Cours de Sécurité Incendie
Cours de Sécurité Incendie
Cours de Sécurité Incendie
EN SECURITE :
Rester vigilant, conserver son calme et son sang froid, démystifier la légende
de l’invincibilité mystique du feu c’est mettre la chance de son côté pour
vaincre à coup sûre l’ennemi commun : « l’incendie ».
INTRODUCTION.
De tous les dangers qui menacent l’usine, l’incendie peut être considéré
comme le plus fréquent et le plus grave.
Il est donc indispensable de prendre des mesures préventives très strictes pour
empêcher dans la mesure du possible qu’un feu ne se déclare.
Il faut former le personnel, à tous les niveaux, pour leurs apprendre à lutter
contre un incendie.
Il faut aussi donner à l’usine les moyens de luttes nécessaires pour qu’un banal
incendie ne se transforme en véritable catastrophe.
Il faut aussi donner à l’usine les moyens de luttes nécessaires pour qu’un banal
incendie ne se transforme en une véritable catastrophe mettant en péril l’usine et
son personnel.
La formation des hommes demeure indispensable en ce sens que même les
équipements les plus sophistiqués ne peuvent remplacer l’homme. En matière
de sécurité, la prévention constitue un volet très important qui ne peut être
assuré que par le personnel compétent. Cet aspect a fait évoluer l’histoire du
droit de travail dont une branche la sécurité du travail vole incontestablement la
vedette de l’actualité juridique et économique.
Compte tenu de tout ce qui est dit en introduction, une usine qui prend feu
peut être comparée à une véritable bombe du fait qu’elle produit des produits
chimiques très explosifs pour son fonctionnement.
L’imprudence,
La négligence,
La méconnaissance des règles élémentaires de sécurité,
L’ignorance,
La méchanceté.
Les flammes,
Les étincelles,
La chaleur,
Les courts-circuits électriques,
L’explosion,
La fermentation,
Les calamités naturelles : foudre, séisme, inondation.
Par la prévention :
a)- A la construction :
II.1)-LE FEU :
a)-Généralités.
Le feu a été un facteur de progrès pour l’homme mais il est une source de danger
dont il est difficile de s’affranchir complètement. Dans une usine ces risques
sont décuplés. Le feu s’il n’est pas circonscrit rapidement amène dans la plupart
des cas la destruction complète de l’usine. Pour les employés, les dangers ne
sont pas moindres ce sont brûlures, les coups de chaleur, l’intoxication et
l’asphyxie. Il est primordial que la prévention et la lutte contre l’incendie soient
l’objet d’une étude et de soins attentifs.
b)-Définition du feu.
Le feu est la manifestation brutale ou lente d’une réaction chimique appelée
oxydation ou combustion. On parle de feu lorsque l’oxydation se fait avec un
dégagement de flamme de chaleur et de fumée. Elle est dite complète et
exothermique. On parle de fermentation ou combustion lente lorsqu’il n’y a ni
fumée, ni flamme. Le dégagement de chaleur peut ne pas être perceptible.
EN TOUTE CIRCONSTANCE :
Garder un esprit sécurité.
Ne jamais hésiter à donner l’alarme.
Appelez immédiatement les pompiers en renfort
Donner la priorité aux actions de prévention, lutter
contre l’accoutumance aux dangers.
Savoir ou se trouve le matériel incendie.
Obéir aux ordres.
Respecter les consignes.
Interdire de fumer dans les lieux non prévus.
Travail par équipe de deux.
Savoir entretenir sa forme physique.
TOUJOURS :
Demeurer vigilant, conserver son calme et son sang froid, démystifier la légende
de l’invincibilité mystique du feu c’est mettre toutes les chances de son coté
pour vaincre à coup sur l’ennemi commun : l’incendie.
Pour qu’il ait incendie, il faut absolument trois éléments qui sont :
1) Combustible
2) Température
3) Oxygène
Cela se présente sous la forme d’une figure appelée triangle du feu.
Triangle du feu
Ceci dit, la présence simple de ces trois conditions ne suffit pas à la création et
au développement d’un incendie. Encore faut-il que ces trois paramètres
réagissent entre eux. La réaction liant donc ces trois éléments lors d’un incendie
déclaré est dite réaction de combustion. C’est pourquoi on présente un feu
déclaré brûlant de façon interrompue sous la forme d’une figure appelée
tétraèdre du feu.
a) Définition :
On distingue :
IV.1) GENERALITES
Combustion spontanée ;
- 20 m/s déflagration
- 2 000 m/s combustion instantanée ou explosion
- 10.000 m/s détonation.
On distingue :
a) Limite d’inflammabilité
Un combustible ne brûle pas dans n’importe quelle condition. Une étude de ces
conditions est importante. Elle peut permettre certaines mesures de prévention et
d’intervention pour l’extinction. Quatre facteurs sont très importants au niveau
des possibilités d’inflammation ou de combustion :
8,8 9
8
ZONE RICHE
7,6
7
6 ZONE D’INFLAMMABILITE
5
4
Limites inférieures
3 d’inflammabilité
2
1,4
1
0,76
ZONE PAUVRE
Kérosène Essence Butane Hydrogène Matières
Pour qu’un corps puisse être enflammé, il faut qu’il se trouve mélanger à l’air
(oxygène) dans une proportion comprise entre deux limites en dehors des
quelles l’inflammation ne peut avoir lieu :
a) Convection.
Elle se fait par le déplacement du fluide (gaz ou liquide) c’est un mouvement
d’ensemble dans le fluide. Il existe deux types de convection :
Conviction libre aux effets thermique qui mettent en mouvement le
fluide.
Convection forcée : c’est l’action mécanique (agitation).
c) Rayonnement.
C’est l’énergie sous la forme d’onde électromagnétique (exemple : lumière
émise par un filament chauffée) le rayonnement arrivant sur une surface peut
être réfléchi, dégradé en chaleur.
Le rayonnement dépend de :
1) La nature du combustible.
2) La chaleur dégagée.
VI-1)- INTRODUCTION
Oui, cela est vrai, et la meilleure sécurité c’est la prévention. Il faut protéger les
personnes et leur apprendre certains dangers de la vie. Il faut soit même être
prudent à la maison, au travail, sur la route.
Si par malheur un accident, un incident un incendie survint, il y a des gestes
qu’il faut faire immédiatement et des gestes qu’il ne faut pas faire.
En sâchant ce qu’il faut faire et ne pas faire en attendant l’arrivée des secours,
vous pouvez sauver des vies humaines.
Il ne s’agit pas de remplacer le « SECURITA », mais de savoir faire le geste qui
sauve ou qui est utile, sans nuire, avant l’arrivée du SPECIALISTE .
Faire par exemple le « PAS » en cas d’accident.
P= protéger
A= alerter
S= secourir
a) Définition
La prévention est l’antidote du risque, elle doit être un réflexe naturel, car elle
vise :
A garantir l’intégrité physique de l’homme en le mettant à l’abri de la
blessure, de la mutilation ou la mort accidentelle.
A contribuer et a crée des conditions de travail telles que l’homme se
sente en sécurité dans l’exercice de ses différentes activités.
b) But
1
VI 2) LA DETECTION INCENDIE
a) Introduction
Dans la lutte contre l’incendie, la précocité de la détection est primordiale.
Un incendie se développe à une vitesse qui dépend de la nature et de la quantité
des combustibles en présence ainsi que de la ventilation des lieux. Le feu ne
cesse avec le temps de provoquer d’avantage de dommages et de nécessiter
d’avantage de moyens pour l’éteindre.
Il est intéressant de détecter les phénomènes les plus précoces mais quelques
fois il est plus sûre de s’intéresser aux phénomènes les plus faciles à détecter et
les plus caractéristiques tels que :
Les phénomènes chimiques ; qui apparaissent dès le début de la
combustion pendant la phase couvrante du feu. Ils se caractérisent par
A seuil ou
Thermo vélocimétrique
a) Détecteurs thermiques :
Thermiques à seuil ou thermostatiques ; ils sont sensibles à un seuil
de température fixé entre 54°C et 78°C.
Thermo vélocimétriques ; ils sont sensibles à une vitesse
d’élévation de température comprise entre 5°C et 20°C par minute ;
Thermo Température
Vélo Vitesse
Cimérique Calcul
b) Détecteurs visuels :
De fumées ; ils réagissent aux fumées qui sont composées de
flammes et de carbone en suspension dans l’air sous l’effet
thermique. Ce sont aussi des produits de combustion incomplète
rendus visibles par la taille et le grand nombre de leurs particules.
- Les canalisations
Ce sont des tuyauteries qui relient le poste de contrôle aux têtes sprinklers. Elles
sont le plus souvent remplies d’eau (réseau sous eau), ou quelques fois d’air
(réseau sous air lorsqu’elles risquent d’être soumises au gel).
Les avertisseurs
b) Constitution
c) Installation de détecteur
a)- Généralités
Dès qu’un feu se déclare, des moyens qualitatifs et quantitatifs doivent
permettre son extinction le plus rapidement possible.
Pour ce faire, on emploie un certain nombre d’agents extincteurs qui
peuvent être utilisés de diverses façons.
Les agents extincteurs les plus couramment utilisés à l’heure actuelle se
présentent sous forme liquide, solide ou gazeuse ; les six types suivants :
L’eau (avec ou sans additifs, en jet plein ou pulvérisé)
La mousse physique
Le gaz carbonique (dioxyde de carbone)
Les poudres
Les hydrocarbures halogénés (halons) – (bientôt supprimés)
Les sables
LES PROCEDES D’EXTINCTION
L’existence d’un incendie est conditionnée par la présence simultanée
d’un combustible, d’un carburant et d’une énergie d’activation (chaleur),
schématisée par une figure appelée « TRIANGLE DU FEU ».
Le triangle du feu permet de découvrir les moyens d’extinction :
Pour éteindre le feu, il sera possible d’agir sur un ou plusieurs des trois éléments
rassemblés.
COMBURANT
REACTION EN CHAINE
b1)- L’eau
C’est le produit extincteur le plus simple, le plus répandu et le moins
coûteux. L’eau est réservée aux feux de classe A.
On obtient :
La mousse à bas foisonnement de 0 à 25 (qui est épaisse)
La mousse à moyen foisonnement de 25 à 300 (qui est légère)
1
« L’EXTINCTEUR »
a)- Définition
Un extincteur est un appareil étanche qui permet de projeter sous l’effet
D’une pression intérieure un agent extincteur et de le diriger sur un foyer
d’incendie.
Les extincteurs sont des moyens de première intervention dans la lutte
contre l’incendie. Ils sont destinés à être utilisé par quiconque aperçoit un début
d’incendie.
Utilisation :
-Fonctionnement droit,
-Actionner le levier de manœuvre du robinet, après retrait de la
goupille scellée, pour provoquer la décharge du CO2.
NB=il convient de manœuvrer la gâchette par intermittence d’éviter
la formation de glace sur la base de diffusion et de afin provoquer
ainsi le « bouchage » de cette buse.
Recharge :
Tous les feux ne sont pas identiques à cause de la très grande variété
des combustibles. Néanmoins la réglementation internationale a classé en
cinq grandes catégories chacune correspondant à des moyens d’extinction
POINT
CLASSES COMBUSTIB LE POINT D’AUTO - PROCEDES MOYENS OBSERVATIONS
ECLAIR INFLAMMAT D’EXTINCTION D’EXTINCTION
ION
Bois Eau jet plein ou
Charbon 160°C pulvérisé avec
Caoutchouc à 300°C ou sans additif,
FEUX Végétaux à eau légère (light
260°C
SECS Papier- water), Poudre
380°C
A
Carton polyvalente,
Textiles Liquide
Plastique… ignifugé,
Mousse
Liquides Poudre sèche Si le liquide est
inflammabl BC ou ABC, répandu
es Anhydride en nappe
2ème 55°C 208°C carbonique, utiliser le sable
catégorie : à à Halogènes sec
Gas-oil, 100° 320°C autorisés (1)
Fuel, Huile, C Eau légère (light
Graisse… water) Mousse
Liquides Refroidissement
inflammabl ou Arrêt de la
es -35°C réaction
1ère 300°C provoquée par la
FEUX catégorie : à présence
GRAS Pétrole, 450°C d’oxygène
C
Acétylène, présence fermer la vanne
carbonique
Méthane… d’oxygène d’arrivée
(CO2) du gaz
Halogènes
autorisés (1)
FEUX Aluminium,
DE Magnésium, Poudres et
META Sodium, liquides
UX Potassium, spéciaux
D
Protoxyde Sable sec
de sodium…
FEUX Etouffement Poudre ABC
DES Huiles et Inhibition La mousse
GRAIS Graisses
SES Végétales
F
Ou
animales
(1) A n’utiliser qu’à l’air libre en raison des risques de toxicité qu’ils peuvent
présenter.
Class A
Wood, paper, cloth, trash P S
Solid combustible
materials that are not
metals.
Class B
Flammable liquids: S P S
Gasoline, oil, grease,
acetone
Any non-metal in a liquid
state, on fire.
Class C
Electrical:Energised P
electrical equipment
As long as it’s “plugged
Class D
Metals: Potassium,
P
sodium, aluminum,
magnesium
Class K
Cooking oil & fat
P
Note: S=SUITABLE
P= PREFERRED
VIII-3) Les feux hors classification
Compte tenu de la spécificité de certains produits et de leur composition
chimique, la réglementation internationale a décidé de ne pas classer un
certain nombre de feux qui sont :
1. Feux d’origine électrique,
2. Feux de produits chimiques,
3. Feux de phoscars,
4. Feux de plastique.
IX3)- L’alarme
Toute personne qui découvre un feu (rondier, équipage, passager)
doit donner l’alarme en même temps qu’il essaie de l’éteindre par
les moyens disponibles à proximité. L’alarme peut être donnée :
a)- De vive voix,
b)-Par des avertissements (bouton d’alarme sous verre,
généralement repéré par une lampe rouge).
c)-Par des téléphones de sécurité dont le central est à la passerelle
ou au PC sécurité.
d)-Eventuellement par diffusion générale sur un réseau.
Nota ; la devise « Trop fort n’a jamais manqué » s’applique dès le début
de l’alarme.
IX5)- L’intervention
Intervention immédiate
Elle est faite par la personne qui découvre le sinistre. L’attaque est réalisée à
l’aide de moyens de première urgence (extincteurs). Son succès (heureusement
très fréquent) réside uniquement dans la rapidité.
Intervention complète
L’alarme met en action l’équipe de sécurité qui doit d’bord s’équiper et ne peut
donc agir qu’après un certain délai (en fonction de l’entraînement du
personnel).
Circonscrire l’incendie
Maîtriser l’incendie
Tout sinistre naissant à bord ou de faible ampleur doit pouvoir normalement être
combattu dans le cadre de la chaîne fonctionnelle par le personnel
d’intervention.
Aussi le nombre et le niveau de compétence des interventions sont suivant le
niveau d’alerte, fixés dans les instructions permanentes, de manière à ce que la
maîtrise des sinistres « Prévisibles » puisse être rapidement assurée.
L’ampleur prise par un sinistre peut nécessiter une organisation de lutte la plus
adaptée, surtout si la grande partie de l’activité du bord doit être orientée vers
cet objectif.
Le rappel au poste de sécurité lors d’un sinistre majeur non maîtrisable par
les équipes en place permet d’orienter tous les efforts de l’équipage vers la
seule survie de l’usine. SINISTRE
Gestion « Energie »
-Protéger, progresser.
-Fiabilité
-Comportement à la chaleur
-Protection efficace
-Isolation à l’électricité
-Facile à porter.
1
- Sous-vêtement en coton
- Combinaison de travail
- Chaussure de sécurité ou botte
- Bas en laine écru
- Gants en coton
- Cagoule en coton
1
- Chocs
- Chutes
- Obscurité
- Electrocution
Cette tenue est portée sur la tenue de protection de base selon le type
de mission. Cette tenue est complétée par : l’ARI, une lampe, une
ligne de vie.
Utilisation
1- Vérifier l’état général de l’appareil : bouteilles (date d’épreuve),
vannes, détendeur, tuyau, soupape, masque, sangles, etc.
2- Ouvrir l’arrivée d’air = vérifier, en lisant le manomètre, que la
pression est convenable.
3- Refermer doucement l’arrivée d’air = le manomètre avertisseur
doit fonctionner.
4- La soupape d’air d’arrivée n’étant pas branchée sur le masque,
disposer les sangles sur l’avant de celui-ci. Appliquer le masque
sur le visage en écartant bien les cheveux et rabattre les sangles
sur la nuque. Les serrer doucement (la tête va enfler à la
chaleur).
5- Vérifier l’étanchéité du masque = appliquer la paume de la main
sur l’orifice d’arrivée d’air, inspirer doucement. Le masque doit
se coller au visage. Maintenir la paume sur l’orifice et retenir sa
respiration quelques secondes = le masque ne doit pas se vider.
6- Ajuster l’embout d’arrivée d’air et ouvrir la vanne sur la
bouteille. Ne procéder à cette opération que juste avant
d’intervenir afin de ne pas gaspiller l’air.
Description
Utilisation
Agir comme pour l’appareil précédant mais s’assurer auparavant que
la cartouche de chaux sodée a bien été changée depuis la dernière
utilisation, en même temps que la bouteille d’oxygène.
ACCIDENT DU TRAVAIL
Définition
C’est un évènement :
- non voulu, inattendu
- soudain
- violent
- fâcheux
Extérieur à l’homme
- au moment
- Survenant : - sur le lieu du travail
- par le fait
SECURITE DU PERSONNEL
Sur un navire, une plate forme, une usine, un logement, etc. ces
risques sont décuplés.
Le feu, s’il n’est pas circonscrit rapidement, amène dans la plupart des
cas, la destruction complète de l’usine.
Pour les marins, les dangers ne sont pas moindre lors de tout feu réel,
on réalise souvent à posteriori que :
La précocité de la détection est primordiale
Le feu se propage rapidement
L’emplacement des différents matériels de lutte n’est pas
toujours judicieux :
Ce sont là des réalités dont il faut être de plus en plus
conscient.
Il est donc primordial que la prévention et la formation
soient l’objet d’une étude et de soins attentifs et
indispensables.
Les matières dangereuses sont des matières ou objets qui présentent un risque
pour la santé, la sécurité, les biens ou l’environnement. Celles-ci sont énumérés
dans la liste des marchandises dangereuses des règlements du transport ou, si
elles ne figurent pas sur cette liste, sont classées conformément aux
réglementations internationales.
L’ONU est l’institution internationale qui établit les règles de ces transports. Il
existe donc des accords internationaux pour les transports routiers, ferroviaires
et fluviaux. Concernant l’aérien et le maritime, il existe deux organismes
distincts :
Chaque signataire de ces accords internationaux les applique, mais peut, s’il le
souhaite sur certains points, compléter ceux-ci par des spécificités nationales. En
France ‘’L’arrêté TMD’’ modifié et le règlement pour le transport et la
manutention des marchandises dangereuses dans les ports maritimes dit
« RPM » explicitent les spécificités respectivement en matière routière,
ferroviaire, fluvial et maritime du transport des marchandises dangereuses sur le
territoire national. Ceux –ci sont disponibles sur le site du ministère français de
l’Ecologie.
b) Termes Anglais
Papier satiné
Dura label
Thermo label