Mémoire Chadrack Propre Ok
Mémoire Chadrack Propre Ok
Mémoire Chadrack Propre Ok
INMEMORIUM
Chadrack MAPEPE
~ II ~
EPIGRAPHE
Chadrack MAPEPE
~ III ~
DEDICACE
A Dieu créateur de toute choses, nous disons merci pour tes hauts bienfaits dans ma vie,
car ce que je suis devenu aujourd’hui n’est que ta grâce et ta volonté ; Merci seigneur.
A ma très cher mère TSHALULA KASONGO pour les soins que tu ne cesses de me
procurer depuis ma conception jusqu’à ce jour, tes conseils et ton affection me conforte
à tout moment ; je t’aime bien ma très cher mère et je sais quoi t’offrir pour te consoler
de l’arme et te procurer un sourire.
A mes oncles et tantes pour les efforts que vous ne cessez de déployer et de multiplier
pour mon instruction.
A ma famille MAPEPE.
Chadrack MAPEPE
~ IV ~
REMERCIEMENT
Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement, ainsi au terme du cycle de
licence, il nous est agréable d’exprimer notre reconnaissance et de présenter nos
sincères remerciement à l’endroit de tous ceux qui ont contribués à la réalisation de ce
travail.
A mes ami(e)s : Patient MPANDE , Patrick LOLA, Alex KALONJI, Joseph KADIMA,
Christian KALAMBAY, YVES KADIMA, MWEMA SUZANE , Dorcas MUSAU,
KANYE Symphorose, Faustin MBUYA, Ketia PEZO, Bushuri BOBA, Jos BENDA,
Joël HOMBO, Deborah BINENE pour votre encouragement et soutien.
Enfin que tous ceux qui, de près ou de loin malgré les circonstances ne cesse de prédire
du font de leurs cœurs de bonne chose pour moi trouvaient ici l’expression de notre
profonde gratitude.
Nous présentons ainsi notre reconnaissance à tous ceux qui, d’une façon ou d’une autre
nous ont aidés et assister dans l’élaboration de ce travail.
Chadrack MAPEPE
~V~
DG : Directeur Général
NOTE DE SYNTHESE
Cet état, dans lequel se trouvent ces firmes pourrait être dû, grâce à des alliances
que certains acteurs politiques influents font avec les gestionnaires pour garantir leurs
intérêts personnels, et qu’en cas de mauvaise gestion, le dirigeant est changé
d’entreprise sans pour autant écoper une sanction et cela fait considérer au dirigeant et
ses parrains comme si c’étaient leurs propres ressources. La mauvaise gestion, la
gabegie et le manque de souci du devenir de ces entreprises a ramené aujourd’hui même
l’état de l’économie congolaise à genoux, et à cet effet, rien à penser au renouvellement
de l’outil de transport et du personnel qui a pris de l’âge, à lieu place de la prise en
charge de la génération active par manque de conscience de leur responsabilité. La
SNCC aujourd’hui a besoin des gens conscients, compétents et technocrates, des
matériels conformes à la technologie actuelle (renouvèlement de l’outil de transport),
d’une affectation rationnelle du personnel des finances significatives pour sa rentabilité
et sa croissance.
INTRODUCTION GENERALE
I. CONTEXE DE L’ETUDE
Pour espérer situer le contexte de noter recherche nous nous servi du model PESTEL
(politique, économique, socio culturel, technologique, écologique et légal). Ce model
présente l’indicateur suivant pour la situation de la RDC.
Au niveau politique
instabilité politique et faiblesse du processus électoral démocratique
corruption et interventionnisme du politique dans l’administration
disfonctionnement des institutions politiques
Au niveau économique
fragilité des PE/PME congolaise
accroissement des investissements étrangers
instabilité des prix et de taux d’échange
peu de pratique de G.R.H mauvais conditions de travail
chômage élevé, décollage entre besoin en M.O et formation et compétence des
congolais
beaucoup d’activité économique dans l’informel
~2~
A ce niveau nous allons nous intéresser aux innovations technologiques, modernes qui
permettront aux entreprises de changer les méthodes
Après avoir réalisé les étapes de descente sur le terrain de recherche et l’interview
exploratoire, nous avons fait un constat selon lequel la SNCC ne respecte pas le principe de
l’équilibre financier vu qu’elle réalise des pertes importantes qui réduisent sensiblement les
capitaux qui sont censés financer les immobilisations et il n’est pas en mesure d’honorer ses
engagements vis-à-vis des bailleurs de fonds et ses tiers. A part cela nous avons remarqué que
la situation de la trésorerie actuellement à la SNCC semblerait être catastrophique et
s’expliquerait par des grèves répétitives du au non-paiement des agents réclament d’être
rémunéré. Ces éléments d’observation constituent pour nous les éléments de la problématique
autour desquels, nous allons poser la question de départ.
~3~
En s’appuyant sur l’analyse des cas de l’entreprise notre étude poursuit les objectifs
suivants :
Proposer les types des décisions financière à prendre sur les financements d’une entreprise en
cour et à long terme afin de diminuer les risques qui découlent le plus souvent.
apprécier les conditions d’une bonne gestion et de mesure la rentabilité des capitaux
investis
Soutenir et expliquer le rôle financière de la gestion d’une entreprise face aux
endettements.
Capable de pilote la gestion des finance dans une entreprise naissante ou en existence.
V. JUSTIFICATION DU SUJET
Tous chercheur doit savoir sur quoi porte son travail, étant chercheur, notre sujet choisi sur
lequel portera nos recherches s’annonce : « la gestion de la trésorerie et son impact sur la
solvabilité d’une entreprise publique ».
Dans tous les domaines, il y a toujours des points forts et des points faibles. Ainsi ce sujet a
suscité en nous la curiosité à partir des différentes connaissances acquises d’arrive à proposer
une série des solutions aux difficultés que l’entreprise traverse. C’est pourquoi, ce travail
comprend quatre justifications à savoir :
Motivation personnel
L’analyse de structures financière suscite notre curiosité scientifique enfin de se supplier des
connaissances plus ou moins approfondie sur la trésorerie financière et d’élargir les horizons
réflexionaires. Egalement nous comptons métrise les incidences règlementaires des finances
en matière de financement des projets.
~4~
Motivation social
Nous tacherons d’apporter une modeste charge de notre part sous forme de recommandation
et des suggestions pouvant aide les responsables des sociétés des prendre des décisions
adéquate concernât la gestion de la société.
Motivation scientifique
La structure financière comme mode au moyen qui finance l’outil de production suscite notre
connaissance scientifique et d’enrichir l’esprit de résonnement sur la gestion financière d’une
entreprise.
Motivation managérial
Sur le plan managérial, ce travail va aider les dirigeants, managers des institutions financières
à comprendre les facteurs qui expliquent le disfonctionnement en fin d’assurer une bonne
gestion de l’entreprise pour atteindre l’objectif et des performances des entités économiques
dont ils sont responsables et elle permettra aux gestionnaires des réaliser des objectifs
qu’elles se sont assignes lors de la création tout en s’assurant une insertion efficace dans leur
environnement.
Avant de mener les investigations, les recherches doivent circonscrire l’objet de son
étude dans le temps et dans l’espace.
Dans le temps
Pour bien comprendre la gestion de trésorerie et son impact sur la solvabilité d’une
entreprise publique de la SNCC, nous avons retenu les données de la période en allant de
2014 à 2017
Dans l’espace
Notre étude est portés sur la société nationale de chemin de fer du Congo SNCC en
sigle siège de Lubumbashi situe dans la commune de Lubumbashi avenue Lumumba N°
~5~
Dans un travail scientifique, une étude théorique et empirique consiste à lire les
travaux antérieurs sur le thème abordes afin de présenter les pensées de leurs auteurs et
apprécier les difficultés pour les surmonter afin de saisir l’originalité de leurs contribution et
de déceler les lacunes de leurs recherche ou d’utiliser les résultats acquis afin que la
recherche à mener soit mieux faite et utile (RONGERE1971)
Voici d’une manière succincte comment s’étalent les avis des quelques auteurs :
elle est un ensemble des concepts , des méthodes et d’instrument qui permettent de
formuler une appréciation relative à la situation financier d’une entreprise aux risque qu’il a
fait au niveau et à la calcite de ses performance , elle s’intègre logiquement dans le diagnostic
financier de l’entreprise dont l’importance tient à son caractère synthétique.
Elle a pour but d’étudier les points forts et les points faibles d’une entreprise s’en
fondent sur divers élément d’ordre comptable humain et financier dont le rôle est de conduire
le diagnostic financier qui cherchera à apprécier à partir des informations disponibles, les
conditions dans lesquelles l’entreprise tente d’attendre ses objectifs.
Elle établit un diagnostic financier qui consiste à recense les forces et les faiblesses
d’une entreprise afin de porter un jugement sur sa performance et sa situation financière en se
plaçant dans la prospection d’une continuité d’exploitation.
Du point de vue perceptif, l’analyse financière sert aussi à évaluer l’incidence d’une
croissance de l’activité en mesurant les besoins de financements nouveaux nés de la stratégie
d’expansion.
En fin l’analyse financière est une aide à la prise de décision car elle permet d’améliorer la
gestion de l’entreprise.
La structure financière désigne la répartition entre les dettes financières et les capitaux
propres d’une société face aux emplois qu’ils financent. (A. VERHUSLT économie de
l’entreprise, p 92)
Les deux s’emboitent parfaitement car le souci du résultat (équilibre économique) s’inscrit
dans le cadre cyclique de l’équilibre financier ; pour apprécier l’équilibre on est donc amener
~9~
à confronter la structure des actifs et de l’endettement. (John LWANDU ; analyse des états
financiers ; 2016)
En partant de la structure financière on fait référence au bilan pendant que le bilan est
subdivisé en différentes masse qui sont :
LE BILAN
Le bilan est un tableau qui présente la situation patrimoniale d’une entreprise à la date
de son établissement. (A. VERHUSLT : économie de l’entreprise, P93)
a. Distinction du bilan
On distingue :
Le bilan fiscal
Le bilan financier
Le bilan fonctionnel
Le bilan provisionnel… etc.
~ 10 ~
b. EQUILIBRE BILANTAIRE
L’actif :
L’actif immobilise
L’actif circulant
L’actif immobilise ;
Immobilisation incorporelle
Immobilisation corporelle
Immobilisation financières
L’actif circulant :
Stock
Créance
Trésorerie-actif
Le passif :
Capitaux permanant
Capitaux propres
Dettes financières
Dette à court terme
Passif circulant
Trésorerie passive
~ 11 ~
c. PRESENTATION DU BILAN
Dans ce cas l’entreprise dégage une capacité de financement des actifs circulant, cette
situation reflète une bonne position d’équilibre qui équivaut à un fonds de roulement positif.
Les principes de l’équilibre financier minimum voudraient que les actifs immobilisés
ne doivent pas être financé par les dettes à court terme sans caractère permanent.
Les actifs immobilises seront finances par les « capitaux permanents », car ces
derniers sont réellement « permanents » ou sont d’une durée suffisante pour permettre aux
immobilisations de secréter, par leur amortissement et leur rentabilité, les disponibilités
nécessaires au remboursement des emprunts à long terme ou moyen terme qui les ont
financées.
Contrairement aux actifs circulants, l’achat des marchandises appelles à être vendues
à l’état ou l’achat des matières premières transformées en produits finis vendus dans un délai
relativement court pourra être effectué en utilisant un crédit à court terme.
Ainsi la règle de l’équilibre financier s’énonce comme suit : « Les capitaux utilises
par une entreprise pour financer une immobilisation, un stock ou une valeur de l’actif doivent
pouvoir rester à la disposition de l’entreprise pendant un temps qui correspond au moins à
celui de la durée de l’immobilisation du stock ou de la valeur acquise avec ses capitaux »
Pour que ce principe soit respecté, il faut que les postes de l’actif circulant soient rapides,
de se transformer en disponibilité, qui permettra à l’entreprise de rembourser ses dettes à
court terme ; en d’autres termes il faut donc que les échéances coïncidentes avec l’obtention
des disponibilités procurées par le cycle des capitaux circulants.
~ 13 ~
I.2.3. LA GESTION
C’est aussi l’ensemble des techniques, d’organisation qui sont mise en œuvre pour
l’administration d’une entreprise, étant une technique d’administrations et d’organisation elle
repose notamment sur un système d’information comptable si on assimile l’organisation à un
ménage
a. TYPE DE GESTION
Dans le sens strict du terme nous avons plusieurs sortes de gestion, mais ce qui nous
concerne, nous citerons quelques une à savoirs :
La gestion de production
La gestion financière
C’est un ensemble des décisions et des activités qui assurent la régulation des flux de
la politique financière selon le choix qu’elle relevé partant sur la structure financière.
La gestion budgétaire
b. OBJETIFS DE LA GESTION
c. TECHNIQUE DE GESTION
L’ensemble des techniques utilisées dans les organisations en vue d’atteindre les
objectifs que les organisations se sont fixe et ils sont classes dans l’ordre ci-dessous :
I.2.4. ENTREPRISE
C’est aussi une organisation relativement stable dotée des ressources qui lui permettent
d’exercer sa mission. (PIERRE ANDREDU FIGOUR ET ANNIE GEZENGEL : éd BODASPARIS
1984, P 6)
Une entreprise est une organisation financièrement indépendante qui produit les biens
et services pour un marché voulu.
b. TYPES D’ENTREPRISE
Nous avons :
les entreprises commerciales : dont l’objet principal est l’achat et la vente des
marchandises sans transformation.
les entreprises industrielles : celles qui fabriquent des produits finis ou semi finis à
partir des matières premières qu’elles transforment.
les entreprises de services : ce sont celles qui produisent les biens immatériels
les entreprises agricoles : ce sont celles qui s’adonnent à l’agriculture (champs ;
élevages ; pèches)
DU POINT DE LEUR TAILLE
On distingue :
On distingue :
A la différence de l’entreprise privées, l’entreprise publique doit remplir les critères ci-après;
l’état est le principale actionnaire ou il dispose d’autre moyen pour exercer son
contrôle sur les politiques d’ensembles de l’entreprise
se consacre à fournir des biens et services qu’elle vend au public ou à d’autre société
privées
en application de sa stratégie, l’entreprise doit dégager ses recettes ayant un certain
rapport avec les couts
elle doit disposer d’une certaine autonomie de gestion
Elles alimentent le budget de l’état avec les recettes publiques ; elles fournissent des
biens et services dans la recherche de l’intérêt générale.
Le processus qui comprend les actions, réactions et interaction qui traduisent la manière dont
les acteurs font passer l’organisation d’un état future, c’est le « comment » du changement le
processus du changement nécessite le passage par plusieurs phases successives et beaucoup
de temps.
Le principe de base de cette perspective contextualiste est l’interaction qu’elle admet entre
trois aspect du changement « le contexte n’est pas seulement une barrière à l’action, mais est
essentiellement impliquées dans sa production, c’est donc à partir des liens entre contenu et
contexte du changement que l’on peut inférer le processus du changement opère ainsi que
leurs diverse temporalité
~ 18 ~
Tableau n°1
Cette: théorie
Contenu domainenous permet de comprendre le domaineprocessus
de la gestion qui suit des
: initiatives le changement
chercheurs par
rapport au contexte interne et externe, ce qui permet de comprendre comment elle parvient à
Concerne par le changement Ou acteurs
résoudre ce casse-tête.
Dès lors qu’une entreprise différencie ses modes de fonctionnement, il convient alors de
prévoir des mécanismes d’intégration c'est-à-dire des procédures qui coordonnent l’action des
idées maitresses du modèle contingent sont les suivants. Les organisations sont des systèmes
ouverts qui ont besoin d’être soigneusement administrés si on veut répondre aux besoins
internes les équilibrer et les adapter à l’environnement et à ses modifications.
Les dirigeants doivent avant tout arriver à opères les bons ajustements entre les diverses
composantes internes et le contexte dans lequel opère l’organisation telle est la clé principale
du facteur de succès.
~ 19 ~
Le contenu est mis en relation avec les contraintes du contexte en particulier celles du
contexte externe, la concurrence, l’évolution technologique, le contenu du changement n’est
en effet plus présent comme le fruit d’une volonté managériale (SEM 2013)
L’étude menée sur plusieurs entreprises appartenant à une même industrie montre qu’une
entreprise dans une industrie particulière est plus efficace que d’autres entreprises
concurrentes ; nous avons mobilisés l’approche de contingence dans notre étude pour
comprendre comment les dirigeants de la SNCC arrivent à opère les bons ajustements s’il en
est le cas entre les diverses composantes internes et le contexte dans lequel opère
l’organisation.
a. ENTREPRISE
Selon PHILLIPE KNEIPE la trésorerie est définit comme étant le disponibles appartenant
à la société qu’on peut trouves soit dans ses comptes en banques soit dans la caisse de la
société.
b. ENTREPRISE PUBLIQUE
c. SOLVABILITE
d. LE BILAN
Le bilan est un tableau qui présente la situation patrimoniale d’une entreprise à la date
de son établissement. (A. VERHUSLT : économie de l’entreprise, P93)
e. LA GESTION
f. L’AUTONOMIE FINANCIERE
g. L’EXIGIBILITE
Elle exprime la capacité qu’a une entreprise à rembourser à terme l’ensemble de ses
dettes (Alain Charles M. et A. Silem : lexique de gestion)
h. RATIO DE LIQUIDITE
La liquidité du bilan se définit par le fait que les actifs à moins d’un an sont supérieurs
aux dettes à moins d’un an elle fait présumer que la vente progressive de stock et
l’encaissement des créances permettra de payer les dettes dans le moins à venir, ce risque de
faillite est faible à court terme (ANGLOIS G. analyse comptable et financière, P83)
en comparant les résultats nets et les montants de leurs frais financiers. (ALAIN-C
MARTINET : lexique de gestion, paris 2000)
Ce qui fait l’originalité de la gestion de la trésorerie est l’ampleur des risques associés au
montant des charges ou des produits financiers.
Gérer l’incertitude est au cœur de la gestion de la trésorerie ; cela signifie que l’objectif de
cette activité ne se limite pas seulement a des produits ou à des charges réelles ou
prévisibles ; il faut aussi prendre en considération des produits, des charges, des produits ou
des pertes qui ont un caractère potentiel ou contingent.
Une bonne gestion e la trésorerie implique d’être capable de calculer le montant des
fonds de roulement nécessaire au cycle d’exploitation de l’entreprise et ce maintenir les
liquidités équivalentes accessibles au niveau des comptes bancaires.
Pour faire face aux engagements financiers de l’entreprise, il est important de bien
calculer ses besoins en fonds de roulement pour fixer les financements requis et les
échéances dont il faudra tenir compte pour ses factures et ses rentrées d’argent.
~ 22 ~
Les éléments importants à prendre en compte pour bien gérer la trésorerie sont les suivants :
chiffre d’affaires
besoin en fonds de roulement Financement
rentabilité
La trésorerie est l’ensemble des moyens de financement liquide à court terme dont
disposer un agent économique pour faire face à ses dépenses de toute nature. (Alain Charles
Martin et Silem, lexique de gestion)
La trésorerie est constituée par l’ensemble des fonds dont dispose une entreprise pour
assurer les paiements que génère son activité. En somme le terme trésorerie se réfère à
l’ensemble des moyens disponible de l’entreprise lui permettant d’être solvable en tenant
compte de l’exigibilité des dettes, de ce fait la trésorerie satisfait aux trois exigence
suivantes ;la liquidité, l’exigibilité et la solvabilité.
Au plan conceptuel la trésorerie d’une entreprise représente la différence entre les actifs et les
dettes c'est-à-dire le passif exigible dont la liquidité et l’exigibilité sont immédiate,
~ 23 ~
Alors une entreprise qui n’arrive plus à honorer ses engagements (insolvable) finira par un
arrêt de son activité
La trésorerie nette est l’un des agrégats qu’une entreprise peut obtenir dans son calcul de
l’équilibre financière, nous voyons le principe en vertu duquel les investissements de longue
durée doivent être finance par les ressources présentent également un caractère permanent.
Il est définit comme l’excédent des capitaux permanents qui reste à ; la disposition de
l’entreprise après avoir financé les actifs acycliques.
Mathématiquement le FRN est la différence entre les capitaux permanents et les actifs
fixes restructures, il est déterminer de la manière suivante :
Source : nous-même
De la manière que démontrent nos deux formules ; un FRN positif indique un excèdent des
ressources permanents mise à la disposition de l’entreprise après avoir financé les actifs fixe
et qui peut être utilise pour finance le cycle d’exploitation.
En revanche un FRN négatif signifie que les capitaux permanents ne suffissent pas à finance
les actifs acycliques et que ceux-ci sont en partie finance par des ressources à court terme
c’est –à dire que de ce sens l’entreprise doit tenir compte à l’augmentation de son capital
social, la constitution des réserves, de report à nouveau et d’emprunts à long terme pour
assainir sa mauvaise situation car dans le cas contraire la position de l’entreprise sur le plan
de la liquidité risque de devenir fort délicate.
Des études menées sur plusieurs entreprise ont montré que certains d’entre elles évoluent
avec un FRN négatif cela veut dire qu’elles font constamment recourir à des crédits à court
terme pour finance une partie de ses investissements durable du fait de leur régularité les
~ 24 ~
crédits peuvent être assimiler à des ressources permanentes pourvu que l’entreprise soit
rentable bien qu’il ne soit pas toujours aisé de déterminer son niveau exact, un FRN
pléthorique peut indiquer une mauvaise gestion de la trésorerie de l’entreprise.
Le fonds de roulement propres est la partie des capitaux circulants financée par les
capitaux propres.
Fig. n°1
ACTIF
IMMOBILISE
CAPITAUX
PROPRES
ACTIF DETTES
CIRCULANT FINANCIERES
DCT
La figure numéro 1nous montre que les capitaux propres financent entièrement
(parfaitement) l’actif immobilisé c.à.d. le FRP est supérieur à zéro.
~ 25 ~
Fig. n°2
ACTIF CAPITAUX
IMMOBILISE PROPRES
DETTES
FINANCIERES
ACTIF
CIRCULANT
DCT
La figure numéro 2 nous montre que les capitaux propres n’arrivent pas à financer l’actif
immobilisé c.à.d. FRP est inférieur à zéro.
Le fonds de roulement étranger est la partie de l’actif circulant financée par les
capitaux permanents mais étrangers c.à.d. les dettes financiers à long et moyen terme.
D’ou
FNE= FRN-FRP
Fig. n°3
ACTIF CAPITAUX
IMMOBILISE PROPRES
ACTIF DETTES
CIRCULANT FINANCIERES
DCT
La figure numéro 3 nous montre que le fonds de roulement étranger doit être égal aux dettes
financières.
~ 26 ~
SOURCES EMPLOIS
IL est considère comme étant le solde des comptes directement rattacher au cycle
d’exploitation courante qui suivant l’analyse financière classique sont particulièrement
liquide ou exigible
Mathématiquement le BFR est mesure par la différence les actifs circulant restructure
et les dettes à court terme à l’exception de dettes financière. D’où
~ 27 ~
Cette différence entre les emplois et les ressources de financement ne permet pas de
dire si le niveau de besoin en fonds de roulement est normal : trop faible ou trop fort.
Ce résultat ne peut être obtenu qu’au moyen d’une part des données d’exploitation et
d’autre part ; de la connaissance des coutumes ou contraintes professionnelles, telles que les
délais d’approvisionnement et des délais de paiement consentis aux clients ou accordés par
les fournisseurs.
3) TRESORERIE NETTE
Si la TN est positive, cela signifie que la FRN est supérieure au BFR en d’autre terme cela
montre que l’entreprise dispose d’un excédent de liquidité, et cette excédent de liquidité s’il
est trop élevé est le signe d’un mauvais placement en effet géré sérieusement la trésorerie
nette revient à gérer efficacement le FRN et la BFR car la fait de diminuer la trésorerie en
augmentent le BFR et en diminuant le FRN.
En revanche de la première une trésorerie nette négative signifie que l’entreprise est obligé de
recourir au découvert bancaire ou au crédit bancaire à court terme, si n’est pas le cas en soi
nécessaire trop grave, cette situation peut devenir chroniquement structurelle.
Le niveau de trésorerie peut être dégagé aussi par le ratio ; FRN/ BFR et quand il est
supérieure à 1, ce ratio indique une trésorerie positive et quand il est inférieur à 1 la trésorerie
est négative.
~ 28 ~
Ce ratio est définit comme étant un rapport entre deux(2) grandeurs qui cherchent à faire
l’analyse paramédicale que possède une entreprise
La liquidité du bilan se définit par le fait que les actifs à moins d’un an sont supérieurs
aux dettes à moins d’un an elle fait présumer que la vente progressive de stock et
l’encaissement des créances permettra de payer les dettes dans le moins à venir, ce risque de
faillite est faible à court terme (ANGLOIS G. analyse comptable et financière, P83)
En rapport avec notre travail c’est la liquidité de l’entreprise qui nous intéresse
C’est l’aptitude d’une entreprise à faire face à ses dettes à court terme ; pour ce faire on
distingue :
Ce ratio indique la couverture des fonds de tiers à court terme par les actifs circulants
restructures ou encore ce le ratio qui indique la capacité qu’à une entreprise avec les moyens
qui lui ont permis de payer ses dettes à court terme. D’où
RLG =
Ce ratio veut dire que plus ce ratio est élevé le fonds que l’entreprise va encaisser à la suite de
ses paiement de ses débiteurs et de vente de stock permettra de paye l’ensemble de ses dette à
court terme.
~ 29 ~
Ce ratio augmente de quasi liquide en éliminant l’élément le moins liquide, il est égal à
RLR =
IL est en note que plus ce ratio est élevé, plus l’argent que l’entreprise va encaisse à la suite
des paiements de ses débiteurs permettra de paye l’ensemble de ses dettes à court terme.
Si ce ratio est supérieurs à 1 cela signifie que l’entreprise est capable de faire face à ses dettes
à court terme sans devoir vendre ses stock dans une certain mesure qui peuvent être réduit
d’un minimum appel stock réduit.
Ce ratio montre que dans quelle mesure les liquidités de l’entreprises permettent de payer
l’ensemble des dettes à court terme, il est égal à
RLG=
Il est en note que ce ration est également inferieur à l’unité, si ce ratio est trop élevé déceler
un excès de liquidité par rapport à l’ensemble des dettes à court terme.
Du point de vue patrimonial, une entreprise est solvable lorsqu’elle peut faire face à
l’ensemble de ses engagement en liquidant l’ensemble de ses actifs c'est-à-dire en cas d’arrêt
de l’exploitation et de mise en vente de ses actifs (Eustache Arnaud, mémoire online, équilibre
financier : solvabilité, 2008)
La solvabilité =
D’une manière générale on dit qu’une entreprise doit disposer d’une autonomie fin lorsque
plus de la moitié des ressources dont il dispose provient de ses capitaux propres, et lorsque ce
~ 30 ~
Ce ratio supérieurs à l’unité, cela signifie que l’entreprise ne dispose pas d’une autonomie
financière et par conséquent la protection des créances diminuent du fait de l’accroissement
de l’endettement, ce ratio indique le risque que connait les entreprises en se finançant en
partie des fonds de tiers dont la rémunération et le remboursement sont considérer comme
fixe avoir que les résultats ainsi que la liquidité de l’entreprise sont variables.
Elle mesure le degré de solvabilité de l’entreprise en composant les capitaux propres et les
capitaux étrangers
L’autonomie financière =
Le ration de trésorerie sont des rapports mettant en relation deux grandeurs homogènes liées
par une logique économique, pour tirer des indications de tendance, fournissent une
information qui permet d’informer l’analyste financier sur deux nombreux aspect de
l’entreprise qu’il souhaite mettre en valeur la rentabilité, la liquidité, et la structure financière.
Ratio de trésorerie = ou
Ce ratio permet de mesurer la solvabilité à court terme qui dépend de volume de fonds de
déroulement, mais aussi la composition des capitaux circulant et des dettes à court terme.
Il est une exigence pour tout chercheur de rassembler dès le départ les principales
questions autour desquelles s’articule sa démarche scientifique.
Après avoir réalisé les étapes de descente sur le terrain de recherche et l’interview
exploratoire, nous avons fait un constat selon lequel le SNCC ne respecte pas le principe de
l’équilibre financier vu qu’elle réalise des pertes importantes qui réduisent sensiblement les
capitaux qui sont censés financer les immobilisations. A part cela nous avons remarqué que la
situation de la trésorerie actuellement à la SNCC semblerait être catastrophique et
s’expliquerait par des grèves répétitives du au non-paiement des agents réclament d’être
rémunéré. Ces éléments d’observation constituent pour nous les éléments de la problématique
autour desquels.
Ainsi le présent travail n’échappera pas à cette exigence, sur ce, nous nous sommes
posé des questions suivantes :
C’est autour de ces préoccupations fondamentales que va tourner notre réflexion car il
convient de noter que la gestion de trésorerie est au cœur de la fonction financière d’une
entreprise
II.2. HYPOTHESE
Une hypothèse de travail est une proposition, une idée provisoire, une tentative
d’explication qui peut être tenu comme vertu et que l’on doit affirmer après analyse.
Selon ronger l’hypothèse est une proposition des réponses aux questions que l’on pose
à propos de l’objet de la recherche, proposition formuler en terme que l’analyser puisse
~ 32 ~
fournir une réponse, elle est destiner à guidée les investigations et à être abandonner ou
maintenir d’après les résultats de l’observation.
Selon le dictionnaire micro robert l’hypothèse est une supposition que l’on fait d’une
chose possible ou non, et dont on tire de conséquence.
Selon Mpala. M et Lambert (2016) l’hypothèse est une réponse provisoire donnée à la
problématique et sert de fil conducteur, car elle est une proposition de réponse à la question
donnée.
Vue l’état critique que présentent les entreprises à partir de questionnement ou nous avons
fondé la problématique, l’hypothèse de cette recherche prend la forme ci-après :
A la question soulevée par la problématique, nous avons relevé que la défaillance observer
dans la gestion des entreprise publiques particulièrement la SNCC pendant la période d’étude
nous permet d’émettre l’hypothèse selon laquelle l’entreprise a besoin d’une analyser
financière comme outil indispensable pour le bon pilotage de se activités d’une part et d’autre
part de savoir comment se tient la gestion de la trésorerie au sein d’une entreprise publique
comme la SNCC.
A la question pose de savoir si la SNCC peut-elle couvrir ses engagements à long et court
terme nous disons que la SNCC n’est pas en mesure de couvrir ses engagements à long et
court terme en toute sécurité, car elle affiche un comportement d’insolvabilité aux yeux de
ses bailleurs de fonds suite à plusieurs années de réalisation des pertes successives exagérées
pendant toute notre période d’étude dans cette société.
~ 33 ~
Tableau n°2
Variable explicative
Variable expliquées
Facteur endogènes
-matériel
-financiers
-managériaux
-Relationnels
La performance et la bonne
Facteur exogène gestion de la trésorerie
d’uneentreprise
-politique
-économique
Rappelant le squelette d’un poisson, cet outil visuel a pour finalité de lister les causes
qui ont une influence sur un effet (une situation), de les classer, de les hiérarchiser (Sem
2017)
Le diagramme porte le nom de son créateur Karoo Ishikawa (1962). Il est reconnu
comme le diagramme de causes à effets ou le diagramme en « arêtes de poisson » il permet
de visualiser toutes les causes à l’origine d’un problème, d’analyser le rapport entre le
problème et ses causes. Le diagramme comprend les facteurs causaux et catégorisés en 5
familles de M+2 (5M+2).
~ 34 ~
Cet outil nous a servi à analyser les différents propos résultant de l’analyse de contenu
dans le but de les placer sur l’arête de poissons du diagramme afin de déterminer les causes
produisant les effets du retard de paiement de salaire de la SNCC SA
~ 35 ~
Moyens Financier
-cessation de paiement
Managériaux
Relationnels
Politique
Nous avons utilisé le déterminisme positif étant donné que nous somme sépare du fait
sous étude, nous y intervenons qu’a titre du chercheur observateur.
Nous fondons notre raisonnement sur l’induction, qui est une formation d’idées qui se
fait sur des éléments particulier d’information factuelle en vue de l’élaboration de principe
plus larges généraux.
L’approche au quel nous avons recouru dans ce travail est l’approche mixte qui nous a
permis de collecter les données chiffrées et qualitatives.
Cette approche vise à recueillir les données observables et quantifiables, elle consiste à
décrire, à expliquer, à contrôler et à prédire en se fondant sur l’observation des faits et
événements positifs, c’est-à-dire existant indépendamment du chercheur, des faits objectifs.
Grawitz (2001) pense que la méthode au sens le plus générale est constituée de
l’ensemble des opérations intellectuelles par laquelle une discipline cherche à atteindre des
vérités qu’elle poursuit, les démontres et les vérifie.
La technique est définie comme étant un ensemble de procéder d’outil, d’instrument que le
chercheur utilise ou empreint la méthode pour résoudre un problème.
Quant à nous c’est un instrument de la recherche des informations, de procéder ; des outils
qui peuvent nous servir à récolter les données.
En cette partie qui traite des méthodes, techniques de collecte et de traitement des données
pour plus de précision, concision et parcimonie afin de mieux contrôler tout le contour de
notre recherche nous avons opté pour une méthode et trois techniques de collection de donné
Des mêmes que pour le traitement, nous avons choisi aussi une méthode et deux techniques.
Pour collecter les données, nous avons fait recours aux méthodes et techniques
suivantes :
a. Technique documentaire
Elle est un moyen qui aide récolter les informations dans les ouvrages, revue, journaux et
note de cours en vue d’acquérir les informations dont nous avons besoin pour notre étude
Elle est un entretien entre un enquêteur et un enquêté, c’est donc une technique basée sur le
dialogue sur le terrain fait sur une idée en fin d’en publier.
~ 38 ~
Quant en nous, nous disons que c’est un examen de la question réponses entre l’enquêteur et
l’enquête. Cette technique nous a permis de recueillir les informations non livrée ou presque
inaccessible par document écrit.
Pour les traitements des données de notre recherche, nous nous avons recourir à
une méthode que voici :
a. METHODE STATISTIQUE
Elle est une méthode qui consiste à collecter des données chiffrées sur des groupes
nombreux, puis l’analyse, les commenter et les critiques.
Cette méthode a pour objectifs retraiter et analyser les donnes quantitative recueillir lors des
investigations « GAUDIN ».2005
Cette méthode permet de faire une régression, une analyse de la variance ou de la covariance
les méthodes statistique se répartissent en deux classes à savoir :
Elle a pour but de faire des prévisions et de prendre des décisions dans le cas de cette étude,
cette méthode nous a permis de traiter les données quantitative recueillir auprès de
l’échantillon.
b. METHODE COMPARATIVE
Comparer c’est confronter deux ou plusieurs choses pour déceler les dissemblances ou les
ressemblances qui lui distinguent ; elle consiste à l’explication des faits dans le mesure où
elle permet le lien causalité ou de facteur générateur des différences et le des ressemblances
constater entre les choses.
Cette méthode nous à permit de compare les états financières à notre disposition, pour arriver
à analyser La gestion de la trésorerie et son impact sur la solvabilité d’une entreprise
publique.
~ 39 ~
a. Echantillonnage
L’échantillonnage est la sélection d’une partie dans un but lorsqu’on ne peut pas saisir
un événement dans son ensemble, il faut effectuer des mesure en nombre fini a fin de
présente l’événement.
Le terme prend uns sens précis dans certains domaine comme en science sociale il
consiste à établir des mesures statistique sur un échantillon de la population étudier et en
étendue, l’interprétation à la population elle-même .CHIROUZE(2010).
Selon cet auteur, cette technique consiste à tire au sort l’échantillon dans la
population à étudier en donnant à chaque élément de celle-ci une probabilité connue.
c. La taille de l’échantillon
Pour la détermination de la taille de notre échantillon, nous nous plaçons dans la situation ou
p= 0.5 et q=0.5 étant donné que nous ignorons le degré d’homogénéité de la population mère,
faute d’avoir réalisé un sondage préalable.
d. La pré- enquête
Permet de fixer en meilleur connaissance de causes, les objectifs précis aussi bien
finaux que partiels qu’un chercheur aura à réaliser pour vérifier les hypothèses
.AKTOUF(2006).
Cette phase nous a permis d’avoir un premier contact avec notre terrain d’enquête afin de
teste la pertinence de notre questionnement et la fiabilité du choix de notre cadre empirique.
La méthode d’administration choisie est le face à face, dans notre contexte ; tout
choix d’autre méthode (téléphone, par voie postale, par voie informatique) engendrerait un
faible taux de réponse et s’avérerait très couteux.
~ 40 ~
Il s’agit d’un effort d’interprétation qui se balance d’une part la rigueur de l’objectivité et
d’autre la fécondité de la subjectivité. « BARDIN»1977.
Cette méthode d’analyse nous permettra dans notre travail de rassembles tous les entretiens
réalisés lors de la collecte des données et des rangers par thèmes dans le but de connaitre les
éléments qui reviennent fréquemment
~ 41 ~
La Société Nationale des Chemins de fer du Congo « SNCC SA », est une société
anonyme unipersonnelle avec conseil d’administration ayant l’Etat congolais comme unique
actionnaire. Elle est issue de différentes mutations juridiques et structurelles de la Société
Nationale des Chemins de fer du Zaïrois (SNCZ) créée par le décret n° 0050 de la
07/11/1995 portante création et statut de la Société Nationale des Chemins de fer du Zaïre.
Elle est à ce jour réglementée par les textes organiques ci-après :
1961: Scission de la B.C.K. en deux entités à savoir ancienne compagnie B.C.K. de Droit
Belge en Nouvelle compagnie B.C.K. de Droit congolais.
1970: Reprise de toutes les activités de la Nouvelle B.C.K. par la B.D.L. devenue compagnie
du Chemin de Fer Kinshasa-Dilolo-Lubumbashi.
1974: Fusion des Sociétés de Chemin de K.D.L, C.F.L. (Office Congolais des Chemins de
Fer des Grands Lacs), C.V.Z.(Chemins de Fer Vicinaux du Zaïre), C.F.M.K.(Chemin
de Fer Matadi-Kinshasa) et C.F.M.(Chemin de Fer de Mayombe) et création de la
Société Nationale des Chemins de Fer Zaïrois (S.N.C.Z.).
1995: Signature d’un accord cédant l’exploitation des Chemins de Fer à une Société privée
dénommée SIZARAIL, laquelle a été dissoute en 1997.
2014: Modification des statuts de la SNCC, en date du 10/09/2014, suivant l’acte de dépôt n°
AS NRC 416, d’une Société par actions à responsabilité limitée et sa transformation
en Société Anonyme Unipersonnelle avec conseil d’administration conformément aux
exigences du Droit OHADA.
L’exploitation des Chemins de Fer et des ports ainsi que des services de transport par
route et voies d’eau ;
L’Etude, la construction et l’exploitation des Chemins de Fer et ports ainsi que des
services de transport par route et voies d’eau qui lui seraient concédés ;
L’exploitation de tous services connexes ou accessoires aux activités citées ci-dessus.
Elle peut également effectuer toutes les opérations de toute nature se rattachant
directement ou indirectement à son objet social ou celles de nature à faciliter la réalisation
de celui-ci.
C’est dans ce cadre que la SNCC a mis en route une gestion spécifique des activités
connexes et annexes en les érigeant en projets autonomes. Depuis 2000, plusieurs projets
fonctionnent sous le régime d’autonomisation, parmi lesquels figurent en bonne place :
~ 43 ~
Les actifs de la SNCC sont hérités du groupe SNCZ dissout. Le groupe SNCZ a
hérité aussi notamment, de la compagnie du chemin de Fer du Bas-Congo au Katanga
(B.C.K.), de la Société des Chemins de Fer Léopoldville-Katanga-Dilolo (L.K.D, de la
Société VICICONGO et de l’Office des Chemins de Fer de grands lacs (CFL).
Cette convention, qui est une concession administrative des Chemins de Fer, entraine
la concession par la colonie du Congo Belge à la Société des Chemins de Fer Léopoldville-
Katanga-Dilolo (LKLD) de la construction et l’exploitation des Chemins de Fer pour une
durée expirant le 31 décembre 2025 ainsi que la mise à disposition de tous les terrains
nécessaires pour l’établissement des voies et dépendances d’exploitation, de ballast, des
pierres de construction, du captage d’eau et à l’installation des habitations et dépendances
nécessaires au personnel.
C’est donc à titre de concessionnaire que la SNCC, exploite ses activités et occupe les
terrains requis son activité.
Compte tenu des successions des Sociétés dont la SNCC est aujourd’hui héritière et
de l’ancienneté des droits concédés au surplus par l’administration coloniale, il apparait
~ 44 ~
nécessaire qu’une mise à jour des droits de concessionnaire soit opérée, cette mise à jour
n’étant qu’une confirmation formelle et claire des droits concédés à la SNCC sans
modification du périmètre ou de la nature de ces droits ni de leur durée.
La SNCC est exemptée des impôts sur le revenu professionnel et de l’impôt réel. En
ce qui concerne les autres impôts et taxes, elle est soumise au droit commun (art. 24 de la loi
N°74/027/ du 02/12/1974 modifié et complété par les décrets n°0050 du 07/11/1995 et
070/2002 du 24/06/2002).
L’administration centrale regroupe les grandes directions, les services communs et les unités
de production auxiliaires.
Elle comprend les tronçons ferroviaires de KANIAMA inclus à ILEBO inclus et les
embranchements de KANANGA à TOMBOLO et de KANANGA à NGANZA.
REGION COPPERBELT
REGION CENTRE
REGION NORD
REGION FLEUVE/RAIL
AD
DGA
II.8. ORGANIGRAMME SNCC DIR.PRE. DG ASSISTANT
DPT.ET.CTR.PL
AN DIV.COM
M
DPT AUD.
REPR.
DIV.AUDIT DIV.OP
CBLE ER
CHARG.C
DIV.AUDIT OMM D.COOR-SR
OPERAT GEN
S/D.G
CO DPT D.TRAF.IMP
SYST.RE DPT.MARK§B
USN-DEV
S/DG D.TRAF.INT
PE DIV.SYS
T RES
DIV.MARK
DIFO D.TRAF.MIN
R
DIV.TELC
OM DIV.BUSN- DPT ET.CTR
S/DET.F
OR
DIV.ET.CIAL
DIV.PLAN
DIV.CONT
R
DIV.FACT
~ 49 ~
Cette partie matérialisé notre investigation en passant par la préparation des données,
l’analyse des données, les résultats, l’interprétation des résultats, la proposition de solutions
(recommandation et suggestion pour résoudre les problèmes posé au début de la recherche).
Source : nous-mêmes.
Commentaire :
Commentaire :
L’analyse des données de l’enquête dans le tableau ci-haut, nous montre les facteurs
ou causes influençant la performance de la SNCC dont nous avons le non renouvèlement de
l’outil de production, la politisation de la gestion, le manque de transparence, la gabegie des
finances au lieu de mettre en place une caisse de secours et l’affectation irrationnelle du
personnel.
~ 51 ~
PASSIF
COMMENTAIRE
Le fond de roulement de la SNCC est négatif, toutes les quatre périodes, ce qui justifie
que la SNCC est en déséquilibre financière, le capitaux propre ne suffit pas à financer les
actifs acyclique. Elle ne pas en mesure d’honorer ses paiements de ces dettes à court termes
par la liquidation des actifs à court termes, elle ne pas aussi en mesure de dégager de quoi à
assurer le paiement de fournisseur ou des dettes bancaire à court termes.
Apres avoir mener une analyse sur cette entreprise, nous avons découvert que la SNCC
évolue avec un fond de roulement négatif, ce qui veut dire qu’elles font constamment recours
à des crédits à court terme pour financer une partie de ces investissements durable.
Bref, nous disons que le fond de roulement de la SNCC est pléthorique, ce qui indique une
mauvaise gestion de la trésorerie.
d. TRESORERIE
COMMENTAIRE
La trésorerie nette de cette entreprise est négative, nous disons que cette entreprise ne
dispose pas des excédents de liquidité, ce qui montre que la SNCC est incapable de payer ses
fournisseurs, ses dettes fiscales et même le salaire de ses employés, elle dégage un fond de
roulement nette inférieur au besoin de fond de roulement ; ce qui démontre une mauvaise ou
un mauvais placement, pour surmonter à cette situation, l’entreprise est obligé de recourir au
découvert bancaire ou au crédit bancaire à court terme, si c ne pas le cas en soit nécessaire
trop grave cette situation peut devenir chroniquement structurelle.
e. DIFFERENTS RATIOS
- Solvabilité
COMMENTAIRE
Le standard étant de 1, la SNCC est à mesure de faire face à son endettement 4 fois en
2013 et 2014, et 3 fois en 2015 et 2015. Il est à signaler que même si le SNCC réalise un
résultat supérieur au standards qui est de 1, la SNCC est qualifié d’insolvabilité parce que
pour qu’une soit qualifier solvable il faut qu’il respecte la règle de l’équilibre financier
minimum qui stipule que : « le capitaux utilisé par une entreprise pour financer une valeur
d’actif reste à la disposition de l’entreprise. Pendant un temps qui correspond au moins à la
valeur d’actif. Ce qui n’est pas le cas pour la SNCC, c’est pourquoi nous disons que la SNCC
est caractérisé d’insolvabilité.
COMMENTAIRE
Le ratio du fond de roulement nette nous indique par le haut du bilan que cette société ne
pas en mesure de financier son outil de production et ne peut même pas faire face à son
endettement à court terme du fait qu’elle réalise un ratio inférieure au standard qui est de 1.
Ce qui représente une situation financière malsaine ou mauvaise.
- Autonomie financière
Ce tableau nous montre que cette entreprise est Independent de ces bailleurs des fonds
à cause des résultats déficitaire qu’elle réalise.
~ 56 ~
Après avoir déterminé les différents résultats, nous sommes arrivés à donner une
interprétation par rapport aux différents résultats trouvés ; nous disons ceci que tous les
indicateurs de la gestion de la trésorerie notamment le BFR, FR et TN acquise une évolution
négative sur toute les périodes sous notre analyse et cette négativité acquise des agrégat qui
entraine le trésorerie nette négative, a l’exception de la solvabilité qui est positive de 4,2% en
2013, de 3,9% en 2014, de 3,4% en 2015 et de 3% en 2016. A ce point nous comprenons que
les capitaux propres et la trésorerie nette témoignent qu’à tout moment que la SNCC éprouve
des difficultés face à ses engagements et à ses cycles de financement, malgré qu’il réalise une
solvabilité positive ; cette société est caractérisée par l’insolvabilité du faite qu’elle n’est pas
en mesure d’honorer ses engagements et ne pas en mesure de payer ses dettes à court terme à
l’échéants
~ 57 ~
RECOMMANDATION
Apres examen et analyse de la gestion de la trésorerie de la SNCC sur les documents des
synthèses obtenues nous nous croyons en mesure de critique et de faire de suggestion sur
cette entreprise.
La SNCC doit faire une étude minutieuse avant de solliciter un emprunt, Elle doit
solliciter un délai de paiement échelonné au prés de préteurs ou créanciers en vue de couvrir
la grande partie de dettes à court terme, Elle doit assainir ses personnels et les rendre
comptable en son milieu d’activité
~ 58 ~
CONCLUSIONS GENERALE
Pour aboutir à la fin de notre étude nous avions eu à utilises la méthode comparative et
analytique comme technique nous avions fait recourt à la technique de documentaire et
d’interview libre qui nous a facilité à recueillir toute les informations nécessaires.
Les composants indicateurs dès la gestion de la trésorerie sont en mesure de nous montre
que nous pouvons espère avoir un bon résultat de cette société.
Nous avons après traitement et interprétation de donnée chiffrée, afin de donner quelque
suggestion et critique qui pourront contribuer tant soit peu à l’amélioration de cœur
stratégique budgétaire des gestionnaires.
A l’issus de nos analyse nous somme arrive à la conclusion selon laquelle nous
remarquons que tous les indicateurs de la gestion de la trésorerie notamment le fonds de
déroulement net, le besoin en fonds de déroulement et la trésorerie acquise une évolution
négative sur toute les périodes de notre étude et cette négativité acquise des agrégats qui
entraine la trésorerie nette dès cette société à être négative sur toute les périodes sous notre
analyse, à ces points nous comprenons que les capitaux propre et la trésorerie nette témoigne
qu’à tout moment que la SNCC éprouvé des difficultés face à ses engagements et face à ses
cycles de financement .
~ 59 ~
BIBLIOGRAPHIE
1. OUVRAGES
2. DICTIONNAIRE
Micro-robert
Encyclopédie la rousse TM
JOHN WANDU : cours d’analyse des états financier, ISC Lubumbashi 2016
PROF SEM : méthode de recherche scientifique(MRS) ISC Lubumbashi 2017
4. SITE
5. MEMOIRES
ANNEXE
ACTIF
BILAN AU 31/12/2013
AMORTISSEMEN
ACTIF BRUT T NET
ACTIFS IMMOBILISES
Immobilisations incorporelles 630 958 486 347 505 857 283 452 629
Terrains 0
Autres immobilisations corporelles 1 466 448 673 054 266 673 431 552 1 199 775 241 502
Immobilisations en cours 5 163 125 818 5 163 125 818
Avc et acompte sur immobilisations 0
Immobilisation financière 2 729 828 588 2 729 828 588
TOTAL ACTIF IMMOBILISE 1 474 972 585 946 267 020 937 409 1 207 951 648 537
ACTIF CIRCULANT
Matières et fournitures liées 44 965 598 681 1 483 150 505 43 482 448 176
Autres approvisionnements 153 431 300 153 431 300
Produits en cours 27 494 494 27 494 494
Produits finis 28 571 799 28 571 799
Stock en cours de route 24 166 473 708 24 166 473 708
Avance au fournisseur 1 691 853 252 1 691 853 252
Clients 24 505 404 100 18 279 099 217 6 226 304 883
Personnel 13 594 182 397 1 372 581 158 12 221 601 239
Etat et collectivités publiques 6 941 888 6 941 888
Associés et groupe 0
Co-transporteurs 39 181 383 745 38 813 420 863 367 962 882
Débiteurs divers 2 395 304 412 2 334 157 313 61 147 099
Ecart de conversion-actif 4 860 660 078 4 860 660 078
TOTAL ACTIF CIRCULANT 155 577 299 854 62 282 409 056 93 294 890 798
TRESORERIE-ACTIF
Chèque à l’encaissement 23 014 653 23 014 653
Banques 2 307 418 314 2 307 418 314
Caisse 842 865 976 842 865 976
Virement de fonds 0
TOTAL TRESORERIE 3 173 298 943 0 3 173 298 943
TOTAL GENERAL 1 633 723 184 743 329 303 346 465 1 304 419 838 278
Source : direction de la SNCC
~ 63 ~
PASSIF
BILAN AU 31/12/2013
PASSIF MONTANT
CAP. PROPRES ET RESSOURCES ASSILILEES
Capital 650 000 000 000
Capital opération sur transformation
Plus-value de réévaluation légale 20 880 452 727
Plus-value de réévaluation libre
Réserve 438 323 717 064
Report à nouveau -152 803 085 132
Rep. à nouveau opération sur transformat°
Résultat de la période -85 165 337 154
Subvention d’investissement 6 292 814 974
TOTAL CAP. PROPRES 877 528 562 479
DETTES FINANCIERES
Emprunt (dont à moins d’un an 0) 180 701 308
Provision pour risque et charges 108 128 181 508
TOTAL DETTES FINANCIERES 108 308 882 816
TOTAL CAP. PERMANENTS 985 837 445 295
PASSIF CIRCULANT
Fournisseurs 19 625 969 113
Clients 2 365 353 541
Personnel 255 039 077 426
Etat et collectivités publiques 660 278 456
Associés et groupe
Co-transporteurs 10 208 955 339
Créditeurs divers 17 176 562 649
Ecart de conversion-passif 3 404 187 380
TOTAL PASSIF CIRCULANT 308 480 383 904
TRESORERIE-PASSIF
Découvert bancaire 10 102 009 079
TOTAL TRESORERIE 10 102 009 079
TOTAL GENERAL 1 304 419 838 278
Source : direction de la SNCC
~ 64 ~
ACTIF
PASSIF
BILAN AU 31/12/2014
PASSIF MONTANT
CAPITAUX PROPRES
Capital 650 000 000 000
Actionnaire capital non appelé
Principe d’apport, d’émission et de fusion
Ecart de réévaluation 84 983 757 224
Réserves indispensables
Réserves libres 438 323 717 064
Rapport à nouveau (+ ou -) -237 968 422 286
Résultat net de l’exercice (+ ou -) -91 169 902 913
Atres capitaux propres 6 108 908 128
Subvention d’investissement 6 108 908 128
Provision règlementé et fonds assimilés
TOTAL CAPITAUX PROPRES 850 278 057 217
DETTES FINANCIERES ET RESSOURCES ASSIMILEES
Emprunts
Dettes de crédit-bail et control assimilé
Dettes financières diverses 187 225 692
Provision financière pour risque et charge 104 875 711 541
(1) Dont H.A.O
TOTAL DETTES FINANCIERES 105 062 937 233
TOTAL RESSOURCES STABLES 955 340 994 450
PASSIF CIRCULANT
Dettes circulantes H.A.O
Clients avancées reçues 4 215 787 222
Fournisseurs d’exploitation 38 112 197 413
Dettes fiscales 1 515 826 141
Dettes sociales 237 625 710 644
Autres dettes 45 953 872 815
Risque provisionné
TOTAL PASSIF CIRCULANT 327 423 394 235
TRSORERIE-PASSIF
Banque, crédit d’escompte
Banque, crédit de trésorerie
Banque, découvert 6 783 114 330
TOTAL TRESORERIE-PASSIF 6 783 114 330
Ecart de conversion-passif
TOTAL GENERAL 1 289 547 503 015
Source : direction de la SNCC
~ 66 ~
ACTIF
BILAN AU 31/12/2015
ACTIF BRUT AMORTISSEMENT NET
ACTIF IMMOBILISE
Charges immortelles
Frais d’établissement
Charges à repartir
Prime de remboursement
IMMOB.INCORPORELLES 799 916 001 418 969 654 380 946 347
Frais de recherche et develop. 0
Brevet, licence, logiciel 687 672 840 316 558 013 371 114 827
Fonds commercial 0
Autres immob. Incorporelles 112 243 161 102 411 641 9 831 520
IMMOB. CORPORELLES 1 583 814 765 042 426 412 994 015 1 157 401 771 027
Terrains 64 103 304 497 64 103 304 497
Bâtiments 390 955 732 699 44 175 275 203 346 780 457 496
Installation et agencement 985 432 836 414 305 486 093 179 679 946 743 235
Matériels 29 314 386 561 24 887 806 637 4 426 579 924
Matériels de transport 114 008 504 871 51 863 818 996 62 144 685 875
AVC et Acompte versés/ Immob 279 000 279 000
IMMOB. FINANCIERE 2 736 208 836 0 2 736 208 836
Titres de participation 864 217 876 864 217 876
Autres immobilisat° financières 1 871 990 960 1 871 990 960
Dont H.A.O. brut, net
TOTAL ACTIF IMMOBILISE 1 587 351 168 879 426 831 963 669 1 160 519 205 210
ACTIF CIRCULANT
Actif circulant HAO
STOCKS 72 846 181 574 1 430 468 322 71 415 713 252
Marchandises 36 603 445 36 603 445
M.P et autres approvisionnement 72 775 636 512 1 430 468 322 71 345 168 190
En cours 33 941 617 33 941 617
Produits fabriqués
CREANCES ET EMPLOIS ASS. 87 628 014 995 57 813 769 144 29 814 245 851
Fournisseur avance versée 168 358 461 168 358 461
Clients 72 501 856 405 56 216 854 471 16 285 001 934
Autres créances 14 957 800 129 1 596 914 673 13 360 885 456
TOTAL ACTIF CIRCULANT 160 474 196 569 59 244 237 466 101 229 959 103
TRESORERIE-ACTIF
Titres de placement 0
Valeur à encaisser 23 014 653 23014653
Banque, chèques postaux, caisse 2 731 933 307 2731933307
TOTAL TRESORERIE-ACTIF 2 754 947 960 0 2 754 947 960
Ecarts de conversion-actif 1 286 653 877 1 286 653 877
TOTAL GENERAL 1 751 866 967 285 486 076 201 135 1 265 790 766 150
Source : direction de la SNCC
~ 67 ~
PASSIF
BILAN AU 31/12/2015
PASSIF MONTANT
CAPITAUX PROPES ET RESSOURCES ASSIMILEES
Capital 650 000 000 000
Actionnaires capital non appelé
Primes et réservés
Prime d’apport, d’émission, de fusion
Ecart de réévaluation 84 983 757 224
Réserves indisponibles
Réserves libres 109 185 391 867
Report à nouveau (+ ou -) -10 704 596 911
Résultat net de l’exercice (bénéfice+ ou perte-) -125 942 403 430
Autres capitaux propres 30 423 448 500
Subvention d’investissement 30 423 448 500
Provisions reglémentées et fonds assimilés
TOTAL CAPITAUX PROPRES 737 945 597 250
DETTES FINANCIERES ET RESSOURCES
ASSIMILEES
Emprunts
Dette de crédit-bail et contrat assimilé
Dettes financières diverses 2 082 970 780
Provision financière pour risque et charge 154 538 719 755
(1) dont HAO
TOTAL DETTES FINANCIERES 156 621 690 535
TOTAL RESSOURCES STABLES 894 567 287 785
PASSIF CIRCULANT
Dettes circulantes HAO et ressources assimilées 14 988 861 264
Clients avance reçue 3 140 346 614
Fournisseurs d’exploitation 43 372 343 792
Dettes fiscales 2 123 099 704
Dettes sociales 254 576 454 304
Autres dettes 47 997 815 842
Risque provisionné 1 286 653 877
TOTAL PASSIF CIRCULANT 367 485 575 397
TRESORERIE-PASSIF
Banque crédit d’escompte
Banque crédit de trésorerie
Banque découvert 3 222 169 840
TOTAL TRESORERIE-PASSIF 3 222 169 840
Ecart de conversion-passif 515 733 128
TOTAL GENERAL 1 265 790 766 150
~ 68 ~
ACTIF
BILAN AU 31/12/2016
ACTIF BRUT AMORTISSEMENT NET
ACTIF IMMOBILISE
Charges immobilisées
Frais premier d’établissement
Charges à repartir
Prime de remboursement des oblig
IMMOBILISATIONS
INCORPORELLES 847 084 131 475 969 303 371 114 828
Frais de recherche et dev
Brevet, licences, logiciels 700 019 589 351 379 394 348 640 195
Autres immob. Incorporelles 147 064 542 124 589 909 22 474 633
IMMOBILISATIONS
CORPORELLES 1 852 859 244 558 568 059 937 448 1 284 799 307 110
Terrains 71 154 667 993 71 154 667 993
Bâtiments 449 488 746 078 59 501 572 447 389 987 173 631
Installations et agencement 1 146 376 322 815 411 637 320 971 734 739 001 844
Matériels 34 152 707 206 32 115 412 521 2 037 294 685
Materiels de transport 151 686 800 466 64 805 631 509 86 881 168 957
Avance et acompte/immobilisations 79 955 321 79 955 321
IMMOBILISATIONS
FINANCIERES 3 592 613 495 3 592 613 495
Titre de participation 1 132 143 969 1 132 143 969
Autres immob financières 2 460 469 526 2 460 469 526
TOTAL ACTIF IMMOBILISE 1 857 378 897 505 568 535 906 751 1 288 842 990 754
ACTIF CIRCULANT
STOCK 48 735 901 724 1 554 962 880 47 180 938 844
Marchandises 26 469 979 26 469 979
Matières 1ere et autres approv 48 649 245 445 1 554 962 880 47 094 282 565
En-cours 60 186 300 60 186 300
CREANCES ET EMPLOIS
ASSIMILES 275 343 422 534 221 789 310 674 53 554 111 860
Fournisseurs avances 1 606 857 577 1 606 857 577
Clients 112 861 114 152 75 212 341 970 37 648 772 182
Autres créances 160 875 450 805 146 576 968 704 14 298 482 101
TOTAL ACTIF CIRCULANT 324 079 324 258 223 344 273 554 100 735 050 704
TRESORERIE-ACTIF
Valeurs à encaisser 23 014 652 23 014 652
Banque, chèques postaux et caisse 3 296 704 316 3 296 704 316
TOTAL TRESORERIE-ACTIF 3 319 718 968 3 319 718 968
ECART DE CONVERSIOIN-
ACTIF 20 880 074 050 20 880 074 050
TOTAL GENERAL 2 205 658 014 781 791 880 180 305 1 413 777 834 476
Source : direction de la SNCC
~ 69 ~
PASSIF
BILAN AU 31/12/2016
PASSIF MONTANT
CAPITAUX PROPRES ET RESSOURCES ASS
Capital 650 000 000 000
Primes et réserves 239 771 260 331
Prime d'apport, émission et fusion
Ecart de réévaluation 10 338 893 212
Réserves indisponibles
Réserves libres
Report à nouveau (+ou) -10 338 893 213
Résultat net de l'exercice B⁺ ou P⁻ -167 952 751 413
Autres capitaux 58 984 554 257
Subvention d'investissement 58 984 554 257
Provision réglementée et fonds ass
TOTAL CAPITAUX PROPRES 780 803 063 174
DETTES FINANCIERES ET RESS. ASS.
Emprunts
Dettes de crédit-bail et contrats ass.
Dettes financières diverses 829 557 423
Prov. Financières pour risques et charges 158 186 950 474
TOTAL DETTES FINANCIERES 159 016 507 897
TOTAL RESSOURCES STABLES 939 819 571 071
PASSIF CIRCULANT
Dettes circulantes HAO et ress. Ass. 15 092 077 517
Clients avances reçues 13 767 102 006
Fournisseurs d'exploitation 72 540 766 691
Dettes fiscales 3 532 008 613
Dettes sociales 272 173 435 300
Autres dettes 48 842 420 110
Risques provisionnés 20 879 937 588
TOTAL PASSIF CIRCULANT 446 827 747 825
TRESORERIE-PASSIF
Banques, crédits d'escompte
Banques, crédits de trésorerie
Banques, découvert 3 992 817 861
TOTAL TRESORERIE-PASSIF 3 992 817 861
Ecarts de conversion-PASSIF 23 137 697 719
TOTAL GENERAL 1 413 777 834 476
Source : direction de la SNC