La Libre Parole - 1933-07-08
La Libre Parole - 1933-07-08
La Libre Parole - 1933-07-08
•
(Revue Mensuelle) publie. ..
DES
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•
·DE
,
lLIALE DE
SOMMAIRE
AIDEZ-NOUS • 1
souscrivez une part de notre Merci!
Société en formation 1
- 2-
A is Lecteurs,
Au moment où les forces judéo-maçon-
niques coalisées essaient d'anéantir notre
• pays, nous devons faire un gros effort pour
notre journal.
Dans ce but,
LA LI RI: PAROLI:
paraisse plus fréquemment et qu'elle inten-
sifie son action SOUSCRIVENT
UNE ou PLUSIEURS PARTS de 100 francs
de la
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EUX ET NOUS
,
seul Nationalism
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outranCier
par Albert MONNIOT
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... Les Allemands pcuvent~ils faire valoir les mêmes griefs, lcs
mêmes arguments? je n'cn sais ri en ct n'a i pas il l'examiner.
Les meeures priscs par Hitler semblent une application du nu-
merus clausu.s, déjà réalisé en Hongrië si je ne me trompe: c'est..
à-dire une sorte de représentation proportionnelle, l'accès dcs fODe-
tions directrices étant limité, pour lcs Juifs, à l'importance de la
population qu'ils représe ntent dans ]a nation, au prorata.
lVIals on sait de rcsLe que lcs Juifs crient COlDllle dcs blaireaux
enfumés chaque foi s qu'on prétend lcs ramener à l'égalité avec les
autochtones.
Cela dit, méfions·nous d'Hitler et de son « Allemagne réveillée » :
il y a incontestablement là une menace pour la paix, et elle serait
singulièrement en péril SI LA PUISSANCE JUIVE PRÉTENDAIT FAIRE. DE
NOTRE ARMÉE L'INSTRUMENT DE SES REPRÉSAILLES.
J 'ai déjà noté les efforts faits pour créer chez nous une psychose
de guerr e, la multiplication soudaine des incidents; le dernier est
typique: ou nous entretenait pendant plusieurs jours d 'un espion
d ébarqué par des chalands allemands dans le bnt évident de photo-
graphier nos Cortifications.
On dut enfin reconnaître qu'il s'agissait d'un iJlsp ecteur français
. . ,
de 1a navlgalIon ....
Le malheur cet qu'on n'ose même pas conclure: « que les con..
suIs veillent! »
Albert MONNIOT•
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Souvenirs
Rose-~roix
(Suite')
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Posez la main d roite sur cet éq uerre et sur cc livre qua contient la
Loi l\IIaço nn iq uc. Je vaie VQUS lire la formule d e voire Obligation.
Vous di rez e nsuite: je le promets ! {( Sur ce glaive, sym bole d e l'hon-
neur, - sur cel équerre, emblème de ]a conscience, de la r ectitude
et du droit; - sur ce livre de la Loi des Francs-Maçous, qui sera
désormais la mienne, je m'engage à garder inviolablement, Je sccret
maçonnique ; - à ne jamais rien dire, ni éc rire sur ce que j'aurai .
pu voir ou entendre, pouvant intéresser l'Ordre, à moine (lue je n'cn
aie reçu l'autorisation expresse et seulement de Ja manière qui pourra
m 'être indiquée. Je promets de trava iller avec zèle, co nstance e t ré-
gularité, à l'Œuvre de ]a Franc-Maçon nerie. Je promel s <rai mer mes
Frères, d e les aider de tout Illon pouvo ir et de me ttre en pratique
en toutes circonsta nces la G ran de Loi de la Solidarité humaine qui
cst la doctrine morale (sic) de la Franc-:r\'l açonnerie. J e pratiquerai
l'assistance envers les faibl es, ]a justi ce envers tous (?), le dévoue-
m ent enve rs ma Patrie (comme le Frè re.· . Blum) et ma famille, ]a
dignité envers mo i-même. J e promets en oulre de m e co nformer à ]a
Constitution et au Règlement Général de rOrdre. Je promets 6d~
lité au Grand Orien t de France, m'inter disant tout e participation
a ux groupes maço nni qu es qu 'II ne reco nnaîtrait pas pour réb'l1liers.
J e consens, si jama is j e venais à manquer à ces engagements, à eruhir
les pe incs méri tées par mon indigni té, ct à ce qu e ma mémoire soit
e n exécration à tous les maço ns. Le promettez-vous, mousieur?
- J e le promets.
- Bi en. Au nom de ]a Franc-l\façonnerie Universelle, je prends
acte d e votre promesse. Et prenant son épée serpentine d e la main
gauche, et ]a tenant au-dessus de ma tête, le Vénérable prononça la '
formule suivante:
{( Au nom et sous les auspiccs du Grand Orient de France, en
vertu des pouvoirs qui m'ont été co nfé rés, j e vous r eçois ct constitue
franc-maçon, au grade d 'apprenti, membre actif de la R espectable
Loge L'ATELIER à l'Orient de Paris. »
(A wivre.)
•
Contre l'Etatisme mac· . >
et
la Haute Banque Juive -
SOUSCRIl'fl
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I. - LA J UDÉ/)·MAÇONNERIE.
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chose que le sceau de Salomon et le bouclier de David de la Kab-
bale juive.
Jüifs aussi les noms de certains grades maçonniques, « Ch eva·
lier Kadosch» (le saint), « Prince de J érusalem» (16') , « Ch eva- 1
lier du Serpent d 'Airain» (25') et autres.
Tout ceci a permis au savant rabbin Dr Isaac Wise d 'écrire:
{( La Maçonuerie est une institution juive, dont rhistoire, les
« devoirs, les mots de passe, les explications Bont juifs du corn-
« mencemcnt à la fin, à l'exception d 'un seul grade secondaire et
« de quelques mots dans la formule du sennent.1 »
Bernard Lazare constate :
« TI est certain qu'il y eut des Juifs au berceau m ême de la
« Maçonnerie, dcs Juifs kahbalistes, ainsi que le prouvent certains
« rites conservés.2 »
Le F .·. Rudolf Klein admet, lui aussi, que :
« Notre riLuel, cn effet, est juif du commencement à ]a :6n. Le
« public doit cn conclure que nous avons des rapports avec le
« judaïsme. D'autant que ce rite est u suel dans toutes les loges du
« monde.3 »
T erminons par cet aveu qui tranche la question:
« Les B 'nai B 'rith (loges maçonniques r éservées aux Juifs) ne
« Bont qu'un pis-aller. Partout où la Maçonnerie peut avouer sans
« danger qu'elle e9t juive p ar nature et comme fin, les loges ordi-
({ naires surfisent à la tâch e." »
La majorité des maçons, principalement ceux qui composent
« le troupeau » maçonnique, les arrivistes et les ({ politiciens de
Café du Comm ercee», nient évidemment cette collusion, ou plutôt
cette subordina tion de la maçonnerie au judaïsm e mondial.
Peut-être même sont-ils si ncères dans leurs négatio1l9.
TI est fort probable que même les maçons haut gradés, vérita-
blement initiés et qui diri gent, n'aspirent qu'à la seule domination
de leur secte sur tout l'univers, espérant, au dernier m om ent, avoir
raison des exigences du judaï9me.
Nous admettons volontiers que le but final de ces ma çons est
en effet d'établir la république universelle, avec, à sa t ête, la Franc- •
Maçonnerie, comme l'ont proclamé souvent ses membres influents.
Mais ce que les maçons considèrent comme leur but final n'est
qu'une étape pour les Juifs, maîtres occultes de la Franc-]\{açon-
•
nenc.
Voici, en effet, ce que nous lisons dans les Protocoles des Sages
de Sion{) :
« En attendant, jusqu'à ce que nous soyons les maîtres nous
« créerons an contraire et multiplierons les loges maçonniques
({ dans tous les pays du m onde; nous y attirerons tous ceux qui
1. Compte r e ndu du Convent du G.· . O.'. d c Fra nce de 1930, Il. 76.
2. I bid, p. 86.
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1. Ibid, p. 88.
2, C·esl-n.-di1'e non maçonnique,
3. Ibid, p. 142.
4. Projet de vœu du F. ·. Vinllard au Convent de 1925, cité au COll\'.·, de
1931, p. 80.
a. Compte rendu du Con".'. du G . ~. O.'. de France 1931, p. 108.
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1. 1bill, p. 302.
2. Bulletin Officie l, sept embre 1920. p. 39.
3. Bulletin Officiel, mnrs 1923, p. 60.
4. H. Sec, Hi stoire de la Ligue des Dro it s de l'Homme, p. 59.
5. Vo ir Cah ier s de ln Li(Jue des Droits d e l'Homme, n ° 24, septe mbre 1932 .
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Affaires etrangeres." .. " 46 31 23
Colonies . . . . " . . . . . . . . 41 45 47
Finances • • • • • • • • • • • • • 71 76 55
Guerre • • • • • • • • • • • • • • • 126 106 81
Instruction publique ... 47 61 38
Intérieur •• • • • • • • • • • • • 183 231 328
Justice •• • • • • • • • • • • • • • 154 144 H3
Pensions • • ••• • • •• ••• • 221 159 101
Présidence du Conseil. 10 10 3
Travaux publics ....... 37 25 12
Divers (?) ..... . ...... 263 245 297
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« Art. 26. - A nenne portion du p euple ne peut exercer la
« puissa nce du peuple entier.
« Art 27. - Que tout individu qui u surpaerait la souverai·
« n cté soit à l'instant mis à mort par les hommes libres ))
Nous ne dem andons pas la mise à mort d e M~I. Basch, Kahn
e t autres Bloch , diri geants d e la Ligue ; nous leur demandons seu-
lement en ve rtu de quelle loi, ou d écr et, ils « exercent. une auto-
r ité » n'émanant pas de ]a Dation, et pourquoi ils « u surp ent la
sou ver a tneté » - en l'espèce le droit d e surveillance suprême -
qu 'ils ne détiennent pas du suffra ge du « peuple souverain ».
Les textes d es interventions de la Ligue nous autorisent à por-
ter contre elle ces accusati ons.
EUe « atti re l'attention » des ministres, r éclame d es sanctions
à l'éga rd de ceux qui ont le m alheur de lui d éplaire, exige des
r éponses et va jusqu 'à usurp er l'autorité du minjstre 1•
« Il n.ous ap paraît d onc indispensable, lisons-nous, d e rapp eler
« lcs fo nctionn a ires placés sous v otre autorité au r es pect des con·
« ven ances administrativcs...2 » .
Les p r éten tio ns de la Ligue sont aussi vastes qu e son ch amp
d'ac ti on. En voici un autre exemple :
Un r ap port du cons1.ù de France à Chan gh ai"3 ad ressé au Ministre
des Affaires ét r an gè res est volé ou détourné par un j ournalist e qui
l'envoie à la Ligue d es Droits d e l'Homme à Paris. Le Procureur
d e l a R épubliqu e ordonne des r ech erch es d ans les bureaux d e la
Ligue, laquelle, dans son orga ne officiel, écrit à ce suj et:
« Nous ne protestons pas moins contre une pareille m esure
« qui porte une grave atteinte aux droits de la défense (défense
« d u j ou rnal iste, assum ée par la Li gue) . Comme le cabinet de
« l'avocat, les bureaux de la Ligue doivent être à l'abri de toute
« p erq uisition.4 »
Evidemment, si les m embres de la Ligue sont « les juges du
monde entier» (B asch dixit) , eette protestation est pleinement
justifiée !
, Conformément à ses statuts la Ligue doit m ener une propa.
gand e très active.
L'article 13 précise que :
« Les sections organiecnt l'action locale d'a près les p rincipes
« d e la D éclaration des Droits de l'Homme.. Elles ém ettent les
c( vœ ux et prenn ent les r ésolutions qui leur semblent utiles pour
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« Les Fédérations... organisent la propagande démocratique.»
Nous savons, h élas ! ce que vent dire en jargon maçonnique ]a
« pro~a gande démocratique»; le démocratism e est identifié au
socialism e, à l'anticléricalism e, à l'internationalisme, à l'antimili·
tarism e !
Toute l'activité d es succursales de la Franc-Maçon ne ri e cn fait
foi.
La propagande de la Ligue se poursuit par tous lcs moyens :
confél'cnces publiques et privées, tracts, brochures, articles de
presse, cinéma, T.S.F. - tout est bon pour répandre les idées ma·
çonniques. Les mots d'ordrcs sont donnés par les franc-maçons qui ,
mènent la Ligue, pour saper les bascs mêmes de l'Etat et de ]a
civilisation chrétienne.
Dcs conférenciers maçons ou maçonnisants parcourent le pays
en y semant les germes de discorde et d e r évolution; ils se fau e
filent dans tous les mi lieux, s'infiltrent dans toutes les organisations.
Des brochures et des tracts plus ou moins subversifs sont répandus
par centaines *de milliers d'exemplaires.
La presse dite de gauche prête une large hospitali té aux articles
inspirés par la Ligue. Nombre d e dirigeantE! d e cette organis~ltioll
collaborent aux journaux d e gauche comme le Quotidien, le Popu~
laire, l'Ere nouvelle, l'Œuvre, Paris-Soir, la Lumière et autrcs.
Le F .". Marc Rucard, président de la Fédération de J'Aisne, avoue
au Congrès de la Ligue en 1923 :
« Nous sommes des amis du Quotidien, aussi bien que d e l'Ere
« nouvelle, du Populaire et même de l'Humanité!. »
Le mot « même » est certainement de trop; la Ligue soutient
toujoun et partout le mouvement communiste et si, parfois, elle
proteste, bien mollement d'ailleurs, contre les crimes du gouver~
nement des Soviets, ce n'est que pour tranquilliser les bons bour~
geois, membres de la Ligue.
Son organe officiel s'intitule L es Cahiers des Droits de l'Homme
et paraît trois fois par mois. En 1930, cette revue d éclarait compter
18.540 abon nés2. Nous y trouvons des comptes rendus très détaillés
de l'activité du Com ité Central, des Fédérations et d es Sections; la
lecture de cette collection nous paraît fort édifiante, puisqu'elle
prouve de façon très nette l'inspiration maçonnique et qu'elle dé·
voile les véritables buts de l'association, buts nettement révolu-
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tJOnnanes.
V. - LA LIGUE ET L'EGLISE.
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LA LIGUE ET LA REVOLUTION
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Ligue des Droits
de l'Homme
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lettre au Ministre de l'Intérieur, datée du 16 Cévrier 1932, Cort
•
curIeuse.
M. Perret, de nationalité suisse, fut arrêté sur le pont de la
Concorde:
« Son crime? Manifestation présumée, bien qu 'il fut seul cl
« qu'il n'y eut pas le moindre symptôme de manifestation! »
Ceci, évidemment, est grave!
Au poste de police {( on saisit différents papiers dont il était
« porteur, coupures de jouxn3lL-';:, carles de sociétés alLxquelles il
« appartient ».
L'arrestation fut maintenue. Nous pO:UVOD9 donc présumer qu e
1\1:. P erret n'avait pas dans ses poches dcs coupures du Matin. ou
du Petit Parisien. ni des carles d'une société de musique ou de
joueurs de belotte. La lettre du Comüé Central ne précise malbeu·
reusement pas la nature de ces « sociétés ».
Enfin il fut conduit « avec un autre étranger arrêté dans les
({ mêmes conditions, à la Préfecture de Police ».
D'où venait donc cet « autre étranger»? M. Perret, nous l'avons
vu, était seul.
« Là, il dut stationner dans un couloir pendant de longues
« h eures, au cours d esquelles aucune nourriture ne fut donnée
. . ~ ...... ~
ff aux trolS cent ci-nquante etrangers qUI- aval-ent ete arretes comme
« lui. t »
L'histoire est instructive ! Si un jour, où ({ il n'y eut pas le
moindre symptôme de manifestation » on arrête trois cent cinquante
personnes, IVe. Chiappe ferait bien d'aménager d es locaux spéciaux)
genre Grand Palais, pour y amener les personnes, arrêtées un jour
de manifestation. Le chiffre en doit être astranomique!
Le rr novembre 1931, une « m anifestation fasciste » devait avoir
lieu à Nice. 1\1. Balaccini, suj et italien, prit « en dépôt » dans son
magasin des tracts de protestation.
{{ Un d es tracts se glis9a dans les pages d'un journal local (Ba-
« laccini vend aussi des journaux) . L'acheteur de ce numéro si-
« gnnla le fait ... »
Et Balaccini aurait été expulsé snns l'intervention de ]a Ligue
des Droits de l'Homme".
Et voici des cas Don politiques :
« M. M ... , de nationalité russes, docteur en m édecine, avait été
{( frappé d'un arrêt d'expulsion à la suite d 'une condamnation
{{ pour avortement ... Les meÎ11eurs r enseignements étaient fournis
« !Ur le compte de M. M ... qui n'avait jamais été condamné aupa-
«( ravant ... n obtient un sursis de trois mois renouvelable" . »
1. Cahiers. n O 10 (l93~ .
p. 234.
2. Cahier ..... n° 22 (1931), p. 523.
3. Le n ombre de m éd ecin s juifs qui sc disent ru sses est impres sionnant 1
4. Ibid.
•
1
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1. Tbiel.
2. Voi r Calliers ...• n O 18 (1932).
3. Cit é d'Ilprès L es Dernières Nouvelles, du 11 anil 1930, journal ru sse
d e ga uche.
4. Cité d'Il près le journal rus se La Renaissan ce, du 6 no"embre, 1930.
- 35 -
]a Ligue. Cet agent incontestable des Sovie ts, reconnu comme tel
par un témoin digne de foi, bénéficie de la haute protection de la
Ligue; son président Victor Basch écrit, le 10 30ih 1932, une lou-
gue lettre nu Président de la R épublique, demandant ln grâce de
Gorgouloff. Deux raisons sont invoquées : rune, d'ordre général:
« Ni un individu, quel qu'il soit, ni la collectivité, n'a le droit
« de r etrancher un ê tre humaio du nombre des vivants ct d'étein-
« dre l'étincelle divine qu'a mis en lui la nature. 1 )}
Ne confondons pas; cette phrase cst adrcssée non à l'assas9in
GorgoulofT, mais au Président Lebrun!
L'autre raison est celle-ci :
« Or, il y a doute certain sur son état mental ct, par consé-
« qu ent, il nous semble que le doute doit profiter au condamné,
c( quelque exécrable que soit son crime et quelque vile qu'ait été
•
« sa vle.~• Il
Victor Basch, emboîtant le pas de ses amis de l'Humanité, n'hé·
• • • •
sIte pas a ecrne :
« Gorgouloff... de par tout son passé, de par ses ouvrages, de
« par ses aveux, appartenait à ne pas en douter, aux Russes blancs,
« alors qu'il se r éclamait explicitement de l\<Iussolini et de Hitler
« et qu'il a donné comme explication de son forfait lu révolte
« qu'avaient suscité en lui les relations correctes que la France
« entretient avec le gouvernement soviétique, le gouvernem ent et
•
« la presse de droite ont tenté d 'élever dcs doule9 sur l'identité
« de l'assassin, ont essayé de l'enrégimenter parmi les mili-
« tants (sic!) de la Tchéka et de jeter ainsi, étant donné l'identi·
« fication à laquelle se complaît la réaction entre communistes,
« socialistes et radicaux·socialistes - le trouble dans l'esprit dcs
C( électeurs.3 »)
On croirait lire un article de l'Humanité!
Nous rappellerons que Gorgouloff n'a jamais fait partie d'au·
eune organisation d'émigrés ru sses et ceci malgré ses démarches réi-
térées; qu 'il a été reconnu Cormellement par un des témoins, La·
zareff, comme agent (et non militant! ) de la police secrète, dite •
« Tchéka 1) ou « G. P. Ou » de ROSlow.sur.Don; que les précisions,
•
donnécs par l'assassin de M. Doumer, au sujet de son service dans
l'armée blanche, étaient inexactes, comme l'ont prouvé les lettres
des dirigeants des différentes associations d'anciens combattants
ru sses.
~f. Victor Basch a donc été enduit en crreur, à moins qu' il n'ait
voulu disculper à tout prix ses amis lcs communistes et autres ré·
volutionnaires, dont la Ligue qu'il préside prend toujours la dé·
fen"".
Les événements récents de Genève viennent appuyer ce fait.
L'organe de la Ligue" publie ce qui suit:
- 36 -
{( d éfense. »)
Il y a cu des blessés parmi le. agents de la police ct les I!OI-
-
dalS; puisque le public é tait « désarmé cl paisible » n ou s somm es
ohligés (J'en conclure que l cs soldats suisses sc sont blessés cu."",-
m êmes? O u hien est-ce u n nouveau crime infâm e du « comm an-
dant militaire »?
« L a Ligue. .. proteste conlre ce m e u r tre, véritable assassinat
« collectif, ac te d e leIl'oei8m e gouve rne men tal abo mi nable e t illdi-
« gue d 'un Etat civilisé e l r épublicain. »
E vide mment, l cs for ces p ubliques d 'un Etat civilisé a uraien t
dû sc l ai9Scr « assassiner collec tivem ent » par l es citoyens p aisibles
e l dés armés d ont la Ligu e prend la d éfen se.
L a Ligue ... dem ande :
« ... L a libér a ti on immédiate de lous les militants socialistes,
« communistes, anarchistes ou autres, inculpés de participation à
« un p seu do-complot r é volutionnaire ou arrê tés à l'occasion d e l a
« m anifes tation de mercredi :
- « L'or ganisation de secou rs en faveur des victimes. »
Si Staline n'octroie pas l'Ordre du Drapeau R ouge aux mem-
bres de la Section Gen evoise de la Ligue des Droits de l 'Homm e,
c'est à en d ésespérer de ]a justice humaine !
•
•
• - 38 -
1. Voir le plan m açon n ique de d és:lr m cm ent repri s et amén agé par
Tn rdieu.
2, Pau vre Bri a nd 1
•
- 39-
La logique, il est vrai, n'a jamais été le poiDt fort des cham·
pioDs de la « démocratie»!
QueUes sont les directives, que donne ]e président de ln Li gue
des Droits de l'Homme à scs troupes fid èles?
• ({ Pour DOU S », dit.il, « nul doute. Nous avous toujours affirm é
• cc notre foi fervente dans la démocratie, mais à la condition qu'eHe
c( fut vraiment, qu 'elle fut pleinement réalisée.
« Nos voix ne peuvent aBer qu'à ceux qui s'engagent à préparer
« des r éformes organiques, à déboulonner le Mur d'argent, à dis·
« soudre lcs congrégations éco nomiques, il mettre fin à l'œuvre de
cc corruption d es indu9tries de guerre ... à ceux qui sont résolus à
« tout sacrifier à la cause de la Paix!
c( C'est à l'énergie avec laquelle lcs ca ndidats, dans leurs pro-
« fessions de foi et leurs discours éleclornux se désolidariseront de
« tout nationalisme que, parmi eux, vous reconnaîtrez les vôtres.
« Vous demand erez ... (aux ca ndidats) ... de tout meUre C il œuvre
(c pour fortifi er la Société des Na tions d e façon à lui permettre
« toire de ce d ésarm ement général qui, seul, réso udra la crise mon-
« dial e ct rendra impossible toute guerre. Vons leur demanderez •
1. F,· .. Tntt cg rain au COIl\'Cllt du G,', 0:, de 1931. Compte rendu, p, 102.
,
- 40-
« unis, ils seront victorieux; ils pourront a]01:8 améliorer les con~
« ditions d'existence de la Démocratie, la perfectionner, la moder..
« ruser même1 • » -.
Et voici les réformes, préconisées par le Convent du Grand
Orient de France :
« Organisation de l'éducation civique du peuple;
« Instruction complète par la réorganisation de l'école laïque
« et action soutenue de celle-ci;
« Réorganisation du suffrage universel;
« Révision de Ja CODstitution2, »
Et naturellement les loges émettent le vœu ..•
« Que soit mise à l'ordre du jour l'étude des moyens pratiques
« de réaliser ]e désarmement et d'assurer la Paix internationale3. »
La similitude des mots d'ordre maçonniques et de ceux a~ la
• Ligue des Droits de l'Homme est absolue; n'cst-ce pas là une
preuve de plus de leur affinité?
L'appel de ]a Maçonnerie ayant été entendu.
« La Ligue dcs Droits de l'Homme salue joyeusement la victoire
« républicaine du 8 mai.
« La France, sortie des élections nouvelles ... devra comprendre
(c que l'Europe, telle que les traités l'ont modelée n'est pas viable.•.
« que, pour 888ainir la situation il Caudra se résigner... à ajuster
« les traités jusqu'au jour que la France devra tendre de tout son
« effort à préparer, où la Fédération européenne, enfin réalisée,
« dévalodsera l'idée même des frontières ...
« Nous avons- le droit de demander à la majorité el au nouveau
« gouvernement de nous entendre, parce que l'union et la disci·
« pline républicaines, qui leur ont valu la victoire, ellcs ont été
« préparées dans notre sein.
« C'est dans lcs 2.408 Sections de la Ligue où, fraternellement,
«( travaillent côte à côte, radicaux et socialistes, c'est dans les mil~
« lien de réunIons qu'organisent le Comité Central de la Ligue, ses
« Fédérations et ses Sectio..ps, que les idéals auxquels le suffrage
« universel a acquiescé ont été élaborés et propagés". »
CONCLUSION
1. Ibid., p. 173.
2. Ibid., p. 174·175.
3. Ibid .• p. 117.
4. Cahiers ... , nO 14, p. 315.
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Société en formation •
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MEMBRES DU COMITÉ :
F .·. J acq ues ANCELLE (B .". H .·. 2·2·1930 et 17-1-32) ; Albert BAYET
(conférencier de tenuC8 blanch es ma ç.·.) ; Juive Odette RENÉ-BLOCH;
F ." . Léon BAYLET (R épe rtoire Maço nnique p . 45) ; E. B ESNARD (con-
fé rencier de tenue blanch e maç.·.) ; F.· . J ean BON (membre du Con-
seil du Graud Orie nt) ; Ju if F .·. Léon BR UNSCHVICG (B .· . H .·. 24-12-
1922, p. 4); F .". Félicien CHALLAYE (B .". H .". 8-2-1931, p. 17 e t 22-2-
1931, p . 22) ; F ." . Albert CHENEVRIER (B." . H .". 19-5-1906) ; Jui f Fer-
nand CORCOS; Pierre eOT (conférenc ier de tenu es blanches maç.·.);
F ran cis DELAISI (conférencier en loge); F ." . Eugène FROT (B." . H .".
5-1-1930) ; F.". Henri GAMARD (B .". H .". 15-2-1913, p. 22) ; Juif Salo-
mon G RUMBACH; Juif J. HADAMARD; Juif J. KAYSER; J. PAUL-BoN-
COU R (conférence à la L .·. Victor-Hu go, le 20-5-1927); Juif Georges
PIOCH (confé re nces e n Loge); F.". Paul RAMADIER (B.". H .". 6-3-1932,
p. 7); F .". Pierre R ENAUDEL (B .". H .". 4-7.1902, 17-12-1922 et 27-3-
1927); Juif C. SEIGNOBOS; Juif G. WEIL dit « Veil »; F .". Maurice
VIOLLETTE (B .". H .". 17-12-1922 c t 1-6-1930) .
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Groupe Parlementaire
de la Ligue des Droits de l'Homme
Les noms qui suivent 011t été relevés dans l'organ e officiel de la
Ligue_
DÉP UTÉS:
,
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SÉNATEURS
•
-
•
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•
1 •
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-
PREMIERE PARTIE
1
AUTHENTICITE -
Quiconque étudie avec soin le contenu des Protocols se rend im-
médiatement compte qu'il a sous les yeux un programme des plus
précis; et d 'autre part, que:
1 0 Les Protocols ont été traduits de l'hébreu. Cela est prouvé non
seulement par le témoignage des expe rts, mais surtout par celui de
gens qui, ayant vécu à Odessa en 1890, savaient que ce document
circulait parmi les Juifs de cette vilJe, et l'avaient eu eux-mêmes
entre les mains.
2° Les Protocols sont l'œuvre d 'un homme fanatisé par l'idée du
Nationalisme Juif, c'est-à-dire, du Judaïsm e so us son aspect national.
3 0 L'auteur d éploie une intelligence plus qu'ordinaire. De fait ,
f'ouvrage est ce que l'on pourrait âPpeler diaboliquement gérùal.
4° La haine contre les Gentils ou Goym, contre tous ceux qui ne
eont pas Juifs, telle qu 'elle est exprimée dans les Protocols, dénonce
1. Cette étude Cut publi ée dan s une brochure de L a Vieille Fran ce.
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II
ASHER GINZBERG
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•
SECONDE PARTIE
A insi q u'il a été dit dane le ch apitre précéd ent, le plan exposé
d ans les Protocols n~es t nullement rid ée o rigi nale d e G inzber g. Le
t itre même qu'il a donné à son ou vrage : Les Protocols des Sages de
Sion, prouve la vér ité de celte asse rtion, car l'é pithète Sages est
clon né par les Juifs aux rabb ins, peuseurs ou philosoph es d e leur
race qui soot déjà morts. P ar conséqu ent, il est inté ressa nt de passer.
en r evue la liste d es Sages, et de const ate r qu els furent, pa rm i eux,
ceux qui fournirent à Giozbe rg les téo ri e9 q u' il incorpo ra eusuite
dans ses Protocols.
Il emprunta à :Moj'sc, ShaJl1Jllai, A kiba e l Ben Y ohai la h a ine pour
to ut ê tre huma in qui n'est pas Juif, ct non seule ment ]a d éveloppa
dans son âme, mais l'inspira à ses disciples. Sn façon de voir à ce
suj et est bien nettement ex primée d an9 les Protocols, où il est fait
allusioll au « bétail goy») pour d és igner les Gentils. Quant aux
disciples d e Ginzbe rg, il suffira d e faire mention d e Léon Simon,
l'élève et l'admirateul' d évoué d e « Achad H aam » qui , dans un de
ses articles d édi é à son maître (J',1énorah, 1917), où il établit un e
comparaiso n ent re ]cs id éals Juif et Chrétien, toute au détriment du
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« L e proph ète est u n extrémiste; il con centre son esp rit et son
cœur sur ce q ui est son idéal, ce qu i lui ap paraît comme le but de la
vie, au service duquel le m onde entier, sans la plus légère excep·
tion, sera contraill.t, ainsi qu~i1 l'a décr été. Il porte en son âme l'image
complète d'un m onde idéal, ct c'est ce modèle qui le guide dans les
travaux d e réform e qu'il veut accomplir d ans le mond e extérieur d e
l a r éalité .TI a la co nviction absolue que les choses doivent être aimi
et cela lui suffit p our exiger qu'elles soient ainsi. TI ne veut accep ter
au cune excuse, n~admet au cun e compromission, et ne cesse j amais
de faire entendre l'accent p ass ionn é de ses r eproches, m ême ei l'uni·
ver s entier est contI'e lui. )
Cet article fut écrit au m oment où la polémique entre H erzl et
Ginzberg était à son comble, et les partisa ns de H erzl beaucoup plus
nombreux que les autres.
C'est le cri du cœur d'un fanatique qui j ette le d éfi au monde
entier , qui est prêt à faire commettre tous les crim es et à sacrifier
des existencs sans nombre, pourvu seulement que sa volonté s'accom·
plisse.
Ainsi que le dit Léon Simon dans un de ses écrits, où l'on croirait
qu'il a voulu compléter le tableau tracé par son maître: {( Le Pro·
phète veut vo ir sa vision se r éaliser, queUes qu'en puissent être les
,
consequ ences. »
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enragé 8ionistc, qui travaillait alors au livret d 'un opéra dont Pade-
r ews ky composait ]a musique (Mauru, rep résenté en 1901) parla
des Protocols à son collaborateur. Et Paderewsky trans-
mit tout de suite l'histoire à de nombreux Polonais qui,
naturellement, ]a jugè rent extravagante. Alfred Nossig habite
encore Berlin; Paderewsky et une partie au moins de ses amis de
1897 vivent toujours.
• Le Bn.e Mosh e se développa rapidement et sa ns bruit. Lorsqu'on
en suit la march e, on est forcément r eporté vers les voyages entre-
pris par Je rabbin Akjba pour S3 propagande secrète; pérégrinations
au cours desqueU es lui aussi fom enta et organisa ]a révolte d es Juifs
conlre Rom e, sou s l'empereur Adri en.
L es Loges qui furent formées par le Bile !floshe dans un gra nd
nombre de vines de Ru ssie, R o umanie, Galicie et Pologne, se nom-
maient Lishkot_ On étendit aussi d es ramifications jusqu' à Paris, Ber-
lin, 'Ange terre, Varsovie et la Palestine.
En 1897, après le Congrès de Bâle, l a société du Bile Moshe fut
soi·rusant disso ute, pour Caire place à l'organisation connue sous le
nom de Bile Sion, qui obtint droit d 'existence du gouve rn ement russe.
Cette nouvelle organisation fut fondée à 1\10sco u par AI. Ussich,kin,
disciple de Asher Ginzberg.
Le Bile Sion groupa toutes les différentes Loges du Hovevei Sion
et du Bite Moshe, et devint le camp puissant qui fut toujours cn op'
position au Sionisme « Politique » du B'nai Brith. d'Europe et
d 'A mérique.
Le Bile !floshe et le Bne Sion fondèrent en Palestine plusieurs co-
lonies dont la plus importante fut celle de R chobot.
Asher Ginzberg était en contact constant avec son peuple, par ses
écrits qui parajssaient dans Hashiloah et dans d'autres publications
en hébreu. Plus tard, avec les fonds luis à sa disposition par K . \Vis-
8Otsky, il fonda la société de publications Achiasseff. Aucun effort ne
fut épargné pour éveiller dans l'âme de chaque Juif la connaissance
consciente qu'il appartenait, non pas à la nation du pays où il hahi-
tai~ mais à la Nat"ion juive, formant une nation distincte, et la seule
qu'il devait servir.
« Il n e peut y avoir de nationalisme sans nation, et pas d e nation
sans sentiment national », dit Asher Ginzberg dans ( Le Chemin de
la Vie ».
Sur cette proposition initiale, qu'il existe une Nation juive, se
greffa l'enseignement que la nation juive é tait la super-nation, le
peuple choisi de Dieu, é1evé bien haut « au-dessus des autre9 na~
ti ons, non par son pouvoir politique, mais par sa force morale» :
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TROISIEME PARTIE
1
LES RÉSULTATS
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,
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Il
•
- 63 -
QUATRIEME PARTIE
•
APPRECIATIONS DES JUIFS SUR ACHAD HAAM
( Franco)
Le Cartel maçonnique contre la France, avec liste importante
de députés et sénateurs FF. ·. MM.· .. . ... . . . . .. . .. . . ... . 6 50
Manuel anti·maçonnique . ... ...... .. ... . .. . . .. .. . . . ... . 3 »
Répa ndre à profusion .
• Les FF.". MM. ·. dans l'Enseignement, avec liste importante
d 'universitaires F F .· . MM .·. et nombreux articles sur la
questiol1 .. ... .... .. .. .. .. ..... ... . . . . . .. . . . . .... .. .. 3 50
Guerre mondiale. Crise économique universellé. Révolution
internationale . . . . . . . ... . ...... . .... .. . . ... ... . . . . . .. . il 50
Dans ce Inême ouvrage :
Un coup d'Etat maçonnique contre la « Libre Parole », plainte
a u Parquet, perquisition, interrogatoire, etc. MOTS DE
PASSE SEMESTRIELS et des a rticles documentés sur la
question judéo·maçonnique.
L'Annuaire général de la F .·. M.·. ......... . ....... .. ... 12 tif>
Le Rôle de la F .·. M.·. pendant la dernière guerre et pendant
la prochaine . . ... . . . . . .. . . .... . . . . . ... .. . . .. . . . ... .. il 50
Y a·t·il des Femmes dans la F .". M.". ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 50
Le Gouvernement et la F .". M." . La Dictature mac.". au
Mexiq ue. L'Assassinat rituel de Damas .. . . . . . . . . . . . . . . 5
L'Assassinat maçonnique. Le Crime rituel chez les Juifs. La
Délation maç.". dans l'Armée et dans l'Eenseignement. . . . 3 50
L'Accord franco·soviétique et la F .·. M.·. . . ..... . .... . ... 3 05
Mussolini et la F .". M." . . .. ..... ... . ........ .. .. .. ... . 3 50
L Invas ion Juive . . .. . . .... . ...... . ... . ............ .. . .. ... ... '" 3 50
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RECOMMANDES
Les Espions et les Traîtres. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 fr. 50
• L'espionnage judéo·allemand, par FERGUS. (Franco: 8 Cr. 10)
La Franc-Maçonnerie Féminine .. .. . . .. .. .. .. .. 10 fr.
, avec liste et portraits de FF.". et de SS.". du
Droit Humain, par SWITKOW. (Franco: 10 fr. 75)
Les Protestants à travers l'Histoire. . . . .. . . .. 7 fr. 50
Horreurs et erreurs du protestantisme, par
A.·J.·S.·M. DE LA CAMBRE.MIALET. (Franco: 8 Cr. 10)
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