés.
(d) Production
Dl D2
apport moyen en pointe 6 175 1010
en mm/J
production de Matière
Verte en T/ha 1966/67 810 810
1967/68 2714 3415 3E
1968 18 12 18 12
5316 60 17
~ différenoe significative
146
c . OBSERVATIONS
d. CONCLUSIONS
Lorsque l'eau est non seulement abondante mais encore bon mar-
ché, il satisfera les besoins maxima sans trop se soucier de
la productivité de i'eau : la production globale primera.
149
1. IRRIGATION
a. IRRIGATION DE SURFACE
Les études ont d'abord porté sur les sols sableux : leur fai-
ble capacité de rétention pour l'eau (50 mm sur une épaisseur
de 1,20 m), le prix de revient élevé des irrigations, leur a fait attri-
buer une priorité. Par la suite elles ont été poursuivies sur une gamme
de sols allant de l'argilo-limoneux au sablo-limoneux. .
(a) Planches
Bien que la variation soit assez forte pour la· pente de 12 %0,
peut-être du fait des irrégularités de terrain, il semble que la
pente intervienne sur la dose par sa puissance 2/3 environ. Ceci est à rap-
procher des formules d'écoulement dans les canaux.
D = cp- 2 /3
c étant une constante dépendant de la longueur et du débit.
sorte que la dose dépasse largement celle calculée à partir du rapport men-
tionné ci-dessus.
16.1.68 68 25 17 % 8%
bonne excellente
1.2.68 68 25 15 % - 42 %
bonne irrégulière
17.2.68 68 25 22 % 13 % 6 %
bonne bonne excellente
27.2.68 140 27 75 % 68 %
mauvaise mauvaise
27.3.68 140 27 63 % 73 %
mauvaise mauvaise
11.4.68 140 27 30% 23 %
bonne, sauf
en bout
12 à 16 %0 8%0
60 m 80 m 100 m 60 m 80 m 100 m
27.2.68 45 50 55 55 70 80
27.3.68 55 65 70 80 100 115
11.4.68 45 55 65 65 85 100
En automne 1967. des essais ont eu lieu sur des planches cou-
vertes de luzerne bien développée. dont la rugosité a dü ~tre
plus grande que celle des planches utilisées au printemps 1965 et 1966.
La vitesse d'infiltration a été probabiement aussi plus grande du fait
d'une consommation plus élevée, En effet. contrairement aux résultats du
printemps 1965 et 1966. des débits variant de 20 à 30 1/s/12 m pour des
planches de 68 m de longueur. ont agi sur la dose :
159 •
Débit Dose en mm
en 1/8/12 m 17.10.67 29.11.67
20 50 76,5
25 - 52,5
30 46 -
Débit en 1/5/12 m
Longueur Date Luzerne (3 %0) Vesce-orge (6 %0)
10 20 30 10 15 20 30
30m 4.3.65 58 40 38 34 50 41 41
24.3.65 45 32 45 38 52 42 52
50 m 4.3.65 100 54 - 50 50 42 45
24.3.65 88 47 47 57 69 49 54
66m 4.3.65 200 92 60 100 64 53 47
24.3.65 126 62 59 95 83 54 56
Longueur 10 m 20 m 30m 40 m 50 m 60 m 70 m
20 l/s/12 m 20 35 30 35 40 45 51
30 1/s/12 m 22 30 35 38 42 45 54
Longueur 80 m 90 m 100m 110 m 120 m 130 m 140 m
20 1/s/12 m 58 72 81 109 1;;6 173 217
30 1/5/12 m 60 70 81 100 102 - 115
160
Débit en 1/s/12 m
Longueur Date
10 15 20 30 40
68 m 24.2.66 59 38 39
7.3.66 46 ;f) 35
Sur des sols aussi sableux que ceux de Ksar Ghériss, il y a inté-
rêt à retenir des pentes assez prononcées (12 - 16 %0) ; en outre
le débit d'amenée doit être fort, de l'ordre de 25 1/s/12 m, pour réduire
les pertes en profondeur. Cependant lors d'une première mise en eau sur des
planches à forte pente les risques d'érosion sont considérables, d'autant
que lë sol est ameubli en surface. Il ne saurait être question d'utiliser
alors des débits importants. On doit employer des débits relativement faibles
ce qui augmente la dose épandue d'une part et allonge la durée de l'irriga-
tion d'autre part. Si celle-ci devient trop grand~ (plus de 3 à 4 heures),
les mottes de surface se dissolvent et l'érosion appara1t quel que soit le
débit utilisé.
(iv) Conclusions
Sur un sol sableux comme celui de Ksar Ghériss à faible capacité de,
rétention pour l'eau, 'la dose épandue ne devrait pas dépasser 50 à
60 mm pour être exploitée par les racines.
(b) Billons
Mode de prélèvements
sur la dose
7.2.69 132 30 27 % 18 % 45 %
irrégulière bonne irrégulière
8.3.69 132 27 17 % 15 % 30%
bonn-e bonne bonne sauf
en bout
pente
Longueur de billon
en m 16 %0 12 %0 8%0
60 15 22 26
80 20 36 45
100 28 40 64
132 45 62 90
sur la dose
pente
Longueur
Date 16 %0 12 %0 8%0
en m
Débit en Dose en Débit en Dose en Débit en Dose en
1/s/8 m mm 1/s/8 m mm 1/s/8 m mm
72 1.10.68 10 15 10 19 10 27
72 10.10.68 7,5 14 7,5 15 5 37
132 25.10.68 15 45 15 62 15 62
132 11.11.68 15 35 15 58 15 60
132 27.11.68 25 41 25 57 25 62
132 . 9. 6.69 20 18 20 24
132 3. 7.69 10 40 10 52
Comme pour les planches, on peut dire que la dose épandue diminue
en général si le débit augmente. Toutefois l'état du terrain in-
flue sur la dose beaucoup plus que dans le cas des planches.
L'ana1yse des paramètres pour ces sols sera très sommaire car
les essais qui ne font que débuter se poursuivent actuellement.
(a) Planches
sur la dose
22.8.66 Dose en mm 49 49 52
12.9.66 " 45 45
18.9.66 " 1~9 ~ 39
18.3.67 65~ 57~ 49
Comme sur les terres sableuses le débit intervient sur la dose mais
d'une façon assez complexe. Il est à noter toutefois qu'en terre
lourde. sujette à fente de retrait, et sur faible pente son action semble
moins marquée qu'en terre légère.
Longueur en m 212 25
Date
Débit l/s/m 4 1,25
23.4.69 Dose en mm 70 66
30.4.69 " 59 70
16.5.69 " 44 38
Il
27.5.69 59 59
(b) Billons
-------
(i) Influence de la pente
sur la dose
(iv) Observation
b. ASPERSION
Sur terre lourde le p~oblème est le même à ceci près que les
terres sont moins sensibles à l'érosion, mais se ressuyent mal.
Un orage tombant inopinément sur un sol déjà gorgé d'eau peut venir com-
promettre la levée par l'asphyxie qu'il entraîne.
Alors que pour des vitesses de 2 à 3 mis la dose varie d'un point
à un autre de 30 à 40 %, l'écart de distribution est pratiquement
décuplé pour-un vent de 5 mis avec des rafales de 8 mis (figure II.C-f2b).
Quel que soit le développement de la culture il faut cesser les irrigations
avec de tels vents.
(4) Effets
(a) Levée
cf II.B.l.b
cf II.A.l.a
(d) Rendement
- Pour les tomates, non seulement le développement des plants mais aussi
le rendement et la qualité des fruits sont plus faibles que par ruis-
sellement.
- Le coton semble très sensible aux aspersions effectuées de Jour dès
qu'il émet ses feuilles.
- Les gouttes ne doivent pas ~tre trop grosses pour éviter les projections
de terre sur les feuilles.
2. DRAINAGE
a. BUT
avec
l espacement entre les drains en m
K perméabilité en m/j
d profondeur en m de la couche équivalente (d'après Hooghoudt), qui dé-
pend de la profondeur D de la couche imperméable, de l'espacement et
du rayon du drain
~ h charge ou différence de hauteur entre la nappe et le niveau des drains
en m
s débit à évacuer par unité de surface en m/j
174
(1) Cherfech
(2) Tozeur
En effet nous avons constaté que les drains à ciel ouvert, es-
pacés de 40 m, ne fonctionnent que très peu de temps et que la
plupart des eaux de drainage est évacuée vers le chott soit par les col-
lecteurs, espacés de 200 m, soit directement. Quand la perméabilité est
bonne sur une profondeur importante, 1'espacement peut être grand et il
devient possible d'adopter celui qui convient le mieux aux dimensions
des parcelles.
Porosité utile en % 6 8 10
Apport brut en mm 663 663 663
Quantité drainée en mm 67,5 90 112,5
Apport net en mm 595,5 573 550,5
Consommation en mm/j 6,6 6,4 6,1
j
j
j
181
GENERALE
/
Après l'exposé détaillé des moyens et de méthodes de travail dans
le chapitre l et des résultats des recherches dans le chapitre II
il est utile de présenter un aperçu d'ensemble des résultats et une synthèse
générale.
Dans le même esprit il a été démontré que l'on peut tirer parti
des pluies hivernales, à condition que le sol ait atteint une hu-
midité suffisante au moment où commencent les précipitations "lessivantes".
.a. Les essais d'irrigation ont principalement porté sur les métho-
des de surface : planches et billons, en y adjoignant les "corru-
gations" •
Déjà des publications ont été faites pour vulgariser les procédés
de surfaçage qui n'ont pas été reproduites ici où l'on s'est con-
tenté de résumer les renseignements qui permettent de prévoir les résultats
escomptables en observant certaines règles. Retenons qu'il est très possi-
ble de bien travailler sur des longueurs de l'ordre de 100 m en sol léger
et que le problème est moins difficile en sol lourd (cas de la Basse Vallée
de la Medjerdah) : les parcelles peuvent y @tre plus longues.
B. SYNTHESE GENERALE
L'alcalisation ayant, pour des raisons déjà exposées, été considérée comme
provenant de la salinité n'a pas été discutée dans cette revue.,
a. RECHERCHES
b. ETUDES ECONOf>.UQUES
c. FORMATION ET INFORMATION
a. ASPECT SCIENTIFIQUE
le projet n'a porté que sur certaines parcelles, représentatives il est vrai
des problèmes économiquement majeurs quant à la salinité en Tunisie.
Tableaux LA - t 1 à LA - t 12
Tableaux II oB - t 16 à II oB - t 28
- 197 -
CaCO:; total 5;
17,3 13,0
c·'
/J
-:t- trace trace trace trace trace
1,23
N %
l~ato org~ lb
Rapport clN
58 59 56 50 52
Cl~
3,9 59,9
80.--
L.l:
48,7
1,0 -, 6'
(i 2,5 2,7
0,5
T
0'
iO HaiT 3,1 6,0 9,7 13,3
Profondeur cm
DPi et DF2 DL
0-20 20-':1:0 l:t:O-8Ù 0-20 20-40 l:t:O-80
pH pate sat. 7~8 7)9 7,8 7J) 7,9 7,9
CaC0 total 1~ 33 35 36 34 32 35
3
(1
CaC0 actif JO 15,0 16,0 15~5 16,0 18;;5 16,5
3
CaSO
ll - 2H20 %* trace trace trace trace trace trace
·C % 0~89 0,87
N % 0,08 0,07
Mat. orge ~~ 1,6 1,5
Rapport CjN 11~ 1 12,4
ECe en mmho/cm 25°C If. p 7 5,8 7,0 7,4 7,3 8,1
SP 10 5If. 55 5If. 56 60 53
CI- 19,7 25,6 38,2 38~6 36,4 46,2
SO -- 31,7 If.O~7 42,9 49,7 50,6 50,6
If.
nco ..., 3,6 2,8 2,6 2;3 2,0 1,9
Compositiao. 3
de l'extrait Ca++ 22,2 28,8 33,7 34,5 33 p 8 37 , 1.
sature mé;i
M
'g ++ 5, If. 6,l:t: 9~2 10~9 10,6 10,.5
K+ 1~2 0,3 0,3 '1,1 0,5 0~3
Ca C03 total % 9 9 Il 9 9 Il 8 8 12
Ca C03 actif % 4,5 4,0 6,0 4,5 5,0 5,0 4,0 3J5 6,5
C%
'* 0,66 0,75 0,63
N% 0,06 0,06 0,06
EC e en rmnho/cm 25°( 4,9 4,2 4,5 8,1 6,2 4,4 8,5 7,2 6,2
SP % 39 39 43 40 41 39 39 39 42
504 -- 21,1 20,6 27,4 35,1 21,9 16,3 42,4 28,7 33,4
HC03- 7,2 4,8 2,9 6,2 4,2 3,0 4,6 3,4 2,3
Composition
de l'extrait Ca++ 12,6 10,0 13,8 21,0 11,1 25,2 18,4
17,2 20,5
saturé mé/l.
Mg++ 6,0 4,2 4,2 12,9 8,9 9,2 12,7 8,8 7,3
K+ 0,6 0,4 0,3 0,9 0,6 0,3 0,7 0,5 0,2
Na+ 35,5 31,4 33,0 60,1 42,9 31,9 61,0 51,0 45,4
mel Na+ 1,3 1,3 1,8 1,8 1,6 1,6 1,6 1,5 1,9
Comple- 100g
xe ab- sol T 12,2 12,1 15,3 13,0 14,1 13,8 14,4 14,6 17,8
sorbant
Na/T 10,6 Il,0 Il,6 13,5 Il,7 11,7 10,8 10,5 10,4
Couche * 1 2
5 7
CaGO.~ actif l'~ 2,0 2;,5 9,5
J
0,19
0,02
Parcelle A B
20- 40- 80- 120- 20- 40- 80- 120-
Couche 0-20 120 0-20 40 80 120 150
40 80 150
pH - pâte sato 7,9 7,9 7,9 7,9 7,9 8,0 7,9 7,9 7,9 7,9
CaC0 total % 12 11 Il 10 7 8 7 9 9 6
3
caS°4 - 2~0 % 54 58 56 58 63 53 56 54 57 65
C% 0,78 0,63
N% 0,06 0,04
EC e en rnrnho/cm 25°C 25,8 26,1 21,7 15,1 12,6 53,8 38,5 21,4 19,4 13,2
8P % 39 37 36 34 33 36 35 33 34 32
Cl - 222,0 237,0 183,0 112,6 89,1 551,2 364,2 172,3 147,7 94,2
804-- 98,0 89,2 83,0 71,0 63,9 222,2 136,0 88,0 88,6 66,6
Composition HCO - 2,3 2,1 2,1 2,0 1,8 2,4 2,2 2,3 2,2 2,1
de l'extrait 3
de satura-
tion en Ca++ 43,6 48,2 47,3 41,6 39,7 45,7 48,3 44,0 42,9 40,2
mé/l
Mg++ 55,2 41,0 31,5 21,1 16,1 158,9 81,9 35,6 35,6 21,8
K+ 9,3 9,4 7,3 5,6 5,0 19,2 14,3 8,6 8,1 5,9
Na+ 221,4 225,5 195,4 113,4 85,7 545,7 363,9 176,5 154,3 97,3
- 202 -
Parcelle C
Couche 0-20 20-40 40-80 80-120 120-150
pH - p~te eat .. 8,0 7,9 7,9 7,9 7,9
CaCO_ total lb 4 3 7 6 2
:J
Messaoudia 2,8 2,0 7,.6 12,l:i 1l:i,l:i 3,8 11,2 3,1 0,5 16,3 6,1
Nakta 5,5 3,8 7,6 36,7 20,8 3,0 13,5 7,5 0,5 37,8 11,7
Zarzis 9.,2 6,5 7,9 70,2 32 ,6 2,.1 1l:i,8 6,2 0,8 81,3 2l:i,8
Cherfech
Eté 6l:i 3,7 2,3 21,6 1l:i,5 2,6 11,0 7,l:i 0,3 21,7 7,.2
Eté 65 3,7 2,5 23,5 13,2 2,7 10,7 6,8 0,2 22,1 7,5
Eté 66 3,3 2,2 20,6 11,9 2,7 9,7 5,2 0,2 ~0,3 7,4
Eté 67 3,8 2,5 23,l:i 1l:i,1 2,5 11,9 l:i,8 0,2 ~2,9 7,.9
Eté 68 3,l:i 2,2 20,5 12,9 2,1 10,6 l:i,7 0,2 19,9 7,2
Hiver 64-65 2,9 1,7 16,3 11,9 2,6 10,3 l:i,8 0,2 tL6,5 6,0
Hiver 65-66 2,,0 1,3 11,5 5,9 3,0 7,0 2,6 0,1 lu,3 5,2
Hiver 66-67 2,3 1,6 1l:i,0 8,5 2,7 8,2 3,9 0,1 ~3,l:i 5,l:i
Hiver 67-68 3,1 2,0 19,8 10,6 1,9 9,6 3,7 0,2 ~9,1 7,l:i
Hiver 68-69 2.,9 1,8 17,5 9,7 2,7 9,.3 3.,5 0,2 ~7,1 6,8
Moyenne 2,.3 21,9 13,3 2,5 10,8 5,8 0,2 ~1,l:i 7,l:i
des ét~s 3.6
Moyenne 2,6 1.5,8 9,3 2,6 6,2
des hivers 1,7 8,9 3,7 0,2 11-5,5
- 206 -
Hauteur de precipita-
Evaporation en mm/j tion en mm
Mois
Piche Bac Al Bac A2 Penman moyen. min. max.
Hauteur d. précipiia'"
Evaporation en mm/j t:' on en rnn
Mois Bac Al Bac A2 Bac A2 Penman moyen. min. max.
ohott chott oasis
Janvier 2,'" 1,9 1,0 1,5 1"',2 0,0 29,6
Février 3,8 3,0 1,9 2,5 7,9 0,0 26,"
Mare
Avril
6,0
8,2
"',8
7,0
',6
5,1
",'
5,9
6,0
2,3
0,0
0,0
2",1
9,8
Mai 1O,' 9,0 6,8 7,6 15,1 0,0 37,S
Juin 13,1 11,''' 8,0 9,' 0,0 0,0 0,0
Juillet 1"',1 12,1 8,7 9,9 0,0 0,0 0,0
Août 12,6 11,1 7,5 9,1 0,0 0,0 0,0
Septembre 8,8 7,8 5,2 6,' 22,'" 0,0 58,9
Octobre . 6,2 5,1 3,1 "',1 li,' 0,0 10,"
Novembre 3," ',0 1,7 2,' 7,9 0,0 21,2
Décembre 2,1 1,8 1,0 l,' 10,2 0,0 35,9
Année 7,6 6,5 4,5 5," 90,' 63,9 1"2,9
- 212 -
Hauteur de précipita-
Evaporation en mm/j tion en mm
Mois
Piche Bac A2 Penman moyenne min. max.
1. Essai DF
l
14.5.64 14.10.64 20.4.65 29.9.65 20.4.66 31.8.66 20.4.67 8.9.67 21.3.68
Période au au au au au au au au
14.10.64 20.4.65 29.9.65 20.4.66 31.8.66 20.4.67 8.9.67 21.3.68 21.9.68
Sorgho Sorgho
Culture fourra- Bersim Mals Ray- Mals Ray- fourra- Bersim tomates
ger grass grass ger
Pluie 112 102
(mm) 439 85 364 360 33 333 76
Irriga-
tion(mm)
'rlDl 768 122 710 315 448 507 753 197 1034
TI D2 820 122 840 395 500 586 929 264 1378
TID) 876 122 970 476 552 664 1102 330 1721
T2Dl 724 122 596 315 448 507 752 197 1042
T2D2 767 122 691 395 500 586 927 264 1387
'l'2 D3 809 122 788 476 552 664 1101 330 1732
Pluie
(rnn) 65 28 170 Pl~~e
(mm . 107 110 79
Irrifa- Irrita-
tion mm) tion mm)
PD1 165 95 198 Di 113 0 0
CDl lG5 95 198 D2 210 0 0
PD2 231 133 276 D3 210 0 323
CD2 231 133 276 Dl.l: 280 0 452
Ll0,,0S 2L2,o9
P0riode au au
21.2,,69 14c Q,,69
Pluie 183 99
( nn~)
.i.rrir~-
tion mm)
Dl 127 0
D;2 10.; I.;- 0
D:;; 191 172
_., C·
Dl.!: .;:Jù
t':)
2 1.1:0
- 220 -
Essai DFl
Irriga-
tion(mm)
TI DI 352 229 0 675 0
TI D2 470 308 0 898 0
., 1117 0
TI D3 587 )84 0
T2Dl 352 229 0 675 0
T2D2 471 308 0 898 0
T2D3 589 )84 0 1117 0
Essai DF
2
Essai DF Essai DF
1 3
5.:~.S7 20.G.67 10~5 ,{)O 15.8.68 5.4.67 29.8.67 10.5.68
Période au au au au au au au
2G-;8G67 10.5.60 15~S.68 5.11.68 29.0 .• 67 10.5.63 6.11.68
Cul~ure Luzerne Luzerne Luzerne Luzerne Fétuque Fé~uque Fé~uque
Pluie
(mm) 0 0 25 8 0 9 1
Irrifa-
~ion mn)
L1 75 102 74 61 61 60 60
L2 100 1:;6 102 82 82 SO 80
L 125 170 L~ 102 102 100 100
3
Essai DL
25.9.68 2;;.10.63 19.11.68 1.1.69 21.1.69 10.2.69 9.3.u9
l'uriode au au au au au au au
23.1C.6S 19.11.63 1.1.69 21.1.69 16.2.69 9 •.3.69 2. l!.69
Gulture Fèves Fèves :ë'èves 7èves Fèves Fèves Fèves
~':~e 12 0 25 s 0 9 1
Irrifa-
~ion nm)
L1 75 126 7'3 61 60 60 61
LI')
....
100 177 85 82 80 GO 82
L~ 1.-:5 226 97 102 100 lCO 102
:J
- 222 -
10.6.65 4.10.65 8.5.66 24.8.66 24.3.67 5.9.67 10.1.68 6.3.68 27.7.68 16.9.68
période au au au au au au au au au au
4.10.65 8.5.66 24.8.66 24.3.67 5.9.67 10.1.68 6.3.68 27.7.68 16.9.68 28.2.69
Sorgho Sorgho
Culture fourra- Ray- fourra- Orge Luzerne
Luzerne Luzerne Luzerne Luzerne Luzerne
ger grass ger Luzerne
" Pluie
(mm) 35 6:; 18 108 12 106 43 37 0" ;6
lrrige.-
tion(mm)
1'1])1 720 683 542 31~2 975 574 0 688 0 0
TID2 P(j7 824 637 409 1218 722 0 868 0 0
'i'1 Do:<
_o' 918 833 638 411 1218 722 0 870 0 0
Tc:Dl 720 b88 543 342 732 456 0 463 688 0
T2i)2 867 818 6~-6 409 915 568 0 583 868 0
T2~3 918 825 636 411 915 568 0 583 868 0
II •. Essai DFB
1
D1 1967 290 136 919 1309 1698 2089 62,6 67,4 72,9 69,8
3,2 4,5 5,9 7,2 6,8 5,2 4,3 3,3
Q.1i:. 1966 240 328 1388 67,1
5,8 4,9
Ksar Ghériss
dfo 1968 250 - 280x 94 779 959 957 775
x
955
x
955
x
57,1 66,3 62,6 50,1 60,5 56,1
3,1 3,8 3,8 2,8 3,4 3,4 7,3 6,7 6,5 6,4 6,3 5,8
DFC 1968 250 - 280x 92 1124 1382 1382 1124x 137rx 1382
x
64,3 72,4 ·71,3 65,9 71,9 71,8
4,4 5,5 5,5 4,0 4,9 4,9 5,7 5,2 5,1 5,8 5,1 5,3
Nakta
DF1 1967 365 200 976 1253 1523 977 1241 1497 69,6 79,0 83,4 66,8 84,6 93,4
2,7 3,4 4,2 2,7 3,4 4,2 7,1 6,3 5,5 6,8 6,6 6,2
Tableau II.B-t16 (Suite) Luzerne
xx 1 .
; temo~n, 2 1 asp. Fe a. 10 Jours, 3 ; asp. Fe a. 10 et 20 Jours, 4 1 asp. Fe a 10, 20 et -
°
1 jours, 5 aspe Fe et P à 10 et 20 jours, 6 asp. Fe et P à 10, 20 et 10 jours.
Tableau II.B-t18 Maïs
Durée de Hauteur de en mm
- en q.x/ha
Essai végétation précipita- IApport total Production d'épis
en j tion en mm en mm/j en kg/m 3 d' eau
Oherfech
DF1 1965 x
94 - 84 19 729
7,8
x
859 x
9,1
989
10,5
x 615
7,3
710
8,5
807
9,6
° °
99,-5 106, 108, 84,5 92,0 91,
1,4 1,2 1, 1 1,4 1,3 1, 1
°
DF1 1966 89 51 499 551 603 499 551 603 97,9 100,3 104,5 97,4 96,9 92,9
5,6 6,2 6,8 5,6. 6,2 6,8 2,0 1,8 1,7 2,0 1,8 1,5
Bilan 1965 92 19 664 94,5
7,2 1,4
Bilan 1966 78 53 583 96,0
7,5 1,6
Q.E. 1965 92 19 786 A-95,9 B-92,3 0-90,7 D-80,6
8,5 1,2 1,2 1,2 1, °
Q.E. 1966 74 31 571
7,7
128,0 120,
2,2
°
2,1
107,°
1,9
75, °
1,3
Q.E. 1967 90 21,5 517,S 129,° °
106, 84,0 63,8
5,7 2,4 °
2, 1,6 1,2
D2 1968 91 61 457
5,0
537
5,9
537
5,9
537
5,9
98,4 103,3 111, 1 113,
2,2 1,9 2,1
°
2,1
Messaoudia
DF1 1967 91 41,5 394 512 629 394 513 631 32,1 55,5 70,1 26,1 37,5 56,3
4,3 5,6 6,9 4,3 5,6 6,9 0,8 1,1 1, 1 0,7 0,7 0,9
DL 1968 95 79 474 735 62,0 83,0
5,0 7,7 1,3 1,1
Haleta
DF2 1967 95 27 379 493 609 378 495 611 72,8 78,4 80,2 75,3 62,4 75,9
4,0 5,2 6,5 4,0 5,2 6,5 1,9 1,6 1,2 2,0 1,2 1,2
DL 1968 91 21 435 712 35,1 66,6
4,8 7,8 0,8 0,9
Tableau II.B-t18 (Suite) Mais
Durée de Hauteur de en mm en qx/ha
Essai précipit.a-
~égétation Apport total Production d'épis
en J tion en mm en mm/j en ki/m 3 d'eau
Ksar Ghériss
dfb 1965 96 15 739 871 872 69,4 71,4 73,1
7,7 9,1 9,1 0,9 0,8 0,8
DFB 1965 96 15 727 882 883 46,8 48,0 47,7
7,6 9,2 9,2 0,6 0,5 0,5 eo
dfb 1966 92 7 627 741 744 628 738 754 54,9 58,1 64,4 56,4 56,8 61,8
6,8 8,1 8,1 6,8 8,1 8,2 0,9 0,8 0,9 0,9 0,8 0,8
DFB 1966 94 7 924 1092 1088 923 1096 1095 35,7 32,6 36,6 32,9 30,3 33,0
9,8 11,6 11,6 9,8 11,6 11,6 0,4 0,3 0,3 0,4 0,3 0,3
Billons-Calante
1966 82 7 Bi 11.-486 Cal.-610 38,3 44,0
5,9 7,4 0,8 0,7
Tableau II.B-t19 & Tomates
Durée de Hauteur de en mm . en kT/ha
Essai végétation précipi ta- Apport total en mm/j Product1on de tomates en g/ m3 d'eau
en j tion en mrp
Cherfech
DF2 1967 127 54 814 1020 1230 814 1017 1230 41,5 44,0 43,3 39,7 45,8 41,6
6,4 8,0 9,7 6,4 8,0 9,7 5,5 4,4 3,5 4,9 4,5 3,3
DF1 1968 partiel 130 62 787 1030 1270 742 967 1193 38,8 42,1 39,4 35,2 32,2 36,1
6,0 7,9 9,8 5,7 7,4 9,2 4,9 4,1 3,1 4,7 3,3 3,0
DF1 1968 total 196 67 1101 1445 1788 1109 1454 1799
5,6 7,4 9,1 5,6 7,4 9,1
66,0 70,6 66,9 63,2 60,
6,0 4,9 3,7 5,7 4,1
63,5
3,5
°
Bilan 1968
partiel 170 62 1012 34,2
6,0 3,4
Bilan 1968
total 195 67 1439 53,0
7,4 3,7
Q.E. 1967 151 65 740 A-44,4 13-43,2 C-26,8 D-13,1
4,9 6,0 6,0 3,6 1,8
Q.E. 1968 partiel 135 62 839 36,3 40,4 24,3 17,8
6,2 4,3 4,8 2,9 2,1
Q.E. 1968 total 180 62 1132 68,0 66,1 40,8 34,5
6,3 6, ° 5,8 3,6 3,°
Tableau II.B-t20 Ré<.y-grass
Durée de Haùteur de en mm en T/ha
Essai végétation précipi ta- Apport total en mm/j Production de M.V. en kg/m 3 d'eau
en j tion en mm
Cherfech
DF1 1965-66 186 364 679 759 840 679 759 840 40,8 36,8 39,0 41,0 41,4 38,5
3,7 4,1 4,5 3,7 4,1 4,5 6~0 4,8 4,6 6,0 5,4 4,6
DF1 1966-67 198 306 813 892 970 813 892 970 39,3 38,6 37,5 39,2 59,0 37,4
4,1 4,5 4,8 4,1 4,5 4,8 4,8 4,4 3,9 4,8 4,4 3,9
Bilan 1965-66 137 219 319 22,0
2,3 6,8
Bilan 1966-67 204 306 773 39,1
3,8. 5,0
Q.E.1965-66 186 364 639 A-54, 6 B-57,5 C-55,5 D-48,1
3,7 8,5 9,0 8,7 7,5
Q.E. 1966-67 172 271 764 47,5 46,4 43,0 52,4
4,4 6,2 6,1 5,6 6,9
Q.E. 1967-68 139 286 393 59,7 61,4 58,3 52,8
2,8 15,2 15,6 14,8 13,4
Less. 1966-67 190 298 756 938 34,8 33,5
4,0 4,9 4,6 3,6
Lecs., 1967-68 176 297 409 507 830 1138 55,0 58,3 62,7 63,5
2,3 2,9 4,7 6,5 13,5 11,5 7,6 5,6
Ksar Ghériss
dfc 1965-66 191 46 729 870 879 734 864 872 7,4 6,3 7,3 4,4 5,4 4,0
3,8 4,6 4,6 3,8 4,6 4,6 1,0 0,7 0,8 0,6 0,6 0,5
dfb 1965-66 191 46 786 926 926 741 869 870 7,7 8,6 8,3 7,3 6,8 7,5
4,1 4,9 4,9 3,9 4,5 4,5 1,0 0,9 0,9 1,0 0,8 0,9
DFC 1965-66 207 46 1196 1459 1456 924 1099 1097 8,2 10,1 13,2 7,2 7,0 7,4
6,0 7,3 7,3 4,6 5,5 5,5 0,7 0,7 0,9 0,8 0,6 0,7
Tableau II.B-1;20 (Suite) Ray-grass
Durée de Hauteur de en mm en T/ha
Essai végétation I,récipi ta- Apport total en mm/j Produotion de M.V. en kgfm 3 d'eau
en j. tion en mm
Fum.Org.
1966-67 240 101 1063 8,5
4,4 0,8
Billons-Calante
1965-66 215 46 Bill.-1263 Cal.-1100 1,7 1,7
5,7 5,1 0,14 0,15
Billons-Calante
1966-67 230 99 1929 1379 6,5 9,6
8,1 6,0 0,3 0,7
Défoncement x 1 2 3 4 5 6
1967-68 115 102 690 22,5. 47,4 37,7 5°,4 46,3 56,3
4,1 3,3 6,9 5,5 7,3 6,3 8,1
Fum.Org.
1968-69 150 39 469 F-38,2 P-44,8 G-41,7 T-39,9
3,1 8,1 9,5 8,9 8, .5
Fum.Phosph.
1967-68 140 87 379 27,0
2,7 7, 1
Fum.Phosph.
1968-69 130 39 386 26,6
3,0 6,9
Façons Cult.
1967-68 134 87 497 26,0
3,7 5,2
Façons Cult.
1968-69 119 39 393 21,9
3,3 5,6
....--,-------- _..
Durée (le Hauteur de
Tableau II.B-t22 (Suite)
'-
Orge en vert
------_._---"._ ... ~._---- ~-'" ... ....._ ...
~
Essai en mm en T/ha
végéta. ti.on précipi ta.- Apport total
en rnm/j Product10n ,le r·L V. en kg/m 3 dieau
en j tion en mm
Asp .Coliai t'e
1967-68 135 87 412 27,5
3,1 6,7
Asp.foliaire
1968-69 148 39 477 31,8
3,2 6,7
dO 1968-69 148 39 477 29,7
.... 3,2 6,2
lIiessaoudia
DF2 1967-68
(orge-bersim) 134 165 386 473 561 20,8 22,4 21,6
2,9 3,5 4,2 5,3 4,7 3,9
DL 1967-68 87 146 329 389 449 29,4 30,0 29,8
3,9 4,5 5,2 8,9 7, '7 6,6
DF3 1968-68 160 127 339 408 479 34,5 33,9 30,5
2,1 2,6 3,0 10,0 8,0 7,0
Nakta
DL 1967-68 100 89 269 329 389 28,5 27,9 30,3
2,7 3,3 3,9 10,6 8,5 7,8
Tableau II.B-t23 Fève
Durée de Hautc\U' d.e en mm Production de gousses vertes en Tlha
Essai végétation précipita- Apport total en mm/j en kg/m 3
en j tion en mm d'eau
Cherfech
DF2 1967-68 168 295 514 587 659 23,3 25,3 26,9
3,1 3,5 3,.9 4,5 4,3 4,1
9.E< 1967--68 176 308 496 A-15,1 B-12,9 C-10,6 D-1O,1
Messaoudia
2,8 3,0 2,6 2,1 2,°
DF1 1967-68 169 188 417 496 572 9,8 9,7 9,9
2,5 2,9 3,4 2,3 1,9 1,7
Nakta
DF4 1968-69 176 43 598 789 960 11, 1 11,4 14,9
3,4 4,5 5,5 1,9 1,5 1,6
DL 1968-69 163 43 561 732 899 3,5 3,5 3,5
- 3,4 4,5 5,5 0,6 0,5 0,4
- 238 -
Luzerne
Production de matïère
verte en T/ha
19,3 20,2 22,3 21,6 32,5 36,8 lJ:l., 2 1.1:3, °
Production en kg/m3 10,4 8,0 7,0 5,6 10,0 8,0 7l C 6 1
)
d'eau
Jo
4(9067 - 1~)11.67
Automne P • 52 mm
DO Dl D2 D3
Apport total en mm 227 314 402 490
Apport en DI1/j 3,2 ",4 5,7 6,9
Production de matière 4,3 5,0 5,5 5,6
verte en T/ha
Production en kg/m 3 1,9 1,6 1,4 1,1
d'eau
- 241 -
Sorgho fourrager
Station QC C~crfcch
Sore:,lo fourrager
1'"'u.:>.
C"::6;'u - 67\,)0
.. 9 U (1) = '00
~ mo)
..,
1ère voupe Tl '1'2
:Dl D2 D3 Dl D2 D3
Apport total en mm ~95 371 ~48 253 316 380
. ....
.'l.ppor Il en mm/j 6 7,6 9,1 5,2 6,4 7,fJ
Procluction de ,;,'w,tière verte 20,8 25,0 24,7 27,8 22,0 22,8
en T/ha
},:'I:;,'o cluc ti o,-~ en 1-,,./m
._I!:>
3 d'eau 7,0 7,0 5,5 11,0 7,0 6,0
A')~)ort
.>: .. en !JrJ./ j 5,5 7,4 9,3 6,6 r.
u,o'" 11,0
Froduction de natière verte 23,9 26,7 24,4 20,9 22,7 2 1l;,5
en l'fIla
~-:roduction en 1-,.,./m3
•• u d'eau 10,8 9,0 6,6 7,7 6 , lJ: 5,5
16.9.08 - 25.10.60 (P = 0 mm
1.l:ène Coupe Tl 'i'2
Dl D2 D3 Dl D':") D3
Apport total en mm llJ:l 186 231 141 186 231
A~)port en r:rr.l/ j 3,6 4,8 5,9 3,6 4,8 51 a J
1
-ll
137 j
j
-492
102 l....!
3,6
18,7
40,6
18.3
8,4
2e période :... 26. 2-18. 4 1 51 j 253 5,0 21,2 8,3
"Qualité eau" 1966
13.10- 1.1: • 1 1 83 j 267 3,2 16,5 6,2
4. 1-21. 2 48 j 104 2,2 23,7 22.7
1
-
le période - 13.10-21. 2
2e période - 21. 2-27. 3
·: 13134 j
j
371
142
2,8
4,2
l.!:0,2
28,1
10,8
19,7
"Quali té eau" 1967
30.10- 1 .. 2 · 93 j 371. 4,0 10,1 2,7
1. 2-11 c :; : 38 j 60 .!..t.§. ~23, 1 38.5
-
le période - ::;0.10-11. 3 · 131 j 431 3,3 33,1
1
7,6
_ M I;) -
- ~4/1-.
FigIA-f1
-- o
-i
rn
::0
::0
l>
Z
(Tl-
(Tl
- ---N..o."""t<ta-
1t+
."
of. + ... +
"0t-t
.
V//Bel Zones inté...essées, soi t pa... identité. soit pa... équivalence pa... les résultats:
de: Chel"'fech .
. .. .. . . .
° • • • • •
1 Messaoudio
Nokto
Ksa G hé ... iss
Zo zis
[[[[[[D] Tozeu...
1FigIA- f2 1
TRIANGLE DES TEXTURES' (I.N.R.A.)
Compol"'oison des textul"'es des sols des stations
de Chel"'fech. Ksol'" Ghériss. Nakla et Messaoûdio .
( 60 à 80 cm sup~...ieu",s)
100 AA,: A...gilelourde
A : Al"'gile ouT a...gileuse
AS : T al"'gilo.sa bleuse
~ï~~:~ CherFech lou...de
90
..] Ksar Ghériss
H.......
~ AL : T al"'gilo-limoneuse
• T • • TT • . AL 1 Al"'gife limoneuse
AS : T al"'g·llo.sableuse
1 1 Messaoudia LA: T .Iimono-argileuse
8 LA : Limon argileux
Nal<ta 5 A : T sa blo - al"'gileuse
SL :T sablo-limoneuse
AA L,T limoneuse
70 L : Limon
~1
S : T sa bleuse
55 : . S'a ble
o 5 L: Sa ble limoneux
6 -- _ LS: Limon sableux
---- ------- LL : Limon pul'"
AS
30'
AS
20-
SL L L
10
--
SS
SL LS LL
0 10 20 30
TRIANGLE u.S.O.A.
-
> 50
lM
50-6 0 60~70 70-80 - 80-85
Echelle:1 :2000
1 Fig IA-f 5 1
STATION EXPE RIME NTAL E DE CHERF ECH
T~n~r en argile ? E't limon fin <0- 20/) .Couc hE' 2O_4 0cm
>
1-
o
0::
a..
....j
o
0::
~
> sa
mm
50 - 60
WZ&I
60_7 0
~
70 _80 - 80-85
Echell e~1l20 00
1 FIg lA.' 61
5TATION EXPERIMENTALE DE CHERFECH
TG?n~r G?n orgilG? G?t limon fin (0_ 2gi'). CoudlG? ~O-80cm
-"
:J
a::
r???â
> 50
l&m
50-60
~
60-70
lifiiïJ
70 - 80 -8 0- 85
Echelle:1 ~ 2000
1 Fig IA- f7 1
STATION EX PERIMENTALE DE CHERFECH
Teneur en argile et limon fin (O-20/,).Couche eO-120cm
1-
W
dl
<!
:I:
1-
o
0-
11\
W
..J
..J
>
o
a::
a.
r???â
>50 -
-1S?m
50-60
-t22I
_60-70
fZ*J
70 -80 - 80-65
EchelJe.. 1:2000
.!.FiéJIA-f:B 1
STATION EXPERIMENTALE DE NAKTA
TE'neur E'n argïlE' E't limon fin(O-20)').CouchE' 0 -20cm
--------1::.-.1l-_....::c...........o........II--:a-Cl....::C'-:-'-f
pis tel
el.::.....;::u'-'c C---.:11-------
LOT-3• . . LOT .1•
Essai DF3 . Essai 01
~ 10_20% Mm 25_30"0
.~20_25 ~30_40
Echelle.1: 2000
_ .$;'$'5-
- - - - _ .~-.:~ C 0,1
p 0.
e c r
ste
Cl a fi 1:-:--.11--------
LOT_3_ L OT-1.
Essai D,F3 Essai 01
_ 25_30%
~ 30-'0
~ >40
;:.;~~-
!FigIA-f10 ;
STATION EXPERIMENTALE DE NAKTA
Tt?neur en a ... gile et limon fin (O-20)'l.Couche 40 _ 80cm
.LOT.1.
Essai D1
~.<20~ ~ 30-40%
~ 20-30 . ~ 40-50
~ >50
Echelle:1: 2000
1 FigTA-f 11 1
1 .~
_ _ 30_40%
~40-S0
~>SO
EcheHe: 1: 200Q .
• ~7Jl-
] FÎgIA-f12 1
LoL2_
~12_15%
_15_20
Echelle.1: 4(XX)
STATION EXPERlMENTALE DE KSAR GHERISS
T~n~ur en argile et limon fin(O-20)).Profond~urSOcm
Lot _2_
~15-20%
~20-25
_25_30
Echelle:1 :4000
-~o-
50 50
E
u
c
"
'" \
, \
\
,,
.. _--~ Essai DI 1 . , ~
____ .Etude Bilan / - EssalDr1
.::J , .
/ ..---- Essai DF2
...
150 150
''0
.c.
,1
1
1
1
CL 50 ( 50
\
\
\
\
\
100- 100
- Lot1 et ~
.. Lot 5
200
-~,-
1 FigIA- f 15 1
STATION EXPERIMENTALE DE CHERFECH
Indices d' instcb ili tG? struc turc l'? (0 - 10c m)
1-
W
co
1
1-
o
VI
1
w
..J
..J
5
Œ
~
>6
~
10_12 - > 12
Echelle:1: 2000
- !l/GU-
1FigI A-f~61
Couche
pF
{ 10-20
0-10
4,2 llll2I 20-30
30-40
{ 40-50
50-60
§
z.o-ao
2,7
f·80-90
OO 11O
_ .
110-120
120-~30
2,3
2,0
1,5
1
10 20 30 40 50
% d'eau en volume
--<"GJ-
. 1 FigIA- f17 1
pF Couche
4,2 0 -10
E- d 10-20
20 -30
{
30 -40
70-S0
l7777777i1 8 0 - 90
2.7 ~ {100-110
110-120
2,3_
2,0
1,5
.
10 20 30 '40
% d'eau en volume
1 Fig l A- f18 1
pF
4.2 Couche
.VZIT/J 0- 40 cm
1 170-150
2,7
2,3
2,0
1,5
10 20
1 .
0/0 d eau en volume
1 FigIA-f 19 [
Couche
pF
fïlï//21 0 -50cm
1 1 80-120
2,7
2,3
2,0
1,5
10 20 30 40 50 60
% d'eau en volume
1 Fig IA- f201
Couche Lot
pF 0-10 1
4,2 f!ïJ////J30 - 70 1
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- Ksa l" Ghél"iss- Salul"Q( ECa)et mode d'epandage (billon_calant)
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-Ksar Ghériss- Salure CECe)et distance à partir 1 FÎ9nA-f1S\
de l'origine de la" parcelle
Comparaison entre tête, milieu et queue des parcelles DFB et DFC
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1 FigIIA- f19 r
_Cher'fech_ Salur'e et for-me de b'dlon
R~par'tition de la salur-e( EC e ) dans trois billons diffÉor-ents
_ >9mmhos
~ 6-9mmhos
Profil A: ~ 4.6mmhos
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Profil B
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_ S-7mmhos
Eu
m 4-Smmhos
fd ~ 3-4mmhos
100cm
Ksar Ghêriss.
_ 10-12mmhos
~ 6-10mmhos
75cm ~ 4-6mmhos
o 2.4mmhos
Nakta.
_ 10-16mmhos
~ 6-10mmhos
75cm ~ S-6mmhos
D 3-Smmhos
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-Cnerfech - Etude Bilan des sels.
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1: Evolution mensuelle de 1 ECe de mai 1964 a mars 1968 Couche 0- 40cm (1)
Ir: Evolutio'n bi- annuelle de 1ECe: prélèvements faits avant et apr-és 40- 60cm (2)
80-150c.m (3)
les irrigations d'é.té
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_Tozeul"'- Etude
. Bila n - 116'-
des sels
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1 Fig lIA- f34 1
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_Tozeur_ Etude Bilan des sels
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_Utique_ NafT avant et apr-'Qs le lessivage 1 FigIIA-f41 1
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8 10 12mmhosfcm
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501ur-e du sol en mmhos/cm , couche O-SOcm
- 3t18-
RQduction du rendemE'nt en fonction de la salure 1 FïgD''&- f4]
C herfE'ch 1965-68
: .~
Pastèques 10T. marchandes :,$SSSSSSSSf
l ,
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l , l ,
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I I I
c==:tiz2zzzz:2?2/z21.··.is::s::.;::;ssss::;s\S,\s:i~~x:i:XQx:cx~X':t:
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Maïs 13T. d'épis V" ZZal ,! .. l'SSSS\\s;E~
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Rendement %100 90 80 70 60 50
Sa lure moyenne du se 1
o 4 6 12 , 16 20 ECs
1 l , 1 , 1
1 1
o 2 4 6 8 EC e
Artichauts 2~ ann;e v)Z72/
Luzerne
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, 1
, 1
, 1
pi ments \:ZZ27 \, \
, ,
,
\ ,\S\SW
Fèves
Pastèques
\ \. \ ".\
TrëFle de Perse
,
rzza, 1
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'w'
Rendement % 100 90 6070 6050
:1-11.9-
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'----........,r----'-.......,-.....L..-~........--_+-----I~-----I--__r-"""--_ mmhos/cm
4. 5 6 7 ECe
_ 3k_
Essai de germination en boite de pétri
Maïs. semé ie 16.4.66
100%r=====:::::======::========~::::=====:--------e 22.'
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3.9 7.2
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0 3,9 . ~0,4
0- 2.0 7,2 13,'
c EC des Solutions-typ~ 2 en mmhos/ cm
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2.0 ~6 . 6,7 10 7 13,7
C des Solutions-type 1 en mmhos/cm
- 33t/.·
. , 1 Fig IIB-fal
Essai de germination Qt de lev~ en bac
Moïs sem~ le 18.9.68
III
100% . :~20.9
28.9
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,- . .26,9
III
III
CIl
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4 5 6 7 8 9 10 ECe
Salure du sol,mmhos/cm, couche 0-10cm du 160u 29. 9
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CIl
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a. 10 15 .20 25 ECs
4 5 6 7 8 9 10 ECe
Sa lure du sol. mmhos/cm, couche 0-40cm du19.9 ou 20.10
- 33'3- ( FignB-F 91
1nFluencE' de? 10 densité appa rente SUl'" 1ocçumulation de? sulFul"'E's
dans la spel"'mosphÈ'l"'e et Cians la l'''hizosphèl'''e? d'un maïs.
(sol salin engor'ge de N akta )
SULFURES Spermosphère
(x10 -65 .) •
200 •
•
150
•
100
Rhi zosphère
50
DENSITE APPARENTE
O-l--------.,....------r--..,....------r----
1,80 1,60 1, 70
- .13'1-
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100
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1,5 2.3 4,1 7,5 10,8 14,4
AccumulaHon du sodium en Fonction "
de la conductivi~é de l'eau d arrosage .. /
1 '
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IFig IIB-f11 l
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EC en mmnos/cm
1,S '2.3 4,1 7,5 10,8 14,4
- ~36'-
Ksar Gheriss Profils hydriques sous lu zerne
I"rrigc tion du 10-4-67- DosCi? 75 m m
3 5 6 7 8 9 10 11
sa
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70
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C. 4 heures apres
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4 24heures apr~s
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ax x 38joursapres
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III
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~ 100 '--L.-!----I:--- ........ .....L.. .l...- L-_
FiglIB-f1SI
T1 6Jours
T2 12jours
T1 -35mm T1 -35rnm
T2-·88mm
- 50~----r--r----:-----r-"""T"""-r----""'-"-"""'-----'----r--'r--"';""'----r"""T"""-r-----r-""'-...---
12 1314 18 19 20 24 25 26 30 31 1 .67 8 12 13'14
.J uillet 1966 Aôut1966
1
- J3i-
du 4-6 au 28.8.68
Prélèvements avant irrigation.
I=45mm l';:45mm
t
Arr;t
, des irrigations T1
300 1
11
1
1
1
250
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N
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. 1FigIIB-f111
10 15 20 . 25 30% .
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Humidite
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------- T2,1Sjours
mm
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+70 68mm 63mm 100mm 74mm 70_107mm
+60
+50 1\
1
+40 1
1
+30. , 1
1
+20 1 1
+10 ,
1
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1
1
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1
1
1
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\
-60 \
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-70
-80
- 90
-100
•
9
l FignB-f1 1
-. Cherfech
Répartition des racines les pius Fines (diamètre <0,8. mm)
Période T1
ProFondeur
1 en cm % des racines
, O'c m .-------------....:...--....., Ocm·
.Xdes racines
20 _
20 -
65.34% 52.47%
40 - r--
14,57%
40 - r--
17, 53%
60 - ..... 60 _ _.
8,99"0 13.47~
80 - ~64~ 80 - -
8,920/0
120 1,640/0
1 FigTIB- f2 01
.....
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...
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. . - ..
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coupe coupe
1.0 + 1.0
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QI 0.4 0.4
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c 0.2 0.2
c.
0
>-
• tomates • sorgho
0 + maïs + luzerne
0::
. 8 10 12 14 16 18 heures 8 10 . 12 14 16 18heures
- O'lminution du rayonnement net en profondeur _
100%
[ FigTTB-f22l
80
~ • tomates
+ maïs
c o . sorgho
QI
x luzerne
..... 60
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c
+
+ +
+
C
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.CIl
c +
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0
0::
20
50 100 150cm
Profondeur
1 FiglIB -f 23 [
, .
_ Res (stance .des stoma tes de toma tes -
IrricJation 6.7.68
• mesures 8.7.68
.
Feuilles Jeunes
o mesures 12 , 7,68
,
Face superieure
. 1
Face inferÎeure
50 50
III
C 40 40
61
ci
a: 30 30
III
61
20 20
0
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0 10 10
III
III 7 9 11 13 15 17 19heures 7 9 11 13 15 17 19
61
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61
U
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Feuilles adultes
III
,-
III
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50 50
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30 30
20 20
10 10
7 9 11 13 1S 17 19 7 9 11 13 15 17 19
_Relation entre la resistance oes stomates d~ la foce
supérieu re . et celle de la face inférieures des feuilles
_ TOMATES'_
sec sec·
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•
20 20
~ QI o
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::J ::J.
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10 20 sec 10 20 sec
inFérieure in Férieur-e
• 8.7.68
x 10.7. 68
o 12.7. 68
+ 15.7. 68
-'N~-
, . ..
_ ResIstance des stomatCë?s dCi? mals_ 1 Fig llB-f 2M
Il"'l"'igotion 4.7.68
• mesul"'es 8.7.68
Feuilles Jeunes o mesul"'es 12.7.68
Foce ' .
su pel"'leul"'e Foce infél"'teul"'e
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40 40
30 30
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III
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~ 20 20
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III
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Feuilles agees
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0:: 70 70
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10 10
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Jeunes Feuilles adultes
sec. sec.
60 60
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i ntel"'ieul"'e i nFèl"'ieul"'e
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Feuilles ogees
sec
60
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(\1 x 10. 7 . 68
c- o 12, 7 . 68
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60 sec
20 40
rnFél"'ieul"'e
-W8- . 1 Fig n~-f 27 1
Relal'ion entr'e la r'~sistance
, des stomates
et I~ tem-ps apr'es l'j(,,,r'igatlon
_ TOMAT,ES_
Feuilles jeunes
l
Face superieure
, . ,.
Fa ce inferieUre
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•
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+ aprés 2! i,..,.igation .
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, . . .
Jours a pres Irrigation
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+
2
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apl"'es irrigation
4 6 8
-~5o- IFigU 1H291
FQU illes
.
Jeunes
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22
20
18 , .
• Foce sUp'erleure
16 . '.
+ Foce inFerieure
14
12
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6
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0::
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20
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III • A'
'GI Feuilles ag ees
a:: 24 +
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10
8
6
4
2
10 20 30
- 3~/-
. IFignB- f3 01
Aug mentation de.la r-ésista nce stomatlque des tomates
sur- lys imètr-e et au champ
6 p--------- -..0
/' champ
\fi /
c
4
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0:
0---
_.-1
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"cu 2
-
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."0:
1 3 5 10
jours apr;s l'irrigation
0.8 1 FigUB-f311
o
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1 0.6 \
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0.2 ........ "'-""Q camp
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Iysimètre
1 2. 3 4 m. 5.-1
vitesse du vent
- 3'5"'d-
~ LuzCi?l"'nCi? -
Evolution de la pl"Qduction pal" coupe
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_ Sorgho fou rrager_
J=volution de la production par coupe
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1 1
0\ -------T1 03 Nokta
~
M J J A 5 O. N
Ray. grass _ l FignB-F3SI
. • . . . 1
Pro_ductlon par metre cube d ~u Evolution dela production cumulée,
en fonction des appoMs
It'l
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C 10 t..
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1 Terrain de côteau ----.......;~Zone
nappe pas dangèreuse 1 intermêdia'ire
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côt~ du drain :7.85
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8',20
débit2,75mm/jour
8.00
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7.80
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Toz~ur_ Parc~lI~ - Bil'an
Evolution d~ la nappe au cours de 1"967 1 Cote du terrain 18.35
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