Metre Cours Bts 2

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SOMMAIRE

Chapitre A : AVANTS - MÉTRÉS …………..………..............…Page


Page : 22

Leçon : 1  AVANT- MÉTRÉ DE TERRASSEMENT……………..………………………………………….....…......…Pages


Pages :: 23 -à1114
Pages : 15
Leçon : 2  AVANT- MÉTRÉ DE BÉTON…..…………………………………………….……………………………..…..…Pages 12 -à13
21
Leçon : 3  AVANT- MÉTRÉ DE FERRAILLAGE
A. MÉTHODE DES RATIOS D’ACIERS………………………………………..…………..…….
Pages : 13 – 14
B. MÉTHODE DES MASSES LINÉIQUES……………………………………………..….……
Pages : 14 - 15

Pages :: 16
Leçon : 4  AVANT- MÉTRÉ DE COFFRAGE…….....………………….………………………………………………..…Pages 27- 18
à 32
 Exercice d’ application : AVANT - MÉTRÉ DE BÉTON –
DE FERRAILLAGE ( Ratios ) et DE COFFRAGE : …….…… Pages : 18 - 23

Leçon : 5  AVANT- MÉTRÉ DE MAÇONNERIE …………………………………………………………………..…..…Pages


Pages :: 24
33-à29
38
Leçon : 6  AVANT- MÉTRÉ DE CHARPENTE BOIS ………...………………………………………………….….…Pages
Pages :: 30
39-à33
41
Pages :: 34
Leçon : 7  AVANT- MÉTRÉ DE COUVERTURE…...……………………………………...………………………..……Pages 42-à36
45

Chapitre B : CALCULS D‘APPROVISIONNEMENTS Page


………….......… : 37:
Page 46

Pages: :37
Leçon : 1  CALCULS D’ APPROVISIONNEMENTS (CIMENT – SABLE – GRAVIER)….…………..…Pages 47– 38
- 48
Leçon : 2  CALCULS D’ APPROVISIONNEMENTS (AGGLOMÉRÉS – BRIQUES – HOURDIS)…..Pages
Pages :: 49
39 - 40
50
Leçon : 3  CALCULS D’ APPROVISIONNEMENTS (FER À BETON) …...……………...…….…...…..….…Pages
Pages : :41
51- 42
- 52

Chapitre C : ÉTUDE DE PRIX…………………………..…......…......…


Page : 43
Page : 53

Page
Leçon : 1  MODE DE PASSATION DES MARCHÉ…………..…….…………………………………….………..…..… Page: :43
54
Page
Leçon : 2  MODE DE RÈGLEMENT DES MARCHÉS………………………………….……………….…..…....…..… Page: :44
55
Page
Leçon : 3  COMPOSITION D’UN DOSSIER D’APPEL D’OFFRE……….………………..……...…….…...…..… Page: :45
56
Leçon : 4  ANALYSE D’UN DOSSIER D’APPEL D’OFFRE AVEC RÉDACTION
DE LA SOUMISSION………….....................................................................…….……………….…………… Pages : 46 - 47
Leçon : 5  COMPOSITION D’UN PRIX DE VENTE DE TRAVAUX DE BÂTIMENT……......................…Pages
Pages: :48
59- -49
60
Pages
Leçon : 6  CALCUL DES DÉBOURSÉS SECS……….………………………………………….……....……….……..… Pages: :50
61-à53
64
Leçon : 7  CALCUL DU COEFFICIENT DE VENTE D’UNE ENTREPRISE……………………....……..……Page
Page::54
65
Leçon : 8  CALCUL D’UN PRIX DE VENTE UNITAIRE HORS TAXE…………..……….........................…...Page
Page::55
66

 LA PRATIQUE DU CHANTIER ( Mortier – Béton – Agglomérés – Aciers ) ………………………... Pages : 56 - 58

Bibliographie
Pages : 70 à 71

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Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19  B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 1
Chapitre A ~ AVANTS - MÉTRÉS

Chapitre A Leçon 1 AVANT - MÉTRÉ DE TERRASSEMENT Date :

1. Définitions :
On nomme terrassement ou mouvement de terre , l’ensemble des travaux se rapportant à la modification
du relief d’ un terrain. Ces travaux peuvent être précédés de l’ enlèvement des végétaux ( désherbage ou
débroussaillage ) et du décapage de la terre végétale ou arable.
La modification des niveaux du sol est le résultat de l’ exécution manuelle ( pioche , pelle manuelle , .. .) ou
mécanique ( engins ) de déblais et de remblais (figure 1).
Limite oblique
 Déblai = Abaissement du niveau du terrain par à obtenir après
enlèvement de terre. terrassement
Terrain
 Remblai = Relèvement du niveau du terrain par naturel
apport de terre. Remblai
. Déblai
 Déblai et remblai représentent également ,
les terres extraites ou accumulées d’ un
terrassement. figure 1

Exemples :  Travaux de terrassement de grande surface , opérés en terrain découvert ,


pour l' exécution des routes , aérodromes , ponts , etc.
 Travaux de terrassement (fouilles) pour les fondations d’un bâtiment.
 Travaux de terrassement (fouilles) pour enterrer des canalisations.

2. Classification des terrains du point de vue terrassement :


En fonction de leur dureté et des difficultés d’exécution manuelle des fouilles, les terrains du point de
vue terrassement sont classés en six (6) catégories ou classes :

Classe A : Terre végétale ordinaire ou arable, sable,… Classe D : Roche moyennement dure,…
Classe B : Terre argileuse, pierreuse ou caillouteuse, … Classe E : Roche dure, exploitable au marteau-piqueur.
Classe C : Argile plastique, marne compacte,… Classe F : Roche très dure, nécessitant l’emploi de mine
ou de la dynamite.

3. Identification des ouvrages de terrassement :

DESIGNATIONS CARACTERISTIQUES ( Longueur  Largeur  Profondeur  Epaisseur )

Décapage L’ épaisseur du décapage est fonction de la nature du sol.


(terre végétale) N.B : Épaisseur minimale = 20 cm.
Fouilles en rigole Largeur  2,00 m et Profondeur  1,00 m
1 cas : Largeur  2,00 m on doit avoir Profondeur > 1,00 m
er
Prof.

1
Fouilles
e
2 cas : Largeur > 2,00 m on doit avoir Profondeur >  Largeur
2
en Quand Longueur  Largeur :
tranchée
figure 2
 Profondeur > 1,00 m on a alors un puits. Larg.

 Profondeur < 1,00 m on a alors un trou. FOUILLE


Fouille 1
en excavation Largeur  2,00 m et Profondeur   Largeur
2
(superficielle)

4. Talus :
Le talus ( figures 3.a et 3.b ) est une surface réglée et inclinée limitant latéralement un déblai ou un remblai.
Il est fonction de la nature du terrain et est générelament réalisé pour éviter les éboulements de terres .
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Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19  B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 2
t L’ inclinaison du talus peut être caractérisée par :
p(%) Talus  Un rapport sans dimension noté : t / d .
 Avec t la longueur de la trace horizontale

d
Talus Talus
et d la longueur de la trace verticale ,
 mesurées entre les extrémités de la ligne
du talus.
COUPE AA - PERPECTIVE Exemples : 1 / 1 – 1 / 3 – 2 / 3 – 3 / 2.
figure 3.a

 Une pente p égale à l’ inverse de t / d ,


 On dit aussi que la pente est l’ inverse
A haut
t
bas A du talus.

haut
Talus  Un angle  tel que : tanα = d = p ,
t 100
  en degré et p en pourcetage ( %).
VUE EN PLAN figure 3.b

5. Foisonnement des terres :


En excavant les terres, le volume occupé par celles-ci augmente lors de la décompression du sol. C’est
le phénomène de foisonnement . On définit alors un coefficient dit de foisonnement égale à un nombre
toujours supérieur à un ( >1) ou exprimé en pourcentage (%) , pour en tenir compte.

 Le coefficient de foisonnement passager (noté f ou kf ) sert à calculer un volume de terre à évacuer.


 Le coefficient de foisonnement permanent ou residuel (coef. noté kr ) servira à calculer un volume
de terre à utiliser pour faire un remblai , soigneusement damé.

Exemples de valeur moyenne du coefficient de foisonnement passager et residuel :


Argile  f = 35 % ou 1,35 et kr = 10% ou 1,10 Sable, gravier  f = 12 à 15 % ou 1,12 à 1,15
Terre végétale  f = 25 % ou 1,25 Rochers  f = 65 à 70 % ou 1,65 à 1,70.

6. Quantification des travaux :


6.1 Travaux préliminaires :
 Les travaux de désherbage et de débroussaillage sont évalués au mètre superficiel (m2 ).
2
 Les travaux d’ implantation d’ ouvrages (bâtiments , édifices , …) sont évalués au mètre superficiel (m ),
en considerant l’ emprise des ouvrages à implanter.
NB : Ces travaux précités (désherbage – débroussaillage – implantation ) peuvent aussi être évalués de façon
t
forfaitaire ( Prix global forfaitair avec pour unité de mesure : U ou ff ).

6.2 Déblais et Remblais :


 Le décapage de la terre végétale sera évalué en :

 mètre carré (m2), lorsque l’épaisseur < 25 cm ou l’épaisseur est inconnue.


 mètre cube (m3) , lorsque l’épaisseur ≥ 25 cm.
 Le prix unitaire ( PU ) connue definira véritablement l’ unité de mesure du décapage de la terre
végétale.

 Les déblais des fouilles, remblais des fouilles et remblais sous dallage seront quantifiés en
mètre cube (m3) suivant les mesures prises aux vides ou formes géométriques des ouvrages de
terrassement, sans tenir compte du foisonnement des terres.
 Le terme “ cube ” sera employé pour désigner le volume de déblai ou de remblai à déterminer.
 Majorés du coefficient de foisonnement permanent ou résiduel , ces cubes des remblais
( fouilles et sous dallage) permettront de connaître les cubes de terre à compacter.
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 Majorés du coefficient de foisonnement passager de la terre considérée, ces cubes de deblais
des fouilles ( Déblais restants) permettront de connaître les cubes de terre à évacuer (voir principe
de calcul ci-dessous).
 Cube Déblais = Cube Déblais Cube Remblais
Cube terre à évacuer = Cube Déblais × fPasssager restants initiaux
restants
 fPasssager  Nombre decimal > 1.

N.B :  Le déblai restant = excédent de terre après l’ exécution d’ un remblai de fouilles ou sous dallage , …
 Les cubes des vides géométriques seront calculés avec des formules mathématiques appropriées.

7. Application :
Ce projet est relatif aux travaux de terrassement à exécuter avant la construction d’ un immeuble sur un
terrain de dimensions 60,00m x 55,00m.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DESCRIPTIF
DOUAHI M Jér. SOMMAIRE
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Lot  - TERRASSEMENT :
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1. Débroussaillage sur l' ensemble du terrain.
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2. Décapage de la terre végétale (ép. = 25cm), sur une aire rectangulaire délimitée par les axes des fouilles périphé-
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riques ( tranchées + puits), en comptant un surplus de 20,00 m de part et d’autres de ces axes.
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3. Fouilles en excavation 1 et 2, en terrain de classe C , exécutées dans l’ordre croissant de leur numéro y compris
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( y / c) une rampe d’accès.
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Indication : Cuber le déblai de la fouille en excavation 1, avec la formule mathématique
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h
  B  B  4B 
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des trois (3) niveaux : Cube
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI MExcav.1
Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. et le déblai de la rampe d’ accès, avec celle du tronc de prisme triangulaire :
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a a a
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 Section droite 
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
1 M Jér. DOUAHI
2 3 M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Cube
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI MRampe
Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
d' accès DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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3
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4. Fouilles en tranchées de même profondeur et en puits de même profondeur, en terrain de classe C, pour les semelles.
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5. Remblais de toutes les fouilles ( excavations + rampe d’ accès + tranchées + puits ), après l’ exécution des ouvrages
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en fondation, avec la terre de classe C.
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Indications :  Excavations + rampe d’ accès, prendre 55% de tous leurs deblais.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
 Tranchées + puits , utilisez les cotes des plans.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
6. Remblai nivelé et compacté sous dallage, avec de la terre de classe B à apporter.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
N.B : Les sections des poteaux dans le dallage seront négligées.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
7. Apport de terre de classe B pour le remblai sous dallage.  f
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. permanent
DOUAHI M Jér.
= 1,15.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
8. Évacuation des excédents de déblais (terre C ) à la décharge publique.  f
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI
passager = 32, 5 %.
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. TRAVAIL
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI ÀM Jér.
M Jér. DOUAHI FAIRE
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. À partir du descriptif sommaire ci-dessus et des plans (Pages 4 ; 5 et 6 ) ,
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
A. Établissez l’ avant - métré de terrassement des éléments contenus dans le desriptif sommaire.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. B. Déterminez le nombre de camions pour évacuer les excédents de déblais (terre de classe C ) à
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
la décharge publique , sachant que :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.  1 camion porte 28 tonnes de charge utiles,  
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI Meau = 1000 kg /m .
Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

 1 camion fait cinq (5) rotations par jour  densité de la terre C, d =



DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

 1, 7
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
TerreDOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
eauDOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
 L’évacuation se fera en six (6) jours. 
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI Mterre
et 
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Jér. DOUAHI Meau
Jér.
sont des masses volumiques.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
Prof. :M DOUAHI
DOUAHI M. DOUAHI
Jér. DOUAHI M Jér. J. – Cel
M Jér. :DOUAHI
08 36 68DOUAHI
M Jér. 
19 M Jér. DOUAHIB.T.S 2e Année
M Jér. DOUAHI AACVM Jér.
M Jér. DOUAHI ~
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
GC-Bât. ~ DOUAHI
DOUAHI M Jér. Urbanisme  2019
M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Page 4
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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B MÉTRÉ Page

Date
PROJET : CONSTRUCTION D’ UN IMMEUBLE Méteur :

RÉSULTATS
N° DÉSIGNATION DES OUVRAGES ET CALCULS
Auxil. Partiel Définitif
U

A. AVANT – MÉTRÉ DE TERRASSEMENT :


Lot  - TERRASSEMENT :
1. Débroussaillage sur l' ensemble du terrain :
S = Long. x larg.=
2. Décapage de la terre végétale (ép. = 25cm) :
Cube = Long. x larg. x ép.
 Long. =

 larg. =

Cube =

3. Fouilles en excavation 1 et 2 y/c une rampe d’accès


( Terre C ) :
3.1 Fouille en excavation 1 :
h
CubeExcav.1   B  B  4B 
6

 h=

 B=

 B’ =

 B’’ =

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RÉSULTATS
N° DÉSIGNATION DES OUVRAGES ET CALCULS
Auxil. Partiel Définitif
U

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Date :
Chapitre A Leçon 2 AVANT - MÉTRÉ DE BÉTON

1. Décomposition de la structure en ouvrages élémentaires :


La connaissance des ouvrages élémentaires en béton ou en béton armé d’ une structure, est essentielle,
avant la détermination des quantités de béton. Exemples : Béton de propreté, semelles, radiers, dallages, voiles,
poteaux, longrines, poutres, consoles, dalles, escaliers, chaînages ( horizontaux ou verticaux ), linteaux, etc.

2. Détermination des quantités de béton :


La quantité de béton d’ un ouvrage élémentaire est généralement évaluée en mètre cube ( m3 ) , d’où
l’emploi du terme " cube " pour la désigner.
Le béton de propreté et le béton du dallage peuvent aussi être quantifiés en mètre carré (m2) , si le prix
unitaire du béton utilisé est défini par surface de l’ouvrage élémentaire considéré (Ex. : F.CFA / m2).

2.1 Béton de propreté - Semelles ( isolées ou filantes) - Radiers - Dallages - Dalles :

t t
Cube béton = ( Long. ou Linéaire ) x larg. x ( h ou ép. ) = Surface x ( h ou ép. )

N.B :  Semelles avec glacis ( figure 1).

 VS. Glacis = VPied droit + VGlacis

 Ouvertures ou réservations de moins


de 0,50 m2 ( < 0,50 m2 ) , sections de
poteaux ou de raidisseurs dans les
dallages et les dalles sont négligées.

2.2 Longrines - Poutres - Poutrelles - Consoles - Chaînages horizontaux - Linteaux :

Lorsque ces ouvrages élémentaires ont une section


constante ( forme régulière ) , on a : Cube béton = Section x ( Long. ou Linéaire )

N.B :
 Longueur de longrine et de poutre ( fig. 2) mesurée
entre les nus des poteaux ou poutres principales.
 Longueur de chaînage horizontal mesurée entre
les chaînages verticaux (raidisseurs); parfois entre
poteaux et raidisseurs.
 Longueur du linteau égale à la largeur de la baie
augmentée des longueurs sur appuis ( fig. 2).
 Ouvrages élémentaires de forme irrégulière ou
quelconque quantifiés , en utilisant la méthode
de décomposition ou en appliquant des formules
mathématiques appropriées.

2.3 Poteaux - Chaînages verticaux (raidisseurs) - Voiles :


Lorsque ces ouvrages élémentaires ont une section constante ( forme régulière ) , on a :

t
Cube béton = Section x h x n Avec n le nombre d’ ouvrages élémentaires identiques

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19  B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 12
N.B :
 Valable pour les poteaux - raidisseurs - voiles.
Hauteur mesurée :
er
 1 cas : du dessus de semelle, au sommet du
poteau.
e
 2 cas : du dessus de semelle, au-dessus du
plancher haut.
e
 3 cas : du dessus du plancher inférieur, au–
dessus du plancher supérieur.

 Les ouvrages élémentaires de forme Irrégu -


lière ou variable seront quantifiés, en utilisant
la méthode de décomposition ou en appliquant
des formules mathé matiques appropriées.

1ercas 2e cas 3e cas

2.4 Planchers à corps creux ou hourdis ou entrevous :


Constitués de nervures ou poutrelles en béton armé, préfabriquées ou coulées sur place, d'entrevous
ou hourdis ( hauteur = 10; 15; 20; 25 cm) et d'une dalle de compression en béton armé (ép. de 4 à 5 cm) ,
ces planchers sont évalués en mètre carré (m2) , lors de l’établissement d’un avant-métré.
2
N.B : ouvertures et réservations de moins de 0,50 m , dans ces planchers, seront négligées.

2.5 Escaliers :
Evalué en mètre cube (m3), le béton de l’ escalier
est le cumul des quantifiés de béton des éléments
constitutifs, après décomposition de l’escalier :
Semelle, marches, paillasse, palier de repos , etc. ( fig. 6).



Date :
Chapitre A Leçon 3 AVANT - MÉTRÉ DE FERRAILLAGE

A. MÉTHODE DES RATIOS D’ACIERS :


1. Données de base :
1.1 Quantité de béton :
Cette quantité évaluée en mètre cube (m3) ou en mètre carré (m2), est déterminée pour chaque
catégorie d’ ouvrage élémentaire en béton armé ( semelles, longrines, poteaux, poutres, dallage, chaînages, …),
lors de l'établissement de l' avant-métré de béton.

1.2 Ratio d' aciers ( Tableaux ci-dessous ) :


C’est une valeur numérique qui exprime la masse d' aciers en kilogramme par mètre cube (kg /m3 )
ou en kilogramme par mètre carré (kg /m2 ) de béton , pour une catégorie d' ouvrage élémentaire.

QUELQUES RATIOS D'ACIERS


3
Poutres 130 à 150
Ouvrages élémentaires Ratios (kg/m ) Dalles pleines 60 à 80
Semelles filantes 20 à 25 Raidisseurs 100 à 150
Semelles isolées 60 à 120 Chaînages 80 à 120
Longrines 100 à 130 Linteaux 80 à 120
Poteaux 140 à 150 Escaliers 60 à 80
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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N.B :  Ces valeurs numériques des ratios d’ aciers découlent des bilans des chantiers antérieurs de l’entreprise.
Elles peuvent donc varier.
2
 Les treillis soudés ( fourniture et pose ) sont la plupart du temps quantifiés en m , d’où le calcul
des surfaces réelles des ouvrages en béton armé sans déduction des surfaces des vides et résevations de
moins de 1,00 m2 .

2. Calcul des quantités d' aciers :


Q Aciers = ( Cube Béton ou Surface Béton ) x Ratio Aciers

kg m3 m2 kg/m3 ou kg/m2

B. MÉTHODE DES MASSES LINÉIQUES :


1. Principe de calcul :
1.1 Calcul de la masse d’ aciers par repère (M / repère ) :
Pour chaque ouvrage élémentaire considéré , calculer la masse d’ aciers par repère à partir de la
longueur développée (Ldev. ) d’une barre ou d’un élément , du nombre (n) de barres ou d’ éléments
à façonner et de la masse linéique des aciers (données à mettre dans l’ imprimé de calcul ), en faisant :

MASSES LINÉIQUES DES BARRES D’ACIERS

M / repère = Ldev. x n x masse linéique Diamètre Masse 12 0.888


nominal linéique 14 1.208
( mm ) ( kg/m ) 1.578
16
N.B : La masse linéique est aussi appelée masse linéaire 20 2.466
5 0.154
ou unitaire (voir tableaux ci-contre). 25 3.853
6 0.222
8 0.395 32 6.313
10 0.617 40 9.865

1.2 Calcul de la masse totale d’ aciers par ouvrage élémentaire (Mt / O.E) :
La masse totale des aciers par ouvrage élémentaires ( Mt / O.E ) est
obtenue en faisant la somme des masses des aciers (M / repère ), Mt / O.E =  M / repère
contenus dans l’ouvrage élémentaire considéré.

2. Application : Exercice d’application

À partir des plans d’ armatures fournis, établir dans l’imprimé de calcul approprié,
TRAVAIL
l’avant - métré de ferraillage par la méthode des masses linéiques des barres
À
FAIRE d’ aciers.
NB : Cinq (5) poutres, huit (8) consoles, six (6) semelles isolées et six (6) poteaux.

2 HA 14 22 Cadres HA 6
L = 3,35 
 2 HA 8 2 HA 16 7 Cadres HA 6
L = 1,40
 L = 5,00 L = 1,75
  L moyenne = 1,10

2 HA 10
3 ×10 2 ×15 18 L = 2,35
 L2 =HA5,20
16
CONSOLE
2 × 2 HA 12
 L = 90
POUTRE
0

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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28 étriers HA 6  35
COUPE
AA
 e = 18
6 HA 14  5,45

28 cadres HA 6  1,30 
e = 18
A A
6 HA 14 (Attentes
 dans semelle)  1,65
POTEAU

 sur
SEMELLE ISOLÉE

8 HA 12  1,40

 e = 145

9 HA 12  1,35
SEMELLE ISOLÉE
 e = 145

DIMENSIONS ~ NOMBRE MASSES


DÉSIGNATION Nombre
Longueur Linéique
Totale ou

DES OUVRAGES  de
d’un ou Partielle
Définitive
(mm) élément unitaire (kg)
P.S (m) (kg / m)
(kg)

Semelles isolées en BA :
1.1  9 HA 12 :………………………..…..…..……………...
1.2  8 HA 12 :…………………………..…………………...
1.3  6 HA 14 (Attentes dans semelles) :…

2.0 Poteaux en BA :
2.1  6 HA 14 :………………………………………….……
2.2  28 étriers HA 6 :………….…..….……………...
2.3  28 cadres HA 6 :………….…..…..………..…...

3.0 Poutres en BA :
3.1  2 HA 16 :………………………....…..………………...
3.2 2 HA 14 :………………………....…..…………….…...
3.3  2x2 HA 12 :………………………...………………...
3.4  2 HA 8 :………………...………....…..………………...
3.5  22 cadres HA 6 :………….…..…..………..…...

4.0 Consoles en BA :
4.1  2 HA 16 :……………………....………………….…...
4.2  2 HA 10 :……………………....…..….…………..…...
4.3  7 cadres HA 6 :………….…..…..…………..…...

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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Date :
Chapitre : A Leçon : 4 AVANT - MÉTRÉ DE COFFRAGE

1. Décomposition de la structure en ouvrages élémentaires :


La quantification du coffrage (bois ou métal – ordinaire ou soigné), tout comme le béton , d’ une structure
en béton ou en béton armé , impose sa décompositon en ouvrages élémentaires.

2. Détermination des quantités de coffrage :


Lors de l’ établissement de l’ avant-métré, les quantités de coffrage sont évaluées en mètre carré ( m2 ) .
Cette aire est celle de la surface du béton en contact direct avec le matériau utilisé pour le coffrage (moule).
N.B : Les trémies ou réservations d’ une surface inférieure à 0,50 m2 seront négligées.

2.1 Semelles de fondation (isolées ou filantes) :

Ces ouvrages ( figures 1 et 2) peuvent être coffrés. Dans ce cas on a :

S coffrage = ( Périmètre ou Linéaire ) faces coffrées x hauteur coffrée x n


Surface de coffrage =
….…………...……………..…...……...................................................................................................
2.2 Longrines...........
- chaînages horizontaux ( haut et bas) - linteaux :

 Au niveau des baies, il sera calculé, une surface de coffrage en fond de moule de l’ouvrage
élémentaire considéré ( voir section BB de la figure 3). L’ ouvrage élémentaire ayant une forme
régulière ( section constante) , on a :

S coffrage = Périmètre Retombée x ( Longueur ou Linéaire ) + Ʃ Surface Fond de moule

N.B :  Les longueurs des longrines et des chaînages horizontaux ( figure 3) sont mesurées
entre les nus des poteaux ou des raidisseurs.

.………………………………………...……………………..…………………………………………..……………………………….……………………….…
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2.3 Poteaux - Chaînages verticaux ou raidisseurs - Voiles ou murs banchés :

Figure 4 Figure 5 Figure 6 Raidisseurs Figure 7

 Pour des poteaux , raidisseurs et voiles de section régulière (constante) sur toute la hauteur, on a :

S coffrage = Périmètre section x hauteur x n ou Ʃ ( larg. x hauteur x n )

= …...…………...………………….…….…...……................................ ou
Poteaux
................................................................................................ Raidisseurs

N.B :  Valable pour les poteaux , les voiles ( figures : 4 ; 5 et 6 ) et les raidisseurs ( figure 7) :
Figure 4 : hauteur mesurée du dessus de la semelle jusqu'à la sous face du plancher haut.
Figure 5 : hauteur mesurée du dessus du plancher inférieur jusqu'à la sous - face du plancher
supérieur.
Figure 6 : hauteur mesurée du dessus de la semelle au sommet du poteau.
 Les ouvrages élémentaires de forme irrégulière ou quelconque, seront quantifiés, par application
des formules mathématiques appropriées , suite à une décomposition , si possible.
 Les sections des poutres arrivant sur les poteaux, seront négligées.

2.4 Poutres et consoles :

Figure 8

 Pour des poutres et consoles de section régulière (constante) sur toute la longueur, on a :

S coffrage = Périmètre Retombée x ( Longueur ou Linéaire ) + Sextémité console

N.B : Surface
 Pour de coffrage
une poutre =
ou une console de forme ou de section irrégulière ou quelconque , la quantifica-
tion….…………...……………..…...……........................................................................................
du coffrage se fera , par l’application de formules mathématiques appropriées , suite à une
décomposition et une identification, des faces à coffrer.
 La longueur de la poutre est mesurée entre les nus de poteaux ou de poutres principales (figure 8).
 Les sections des poutres secondaires arrivant sur les poutres principales ne sont pas déduites.
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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2.5 Planchers dalles pleines :
On cumule les quantités suivantes :
 Surface de coffrage de la sous - face (surface de la dalle
sur plan).
 S totale coffrage = +
 Surface de coffrage de rive = Ʃ ( Linéaire Rives x ép. dalle )
Surface totale de
N.B : Les ouvertures ou les réservations de moins de 0,50 m2 ( < 0,50 m2 ) seront négligées.
coffrage =  + 


Exercice d’application
AVANT - MÉTRÉ DE BÉTON - DE FERRAILLAGE ( Ratios d’aciers ) ET DE COFFRAGE

PROJET DE CONSTRUCTION D'UN IMMEUBLE ( R+3)


DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Lot  - GROS ŒUVRE
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
entre les longrines.  Ratio d'aciers : 1,952 kg/m .
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI2M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
EXTRAIT DE DEVIS DESCRIPTIF

1. Fondation - dallage :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M 2. Ossature en élévation (RDC) :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
3 Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
1.1 Béton de propreté (5 cm d'ép.) dosé à 150 kg/m ,
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
3 M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
sous toutes les semelles isolées.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 2.1 Poteaux en béton armé dosé à 350 kg/m , coffrés.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
3 M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.  Ratio d'aciers : 150 kg/m .
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M3Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 1.2 Semelles isolées en béton armé dosé à 350 kg/m ,
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
3 M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
coffrées (uniquement piédroits coffrés et entière-
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.2 Poutres en béton armé dosé à 350 kg/m , coffrées.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
3
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
3 M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.  Ratio d'aciers : 140 kg/m .
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
ment ).  Ratio d'aciers : 80 kg/m .
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 2.3 Consoles en béton armé dosé à 350 kg/m , coffrées.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.3 Longrines de liaison en béton armé dosé à 350 3
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.3 DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.  Ratio d'aciers : 135 kg/m .
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. kg/m , coffrées et coulées sur un béton de propreté.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
3
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
 Ratio d'aciers : 125 kg/m .
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.4 Plancher dalles pleines en béton armé dosé à 350
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M 3
Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
3
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 3DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
kg/m , coffrés.  Ratio d'aciers : 70 kg/m .
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 1.4 Dallage en béton armé dosé à 200 kg/m , coulé
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI:MDOUAHI
Jér. DOUAHI MM.Jér. J.
DOUAHICel
M Jér.: DOUAHI
08 36M Jér.
68 DOUAHI
19 M Jér. DOUAHIB.T.SM Jér. 2
e
Année
DOUAHI M Jér. AACV
DOUAHI M ~
Jér. GC-Bât. ~
DOUAHI M Jér. Urbanisme
DOUAHI  2019
M Jér. DOUAHI M Jér. Page 18
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À partir de l' extrait de devis descriptif, des plans et les différents ratios
TRAVAIL
d’ aciers, relatifs à la construction du RDC d’ un immeuble ( R + 3) , établissez
À
l' avant - métré de béton, d’ aciers (méthode des ratios) et de coffrage de tous
FAIRE
les ouvrages élémentaires contenus dans l' extrait du descriptif.

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B MÉTRÉ Page

Date
PROJETS : CONSTRUCTION D'UN IMMEUBLE ( R+3 ) Méteur :

RÉSULTATS
N° DÉSIGNATION DES OUVRAGES ET CALCULS
Auxil. Partiel Définitif
U

Lot  - GROS ŒUVRE

1. Fondation - dallage :
1.1 Béton de propreté (5 cm d'ép.) dosé à 150 kg/m3 :
Cube = S x ép. x n
 Sous les S1 : Cube Béton

 Sous les S2 : Cube Béton

1.2 Semelles isolées en B.A dosé à 350 kg/m3 :


t
 S1 : Cube Béton = S x h x n =

 S2 : Cube Béton = ( Cube Pieds droits + Cube Glacis ) x n

 Aciers = Cube Béton x Ratio Acier

Aciers =

1.3 Longrines de liaison en B.A dosé à 350 kg/m3 :


Cube Béton = Section x Linéaire
1.3.1 Longrines de 35x50 :
 Lin. 35x50 =
Cube Béton =

1.3.2 Longrines de 35x40 :


 Lin. 35x50 =
Cube Béton =

 Aciers =

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t
 Coffrage = Linéaire x h x 2
 Longrines de 35x50 : S Coff. =

 Longrines de 35x40 : S Coff. =

1.4 Dallage en B.A dosé à 200 kg/m3 :


Cube Béton = S x ép.
 S=
Cube Béton =

 Aciers = SBéton x Ratio Acier


Aciers =

2. Ossature en élévation (RDC) :


2.1 Poteaux en B.A dosé à 350 kg/m3 :
t
Cube Béton = Section x h x n
 P1 : Cube Béton =

 P2 : Cube Béton =

 P3 : Cube Béton =

 P4 : Cube Béton =

 Aciers =
t
Coffrage = Périmètre Section x h x n
 P1 : S Coff. =

 P2 : S Coff. =

 P3 : S Coff. =

 P4 : S Coff. =

2.2 Poutres en B.A dosé à 350 kg/m3 :


Cube Béton = Section x Linéaire
2.2.1 Poutres de 35x50 ( ):
 Lin. 35x50 =

Cube Béton =

2.2.2 Poutres de 35x40 ( ):


 Lin. 35x40 =

Cube Béton =

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2.2.3 Poutre 3 (avec goussets) :

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Date :
Chapitre : A Leçon : 5 AVANT - MÉTRÉ DE MAÇONNERIE

1. Mode de mesurage des types de maçonnerie :


Les quantités des éléments en maçonnerie sont définies par nature et par épaisseurs brutes.
Exemples : agglomérés  Pleins , creux de mortier , béton de 10 ; 12 ; 15 ; 20 cm d' épaisseur.
On distingue :  Maçonnerie d' agglomérés de mortier de ciment ou de béton.
 Maçonnerie de briques creuses.
 Maçonnerie de briques pleines
 Maçonnerie en géobéton.
 Claustras au mortier de ciment ou autre matériau.
 Enduit extérieur et intérieur au mortier de ciment ou autre matériau.
 Les maçonneries, ci-dessus citées, sont quantifiées en mètre carré (m2) y / c le mortier de hourdage,
si leurs épaisseurs sont  22 cm. Dans le cas contraire, elles sont évaluées en mètre cube ( m3 ).
 La maçonnerie de moellons est quantifiée en mètre cube ( m3 ) y compris le mortier de hourdage.

2. Calcul des quantités d'ouvrages en maçonnerie :


2.1 Principe :
 La quantité ( surface ou cube) de la maçonnerie est d' abord calculée pleine, suivant la figure géomé-
trique présentée par l’ ouvrage. Les vides et les ouvertures ( portes, fenêtres, passages libres, … ) sont
ensuite déduits, si leurs surfaces sont supérieures ou égales à 0,50 m2 ( ≥ 0,50 m2 ).

 La quantité de la maçonnerie d’ une construction , sera déterminée , en considérant les éléments


suivants :
 Maçonnerie en fondation ( murs de soubassement) et sous-sol
 Maçonnerie en élévation par niveau ( murs de façade – murs de refend – murs pignons –
murs cloisons – acrotère – etc.).

2.2 Application : Exercice


CONSTRUCTION D'UNE VILLA DE TROIS (3) PIÈCES
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
EXTRAIT DE DEVIS DESCRIPTIF
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
2.4 Enduit extérieur au mortier de ciment , dosé à
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
300 kg/m (ép.= 1,5 cm ; sur toute la surface du M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI 1. Fondation
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
mur considéré).
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI 1.1 Murs de soubassement en agglos pleins de 20 , hourdés
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
2.5 Enduit intérieur au mortier de ciment , dosé à
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI au mortier de ciment.
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
250 kg/m (ép.= 1,5 cm ; sur toute la hauteur
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
1.2 Murs de soubassement en agglos pleins de 15, hourdés
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
sous plafond, augmentée de 10 cm ; cela avant
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
au mortier de ciment.
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
la réalisation de la chape.
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
2. Murs en élévation
3
DOUAHI
DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
2.6 Chape au mortier de ciment dosé à 400 kg/m
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI (ép.= 5 cm).
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
2.1 Murs de façade en agglomérés creux de 20, hourdés
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
N.B : La chape sera réalisée aussi bien à
DOUAHI au mortier de ciment.
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
l’ entrée de toutes les pièces.
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
2.2 Murs intérieurs en agglomérés creux de 15, hourdés
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
au mortier de ciment.
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI N.B : le chaînage haut sera réalisé aussi bien à l’entrée
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
TRAVAIL
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI À FAIRE
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI et à la sortie du dégagement.
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
À partir des plans, des coupes, des
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI 2.3 Murs intérieurs en agglomérés creux de 10 , hourdés
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI façades et de l'extrait de devis descriptif,
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
au mortier de ciment.
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI d’ une villa de trois (3) pièces, établissez
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
N.B : Ces murs de 10 creux auront la même hauteur de
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
l' avant - métré de maçonnerie de tous
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI maçonnerie que les murs des façades ( principale
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
les ouvrages élémentaires du descriptif. M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI
et arrière).
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI
DOUAHI
Prof. :
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19 
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
B.T.S 2 Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
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M Jér. DOUAHI eM Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
A
11.70
5 5
20 2.07 2.07 3.20 15 3.50 20
15 15

60
20

2.67 5
2.12 5
2.50

-0.05

3.27 5
50
15

1.15
65

50
7.75
2.05

6.95

1.05
5
60 3.92 5 50 2.85 50 3.12 60
15

3.17 5
2.85

2.67 5
2.50

Dallage
10
B

60
20

2.97 5 1.50 3.35 3.67 5


± 0.00
A

20
5
PLAN DE FONDATION

10
25

70
A

15
5 5
20 2.07 2.07 1.00 1.00 1.20 60 2.90 20

5
15 15 15
SDE 1 COUPE BA
20

R1 R2 R2 p2 f1 f2 R1
R2
1.50

2.10
1.60

SDE 1
SDE 2
Cuisine
15 2.50

10

p4
1.20

f1 p3 1.50 f  fenêtre
90

80 110
60

f2
1.95

R3 10 p  porte
R4 R3
15

15

R4 Hall
1.00

Dégagment R  Raidisseur
R5
7.75
2.05

2.05
7.35

Séjour
R5 p3 p3 p4
*Hauteur de
15

f 2 = 60 cm
15

R3 R4 R4 R3
15

Ch. 2 Ch. 1 Toutes les portes


1.20

3.55

f1 ont la même hauteur


2.70

20 4.30 15 3.20 15 3.50 20


1.50

20

R2
p1
20

R1 f1 R2 f1 R2 f1 R1

1.80 1.20 1.35 95 1.20 2.35 1.20 1.35


15 15
11.70
A

VUE EN PLAN

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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+ 4.40(Toiture) + 4.25
(Maçonnerie)

+ 3.20
(Mur)

5
20 75
75

20
Plafond

1.25

2.90
2.25
± 0.00 - 0.05

1.05
- 0.35
(Brut du

10 5
dallage)
20

COUPE AA

4.60
3.55
7.75

FAÇADE LATÉRALE GAUCHE


3.55

11.70

FAÇADE PRINCIPALE

B MÉTRÉ Page

PROJET : CONSTRUCTION D’ UNE VILLA DE TROIS (3) PIÈCES Date


Métreur :
RÉSULTATS
N° DÉSIGNATION DES OUVRAGES ET CALCULS
Auxil. Partiel Définitif
U

1.0 Fondation :
1.1 Murs de soubassement en agglos pleins de 20 :
S = Lin. X ht
Lin.20 Pleins =

S=
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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RÉSULTATS
N° DÉSIGNATION DES OUVRAGES ET CALCULS
Auxil. Partiel Définitif
U

1.2 Murs de soubassement en agglos pleins de 15 :


Lin.15 Pleins =

S=

2.0 Murs en élévation :


2.1 Murs de façade en agglos pleins de 20 :
2.1.1 Façades ( Principale et arrière ) :

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Date :
Chapitre : A Leçon : 6 AVANT-MÉTRÉ DE CHARPENTE BOIS

1. Nature des ouvrages :


Assemblées par petits éléments ou grands éléments, QUELQUES SECTIONS COURANTES DE PIÈCES DE BOIS
les charpentes bois sont constituées principalement de :
DÉSIGNATION SECTIONS (cm  cm)
 Ferme(s) assemblée(s), Madrier 7,5  22,5 – 8  23 – 10  22,5 – …
 Ensemble de pannes , chevrons , de liteaux Bastaing 5  15 – 6,5  15,5 – 6,5  16,5 – …
reposant sur les fermes ou les murs pignons. Chevron 6  6 – 8  8 – 12  12 – …
Planche 3  22 – 3  25 – 3,5  25 – …
Les planchers en bois sont constitués de :
Liteau 1,5  4 – 2  2 – 2,5  2,5 – 3  3 – …
 Une ossature principale en solive bois
Ep. = 1,2 – 1,5 – 1,8 – 2,2
 Une plate-forme en planches clouées sur Volige
larg. = 10 à 30 cm
les solives.

2. Détermination des quantités (cubatures) de bois :


La quantité de bois de charpente est exprimée en mètre cube ( m3 ) .

 À titre de simplification, la méthode dite du cube circonscrit de bois sera recommandée.


Cette méthode consiste à utiliser dans les calculs, les longueurs visibles des pièces de bois après leur
assemblage, sans tenir compte des entailles et des vides.
Le principe de calcul est le suivant :
a. Identifier les différents éléments de la charpente ( fermes, pannes, échantignoles ,…)
b. Calculer le cube total de bois de chacun des éléments identifier, à partir des longueurs des
pièces de bois de même nature et de même section , en faisant :

Cube bois = Section x ( Longueur ou Linéaire )

 Le cube total de bois d’une ferme sera égale au cumul des cubes partiels de chacune
des pièces de bois constituant la ferme y compris les échantignoles.
 La commande à adresser au fournisseur, comportera un récapitulatif ressortant par
section de bois , les longueurs totales des différentes pièces. Ce qui permettra par la
suite de déterminer le nombre de pièces de bois à commander suivant la section et
la longueur commercialisée.

3. Application :
EXTRAIT DE DEVIS DESCRIPTIF :

1. Fermes triangulées en bois rouges traités et


assemblés par boulonnage. TRAVAIL À FAIRE

2. Pannes de section 6,5  15,5 ; en bois rouges À partir de l'extrait de devis descriptif , des dessins
traités. et du tableau de nomenclature fournis , établissez
l' avant - métré de la charpente bois
3. Planches de rive de 30 cm de large.

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de longueur
de 2,50 m

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Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19  B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 31
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI MTABLEAU DEDOUAHI
Jér. DOUAHI M Jér. NOMENCLATURE
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DES ÉLÉMENTS DE LA TOITURE
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Section Longueur
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Repère
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI Désignation
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. (cm × cm) (m)
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 1 Entraits (moisés) 6,5 × 15,5 9, 94
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 2 Arbalétriers (moisés) 6,5 × 15,5 5, 80
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Planches
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 3 Poinçons 7,5 × 15,5 3, 00
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
de rive
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
7,5 × 15,5 1, 20
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 4
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Montants
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
x Pente = 60 %
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 5 7,5 × 15,5 2, 16
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 6 7,5 × 15,5 1, 80
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Diagonales
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
L
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
7 7,5 × 15,5 2, 52
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 8 échantignoles 5 × 15 0, 12
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.  
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
9 Pannes sablières 6,5 × 15,5
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Pannes intermédiaires 6,5 × 15,5 Voir plan
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
10
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
10, 00 Pannes faîtières 6,5 × 15,5 de toiture
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 11
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. et ferme
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Pannes de liaison 6,5 × 15,5
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
PLANCHES
en
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.DE RIVE
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 12 Couverture
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. élévation
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
13
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Faîtière
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. B
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. MÉTRÉ Page
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Date
PROJET : RÉALISAION D’ UNE CHARPENTE EN BOIS
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Métreur : ………...………..……...….
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. RÉSULTATS
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DÉSIGNATION DES OUVRAGES ET CALCULS
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Auxil. Partiel Définitif
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
U
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.0
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Fermes triangulées en bois rouges traités et assemblés
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. par boulonnage :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Cube = Section x Linéaire
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
bois M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.1
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
 Entraits moisés de 6,5 × 15,5 :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Cube =
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.2
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.  Arbaletriers moisés de 6,5 × 15,5 :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
Cube =
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.3
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.  Poinçons de 7,5 × 15,5 :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
Cube =
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

 et  Montans de 7,5 × 15,5 :


DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.4
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Cube =
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.5
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
 et  Diagonales de 7,5 × 15,5 :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Cube =
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.6
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
 Échantignoles de 5 × 15 :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
Cube =
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
 B.T.S 2e Année
DOUAHI M Jér. DOUAHI
AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 32
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.0 Pannes de section 6,5  15,5 ; en bois rouges traités :
Cube bois = Section x Linéaire

Cube =

3.0 Planches de rive de 30 cm de large :

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19  B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 33
AVANT - MÉTRÉ DE COUVERTURE Date :
Chapitre : A Leçon : 7
SUR CHARPENTE

1. Couvertures sur charpente :


Il s’agit des couvertures constituées de petits ou grands éléments telles que les tôles ( bacs ou ondulées
– en acier, en aluminium , en zinc , en aluzinc , translucide ) , tuiles , ardoise , etc. et leurs accessoires
( faîtières, noues , arêtiers, gouttières, Chutes pour eaux pluviales, etc.).

2. Calcul des quantités :


2.1 Mode de mesurage :
 Couverture : en mètre carré (m2)  Surfaces à calculer en tenant compte des pentes.
 Bardages :
2
 en mètre carré (m ) pour les grandes surfaces.
 en mètre linéaire (ml) pour les planches de rive ou pièces spéciales pour rive.

 Accessoires :
 Faîtière : en mètre linéaire (ml)
 Noues et arêtiers : en mètre linéaire (ml),
 Gouttière : en mètre linéaire (ml), en précisant le diamètre.
 Chutes pour eaux pluviales : en mètre linéaire (ml), en précisant le diamètre.

N.B :  Les conduites de fumée, les sorties de ventilation et autres ouvertures de moins
de 0,50 m2 dans ces couvertures , seront négligées.
 Les prix unitaires à appliquer aux quantités déterminées prennent en
compte, les accessoires de fixation ( Pointes à tôles, tirefonds, rivets, etc.)

2.2 Application :

DESCRIPTIF ~ Lot - COUVERTURE

1. Couverture en tôle bac aluzunc 7/10e. TRAVAIL À FAIRE

2. Faîtières en tôle. À partir du plan de couverture d’ une maison


et du descriptif fournis, établissez l' avant - métré
3. Arêtiers en tôle.
de couverture ( couverture + accessoires ) , dans
4. Noue en tôle aluminium l’ imprimé de calcul approprié.

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19  B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 34
8,40
 CF : Conduite

de fumée
V3

3,00

3,00
 V1 : Versant 1

0,70

ARRÊTIER

65
CF GOUTTIÈRE
50% 95
5,25 NOUE
4,20 4,20

8,25
5
5,2
50%

8,40
3,0
0 V5
V1
4,2

V6
0
50%

3,00
50%

V2

0,70
95

4,2
CF

65
8,4
0

V4

25
14,
FAÎTIÈRES

VUE EN PERSPECTIVE

CHUTE D’EAU
PLAN DE COUVERTURE

B MÉTRÉ Page

Date
PROJET : …………………………………………………..………………….. MÉTREUR :
………...…………...…….
RÉSULTATS
N° DÉSIGNATION DES OUVRAGES ET CALCULS
Auxil. Partiel Définitif
U

1.0 Couverture en tôle bac aluzinc 7/10 e :


1.1 Versants 1 et 2 :
S1 et 2 =

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19  B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 35
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
Prof. : DOUAHI M. J. – Cel : 08 36 68 19  B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019 Page 36
Chapitre B ~ CALCULS D’APPROVISIONNEMENT

CALCULS D’APPROVISIONNEMENT Date :


Chapitre B Leçon 1
Ciment ~ Sable ~ Gravier

1. Données de base :
1.1 Quantités d' ouvrages élémentaires :
Ce sont les résultats de l'avant-métré (devis quantitatif ) définissant le cube de béton ou de mortier par
catégorie d’ouvrages élémentaires (semelles , poteaux , poutres , chape , enduits au mortier , …).

1.2 Dosages en matériaux :


Ce sont les proportions en matériaux pour composer un mètre cube (1 m3) de béton ou de mortier à mettre
en œuvre. Les dosages sont donnés pour : le ciment en kg/m3 ~ le sable en l /m3 ~ le gravier en l /m3.

1.3 Pourcentages de perte :


On admet généralement des pertes éventuelles en matériaux au cours du transport et de la mise en œuvre
sur le chantier. Pour en tenir compte, les quantités réelles de matériaux peuvent être majorées dans l'ordre
suivant :
 Ciment (liants)…... 1 à 2 %  Gravier….. 2 à 4 %  Sable…… 2 à 3 % .
N.B : Ces pourcentages de pertes peuvent changer d' un chantier à un autre.
Elles restent donc indicatives.

2. Détermination des quantités de matériaux :


Exercice d’application (voir fiche d'approvisionnement : Page 38 )
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

PROJET DE CONSTRUCTION D'UN IMMEUBLE (R+3)


DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. EXTRAIT DE DEVIS QUANTITATIF
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

DOUAHI M Jér. DÉSIGNATION DES OUVRAGES U QUANTITÉ
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
1.0 DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
FONDATION - DALLAGE DONNÉES SUPPLÉMENTAIRES
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
3 M Jér. DOUAHI 3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.1
DOUAHI M Jér. Béton de propreté, dosé à 150 kg/m …...…..
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI m
M Jér. DOUAHI M Jér.………….……….…..
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Dosage en matériaux
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
1.2 DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Semelles isolées et longrines en B.A , Ouvrages Ciment Sable
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Gravier
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 3 M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 3
DOUAHI M Jér. 3
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 3
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Élémentaires (kg/m ) (l/m )
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. (l/m )
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. dosé à 350 kg/m ……………………….……………..
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI m
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. …………...………..
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Béton de propreté 150 400
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 800
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.3
DOUAHI M Jér. Dallage en béton armé, dosé à
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Semelles isolées -
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 3 M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 3
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 200 kg/m ………………………………….………...……
DOUAHI M Jér. DOUAHI m
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. …………….…..……
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Longrines - Poteaux
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

– Poutres – Consoles
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.4
DOUAHI M Jér. Chape en mortier de ciment, dosé à
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 350 400
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 800
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

– Plancher dalles
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
3 M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 2M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
400 kg/m (ép.= 5 cm) ……………………...……….
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. m 51, 85
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. pleines en BA
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.0 OSSATURE EN ELEVATION
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Dallage en B.A
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
200 400
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
800
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.3 DOUAHI M Jér. DOUAHI 3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Chape au mortier de
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.1
DOUAHI M Jér. Poteaux en B.A, dosé à 350 kg/m ……………
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
m
M Jér. DOUAHI M Jér. ………..….………..
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 400 1000
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. /
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. ciment
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.2
DOUAHI M Jér. Poutres et consoles en B.A , dosé à
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
3 M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Enduit intérieur et
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 350 kg/m
DOUAHI M Jér. DOUAHI………………………………………..…….… m …………..…..……. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. extérieur au mortier
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
300 1000
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
/
DOUAHI M Jér.

de ciment
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.3
DOUAHI M Jér. Plancher dalles pleines en B.A,
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 3
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 3M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. dosé à 350 kg/m ……………..….…………….……..
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI m ………….….….….
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 2% 3%
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
3%
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Pertes présumées
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.4
DOUAHI M Jér. Enduit intérieur et extérieur au mortier de
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 3DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI 2M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. ciment, dosé à 300 kg/m (ép.= 1,5 cm)
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M….… m 624, 35
Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
TRAVAIL Établir dans l'imprimé (Page 38), les calculs d'approvisionnement en matériaux (ciment
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. À ~ sable ~ gravier ) pour la réalisation des ouvrages élémentaires contenus dans l’extrait
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. FAIRE de devis quantitatif et des données supplémentaires ci-dessus fournis.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
………………………………...……………………..…………………………………………………..………………………………….……………………….…
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. Prof.
DOUAHI : DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér. M.
DOUAHI –
J. M Jér.Cel : 08M Jér.
DOUAHI 36 DOUAHI 
68 19M Jér. DOUAHI MB.T.S
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
Jér. DOUAHI
M Jér. DOUAHI M Jér.
2e Année AACV
M Jér. DOUAHI M Jér. ~ GC-Bât.
DOUAHI ~ Urbanisme
M Jér. DOUAHI 2019
M Jér. Page 37
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
M Jér. DOUAHI DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
……………………………………………………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…

Page
Prof. : DOUAHI M. J.

FICHE D' APPROVISIONNEMENT EN MATÉRIAUX : CIMENT ~ SABLE ~ GRAVIER


Date
PROJET : CONSTRUCTION D'UN IMMEUBLE ( R+3 ) MÉTREUR : …………..…………………..………………………………..……..………
3 3
CIMENT ( Tonne) SABLE (m ) GRAVIER (m )
N° DÉSIGNATION DES OUVRAGES U QUANTITÉ
Dosage Quantité Dosage Quantité Dosage Quantité
– Cel : 08 36 68 19

1.0 FONDATION - DALLAGE

1.1 Béton de propreté , dosé à 150 kg/m3 m3


1.2 Semelles isolées et longrines en B.A ,
m3
dosé à 350 kg/m3
1.3 Dallage en béton armé ,
m3
dosé à 200 kg/m3

B.T.S 2e Année AACV ~ GC-Bât. ~ Urbanisme  2019

1.4 Chape en mortier de ciment ,


m3
dosé à 400 kg/m3 (ép.= 5 cm)
2.0 OSSATURE EN ÉLÉVATION
2.1 Poteaux en B.A , dosé à 350 kg/m3 m3
2.2 Poutres , consoles et plancher dalles
m3
pleines en B.A , dosé à 350 kg/m3

2.3 Enduit intérieur et extérieur au mortier de m3


ciment, dosé à 300 kg/m3 (ép.= 1,5 cm)

QUANTITÉS RÉELLES DE MATÉRIAUX (1)

PERTES PRÉSUMÉES (2) …………..% ……....…..% ..…...……..%

QUANTITÉS DE MATÉRIAUX À COMMANDER (1) + (2)


Page 38

 % Pertes 
Q té majorée d’ un matériau = Cube Béton ou Mortier × Dosage Matériau ×  1 
à commander  100% 
CALCULS D’APPROVISIONNEMENT Date :
Chapitre B Leçon 2
Agglomérés ~ Briques ~ Hourdis

1. Données de base :
1.1 Quantités d' ouvrages élémentaires :
Ces quantités concernent :
 les surfaces de maçonnerie en agglomérés et briques,
 les surfaces de plancher à corps creux,
obtenues lors de l’établissement d’un avant-métré ; et cela par nature et épaisseur ou hauteur des blocs.

1.2 Ratios des composants :


C'est le nombre de blocs préfabriqués pour réaliser un mètre carré (1 m2 ) de mur ou de plancher à corps
creux. Ainsi on peut estimer :
 Agglomérés pleins ou creux : (ép. = 10 – 12 – 15 – 20 cm ; Long. = 40 cm)…………..…11,5 U/m2
 Agglomérés pleins ou creux : (ép. = 10 – 12 – 15 – 20 cm ; Long. = 50 cm)…………..…9,5 U/m2
 Briques creuses : (ép. = 10 – 15 – 20 cm ; Long. = 57 cm ; larg. = 30 cm) ……………….5,5 U/m2
 Hourdis ou entrevous pour plancher à poutrelles préfabriquées,
avec entre axe de 60 cm (hauteur = 12 – 16 – 20 – 25 – 30 cm) …………………..……...…8,5 U/m2
 Hourdis ou entrevous pour plancher à poutrelles coulées sur place,
avec entre axe de 50 cm (hauteur = 10 – 15 – 20 – 25 cm) ……………………..…...…..……10 U/m2
N.B : Les valeurs numériques de ces ratios peuvent changer d'un chantier à un autre.
Elles restent donc indicatives.

1.3 Pourcentages des pertes :


On admet généralement des pertes éventuelles en matériaux au cours du transport et de la mise en
œuvre de ces matériaux sur le chantier. Pour en tenir compte, les quantités réelles de matériaux pourront
être majorées dans l'ordre suivant :
 Agglomérés de béton ou de mortier (pour murs) ,  Blocs en terre cuites (brique pour murs, hourdis
hourdis ou entrevous (pour plancher)…...1 à 2 %. ou entrevous pour plancher) ………. 0,5 à 1 %.

N.B : Ces valeurs numériques des pourcentages de pertes peuvent changer d' un chantier à
un autre. Elles restent donc indicatives.

2. Détermination des quantités de matériaux :


Exercice d’application (voir fiche d'approvisionnement : Page 40 )
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
CONSTRUCTION D'UNE VILLA DE TROIS (3) PIECES
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. EXTRAIT DE DEVIS QUANTITATIF
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

DOUAHI M Jér. DÉSIGNATION DES OUVRAGES U
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. QUANTITÉ
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.0 FONDATION
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.1 Murs de soubassement en agglos
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2
DOUAHI M Jér.pleins de 20
DOUAHI M Jér. DOUAHI…………….………...……….……. m
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. ……...……...…….
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.3 Murs intérieurs en agglos creux
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2
1.2 Murs de soubassement en agglos
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. de 10 ……………………………………….……
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI m
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. ……...……….
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 2
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.pleins de 15
DOUAHI M Jér. DOUAHI………………………..…..………. m
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. ………………..….
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 2.4 Murs d’acrotères en agglos creux
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2
2.0 OSSATURE EN ÉLÉVATION
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
de 10 ……………………………………………
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
m
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
22, 65
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.1 Murs de façades en agglos creux
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 2
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. 2.5 Plancher à corps creux (16+4) ,
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.de 20
DOUAHI M Jér.………………………………………..…… . m
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. ……….……...….
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. à poutrelles préfabriquées entre
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. m
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
axe de 50 cm ………………………………. 87, 46
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.2 Murs intérieurs en agglos creux
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2
DOUAHI M Jér.de 15 …………………………………………….…
DOUAHI M Jér. m
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. …………..…...….
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHIProf.
M Jér. :DOUAHI
DOUAHIM Jér. DOUAHI –
M. J.M Jér. Cel : 08
DOUAHI M Jér.36 68 19
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.  B.T.S
DOUAHI M Jér. DOUAHI eM Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. 2 M Année
DOUAHI Jér. DOUAHIAACV ~ GC-Bât.
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M
~ Urbanisme
M Jér. DOUAHI Jér.2019
DOUAHI M Jér. Page 39
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DONNÉES SUPPLÉMENTAIRES
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Ratios en agglomérés - Hourdis :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. TRAVAIL À FAIRE
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2
 Agglos pleins de 15 - 20 ……………………….…11,5 U/m
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
Établir dans l'imprimé ci-dessous,
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
 Agglos creux de 10 - 15 - 20 ………………….….11,5 U/m
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. les calculs d'approvisionnement en
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M2Jér.
 Hourdis pour plancher à corps creux (16+4).…...10 U/m
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
matériaux ( agglomérés et hourdis )
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
pour la réalisation des ouvrages élé-
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
Pertes présumées :
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
mentaires contenus dans l’extrait de
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
 Agglomérés et Hourdis ….….. 2%
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
devis quantitatif fourni.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
FICHE D' APPROVISIONNEMENT EN MATÉRIAUX EN À AGGLOMÉRÉS ~ HOURDIS
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Date
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
PROJET : …………………………………………………………….……
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MÉTREUR :
DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M ………………………..…………
Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
HOURDIS POUR
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. AGGLOMÉRÉS POUR MURS
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DÉSIGNATION
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
,
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
PLANCHER
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DES PLEINS CREUX Nbre nature :
N° U QUANTITÉ Nbre
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
OUVRAGES par
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Épaisseur brute par
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. Hauteur brute
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2 M Jér. 2 M Jér.
20 15 20 15 10 20 16
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
m
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.m DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.0
DOUAHI M Jér.FONDATION
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.1 Murs de soubassement en
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
agglos pleins de 20
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. …………..…
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
1.2 Murs de soubassement en
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
agglos pleins de 15
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. ………..……
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.0
DOUAHI M Jér.OSSATURE EN MÉLÉVATION
DOUAHI M Jér. DOUAHI Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.1 Murs de façades en
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
agglos creux de 20 ….….….…
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
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2.2
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Murs intérieurs en
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
agglos creux de 15 ……..….…
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.3 Murs intérieurs en agglos
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
creux de 10
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
………………………….…
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.4 Murs d’ acrotères en
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
agglos creux de 10
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. ………….…
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
2.5 Plancher à corps creux
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
(16+4) , à poutrelles
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
préfabriquées entre
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
axe de 50 cm ………………..…...…
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DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
NOMBRE RÉEL DE BLOCS PRÉFABRIQUÉS (1)M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
…% …%
PERTES PRESUMÉES
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.(2)
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

NOMBRE DE BLOCS PRÉFABRIQUÉS


DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

À COMMANDER
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. (1)+(2)
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

 % Pertes 
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

Nbre majoré de blocs = Surface Maçonnerie × Ratio Composants ×  1 


DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

100% 
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.


DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.

à commander
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér.

–  B.T.S Page 40
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Prof. :MDOUAHI
DOUAHI M Jér. DOUAHI Jér. DOUAHI M M.
Jér. J.
DOUAHI Cel
M Jér. :DOUAHI
08 36 68DOUAHI
M Jér. 19 M Jér. DOUAHI M Jér.
e
2DOUAHI
Année
M Jér. AACVM Jér.
DOUAHI ~ GC-Bât. ~ DOUAHI
DOUAHI M Jér. Urbanisme  2019
M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
CALCULS D’APPROVISIONNEMENT Date :
Chapitre B Leçon 3
Fer à béton

1. Données de base :
1.1 Données des minutes ou plan de ferraillage :
Documents fournissant par catégorie d' ouvrages élémentaires , les différents diamètres d' aciers ,
le nombre d' éléments à façonner , la longueur de coupe de ces éléments, etc.

1.2 Chutes :
Lors de la découpe des barres d' acier sur le chantier, des morceaux de barres sont inutilisables en
façonnant les armatures. Pour prendre en compte ces morceaux qualifiés de chutes ou de pertes , une
majoration moyenne de 5 % est appliquée à la quantité réelle des barres d’acier.
N.B : La valeur du pourcentage de pertes reste Indicative, car elle peut changer d' un chantier
à un autre.

2. Détermination des barres d' acier à commander :


2.1 Principe :
À partir du plan de ferraillage ou du tableau de nomenclature des aciers à façonner,
 Calculer par nuance et par diamètre d'aciers, la longueur totale des éléments à façonner, présents
dans les ouvrages élémentaires considérés (semelles, poteaux, poutres, chaînages , …).

 En déduire les longueurs totales majorées des chutes ( pertes ),


 Calculer par nuance et par diamètre, le nombre de barres d’aciers de 12 m à commander (arrondir
le nombre de barres au nombre entier supérieur).

N.B :  La longueur standard des barres est de 12 m mais des longueurs spécifiques inférieures
à 12 m peuvent être fabriquées sur commande.
 Le nombre de barres peut être converti en nombre de bottes d' aciers chez un gros
fournisseur (voir tableau ci-dessous).

NOMBRE DE BARRES D’ ACIER


PAR BOTTE ET PAR DIAMÈTRE

Diamètre () 6 8 10 12 14
Nombre
37 21 13 9 5
de barres

2.2 Application : Exercice d’application


DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
À partir des dessins d’ armatures (Pages 14 et 15), remplir la fiche
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
TRAVAIL d’approvisionnement en fer à béton fournie, afin de procéder à l’achat
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. À des aciers nécessaires à la réalisation de six (6) semelles isolées iden-
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. FAIRE
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. tiques, de six (6) poteaux identiques, de cinq (5) poutres identiques et
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
de huit (8) consoles identiques.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér.
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DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
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………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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DOUAHI MB.T.S Page 41
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DOUAHI M Jér. Prof.
DOUAHI M Jér. :DOUAHI
DOUAHI M. J.M Jér. Cel
M Jér. DOUAHI : 08
DOUAHI 36DOUAHI
M Jér. 68 19M Jér. 2 MAnnée
Jér. DOUAHI AACV
Jér. DOUAHI ~ GC-Bât.
M Jér. DOUAHI ~ Urbanisme
M Jér. DOUAHI Jér.2019
M Jér. DOUAHI M DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér. DOUAHI M Jér.
Date FICHE D’APPROVISIONNEMENT Page
EN BARRES D’ACIER POUR BÉTON ARMÉ
Nbre d’ LONGUEUR PAR DIAMETRE (m)
DÉSIGNATION éléments
Long. 2

HAUTE ADHÉRENCE
N° DES à
de
OUVRAGES façonner
l'élément 6 8 10 12 14 16

1.0 Semelles isolées en BA :


1.1  9 HA 12 :
1.2  8 HA 12 :
1.3
 6 HA 14 (Attentes dans
semelles) :

2.0 Poteaux en BA :
2.1  6 HA 14 :
2.2  28 étriers HA 6 :
2.3  28 cadres HA 6 :
3.0 Poutres en BA :

3.1  2 HA 16 :
3.2 
3.3 
3.4 
3.5 

4.0 Consoles en BA :

4.1 
4.2 
4.3 
Longueur totale par diamètre (m)

Longueur totale + Majoration pour chutes de 5%

Nombre total de barres de 12 m à commander

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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Chapitre C ~ ÉTUDE DE PRIX

Chapitre : C Date :
MODE DE PASSATION DES MARCHÉS
Leçon : 1

1. Définition d'un marché de travaux :


C’est le contrat par lequel un entrepreneur s'engage à exécuter des travaux pour le compte d'un maître
d'ouvrage (client). Ce dernier s’engage à son tour à payer à l'entrepreneur, le montant des travaux
selon les clauses du contrat.

2. Mode de passation des marchés :


2.1 Marché de gré à gré :
Ce marché est basé sur l'entente directe entre le maître d'ouvrage et l'entrepreneur. C'est une
procédure fréquemment employée par des particuliers.

2.2. Marché par appel d' offres :


Dans ce type de marché, le client au lieu de traiter avec un seul entrepreneur, va faire appel à la
concurrence par voie d'annonces dans les journaux ou par voie d'affiches ou par lettre individuelle.
L'appel d’offres peut être ouvert ou restreint :
 Ouvert , lorsque la concurrence est offerte à l’ ensemble des entrepreneurs de la profession par
des moyens publicitaires plus larges.

 Restreint , lorsque la concurrence est limitée aux entreprises présentant des garanties suffisantes
sur le plan humain , technique , matériel et financier. Les entrepreneurs sont invités par lettre
individuelle à présenter leurs offres.
Dans les deux (2) cas , l'examen des soumissions n' est pas fait en séance publique ; et le client n'est
pas obligé à choisir le mieux disant.

2.3. Marché par adjudication :


Dans ce type de marché, le client fait appel à la concurrence à plusieurs entreprises par voie d’affiches
ou d'annonces dans les journaux.
L'adjudication peut être ouverte ou restreinte.
 Ouverte , lorsque la concurrence est offerte à l’ensemble des entrepreneurs de la profession par
des moyens publicitaires plus larges, affichage ou journaux.
 Restreinte, lorsque la concurrence est limitée aux entreprises présentant des garanties suffisantes
sur le plan humain ( personnel qualifié) , technique , matériel et financier.
Que l'adjudication soit ouverte ou restreinte, l'examen des soumissions est fait en séance publique et il y a
obligation d'attribuer le marché au soumissionnaire le mieux disant , sous réserve de proposer des prix
convenables et de présenter des garanties suffisantes.

2.4. Marché par voie de concours :


Ce type de marché est réservé aux travaux devant satisfaire des caractéristiques d'ordre technique,
artistique ou scientifique pour lesquels (travaux) le client désir l'aide des entreprises.
Ces travaux peuvent porter seulement sur l'exécution d'un projet ou à la fois sur l' établissement et
l'exécution d’ un projet.

 Avant tout début de travaux , il est nécessaire d'établir un contrat entre le maître d'ouvrage
et l'entreprise. Ce document qui a un caractère juridique est signé par les deux (2) parties.

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Chapitre : C Date :
MODE DE RÈGLEMENT DES MARCHÉS
Leçon : 2

1. Marchés à prix global forfaitaire :


Ce sont les marchés où les règlements sont effectués sur la base de prix globaux fixés en bloc et
à l'avance pour exécuter des travaux.
Le client dans ce type de marché, fournit dans le dossier du projet, les pièces graphiques et uniquement les
cahiers : de charges , de prescriptions générales et particulières. Il revient à l’entrepreneur soumissionnaire
de déterminer le montant global forfaitaire des travaux à partir d’un avant-métré et d’un bordereau de prix
dressés par lui. C’est sur la base de cette estimation forfaitaire que l’entrepreneur s’engage à réaliser
la totalité des travaux.
Ce type de règlement ne peut être appliqué qu' à des petits travaux devant être immédiatement exécutés
dans un délai très court.
NB : Il existe des marchés à prix global forfaitaire avec une révision des prix.

2. Marchés à prix unitaire :


Ce sont des marchés où les règlements sont effectués sur la base des prix unitaires fixés par l’entreprise
soumissionnaire à partir d’un cadre contenant la liste plus ou moins détaillée de tous les ouvrages
élémentaires de la construction envisagée. Ce cadre imposé par le client , peut aussi contenir les quantités
d’ ouvrages élémentaires de façon à permettre au client de comparer facilement les propositions de prix qui
lui seront faites.
Ce mode de règlement est très intéressant pour l’entreprise qui ne sera réglée que sur la base des
quantités réalisées et les prix unitaires éventuellement adaptés aux variations des coûts de matériaux, de
main d’œuvre , matériel , …

3. Marchés sur dépenses contrôlées :


Aucun prix n'est fixé à l'avance. Le montant des travaux est établi par l'entrepreneur sur justification des
dépenses qu'il a effectuées en salaires , en matériaux , en charges sur le chantier , en frais généraux tout
en tenant compte du bénéfice auquel il a droit.

4. Marchés en régie :
Ce sont pratiquement des contrats de location de services. Le client ou le maître d'œuvre prenant lui-
même la conduite des opérations de construction avec des moyens mis à sa disposition par l'entrepreneur
( matériel , main d'œuvre ,..).
Le client ou le maître d'œuvre assurent la direction , la conduite des travaux et endossent toutes les
responsabilités qui d’ ordinaire incombe à l’entrepreneur. L’entrepreneur agit uniquement en prestataire de
services.

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Chapitre : C COMPOSITION D’UN DOSSIER Date :
Leçon : 3 D’APPEL D’OFFRE

1. Définition de l'appel d'offre :


L'appel d'offre ( voir avis d’appel d’offre ci-dessous ) consiste à porter à la connaissance des entreprises , soit
par lettre individuelle, soit par voie d'affiche ou par publication dans les journaux , un projet de construction
mis au point par un maître d'œuvre ; invitant celles-ci (entreprises) à faire acte de candidature, en vue de
proposer un prix pour l'exécution des travaux.

2. Pièces de base du dossier d'appel d'offre :


Ce sont les pièces graphiques et écrites élaborées par le maître d'œuvre :
2.1. Plans :
 Les plans de situation et de masse
 Les plans fixant la conception architecturale ( vue en plan , coupes , façades , etc.)
 Les plans de détails éventuels.

2.2. Pièces écrites :


 Les devis descriptifs
 Les devis quantitatif et estimatif (qui restent alors jute indicatif pour l'entreprise)
 Les données géotechniques du site
 Les cahiers des prescriptions techniques ou cahiers de charges.

EXEMPLE D’AVIS D’APPEL D’OFFRE

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Chapitre : C ANALYSE D’UN DOSSIER D’APPEL D’OFFRE Date :
Leçon : 4 AVEC RÉDACTION DE LA SOUMISSION

1. Étude juridique :
Cette étude est du ressort de la direction générale de l’entreprise désirant réaliser des travaux.
Elle consiste à un examen minutieux des cahiers des charges en vue d' apprécier au mieux :
 Les conditions du marché  Les délais d'exécution
 Les modes de règlement  La révision des prix.

À l' issue de cette étude , l' entreprise va émettre un avis favorable ou défavorable à participer à l' appel
d'offre selon les conditions du marché et selon ses possibilités techniques.

2. Étude technique :
2.1 Étude du projet :
Cette étude est du ressort du service des travaux. Il s'agit de bien identifier le type de construction,
la nature des matériaux et les techniques de mise en œuvre.
À partir des plans, du devis descriptif et du cahier des prescriptions techniques, métreurs et conducteurs
de travaux analysent et recherchent des solutions techniques d'exécution. Un document de synthèse
résumera les imprécisions et lacunes éventuelles avec les éléments de complément à apporter sur les
plans et ce, avec l'accord du maître d'œuvre.

2.2 Visite du site :


Il convient à l'entreprise de se rendre sur le site pour :
 Vérifier la conformité des renseignements portés sur les plans de situation et de masse (les côtes ,
les niveaux, les alignements).
 Relever l'état naturel des lieux (broussailles , arbres , ruines existantes , terrains couvert d'eau) pour
une meilleur estimation des travaux de terrassement.
 Chercher à connaître le sous-sol en confrontation avec les résultats de sondage du dossier.
 Repérer les constructions mitoyennes (hauteurs, états des murs, clôture existante) pour d'éventuelles
négociations avec les voisins.
 Repérer les viabilités du site (branchement sur les réseaux d'adduction en eau potable , électricité ,
gaz , téléphone , voies d'accès , etc.).
 Lorsque le chantier est très éloigné du siège , il faut rechercher :
 les sources d'approvisionnement en matériaux locaux ,
 l' embauche possible de la main d'œuvre,
 la possibilité du séjour du personnel à déplacer ou la création d'un cantonnement ,
 l' existence d'une décharge publique.

N.B : Les résultats de cette reconnaissance du site consignés par écrits, conduisent à :
 l' établissement d'une fiche descriptive de l'état des lieux ,
 l'organisation et l'aménagement provisoire du chantier ,
 l' établissement du répertoire des prix de base des matériaux.

2.3 Étude de prix - établissement des devis quantitatif et estimatif :


En fonction des données identifiées dans les premières analyses , il s'agit , de :
 Rechercher les quantités de travaux à réaliser ( avant- métré à partir : des plans , du devis descriptif ,
du rapport de visite de site , …).
 Etablir l'étude de prix en déterminant les prix de vente unitaires des ouvrages élémentaires :
 calcul des déboursés secs ( matériaux , matériels , main d’œuvre, …)
 calcul des coûts de réalisation
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 calcul du coefficient de vente en fonction des pourcentages des frais et de la marge bénéficiaire
 calcul des prix de ventes unitaires hors taxe.
 Rédiger le devis estimatif.

3. Rédaction de la soumission et remise de l'offre :


Il s'agit de la synthèse qui aboutit à la remise de l'offre de l'entreprise. Elle constitue la soumission et
comporte :
 l' offre technique de l'entreprise identifiant ses capacités techniques (humaines, matérielles, expérience)
 l' offre financière : c'est le prix proposé par l'entreprise.
La soumission est donc le document rédigé conformément au mode de passation du marché et au mode de
règlement par lequel l'entreprise se soumet et s'engage à exécuter les travaux du projet selon la proposition
de prix du devis estimatif.

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Chapitre : C COMPOSITION D’UN PRIX DE VENTE Date :
Leçon : 5 DE TRAVAUX DE BATIMENT

Une entreprise de construction produit des ouvrages pour les vendre. Elle vend les fruits de ses travaux à un
prix ( prix de vente ou encore prix de règlement ) , généralement défini à l’avance , et qui tient compte des éléments
suivants :
 Les dépenses engagées ou charges
 La marge bénéficiaire ( bénéfice à réaliser )
 La taxe sur la valeur ajoutée (TVA)

1. Dépenses ou charges :
1.1. Dépenses directement liées à l'exécution ( coûts directs ) :
Ce sont les frais (prix) de :
 Main d'œuvre productive (MO : salaires + primes payés aux ouvriers exécutants)
 Matériaux (MAT : prix d’achat , transport des matériaux)
 Matériel spécifique (MATL : achat , entretien , amortissement,…)
se rapportant sans ambiguïté aux ouvrages élémentaires ( semelle – poteau – mur – dalle - …) à réaliser.
Chacune de ces dépenses est désignée par le terme " Déboursés sec (DS) " ou " Coûts directs " .

1.2. Dépenses indirectement liées à l'exécution :


Ces dépenses ou frais sont imputables à un projet de construction au niveau du chantier ou hors du
chantier ; frais ne pouvant pas être liés à un ouvrage élémentaire précis. Ce sont :

1.2.1. Frais de chantier (FC) :


 frais d'installation et de repliement de chantier,
 frais de personnel de chantier non directement Ainsi :
productif (gardien , balayeur ,…),
D.S + F.C = D.T ( Déboursés totaux )
 frais divers de chantier (frais complémentaires
de travaux , frais de matériels non affectables à
un seul ouvrage élémentaire ,…).

1.2.2. Frais de marché ou d’opération (F.M ou F.OP) :


Ces frais engendrés par le marché, comprennent le plus souvent :
 Les frais de dossier du marché,
 les frais d'étude du projet provenant des bureaux extérieurs (pour étude et pour contrôle),
 Certains frais financiers (frais d'assurances - frais bancaires).

1.2.3. Frais généraux (FG) :


Nécessaires au fonctionnement de l'entreprise dans son ensemble , par conséquent , indispensables à
la production sur le chantier, ces frais sont des frais de direction et de gestion de l'entreprise.
Ils comprennent généralement :
 frais de siège
 frais d'étude
 frais administratifs, commerciaux et financiers
 etc.

Ainsi : D.T + FM + FG = P.R ( Prix de revient hors taxe )

NB : Les frais de marché (FM) sont généralement incorporés dans les frais généraux (FG)
 FM exprimés en pourcentage par rapport aux FG.

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2. La marge bénéficiaire ou bénéfice :
C'est le gain de l'entreprise lorsqu' elle réalise et vend ses travaux. Ce gain représente la marge entre
le prix de revient et le prix de vente hors taxes (P.V.H.T). Cette marge est définie par la direction de
l'entreprise et est fonction des marchés. Elle peut être estimée à 10% ou plus du prix de vente hors taxe
des travaux.
Ainsi : P.V.H.T (Prix de vente hors taxe) = P.R (Prix de revient hors taxe) + Bénéfice

Formule littérale à utiliser


P.V.H.T (Prix de vente hors taxe) = D.S + F.C + F.M + F.G + B pour calculer le coefficient
de vente d’une entreprise.

3. La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) :


Lors de la vente, les services fiscaux prélèvent une somme dont le pourcentage est fonction de la nature
du produit vendu et du secteur économique dont il se rattache : il s'agit de la T.V.A .
L' entreprise doit en tenir compte pour fixer le prix de vente de ses travaux.
Pour cela , le prix de vente hors taxe (P.V.H.T) est majoré en fonction du pourcentage de la T.V.A à
appliquer. La somme qui en résulte est le prix de vente toutes taxes comprises (P.V.T.T.C)

Ainsi : P.V.H.T (Prix de vente hors taxe) + Taxes = P.V.T.T.C (Prix de vente toutes taxes comprises)

SCHEMA D’ELABORATION D’UN PRIX DE VENTE TOUTES TAXES COMPRISES ( P.V. T.T.C )

DÉBOURSÉS SECS FRAIS DE CHANTIER


complémentaires
consommables
Main d’œuvre

Matériels non
Personnel du

Installation et

affectables
repliement
Matériaux

Matériels

Matières

chantier

Frais

FRAIS GÉNÉRAUX FRAIS DE MARCHÉ complémentaires


Bureau d’études
Cautionnement

Et de contrôles
Adjudication
Administratif

Commercial

Assurance
Comptable

Financier

Dossier

D.S + F.C

=
COUT DE F.G F.M
RÉALISATION
(Déboursés totaux)
D.T C.R + +
=
PRIX DE REVIENT + BÉNÉFICE

P.R B
=
PRIX DE VENTE
UNITAIRE HORS TAXE + T.V.A =
(Déboursés totaux)
PRIX DE VENTE UNITAIRE
TOUTES TAXES COMPRISES

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Chapitre : C Date :
CALCUL DES DÉBOURSÉS SECS
Leçon : 6

1. Déboursés secs de matériaux :


1.1 Principe de calcul :

 % pertes 
D.S Matx. = P.R.C  Dosage ou Ratio   1+
 100%   P.R.C : Prix Rendu Chantier

1.2 Application :
Données :
Fournitures
TRAVAIL À FAIRE
(matériaux) P.R.C Dosage Pertes
Ciment CPA 325 : 120 000 F/ t 350 kg/m
3
2% Calculer dans l’ imprimé ci-dessous, les déboursés
3 3 secs matériaux pour la confection d' un mètre cube
Sable 0/5 : 7 500 F/m 450 l/ m 4%
3 3 de béton de semelle d' une construction , à partir
Gravier 5/25 : 16 500 F /m 850 l/ m 3%
3 3
Eau : 425 F /m 200 l/ m 5% des données ci-contre.

Date Page
CALCUL DES DÉBOURSÉS SECS
Projet : CONFECTION DE BÉTON DE SEMELLE DE FONDATION Lot : GROS - OEUVRE

Paramètre : MATÉRIAUX

Valeur Déboursé sec


N° DÉSIGNATION DÉTAILS - CALCULS
de base ( F. CFA/m3 )
Ciment
1.0 CPA 325
1.1 P.R.C
1.2 Dosage
1.3 Pertes
2.0 Sable 0/5
2.1 P.R.C
2.2 Dosage
2.3 Pertes
3.0 Gravier 5/25
3.1 P.R.C
3.2 Dosage
3.3 Pertes
4.0 Eau
4.1 P.R.C
4.2 Dosage
4.3 Pertes

TOTAL

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2. Déboursés secs de la main d'œuvre :
2.1 Principe de calcul :
2.1.1 Calcul du déboursé sec de Main d'œuvre :
 Temps unitaire : tu exprimée en heure/unité d’ouvrage ( h/u )
D.S M.O = tu (h/u)  Taux horaire moy.(F/ h)
 Taux horaire moyen de l'équipe mise à l'œuvre : THM ( F / h ) ,

2.1.2 Calcul du temps unitaire (tu en h/u ) de réalisation d' une équipe d' ouvriers :
 Horaire journalier de travail : Hjr exprimée en heure/jour (h/jr)
Hjr×n
tu =  Nombre d'ouvriers composant l'équipe mise à l'œuvre : n ,
qr
 Rendement de cette équipe : qr exprimé en quantité d'ouvrage/jour.

2.1.2 Calcul du taux horaire moyen d'une équipe d'ouvriers : THM ( en F/h)
Chaque ouvrier perçoit pour son temps de travail un salaire. Le taux horaire moyen d' une équipe
d' ouvriers correspond à la moyenne des salaires horaires des ouvriers de l' équipe.

Taux horaire moyen =


 Salaires horaires  n : nombre d' ouvriers composant l'équipe
n

2.2 Application :

Confection Equipe :  1 CE (Chef d'Equipe)  750 F/h  Hjr = 8 h/jr


2 OS (Ouvrier Spécialisé)  550 F/h par OS
3
et  qr = 15 m /jr
mise en œuvre
3 OM (Ouvrier Manœuvre)  360 F/h par OM

À partir des données ci-dessus, calculer dans l’ imprimé, en F/m3, le déboursé sec
de main d'œuvre ( D.SM.O ) , pour la confection et la mise en œuvre du béton de
TRAVAIL semelle de fondation de la construction , après le calcul :
À 1. en h/m3, du temps unitaire (tu) de réalisation de béton de semelle de
FAIRE fondation par l'équipe dont la composition est ci-dessus définie.

2. en F/h, le taux horaire moyen ( T.H.M ) , de ladite équipe.

Date Page
CALCUL DES DÉBOURSÉS SECS
Paramètre : MAIN D’ OEUVRE
Valeur Déboursé sec
N° DÉSIGNATION DÉTAILS - CALCULS
de base ( F. CFA/m3 )
1. temps unitaire (tu) :
1.1 Hjr :
1.2 Effectif(n):
1.3 qr :
taux horaire moyen
2.
( T.H.M ) :
2.1  Salaires horaires :
2.1.1

2.1.2

2.1.3

2.2 Effectif(n):
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Déboursé sec de
3. la main d’œuvre
( DSM.O ) :

TOTAL

3. Déboursés secs de matériel :


3.1. Cas d' un matériel loué pour l' exécution d' un ouvrage élémentaire donné :
Il s'agit de préciser d'abords et de réunir à la fin :
 L'ouvrage élémentaire pour lequel il faut prendre en compte la location ( béton, coffrage, ferraillage,…),
 Le coût de la location (en F/jour),
 Le rendement journalier qr de l' équipe à l' œuvre
considéré comme la cadence moyenne journalière
de production, Coût Location  30 jr / mois
D.S Matériel 
 Le nombre de jour effectif de travail dans le mois qr  22 jr / mois
(généralement , 22 jours/mois pour 30 jour/mois).

3.2 Cas d'un matériel acheté et à amortir sur le chantier exclusivement :


Il s'agit de préciser d'abords et de réunir à la fin :
 L'ouvrage élémentaire pour lequel il faut prendre en compte l'acquisition du matériel,
 Le coût d' achat,
 Le rendement journalier qr de l'équipe à l'œuvre, considéré comme la cadence moyenne journalière
de production,
 Le nombre de jour effectif de travail dans le mois ( 22 jours/mois pour 30 jour/mois),
 La durée du chantier.
Coût d ' achat
D.S Matériel 
qr  22 jr / mois  durée

3.3 Application :

Bétonnière Brouette
- Coût de location de la bétonnière 12 500 F/ jour - Coût d’ achat d’une brouette : 19 500 F
- Le rendement journalier ( qr ) de l'équipe : 15 m /jr 3 - Le rendement journalier de l'équipe 15 m3/jr
- Horaire journalier 8h/jr (22 jours/mois pour 30 jours/mois) - Horaire journalier 8h/jr (22 jours/mois pour
30jours/mois)
- Durée du chantier 5 mois.

À partir des données ci-dessus, calculez dans l’ imprimé ( Page suivante),


1. le D.SMatériel (incidence de la location sur 1,00 m3 de béton), relatif à la location d’une
TRAVAIL bétonnière , afin de confectionner un béton de semelles de fondation d'une
À construction.
FAIRE 2. le D.SMatériel (incidence de l’ achat sur 1,00 m3 de béton) , relatif à l’ achat de deux
(2) brouettes, afin de confectionner et mettre en œuvre un béton de semelles de
fondation d' une construction.

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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Date Page
CALCUL DES DÉBOURSÉS SECS
Paramètre : MATÉRIELS

Valeur Déboursé sec


N° DÉSIGNATION DÉTAILS - CALCULS
de base ( F. CFA/m3 )

Location d’une
1.
bétonnière :

Achat
2. de deux
brouettes :

TOTAL

………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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Chapitre : C CALCUL DU COEFFICIENT Date :
Leçon : 7 DE VENTE D’ UNE ENTREPRISE

1. Principe de calcul :
on pose :  PVUHT = D.S totaux +  Frais + Bénéfice   DS totaux = PVUHT - ( Frais + Bénéfice )
Aussi :  PVUHT = D.S totaux  KV

 dans   PVUHT = [ PVUHT - ( Frais + Bénéfice )]  KV

PVUHT
d'où KV 
 PUVHT    Frais  Bénéfice  

Si Frais et Bénéfice sont exprimés KV 


100%
en fonction du PVUHT alors 100%  (% Frais  % Bénéfice)

2.2. Applications :
2.2.1 Exercice 1 :
Pour une entreprise de BTP, on évalue Réponse : Calcul du coefficient KV
en pourcentage du PVUHT , à : 100%
On a : KV 
 12 % les (FG + FC) 100%  (% Frais  % Bénéfice)
 8 % le Bénéfice.  K  100%
V 100%  12%  8% 
TRAVAIL Calculer le coefficient KV de
À
cette entreprise.  KV  1, 25
FAIRE

2.2.2 Exercice 2 :
TRAVAIL À partir des donnés ci-dessous , déterminer KV d'une entreprise.
À
FAIRE  FC = 10% DS  FG = 22% DT  B = 8% PVUHT

Réponse : Calcul du coefficient KV

o
………………………………………...……………………..…………………………………………..………………………………….……………………….…
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Chapitre : C CALCUL D’UN PRIX DE VENTE Date :
Leçon : 8 UNITAIRE HORS TAXE ( PVUHT )

1. Sous détail de prix :


Le terme sous détail de prix est employé pour désigner à la fois, l'ensemble de l'analyse détaillée de tout
ce qui entre dans la réalisation de l' ouvrage élémentaire , le tableau dans lequel sont résumés les
déboursés secs (matériaux , main d'œuvre , matériel) , le coefficient de vente et les calculs des prix
de vente unitaires hors taxes.

2. Calcul du PVUHT :
2.1 Principe de calcul :

. PVUHT = ( D.S ) × KV

2.2 Application :

À partir des différents déboursés secs préalablement déterminés et du


TRAVAIL coefficient de vente d’une entreprise (voir exercice 2 – Cours sur le calcul
À du coefficient de vente d’une entreprise) , calculer dans l’imprimé du sous détail
FAIRE de prix, le prix de vente unitaire hors taxe ( PVUHT) de un (1) m3 de béton
de semelle de fondation.
de semelle.
FICHE DE SOUS DÉTAIL DE PRIX

Entreprise Page
SOUS DÉTAIL DE PRIX
Date
Projet :…………………………………..…………….……………………….…………… Métreur :………………….…………….………...…..

DÉBOURSES SECS Déboursés


N° DESIGNATION U Secs totaux KV PVUHT
DES OUVRAGES Matériaux Main Matériel ( kV × DS )
d’œuvre ( D.S )

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LA PRATIQUE
DU CHANTIER
( Mortier – Béton – Agglomérés – Aciers )

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BÉTON

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BIBLIOGRAPHIE
 Le métré , Généralités : Connaissances de base
et techniques de rédaction (Tome 1), Octobre 2000
S. OUATTARA et N. ADEMAN

 Métré de bâtiment, Édition EYROLLES ; Septembre 2000

 Documents de métré : Lycée Professionnel de SAN PEDRO.


 Documents de métré : Lycée Technique de BOUAKE
 Le bâtiment : 3e édition revue et augmentée
G. BAUD.

 Précis de bâtiment : Conception, mise en œuvre,


normalisation; Édition NATHAN, Janvier 1993
D. DIDIER, M LE BRAZIDEC, P. NATAF, J. THIESSET,

 Dessin Bâtiment 1, Août 1997


R. Delebecque, DELAGRAVE

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